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[RP] Ramène ta c'rise!

Andrea_
[Quelque part.]


Bon pour commencer faut situer "l'action". C'est super important pour la compréhension. Le souci c'est que...


Donc on est... là.
Non Andrea j'dirais qu'on est plus par là.
Non Gaïus, tu vois bien qu'on est là !
Andrea... Je suis sûr qu'on est... ici !


Parce que bien sûr, aucun couillon n'a été capable de coller sur la carte un point rouge avec écrit " vous êtes ici", ah noooon ça aurait été trop simple hein ! Non les gens d'ici mettent des cartes au mur pour aider les voyageurs et y a pas UN pélos qu'a été capable de coller cette putain de pastille rouge ! Et on dit que les bourg...


On est en Bourgogne, donc c'est ici.
Non, là c'est le Poitou. Et moi j'pense qu'on est là.
Donc depuis tout à l'heure tu me montres le même point sur la carte et t'es sûr que c'est là.
C'est le plan de la taverne Andrea, ton intelligence me...
J'le savais... Oui c'est ça casse toi, casss... ouai c'est ça fuit... Microbe va...
Forcément...


Alors oui, je sais, c'est important de situer l'action, donc maintenant vous savez, on est... dans une taverne.
Bleu, comme sa robe, comme ses yeux comme le ciel et... Bleu quoi - une phrase et vous savez comment elle est fringuée, la couleur de ses yeux ET qu'il fait jour, si ça c'est pas de l'exploit...
De la dextre elle caresse quelques instruments posés sur une table et le visage s'éclaire un instant, lueur sadique vrillant l'acier. Le bouge est vide mais l'on entend au loin l'agitation de la taverne principale, celle où le vin n'est pas cher et où les filles sont faciles, ça tombe bien, une grande philosophe a dit un jour : l'ambiance la mieux, c'est celle qu'on fait* alors je pars de zéro.
Enfin presque, des pas s'approchent et la porte s'ouvre dans un grincement -t'as vu le prix de l'huile?!-.



T'es ENCORE en retard.


On avait dit 11h30. Et m'la fait pas à la " tu m'dis jamais rien", parce qu'en vrai " c'est toi qui m'écoute jamais".


* Moi.

_________________
Kleze
    [Quelque part.]

    A droite, à gauche, devant, derrière, je fais le boogie woog... Ah non, ça c'était la soirée d'hier. Des filles pas trop compliquées - qui a dit"impossible" ? -, du vin, de la bière... Moi et les boug' un peu décadents, j'y suis comme un poisson dans l'eau, ou comme un curé dans une colonie de vacances si j'avais un humour d'merd'. Ah ouais, j'ai un humour d'merd'.

    M'enfin, parait qu'c'est le matin. Genre le vrai matin, celui où le coq chante, où le soleil se lève et où les comtesses ne ronflent pas avec un filet de bave aux lèvres en mode sieste éternelle - en vrai, elles se lèvent à l'heure de l'apéro, vers 18H... 18h du matin quoi -.

    Alors ouais. J'ai rencard comme on dit. Et pas l'genre de rencard pourri que l'commun des mortels a d'habitude, nan. Là c'est... La turgescence du rencard, l'rencard gonflé à bloc quoi. Un rendez vous avec la chiasse quoi. Et elle porte bien son nom, parce que j'finis souvent dans la merd'. Mais dans mon malheur ç'n'arrive pas souvent non plus. Les marmottes n'sortent pas d'hibernation bien souvent "en fait, tu vois". Les sangliers non plus. Mais les sangliers, ça n'hibernent pas.

    Gniiiii.
    Put'ain d'porte.


    T'es ENCORE en retard.

    Put'ain d'femmes. Toujours à râler. En plus j'suis même pas en retard. Ou si peu. C'est que j'm'amusais à faire des dessins en pissant dans la neige mais sans neige, du coup c'est difficile. Et ouais, j'suis à la bourre mais l'attente forge le plaisir y parait...

    Content d'te r'voir.

    Voyez, ça forge l'plaisir, et j'suis même heureux pour de vrai d'revoir la trogne du piaf.
    Par contre la chiasse, ton p'tit regard qui tue, ton sourire un brin sadique et les trucs qui font gling-gling sur la table; ça m'donne pas vraiment envie d'm'installer.
    Mais un jour, un grand philosophe m'a dit "y'a du beau même dans du laid*". Bon c'était un philosophe moche comme un cul en train de péter du coup faut relativiser le bordel mais c'est rassurant. Un peu.

