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[RP] Reims ne sert de Courir, il faut partir à point.

--Renard
L'Renard se retourna pour observer Juma qui se ramenait dans la salle du trone suivit de prêt par une gamine à l'air noble, marchant la tête haute. Le Brigand souria, voilà que les bourrins prenez des airs de cérémonie officielles.

Cher Juma! Cela faisait longtemps!

L'Renard ecarta les bras pour designer majestueusement les tables remplis d'inombrables mets ayant l'air si divinement bon. Un sourire en coin, voyant une tarte généreusement garni de crème patissière qu'il eclaterait bien dans la figure d'Ater, histoire de se rappeller le combat dans l'arene..

Felicitations mon Ami!

[i]Puis le Brigand se retourna vers l'enfant, prenant une hatitude plus sérieuse, à la hauteur de ce que montrer l'ambassadrice .


Si vous êtes envoyez par le peuple sachez que bientot les nouveaux dirigeants la Champagne tiendront une declaration publique. C'est moi L'Renard. Je vous assure personnelement que les caisses ne seront pas en négatif. Du moins 500 ecus ont été laissé pour permettre de vous debrouiller avec un minimum si vous ne refoutez pas des bons à rien au conseil. Nous avons pensé aux vaguabonds et esperons que les mines tiendront, l'experience a fait son chemin dans nos têtes. Reims ne sera pas comme Tours. Etes vous satisfaite?

L'Renard alla prendre une autre pomme sur la table mais cette fois ci, il l'offrit à la moitié de femme.

Tenez, dites vous que cela est de bonne guerre. Au n'oubliez pas, demain grande journée de fête specialement pour le Peuple. Faites le savoir.

L'Brigand plongea son regard dans celui de l'ambassadrice et l'observa avec interet, attendant sa reponse avant de partir pour la laisser discuter avec le Ô combien majestueux nouveau Duc.

Jumarow
Juma, une fois "Son exellence amenée dans la salle festoya dignement, puis après avoir bien bu, une fois que sa vessie était pleine, il se leva de table, rota, puis se leva, et glissa a l'oreille du R'nard

Bon maintenant il est temps d'aller honorer les Rémois, et de rendre hommage à un certain Ricoh qui voulait montrer ses lunes aux Artésiens du haut du chateau d'Arras ...
J'te raconterais ...


Juma se leva, en titubant, puis s'éloigna en direction de la plus haute tour
Mytia
Les premiers pas qu'elle fit aux cotes du briguant lui firent regretter de na pas avoir Gabriel a ses cotes. Si au moins le moine avait pu le trouver, elle n'aurai jamais accepter de pénétrer dans ce lieu sans lui auprès d'elle. Mais les choses étaient différente.

Son angoisse augmenta quand une femme au regard empli de haine se joignis a eux. et tout en continuant leur progression, l'état du château se découvrait devant ses yeux, de même que les cris de victoire lancé, ou crié retentissait au plus profond de son cœur. Elle serra les poing, broyant par la même la missive qu'elle avait écrit peu de temps auparavant.

Comment avait elle pu croire qu'elle avait cette force de caractère qui habitait les anciens la rendant capable, elle, d'être magnanime face aux massacre et au sac qu'elle pouvait entrevoir dans ce lieu. Fallait il qu'elle soit si gonflé d'orgueil pour s'être rendu ainsi, forte de son arrogance, demander au duc de pacotille de se rendre en tout amitié. Elle n'aurai jamais le verbe et l'indifférence suffisente pour y parvenir. Pensée qui se concrétisa quand son regard tomba sur un cadavre ensanglanté qu'elle reconnu pour être celui qui l'avait guidé jusqu'à son bureau la première fois qu'elle avait pénétré le château. Elle posa sa main devant sa bouche réprimant un haut le cœur, luttant de toutes ses forces pour ne pas hurler sa colère qui grandissait a mesure que ses pas avançaient vers l'auteur de ce massacre.

