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[RP] Huis clos, Tribunal et Conseil Tenebris

-fromFRHalleck
La pièce est sombre et obscure. Le noir règne en maître. Vous ne le voyez pas, n’en avez conscience, mais d’imposants blocs de pierre sont alignés à intervalle régulier, décrivant un cercle. Ceux ci sont creusés en forme de siège. Une main vous guide, vous invite à prendre place. Vous disposez de vos armes car personne n’a prit la peine de vous les retirer. Un crâne sur lequel restent quelques lambeaux de chair repose sur l’un des accoudoirs au cas où la faim vous tiraillerait. Vous prenez place sur la pierre suintante et humide…

Au milieu de la salle s’élève un présentoir sur lequel repose un crâne tourné vers vous. Dans celui-ci scintille une bougie. La faible lumière s’extirpe des yeux et de la bouche pour vous éclairer doucement. Le crâne vous scrute, vous dévisage, vous lorgne de son regard dédaigneux. Fruit de votre imagination ou déconcertante réalité ?

Si les deux sièges accolés au votre sont légèrement éclairés par la flamme, les autres restent baignés dans l’obscurité.

Les minutes s’égrainent sans que rien ne se passe. Vous ne le savez, mais d’autres reposent sur les pierres taillées adjacentes. Tapis dans l’ombre, on vous observe. Les soldats de Nestrecha sont la, gardent le silence et prennent plaisir à vous contempler. La voix de l’un d’eux peut s’élever à tout moment.

Un rot déchire le silence, résonne longuement. Quelques rires hideux fusent. Des ombres ondulent, se déplacent. Puis le calme revient de nouveau. Et l’immobilisme reprend sa place.

Le froid se fait de plus en plus agressif, caresse votre peau, hérisse vos poils. Vous vous languissez de cette attente interminable. A vous de choisir, patienter encore ou élever la voix…



[HRP]Topic qui peut être utilisé lors du jugement de l'un des nôtres (On ne sait jamais, l'un de nous peut un jour avoir à expliquer l'un de ses actes devant ses frères.
Egalement mis en place pour le cas ou un étranger voudrait parler aux IT.

Dans tous les cas, l'ensemble des IT peut intervenir, à tout moment, et exprimer sa pensée.[/HRP]
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Mort au combat !

Né à la cour, Voué à la cour !
-fromFRFariboles
Ainsi le soldat la regardait comme un beau morceau de viande sur un étal, cela ne l’émut pas. Les hommes restaient des hommes, même s’il vouait d’autres cultes.

Elle lui emboîta le pas sans tenir compte de sa sottise, elle aurait pu le tuer et s’enfuir en moins de temps qu’il n’en eut fallut pour le dire. En tout cas c’est ce que son orgueil lui dictait.

On fait asseoir Fariboles dans un endroit très obscur, sombre entre tous. De faible lumière poindrait ça et la mais elle voyait à peine sa propre main si elle la tendait. Un crâne encore sanguinolent était a coté d’elle, sympathiques intention, l’odeur du sang a toujours excité cette part d’elle, cette par animale et sauvage.


GRRRRRRRRR

Mais il n’est pas l’heure de répondre à ses instincts primaires. Elle préfère ne pas y toucher. Que faire en cet instant ? Attendre semble t’il, bien qu’elle ne verrait pas son vis-à-vis s’il y en avait un. Puis cette odeur, elle avait l’impression qu’Halleck n’était pas loin. Mais l’humidité de la caverne faussait aussi bien son nez, que l’ombre son regard perçant. D’autant que seul le silence pouvait lui donner des indications… Et elle remarque, un battement de cœur qui n’est pas le siens.

Ainsi tu es là, hôte de ses lieux.
Vois la promptitude que j’ai mise personnellement pour te trouver.
Vois que les chacals qui m’ont enlevée sont en vie, et sans dommage.
Vois que je suis aussi coriace, subtile et dangereuse… Mais non exempte de tout sentiments loyaux.