    Chaise qui se tire, popotin qui s'affale dessus. J'm'installe, sourire en coin, regard fixé sur le piaf.


    Bon ? C'pour mon anniv' surprise ? Tu t'es souvenue de la date ? Y'a d'la vinasse, des jolis p'tits culs et de l'herbe magique ?


    Ouais. J'suis qu'un homme après tout. Un homme rêveur en plus. Du coup, j'regarde un peu partout pour chercher le pourquoi du comment d'cette rencontre fortuite-mais-pas-trop.


* Pas moi
Andrea_
[Quelque part.]



Y a des gens qu'ont déjà vu un trou du cul qui pète en plein dans l'action et on dit que j'suis bizarre? Bin putain, si ça c'est pas la preuve qu'on trouve de tout sur cette terre !
Il est en retard. Encore. C'est que j'commence à le connaitre le Klezouille, il vous balance qu'il a une vie, des choses à faire et tout ça, alors qu'en fait il est tranquillement dans un coin en train d'chanter. Et si j'peux vous dire un truc, c'est qu'il chante pas "bien". Ah ça, il connait les paroles hein, pas de doutes, dans toutes les langues qu'il peut vous chanter un truc, même le piano il le fait bien, il tient bien les aïgus -même que parfois on voudrait bien qu'il les lâche-, nan le souci du Kleze c'est... son répertoire musical.
Après j'ai envie d'dire, chacun ses gouts hein, mais la fierté putain! Bref, il est en retard. Pas de beaucoup c'est vrai, mais d'au moins dix bonnes minutes. Vous savez c'qu'on peut faire en dix minutes?

J'sais pas ce qu'est le pire quand j'le vois entrer, la p'tite goutelette sur ses bottes qui me prouve qu'encore une fois il a pas su viser, son sourire en coin mettant en valeur ses "sexy-lips" ou son tacle gratuit -bien que mérité- sur mon oubli de sa date d'anniversaire.
Bon allez, j'vais pas le laisser parler tout seul, pas encore. C'pas comme si j'avais un beau mec torse nu avec un glaive et un écran vert devant moi hein !


J'suis contente aussi, me revoir est toujours un plaisir, alors j'imagine que tu le sois.


Allez l'brun, on s'lance sinon on y est encore demain.


Ton... Est ce qu'on est le 23 Mars ? Non alors non Kleze, c'n'est pas pour ton anniversaire. Pour l'beau p'tit cul va falloir t'contenter du mien et pour l'herbe magique, prends pas tes rêves pour des réalités, j'ai bien du tabac alors tu t'f'ras un pétou sans herbe rigolote. Tu vas voir c'est pas mal aussi.


Ça c'est fait. Faut toujours le remettre en place le Klezouille. En même temps ce n'est qu'un homme ! On leur donne une main ils prennent un bras, aujourd'hui il veut de l'herbe magique et demain quoi hein? Un massage de pieds? Ohéh faut pas rêver hein !


Non en fait si j't'ai fait v'nir...


J'te donne pas trois minutes pour arrêter de sourire. Et j'te montre ça en trois étapes. Trois minutes- trois étapes, c'est comme ça.
Etape 1 : je plonge mon regard dans le tien
Etape 2 : je glisse mes doigts sur les instruments posés pas loin. T'entends le Chgling gling?
Etape 3 : Je regarde tes fesses. Ouai enfin au niveau de, parce que t'es assis dessus et que j'vais pas aller jusqu'à me glisser sous toi pour... Tu m'as compris.



J'suis d'jà v'nue à bout de tes poils Kleze et Georgette m'a confié quelque chose que je ne PEUX PAS laisser passer.

Georgette... Aaaah tu te souviens de Georgette?
En fait c'est une vieille, une grenouille de bénitier, j'sais pas trp où il l'a trouvé mais elle s'est jamais transformée en princesse charmante. Toujours est-il que la Geogeo, elle était toujours avec lui a une époque. La belle époque quand MONSIEUR cherchait son grâal. Il l'a trouvé il parait, alors la vieille a disparute -disparute, oui oui-. Mais avant elle m'a dit un truc...



Ça fait des mois que ça me tourmente, baisse ton froc.

