[RP] Anoblissement de Lady_eden (27/11/1461)

Gilda.

Quelques jours plus tôt, missive, dont on tairait l’auteur, lui était arrivée, directement « Au Trou à Rats » …

En substance, la lettre disait qu’elle était invitée à se rendre en Armagnac et Comminges pour assister à une cérémonie d’anoblissement …

Elle, dont la simple évocation de la Noblesse lui filait une urticaire géante et lui provoquait un réflexe de déglutition la poussant à cracher de gros mollards bien verts !

C’était une provocation inexcusable !
Un affront infâme !
Une véritable agression épistolaire que de l’inviter, elle, la vieille catin libertaire et révolutionnaire, à une sauterie pour emparticulés et Noblaillons décadents !

Elle avait crié, juré, craché, pesté, insulté … puis avait réfléchi !
Elle irait !
Oui, elle irait à cette fichue petite soirée privée.

Marieladamnee

Marie était dans ses pensées et elle ne vit pas la tornade violette s'approcher et lui sauter au cou. Ah Hénora, c'était tout un poème. C'était chez les bébés, la plus exubérante, ses cheveux pouvaient en témoigner mais elle savait être sérieuse quand les circonstances l'exigeaient.

Marie l'embrassa sur la joue et écouta sa rafale de questions en souriant. C'est pas comme si elles s'étaient pas vues il y a quelques jours.

Alors oui je vais très bien, ma chérie est restée à Muret parce qu'avec son épaule c'est mieux qu'elle se repose, Johann est arrivé mais il s'est fait amoché en chemin alors pour lui aussi c'est repos. D'ailleurs j'ai une lettre de sa part pour ta soeur. Et moi aussi je suis contente de changer d'air un peu même si certains vont me manquer.

Elle lui sourit et la suivit vers la brune qui s'était planquée dans un coin. Humm jolie brune se dit elle en offrant son plus beau sourire avant de se rappeler que la sienne l'étriperait si elle savait. Mais regarder n'est pas consommer. Et elle a décidé de tenter la fidélité alors aucun problème.

Marie sourit à la brune et écouta Héno faire les présentations.

Enchantée Dame Aphy.

Déjà la tornade partit vers les premiers rangs et Marie la suivit. Elle regarda Eden qui était toute seule et se décida à aller la saluer. Elle souffla à l'oreille du chardon " je reviens" et se présenta devant "l'élue".

Bonjour Eden, je ne pensais pas vous revoir si vite mais c'est toujours un plaisir.

Elle lui sourit puis attrapa la fameuse lettre dans sa besace.

Johann n'a pas pu venir, il m'a dit de vous donner ça. Vous devez avoir beaucoup à faire je vais rejoindre les autres et félicitations, je n'ai jamais vu si belle princesse.
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Bea06

Bea avait reçu la missive de son amie et était contente pour elle, elle me méritait bien.

Après avoir prévenue son époux ils arrivèrent fier de l'invitation et surtout pour l'anoblissement de son amie qu'elle était contente de revoir.

Elle fit la bise a ses amis Xy et Hog et Led et salua les autres personnes présente.

Elle se souvenait en regardant Eden son propre anoblissement et la peur au ventre qu'elle avait.

Elle n'osa pas s'approcher d'Eden mais lui fit un beau sourire lui expriment son amitié
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Josselin

Bea et lui avaient chevauché d'arrache pied pour ne pas arriver en retard car ils tenaient à lui témoigner leur amitié en ce jour important pour elle

Bonjour ma belle dit il en la voyant ! alors comment dois t'on t'appeler ? Lady, ...Doña Eden, ....ou encore autrement ?

Josselin rit avant de serrer son amie Lady dans ses bras pour lui donner la bise de l'amitié

Dis moi sais tu qu'à chevaucher comme ca donne soif ? j'espère que tu as prévu large ^^

Il croisa Hog au détour d'un couloir et lui donna l'accolade...

Il pensa à l'aventure qui les avait réunis et sourit en prenant la main de son amour
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Zeze5

Sandino, toujours à ses cotés avait saluer Aiguemarine et Ledzeppelin comme il se doit. Mais étrangement, après les salutations, Sandino restait muet en regardant sa filleule.

Aiguemarine répondait à la question de Zézé par une réponse de diplomate, c'est à dire une réponse qui pouvait être mise à toute les sauces.

- Je vois, Aigue, mais pas sûre que ce soit ça vu les gens présents. Bon !! nous oui on est des vieux, mais je vois certains invités qui ne le sont pas, du moins pas encore ! Dis moi que ce n'est pas encore pour un mariage, s'il te plais, dis le !! Parce que là je ne suis pas sûre de pouvoir tenir Sandino, il va hurler ! ... Déjà qu'on se retrouve avec un chargement de cierges florentins qui devait revenir à son ex-époux, si en plus Eden va prendre un nouvel époux on va devoir fabriquer les cierges nous-même !!

Zézé regarde son compagnon qui semblais avoir avalé tout les cierges, tant il était droit dans ses bottes sans bouger et fixait toujours Eden.
Ce qui était rassurant c'est que pour un mariage, la mariée arrive en dernier et Eden était déjà là.
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Marggie de la Biteaubec , incarné par Gilda.

Perruque rousse flamboyante, maquillage de vieille catin sur le retour, plumes sur la tête, dentelles, breloques et artifices en tous genres … Elle n’avait pas lésiné sur la dépense !
Elle avait même acheté un parfum bon marché à la rose et au jasmin qui aurait réussi à couvrir la puanteur d’un bouc en chaleur…

Le déguisement était parfait et personne ne reconnaitrait la vieille Gilda sous cet amoncellement hétérocycle et clinquant !

Elle s’annonça au sbire de service qui filtrait l’entrée.

Margueritte de la Biteaubec, Baronne de Montcoqut, Dame du Pératé.

Plus c’était gros et plus ça passait … c’était bien connu ! Elle franchit l’entrée sans aucune difficulté !

Non d’une putain vérolée et syphilitique !

La salle était pleine et surtout pleine de beau monde. De l’aristo, du vrai, de la cuvée d’exception, du qui sent bon, de la pure fin de race !

Elle en reconnaissait certains et notamment l’Usurpateur, le Régent du Béarn. Il était accompagné de sa greluche de femme …
Vindiou, c’était que la Lady devait être une personne sacrément importante parmi la caste des dégénérés au sang bleu pour que le couple de bigots ait fait le déplacement …

Elle entra et s’installa.
C’est qu’elle n’était plus toute jeune la Gilda et le voyage l’avait fatigué.

Par delà ce qu’elle espérait apprendre ici, parmi l’ennemi, elle croisait les doigts pour que le buffet soit bien gras !
Manger au frais de ces brigands était un art qu’elle maîtrisait à merveille.

Henora_mac_artney

Hénora sourit à Marie et s'approcha d'Aigue avec un sourire lorsque la dame qu'elle connaissait pas lui demanda ou plutôt supplia la brune bordelaise de lui dire que ce n'était pas un mariage. Et dans la tête d'Hénora ça fit à peu près ça:
NOOOOOOOOOOOOOOOON pas possible un mariage, l'est à moi ma soeur.

Vu de l'extérieur c'était juste un signe de dénégation de la tête et elle regarda autour d'elle pour voir qui cela aurait pu être mais à part Paz et vu la tête qu'il faisait c'était pas possible, il n'y avait personne. De toute c'était son anoblissement pas un mariage ni une fête de vieux ou elle n'aurait pas été invitée. Elle continua néanmoins à dévisager les gens, oui oui ça se fait pas mais bon c'est Mini Picte et là ou elle va forcément, ya bêtises...

C'est là qu'elle vit la vieille rousse et ne put retenir un

Déos, ma soeur a invité la mère de Mathusalem ?
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Aphykit

Oscillant entre l'aisance d'un éléphant dans un magasin de porcelaine et celle d'un chien dans un jeu de quilles, elle avait eu l'outrecuidance de se croire à l'abri des regards, elle fut des plus surprise de voir la jeune soeur de Lady Eden s'approcher. Elle avait apprécié la jeune femme, elle fit donc quelques efforts pour ne pas fuir ventre à terre.
Elle devenait, ces jours-ci, de plus en plus sauvage et se demandait même comment elle avait réussi à venir jusqu'ici. Sans doute, un secret espoir de se changer les idées...
Une femme accompagnait Henora, qui semblait, somme toute, aussi en décalage qu'elle au milieu des belles de jour. Elle répondit à leur salutations d'un signe de tête, bien qu'un peu gênée par le fugace regard croisé.

Ravie de vous rencontrer, j'espère que vous passerez une agréable journée.

A peine eut-elle le temps de terminer sa phrase qu'elles étaient déjà loin.
Des arrivées attirèrent son attention, elle dut prendre appui contre l'embrasure d'une fenêtre quand elle remarqua la rousse haute en couleurs qui entrait. C'était... Mémé, mais une Mémé grimée, une Mémé genre de la Haute, mais habillée en mère maquerelle. Elle déglutit bruyamment, promena son regard sur l'assemblée, sourit largement. A voir ce qu'allait faire Mémé...
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Sandino

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Le temps passait et la bohémien n’avait toujours pas dit la moindre phrase. Un mot ou deux accompagnés d’un bref sourire en guise de salutations aux amis, un salut de la tête aux autres et pas plus.

Lui qui pouvait parler une demi-journée à un muet avant de se rendre compte que son interlocuteur ne pouvait lui répondre, n’avait rien dit jusqu’à présent, se contentant d’observer les invités et surtout Eden de qui il attendait des explications.

Certes, des pupilles encore en vie que sa compagne et lui avaient couvé, Eden était leur préférée, son esprit aventureux, capricieux, réfractaire, les ravissait.

Cependant elle n’en faisait qu’à sa tête et les mettait toujours devant le fait accompli ce qui les obligeait à agir dans l’urgence, un comble pour eux dont le mode de vie était de ne rien précipiter et de prendre le temps pour réfléchir.

Soudain, n’y tenant plus, le verbe haut et sans se préoccuper de ce qu’allaient penser les gens présents, il se décide à s’exprimer en s’adressant à tout le monde.

- MA !! porca miseria !! cosa facciamo qua ? Adesso vollo sapere !! Si on me dit pas ce que je fais ici de suite, ça va mal se passer et venez pas vous plaindre après coup !!

Le regard noir, il fixe l’assemblée puis se concentre sur Eden à laquelle il fait signe que ça va chauffer si elle ne s’explique pas sur le champ.
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Lady_eden

Ses chers Béa et Joss avaient pu venir aussi, que de souvenirs, que d'aventures avec eux et surtout une grande et belle amitié était née de ce fameux voyage à Alexandrie.

Elle sourit au Joss toujours taquin lui indiquant le buffet qui les attendait après la cérémonie, gardant quand même un œil inquiet sur Sandi qui la fixait toujours.
Marie s'approcha en lui glissant une lettre, la brune la remercia doucement, Johann...elle ne l'avait pas oublié non plus.
Mais l'attitude de son parrain était plus que mauvais présage.

Soudain une bouffé de parfum bon marché arriva jusqu'a elle.

Par la culotte d'Aristote...qui peut porter un truc pareil...pourvu que ce soit pas une nouvelle création de Sandi...marmonna la Lady.

Elle cligna des yeux quand une rousse qui n'était pas Queen, ou alors une Queen vieillissante, fit son entrée.

Gmblblbl....par tous les saints ....

Se torturant l'esprit, l'écossaise se demandait qui elle avait pu inviter?
Un pigeon farceur qui fatigué c'était posé dans une maison de passe?
Une ancienne connaissance? Tante Edna??????
Nan tante Edna déclaré arme de guerre écossaise était assignée a résidence dans sa bicoque, depuis qu'on s'était aperçus au pays que a sa seule vue les Angloys faisaient demi tour.

Perplexe la brunette en avait presque oublié le regard courroucé de son Dieu Sandino.
Sauf que...le gitan par on ne sait quel coup de sang avait retrouvé la voix...toute sa voix....

Mardeuuuu il cause Italien....

Quand il s'exprimait de la sorte ça voulait dire que c'était mauvais trèsssssssssssssssss mauvais...
Pour le coup elle aurait bien fait bruler les 500 cierges la Picte et prié tous les saints qu'elle connaissait avant de s'enfoncer sous terre.

Un AU SECOURS muet en direction de Zézé, la seule avec peut être Hog qui pouvait calmer un Sandi, accompagné de grands moulinets des bras façon "je suis en panique", et la brune finit par lancer:

Parrain!!!!!!!!! Comme tu m'as manqué!!!!!!!!!!!!

Bon c'était pas original...mais elle avait rien de mieux en stock là....
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Sandino

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Riant en son fort intérieur de l’effet de sa soudaine intervention, Sandino ne laisse rien voir de sa satisfaction. S’il ne cherche plus à faire scandale ou semer le trouble comme par le passé, il essaye de ne jamais louper une occasion de rire, quand bien même cela fut déplacé.

Poussant son avantage en prenant la perche que lui tend sa pupille, il en rajoute dans l’expression de la colère en vieux comédien qu’il est au sein de la carriole magique.

- CASO !! je t’ai manqué hien !! crois moi cette fois je vais pas te louper !!

S’adressant à l’assistance en partie perplexe, il réclame qu’on l’aide.

- Un bastonne !! donnez moi un bâton, une ceinture, une baguette !! que deux costauds s’empare de cette drôlesse et vous allez voir ce que vous allez voir !!

Se tournant vers Zézé, il lui ordonne de témoigner.

- Dis leurs toi que j’ai le droit en tant que précepteur, parrain et tout le saint frusquin !! daï !!
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Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

De son seul œil fonctionnel, Mémé passait en revue l’assemblée cherchant quelles bourses bien pleines elle allaient pouvoir dévaliser et quelles autres, sait-on jamais, elle aurait pu soulager …
Quand soudain, elle aperçut la petite Aphy … Chaleureuse comme à son habitude, elle se précipita d’un pas alerte, c'est-à-dire boitillant, vers la gamine !

Aph … phh pfff …. Pfff …. Au moment où elle allait saluer sa petiote préférée, elle se souvint qu’elle était là incognito, en mission d’infiltration pour le compte du MRCA … Le Mouvement Révolutionnaire Contre l’Aristocratie dont elle était la présidente, la trésorière, la secrétaire et l’unique membre … pour le moment !

Afec tout mon respect Ma Demoiselle … se reprit-elle !

Savez-vous quand on va manger ? Ca commence à faire faim …

Un gargouillis cataclysmique s’éleva se son ventre rebondi qu’elle accompagna d’un sourire aux dents parsemées…

C’est à ce moment que la petite querelle familiale éclata entre l’héroine de la soirée et un homme qui semblait déteindre parmi l’assemblée.

Henora_mac_artney

Mini Picte se remettait de la vision roussinesque, qui n'avait rien à voir avec un quelconque incendie dans les entrailles, celui l'aurait plutôt éteint quand des éclats de voix se firent entendre.

Ainsi c'était donc lui qui avait élevée sa soeur en France, Eden lui avait beaucoup parlé de son parrain et de sa marrainne. Et bon là vu la réaction de sa soeur cela s'annonçait un peu chaud. Comme quoi on en revient toujours à l'incendie. Elle n'avait jamais vu sa soeur aussi mal à l'aise et cela lui faisait tout drôle. Elle hésitait entre s'asseoir dans un coin pour assister au spectacle, après tout pour une fois ou c'est pas elle qui se faisait prendre, ou aller soutenir sa soeur .

L'homme la décida en parlant de baton et autres joyeuseries et elle opta pour un soutien picte. Bien plus moral que physique, une petite main glissée dans celle de sa soeur, une présence et un sourire de l'angelot dict du chat potté .

Sur un malentendu ça peut toujours marcher et puis c'est peut être sa façon de dire" bonjour, je suis content de te voir ma chère Eden". Après tous les coutumes familiales personne a le droit de les juger.
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Lady_eden

- CASO !! je t’ai manqué hien !! crois moi cette fois je vais pas te louper !!

Là c'était le moment de s'enfuir a toutes jambes, non pas qu'elle était de nature a s'effrayer a la vue d'une souris la brune, non, même que trancher des têtes durant la guerre tout ça elle aimait bien, mais deux personnes avaient l'étrange pouvoir de la réduire à l'état de gamine de 5 ans prise les doigts dans le pot de marmelade et c'était le couple de gitans ci présents...., sauf que s'enfuir de sa propre cérémonie elle pouvait pas.
Elle avait déjà tenté le soir de son mariage pourtant.
Restait quelques options:

Sauter dans les bras de Riri...mais vu son age il allait s'écrouler...
Sauter dans les bras de Fifi...oui mais elle avait pas encore été anoblie donc la blonde lui devait pas encore protection, et maintenant qu'elle avait croisé sa famille c'était pas sur qu'elle veuille encore...
Sauter dans les bras de Blanche... mais là...vu la poitrine opulente elle risquait de rebondir et finir direct dans les pattes du gitan....pis elle connaissait peu cette dame...

.....
Pendant son intense réflexion la violette sa mit à ses cotés avec des yeux bizarres fixant Sandi...donc sauter dans les bras de sa sœur..son ultime espoir ...venait de tomber à l'eau...
C'est a ce moment là qu'elle vit la mère de Queen, la vieille rousse quoi, forcement ça pouvait être que la génitrice de la maquerelle dans l'esprit Picte et qu'une idée farfelue lui vient.
Détourner l'attention!

Elle là !!!!!!!!!!!! Elle !!!!!!!
Pointe son doigt vers la flamboyante
Elle ...vite trouve un truc Ed beurdel....veut...épouser ton cousin Gondolooooooooooo Parrain!!!!!!!!!!!
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Zeze5

Zézé discutait avec Aiguemarine quand une voix, qu'elle reconnaîtrait entre toutes, fait trembler les vitraux ... Sandino. Et quand son compagnon hurlait en italien il n'y avait qu'une chose à faire. Hurler plus fort que lui ou attendre que ça passe. Zézé savait ce qu'elle devait faire, surtout en voyant le regard de Eden. La gitane aurait bien attendu, trouvant la scène amusante, mais elle avait peur de voir fuir Eden à toutes jambes.

Au milieu de la salle, Eden n'en menait pas large. Une jeune fille se place aux cotés de la pauvre Eden, lui tenant la main. Il était temps d'intervenir pour la gitane.
C'est poings sur les hanches qu'elle se place devant Eden, faisant face à Sandino.

- Io urlo anche* ... oui tu as tout les droit sur notre filleule et même le gauche, mais tu vas devoir faire avec moi avant !! Dit Zézé le regard noir

Dans son dos, elle pouvait entendre le souffle de sa filleule ... un souffle de soulagement.

- Viens plutôt l'embrasser au lieu de vouloir la rosser !!

Zézé savait que son compagnon jubilait intérieurement, elle pouvait le voir dans ses yeux.

* Moi aussi je hurle
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Anoblissement de Lady_eden (27/11/1461)

Erasme

Mercredi ... et qu'est-ce qu'il y a le mercredi ? Un anoblissement bien sûr ! Ah bon ? -Crétin-.
Et même mieux je dirai c'était une très bonne occasion de prendre un peu l'air -en s'enfermant dans la salle du trosne- en couple.
Secrètement et sans l'avouer il avait surtout un peu peur que Firielle fasse des bêtises avec son repose fesse qu'on appelait trosne. Aussi avaient-ils décidés de se rendre à la cérémonie ...
C'était également un peu pour Eden dont son espouse estait tombée amoureuse et pour Firielle qui ... euh ... aimait les écus -mais arrête ça n'a rien à faire la ça !-
Bref toujours est-il que le couple vicomtal -euh nan ça c'était y'a un mois change de registre- ... excusez-moi, comtal, fit le déplacement jusqu'au lieu où se passerait l'allégeance. Pour changer.