Elle réfléchi vite. Après tout si t’en est qu’ils aient un patron c’est celui là.

Vois qui se tiens ici.
Parlons.


Voici la salutation la plus respectueuse qu’elle eut pu faire en de telle circonstance.
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient à droite du Grand siège]


Ainsi elle est venue à eux. Une ancienne. Une sœur d’arme. Béziers. Loin déjà.

Il porte le crâne qui repose sur l'accoudoir à sa bouche et le lèche délicatement. Il n'a pas vraiment faim et préfère simplement tremper les lèvres dans ce met de choix. Un crâne repose sur chacun des accoudoirs des anciens sièges taillés à même la roche.

Ils sont frais… Cueillis la veille. Il se gratte un peu l’oreille, puis le nez, tout en dévisageant la rouquine qui vient de prendre place. Celle-ci semble quelque peut énervée. La rage n’a pas sa place ici. Il attend, un peu, beaucoup, énormément. Personne n’élève la voix. Il ne le fait pas non plus. Aucune envie de parler en premier. Aucune envie de palabrer, simplement.

Un regard fuse à gauche, en direction du Grand siège, ce siège imposant et massif situé en face de celui de l’invitée. Rien ne bouge, pas un mouvement.

Il continue de laper son crâne patiemment. Puis il en a marre. Et élève la voix.


в тенебрис Calembredaine !

Mange... Et repait toi...


Un rot s’élève. Lui se tapis à nouveau dans un silence énigmatique. Il ne sait vraiment que faire ou que dire. Il commence donc pas le début. Le plus important.

Expliques nous donc... La raison de ta venue...

Il croque alors, enfonçant ses dents usées dans la chair fraiche, la ou il a déjà aspiré tout le sang, la ou il ne reste que le tissus adipeux. I a hâte d’entendre ce qu’elle est venue leur conter.
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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient plus encore à droite du Grand siège]


L'autre vient de parler. Il à écouté soigneusement. C'est la première fois qu'il siège ici. Peu de temps qu'il a rejoint In Tenebris. Quelques missions lui ont étés assignées et il les a toujours remplies avec brio. Il n'a pas fait Béziers. Les anciens ne cessent d'en parler, ressassent encore et encore les récits merveilleux à propos de cette guerre...

Il joue avec les poils de sa barbe, profondément enfoncé dans le siège de pierre qui lui talle le cul. Le crâne lui coupe plus l'appétit qu'autre chose. Il apprécie mordiller les oreilles d'habitude mais aujourd'hui, c'est le rousse qui accapare toute son attention.

Il tapote de ses dix doigts les accoudoirs, remue sa tête dans le rythme. Les autres n'entendent pas. Il joue pour lui, uniquement pour lui.

Il ne comprend rien à cette affaire. Les bourreaux ont rapporté une affiche promettant récompense contre une femme. Ses frères s'étaient chargés de rapporter celle ci à l'Antre et voila qu'une autre se présentait à eux. Qu’allait-il donc advenir...

Il ne pipa mot et laissa aux autres le soin de discuter. Il aimait se savoir invisible ainsi protégé par l'obscurité. Il tentait de déchiffrer les expressions de leur hôte. Le joli minois de la belle paraissait bien tendu. A ce que l’on raconte, son entrée n’a pas été des plus calmes. Les rumeurs vont bon train dans les boyaux de l’antre, surtout lorsqu’elles concernent une jeune femme bien formée.

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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRFariboles
Dans l’ombre, quelques parts droit devant elle le siège droit commence à parler. Elle aurait mangé avec plaisir, mais elle savait que le sang humain allait lui faire perdre contrôle, et ce n’était certes pas le moment.

Oui. в тенебрис !