C'est ainsi, missive froissé dans une main, regard gris acier empreint d'une haine qui lui était encore pour l'heure inconnu qu'elle parut dans la salle du trône transformé par les freluquets en salle de banquet et d'orgie en tout genre.
Un homme vint vers eux alors que le garde qui l'avait accompagné s'était adressé a un autre. Elle écouta ce qu'il avait a dire, mais malgré un discourt qu'aurai pu tenir un dirigeant, il n'en était pas. Elle n'avait donc pas grand chose a voir avec lui. Lui portant un regard dédaigneux elle lui répondit avec suffisance:


Je ne suis pas envoyé par le peuple, quand a vous vous n'êtes qu'un exécutant, j'ai demandé a être reçut par le "duc" et non ses coupes jarrets ! Quant a la fête de demain, la seule qui doive avoir lieu s'appelle la messe, celle qui rappel a tout homme qu'il est enfant de Dieu et se doit de l'honorer chaque dimanche. Je vous invite a vous y rendre et demander pardon au peuple que vous avez bafoué et volé, et de demander au Seigneur de prendre pitier de votre âme !

Elle regarda la pomme qu'il lui offrit la refusant d'un geste de la main.
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--Harfangblanc
Durant la journée


L'Harfang, il en avait de l'expérience: Tours, Montpellier, Montélimar.

Malgré tout, durant l'après-midi, Briseys et l'Renard était venu le voir, le voir en personne. L'Harfang, il était honoré, deux grands hommes venant le voir !... Malheureusement, c'était pas pour de bonnes raisons, du moins, c'était pas une bonne nouvelle pour lui.

Briseys : Hey l'Harfang, ce soir tu n'attaques pas...
Harfang : Pourquoi, j'ai de l'expérience, je suis capable, vous le savez bien
l'Renard: Non tu fais ce qu'on te dit, y a pas de mais !


Un peu dépourvu, l'Harfang se plia aux ordres et s'en retourna vers le verger. Ce verger, il était vide, les fruits étaient absents, un peu comme l'esprit de l'Harfang.De plus, l'hiver approchait, il ne restait que quelques fruits dans les arbres dépourvus de la plupart de leur feuille. Le paysage était sinistre. Le vent était glaciale et les habitants de la capitale avait le même accueil. En faite, le duché n'était pas super accueillant. Partout au 4 coins du Royaume de France, on entendait la grande réputation de la Champagne et de sa capitale.

Une grande réputation, oui ! Un duché qui donne des procès pour des possessions d'épée. Voilà la réputation de la Champagne. S'acharner sur les voyageurs inoffensifs ayant des épées sur eux. L'Harfang, son épée, c'était comme son enfant. Un trésor précieux dont il ne pouvait se départir.

Bref, l'attaque du château aurait lieu ce soir, une attaque sans l'Harfang.



Le lendemain de l'attaque


Il s'était lever tôt ce matin. Le château devait être pris à cette heure. Il devait aller chercher sa part, celle de ses deux copines également. Il vit quelques gardes amochés mais passa à côté deux en leur jetant un regard méprisant. Il rencontra ses copains habituelle dans le château. Après quelques moment à chercher où était son butin, il en ressorti avec une charette qu'il alla caché dans les bois le temps de prendre la poudre d'escampette. La ville paraissait plus sinistre que la veille, mais il s'en foutait, il était riche tout de même!

La charette dissimulé, il se dirigea vers une taverne miteuse où il rencontra des habitants en furie, qui, manquant d'accueil, le foutu à coup de pied dehors de la taverne.

Voilà l'accueil qui nous étaient réservé !
--Briseys
Briseys souria à sa douce quant il la regarda partir après qu'elle lui avait déposer un baiser sur le front, il s'apprêta à rédiger une petite information quant il vut une petite femme dont le comportement désinvolte le faisait rire. Il se leva d'un coup sec oubliant sa blessure, il grimaça et s'approcha de la petite.

Dis moi ma mignonne, tu voudrais pas te faire couper le jarret par hasard ? Tu n'as pas l'aire de savoir à qui tu t'adresses, tu as en face de toi un grand brigand, l'organisateur de cette attaque alors si tu dois causer avec quelqu'un c'est bien avec lui et personne d'autre, ensuite ne parle pas de seigneur en ma présence ou tu risquerais de finir dans un plat à côté du porc sur la table.

Il lui souria puis fit un clin d'œil à son fidèle ami.