Si je ne l'ai pas dis -non tu l'as pas dit- ta gueule ! -je t'en prie- ... ce que je n'ai donc pas dis, c'est que c'était aussi un moyen de commencer à habituer sa moitié à cette salle.
Car premièrement elle aurait bientôt à y venir prester allégeance -c'est ballot hein- et secondement si elle venait à estre élue comtesse elle aurait également l'occasion d'accueillir les nobles de la même façon que Firielle le faisait en cette journée.
Et puis elle verrait aussi comment se constitue une allégeance ... ce qui lui serait fortement utile pour l'avenir, à n'en point douter.

Sur ce nous arrivons donc au moment où ils pénétrèrent -riri tu sors- dans la salle avec une discrétion qui leur estait propre.
A peine eut-il le temps de s'accoutumer à la lumière plus vive que dans les couloirs qu'il aperçut ... pas un ... pas deux ... pas trois ...
pas quatre ... pas cinq ... pas six ... pas sept ... pas huit ... - t'en as encore pour longtemps ?- ... pas neuf ... pas dix ... mais Onze femmes !

S'estaient-ils trompés d'endroit ? Estaient-ils dans un harem ? Au paradis ? Bon ... pour le paradis il avait quelques doutes ... ça aurait été plus chaud que ça le paradis pour lui. Donc restait la prime possibilité le harem.
-Alors c'est l'histoire d'une femme enceinte, d'une écossaise et d'une blonde [...] vous la connaissez ?- Ah ouais elle est trop bonne celle-là !

Ou en étais-je .... -le harem- ah ouais ! Donc le coms, totalement fidèle à son espouse attention précisons le bien -je plussoie- prit le temps de détailler chaque invité de cette cérémonie qui lui semblait avoir esté organisée de manière plutôt rapide.
En effet il lui semblait bien que c'était hier qu'il avait entendu parler d'une volonté d'anoblir Eden ... mais la volonté avait vite pris forme.
Une rapide décidément cette Fifi ... Rapide pour donner les noblesses, rapide pour gagner des écus .... rapide pour faire des gosses ... -rapide pour jo.... [spoil]-

Après un instant, main dans celle de son espouse, radieuse, magnifique, sublime, remarquable, ravissante, délicate, admirable ... -passe à la page suivante du dictionnaire des synonymes- ... Sensuelle ... Séduisante ... à tomber ... à croquer ...
-hum je m'égare- bref la meilleure femme que cette terre ait porté, il salua l'assemblée d'un léger signe de teste.
Ouaip c'était un peu un des avantages à estre régnant ... il n'avait pas à se courber trop bas pour saluer et à son âge ... ou plutôt flemmardise ... ça convenait parfaitement.
Il ajouta néanmoins un court mais non moins poli:

« Dauna ... Messer. Blanche.»

-QUOI !!! tout ça pour ça !!- Et ouais mon petit monsieur tu t'sens lésé hein avoue ! -crétin- ça tu l'as déjà dis -[...]- Bah ouais ... certains s'estaient en un premier temps contenté d'un "bonsoir" alors lui se satisferait bien de ça.
Bon aller il estait en bonne forme et cela devait se voir ... pi il aura l'occasion de faire son ours plus tard, il donna donc un :

« Ou se trouve la mariée ? »

-Le joueur devant un tel débit de bêtise n'a pas eu d'autre choix que de mettre fin à ses jours, veuillez-nous excuser du dérangement.-
Il se retourna vers son espouse interrogateur ... ou tout du moins voulait-il le faire croire.
Ah oui ça n'estait peut estre pas un mariage finalement.
-Alors c'est l'histoire d'une femme enceinte, d'une écossaise et d'une blonde [...] -

[Je tiens à préciser que le jd est totalement sain d'esprit même si visiblement il a dû consommer quelque chose de pas net ce soir.]
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Lady_eden

Des mèches violettes dansèrent devant son visage et des lèvres se posèrent sur sa joue pour s'évanouir aussi vite.
Un coup de sa sœurette forcement qui devait la sentir un peu tendue seule comme ça au milieu, mais au moment où elle se retourna pour la voir la voix reconnaissable entre toutes de la fantasque mairesse de Mauléon retentit.
Vyrgule était dans la place!
Un sourire amusée la brune salua l'inimitable, cela lui faisait chaud au cœur de la voir et fallait bien avouer que Mauléon lui manquait.

Puis la sublime Led fit son entrée, majestueuse comme d'habitude, Alejandro a ses cotés qui semblait avoir pris un coup de chaud tant il était rouge, l'écossaise leur fit un signe discret et la magnifique provençale fondit sur Aigue qui semblait échanger des potins, sa grande passion, avec mini Picte.

Aphykit fit elle une entrée discrète pourtant habituée aux châteaux, hantant régulièrement celui de Pau, Cac hors pair, elle devait sans nul doute traficoter avec sa future suzeraine...
Eden la salua aussi d'un sourire chaleureux.

Arriva Marie encore plus mal a l'aise que la jolie Aphy, Eden faillit ne pas la voir tant elle semblait vouloir se fondre dans les tapisseries accrochées au mur.
Tant qu'elle repartait pas avec....

Puis un parfum qu'elle aurait reconnu entre mille!
Soudain sa Suzanne se matérialisa a ses cotés.
Romaric se dandinait, ça a porter ses poulaines affreuses fallait s'en douter qu'il aurait des ampoules, et le petit Andreï avait bien grandit.
La Picte se pencha pour embrasser l'enfant et sa fillote en lui murmurant : prends place ma belle je t'expliquerais tout lors du buffet..merci d'avoir fait tout ce chemin...

Tout ces gens venus pour elle, ça la bouleversait la brunette, peu habituée a montrer ses sentiments, pourtant son cœur battait à toute allure.
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Suzanne

Sur le trajet qui les menait vers l'Armagnac, les souvenirs affluaient sous le crâne brun. Sa première rencontre avec son écossaise de marraine, si elle avait été sans heurts, il n'avait pas fallu longtemps pour réaliser que les deux brunes étaient aux antipodes l'une de l'autre.
Mais une entente s'installa au fil du temps entre elles et c'est naturellement que Suzanne l'avait sollicitée pour être sa marraine. C'est avec surprise qu'elle avait accepté.

C'était loin. Tant de choses s'étaient écoulées depuis. Et elles ne s'étaient pas perdues de vue. Toujours là l'une pour l'autre... et comme un fait exprès, alors que ces derniers jours, la brune dijonnaise s'inquiétait de ne pas recevoir de nouvelles, en est arrivée une des plus surprenantes.

Il fallut enfiler la plus jolie robe, coiffer la tignasse en une tresse retombant sur le devant d'une épaule, et c'est ainsi qu'elle se présenta à l'endroit indiqué.

Un coup d'œil circulaire pour repérer quelques connaissances... rares. Xyt, et... il fallut qu'elle s'y prenne à deux fois pour être sûre qu'elle n'avait pas la berlue. Rihana... Celle même qui gérait la dissolution de son union avec Tibère... Jamais elle ne pensait la voir ailleurs qu'à l'évêché...
Une fois la surprise passée, et quelques saluts timides aux présents, elle se dirigea vers Eden, sourire aux lèvres et l'étreignit, une fois que le salut précédent fut terminé :

Bonjour ma douce.. je suis heureuse de te revoir. Et tellement surprise que ce soit dans ces conditions ! Tu me raconteras n'est ce pas. .

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Marieladamnee

Marie avait reçu une invitation à rejoindre Eden et Hénora ainsi que leur famille à Auch pour une cérémonie. Elle se demandait bien laquelle.

Les dernières cérémonies auxquelles elle avait assistée était le mariage de sa soeur, il y a 4 ans, elle venait alors d'avoir dix huit ans et ne s'était plus vues depuis l'histoire des loups 6 ans auparavant. Et l'autre était l'anoblissement de " son clébard" comme elle l'appelait à présent et qui était son fiancé à l'époque. Souvenirs souvenirs.

Elle chassa ces idées et allât seller " Ironie" pour filer comme le vent pour Auch, pas le temps de se changer, juste celui de laisser un mot à sa dulcinée pour dire qu'elle revient vite et blablabla... Le vent dans les cheveux, la crinière de sa pouliche qui vole au vent, plaisir d'être sur la route encore une fois.

En entrant dans cette ville inconnue, elle demanda son chemin à des passants qui lui indiquèrent la colline et effectivement en se rapprochant elle vit une somptueuse bâtisse. Le genre d'endroit ou on entre pas sauf pour vider les caisses d'habitudes mais là point de recette à prendre, son épée est restée à la maison, juste est dissimulée sur elle une dague offerte par une amie, il y a longtemps.

Arrivée au pied des escaliers, elle saute de cheval, tapote un peu braies et bottes pour retirer la poussière et attrape son manteau dans une de ses sacoches.

Elle se guide au son pour trouver les lieux n'étant pas très à l'aise avec tout ce qui est portier sauf quand il s'agit de les marquer d'un M avant de les achever mais ce n'était ni le lieu ni le moment.

Le décor est splendide, une vie de princesse sans doute. Les gens ont l'air de se connaitre. Elle cherche des yeux Eden et des cheveux violets. Elle leur fait un coucou poli et leur sourit avant d'aller s'installer là ou elle détonera le moins. Un peu comme au mariage de sa soeur ou elle était restait à la porte de l'église.
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Aphykit

De passage à son atelier entre deux aller-retours au château, elle avait trouvé un gamin qui l'attendait porteur d'une missive. Un peu inquiète, elle lui avait donné une piécette et s'était hâtée d'en lire le contenu. Elle redoutait quelques mauvaises nouvelles, encore des décès, des départs. L'écriture ne lui parut pas plus familière que cela, alors que le vélin tremblait dans ses mains, elle le parcourut des yeux et poussa un soupir de soulagement.
Il s'agissait d'une invitation, elle fut surprise et flattée en reconnaissant la signature. Son soulagement fut de courte durée, qui disait invitation, disait qu'il allait falloir trouver quelque chose de convenable à se mettre sur le dos. Et ça, ce n'était pas la tasse d'infusion d'Aphy.

Et puis, elle n'avait pas le temps de passer commande, il fallait être en Armagnac avant même d'avoir quitté Orthez. Un traquenard, cette affaire. Elle sortit de sa malle une toilette qu'elle jugeait à peu près appropriée à la situation.
Elle se mit en route, la journée serait épuisante, la nuit à venir aussi.

Enfin, le lieu somptueux était en vue, il était temps de se changer et de pratiquer quelques ablutions dans l'eau de la rivière, elle n'aurait pas le temps de chercher des étuves ou autre. Nul doute qu'elle était déjà en retard.

C'est au galop qu'elle pénétra dans la salle de cérémonie. L'assemblée était nombreuse, les femmes élégantes, les hommes fiers... elle avait l'impression d'être la paysanne du coin. Enfin, elle en avait l'habitude, et reprenant son souffle, elle salua les personnes présentes, avec le secret espoir de trouver un lieu à l'abri des regards.
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Ledzeppelin

Et c'était parti ..... le carosse partait pour l'Armagnac et Comminges, un de ces endroit qu'on ne savait pas ou cela se trouvait sur une carte. Avec son frère ils devisaient gaiement :

Je parie qu'ils n'ont même pas une équipe de soule dans cet endroit. Tu te rends compte ! Mais puisque notre princesse Eden a choisi de s'y poser cela doit tout de même valoir le détour.

Alejandro rougissait chaque fois que l'on parlait d'Eden, bien malgré lui il faut bien le dire. Elle les avait invité les 3 lyonnais : Phelim, Alejandro et elle.

Je me demande bien pour quelle raison. Et c'est bien elle ça : elle dit ou, elle dit quand en précisant que c'est tout de suite mais elle ne dit pas pourquoi. C'est probablement un truc farfelu. Va-t-elle baptiser le chameau qu'elle avait amené en Lyonnais ? Ou allait-elle postuler pour être Reine des Pictes ?

Ils riaient tous deux en imaginant le pire comme le meilleur pour leur amie.

A leur arrivée dans le Castel Comtal, ils furent reçus dans une salle splendide ou se pressait le gratin du Comté. Dépitée, la Comtesse vit qu'elle ne connaissait personne. Mais en se retournant aperçut l'ancienne Ambassadrice Royale pour le Marquisat de Provence : Dame Aiguemarine. En attendant de voir Eden elle alla la saluer en compagnie de son frère.

Bonjour Dona Aiguemarine ! Quel plaisir de vous revoir en ces lieux après tout ce temps. Comment vous portez-vous ? Je vous présente mon frère Alejandro de Castilla Villareal.
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Vyrgule

-Une sauterie en Armagnac ? Quelle charmante idée !

L'éternel sourire Vyrgulien était de sortie, sa porteuse avec.
La comédienne était bien évidemment passée par toutes les étapes que sa condition de femme du moyen-âge impose :
- La joie d'être socialement active,
- L'envie d'être présente à l'évènement dont tout le village parlera dans quelques jours,
- La surprise qu'on ait pensé à elle, vite balayée par l'angoisse terrible et souvent exagérée suscitée par l'éternelle question "QU'EST CE QUE JE VAIS METTRE ?!"

Faut pas croire, c'est du boulot d'avoir des chromosomes jumeaux.
Voilà donc le maire du trou le plus paumé du Béarn en route vers le Comté voisin, soucieuse d'arriver à l'heure pour....pour quoi au fait ?!
Le sujet de l'invitation n'ayant pas été précisé, Vyrgule avait glissé un déguisement dans ses bagages, au cas où il s'agisse d'une sorte de bal costumé. Lady Eden avait déjà montré son intérêt pour la chose.

C'est donc une Vyrgule parée à toute éventualité qui se présenta au lieudit. Elle sortit son petit carton, suivit les couloirs, monta l'escalier, se planta d'étage, redescendit, tourna à gauche, ouvrit une porte puis s'excusa de s'être trompée en constatant qu'elle se trouvait entourée de soldats et autres généraux...
Maioucé !!!

- VOUS M'AVEZ BIEN DIT A GAUCHE ?
- Non, à droiiiiite !
-AH ! MERCI !

A droite donc !
Oui tiens, ce côté de la bâtisse est chauffé, un certain brouhaha se fait entendre et jaillit même un "BONSOIR" avec l'accent béarnais.
Vyrgule sourit, elle reconnait la voix de l'un de ses administrés.
A son tour, elle pousse la porte.

D'un coup d'oeil, elle aperçoit les Castel Vilar. Mince...le gratin de l'Armagnac ? Le moment n'est visiblement pas celui de sortir son déguisement de lapin.
S'avançant, elle capte des bribes de conversations. Il est question d'un anoblissement mérité.

La rouquine s'immobilise. Allons bon ! Voilà qui complique encore le personnage !
Une écossaise sortie de l'Artois, installée en Béarn anoblie en Armagnac...
La mappemonde vivante semblait ravie, Vyrgule approuva silencieusement le geste, elle avait eu connaissance de la vaillance de Lady Eden lors des derniers mois.

Vyrgule approcha des Castel Vivi, se fondit en une révérence habituelle, et leur donna du :
- Vos Grandeurs, bonsoir.
Elle les gratifia d'un sourire signifiant "Moi, je sais qui vous êteuh".
- Bonsoir Lady Eden...Que dit on dans ces circonstances...? Félicitations ? Non, pas encore. Bon courage ? Non, quand même pas..... A tout à l'heure ?

Vyrgule se reprocha de ne s'être pas posée la question plus tôt et fila vers les rangs Mauléonais, non sans saluer de la tête tous ces illustres inconnus qui peuplaient la pièce.

Bonsoir les maulusques !...
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Lady_eden

Les invités arrivaient peu à peu au plus grand bonheur de la brune.
Saluant sa Tourangelle préféré, Rhianna venue avec le petit Philippe héritier en titre de la famille,puis un signe pour Aigue toujours en beauté, Xyt était la aussi en belle sœur attentionnée et a sa grande surprise Paz qui semblait perdu.
Un petit signe à chacun, un sourire, la brune se détendait peu à peu.

Sa sœur lui lâcha la main après une bise et l'écossaise se retrouva seule au centre de la pièce.
S'efforçant de garder son calme, elle posa son regard sur sa future suzeraine.
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Aiguemarine

Léger clignement des azurs.

"Je vais bien, merci. J'espère qu'il en est de même pour vous.
Dites : c'est une tradition Ecossaise de ne prévenir qu'au dernier moment d'un évènement si important ?!" Léger sourire, taquin.

Lui expliquer les codes de la Noblesse ?! Ma foi, pourquoi pas ! Même si celle du coeur est la plus belle en soi.
& Eden s'en sortirait parfaitement, elle en était certaine.
Même si c'était l'Italienne qui avaient les meilleurs Suzerains du Royaume :
Althiof & Kory d'un côté, Kronembourg de l'autre.
Se laissant entraîner vers les tous premiers rangs, l'Italienne ne pipa mot.
Une fois installée & ayant saluée Xyt, jeune femme croisée à Tours il y a de cela environ 1 an, Aiguemarine sourit de nouveau à Henora.

"Un échange de serment fera d'Eden une magnifique Vassale, à n'en point doûter.
Elle aura des droits, mais aussi des Devoirs. Celui de conseiller son Suzerain &..." Ne terminant pas sa phrase, Aiguemarine regarda l'homme qui venait d'entrer & capta la petite moue sur le faciès d'Henora.
Etais ce en rapport avec l'entrée de cet homme ?!
& puisqu'en bonne Italienne qui se respecte, elle aimait les potins & les histoires qui étaient nettement moins rébarbatives qu'une leçon sur la Noblesse, elle enchaîna en chuchotant à la Violette Ecossaise :

"C'est qui ?! A voir votre mine, vous ne semblez pas ravie ou je me trompe ?!"
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"Non, mais allo quoi !! T'es noble & t'arbores pas ton blason ?"
"Ca vienttttttttttt bientôt !"

Henora_mac_artney

Hénora s’imprégnait peu à peu de l’ambiance qui régnait autour d’elle. Les gens commençaient à arriver et les sourires étaient de sortie. Elle n’en commençait pas la plupart mais c’était des amis de sa sœur et elle, elle en connaissait beaucoup de gens.

Sa sœur, elle la regarda en y pensant. Dans les yeux de la petite écossaise, on pouvait lire tout l’amour et l’admiration qu’elle lui vouait. La droiture, la fidélité et l’honneur étaient des qualités qui la caractérisait et que la violette appréciait au point d’en avoir choisi une pour nom. Elle était désolée d’avoir du la laisser seule au milieu de la pièce même si elle le resterait pas longtemps. Mais c’était plus fort qu’elle il le fallait. Elle s’excusa auprès d’Aigue d’un « je reviens de suite » et se leva pour rejoindre sa sœur.

Elle lui prit la main et se rapprocha de son oreille pour lui murmurer.

Je suis fière de toi et je t’aime

Elle lui fit un bisou et un grand sourire puis fila comme si elle avait Deos aux trousses, oui pour le Sans Nom elle serait restée. Elle se réinstalla près de la brune et lui sourit.

Oui je vais très bien et je suis ravie de vous revoir. Et je suis très heureuse pour ma sœur qui le mérite. Si j’ai des trucs que je comprends pas je vous demanderais en fait ce sera plus simple et moins ennuyeux pour vous.

Puis plus bas sur le ton de la confidence elle rajouta :

C’est un ami de ma sœur et c’est pas que je l’apprécie pas, il est gentil. Mais je le trouve très bizarre mais ce n’est pas un secret je lui ai déjà dit.

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Henora_mac_artney

Hénora sursauta quand elle entendit son nom prononcé d'une douce voix féminine. Elle se retourna et sourit à la bordelaise qu'elle appréciait. La seule même pouvait elle dire depuis que là bas ils en avaient fait " l'affameuse du peuple" Titre dont elle était très fière même s'il était galvaudé ou alors le peuple était très petit.