Aucun moyen de savoir si c’était Halleck ou quelqu’un d’autre qui lui adressait là ses salutations. Typiquement le genre de chose, auquel elle ne s’attendait pas. Bien soit. Mais qu’il soit dit aussi qu’elle ne se répéterait pas.

Je me suis placée volontairement dans vos mains. Evidement, ma présence ici est connue de mes alliés. Si je suis la, c’est parce que j’ai appris que vous aviez l’intention de livrer Ilmarin aux mains de ses parents. Les raisons pour lesquelles elle ne veut plus les voir sont simples, ils désirent la mariée avec un homme, donc le passé brutal ne nous permet en rien de penser qu’elle y serait en sécurité.

Elle reprend son souffle, consciente du fait que cela était long.

J’ai eu vent d votre intention d’enlever mon amie, j’ai donc décider qu’il en serait autrement. Nous étions des alliées sincères, nous avons fourni pour toi un travail d’exception. Et notre collaboration ne vous a pas coûté un seul écus. Cela, je m’en moques, mis a part que vous ayez essayé d’enlevé Ilmarin et que la chose m’ai profondément dégoûtée.

Elle avait mis beaucoup d’énergie dans ses mots.

Halleck si c’est toi, je respecte tes stratégies, elles se sont révélées efficace. Mais en ce point je ne peux adhéré. Je te propose donc autre chose.

Ce qu’elle avait dit était vrai, les autres Ténébris auquels elle avait eu affaire dernièrement semblait passablement sot. Mais Halleck avait bien conduit la guerre.

Spolions donc ce mercenaire qui pense pouvoir venir en notre cour, pour y enlever nos alliers. Arrachons lui les dents si c’est possible, la tête avec, que plus aucun Aristo bien pensant ne puisse venir en ce lieu imposer une loi qui n’est pas la notre !

La colère faisait gronder ses paroles, le loup se réveillait peu à peu…

A moins que tu ne préfères vendre des couriens au plus offrant, tel des têtes de bétail bien nourrie… Ce que tu pourrais faire aussi, si cela te chante. Commence par moi dans ce cas.

Consciente au plus haut point au vu des derniers événements qu’une tête en valait un autres pour eux, que rien n’importait que leurs but obscur, qui pour elle était aussi obscur que ceux des Aristotéliciens elle préféra le laisser juger, lui-même, si leur collaboration lui était encore utile. Ou s’il se passerait volontiers de libertad .

Ainsi je te parle. Ainsi décide ce qui te rapportera le plus, à court ou à long terme… Si ils ont autant d’argent que cela ma foi, d’une manière ou d’une autre, tu palperas leurs bourses… Si je vis encore d’ici la moi je les leurs couperai.

Un peu d’humour était bien venu, elle soupira, un léger gloussement… Elle attendais les questions qui ne manquerait pas d’arrivé. Ou le souffle d’une hache lui coupant la tête…Même si de toute manière elle leurs serait plus utile vivante que morte.
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient à droite du Grand siège]


Adossé contre ce siège qui lui broie le dos, il se masse la mâchoire en fixant la femme qui lui fait face. La lueur de la bougie éclaire celle ci par intermittence. Il la trouve un peu présomptueuse pour son jeune âge... Mais la témérité est une qualité non négligeable. Lui aussi fonçait sans réfléchir lorsque ses jambes le lui permettaient encore. Il lape de nouveau son crâne et prête oreille à la Dame afin d’écouter son récit.

Ainsi elle serait venue volontairement en usurpant l'identité d'Ilmarin afin d'attirer leur attention. Cela n'avait pas faillit. Les hommes avaient sauté sur l'occasion de la capturer sans même réfléchir. La horde est connue pour son caractère impulsif. Eux sont souvent en train de tuer pendant que les autres palabrent.