Cette dernière phrase avait fais penser à Briseys un moment de l'attaque de Tours, en effet une serveuse avait refusé de lui obéir, illico presto il lui trancha la tête avant de la faire cuire et la donner à manger à ses amis brigand, la pauvre eu la vie courte. Il revint de ses pensés et alla chercher un cadavre un peu plus loin, celui d'un homme, et avec difficulté il le prit et le transporta près du mur ou il le fixa à l'aide de clou en forme de croix comme celle du "seigneur" il se retourna avec un grand sourire essuyant ses sueurs et repartit sur le divan finir son message et concrétiser son idée et se reposer.
--Renard
L'Renard reprit sa pomme, ne detournant point son regard de la gamine.

Vous avez tort, ce fruit vient justement de vos vergers. Quoi que, etant donné la mediocre defence que presente cette region il est vrai que des questions se posent sur la qualité de ses produits.

Il reposa le fruit sur la table quand Briseys arriva, un sacré compagnon lui, il y avait pas à dire, l'était sympathique ce castor.

Escusez mais vous parlez à sa sainteté Briseys, homme d'eglise, veuillez ne pas blasphemer.

L'Renard se retourna et observa le trone qui était vide.

Désolé Sainte Fille mais l'Duc est en train de montrer son seant avec la dizaine de Bourrins, vous comprenez qu'il est Ô combien occupé et devoué à son peuple. Digne d'un dirigeant. En attendant vous pouvez toujours demander pardon auprès de Messire Briseys qui d'ailleurs, risque de faire la messe à votre place demain si vous persistez à fouler le Chateau de Reims la Majestueuse avec tant d'arrogance.

--Farfa



[Dans l'donjon]

Ya pas à dire, tout jusque là s'passe comme sur des roues d'charette. La porte est ouverte, les derniers gardes s'sont barrés d'puis longtemps ou agonisent dans leur coin. Ou sont ben cachés alors ! On n'en attendait pas moins d'eux...Farfa court partout, cherchant ces fameux nobliaux. A Tours l'avait ben rempli l'cariole, les autres n'avaient fait que d'ripailler. Chacun son Tours ! Farfa laisse l'soin aux autres de s'occuper d'ça et part à la chasse. Y s'marre comme un p'tit fou, s'te chasse aux nobliaux lui rapelle l'Dahu qu'y chassait souvent, dans l'temps. Pour sûr qu'y voit pas l'mauvais signe, qu'il a jamais réussi à en attrapper un seul, d'Dahu ! Qu'importe ! Cette fois c'est l'bonne ! Y pénètre dans une cave, s'disant qu's'y doivent s'enfuir ce s'ra par un souterrain.

YOUYOU NOBLIUU ?! Y ES TU !?!

Pas d'réponse.. Par contre ce lieu sembl' être un coffre fort à lui tout seul ! On s'croirait à Noirlac didonc ! S'alignent d'vant un Farfa aux anges des cuves et des cuves de s'qui semble ben être du champagne...
Mytia
Un troupeau d'hérétiques ! S'il avait fallut qu'elle se rende ici lieu par elle pour le croire voila qui était fait. N'était ce pas le maréchal Mun qui lui avait dit que parfois la colère était salvatrice, elle l'avait réprimandé a l'époque pour se conforté dans le péché, lui trouvant une excuse, elle en voyait aujourd'hui toute la vérité, et c'est cette colère qui lui permis de rester debout face au malotru qui venait de lui faire menace. Mais s'était encore rien a coté de ce qu'il venait d'accomplir en clouant un garde mort au mur comme il fut fait de Christos.

Mytia se signa murmurant une prière a l'intention de ce dernier ayant mille peines a en détacher le regard pour le reporter sur celui qui l'avait "acceuillit". Demander pardon a ce suppôt du sans nom, s'était sans doute la chose la plus ridicule qu'elle eut entendu, mais vu leur nombre, s'il avaient voulu l'occir elle n'y aurai rien pu et une nouvelle fois laissa sa vie entre les main du prophète, ne repondant pas a la recommandation.

Toute fois, il avait au moins raison sur un point, elle n'avait plus rien a faire ici. S'il lui fallait des preuves pour saisir l'officialité, on lui avait offert tout ce qu'il fallait:


Vous avez raison, je n'ai plus rien a faire en ce lieu !