Bonjour Dame Aiguemarine.Vous allez bien ? Oui je veux bien, c'est un peu nouveau pour moi tout ça et je me sens un peu perdue. Peut être pourriez vous m'expliquer. D'habitude c'est Eden mais là elle est un peu trop occupée.

Une bise déposée sur la joue de sa soeur et le Chardon entraine la brune vers les sièges. Elle se dit que le premier rang doit être pour la famille alors elle y prend place parce qu'elle ne veut rien rater. C'est alors qu'elle vit Xyt, elle lui fit un grand sourire en lui faisant signe de venir.

Et un bonsoir lui vrilla les oreilles le tueur de taupes est dans la place. Petite moue puis elle sourit de nouveau a Aigue.
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Xytllali

Depuis plusieurs jours, la fatigue avait eu raison d'elle. Allant en taverne le soir, sans y être vraiment, faisant des microsiestes lorsqu'on lui parlait d'une histoire de taupe et de nains qui couinent, histoire à laquelle elle n'avait toujours rien compris d'ailleurs et elle ne cherchait pas vraiment à la comprendre. Bref toujours cette bizarre sensation qu'il y avait toujours "le lait sur le feu" . C'est donc au dernier moment qu'elle se prépara, genre à l'emporte pièce pour avoir un minimum de tenue, car elle devait déjà être en retard.

Elle se hâta de rejoindre la salle du château qu'on lui avait indiquer. Elle finit par trouver le bon endroit et entra discrètement. Elle balaya la salle de son regard et vit Heno déjà sur place. Elle semblait aussi mal à l'aise qu'elle dans ce genre d'endroit. Comme tous ces derniers jours, elle jouera le mutisme en hochant la tête parfois...ça le faisait bien parfois...genre on écoute et on comprend et on est d'accord avec tout.

Elle salua d'un signe de tête les personnes présentes et se rapprocha des gens que'elle connaissait, peu en somme.
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Aiguemarine

"Viens stp"...

C'était les 2 seuls mots que la Brune avait retenue de la dernière missive d'Eden.
Le temps d'enfiler une Tenue de circonstance & l'Italienne Médecin prit la route, seule, vers l'Armagnac & Comminges.
Pendant tout le trajet, ses pensées ne cessèrent de s'envoler vers son époux, retenu encore & encore au Monastère.
Par 'Stote, comme il lui manquait, mais Aiguemarine se devait d'aller de l'avant. Pour elle, avant tout. & l'annoblissement de la Lady ne pourrait que lui faire du bien au moral.

Pénétrant dans la salle du Trône du Castel Comtal, Aiguemarine esquissa un léger sourire.
Au loin, elle reconnut Sakurahime, en pleine discussion.
Saku, le Bourbonnais-Auvergne...Les terres de Sarliève. Depuis combien de temps n'avait'elle pas correspondu avec sa Suzeraine ?!...Trop ! bien trop ! Il faudrait y remédier d'ailleurs & reprendre en main la gestion des terres confiées à son époux.

Henora, l'autre Ecossaise était là aussi.
Aussi à l'aise qu'un poisson ayant sauté hors de son bocal.
Faisant un petit signe de la main à Eden afin de lui signaler sa présence, Aiguemarine se fraya un chemin vers "la Violette".

"Le bonjour Henora. Puis je me joindre à vous ?!"...
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"Non, mais allo quoi !! T'es noble & t'arbores pas ton blason ?"
"Ca vienttttttttttt bientôt !"

Pazapa

Avant d'entrer et dire bonsoir, Paz se promenait aux abords de ce lieu à la recherche d'un moulin. Il est vrai que depuis qu'il avait quitté Mauléon, le crissement de la farine sous la meule lui manquait.
Il avait vu au loin les immenses ailes d'un moulin se découper dans le ciel crépusculaire. Et alors qu'il avançait à travers champs, il entendit une musique qui parvenait à ses oreilles comme une litanie. Il décida de bifurquer et se retrouva face à une immense bâtisse éclairée comme un soir de fête.
Il s'approcha du perron, monta les marches et poussa la porte entrouverte.

"Y a quelqu'un?"

Personne ne répondit. Alors il décida de s'engouffrer dans le vestibule et suivi le long couloir qui menait vers une grande salle d'où se déversait la musique.
Quand il fut sur le seuil, il vit une multitude de personnes qui se pressaient comme pour un évènement exceptionnel. Il chercha du regard un visage ami, quand il découvrit Eden...
Elle portait une robe magnifique pareille à un écrin de velours, mettant en évidence et en valeur des yeux et un visage......
Déglutissant avec peine, il lâcha un:

"Bonsoir...."

Henora_mac_artney

Et voilà qu'elle était embarquée dans une nouvelle aventure. Point de chevaux grévistes, ni de chevauchées folles. Juste fallait y aller fissa parce que les invitations officielles genre trois semaines à l'avance que tu as le temps de te préparer, choisir la tenue tout ça, ici ils savent pas faire.

Enfin elles sont écossaises alors forcément elles sont resplendissantes a l'instant T. Et c'est presque trainée par sa soeur que Mini Picte se retrouve elle n'a aucune idée où sauf que c'est grand et que c'est beau et peuplé d'inconnus.

Et sa soeur qui faisait des courbettes... Hénora la regarda faire ne sachant si elle devait à son tour en faire, aller s'asseoir, rester là, dire un truc ou pas. Ce genre de choses elle maitrisait pas.

Donner lui un portier à tuer ça elle savait mais là au milieu de ces gens bien mis ça ferait un peu désordre même en hommage à sa princesse barbare.
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Pazapa

Bonsoir...

Lady_eden

Bien sur on l'avait prévenue à la dernière minute, bien sur la blonde adorait la faire virer chèvre, bien sur sa robe était pas prête, bien sur la brune était a bout de nerfs quand un page vient la chercher.
Limite le gus était mieux habillé qu'elle!
Bon limite hein, Eden avait la classe naturelle des écossaises mondialement reconnue!
Comment ça non? Si! je vous le dis!
Arrangeant une dernière fois son tartan, attrapant sa bourse et sa sœur, les deux allant de pair, la Picte suivit le garde.

Devant la salle elle inspira profondément, voila on y était...pour une fois elle avait accepté de servir une Suzeraine, mais Firielle était spéciale et bien plus que cela.
La blonde avait l'humour et le caractère, la franchise et le mordant nécessaires pour que l'écossaise l’apprécie et la respecte.

Au bras de la violette qui pipait pas mot, la Lady s'avança saluant d'une gracieuse révérence réservée aux très grandes occasions.

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Rhiana

Na mais c'était pas possible, Eden , elle avait revêtu sa robe couleur de son ordre bleu et or
La calèche des Hasselt s'arrêta devant le lieux dit et elle prit son fils Philippes par la main
Des têtes connues d'autre non, mais elle vit eden et s'approcha d'elle

Bonjour Eden comment vas-tu?

Elle la sera dans ses bras puis reprit la main de son fils

Eh bien, si on m'avait dit un jour que je serais convier par toi pour ton anoblissement, félicitation ma belle , je suis très heureuse pour toi

Elle regarde ou elle peut prendre place avec son fils pour pas déranger la cérémonie, un enfant est un enfant
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Sakurahime

A elle seule, Firielle allait très certainement refaire la carte de la noblesse d'Armagnac!
Trois cérémonies en un seul mois, voila qui battait un record, mais question record, elle était habituée avec la famille Castel Vilar.
Personne n'avait encore égalé les cérémonies à rallonge que le vieil homme lui avait fait faire, et elle ne s'en plaignait pas!

La pièce fut rapidement prête, mais cette fois-ci, elle n'attaqua pas le buffet, il n'y avait plus besoin.
Son ventre était repris sa taille normale à peu de choses près, seule sa poitrine très volumineuse témoignait de sa grossesse à peine achevée.
Un autre témoignage de son accouchement rocambolesque était les écorchures, égratignures et très nombreuses coupures qui striaient l'intégralité de son corps, et une partie de son visage.
Abimée elle l'était, et pas qu'un peu, mais l'histoire n'était pas l'intérêt du jour, et si frais, constituait encore un des pires souvenirs de sa vie. Un des jours les plus beaux et le plus cauchemardesque à la fois...

Chassant ses pensées moroses pour en revenir au doux souvenirs de ses deux chérubins qui l'attendaient avec sa fille dans la petite maison dont elle avait fait l'acquisition, elle attendit l'arrivée de Firielle et de l'héroïne du jour.
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Firielle

Voyant Blanche préparer à nouveau la salle du trône pour anoblir une personne, Firielle vint la voir pour la féliciter.

Bonjour Blanche,

Nous voici à nouveau réuni. Je tiens à vous féliciter pour votre enfant. J'espère qu'il n'y a pas eu de complication. Vous auriez du penser à vous reposer, vous êtes une femme très active, mais quand même.

Firielle ne dit mot un instant et appela un serviteur qui amena un coffret contenant un diadème serti de pierres précieuses.

Tenez Blanche, c'est pour votre enfant, j'ai cru comprendre que c'était une petite fille. J'espère que cela lui plaira.

La Comtesse lui remit le coffret.

Et permettez moi de vous faire une confidence, je suis enceinte à mon tour.
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Riwenn

C'est un oiseau, c'est un avion (c'est quoi ce truc ?), non ! c'est super Riri !

Ce super-héros n'estait pas là par hasard. Il venait assister à l'anoblissement d'une nouvelle vassale, mesme si cela demeurait par alliance, Eden serait tout autant la vassale de Fifi que la sienne.

La future noble ne semblait pas encor présente, néanmoins le vieil homme put pénétrer les lieux de la salle du trosne et se retrouvait déjà en fort bonne compagnie.

Adishatz amòr, adishatz Blanche les salua-t-il avant de donner un chaste baiser à son épousée et de se rapprocher de Sakurahime pour lui glisser quelques mots à l'oreille.

J'ai appris pour vostre progéniture, toutes mes félicitations. Mesme si à vous voir cela dut représenter une gigantesque bataille.Il ne manque pas d'ajouter J'espère que Firielle n'aura pas autant de mal à mettre au monde nostre prochain enfant...

Et de sourire, tout content d'avoir mis au courant de façon implicite son héraut d'amie.

Encor une date à marquer dans les annales des Castel Vilar ! parlait-il de l'anoblissement du jorn ou de la nouvelle qu'il venait de communiquer au Maréchal d'armes ? telle estait la question !

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Héraldique européenne

Acar

Ainsi fait, la route blanche n'avait point fondue... Du Béarn en Armagnac, le blanc devenait couleur locale...

L'anoblissement d'une amie dans une terre amie, voila qui sonnait bien. Ainsi, les de Ventoux arrivèrent, pour ce fait.

Prestement, ils sortirent du carrosse pour intesgrer les hauts murs...

Et de chercher une teste couronnée...
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Zeze5

Le couple de bohémiens allaient embarquer sur le "Romané Chavé" bateau au combien mythique puisque il était le premier bateau gitan. La route du Rom se ferait désormais le plus souvent par la mer. Mais l'embarquement serait repoussé, une missive était arrivée.

Très chere marraine!

Voila je saute le pas..je ...vienssssssssssssssssssss avec parrain

je vous aime

Eden

Et voilà comment leur filleule leur faisait savoir qu'elle les voulait à ses cotés ... mais bon sang pour quoi ?! ... telle était la question qu'ils se posaient en prenant la route, mais quelle route ?! ... telle était la deuxième question.
La seule solution pour le savoir avait été d'attacher un fil à la patte du pigeon messager de Eden ... fil attaché à la carriole et de le suivre. Il finirait bien par retrouver sa maîtresse.

Le voyage avait été quelque peu étrange. Le pigeon allait bien dans une direction, mais n'étant pas habituer à avoir un lien, passait le plus clair de son temps sur le toit de la carriole tentant un combat morale avec les gitans qui devaient attendre que l'emplumé veuille bien reprendre sa route aérienne.
De ce combat, les bohémiens sont vainqueurs puisqu'ils arrivent à temps.

En entrant dans la salle, ils pensent que le pigeon avait fait une erreur de route. Ils se pensaient en Armagnac et Comminges et les voilà en Bourbonnais-Auvergne puisque la première personne qu'ils voient est Sakurahime, qu'ils saluent d'un signe de tête. Puis c'est Aiguemarine et Ledzeppelin , du coup le couple de gitans n'étaient plus vraiment sûr d'être en BA.

- Bonjour Aigue et bonjour Led, contente de vous voir toute les deux ! Vous pouvez nous dire pourquoi nous sommes tous ici ? Eden nous a demandé d'être là, mais nous n'en savons pas la raison !!

Eden était seule au centre de la pièce, saluant tour à tour ses invités.
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Hog

Atteins du syndrome de paresse procrastinative aigue , l'irlandais avait bien failli manquer la fête. Tenant sur son canasson par un jeu d’équilibre qui tenait du miracle, il avait eu juste le temps de finir de se mettre sur son trente et un.
C'est a triple galop qu'il arriva devant la porte principale cherchant a s''arrêter au plus prés.

Nom d'une banshee aphone un soir d'été, comment on arrête ce trucccccc!!

Il s’accrocha a l'encolure avant de passer cul par dessus la tête du bestiau quand il freina de lui même des quatre fers. Pendu le bras aux rênes, il pestait et râlait comme jamais.

Grrrrrrrrrr toi tu perd rien pour attendre!!!

Il s'engouffra au plus vite dans le château sans demander son reste. Courant dans tout les sens, il scrutait toute les pièces du château pour trouver la bonne, pour finalement arriver la ou tout semblait se passer.
L’arrivée fut disons légèrement fracassante, on est le Hog ou on ne l'est pas après tout, que les regards se tournèrent vers lui un bref instant .
Lâchant dans un léger murmure...faites comme ci jetait pas la... et c'est le plus discrètement du monde que Hog s'approchant de celle qui était le centre de toutes les attention ce jour la.

Avoue que tu a eu peur que je ne vienne pas!
Jamais j'aurai pu manquer ça!

Sourire éclatant et charmeur, essayant de faire oublier son retard.

En fait si j'ai prit un peu mon temps, c'est a cause de ce fichu tréteau sur pattes qui confond la marche avant de l’arrière...a moins que ce soit moi cette fois. Mais surtout, c'est a cause de ceci...

Il sortit délicatement un bouton de rose blanche qu'il accrocha comme il pu a sa robe avant de lui déposer un baiser sur sa joue fardée d'une émotion qu'il lui connaissait bien.

Si tu savait comme ton frère est fier de toi...

Un clin d'oeil et glissant sa main dans celle de xyt sans dire un mot.
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Un homme de caractère n'a pas bon caractère.

Aiguemarine

C’est un ami de ma sœur et c’est pas que je l’apprécie pas, il est gentil. Mais je le trouve très bizarre mais ce n’est pas un secret je lui ai déjà dit.

Un hochement de tête.
Qu'entendait'elle par "très bizarre" ?! Jusqu'ici, Aiguemarine n'en savait rien.
Ce point serait à aborder à la fin de la cérémonie...peut-être.
Le monde affluait dans la salle du Trône & l'Italienne n'était plus habituée.
Depuis des mois désormais, elle n'avait plus bougée de Bordeaux & encore moins assistée à sauteries de ce genre.
Un sentiment étrange s'empara d'elle, doucement...
Sentiment qui s'estompa doucement par l'arrivée de Dona Ledzeppelin.
Quelques souvenirs bien enfouis au fond d'elle même ressurgirent & tel un songe, des visages éthérés lui apparurent : Sindbad, Pachillou, le Roi Vonafred.

Aiguemarine se leva doucement & fit face à la Comtesse Provençale.

« Dona Led, vous ici ?!...Diantre, que le monde est petit. Léger sourire.
Heureuse aussi de vous revoir depuis le temps.
Je me porte bien, merci & vous ?! »

Rapidement, Led lui présenta son frère auquel elle adressa un salut & un sourire.

« Le bon jour Messer Alejandro. Ravie de vous rencontrer ».

Puis, son regard azur se posa sur eux deux.
Un peu de compagnie ne lui nuirait pas, même si la présence d'Henora la satisfaisait déjà.
& alors qu'elle allait leur proposer de se joindre à eux pour le restant de la cérémonie qui n'avait encore pas débutée qu'un couple fort connu d'elle pénétra en la salle.
Aiguemarine fit quelques pas en direction de Zeze & Sandino puis leur fit une accolade.
A la question de la Bohémienne, l'Italienne fût bien embêtée.
Etait'elle la seule « proche » sans l'être au quotidien à savoir ce qui se tramait ?!
Aiguemarine estimait que ce n'était point à elle de leur annoncer la nouvelle de cet annoblissement.
Aussi, & sur un air amusé, répondit ceci à Zeze :

« Je crois que ta douce filleule a eue l'envie de faire une réunion de vieux croûtons ! Sinon, comment allez vous, tous les 2 ?! »

Un bruit sourd lui fit tourner la tête. Oh, tiens...un Hog.
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"Non, mais allo quoi !! T'es noble & t'arbores pas ton blason ?"
"Ca vienttttttttttt bientôt !"

Anastael

Il venait d'apprendre la nouvelle. Eden anoblie!!! Sa lady entrant dans l'aristocratie!!! Quelle nouvelle!!! S'il connaissait une personne qui méritait amplement un titre de noblesse depuis des années, c'était bien elle! Toutefois le fait que l'évènement arrive enfin lui faisait tout drôle...
Et puis c'était à la dernière minute qu'elle le prévenait... Il était sûr d'être en retard du coup... Et puis quelle tenue porter en telle circonstance?

Il se dépêcha de mettre l'un de ses plus beau pourpoint, enfila ses grandes bottes usagées par tant de voyages (il n'avait que celles-ci), mit son baudrier et fila à la cérémonie.

Il fut soulagé de voir que celle-ci n'avait pas encore commencé. Il salua d'abord les personnes qu'il connaissait, ses compagnons de route, Dame Vyrgule la mairesse de Mauléon, le seigneur Acar aux côtés duquel il avait guerroyé pour la défense du Béarn et de l'Armagnac quelques mois auparavant, et enfin les autres présents en faisant bien attention d'être le plus courtois possible ne sachant pas bien à qui il avait affaire.
Enfin il alla faire une petite courbette devant Eden : "Votre seigneurie...", avant d'éclater de rire et de lui faire deux gros bisous sur les joues.

Félicitation ma belle! Je suis vraiment heureux pour toi, tu le mérites tellement!

Melian

Répondant à l'invitation de Dame Lady Eden, les Ventoux s'étaient donc libérés et avaient pris la route jusqu'au Château de la province amie voisine. Melian n'avait pu s'empêcher de se dire que cela faisait de bien fréquentes visites ces temps derniers. Fallait-il y voir un signe ?

Toujours est-il qu'elle entra au bras de son époux dans sa robe à tassel verte doublée de fourrure, histoire de ne pas prendre froid. De son bras libre, elle portait Annabelle, bientôt deux mois, bien emmitouflée. Suivaient ses dames de compagnie, Louison et Agathe, qui tenaient pour l'une Olivier, cinq ans, et pour l'autre les jumeaux Philippe et Cateline, bientôt quatre ans.

La mesnie venue en force donc laissa son chef aller s'enquérir de la suite des événements, tandis que la Ventoux attendait avec sa suite et ses bébés adorés.
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Lady_eden

A peine le temps de glisser quelques mots à sa fillote que le couple Comtal fit son entrée, Erasme étrangement semblait perdu dans cette salle qui lui était pourtant familière, et dévisageait les dames présentes d'une manière très bizarre.
Avait il abusé de l'armagnac avant de venir?
Certes Abrie ne l'aurait point permis, mais avec lui on pouvait s'attendre à tout...même qu'il parle de mariage....
Il perdait rien pour attendre le moustachu...

Son cher ami Acar suivait de près avec Dame Mélian, resplendissante dans sa robe verte,les enfants et leurs gouvernantes, le petit Andreï et le petit Philippe allaient avoir de la compagnie, la brune les salua d'un signe discret avant de se figer voyant sa marraine et son parrain adorés.