Ainsi la blonde voudrait se marier avec un homme violent. Sa longue expérience de la vie lui a enseigné nombre de choses. Entre autre, il sait qu’un mâle viril et robuste est nécessaire à la survie de la femme. Asserter ne pas être en sécurité avec un homme brutal, c’est se mentir à soi même. Plus celui-ci est coriace et dégourdit, plus sa Dame à des chances de vivre longtemps. Certes, ces femmes la sont traitées à la dure et il n’est pas rare qu’elles subissent l’état d’humeur du mari… Mais la vie est ainsi faite.

Pensif, il se gratte désormais la tête. Il tente de se remémorer le visage de la blonde mais le souvenir ne vient pas. Seul le caractère sec et trempé de la femme lui revient. Et elle ne semblait guère du genre à se laisser abattre par quelque homme qu’il soit.

Il lui laisse achever sa tirade puis élève la voix, cette voix rauque sifflant comme la flèche qui s’en va transpercer lapin :


Alliés nous fûmes… Loyaux vous fûtes…

Le service rendu… Ne peut être ignoré…

Vendre les Couriens… Nous le feront s’il le faut… Les armées ne grandissent pas… Qu’a la force des mots… Il faut le pain… Et les lames !


Certains détails lui échappent. Il ne comprend pas tout. Peut être la rousse a-t-elle une idée derrière la tête. Il n’a pas suivit toute l’histoire et cela le met en rogne d’avoir en charge le questionnement alors qu’il pourrait roupiller tranquillement.

Leur taillader les veines… Leur écorcher la trogne… Que proposes tu… Comment s’y prendre…

Tu connais Ilmarin… Tu peux les amener... A elle... Ou l'amener, elle... A eux...

Peut être pourrions nous… Te vendre… Moyennant récompense aussi juteuse…


Il sourrit, dans l'ombre, scrute le visage de la belle en laissant trainer sa langue sur ses lèvres rougies par le sang qu'il lèche par intermitence.
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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRFariboles
On y venait…On y venait lentement mais sûrement. Lorsque l’hôte posait des questions auxquelles l’on pouvait répondre sans passé par la table de torture, c’était bon signe.
Elle prit donc une grande inspiration.


Pour vous, effectivement, le meilleur moyen de vous faire de l’argent c’est de me vendre. Vous n’êtes pas sans savoir qu’ilmarin et moi sommes des Libertadiens.

Un seul tombe, tous le relèvent !

Ils le savent vous le savez la cour entière le sais. Le meilleurs moyen de coincé Calembredaine, c’est de choper Ilmarin. Et vice versa.


Dis elle comme pour illustré son idée… Pas une idée sage en vérité, Calembredaine pourrait en mourir. Lui viendrait alors un seul regret. Mais ce n’était pas le moment d’y songer.

Je vous demanderai juste une chose. Tout le reste vous pouvez dire, ma manière d’être venue vous voir, votre colère face à l’usurpation d’identité… Tout. Ne m’attacher juste pas trop solidement. Une fois que je serai dans leur place alors, ….Vous n’aurez pas à le regretter. … Toute la basse besogne sera faites par mes soins. Tout l’argent que je trouverai sera pour vous.

Elle cracha par terre. C’était une promesse et comme tout les libértadiens, elle n’avait qu’une parole. Que valait elle pour les IT sûrement pisse de chat, mais s’était sa seule carte à jouer en se moment.
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient à gauche du Grand siège, entre deux sièges]


NON !

L'argent, l'argent, il n'en a que faire. Il a écouté toute la conversation et il a conscience qu'elle n'évolue pas selon son désir. Il ne veut qu'une chose. Bouffer la rousse. Elle semble tendre à souhait. Elle est la, face à eux et ils n'ont qu'a prendre une fourchette et se servir. Que demander de plus, pourquoi palabrer des heures durant.