Elle fit volte face, un dernier regard toisant le dénommé Briseys, gravant en sa mémoire les traits de son visage, l'occasion lui serait sans nul doute donné de le revoir un jour et entama sa sorti. Pas besoin d'escorte, elle connaissait le chemin. Restait a prévenir Rome que le sans nom en personne avait pris Reims et de bénir les valeureux soldats de Champagne qui nettoierai le château de cette vermine.
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--Nain_tolerant


[Dans le donjon]


Nain Tolérant qui suivait Farfa' vit la magnifique découverte que son compagnon avait faite et lui comme tous ceux de la guilde regardait bouche bée ce superbe trésor. Il descendit donc ce mettre dans un tonneau prendre un bain dans cette boisson puis la but a en devenir saoul...
Apres tout les ennemis étaient soit mort soit parti pleurer certainement a l"église...


[La nuit du lendemain]


Le Nain se préparait a partir il venait de décuver et prenait son tonneau pour la route quand le Farfa parti a sa rencontre et lui demanda si il voulait bien se battre encore une journée. Il répondit

Oui, biensur si c'est ton voeu le plus cher =) Néanmoins j'espere qu'il y aura des vrais combattants ^^ Je veux aussi chasser du nobliaux fin si eux veulent se ramener car ils sont fort pour courir, trop rapide pour moi ...
--La_teigne
[ dans le donjon ]



Elle était tombée comme un enclume, épuisée par toute la tension accumulée, par les combats, roulée en boule dans tout un fatras de tentures, coussins, draps de velours, pompons ( elle devait d'ailleurs en ramener des beaux, des colorés à Kamazone ! Pour qu'elle les accroche à la hampe de son choix ... ) et là, elle ronflait profondément lorsque Raoul la secoua sans ménagement pour lui dire qu'un bras de plus ne serait pas du luxe dans le donjon.
La Teigne souleva une paupière lourde comme un manteau d'hermine, tenta d'articuler quelque chose comme :
" hmmmphhhh ... ah oui ... j'arrive ... deux secondes ... mon bouclier ... 'vec ... euh ... enfile ma chemise ...va devant ... j'y cours " Je referme ... un ptit instant ... mes yeux ... je ... viens ...


Farfadet, Nain Tolérant, Raoul et les autres l'attendent toujours.
--Le_nain_a_9_jambes
Après avoir parcouru 53 km a travers la campagne le nain a 9 jambes entra dans la ville de reims et vit au loin le chateau

A moi tout l'or hahahaha

Il courait a present en direction du chateau bousculant les gueux sur son passage.Il lança un grappin qui s'aggripa dans les creneaux de la muraille et se hissa sur les rempart.Furtivement,il entra dans une petit tour et rammassa quelque écus qui gisait par terre a coté d'un garde a moitié mort qu'il eu plaisir a achevé.Puis,Il s'elança en direction du donjon la ou tout l'or devait se trouvé.

Après une bonne 20aine de lancer de grappin infructueux ,il se dit qu'il irai plus vite en passant par la porte.Il entra dans une grande salle et fit bien attention de ne pas reveiller La Teigne qui dormait dans un tat de chiffon.Enfin après avoir parcouru les 56 marche,il arriva dans la salle ou se trouvait les coffres mais Farfa ,Raoul et bien d'autre brigand etait deja en train de la devaliser


Par les dix milles poils de la barbe de Golzor l'intrepide,ils ont pas tardés les bougres tant pis j'y vais sa se trouve il ne me remarqueront meme pas

Ils s'elança donc vers un coffre et l'ouvrit en silence
Maelisse@
[Quelque part dans le château]


Comme a son habitude Maël s'était éclipsé des festivités mondaine, de ses camarades... elle n aimait absolument pas ça, se pavaner, et se glorifier, n était pas du tout son style... peut être trop humble, mais bon elle préférait.

Elle était donc partie à la visite du Château, de ses grandes pièces et ses recoins. Tout y était majestueux, et clinquant... trop peut être, mais Maël trouvé cela joli... bien plus qu’à Tours.

Des effluves de parfums des grandes dames, planaient dans les pieces et les couloirs.