Inquiète elle vérifia si Sandi n'était point venu avec les 500 cierges Florentins que son ex mari avait promis d'acheter, et elle croisa les doigts que le gitan ait oublié ce désastreux mariage, mais surtout l'affront de pas lui avoir demandé permission avant.
Un frisson la parcourut à l'idée qu'il pourrait la fesser en public...
Zézé et le buffet garni devraient pouvoir distraire Sandino si jamais des envies belliqueuses lui arrivaient...

Sa marraine près d'Aigue lui laissa un petit répit.
Pas long....

Hogan toujours discret venait de faire son entrée...fracassante...c'était son frangin quoi tout dans la démesure...
En quelques pas, oui Hog est fort grand, il fut près d'elle, quelques mots adorable, sa fleur préféré, il avait pensé a tout.
Ils allaient finir pas la faire pleurer là, puis se taper la honte devant tout le monde avec toute cette gentillesse, marde quoi!
Princesse barbare on avait dit!
Qui a dit barbante??

Dans le tourbillon des arrivés le bel Ana arriva lui aussi à ses cotés, toujours adorable et souriant...ah Ana...depuis toujours a ses cotés, comme le reste de sa famille, fidèle et de bon conseil.
Elle ne serait pas là sans eux, ce titre tous le méritaient autant qu'elle, comme elle le partagerait avec eux.
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Henora_mac_artney

Le monde continuait d'affluer et Hénora se sentait de plus en plus perdue. Des connus, des inconnus, commençait à y avoir du beau linge. Les dames rivalisaient par leurs tenues et après le salut à sa soeur convergeaient toutes vers Aigue. Du coup Héno en profita pour s'éclipser après avoir prévenue sa voisine.

Au passage elle salua Vyrgule. Elle l'aimait bien, l'était marrante la maire de Mauléon, où elle aménagerait bientôt. Elle salua Hog et Ana qui venaient d’arriver. Elle se dirigea vers le fond de la salle et rejoint Marie qu'elle embrassa , contente de la retrouver.

Tu vas bien ma belle ? T’as pas amené ta copine ? Et le beau Johann il est arrivé en AC ou pas encore. ? Jsuis ravie de te revoir et qu’on habite pas très loin bientôt.

Aphy était installée plus loin et elle entraina l’Infernale pour les présenter. Fallait bien commencer par quelqu’un et autant rapprocher ceux qui connaissent pas ou osent pâs. Elle fit un grand sourire à la Béarnaise.

Aphy, ma Cacqueuteuze préférée, je suis ravie que vous soyez venue pour ma sœur, elle vous apprécie beaucoup, vous savez. Elle sera heureuse de vous voir tout à l’heure. Je vous présente Marie, qui est une amie de Saumur qui envisage de s’installer dans le Sud. Marie, Aphy, Cac du Béarn.

Les regardant se saluer, elle leur proposa d’aller rejoindre les autres, elles connaissaient déjà Hog, Xyt et Ana, ca ferait un peu de compagnie pour tout le monde.
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Pazapa

Paz regardait tout ce beau monde. Des dames parées des plus beaux atours, et des hommes dont les tenues avaient du mal à ne pas froufrouter. Des parfums à faire tourner la tête et des couleurs à faire verdir un caméléon.
Il se sentait un peu comme...comme....pas à sa place, lui le meunier devenu soldat.
Il fit un signe à Lady Eden lorsque celle-ci passa son regard sur lui.
Il aperçut Henora près de sa sœur qui regardait autour d'elle l'air un peu perdu, Hog le styliste qui venait d'arriver, la mairesse de Mauléon qu'il avait vu une fois de loin.
Il avait envie de sortir, repartir à la quête d'un moulin mais il ne pouvait le faire.

Gilda.

Marieladamnee

Bea06

Josselin

Zeze5

Marggie de la Biteaubec , incarné par Gilda.

Henora_mac_artney

Aphykit

Sandino

Lady_eden

Sandino

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

Henora_mac_artney

Lady_eden

Zeze5

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

Le doigt de l’impétrante de la soirée se pointa, accusateur, sur la petite vieille déguisée.
Par réflexe, Gilda se retourna pour voir si personne ne se cachait derrière elle.

Non, c’était bien elle qui voulait épouser Gondooloooooooo !

Dans l’absolu, elle n’avait rien contre ... Un mariage à son âge était inespéré, mais elle aurait aimé apprécier quelques qualités de son futur mari à savoir et dans l’ordre :
- Sa virilité, elle aimait que le matériel soit conséquent et fonctionne à la demande.
- Son âge, elle n’aimait pas les vieux et passé 30 ans, les hommes perdaient rapidement de leur saveur aux yeux de Mémé.
- Sa fortune car elle savait depuis longtemps que les écus aidaient considérablement au bonheur du couple …

Elle fit donc un pas en avant espérant qu’on lui présenta son promis.

Enjoy

Entre ciel et terre, entre nuit et jour. Une chevauchée hâtive, une monture fourbue, une destination plus ou moins connue. L'Armagnac, le Sud et ses terres maintes fois écumées. Il y avait un air de nostalgie, de souvenirs juvéniles. Comme si le destin s'amusait à remonter la boîte du temps. Le souffle glacial de la bise embrasse son visage, s'insinue dans les moindres parcelles de ses vêtements. Sa tenue classique. Noir sur noir. Une teinte de rouge, histoire de ne pas paraître trop lugubre.

L'invitation claque encore dans l'air. Mesquine, légèrement. L'italienne était encore pucelle des cérémonies du genre. Et les fréquentations nobliaires n'étaient pas réellement un distraction. Plutôt un chemin de croix. Les lieues se firent avaler d'une traite ou presque. Une halte ou deux, un changement de canasson, une remise en route. Bientôt le Castel pointa le bout de sa couronne de pierre, la Lionne se laissa glisser sur le flanc de l'animal. Flattant son encolure pour service rendu. Elle pénétra dans la bâtisse, sans gêne. La dernière fois qu'elle eut été conviée à un événement de sang bleu, ce fut aux côtés du Feu Roy Eusaias et de quelques pairs de France... Pas vraiment un bon souvenir quand on y songe.

Son regard sombre scrute les forces en présence, prenant ses distances avec le reste de la cour. Un peu comme une bête sauvage se terre dans l'obscurité ou dans un recoin. Prête à grogner, à montrer les crocs si l'imprudent vient la tenter. La Bella donna se fera sociable plus tard. Pour l'instant, elle reste cloîtrer dans son expectative, dans son attente. Profondément silencieuse. Un geste, une preuve de politesse suite à une demande des plus courtoises.

Sandino

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Complice de toujours du bohémien, Zézé fait son entrée dans la scène de famille en se faisant la protectrice de la future victime qui a entre temps reçut le soutien d’une jeune fille qui lui tient la main.

Parfaite inconnue pour Sandino, il fixe un instant la chevelure aux reflets mauve de la jeune fille pendant que sa compagne gronde, quand au moment où il va réagir à la provocation, entre en scène la personne qu’Eden pensait pouvoir se servir pour le faire dévier de son but.

Déstabilisé par l’irruption de l’invitée surprise dans l’affaire en cours, le bohémien la détaille en la regardant approcher, puis s’exclame.

- Mamma mia !! ché paura !! quelle peur !! j’ai cru à l’attaque d’une dinde géante de Boulgravie !!

De nouveau face à Zézé qui fait rempart de son corps, il lui fait remarquer que la vieille ressemble à une cardinale du BA bien connue et profite que cette dernière regarde la femme pour foncer sur Eden, la jeter sur son épaule et partir le plus vite possible avec son fardeau, tenant de sa main libre celle de la fille aux cheveux mauve laquelle n’a pas réussi à l’empêcher de se saisir de sa grande sœur.
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Henora_mac_artney

Italie1Ecosse1

La donne changea en une seconde puis encore et encore. Décidément c'était journée revirements de situations mais personne lui piquerait sa soeur. Non mais ils avaient crus que c'était une ado banale qui s'extasiait devant les troubadours à la mode en criant " patricccccck".

Que nenni la violette la seule chose qu'elle crie c'est Eden en signe de protestation et d'indignation. Et le geste de la mise sur l'épaule déstabilise le bras du chardon qui se hisse sur la pointe de sa botte pour pas lacher la main de sa soeur. Mais l'accélération entraine une chute en avant irrémédiable de la mini picte.

Et la voilà qui en tombant s'accroche aux braies du parrain ce qui entraine undéséquilibre de l'ensemble.

Les regards vers eux sont médusés et Hénora espère que sa soeur lui en voudra pas. Elle avait promis pas de bêtises et voilà qu'elle se retrouvait au sol, les mains accrochées à des braies et pas n'importe lesquelles celles de son parrain, son Dieu...

Elle lacha tout et se releva rapidement pour tendre sa main vers l'homme et lui dire

Hénora, enchantée

Avec un peu de chance ça noiera le poisson...
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Lanceline

- Ma Dame.

La Balafrée tourna la tête, se détachant de la ruelle en contrebas. Elle ôta sa main du cadre de la fenêtre, avant de faire tout à fait face à Suzane.

- Une lettre vient d'arriver.

Citation:

Ma fiancée!

Ce jour ne saurait être sans toi!

Je t'attends....

Eden

Sourire de la Valdesti.

La route de Guyenne jusque l'Armagnac était longue. La servante contemplait, embêtée, sa maîtresse qui dormait en face d'elle tandis que Gabriel s'agitait dans ses bras à elle. Et pourtant elle n'osait pas la réveiller. Suzane avait été très claire : à chaque moment où la Dame dormait, nul ne devait la perturber sous peine d'avoir à faire à la gouvernante. Et elle ne plaisantait pas, la bougresse.

Toutefois, lorsqu'ils furent arrivés, il fallait bien qu'elle émerge...

- Pssst !

Et elle dormait si bien, la Blonde. Trop bien.

- Pssssst ! Vous êtes arrivée !
- Encore un peu...
- Madame ! Vous êtes en Armagnac !
- Eusaias attendra bien encore un peu...
- Eusaias ?!

Elle se redressa. Eusaias ?! Mais, il était mort et enterré, celui-là ! -Arnaut aussi, d'ailleurs.- Se rappelant que c'était pour Eden, elle acquiesça, avant de se passer une main dans les cheveux. Remettant ses mèches en place -non, non, pas sa perruque, elle n'était pas encore SI vieille- elle s'assura d'un bref coup d’œil que son fils allait bien. Sortant de la voiture, Gaspard lui ayant ouvert la porte, elle prit le temps de déplisser sa robe.
Et puis elle prit son fils contre elle, avant d'entrer, enfin. Son fils, sa dernière bouée pour lui éviter de se retrouver noyée dans cette marée humaine.
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Lady_eden

Le chamboule tout vous connaissez? oui?
Mais à la sauce Italo Écossaise je suis sure que non!

Alors pour une cérémonie réussie voir inoubliable!
Vous prenez un trait de gitan Vénitien complétement siphonné façon Spritz
Une double dose de mini Picte pur malt accrochée aux culottes du 1er
Un zeste de vieille rousse qui sent pas la rose
Et vous finissez par une tranche de Lady à vif.
Secouez le tout.

...

Plus fort!!!

Et admirez la tête des invités éberlués....

Alorssssssssssssssssssss on dit merci qui?????? Hmm????

La tête de la brunette avait glissé sous les jupes de la vioc, après le choc de l’enlèvement, la main a demi arrachée par mini bulot qui s’agrippait, la chute contre le parquet, bah oui Sandi était quand même assez haut, ouvrir les yeux et se trouver nez à mollets grêles et poilus de la béarnaise qui cherchait son Vénitien potentiel futur fiancé, ça achève.
Après les étoiles, les lapins et autres trucs imaginaires la brune en plein trip post traumatique entendait une
drôle de musique
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Marieladamnee

Marie assistait à la scène avec amusement. Finalement le premier rang avait du bon, de là bas au fond elle n'aurait rien vu du spectacle ni de l'arrivée de la plus belle des italiennes.

Mais finissons avec la comédie d'abord. Des cris, de la fureur, un placage comme elle n'en avait plus vu depuis des années et vu la taille d'Hénora c'était spectaculaire. Elle avait envie de se lever et d'applaudir, c'était frais, divertissant... mais vu la tête des invités elle s'abstient. Se contentant de garder son sourire aux lèvres.

Elle se leva pour rejoindre la 3 ème écossaise. Elle ébouriffa les cheveux violets en passant en lui murmurant un " bien joué ", grimaça en voyant la Lady à l'ouest et pria pour que quelqu'un enlève la vieille chose pour que ce ne soit pas la première vision d'Eden à son réveil. Elle aimait les femmes mais là ça dépassait tout, c'était juste pas possible et puis argument imparable elle avait promis fidélité alors non elle ne pouvait pas toucher la vieille même pour la décaler de quelques mètres. Qui a dit qu'elle était de mauvaise foi. Elle pensa au corps gracile de sa byzantine et sourit plus fort puis revint sur terre le regard toujours porté sur l'ancètre et pris la fuite jusqu'à l'endroit d'ou Enjoy regardait le monde.

Une Star était invitée et on ne me l'a pas dit..

Elle sourit taquine à la brune avant de rajouter

Heureuse de te revoir. Je pense qu'Eden te dirait la même chose si elle était en état.
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Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

Alors qu’elle attendait, salive aux lèvres et entrejambe humide, l’arrivée de son futur amant italien, ses jupes se mirent à voler …

Stupeur !
Etonnement !

Voilà bien longtemps, trop longtemps, que quiconque n’était allé fouiller sous ses jupes ! Et plus longtemps encore qu’une femme n’avait joué l’exploratrice…

En toutes circonstances garder un air altier.
Ne jamais donner l’air d’être surprise.
Telles étaient les règles d’or d’une femme du monde.

Et si beaucoup en doutaient, Gilda était une femme du monde ! Du sien tout au moins …

Elle baissa la tête vers la jeune femme qui gisait entre ses jambes et lui tendit la main.

Promis, jeune fille … Je vous donnerai l’adresse de mon fabriquant de lingerie.

Mince, pensa-t-elle … Si j’avais su j’aurais mis une culotte propre !

Sakurahime

Ce fut un sourire quelque peu gêné qui naquit sur les lèvres de la Blanche en réponse au cadeau tendu.
La comtesse l'avait surprise, à ça oui, car elles ne se connaissaient que peu, même pas du tout, sauf ce que Riwenn pouvait dire de l'une ou de l'autre à l'une ou à l'autre.

Et bien en vérité, ce n'est pas tout à fait cela...
Je n'ai pas eu de fille, mais un garçon et ... il n'était pas seul.
J'ai eu des jumeaux qui dorment comme des bienheureux à l'Auberge du Château.

Un nouveau sourire, plus détendu.

Je vous remercie pour cette délicate attention Votre Grandeur, cela me touche énormément, même si je crains que l'un ou l'autre ne s'intéressent à l'objet que je ne puis donc accepter.
Votre sollicitude me va droit au coeur et je ne saurai l'oublier de sitôt.

Et c'était on ne peut plus sincère!!

Et vint alors une nouvelle, une de celles qui donnent toujours le sourire.

Et bien toutes mes félicitations! j'espère que votre grossesse se passera aussi bien que la mienne.
Comment vous portez-vous? point trop nauséeuse?

Et quant on parle maternité, le futur père fini toujours par se pointer, et Riri ne faisait pas exception.

Votre Grandeur!

Elle allait ajouter que les félicitations s'imposaient mais n'en eu pas le temps.

Plus qu'une bataille... vous n'avez pas idée... non difficile d'imaginer un truc pareil... mais merci beaucoup, je vous avoue avoir hâte d'aller les retrouver!

Elle n'eut pas le coeur de lui dire ouvertement qu'elle était déjà au courant de la nouvelle de sa future paternité.

Je vous l'espère, tant pour elle que pour vous! ajouta-t-elle d'un air malicieux.

Une femme entra, enfin plutôt deux.
A priori, elle le compris plus tard, la future ennoblie.

Puis les invités arrivèrent...
Elle pensait avoir ouvert des portes, mais en fait de portes, c'était des vannes qu'elle avait laissé béantes!
Les invités se succédaient sans discontinuer, en un flot impressionnant. Et c'était vrai que ça l'était, elle avait rarement vu autant d'invités pour une seule cérémonie!
Son oeil aguerri lui permit de reconnaitre Aigue, et une pointe de nostalgie qu'elle repoussa avec volonté l'étreignit à l'idée que dans quelques jours le BA serait loin derrière elle et pour de bon.
Il était bon de la revoir même si elles ne se connaissaient pas intimement.

Un autre visage connu apparu quelques minutes plus tard, celui de Zézé, la gitane, dont elle avait pu apprécier les contes et le talent.
Tout la ramenait au BA décidément, mais après tout, c'était logique.
Elle la salua d'un sourire appuyé et d'un signe de tête.

Erasme, enfin le Comte régnant, et son épouse, Abrie, avaient également fait le déplacement.

Elle répondit à son salut comme il se devait, d'une révérence courtoise - elle le pouvait à nouveau, et les laissa prendre place.
Les invités continuaient à entrer, et elle eu la pensée étrange que la prochaine fois, elle ferait prévoir plus de fauteuils.

Puis la situation lui échappa, si tant est qu'elle eu à un moment maitrisé les choses.
La borgne ne pu qu'assistée, médusée, à de drôles d'échanges, et autres glissades entrainant sans conteste une vue imparable et peut-être impayable - c'était à souhaiter - sur les dessous d'une vieille peau.
Laquelle aida la future noble à se relever.

Peut-être était-il temps de commencer, et tant pis pour les retardataires?

Dame Lady_Eden?
Etes-vous prête?
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Aphykit

Tohu-bohu en salle du trône, la situation était surréaliste, drôle, elle se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire, elle en aurait dansé tant elle trouvait la scène cocasse.
Elle dut se violenter pour rester concentrée, et garder son sérieux, paraître digne.
La tête de Mémé valait de l'or, elle paradait, resplendissait, brillait de mille feux. Un maître portraitiste aurait pu y découvrir toutes les facettes de la jubilation.

On assistait à l'avènement de Madame Sans-Gêne, au triomphe de la gouaille.
Enfin, elle continuait à se demander ce que Gilda faisait là, et pourquoi venir incognito.
Il faudrait qu'elle s'entretienne avec Mémé, un peu plus tard. Pour l'heure, elle se devait de faire bonne figure.
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Aiguemarine

Qui a dit qu'avec Eden, la vie était fade ?! Pas Aiguemarine en tous les cas.
Malheureusement ou heureusement, avant – tout dépend de quel côté l'on se place - qu'elle n'aie pu répondre à Zeze, le Sandino avait recouvré la parole.
& en grand « Comédian Del Arte » menaçait l'Ecossaise des pires sévices corporels.
Bon, bien qu'elle l'ai aussi un peu cherché hein en ne précisant rien au couple de gitans, il était hors de question de laisser le Vieil Italien lui faire sa fête en public.

Zeze l'avait bien compris, & s'était naturellement mise entre Sandino & Eden, hurlant à son tour contre son compagnon.

La Brune Italienne souriait, amusée par la situation.
Sauf qu'elle était très loin d'imaginer que Sandino veuille enlever sa filleule !
Nandidiou, mais keskilfaitlà ?!
Relevant légèrement le bas de sa splendide toilette & faisant signe à Zeze de la suivre, Aiguemarine se lança à la poursuite du vieux schnock en pestant comme toute bonne Italienne qui se respecte :

«* Sandiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinoooooooooooooooooooo !!! Stoooooooooooooooooop !!
Ma dove contavo tu andata vecchio mascalzone ?
Questo non è né un matrimonio, né una riunione di vecchi, ma un annoblissement di cui tua figlioccia è la principale attrice. Allora, riposi là per favore ! »

Quoi ?! L'es déjà à terre la Lady ?!
Ah ...ouais...
Léger moment de flottement.
Allez, on se reprend.