Oh oui Kleze, baisses ton froc pour voir.
_________________
Kleze
    [Toujours Quelque part. Mais sur un siège.]

    L'art de l'entrée en matière. J'ai jamais compris ce truc. Mes parents me disaient toujours qu'il fallait être poli, courtois, respectueux, souriant, blablabla. Alors que franchement, l'entrée en matière ? C'est quoi ?
    Bah j'vais vous le dire, et c'est ultra simple - comme ça les filles, z'allez comprendre aussi -; c'est in facto, in texto ! C'est un couteau qui entre dans les rillettes que mamie a préparé, c'est une épée qui vient chatouiller un foie ou un poumon avec amour, c'est une langue qui visite une bouche "sexy lips", voilà, c'tout ça et tout simple l'entrée en matière !

    Du coup, j'suis toujours un peu surpris d'voir comment les gens entament une discussion ou autres.
    Là, la chiasse, elle embraye - en faisant craquer la boite - façon Narcisse. Pire même. Elle ferait passer Narcisse pour un dépressif qui se scarifie parce qu'il s'trouve moche. Et pas comme un cul qui pète nan. Genre moche, moche. Moche dedans, moche dehors. Moche partout quoi. Alors ouais, la chiasse, pour moi, t'as auto-suicidé l'principe même du narcissisme. Mais bon, c'est pas l'premier principe que tu fais flancher, ni l'dernier; et j'pourrais même te le chanter, mais pas maintenant hein. J'ai du mal avec les aigus le matin. Comme toi avec les paroles en fait. Moi j'ai la précision du texte, toi t'as le bon ton. Surtout le thon mayo sur les hanches. Hahin.

    Alors ouais, j'ai dix minutes de retard. Mais honnêtement, une femme, en dix minutes ça fait quoi ?
    Ca nettoie 3 carrelages ? Une demi fenêtre ? Ca se regarde 12 fois pour vérifier son maquillage ? Nan franchement, dix minutes c'est rien. Si, encore, j'étais à la bourre de trois heures, j'aurais pu dire qu'il manquait encore quelques minutes pour pouvoir faire une insinuation graveleuse. En toute modestie.

    Alors ouais, j'garde le sourire, le piaf, alors que tu m'racontes des immondices. Ouais, immondices. Parce que deux femmes qui parlent d'moi, sans moi au milieu pour punir de coups de reins, bah ça put la daube daubée. Parce que même si c'est pour une session "compliments & brossages de poils" bah y'a toujours du "mais" et du "si" qui trainent derrière ! Jamais contentes !

    Ouais, j'ai gardé le sourire. D'en coin il est passé à figé. De figé en grimace et puis c'coup d'oeil insistant sur... sur... Sur quoi hein ? C'pas que j'aime pas la couleur de tes yeux, Colombe, mais ton p'tit regard et ton "baisse ton froc", j'sais pas pourquoi, ils m'inspirent pas confiance.
    Et pourtant j'suis pas pudique, ni du haut, ni du bas, ni de dedans - j'donne des cours -, ni de dehors; alors tu penses bien que dans d'autres circonstances, j'serais déjà debout sur la table en train de jouer avec ma ceinture façon "et on fait tourner les serviettes" - suicide musical - et avec mon bonnet de Noël en guise de pagne et qui tiendrait tout seul, bien droit, avec le pompon pointant vers le ciel. Ouais, tout seul, sans les mains.

    Mais là pour l'coup, j'vais laisser parler ma pudicité - ouais ouais, c'est un mot qui existe pour de vrai - et j'mets en place ma technique du "j'me répète c'que je dois faire pour pas faire de conneries".

    J'baisse pas mon froc, j'baisse pas mon froc, j'baisse pas mon froc, j'bais' pas mon f'oc... Tulututu, alerte zoophilie !
    Nan mais, c'vrai quoi. Le truc de l'homme objet, c'pas pour maintenant, merde. Et j'suis loin d'avoir une gueule d'gigolo, en plus, la gigolitude, c'est mal. Du coup j'me relève, plus pour voir si tu regardes devant ou derrière, petit tour sur moi même en remuant le popotin; petit tour de table...


    Qui t'tourmente hein ? C't'une histoire d'taille ? Georgette a balancé ça ?

    Ouais de taille. En toute modestie. "Enlarge your péniche", comme disent les anglois.