Il cherche. Il lui faut un moyen d'établir une faille dans le résonnement. Il lui faut convaincre ses frères qu'elle ne doit quitter l'Antre. Il a faim. Faim d'elle. Et de la blonde dont ils ne cessent de parler également. Mais cette rouquine qui se tortille face à eux, qui gueulait à peine arrivée... Elle l'excite. Il la veut. Pour lui. Un bout de son corps du moins. I ne va pas s'en dire qu'il aimerait plus que tout l'avoir un peu pour elle, une heure ou deux, pour lui faire visiter quelques recoins sombres de l'Antre ou les cris n'éveillent nullement la curiosité de ses frères... Et ou l'on peut s'adonner à la jouissance et aux plaisirs de la chair.


Un seul tombe ! Et tous tomberont avec lui !

La cour est à nous ! Libertadiens... Pourquoi ne pas tous les tuer ? Pourquoi ne pas déclencher la guerre ?

Ils peuvent s'avérer une menace sur le long terme.

Tout come les encapuchonnés qui se pavanent à la fête.

Tuons la. De suite. L'heure des autres viendra également sous peu.


L'idée est bonne, il le sait. Pourquoi partager la cour alors qu'ils pourraient régner, ou tenter de le faire. Il espère ne pas être le seul à le penser. Et surtout que les autres le suivent et lui laissent la possibilité de s'occuper de la rousse en personne...
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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRFariboles
Non ! Avait hurlé une autre voix dans le fond de la pièce, voix qui ne lui était pas inconnue. Elle se demanda fugitivement s’il ne s’agissait pas du nabot perché sur sa drôle de monture… Olganov, peut être aussi, elle n’était plus sûre de rien dans cette puanteur humide, le sang, en plus titillait encore d’avantage ses instincts primaires que ne l’eut déjà fait la lune montante… Deux jours au plus.

Un long frisson lui parcourut l’échine, accompagné d’un grognement menaçant. S’il la voulait qu’il vienne la chercher lui-même il pourrait bien tombé sur un os bien plus gros que le fémur de son voisin.


Non ? Vous êtes tous d’accord avec lui ?

Elle sauta à bas de son fauteuil d’un coup sec. Elle fit craquer ses doigts en fermant ses poings, presque tendrement.

Toi, tu veux ma peau, peut être mes dents pour en faire un collier ? A part ton petit plaisir personnel … Ca t’avance a quoi ? T’as que moi sous la mains pour te farcir Libertad ?

Elle part d’un grand rire.

J’pensais pas que des méchant comme vous aviez besoin d’excuses pour vous farcir qui que se soit.
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient tout à gauche du Grand siège]


Silence!!!! Assieds toi donc!!


Dans l' obscurité, il entend l'ironie, ecoute le debat qui fait rage, a son avis aussi...Le rire resonne longtemps troublant le huit clos, sacrilège...Il pense que de l'argent il en faut toujours plus pour leur armée, sans lui comment entretenir la grandeur de Nestrecha...La rousse il l'a vu à Béziers, lui le soldat, il sait sa valeur, mais elle joue là un jeu dangereux... Il parle, environné de noir, voix anonyme, calme, donne son avis, repond à l'orateur precedent...

L'argent est important!! Tes entrailles parlent à la place de ta tete!! Libertad sont nos alliés...Peu importe une guerre avec eux, s'il le faut j'irai mourir et donner la mort avec honneur.Mercenaires nous ne sommes pas!! Béziers a donné son lot de richesse et les cathedrales pillées aussi!! Mais l'affaire qu'elle propose est bonne, l'armée coute cher, nombreux sont nos hommes...

Il s 'arrete cherchant l'argument, pensant que si les In Tenebris vivent en communité, chacun perçoit une solde et mange, ils forgent leurs armes, le mineraix est dur à derober, il faut l'acheter bien souvent...Il nous faut financer notre prochaine grande campagne...

Une occasion de remplir les coffres est à reflechir...Peu m'importe les masques blancs et leur fete. Nous sommes une menace pour eux et non le contraire. Ils n'ont pas de prise sur nous, nos croyances sont differentes des leurs...Libertad est un allié puissant, prudence, oui nous sommes nombreux, autant que les rats en Paris mais...Le temps est il venu ?