….

Oh, tiens une Lanceline qui pousse la porte de la salle du trône.
Un sourire & un léger signe de tête envers la Bordelaise.
Décidément, cet annoblissement était plein de surprises.
& Saku, enfin le Héraut qui lance les hostilités en s'enquerrant de savoir si la Lady était prête.
Assez cocasse tout ça.
Il devenait urgent de l'extirper de ses songes à la semi-Ecossaise.
Contre toute attente, ce fût la vieille peau qui semblait s'en charger.
A demi soulagée, Aiguemarine attendit de voir la suite des évènements.
Pour sûr, cet Annoblissement resterait parmi les meilleurs qu'il lui eût été permis d'assister.

* « Mais où comptais tu aller vieux chenapan ?
Ce n'est ni un mariage, ni une réunion de vieux, mais un annoblissement dont ta filleule est la principale actrice. Alors, reposes là s'il te plaît ! »
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"Non, mais allo quoi !! T'es noble & t'arbores pas ton blason ?"
"Ca vienttttttttttt bientôt !"

Acar

Une odeur familiesre... Un fumet qui lui en rappelle un autre.. Ailleurs...

Son nez s'ouvre, tout en desgageant la teste vers la dextre pour faire un signe à son aimée... "Je reviens".

Ainsi le tarin aesrien, la persistance se faisait. Forte, capricieuse, tendue.
Assuresment, ce fumet lui estait familier...

Saluant vivement de la main senestre ou d'une accolade, il avanscait de long en large pour se diriger... Iscelieu esmanait l'arosme, plus fortement... Une odeur de soupe.

Il pivota les espaulées et chercha le porteur de l'esffluve. Point elle... Point lui... Ni elle, ni lui.

Puis, plus la peine de chercher. Il venait de trouver, grasce à son nez... Et ses yeux n'en revenaient pas.
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Abriellyn

Elles se comptent sur les doigts d'une main les cérémonies en salle du trône où Abrie s'était rendue par envie. Et miracle, cette fois elle était même excitée à l'idée de s'y rendre. D'une parce que c'était encore une allégeance à Fifi, et par prolongement Riri. Et elle savait qu'avec eux l'action était au rendez vous. De deux parce qu'elle adorait Eden, cette jeune femme explosive l'avait conquise. D'ailleurs ne partageait-elles pas la place de tavernière ensemble? Et de ce fait le proprio? Abrie avait compris derechef qu'Eden voulait son moustachu et elle était prête à partager, vous dire si elle appréciait la jeune femme! Et de trois, parce qu'elle connaissait les buffets des Castel Vilar, c'était toujours une tuerie la bouffe chez eux. Et son mari vous dira qu'en ce moment la bouffe était limite ce qui la préoccupait le plus. Ils n'avaient point fait d'annonce, même au vioc et pourtant Eden avait deviné, à croire qu'elle avait des antennes pour voir au dedans des gens la vilaine.

Descendue du carrosse, elle réajusta sa coiffe et sa robe malmenées quelque peu par le voyage. Une main dans ses cheveux pour replacer ses boucles et la voilà qui cramponne le bras de son époux. Connaissant le castel comme leur poche, en moins de deux les voilà devant la salle du trône. Main dans celle de son mari, elle le suit. Plus à l'aise qu'elle dans ce genre d'événement. Elle sourit à la vu du monde déjà présent. Pratiquement que des têtes connues.

Bonjorn à tous. Heureuse de vous voir.

Abrie salua d'un signe de tête tout le monde, sauf la star du jour et sa soeurette qui furent gratifiées d'une bise affectueuse. Quand Era ouvrit la bouche, elle manqua de perdre une de ses machoires. La mariée? Etait-il devenu fou? Elle secoua discrètement Era, peut être que Riri s'était glissé dans ce corps et qu'il allait sortir. Puis amusée, elle décida de répondre.

Elle est devant toi chéri, on ne t'a pas prévenu que tu changeais d'épouse? Mais si on en a parlé l'autre soir tu te souviens?

Et la pas le temps de répondre que tout parti dans un bordel incommensurable. Les arrivées se firent limite par troupeau. Eden ensevelie sous les saluts, les accolades.. Elle allait tirer Erasme sur une chaise, c'est qu'elle commençait à avoir les jambes lourdes, pas facile d'être deux dans le même corps, quand un ouragan souleva Eden pour l'emmener vers d'autres cieux... Enfin en théorie parce qu'en pratique en moins de deux en plein milieu de la salle du trône il restait plus qu'un tas de bras et de jambes. Abrie pencha la tête essayant de savoir quelle partie de corps allait avec telle ou telle personne.. sans succès avant qu'Henora ne se relève.

Entendre parler en italien lui rappela nostalgique Octave et sa famille.. Parlaient-ils ainsi? Saku comme d'habitude remit tout le monde au pas. La situation était cocasse, demander si Eden était prête alors qu'elle avait la tête sous les jupons d'une dame, hum hum. Un sourire amusé sur les lèvres, elle se pencha vers son époux pour lui souffler:

Je crois que le couple de vioc va encore nous offrir une allégeance pleine de promesses. Si on allait s'asseoir je veux pas être dans le fond on verra rien du spectacle. Promis on repart avec Eden à Aussat après, t'auras tes deux femmes.

Taquine? Non si peu pas du tout le genre de la maison. Elle ponctua sa phrase d'un doux baiser sur ses lèvres. Après tout l'assemblée n'était pas particulièrement coincée bien au contraire, alors pourquoi se priver?

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Hog

L'agitation se faisait de plus en plus forte et hog du se résoudre a cesser un moment ses roucoulade avec sa brune. Remontant ses manches et le bas de ses braies pour se préparer a foncer dans la mêlée l'irlandais tel un taureau chargeant un troupeau de sorcières en furie se précipite vers le ce qui semblait être l’œil du cyclone.

Stoppé net par la vision les gesticulation transalpines de sandi et les écossaises les quatre fers en l'air, il ne pu réprimer un léger fou rire en voyant la scène et pensant a son arrivé quasi grand-guignolesque.

Et bien alors on s'amuse sans moi?

Saluer Sandi quand même et une bise a sa tendre

Comment va dieu ces temps ci?
Madame sa femme est resplendissante en tout les cas.
Heureux de vous revoir.

Un léger sourire narquois en direction de l'attroupement et faisant mine de prendre son élan...

Bon c'est celui qui en fait le plus tomber qui gagne?
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Un homme de caractère n'a pas bon caractère.

Sandino

Un peu sonné, étalé de tout son long, face contre terre, Sandino riait et grimaçait à la fois. Rapidement il avait pris la main que lui tendait l’adolescente à la chevelure mauve.

- piacere Hénora, moi c’est Sandino, on peut dire que c’est la chute de l’histoire cette fois, tu peux m’aider à me relever, c’est plus de mon âge ces jeux là.

Arrivé à la rescousse, Hog prête main forte à Hénora pour relever le bohémien qui grimace en se mettant sur ses jambes avant de faire une accolade chaleureuse à son ami.

- ha !! votre sainteté vous arrivez à point nommé, que serait un dieu sans l'aide de ses saints, merci d'aider le sacré à retrouver sa place dans cette mascarade, daï allons voir notre sainte patronne.

La main d’Hénora toujours dans la sienne le bohémien l’entraîne en direction de Zézé tout en lui parlant.

- Vieni con me picolina, on va laisser Eden faire face à ses engagements dont je pense avoir compris la nature, je suis le patriarche du clan gitan des Romané Chavé, nous sommes une grande famille et ta sœur Eden est des nôtres vu que bon nous sommes comme ses parents Zézé et moi, c’est bien ta sœur au fait ?… oui, ben dans ce cas tu es des nôtres aussi, enfin si tu le veux.

Arrivés devant Zézé, le bohémien la lui présente.

-fleur de bruyère voilà Zézé, la chef de la famille étant donné que moi je suis pas assez sérieux pour ça…s’adressant cette fois à la bohémienne…Quérida voilà Hénora la sorella d’Eden que je nous propose d’adopter.

Présentations faites, il leur fait signe qu’il faut maintenant faire silence et laisser la cérémonie se dérouler.
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Henora_mac_artney

La main dans celle du Dieu gitan elle suivit encore un peu sous le choc. Le poisson avait bien bu la tasse, mais était il bien noyé. Elle s'en tirait plutôt bien pour l'instant, sa soeur n'étant pas en état de la fesser devant tout le monde pour double crime de lèse-majesté et pour vision d'horreur. Enfin elle verrait ça plus tard pour l'instant elle se laissait entrainer vers l'épouse de Sandino dont Eden lui avait aussi déjà beaucoup parlé. L'adopter mais qu'est ce qu'ils avaient tous à vouloir l'adopter, déjà la douce Abrie voulait l'accueillir chez elle pour s'adapter à une vie de chateau mais dans le cas présent c'était somme toute assez logique la famille de l'une est la famille de l'autre. Et quand elle pense à sa famille en Ecosse elle se dit qu'après avoir changé de nom, elle peut bien changer de famille aussi.

Oui c'est bien ma soeur, par notre père même si je ne le connais pas et que nous l'avons appris il y a peu. Mais depuis qu'on se connait il y a toujours eu un truc spécial du coup ça s'explique.. Et j'en serais ravie, c'est déjà le cas par extension je suppose.

Le mélange Italo- écossais semblait plutôt reussi quand elle voyait sa soeur ou Enjoy alors l'idée la séduisait et parler italien avec son accent écossais ce serait trop fort pour courtiser les donzelles. Elle sourit à la Reyne Gitane quand il la lui présenta et tendit sa main disponible.

Enchantée de vous connaitre, Eden m'a beaucoup parlé de vous et de toutes vos qualités.

Elle en fait un peu trop ? Non si peu, puis bon c'est Hénora hein faut pas demander qu'elle fasse dans la demie mesure surtout après le spectacle offert même si le placage était plus une maladresse qu'une vraie volonté. Mais pour l'heure elle fait silence, écoutant déjà le patriarche. Hénora qui obéit comme ça ? Humm suspect... Un chardon qui ne pique pas est un chardon qui cogite... Et ça...
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Zeze5

Un moment de peur s'empare de Zézé en voyant le plaquage de son homme, c'est qu'il n'est plus très jeune son Sandino. Mais il se relève vite avec l'aide de Hénora et de Hog.
Zézé sourit au compliment de Hog et lui rend la bise qu'il lui fait, pas parce qu'elle la refusait , mais chez les gadjé fallait rendre une bise quand on t'en donnait une ... allez savoir pourquoi, les gitans eux garde tout et en donnent une autre.

- Ravie aussi de te revoir Hog !!

Puis c'est au tour des présentations de la championne de soule. Zézé regarde Hénora sans sourire, la fixe dans les yeux, fait le tour de la jeune fille en la détaillant de bas en haut et de haut en bas. Puis lui fait face.

- Hénora, tu entres ce jour dans la Kumpania ... la famille ! tu es bien jolie, tu feras le bonheur d'un homme du clan à qui tu devras soumission et respect. On va t'apprendre à cueillir des poules qui errent sur les routes, à fouiller les poches des gens sans te faire prendre ... enfin tout ce que doit savoir une fille du clan !!

Plus Zézé parlait et plus le visage de Hénora changeait, cherchant Eden d'un regard apeuré. La gitane éclate de rire.

- Je plaisante, Hénora !! être adoptée ne t'engage en rien, mais tu dois savoir que tu peux faire appel à nous à tout moment !!
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Lady_eden

La vue sur la culotte fendue était imprenable, la brune se dit tout de même qu'elle avait eu du bol que la vieille ne soit pas totalement nue sous sa robe sinon son pauvre cœur n'aurait pas résisté.
Mourir jeune aurait été la seule solution avant de finir comme ça..
Une main fripé s'agita soudain et une voix lui parvient lui causant chiffons...puis une autre plus sévère

Dame Lady_Eden?
Etes-vous prête?

La vielle était deux?? La mère de Queen était héraut???
Bon d'accord tous ses neurones ne font pas bien les connexions, le choc tout ça....le public comprendra.
Légèrement ébouriffée la future noble émergea de sous les jupes, regardant inquiète la rousse puis les gens autour.

Tout avait l'air normal, enfin presque, la dame à forte poitrine semblait l'attendre, Hog voulait jouer à la soule, Héno partie avec Sandi et ça c'était dangereux connaissant la folie des deux, Aigue agitait les bras et ohhhhh beurdel....Acar reniflait la vioc????
Les autres semblaient bien rigoler, plus ou moins discrètement, même Abrie!
Pour sur cela devenait le Cirque de la lune ce truc.

Se relevant tant bien que mal, le nez bouché, la houpe de travers, la natte en bataille, la brunette s’époussetait, tentant de retrouver un semblant de dignité quand, un malheur n'arrivant jamais seul, elle vit au fond les mèches blondes de Lanceline...
A ce moment là elle aurait bien replongé dans le giron de la maquerelle.

Line... sa fiancée par erreur, sa soirée au Lapin Rose mais Borgne, les ravages de l'alcool, le vol des bottes en peau d'anguille fumée, bref elle allait devoir expliquer cela a ses parents adoptifs et là....
Sandi allait piquer une crise qu'elle eut perdu les bottes...
La Picte croisa discrètement les doigts que la blonde ne raconte rien .. à personne....

Pas loin d'elle Marie faisait du plat à Enjoy qui avait pu se libérer, au pire les deux brigandes pourrait faire diversion si la brune devait s'enfuir à toutes jambes.

Pour l'heure elle se plaça devant Blanche et après avoir marmonné un merci a la dame rousse, elle respira a fond.

Je suis prête Dame...enfin...je crois....
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Sakurahime

La pauvre future vassale n'était pas à la noce, ou l'était trop, tout était question de point de vue et de dosage.
Non pas que la borgne n'avait pas vu sa situation, mais elle avait espéré que son intervention et le lancement des hostilités lui accorderaient un peu de répit.

Finalement, elle se retrouva sur ses deux jambes face à elle, tandis que Firielle s'installait à ses côtés.
Il était donc l'heure...

Je suis prête Dame...enfin...je crois....

Elle planta sa mirette dans celles de son interlocutrice et tenta de lui insuffler un message rassurant.

Détendez-vous, je serai là pour vous aider au besoin, et vous n'êtes pas seule je crois, dit-elle d'un air taquin.

Puis prenant ses caducées, elle en frappa le sol d'un coup sec et sonore, avant de prendre la parole pour son petit discours d'introduction bien rodé et chiant à souhait.

Nous allons procéder à l'anoblissement de Dame Lady Eden, selon la volonté de la Vicomtesse de Gimoez, Firielle de Castel Vilar de la Duranxie.
Celle-ci après que sa future vassale ait ployé genou devant elle, lui demandera si elle accepte de devenir sa féale femme.
La future ennoblie devra alors répondre par l'affirmative ou par la négative.

Si elle accepte, elle devra alors prêter allégeance à sa suzeraine, en lui promettant aide armée (auxilium), fidélité (obsequium) et conseil (consilium), qui sont les devoirs du vassal. Je précise que ces trois notions sont indispensables pour la validité du serment.

Puis la suzeraine répondra en retour au serment en assurant protection, justice et subsistance à sa vassale, qui sont également les trois notions essentielles à la bonne marche de l'ennoblissement.

Il n'y aura plus qu'à sceller l’allégeance par un baiser de paix ou une accolade vassalique et l'anoblissement sera valide dès le moment où j'aurai scellé le contreseing attestant de la cérémonie.

Je précise enfin qu'il s'agit là d'un anoblissement issu de mérite, et non de mérite. La future anoblie deviendra vassale de la couronne de Gimoez, non d'Armagnac et Comminges!

Elle adressa un sourire d'encouragement à la future noble.
Être anobli n'avait jamais tué personne, et c'était bien moins pire que de se retrouver à reluquer sans le vouloir les dessous peu glorieux d'une mère maquerelle sur le retour.

Dame Lady Eden, je vous à venir ployer le genou devant la Vicomtesse de Gimoez!

Avant de se tourner vers Firielle...

Vicomtesse, si vous désirez prendre la parole avant cela, nous vous écouterons avec plaisir, sinon, Dame Lady Eden, vous pourrez prononcer le serment qui vous liera à la Vicomtesse, si vous acceptez l'honneur qui vous est fait, bien entendu.
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Firielle

Firielle n'en croyait pas ses yeux, qui était tout ce monde qui défilait, c'était bien la première fois qu'autant de personnes se déplaçait pour un anoblissement.

Saku la remercia de son cadeau mais ne put le conserver, ce que la blonde comprit, elle ordonna à un valet de le récupére. Après tout, elle allait avoir un enfant elle aussi, peut être qu'une fille allait pointer le bout de son nez.

Blanche fit débuter la cérémonie et invita Firielle à prononcer quelques mots.

Chère Lady Eden,

Je t'ai connu à la fin de la guerre contre Eusaias le fol, même si tu es arrivée trop tard, ton courage et ta détermination à vouloir protéger l'Armagnac et les Comminges ne sont pas passés inaperçus à mes yeux.
Puis le temps a fait tourner la roue de vie, comme l'eau celles des moulins, et nous sommes restés en contact, voyant une amitié émerger.
D'autres de tes qualités ne m'ont pas laissé indifférente, tu es serviable, loyale et honorable, mais particulièrement tu es une amie.
Ce sont pour ces raisons que nous sommes réunis aujourd'hui pour t'anoblir.

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Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

Quand elle vit Acar, l’Usurpateur, s’approcher, gigotant du pif comme un gros cochon aux naseaux enivrés par l’odeur alléchante d’une truie en rut, elle s’éloigna un peu …

Le Régent du Béarn ne viendrait pas la déranger à sa première cérémonie d’allégeance !

Non, le gros verrat ne gâcherait pas l’intérêt tout particulier, presque entomologique, que suscitait en elle ce serment d’anoblissement.

Qu’est-ce qui pouvait bien pousser une personne normalement constituée à abdiquer une partie de son libre arbitre à une autre ?
Pour la vieille catin anarchiste, l’idée de poser le genou devant quiconque était tout bonnement inconcevable !
Ni Dieu, ni maître.

Elle attendait la suite avec impatience et souffrait déjà pour la gamine qui allait, aux yeux de la vieille, perdre une partie de son âme au moment où elle prononcerait ses vœux !

Lady_eden

Détendez-vous, je serai là pour vous aider au besoin, et vous n'êtes pas seule je crois

La brune fixait obstinément l'opulente poitrine comme pour effacer la vision précédente, raide comme un piquet planté dans la tourbe.

Détendez vous...facile à dire quand on a pas humé la culotte fendue d'une vieille excitée...pensa t elle en écoutant vaguement la suite de mots.
De toute des cérémonies comme ça elle en avait fait plein, toujours pour d'autres, à croire qu'on l'invitait exprès pour la faire bisquer.
Ou alors c'est parce qu'elle venait jamais seule et qu'il se passait toujours des trucs plus ou moins de mise...
Les gens devaient se refiler l'adresse de son pigeonnier, car la brune devait se fader régulièrement mariages, baptêmes, barmitzvah, enterrements, anoblissements, allégeances et autres fêtes de villages.
Bon comme elle était super polie et qu'elle s'assurait depuis Tayabrina que personne risquait d'accoucher, elle y allait, cornemuse dans sa besace et estomac vide pour faire honneur aux buffets.

Toute à ses pensées, explorant toujours des yeux le décolleté de la Blanche, elle sursauta quand:

Dame Lady Eden, je vous à venir ployer le genou devant la Vicomtesse de Gimoez!

Hein?????

Se mettre à genoux devant sa copine blonde, nan mais quelle idée...en public en plus, c'tte honte...Héno n'avait pas fini de se foutre de sa tronche...même devant Vona elle avait pas fait ça...

Beurdel comment elle fait pour avoir des seins pareils....se demandait l'écossaise toujours captivée.