Maël entre dans l une des chambres, a poignée d or, la pièce était si grande... qu'elle aura pu y faire sa propre maison dedans.
Au fond il y avait un lit avec des tentures bleues roi, des broderies, sur la gauche, une armoire, que Maël ouvrit.
Emerveillée, toutes ses toilettes somptueuses, qu'elle pouvait essayer. Elle enleva vite ses guenilles, pour enfiler une robe de bal, blanche et or, laissa tomber en cascade ses cheveux et se mira dans le miroir à pied.
La Dame devait être un peut plus large que Maelisse, car on ne distinguait pas le petit ventre arrondit, et elle avait même pu fermer la robe….

Si seulement son ange pouvait la voir.

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--Renard
C'la faisait une bonne demi-heure maintenant que L'Renard vaguabondait dans la chateau à la recherche de sa Déesse qui, comme à son habitude, aller satisfaire sa curiosité loin des pillards. Elle était exceptionnelle, il en était fou amoureux et chaque jour son amour se renforcait d'avantage.

Maelisse? Maelisse?

Il avait déjà arpenté d'inombrables pièces commes salons de thé decorés avec élégance, chambres d'amis très luxueuses, de spacieuses salles à mangers, des cuisines avec de gigantesques fourneaux ou autres salles diverses et variées tout à la fois plus belles les unes que les autres. Mais à chaque fois, rien! Où était donc t'elle allait? Légèrement frustré, l'Homme s'assit sur un des nombreux banc en chêne qui bordaient le couloir puis reflichassa.

"Voyons voir, où serais tu allé ma Belle?"

Soudain, un eclair d'illumination lui traversa l'esprit. Biensur! Maelisse était surement dans les chambres princières situées dans la Tour Ouest! Loin du vacarme, dans une atmosphère Noble et Luxueuse!
Sans plus attendre l'homme leva son seant du banc et sprinta dans la halle d'entré, la main tenant le pommeau de son épée pour ne pas que son arme ne le gêne. Il croisa quelques confrères qui l'interpellèrent pour savoir où ranger les coffres remplis d'or mais il ne prit pas la peine d'y repondre et monta déjà quatre à quatre les marches menant aux étages.

C'est au bout de cinq bonnes minutes de course que L'Renard arriva enfin là où il pensait retrouver sa désirée. Tout de suite, il sut que cette partie si du chateau était un lieu très prisé de la gente feminine. Surement à cause de la decoration subtillement douce et raffinée ou bien l'odeur delicieuse de parfum qui venait lui chatouiller son odorat. Le coeur battant il posa la main sur la poigné, le coeur battant et l'ouvrit: Rien! Devenant de plus en plus frustré, il se pinca les lèvres et alla tenter sa chance dans la chambre voisine. Esperant de tout coeur voir sa Femme, il poussa doucement la porte..


Mae..

Elle était là, dans une splendide robe de princesse, se contemplant dans un miroir, les yeux petillants comme une enfant rêvant d'or et de pailette. Un sourire se dessina sur les lèvres du Renard. La Belle se tournait avec grace, sa chevelure dorée dansant dans les airs sous ses mouvements, pour mieu se contempler dans le miroir. Et il lui dit, d'une voix tendre:

Tu es ravissantes mon Ange.

Plongeant son regard dans ses yeux d'un bleu profond, il s'approcha d'elle, déposa ses mains sur ses hanches pour venir gouter ses lèvres avec passion. Savourant eperdument se baiser, il recula légèrement le visage, le front appuyé contre le sien, et lui murmura:

Nous avons réussi. Princesse Maelisse, le Chateau de Reims est à vos pieds..

Medina
Confortablement installée dans l’un des bureaux du donjon, une tasse de thé à la main, Médina observait les troupes du célèbre OST de Champagne, tentant difficilement d’organiser la contre révolte.

D’une voix calme et posée, elle s’adressa au gros Bob.

- Finalement, ils ont rien de si terribles ces champenois … La nuit dernière, les quelques traine-savates engagés à la va-vite auront suffit à les mettre en déroute … Feraient mieux de nous le laisser ce foutu château, ces incapables …
--Gros_bob


L’gros Bob, vautré sur un fauteuil, devant la cheminé, s’éclaircit la voix avant de répondre.

- Ouaip … Bein, si c’soir, ils pouvaient n'pas être plus virulents, ça m’arrangerait. J’ai filé rencard à une jolie p’tite Rémoise dans l’bureau du Juge …
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