    Et si c'pour voir l'autre côté, la politique d'la maison c'est donnant-donnant. J'te montre ma fesse, tu m'montres la tienne.

    Et ouais, j'ai quand même une petite idée d'c'qui t'intrigue la chiasse. Alors si tu veux voir et jouer avec tes chting-chting - ils sont pas un peu rouillés d'ailleurs ? - va falloir y mettre du tien.
    D'ailleurs, moi j'y mets du mien, j'm'occuppe de l'anesthésie. Deux verres, d'la gnôle. J'te sers le piaf; et avec un peu de bol, tu seras assez éméchée pour finir par oublier pourquoi on est là et tu ne feras que de parler. Trop parler, c'est toujours c'que tu fais quand t'as un coup dans l'nez, Colombe ! Et en plus t'oublies ta pudicité intérieure dans ces moments là.
Andrea_
[Quelque part encore. Sur un siège aussi. Mais pas le même.]


J'aurais jamais compris les gars qui se posent dix milles questions quand on leur demande un truc. Nan mais c'est vrai quoi, on te demande de baisser ton froc, tu baisses ton froc c'est tout! C'pas comme si j'allais te...
Ah bah nous y voilà, j'me disais aussi que c'était bizarre que ça soit pas v'nu plus tôt. A force de lui répéter que j'allais finir par lui mettre un truc dans l'fion, l'pauvre bonhomme finit par vraiment l'croire.
Allons Kleze, t'es sérieux? Tu penses vraiment que j'pourrais t'glisser pardon, t'enfoncer de force en forçant bien -j'en rajoute exprès hein- un objet contendant, dur et piquant dans l'editat de cenzori? Mais ça va pas la tête, même si tu me le demandais j'pourrais pas. Nan c'est vrai j'ai r'fait mon vernis et...

Bon déjà il sourit plus. Et ça c'est une victoire -pour super can...colombe-. J'sens bien qu'il s'égare un peu l'garçon sûrement à la lisière de toi, ou à l'orée du moi, mais je le laisse rêvasser un moment. Le rêve c'est un peu c'qui tient en vie les trois quart des gens dans c'royaume hein, sinon on s'rait tous dans une charette sur-équipée en train de faire gueuler les chevaux jusqu'à ce qu'on s'plante dans un arbre. Alors oui, j'le laisse rêver. J'lui mettrais bien une p'tite musique d'ambiance mais on en revient au même, les gouts et les couleurs...
J'en profite pour m'servir un godet tiens, ça passe le temps c'est sympa, le vin est sûrement dégueulasse mais comme j'compte pas l'payer, j'vois pas où est l'souci...



Qui t'tourmente hein ? C't'une histoire d'taille ? Georgette a balancé ça ?

Et ça d'vient rouge, et ça tousse, et ça.... ça s'étouffe pour finalement éclater de rire. En voilà que la modestie et l'humilité étouffera aussi tiens.


Ouai, c't'une histoire de taille. Parait même que plus l'temps passe, plus ça grossit. Et pas uniquement quand tu m'vois.


Ça, c'est fait. Par contre j'vais t'faire regretter un instant de faire des propositions à la mord-moi-l'noeud. Parce que moi j'en ai rien à foutre de t'montrer ma fesse. T'es pas au courant encore que j'adore les défis? Qu'les paris c'est mon dada et... Allez Kleze, juste pour toi !
Le corps se lève, le séant se décroche de la chaise et le sourire s'aggrandit, d'une oreille à l'autre. Faut juste la jouer serrée, j'sais c'que tu cherches. Mais t'auras la droite.
Le bleu fixe le marron de cochon du Brun et la botte claque sur la chaise. La lèvre est mordillée et le regard... bleuté -le spectacle!-.
Le jupon se redresse, et on fait comme si y avait pas de poussières. Le cuissot est pâle mais ferme, les voyages ça muscle un peu, à moins que ça soit les coups d'pompe distribués gratos-.
Ouvre tes mirettes mon grand, c'est l'genre de truc que tu verras qu'une fois dans ta vie !



Tu regardes, t'as trois secondes. On touche avec les yeux et on r'garde pas avec les mains, t'es prévenu.

Un...


Deux...



Ça t'en bouche un coin hein!
_________________
Kleze
    [Quelque part. Debout, yeux bien ouverts.]