Mais Fifi se lança dans un discours plus ou moins véridique ce qui la fit de nouveau sursauter.

Blablbla Je t'ai connu à la fin de la guerre contre Eusaias le fol, même si tu es arrivée trop tard

Heinnnnnnnnnnnnn Ahhhhh mais non je proteste!!!!!!! je n'étais pas en retard mais retenue!!!!!! Tout ça a cause de ce stupide petit Prince namaycruche!!!!!!!!
Il nous faut rétablir les faits!
La vérité historique na saurait être galvaudée!!!!!
Alors que je vous raconte.....nous sommes partis de Calais, oui de Calais, donc en bateau alors que vous avez une vigie Blond! oui madame blond! et un second Irlandais qui va plus vite à pied qu'a cheval hein bahhhhhhhhh forcement forcement ça prend du temps!
Et le temps était brumeux!
Ca aide pas donc on s'est perdus!
Maiiiiiis nous sommes arrivés à Bayonne!
Et là l'autre idiot a voulu nous prendre pour des jambons!

Là se souvenant de l'épisode la brune commençait a s’échauffer sérieusement prenant la vieille à témoin qui semblait jouer à cache cache avec le régent et arpentant la salle a grands pas en agitant les bras.

Déjà qu'on avait du voyager avec une Rozenn enceinte jusqu'au yeux! Menaçant d'accoucher à chaque vague!
Alors non c'est un le Pontoise qui allait nous casser les cornemuses çaaaaaaaaa NON!
Nous étions partis à 16 oui parce que de toute il n'y avait pas plus de places sur une cogue marchande hein, mais arrivant au port nous nous vîmes heu 500!!!!
Bon ok juste 22....m'enfin c'était un bon début!

Ajustant une mèche elle reprit devant une auditoire qu'elle imaginait suspendu à ses lèvres:

C'est là! oui là! qu'on nous dit faut protéger Bayonne, mais que le Béarn voulait pas nous agréer du fait que la Coms couchait avec le Carminpinpin qui lui voulait aps de nous alors qu'on était du même coté!
Je vous laisse apprecier l'intelligence du type...
Bref nous vaillants, pas super rassurés mais vaillants! on protège!
Notez entre temps que je recevais des lettres de dame Melian ici présente, qui peut donc confirmer mes dires, pour nous informer qu'on devait aller a Auch urgemment!
Oui mais traverser le Béarn, avec une armée Guyennoise sur les talons et un Namay enragé avouez que c'est point simple.

Effet de manches ....ménager le suspens...

Concertation, discutions et nous voila en chemin après avoir été forcés d'avaler moult moult tartes au citron de la capitaine Béarnaise afin de pouvoir la soudoyer qu'elle nous donne quand même le fameux macaron...
Voyez comment on était prêts a tous les sacrifices, même au péril de nos estomacs qui furent brulés au 12eme degré.....
Fort heureusement au cours de notre avancée discrète, Messer Varden récupéra le trône et nous une relative sécurité.
Et nous arrivâmes à Auch!!!!!! toujours 22...

Petit sourire en coin écossais.

Enfin du coup 21....le type que j'avais épousé à Bayonne à choisi de prendre ses jambes à son cou, juste après qu'on nous ai coulé le bateau à quai.
Et sans doute paniqués par l'arrivée de l'armée la plus folle du royaume, les royalistes se sont enfuis sans attaquer.....
Voila....donc on était pas en retard...picetout....

Levant la tête façon "et toc" la brune sourit a la blonde.

Bon on fait quoi maintenant??
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Nikita.

Quelques jours plus tôt... quelque part, ailleurs

Loin du relatif confort d’auberges quelconques, assise dans la paille d’une grange assiégée depuis l’aube, le Petite Perle soignait ses bobos… Son escapade en solitaire, plutôt tranquille jusqu’à la nuit précédente, connut une première déconvenue qu’elle savait ne pas être la dernière, sans doute. Reposée et repue d’une miche de pain, elle s’enquit du message reçu au matin et signé de son Chardon effronté. La surprise, des nouvelles annoncées, passée, son esprit vagabonda aux terres ancêstrales avec un soupçon de mélancolie avant qu'elle libère son faucon messager...

Une nouvelle aventure en perspective.

L'Armagnac

La route fut longue pour la jouvencelle. Les courbatures plus présentes des chevauchées, les hématomes aux teintes violettes... elle serait raccord avec son amie ! Un fin sourire, pour le moins douloureux à la lèvre enflée, et de trouver chambrette pour le séjour.
Discrète, elle passa la veille du jour J à diverses emplettes et, surtout, retrouver visage humain... ou ce qui s'en approchait.

Le Chateau, sa salle du trône... sa foule!

Vêtue d'une jolie toilette sans prétention, la chevelure aurifère remontée en chignon et légèrement parfumée, le petit Caméléon espérait passer inaperçu dans la marée humaine... Moins par timidité que par la gêne occasionnée de la lippe redessinée, malgré elle -des siècles plus tard, certaines useront d'artifices afin d'arborer des charnues démesurées, si l'icone valait*- et qu'elle devait à un couple bigarré, mais qu'importe.
Devant la porte, les mordorées contemplèrent longuement les lourdes tentures ainsi que la nuée d'invités afin d'y discerner une tête connue... et reconnue. Sauf qu'Hénora semblait bien occupée, l'Etoile du jour tout autant et, d'ailleurs, le Flocon s'aperçut qu'elle arrivait à point puisque la cérémonie débutait.

Pile à l'heure, si c'est pas la classe ça!

*Silicon Valley - c'est absolument nul, je suis morte de honte

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Bea06

Bea écouta Eden et sourit elle avait toujours le même franc parlé et la voyant prête à prêter allégeance elle espéra qu'elle n'aura pas le fameux baiser d’allégeance.

Elle regarda les gens présent et fut surpris par autant de monde. Elle sourit à son amour et lui dit

Amour j’espère pas que un jaloux soit la pendant le baiser et qu’il ne fasse la même remarque que la tienne...

Elle mit sa main dans la sienne la sera en le regardant dans les yeux
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Henora_mac_artney

Héno écouta les paroles de Zézé et passa par toutes les couleurs du rainbow flag. C'est vous dire si c'était raccord avec sa couleur de cheveux. Et les mots " soumission a un homme du clan " tournaient en boucle dans sa tête comme elle se demandait dans quoi elle était tombée, cherchant sa soeur du regard ainsi qu'une éventuelle sortie de secours maintenant qu'elle a récupéré sa main et qu'elle peut s'enfuir à toute jambes. Dans sa tête ce fait " comme si j'allais me soumettre à un gars non mais halo quoi moi les gars j'les butes, j'leur confie pas ma vie. "

Et là elle bénit la femme a forte poitrine, c'est pas moi qui le dit c'est sa soeur, qui veut lancer la cérémonie. Elle sourit gentiment à Zézé en la remerciant après qu'elle lui ait avoué que c'était pas vrai mais se recule un peu quand même au cas ou.

Et là cérémonie débute par un discours erroné de la suzeraine qui oblige sa soeur à rétablir la vérité dans un grand show dont elle a le secret. L'est trop douée sa soeur pour raconter des histoires, elle adore quand elle lui en raconte. La quittant des yeux un instant elle voit un minois connu franchir la porte, Nikiii. Elle attend que sa soeur ait fini et profitant du moment de flottement file pour rejoindre sa poupée russe préférée.

Elle lui saute au cou et l'embrasse en faisant gaffe de pas lui faire mal, une barbare oui une sauvage non. Et taquine elle lui dit

J'aime ton maquillage, sympa de t'harmoniser avec mes cheveux.

Puis plus bas

Contente de te voir, tu m'as manquée
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Pazapa

Paz était comme hypnotisé par ce ballet de robes, de couleurs et de parfums. Il finit par secouer la tête afin de reprendre ses esprits. Il avait la gorge sèche. Il chercha du regard un verre , une pinte, une écuelle de quelque chose afin d'étancher sa soif.
Il se fraya un chemin parmi les invités en esquissant des sourires de ci de là. Ses vêtements crottés à cause de son escapade dans les champs provoquaient quelques regards désapprobateurs et quelques froncements de sourcils.

Il pressa le pas vers une porte qui semblait être celle des cuisines.

Pazapa

Il poussa la porte et se retrouva dans les cuisines. Il y faisait sombre. Au fond de la pièce des volailles rôtissaient dans une immense cheminée aux côtés de marmites gigantesques. Des gens s'affairaient dans tous les sens.
Il héla un garçon qui coupait des trucs en quatre.

Hé petit!! Tu sais pas où j'pourrai trouver de quoi m'arroser le gosier?

L'autre continuait consciencieusement son découpage sans lever les yeux.

Hé!! Petit!!!

Paz s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule. Le garçon sursauta et lâcha un malheureux couinement....

Riwenn

Beaucoup de monde, bien trop de monde. Les Castel Vilar estaient habitué. Riwenn lui-mesme avait anobli avec une foule bien plus dense qu'icelle.

Beaucoup de bruits, bien trop de bruit. Des propos qui se disaient, se murmuraient, se soufflaient.

Et une cérémonie que son amie Sakurahime lança. Firielle fit un petit discours à l'attention de la future anoblie. Et cette dernière entama un monologue comme il aimait les faire lui aussi.

Bon on fait quoi maintenant??

Il s'approcha d'Eden et respondit à sa question.

Maintenant, vous prestez allégeance à ma douce épousée en lui promettant tout ce que le héraut a dicté auparavant.

Un sourire du vieil homme et un simple signe du chef qui ne pouvait signifier qu'une chose : c'est à vous.

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Héraldique européenne

Acar

Oui... Il estait sur de lui... Cette vieille estait Sa vieille.

Néanmoins, en homme courtois, il feignit de ne point la reconnaitre et poursuivit son cheminement.

En son retour en Béarn, il aurait bien le temps de la questionner plus avant...

Amusé, il se retourna et se rendit auprès de sa mesnie, pour assister à l'anoblissement de son amie.
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Aphykit

Elle écoutait, toujours en retrait. Dans les discours des uns et des autres, elle retrouvait ses illusions perdues, le Sud flamboyant que l'orgueil de certains avait détruit. L'infernal engrenage qui conduit à la médiocrité est enclenché. Il semble que le Sud soit aspiré dans ce tourbillon destructeur, l'absence d'idées, de projets, d'envie, de vie.

Ses yeux caressaient la foule chamarrée, c'était le glas de ses désirs qui s'offrait à elle en cette heure. Une sorte de marche funèbre après une lente agonie.

Elle soupira, écouta encore, son corps vibrait encore des tensions estivales, sa tête fourmillait de projets, mais ces derniers étaient lointains, peu dans le temps, davantage dans le lieu.
Un affamé assoiffé, il en existe des comme ça, attaqua un pauvre commis. Elle réalisa qu'elle aurait bien bu, elle aussi. Elle surprit un regard échangé entre le Régent et Mémé, cela lui arracha un vrai sourire.
N'étaient-ils pas amoureux ces deux-là, à se chamailler sans cesse... l'idée était à creuser.

Elle fit quelques pas en direction de Gilda, qui, tout à coup, semblait plongée dans d'intenses réflexions. Elle aurait bien fait un BOUH tonitruant, pour la surprendre, elle se contenta de poser une main sur son bras, feignit de lui présenter à nouveau ses hommage, comme il sied de le faire à une grande dame et de lui murmurer tout en l'entraînant vers un banc pour s'installer non loin du buffet. Elle connaissait l'appétit insatiable de la viande pour la chair fraîche, et ici... le terrain de chasse était des plus fourni. En quelques minutes n'avait-elle pas trouvé un bel italien à épouser ?

Alors Gilda, z'êtes ici en mission de repérage ? d'infiltration ? Ya des fuites ? Plutôt pas mal, le buffet... d'ici on voit tout.

Elle désigne d'un geste lent, non pas les tables du buffet qui s'emplissent de mets appétissants mais la noble assemblée.
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Ragnok

Le jeune homme avait appris totalement par hasard que Eden allait devenir noble. Mais pas un courrier pour le prévenir, il ne savait même pas si il était invité. A que cela ne tienne, il avait fait le trajet en urgence depuis Mauléon pour y assister.

Elle va me le payer ça... et toute la troupe aussi... Pas un qui me prévient? non mais on rêve la... je fais encore parti du groupe ou quoi?

C'est ce genre de tirade qui lui trottait dans la tête durant tout le chemin. La colère commençant a monter progressivement à mesure qu'il faisait le trajet.

Arrivé à destination, il est furax. Rouge de colère. prêt a étriper le premier qui viendrait lui parler. Un garde tente de l’arrêter surement pour lui demander ou est ce qu'il compte aller. Le blond ne lui en laisse pas le temps, lui jette un regard tellement noir et dément que le pauvre homme préfère ne pas tenter le diable.

La discrétion n'est pas de mise, si Eden en voulait, elle n'avait qu'à le prévenir ! Il entre donc dans la salle où à lieu l'annoblissement en lachant un violent :

råber højt ! (Bordel de merde)

Il arrive au bon moment, la brune va faire son serment ou il ne sait quoi d'autre. Il la fixe d'un regard mauvais, les explications allaient être de mise. Et que les autres ne s'en fassent pas, ils allaient aussi en prendre pour leur grade ! NAMEOH !

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

CHUTTTTTTTTT !!!!!

Tais-toi donc Petite !

Suis pas là …. Enfin si, j’suis là …. Mais je suis pas là !

Elle tournait la tête dans tous les sens comme si le maître de cérémonie avait annoncé à la foule réunie : « Dame Gilda dicte Mémé, tavernière et catin à la retraite ».

A se démener, sa perruque vrilla sur sa tête lui donnant l’allure d’un vieux sac avachi.

Bon, tu comprends quoi !

Elle pouffa comme une adolescente que l’on aurait surprise en train de faire une bêtise.

Suis venue bouffer à l’œil ! Car on a beau dire, ils savent recevoir les Aristos !
Mais ça tarde …

Comment l’avait-elle reconnue ?
Elle était un peu vexée Mémé. Elle qui avait fait tant d’efforts pour leur ressembler …

Aphykit

Dire qu'elle avait fait ça en toute discrétion. Par son cri, Mémé allait attirer tous les regards. Déjà quelques uns s'étaient retournés en leur direction en les mitraillant du regard. Elle était impossible la vieille tavernière ! Elle allait ruiner toute seule sa couverture... et leur conquête de victuailles. Elle attrapa Mémé par le bras et la conduisit vers deux chaises libres, pas trop éloignées des tables.

Venez par là, Mémé ! C'est stratégique. On ne perd rien du spectacle qui se déroule devant et ... dès que les festivités seront ouvertes, nous serons aux premières loges.
Dites donc, z'avez un ticket avec le Régent vous... il vous couve du regard... Félicitations ! J'savais pas que vous entreteniez de telles relations avec lui...
Quand il vous renifle, en vous reluquant... hum.. c'est étonnant.
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Lady_eden

Alors qu'elle s'attendait aux acclamations d'une foule en délire, une ola, das cotillons enfin tout ça quoi après son discours magistral, le Riri, époux de sa blonde suzeraine, enfin future, s’approcha à petits pas pour lui souffler:

Maintenant, vous prestez allégeance à ma douce épousée en lui promettant tout ce que le héraut a dicté auparavant.

Heu...

Trop occupée par la généreuse poitrine, la brune avait décroché salement au passage des trucs en latin.
Promettre...
Un coup d’œil inquiet sur le vieux et inspiration subite!
La brune s'approche de la bonde qui la regarde un peu furibarde, lui prend sa jolie main blanche et...

Je te promets la clés des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoir

Reprise de souffle, respiration par le ventre et....

J'y crois comme à la terre,j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant,comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui mes serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore

C'est alors qu'elle allait attaquer avec le solo de cornemuse qui avait fait sa gloire au festival inter Pictes de 1447 que le drame survient !
Il avait l'apparence d'un immense Danois blond, casque à cornes vissé sur le crâne, l’œil furibard qui l’apostrophait dans sa langue qu'elle ne comprenait pas mais a la musicalité des paroles, l'écossaise se doutait bien qu'il était pas là pour lui demander un autographe.

Marde...le blond...

Lâchant la blanche mimine d'une Fifi éberluée, la brunette réfléchissait à toute allure se dirigeant vers le nordique.

Ahhhhhhh tu arrives à point! On a failli t'attendre beurdel, faut dire que Venise c'est loin....Je constate que tu es venu sans Pull Lover....

Grand sourire et repérage de la vioc près du buffet avec la jolie Aphy!

Sauvée! P'tain elle a bien fait de venir elle....pensa la lady.

Passant son bras sous celui du géant, elle l'entraina vers les chaises près du buffet avant de se planter devant la rousse.
Bon ok Ragnok avait pas trop l'air d'un rital avec son foutu casque et ses habits débordants de fourrure, mais avec du bol la mère de Queen aurait la vue basse sinon la brune lui inventerait une histoire comme quoi en Italie du Nord de telles vestures étaient à la dernière mode!
On était plus a une invention près!!

Ma Mie!!!!!!!!! Vostre prétendant est arrivé! Je vous présente Gondolooooo!

Et de pousser un Rag déstabilisé dans les bras de la flamboyante.
De tout il était habitué qu'elle tente de le caser avec toutes les filles qui passaient, une de plus une de moins...

Je vous laisse faire connaissance hein on m'attend devant!
Aphy tu les chaperonnes hein, je compte sur toi!

Un clin d'oeil à la sexy Cac, un petit signe a Niki en grande conversation avec la violette et hop on y retourne!
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Riwenn

Allez ! Poussez madame, poussez madame !

Peut-estre que les bons mots allaient sortir. Sans doute. L'on disait que certaines choses rendaient sourd. Mais à part la sénilité, Riwenn ne voyait pas de quoi pouvaient parler iceux qui disaient de tels propos. - Je ne vais pas te faire un dessin non plus ! - Si, si, dessine-moi un mouton ! - nan mais je vous jure. - oui c'est ça, faut jurer conseil, aide armée et respect - envoyez la suite, je vais me pendre.

Riwenn laissa donc la demoiselle prononcer les promesses qui ne servaient à rien en cette cérémonie avant de la poursuivre et de lui adresser quelques mots supplémentaires, toujours le sourire aux lèvres.

Vous savez, c'est consilium, auxilium et obsequium qu'il faut promettre à vostre suzeraine. Prenez une inspiration et allez-y, je suis certain que vous allez finir par y arriver. Dum spiro spero. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.

Allez, faictes ce que vous dict vostre futur suzerain et nous pourrons passer à la suite. Et par suite, il entendait manger et surtout boire. Enfin, sa douce devrait encor prendre la parole une dernière fois et le Maréchal d'armes également. Mais il n'avait aucune crainte sur la durée de ces prises de parole. À l'inverse de la future Dauna qui semblait estre totalement perdue dans cet événement. Sans doute l'inconnu. Ou la foule trop dense. Ou pas.

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Héraldique européenne

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

Aphy la mena un peu à l’écart mais plus près du buffet. La salive lui monta à la bouche à la vue des saucisses et des jambons. Son ventre gargouillait.

Le Régent ? … Tu crois qu’il y a une ouverture possible ?

Elle jeta un œil au Chevalier, le regardant pour la première fois autrement que comme l’Usurpateur à combattre … Puis comme pour chasser une idée dérangeante, elle secoua la tête faisant dangereusement tanguer sa perruque.

Non … Non … Il est trop vieux ! J’aime pas les vieux … Ils manquent de vigueur et de raideur !
Crois-moi petite … La vieillesse ne fait pas que ramollir la tête !

C’est alors qu’arriva Eden en compagnie d’un grand blond qu’elle présenta comme le latin qui devait l’épouser.

Faisant un clin d’œil complice à sa petiote préférée, elle ajouta un dernier mot …

Là, vois tu, c’est du dur ! Du très dur même ...

Elle sourit au jeune homme qui était l’Italien le plus blond qu’elle n’avait jamais rencontré.

Elle lui tendit la main comme l’aurait fait une jeune fille de bonne famille et mentant outrageusement se présenta :

Margueritte de la Biteaubec, Baronne de Montcoqut, Dame du Pératé … Célibataire !

Elle faillit ajouter pucelle mais elle craignit d’en faire trop !

Vidara

Pour rien au monde Vidara n'allait manquait manquer l'anoblissement de son amie Lady Eden .Lady Eden comptait beaucoup pour lui même si quelques fois il avait eu des soucis pour lui prouver .

Il se rend donc à la cérémonie et se souvient quand c'était lui qui avait du faire allégeance.Il était fier du parcours de lady et fier qu'elle rentre dans le rang de la belle noblesse d'Armagnac et Comminges .

Une fois sur place il reconnait quelques personnes qu'il avait déjà vu durant ses voyages ou durant sa vie diplomatique .Il voit Xytllali et lui fait un signe de la main pour saluer son amie .

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Henora_mac_artney

Héno écoutait ce que lui racontait sa tendre amie mais ne perdait pas une miette du spectacle qui se jouait devant elles. D'abord l'arrivée du géant danois de mauvaise humeur et puis la prestation de serment d'Eden. Elle n'aurait pas pu dire si c'était original ou pas mais elle aurait mis un 10 comme au radio crochet pour troubadour en herbes animé par Jacquot Martin qui se ballade de villes en villes. Puis le largage du danois dans les bras de la vieille, l'était trop forte son écossaise.

Et là le mari de la suzeraine qui dit des choses bizarres à sa soeur. " Consilium" euh toi même d'abord, " auxilium" euh et puis quoi encore pourquoi pas parabellium hein et " obsequium"non mais ça va pas bien lui

Euh désolée mais ça va pas de traiter ma soeur d'Obséquium, espèce de, de, de perversium tiens. Ah vous voyez que c'est pas marrant hein de traiter les gens de pleins de noms.

Et le Chardon le regarde avec un regard noir et croise les bras.
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Ragnok

Le blond n'en revenait pas, elle avait osé retourner la situation pour éviter son courroux... Elle ne perdait rien pour attendre. Oh que oui elle allait voir. On ne se paye pas la tête de Rag comme ça !

Et la voila qui le traine presque dans les bras d'une vieille branlante ne parlant de mariage ou il ne sait quoi

Hvad? (quoi?) Gondolooooo? qui c'est que ce gars la?Je... mais...

Et de se retrouver en face de la vieille qui lui présente sa main. Sans réfléchir il lui tape dedans avec sa grande paloche.

Célibataire? euh... oui moi aussi mais quel est le rapport?

Mais dans quoi la brune l'avait encore fourré...

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

C’était chose fort connue … La virilité d’un homme pouvait se mesurer à la taille de ses mains et celui-là en avait de gigantesques !
Ce détail n’était pas passé inaperçu aux yeux experts de la vieille qui s’imaginait déjà profiter des avantages dont à l’évidence Mère Nature avait si généreusement pourvu le géant blond …

Ne soyez pas trop pressé Messire … C’est dans l’attente que l’envie se nourrit !
Rapport il y aura, n’en doutez pas !

A tous les mêmes à toujours vouloir bruler les étapes …

Nikita.

Attention, le spectacle est commencé...

Du grand art ! Le Flocon écoutait les diverses interventions, souffle retenut au discours grandiloquent d'une Eden qu'elle connaissait peu, finalement... Elle devait bien lui reconnaître un talent inné pour capter l'attention et, d'autant, à exceller dans la théâtralité. Encore un peu, et « matriochka » applaudirait, ce qui serait du plus bel effet mais, c'était sans compter le Chardon surexcité...

Le petite Perle eut, à peine, le temps de comprendre qu'Hénora lui sautait au cou, littéralement et Blondeur cru sa dernière heure venue... ajoutez à cela, le raidissement provoqué par l'embrassade et vous obtiendrez un parfait iceberg. Néanmoins, la voix amicale reconnue rapidement, la minois de porcelaine se teinta sensiblement et le velours d'y répondre:

Chipie ! L'harmonie est plus subie que choisie figures-toi... Les gredins, ils auraient pu me défigurer, non mais à l'eau quoi!

Malgré la douleur ressentie, la moue boudeuse se transforma en sourire sincère à l'attention de la Violette:

Toi aussi, tu m'as manquée et faudra que tu m'racontes tout en détail...

La phrase sera terminée plus tard, ou pas... Les mordorées se tournèrent vers l'entrée, regard perplexe sur le Blond proche de l'hystérie, bien qu'elle ne comprenne absolument pas son patois et de retenir l'hilarité naissante quand il se retrouva face à la vieille maquerelle... L'Etoile du jour, comédienne de talent donc, lui fit un petit signe auquel Niki' répondit discrètement -avec la tronche en vrac, on reste modeste- avant d'écarquiller les mirettes.

Scène II acte III

Sidérée. C'était le mot juste... Hénora venait d'invectiver un noble sire, à priori, pour cause de lacunes avérées en latin. Le petit Caméléon lissa sa tenue afin de trouver contenance, elle arbora un sourire à faire fondre n'importe quel glaçon et, se félicitant de l'éducation reçue, prit le bras de son amie

Ton humour me fera toujours rire... mais peut-être n'est-ce pas le moment Héno', tu pourrais me présenter à tes nouveaux amis plutôt...

Si on s'approchait du buffet ? Comme ça, l'air de rien... Pas que je me déshydrate, mais presque... la route toussa...

Au spectacle, on vous l'a dit !
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Xytllali

Dépitée, elle regarda son Irlandais aller faire mumuse avec une histoire de "foncer dans le tas". Elle était là, paumée, perplexe. Elle en avait pourtant passé des soirées loufoques avec le groupe, mais parfois elle était larguée. Comme ce jour-là. Un petit tour sur la gauche, saluant Sandino et son épouse, un petit tour sur la droite saluant Bea et Joss se disant que Joss n'avait pas encore de Bibine dans les mains chose surprenante, n'avait-il pas repéré le buffet ?
Après un balayage de la salle de ses yeux.....Ohhh là-bas le coin parfait tranquille, une chaise et à l'abri des regards...ou du moins coin calme. D'un pas décidé, elle traversa la salle et vissa ses fesses sur la chaise près de la fenêtre, fuite possible au cas où, et regarda le spectacle...parce que Bondiou de Bondiou, ça c'était un spectacle.

Eh ben j'ai bien fait de venir !!

Et vlà que le Grand Blond avec des bottes noires se pointa. Son regard en dit long sur sa colère

Oups !!

Dans son coin, elle est à la bonne place pour éviter d'apparaître dans son champs de vision. Elle se dit qu'elle ira saluer le Viking quand il aura été saoulé par la vieille, elle apparaitrait comme une "sauveuse" en plus....Laissons le mariner un moment dans les eaux troubles et ...usées.

Par la suite, elle fut surprise de voir arriver son ami, avec qui elle avait perdu un peu contact, mais qu'il semblait ne pas en avoir perdu avec Ed, elle salua Vidounet et lui sourit, mais resta bien planquée près de sa porte de sortie de fortune, la fenêtre, ...puis elle se leva et regarda au travers de la vitre.

Ah non ça va pas le faire !!!.....bien trop haut pour sortir par là...je serais obligée de repasser par où je suis arrivée....zut zut zut
Elle se rassis et comme si "l'entracte" se terminait, elle attendait la suite des prochaines élucubrations de l'assistance.

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Lady_eden

Un petit coup d’œil sur le futur couple, Rag avait la rousse en main, un petit coup d'oeil sur Xyt qui tentait d'évaluer la distance entre la fenêtre et la cour, un coucou à Vidara arrivé entre temps et voila que le Riri la poursuivait toujours en marmonnant!
La brune se demandait soudain si s'engager avec Fifi ne signifiait pas aussi s'occuper du mari, en Armagnac ce genre de services semblaient à la mode.

Abrie avait déjà tenté sous fallacieux prétextes lui refiler son moustachu, invoquant une loi qu'elle venait sans doute d'écrire, comme quoi la tavernière devait aussi prendre le propriétaire!
Elle avait rendu son tablier, enfin façon de parler parce qu'elle en portait pas, se contentant de regarder les verres sur le bord du comptoir plutôt que de servir, se disant que si les clients avaient soif ils se déplaceront bien, illico affolée à l'idée du moindre baiser poilu.
Pour Eden les poils celémal!!!!!!!!!!!
Ça lui foutait une trouille bleue!

Se promettant d'éclaircir ce point avec la blonde, elle s'avança de nouveau vers sa blondissime, toujours Riri sur les talons.
Il recommençait avec ses trucs en latin!

Sauf que la brunette avait un peu bâclé ses cours, le professeur que son paternel lui avait trouvé à l’époque, enfin quand il avait encore espoir d'en faire une Lady digne et tout ça, était d'un ennui mortel.
Ce lui fut fatal un après midi d'été quand marmonnant sa litanie de:
rosa - rosam -rosae - rosae- rosa et que la Picte avait plutôt envie d'aller gouter a la fraicheur du loch avec ses amis, elle lui imprima une poussée violente lors de son énième passage devant la fenêtre ouverte...
Bien sur elle avait du expliquer comment le pauvre homme avait selon elle glissé sur la peau d'un fruit encore inconnu dans ces contrées, bien sur le Daddy furax ne l'avait pas crue, et c'est ainsi qu'au comble du désespoir, il l'avait expédiée avec armes et bagages chez Sandino et Zézé en terre Françoise.
Il n'eut pas fallu que le Riri passe devant une fenêtre à ce moment là....la brune avait souvent des réflexes malheureux....

Concentration!

Ma Dame je promets rosa - rosam -rosae - rosae- rosa oups non pardon!
Je refais!

Inspiration!

Ma dame je promets consilium, auxilium ,obsequium, babaorhum, aquarium,petibonhomme, speculum, et tout ce que vous voulez!
Enfin presque hein pas question que je m'occupe de votre mari!

Super fière d'avoir sorti enfin tous les mots qui lui semblaient plus ou moins latins, comme quoi le gus était pas mort pour rien, elle regardait sa future suz et la foule.
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Sakurahime

Les cérémonies se suivaient, mais ne se ressemblaient pas toujours.

Pour sûr qu'elle s'en souviendrait longtemps de celle-ci.
Normal me direz-vous, dès que les Castel Vilar étaient dans le coin, ou presque, ça partait en cacahuète...
Celle-ci ne faisait pas exception et entrait directement sur le podium des pires cérémonies où elle avait eu à officier sans qu'elle ne puisse rien maitriser.

De guerre lasse, elle y avait renoncé quand le zouave blond avait fait irruption en braillant comme s'il se croyait dans le pire des bouges des campagnes de France.

Elle s'était vu le frapper jusqu'à ce qu'il la mette en veilleuse à coup de caducées, mais si c'était pour avoir du sang partout, elle allait encore se faire engueuler et devoir tout se taper à nettoyer, hors elle avait d'autres projets pour le soir même alors elle avait inspiré un bon coup, chanté quelques fois mentalement "je vais bien tout va bien... je suis gaie tout me plait..." jusqu'à presque s'en persuadée ou du moins s'être soulée de la chanson jusqu'à en oublier le reste, et avait laissé la future noble lui reluquer le décolleté comme si c'était la première fois de sa vie qu'elle en voyait un.

Je vais bien tout va bien....

On évite de dire à la jeune femme que le latin n'était pas indispensable et qu'en français, ça l'faisait aussi, on se tourne vers la future suzeraine et on croise les doigts pour qu'elle réponde vite.
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Firielle

Mais quel était tout ce cirque, la blonde savait que Lady Eden avait des amis, mais à ce point, c'était inimaginable.

Puis vint le moment du serment, la brune partait en totale cacahuète, mais la Comtesse demeurait immobile et patiente, en attendant que Blanche réagisse, mais c'est Riwenn qui chuchota à l'oreille de la picte pour lui indiquer que dire.

Firielle pensa qu'il en faudrait du boulot avant que Lady Eden apprenne le vivre noblement, elle plaignait celui qui arrivera à lui inculquer les manières à la française.

Après que l'Ecossaisse prononça son serment, la Comtesse rétorqua:

Nous, Firielle de Castel Vilar de la Duranxie, Comtesse de Pardiac, Baronne de Montespan, Dame de Cazarilh, en tant que Vicomtesse de Gimoez, recevons en ce jour vostre allégeance pour votre fief de Maubec et en retour vous accordons protection, justice et subsistance.

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Sakurahime

Un toussotement...

Séguenville Votre Grandeur... Maubec a été remplacée...
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Firielle

Firielle entendit Blanche la corriger discrètement et reformula ses derniers mots en faisant semblant de toussoter violemment.

... Vostre allégeance pour votre fief de Séguenville et en retour vous accordons protection, justice et subsistance
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Josyane

Josiane arrive en trottinette au sacre de son amie, elle gare sa trottinette et s'avance ou ça se passait, elle avait jamais été à ça !! enfin ça devait être pareil qu'une réunion ou encore une messe

Lady_eden

Ses yeux jade allaient de la blonde suz, a ses parents adoptifs Zézé et Sandi qu'elle espéraient vachement fiers et tout, pour une fois qu'elle faisait pas trop de trucs bizarres, à Riri qui l'espionnait toujours et n'en finissait pas de glisser sur les collines blanches de la Blanche.
Une envie violente d'y plonger la main voir si ils étaient vrais la tiraillait méchamment...

Nous, Firielle de Castel Vilar de la Duranxie, Comtesse de Pardiac, Baronne de Montespan, Dame de Cazarilh, en tant que Vicomtesse de Gimoez, recevons en ce jour vostre allégeance pour votre fief de Maubec et en retour vous accordons protection, justice et subsistance.

Awais....??? petit moment de perplexité de notre Écossaise jaugeant les petits bras musclés de la blonde....pour la protection j'devrais m'en sortir se dit elle....bon si elle veut m'inviter a diner ...pourquoi pas...la justice heu j'étais proc....

Oui je sais là vous vous accrochez au rideaux! Oui elle a été procureur, elle là oui, même pendant deux mandats d'affilé!
Comme quoi tout peut arriver dans la vie...eh oui!

C'est alors qu'elle tentait un pas chassé vers la Blanche, une idée fixe vous dis je , celle ci se mit a tousser.
Et le chat dans la gorge sauta dans celle de Fifi??

Qui a oublié de fermer le pont levis????

Un coup du Rag pour sur, il pensait jamais a fermer les portes, a croire que dans sa hutte y en avait pas!
Pis bon fallait dire aussi qu'en plein hiver se trimballer des robes aussi décolletées c'était l'assurance d'un rhume du doigt de pied.

Et la Blondie au bord de la crise d'asthme reprit par:

Vostre allégeance pour votre fief de Séguenville et en retour vous accordons protection, justice et subsistance

Le sourcil en arc de cercle la picte cessa son dangereux rapprochement vers la Blanche.

Sans blague j'en ai deux?????
Si c'est pas la classe......

Là a ce moment précis le roy était pas son cousin tant elle frimait, de toute façon c'était pas son cousin même si elle le connaissait, donc on s'en fout.
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Sandino

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L’anoblissement d’Eden n’est pas vraiment une surprise pour le couple de bohémiens, bon nombre de leurs protégées ont fait la même parcours, certaines ayant atteint les sommets dit-on, en devenant Duchesse ou grande inquisitrice.

Destinées prévues de longue date par Sandino qui durant la jeunesse de ces fillettes, avait lu leurs avenirs à l’aide d’un savoir que les gitans se transmettent de maître à élève. Art de la divination qu’il avait complètement abandonné désormais et qu’il n’avait pas utilisé concernant Eden, laissant au destin le soin de le surprendre, la gamine étant très prometteuse parce que déjà très fadate.

Heureux de voir Eden satisfaite du tournant que prend sa vie, Sandino sourit maintenant sans réserve, la malice a quitté ses yeux qui couve la scène d’un regard bienveillant.

Si son chemin à lui est différent, le bohémien est satisfait que le message maintes fois martelés… « Les enfants ayez confiance en vous !! » ait trouvé un écho chez ses pupilles en leur permettant d’acquérir une reconnaissance publique.

Comme il est fier de cette assemblée nombreuse réunie pour l’événement, foule qui pour lui témoigne bien plus de ce qu’est devenue Eden, que le titre de noblesse qu’elle vient d’accepter.

Ce jour est un bon jour et Sandino se félicite d'être présent.
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Aphykit

Aux côtés de la Rousse, elle voit arriver l'étalon italien escorté par Eden et... surprise, il est d'un blond scandinave douteux. Elle est en train de se faire berner, Mémé. Pourtant, cette dernière regarde l'homme d'un air gourmand qui ne trompe pas. Sans doute a-t-elle repéré quelques indices qui lui laissent penser qu'il s'agit réellement d'un étalon.

Dans un sourire amusé, elle suit la parade de Gilda.
De l'autre côté de la salle, les uns et les autres se mettent en place, les discours commencent. C'est l'oreille distraite, la pensée vagabonde et l'oeil scrutateur qu'elle suit la cérémonie.
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Ragnok

La vieille rabougrie n'avait pas l'intention de le laisser tranquille on dirait... Fallait se débarrasser d'elle sans non plus la vexer vu les titres de noblesse qu'elle portait ça pourrait lui porter préjudice par la suite...

il y aura des rapports... euh... oui sans doute...

Mais de quels rapports elle parle ?? Bon tant pis on va tenter une parade. Les femmes sont vénales et intéressées par le pouvoir, tout le monde sait bien cela, donc :

Mais euh... dame de la BiteauBec quel nom aussi..., je dois vous avouer que je ne possède aucunes terres, aucuns titres de noblesse et aucune richesse particulière. Navré de vous décevoir.

Ou plutôt j’espère bien que tu vas me lâcher la grappe... j'ai une écossaise a faire frire et une compagnie a couper en morceaux...

Le jeune homme balaye la salle des yeux pour noter les présents : Hog, Anas, Heno... ceux la ils vont en prendre pour leur grade aussi... Puis il se retourne vers la vieille en prenant bien le temps de détailler un peu plus en détail la femme censée être son chapon, qui est, soit dit en passant, nettement plus a son gout que le machin roux qui se trouve en face de lui.

Il plaque un sourire d'excuse sur son visage, pour donner un peu plus de poids à ses mots.

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.

La vieille couguar faillit répondre :

Terres ? Titres ? Fortune ?
Franchement on s’en tape ! Pour ce que je veux te faire … On n’a juste besoin que tu assures le coup !

Heureusement, elle se rappela à la dernière minute qu’elle était là incognito et qu’elle ne devait pas griller sa couverture.

La véritable fortune est dans le cœur … sourit-elle découvrant une dernière dent branlante à sa mâchoire supérieure.

Puis, sentant que le poisson ne mordait pas facilement et qu’il tentait de s’échapper, elle ajouta :

J’ai moult châteaux et une fortune colossale … et aucune descendance à laquelle transmettre mon bien !

Elle baissa le visage prenant un air timide et contrit.
L’homme était-il vénal ?
A son âge, tous les bons moments étaient à prendre et s’il fallait mentir pour cela … Elle ne s’en privait pas !

Henora_mac_artney

Hénora sourit à la remarque de son amie sur son humour, oui même quand c'est pas volontaire elle est toujours drôle. Et voilà qu'elle veut l'entrainer vers le buffet donc Aphy, bon elle ça va elle l'aime bien; la vieille disons le moche dont la perruque est un peu de travers, euh la mère de Queen est une fausse rousse; et surtout le géant danois qui à l'air un brin remonté, à peine hein allez va pour chatouilleux. Nan, nan, nan se dit Hénora freinant des deux pieds.