    Et voilà. Y'a pas à dire, les nanas quand elles veulent un truc, elles sont prêtes à faire n'importe quoi. Du coup à voir la chiasse se redresser et poser des règles - nan, pas les menstruelles - comme si j'étais en visite dans un magasin trop "hype" du style porcelaine de Limoges, cristal de machinski ou demoiselle de Fourniret.

    Faut dire que je pensais pas qu'elle s'éxécuterait la Colombe. Avec son style de femme trop indépendante, ses idées farfelues, son humour bizarre... Nan, manquerait plus qu'un manque de confiance caché derrière tout ça, des peurs bizarres et ça ferait un joli cas pour Sigmund.
    En parlant de joli cas. C'sympa ce truc là. La levée du corps, la botte qui claque sur le bois... Par contre t'étais pas obligée de te mordiller la lèvre, j'ai l'impression que tu prends ton pieds. Mais bon, j'vais pas râler, d'une parce que j'suis un mec, de deux parce que j'suis trop occupé à mater ton jupon qui se fait la malle. D'ailleurs j'suis à peu près sûr que je penche la tête inconsciemment pour mieux voir.

    Une cuisse. Elle a pas souvent vu le soleil nan ? Aller hop hop hop !


    Hisséo !

    Ouais, j'me suis laissé emporter. Trop d'entrain quoi. M'enfin c'est qu'y a un bout de fesse qui se dévoile, alors forcément, j'ne suis qu'un homme, mon QI a été divisé par dix au passage du jupon par dessus le premier arrondi. Ou par vingt, parce qu'à la base j'suis pas con.
    Ah tiens. Une fesse. Et pourquoi tu comptes ? Hein ? Un ? Deux ? Nannnnn !


    Ving huit !

    Bah quoi ? T'as pas dit trois le piaf. Et le temps d'aller de 28 à 3, j'ai le temps d'apprécier. C'est mon côté artiste qui parle, ouais, le côté artiste. Ou plutôt l'côté artiste qui regarde. L'expectative, la contemplation, toussa, toussa.

    Et béh. T'es canon le piaf.

    Un p'tit compliment avant...

    Par contre, faudrait te trouver quelqu'un qui soit plus énergique dans la fessée, parait que ça évite la peau d'orange.

    Et paf. Ouais parce qu'un grand philosophe m'a demandé un jour "tu sais pourquoi y'a que les femmes qui ont de la cellulite ?". J'ai pas trouvé sur le coup, mais la réponse a changé ma vie. Comme une illumination. "Parce que c'est moche". Et voilà, bim, avec tout mon amour les filles.

    Hey ?!
    T'as pas dit trois et tu remets tout en place ? Tu sais pas compter ou ça sent l'arnaque ? Ou alors t'es pressé d'voir mon popotin. Ouais, ça peut être que ça. A moins que...


    T'as désappris à compter ?

    Bon d'accord. D'façon j'ai pas mon mot à dire. J'le vois dans ton regard. Par contre ton p'tit sourire c'parce que c'est mon tour ? J'vais me la jouer comme toi alors. Mais d'abord j'vais finir mon verre de gnôle. Et puis m'en resservir un et le vider à nouveau. Ouais, faut du courage. Ou pas.

    Bottes qui claquent. Légère cambrure du bassin. Mordillage de lèvres. C'comme ça qu'on fait ? Comme les pro's quoi. J'me doute bien que je suis en mode imitation étrange mais j'fais ce que je peux. Ceinture qui claque dans l'air. Schlak, schlak. Ouais, j'ai le coup de poignet qui trahit mon expérience. Et c'bien parce que c'est toi hein, la chiasse. J'ai beau savoir que ça va être la merde, j'adore m'y mettre dedans quand ça vient d'un de tes plans pourris.
    Bon et là ?
    Moi j'remonte pas mes braies hein, ça va pas être pratique et en plus ça risque de me compresser c'qui a entre mes cuisses. Alors ouais, les braies tombent. Elles tombent comme une crotte, d'un coup, d'un seul. Comme toi quand tu passes de l'état éveillé à l'état "je couine avant mes rêves", la Colombe.
    Voilà paf.


    Par contre tu m'en veux pas si j'garde mes mains d'vant c'qui fait d'moi un homme ?

    Ouais, deux mains, une histoire d'taille, toussa, toussa.
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