Et là résonne le timbre de voix de sa soeur qui lui donne des frissons. Même Obséquium à l'air d'être moins dangereux et Spéculum deviendrait presque objet d'attraction tellement sa voix est sexy. La violette tourne la tête vers sa soeur et retombe en amour de cette soeur inespérée. N'y voyez rien de sexuel ça c'est les deux tourtereaux près du buffet. C'est juste que quand elle l'a vue la première fois ce fut une évidence comme si elles étaient liées déjà depuis toujours. A présent elles savent pourquoi.

Elle trouve ce moment très touchant même si la suzeraine se plante de domaine ce qui donne le sourire au Chardon. Et à cet instant partout dans l'univers il n'y a que cette scène. Rien d'autre n'existe que ces deux femmes qui s'accordent mutuellement confiance. Un moment magique de communion entre la scène et ses spectateurs même si chacun se demande d'où viendra la prochaine boulette mais cet instant restera gravé en Héno toute sa vie ainsi que cette sensation de fierté d'être sa soeur à Elle et pour rien au monde elle n'en voudrait une autre.
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Firielle

Firielle marqua une pause après s'être repris sur le nom du domaine. Il faut dire que tous les noms avaient changé et qu'elle ne s'y retrouvait plus.

Elle reprit à nouveau la parole.

Avancez vous vers moi Lady Eden pour recevoir l'accolade vassalique.
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Lady_eden

Elle souriait béatement a ses invités, un grand signe vers sa Josie qui venait d'arriver toujours discrète, le monde était bleu et rose, les petits oiseaux chantaient, Rag avait trouvé promise et Héno...draguait la blonde.

Bref tout allait bien, le peace et le love, les jambons et le pâté, on allait bientôt baffrer, une seule chose manquait à son déjà presque complet bonheur.

Toucher les seins de la Blanche.
Fallait qu'elle sache, ces trucs pouvaient pas être naturels, surement que la dame avait planqué des bas de laine la dedans ou des grosses bourses d'écus.

C'est là que sa blonde à elle, sa Fifi genre sérieuse lui demande d'avance pour s'accoler...

Hum hum ça devient chaud... faites sortir les mouflets....

Le Riri toujours derrière elle, soit il escomptait la pousser, soit se rincer l’œil,
la brune se planta devant sa Suz.

On fait ça ici ou on va chez moi?
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Firielle

La comtesse, fraichement baronne s'approcha de la brune. Elle leva ses deux mains à hauteur des joues de Lady Eden, la saisissat délicatement par le visage et la rapprocha d'elle afin de l'embrasser langoureusement mais sans la langue.
Fort heureusement, Firielle avait assez de parfum pour que les deux femmes sentent bons, on ne sait jamais, les gens du nord ne sont pas connus pour se parfumer.

Cela lui rappelait l'anoblissement d'Angecassis, en espérant que cette fois ci, l'histoire se termine bien.

La blonde recula et termina par ces quelques paroles:

Ainsi fut notre baiser vassalique, ainsi nous sommes liées.
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Sakurahime

Ca c'était du baiser vassalique où elle ne s'y connaissait pas!
Regardant Riri de travers, imaginant sans peine son vieil ami salivant à l'idée d'être de la partie dans une scène tout droit sortie de son petit cerveau pervers.
Sauf qu'elle ne savait pas que le danger ne concernait pas Lady_eden mais elle même, et ne viendrait pas de Riri, s'il devait survenir, mais de la nouvelle noble en personne!

Si elle avait souhaité un truc pour la nouvelle vassale en cet instant, c'était que si elle mettait son plan à exécution, sa victime ne soit pas prise d'une soudaine montée de lait, ça fait toujours tâche sur une robe, même blanche...

Bref, trève de plaisanterie!
Les caducées heurtèrent une deuxième et dernière fois le sol marbré.

J'entends bien les serments ce jour échangés et dont je suis témoin.
Dame Lady_eden, désormais Dame de Séguenville, par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnue par le titre sus-cité. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à votre Suzeraine en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement. Gagez que j'y veillerai personnellement!

Je reste à votre disposition pour toute question et pour l'établissement de votre blason personnel complet.

En attendant, voici le document attestant de vos nouvelles conditions.
Avec toutes mes félicitations Ma Dame!

Et de lui tendre en souriant le précieux parchemin.

Citation:

Par la présente, Nous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael dicte Blanche, Baronne de Virargues et Chevalier de l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, Héraut dudit Ordre et Maréchale d'Armes de France en charge de l'Armagnac et des Comminges, faisons acte de la demande de Dame Firielle de Castel Vilar de la Duranxie, Comtesse de Pardiac, Vicomtesse de Gimoez, Baronne de Montespan et Dame de Cazarilh, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres de la Vicomté de Gimoez, Sise au fief nommé Séguenville à Dame Lady_Eden.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Séguenville est bien seigneurie de la Vicomté de Gimoez.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : D'argent à la croix de gueules semée d'étoiles d'or, cantonnée de quatre tours de sable maçonnées du champ., soit, après dessin :

Aux fins de complément du présent dossier, voici une lettre manuscrite de Dame Firielle de Castel Vilar de la Duranxie, Vicomtesse de Gimoez, attestant de la volonté d'octroi d'une seigneurie à Dame Lady_Eden:

Citation:

De nous, Firielle de Castel Vilar de la Duranxie, Comtesse de Pardiac, Vicomtesse de Gimoez et Dame de Cazarilh
A vous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Héraut de l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert et Maréchale d'Armes en charge de l'Armagnac et Comminges

Salutations!

Nous prenons la plume ce jour afin de solliciter l'octroi d'une seigneurie à Dame Lady Eden (IG:Lady_eden) sur notre Vicomté de Gimoez du fief de Maubec.

Cette femme s'est révélée loyale et indispensable envers notre personne, ce qui en fait la candidate idéale pour devenir notre vassale.

Avec toutes mes amitiés Aristotéliciennes.
Respectueusement,

Firielle de Castel Vilar, Comtesse de Pardiac, Vicomtesse de Gimoez, Dame de Cazarilh
Rédigé en le castel d’Auch le V du Mois de novembre de l’An de Grâce 1461

Par notre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons à être le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l’octroyant et l'octroyé.

Fait le 27e jour du Mois de Novembre de l’an de grasce MCDLXI à Paris, en la Chapelle Sainct-Antoine.

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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Suzanne

Perdue. Voilà ce qu'était la brune au milieu de ce monde inconnue pour elle. La main vissée à celle de son blond, elle observait les différents tableaux qui se jouaient devant ses eux.

Elle clignota des yeux en entendant Eden... et bouchant les oreilles d'Andreï : faire quoi ?! Eden... tu m'fais peur parfois.

et lui fit un clin d'œil dans un sourire, ou l'inverse, au choix.

On est plus près de chez toi là...

Et le moment crucial arriva. Ce moment qu'elle n'aurait jamais cru capable d'arriver. Et faisant fi de tout ce qui se passait autour, elle observait sa tempétueuse marraine, un caractère trempé cachant une vraie sensibilité, devenir Dame de Séguenville.

Elle retint un peu son souffle, puis sourit doucement, se concentrant sur la cérémonie.

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Ragnok

Et zut... la femme n'était pas tombée dans le piège au contraire même...

Pas possible ça... il était dans de beaux draps le blond... et voila que l'autre essayait de l'embobiner avec une histoire de castels en nombre blablabla...

Il fallait une excuse pour stopper la conversation la, avant qu'il ne se passe quelque chose d'encore plus bizarre...

Et l'excuse se présenta sous la forme du vœu de vassalité de l'écossaise. Sa colère se raviva de ne pas avoir été véritablement invité a cet évènement. Le visage du nordique se ferme, ses yeux se froncent et il déclare d'une voix froide à la vielle :

Excusez moi, j'ai une affaire importante à traiter d'urgence, je reviens juste après, ou pas d'ailleurs...

Il prend vite congé avant qu'elle n'essaye de le retenir et se dirige vers la toute nouvelle noble en la fixant.

Ledzeppelin

Elle était ravie car plus d'Aiguemarine qu'il lui fut bien aise de revoir les gens étaient arrivés et plus elle y retrouvait des amis. Béa et Josselin et surtout Zété et Sandino qui n'allaient pas louper l'événement. Oui l'événement .... car il s'agissait bel et bien de l'annoblissement de la Lady d'amour. La belle ensorceleuse qui avait chipé le cœur de son frère devenait noble et même pour de vrai .... Il y avait un tel tourbillon de personnes et chacun parlait avé l'assent. Led se retrouvait de nouveau dans la chaleureuse atmosphère du sud ....

Led sursauta en voyant le baiser ....

Hoooooooo ! Quel baiser ! Magnifique !
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Henora_mac_artney

Après ce baiser époustouflant Hénora regarde le géant scandinave qui regarde sa soeur et ça c'est pas bon vu sa tête. Alors héno s'empresse d'aller chercher son arme secrète. Elle avait promis de l'amener et d'en jouer. Si ça peut détourner l'attention en plus.

Elle revient se met dans un coin et entonne un morceau se rapprochant de la scène ou tout s'est déroulé. Elle espère détourner l'attention de tous, comme ça l'a fait au duel. Sauf qu'elle a appris ce morceau depuis et elle espère que sa soeur va aimer même si elle fait des fausses notes.
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Aphykit

Entre le paso doble, les un pas en avant trois en arrière entre l'étalon italien version scandinave et Mémé, et le baiser somptueux, elle ne savait où donner de la tête.
Enfin l'italo scandinave finit par se métamorphoser en pitt bull auquel on a enlever son bifteck, elle s'écarta donc pour le laisser passer. Elle comprenait mal que la belle Gilda puisse être considérer comme un morceau de chair fraîche. Mais où était le respect ?
Toute à ses pensées, elle sursauta lorsqu'elle entendit quelques notes s'échapper... la mélodie était spéciale, les notes grinçantes, mais cela eut l'avantage de la tirer de sa léthargie.
Le buffet, pas loin était somptueux, finalement, elle avait bien fait de venir.
Chaperon ou pas, elle s'amusait.
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Lady_eden

Alors là pour un baiser c'était un baiser, la blonde savait jouer de ses lèvres la coquine, en ce moment précis beaucoup devaient rêver d'être a sa place ou celle de Riri.
Riri qui était étrangement muet, sans doute sous le charme de la scène!

Toute chamboulée la nouvelle noble prit les parchemin que la femme aux seins d'enfer lui tendait en souriant.
Fallait il l'embrasser ou pas?
Peu au fait des coutumes françoise, la brunette se dit pourquoi faire des jalouses, et puis après tout la Blanche semblait avoir des relations, ça pouvait servir, autant lui faire honneur.

Sans plus tergiverser elle s'approcha suivant l'exemple de Fifi un peu plus tôt, posa ses mains sur le visage de la Blanche et l'embrassa façon Madonna.

Ça c'est fait...

Se tournant vers ses amis elle ne vit pas la blond approcher, juste sa sœur qui sortait des notes un peu bizarres de sa cornemuse.
Mais comme on dit c'est l'intention qui compte hein.
A la fin du massacre, enfin du morceau, la Lady applaudit à tout rompre.

Merci ma violette, je suis sourde! Eh nan touchée je voulais dire!
Et maintenant il est temps que je remercie!

Secrètement elle se marrait voyant les gens médusés après ce concert.
Sans se démonter elle s'éclaircit la voix et:

C'est un grand honneur pour moi en ce jour de devenir l'esclave de Fifi et de vous voir tous réunis!
Sans vous rien n'aurait été possible ou p'être que si enfin on sait pas!
Je voulais aussi remercier mon paternel qui m'a expédiée en France apprendre à devenir une dame convenable sous l’œil bienveillant de Sandino et Zézé, vous pouvez constater que c'est très réussi!
Ma maison de disques aussi, heu mais je raconte quoi moi j'ai jamais fait de lancer de disques...mon producteur de fuits sans qui je n'aurais pas ce charisme de malade, mon boulanger, mon poissonnier, une spéciale dédicace au maire d'Angers qui m'a trouvé un poisson un vendredi et évité un mariage foireux avec ma sœur, mes élèves à l'université que je torture régulièrement avec des cours que je ne maitrise pas, tous les morts bien vivants avant de me rencontrer et sur qui j'ai pu exercer mon art de tranchage de roufles, la Touraine qui voyant mon potentiel de malade m'a laissé les quitter tout en sachant qu'après nous ce serait le déluge et heu mes amis, mes ennemis surtout qui rendent ma vie tellement plus drôle et qui sont pas invités au buffet, et heu...bah Fifi quand même qui à fait mieux que Vona.

La brune se plia en deux pour saluer sous la standing ovation de la foule, oué ben hein c'est SON anoblissement hein, elle imagine comme elle veut!
C'est alors que son parrain et marraine, hyper fiers et tout, vinrent la féliciter et s'excuser de ne pouvoir rester plus longtemps, le bateau omnibus presque direct pour un bled inconnu les attendait et la capitaine Had Hoc les attendaient.
Un peu déçue quand même, elle leur dit au revoir avant d'annoncer:

Le buffet est ouvert!!!!!!! Open bar et qu'on ripaille!
Faites entrer les troubadours, que ça danse, que ça chante et qu'on boive!!!!!!!!!!!

Tout était parfait, elle avait juste oublié Ragnok....
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Ragnok

La musique adoucit les mœurs dit le dicton, mais pas celle du blond. Dommage pour l'écossaise. Les invités s'écartent sur son passage, tant mieux pour eux. Sa colère est à un point qu'il les aurait probablement piétiné au passage. Arrivé à sa hauteur, il explose et commence à crier de sa douce voix grave

EDEN MC NAMARRA !! COMMENT AS TU OSE NE PAS ME PRÉVENIR !! CA VEUT DIRE QUOI CA?? ON T'A JAMAIS APPRIS LA POLITESSE?? TU PRÉVIENS TOUT LE MONDE SAUF MOI? TOUT LE ROYAUME EST AU COURANT ET PAS MOI??

C'EST TON NOUVEAU STATUT DE NOBLE QUI TE FAIT CET EFFET? MAINTENANT TU VEUX PLUS CÔTOYER LE SIMPLE GUEUX QUE JE SUIS?? J'SUIS PAS ASSEZ PROPRE POUR UNE DAME DE LA HAUTE ?? NON MAIS DIS LE, VAS Y DIS LE !!

Sans reprendre son souffle tout d'une traite. Il termine sa tirade, rouge de colère, la fusillant du regard, les poings serrés. Si il avait le pouvoir de tuer d'un regard, sans doute que Eden serait morte, morte et re-morte.

Lady_eden

Elle le regardait, souriait, le re regardait, re souriait et ainsi de suite jusqu’à la fin de la tirade.
Les murs avaient tremblé, les verres en cristal étaient fichus, mais la brune bougeait pas.
En fait elle examinait les options s'offrant à elle.

1) User de la technique déjà éprouvée en lice a savoir un coup sec et violent dans les roufles du blond.
2)Crier plus fort que lui.
3) L’assommer avec le beau jambon posé sur le buffet
4) Ben en fait y a pas de petit 4.

Ben en fait c'est a cause du fer! T'étais trop lourd....et puis vu le fantastique boulot que tu fais comme tavernier au Boudoir...j'voulais pas te déranger..

Petite mine amusée de la brune qui depuis des jours et des jours payait une taxe pour que dalle, à croire que même le blond avait cessé de boire...

Et sinon avec ta rousse ça colle?

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Sakurahime

Il en fallait pour lui clouer le bec, mais la nouvelle Dame de Séguenville avait trouvé une technique parfaite...
Avez-vous déjà observé un poisson hors de l'eau?
Il roule des yeux fous et ouvre largement la bouche comme pour chercher un air salvateur qu'il ne trouvera pas à l'air libre.

Elle, elle ne pouvait pas rouler follement des yeux, primo ben parce qu'elle n'en a plus qu'un, et secundo parce qu'en rouler un seul ça fait sérieusement con, mais avoir le bec ouvert sans pouvoir le fermer, comme foudroyée sur place, ne sachant pas si elle est ultra furax, ultra déçue, ultra in love, ultra tout à la fois ou ultra rien de tout ça parce qu'elle est trop stupéfaite et stupéfiée pour y penser posément.

Elle vient de se faire embrasser par une femme quoi...

Sa délicieuse tortionnaire s'en fut comme elle était venue, tourbillonnante, la laissant coite, avant qu'elle même ne pivote mécaniquement. Il était temps de rentrer pour elle.
Le temps de saluer la néo-suzeraine et son mari auquel elle glissa:

Un mot, un seul mot, et je vous coupe la langue.
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!

Riwenn

Le vieil homme avait suivi la cérémonie de près. Il fallait bien qu'il voit à quoi s'attendre, puisque, par alliance, il devenait le nouveau suzerain d'Eden. Et ce morceau de femme avait autant de caractère que son épousée.

Cela allait sans dire.

D'une, il fallait voir le nombre de personnages au caractère bien original qui composaient ses amis présents en ce jorn. De deux, elle avait ce costé riwennien de ne garder qu'une mémoire sélective selon ce qui lui importait. De trois, elle avait autant d'appoint dans sa grasce qu'en avait Firielle, puisque le baiser vassalique passionné que remit la suzeraine à la nouvelle vassale fut retranscript à la perfection par la nouvelle Dauna auprès de la Maréchale d'Armes. Héraut qui en fut d'ailleurs toute bouleversée, au point d'en rester bouche bée durant de longues secondes. Béatitude qui fut suivie d'une pensée toute particulière pour le vieil homme, partagée à voix basse bien entendu.

Pardiac n'eut pas d'autres choix que de se taire. Cependant, comme il estait question de langue, son sourire fit place à un tirage de l'organe charnu et mobile qui se situait dans sa bouche. Noblement bien évidemment. S'octroyant ce faisant une pensée pour la Dauna de Seguenville qui avait cette folie si présente chez les Castel Vilar. Juste avant de rentrer sa langue et de faire un clin d’œil à Sakurahime. Sans piper mot. Il tenait à sa langue le Gascon.

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Héraldique européenne

Marieladamnee

Marie suivit toute la cérémonie, le sourire aux lèvres. La Lady ne manquait pas de piquant ni d'humour et tout se passait divinement bien. Le final fût époustouflant. Un double baiser... Il n'y avait pas que le pacte du Jambon que concluait ainsi la belle écossaise. Une coutume du coin ?
Un sourire gourmand naquit sur ses lèvres en repensant à ce pacte et à l'idée d'ouvrir une charcuterie. Enfin l'idée de se déguiser en Gretchen avec costume bavarois et de prendre des kilos l'enchantait moins. Pis Gretchen quoi, ça sortait droit d'un conte pour enfant: Hansel et .. Ah non c'était Grétel, enfin bon ça se ressemble et elle collectionne pas les petits cailloux.

Elle s'excusa auprès d'Enjoy et se rapprocha du buffet comme les y avait invités Eden. Sur une assiette elle mis des tranches de jambon et prit deux verres avant d'aller rejoindre la Reyne du jour qui discutait avec un géant blond et italien ? Elle ne savait plus trop. Elle tendit le verre à la picte avec un sourire ainsi que l'assiette avant de lui dire:

Félicitations...Quel final... Vous concluez toujours par un baiser ? J'en serais presque jalouse ...
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Ragnok

Évidemment qu'elle ne le prenait pas au sérieux... réaction typique de l'écossaise quand elle sait qu'elle a fait une bourde tsssss

Le jeune homme la foudroie du regard puis d'une voix glaciale.

Je ne vous retiens pas plus longtemps, dame de Séguenville, je ne voudrais pas que vous ne puissiez profiter de votre nouveau status juste en parlant avec un gueux comme moi.

Le grand blond s'incline bien bas ironiquement devant la brune, se relève puis demi-tour et s'éloigne. Un bon verre lui ferait le plus grand bien pour le calmer. Mais il fallait qu'il prenne garde à ne pas se retrouver encore une fois devant la vieille rousse.

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[RP] Anoblissement de Lady_eden (27/11/1461)