Il a fini, se tait, laissant ses paroles faire leur chemin dans les esprits, il veut tuer des chiens de Curés, il se fout bien de Libertad et tout le reste...
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient à gauche du Grand siège, entre deux sièges]


Il écoute son frère. Le temps est il venu ? Le temps de s'adonner à la luxure l'est pour lui. Bien trop longtemps qu'il n'a pas fait vibrer l'entrejambe. L'Antre, ca pue et c'est glauque, tout ce qu'il aime, mais niveau femelles ils ne sont pas très bien lotis. Les leurs sont de vraies sauvageonnes intouchables et il a déjà maintes fois fait le tour de celles qui trainent aux geôles.

Non, il la veut elle, et tout de suite. Il n'en peut plus d'attendre. Lui sauter dessus, la ligoter et lui offrir une visite des trous sombres et galeries de leur domaine.


Mon plaisir personnel importe bien plus que tu ne le crois chaste femelle !

J'ai hâte de voir si tu remues aussi bien ton postérieur que ta langue !

Libertad. Peuhhhhh !

Mouahhhhhahahahah

Regardes bien ou elle t'a menée, ta soi-disant liberté !

Moi je vais te farcir ma jolie !


Les mots sont tintés d'un désir grandissant. Plus elle piaille et plus ca l'excite. Pas sur qu'il puisse empêcher bien longtemps sa grosse masse de sauter sur la mignonne. Le roux... Il adore le roux... Il se retourne ensuite vers son frère :

Que le temps soit venu ou pas, je demande à avoir ma part du butin. Qu’on me la prête… Un peu. Pendant que vous décidez de son sort !
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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient juste à droite du Grand siège]


La réunion avait commencé, tapis dans l'ombre du grand siège, aux cotés de ses frères, elle n'avait prit la parole, discrètement elle s'étaient installé profitant de l'obscurité ambiante afin juger, la situation mais surtout la jeune femme rousse qui se trouvait au milieu de ce cercle pour le moins étrange, appréciant un brin son courage, d'avoir utilisé de stratagèmes, pour arriver jusqu'à leur repaire, un enlèvement prévu afin de négocier, pour son clan, son amie, risquez sa propre vie pour cela. Mais depuis qu'elle était arrivée parmi les In Tenebris, elle savait que cela était souvent que pure folie, personne n'en sortait vivant généralement, finissant bien souvent comme le crâne sanguinolent à sa droite. La guerrière écoutait les autres parler avec la rouquine, pas grand chose à rajouter, les propositions fusant de tout part. Un autre clan, une autre façon de prendre des risques inconsidérés, elle s'en moquait bien ces alliances de circonstances que foutaises pour les sots. D'après ce qu'elle avait apprit, elle avait en plus fait du grabuge face au gardien et son comparse. Elle n'apporterait que malheur, une plaie pour le clan dont il fallait se débarrasser rapidement, si c'était dans le sang, cela lui posait aucun problème. Puis une voix s'éleva couvrant les autres. Une voix de refus, sortant de nul part, ramenant à la raison, nulle négociations possible, on achetait pas la horde avec de l'argent. Eux lutter pour une cause plus élevée, Nestrecha, et non les vils intérêts des mercenaires courant les routes du royaume. Elle approuvait mais la bougresse pouvait donner des informations. La Cour étaient peut être à eux mais eux devait la connaître dans ses moindres détails pour la gouverner. Elle prit alors la parole, elle ne pouvait plus trop contenir la colère qu'elle essayait d'intérioriser voyant la situation bloquée.

Assez d'accord avec toi mon frère...

Elle marqua une pause, reprenant sa respiration en s'adressant à la jeune femme, dépitée par ce genre de promesse fade, sans vie, comme si elle voulait les supplier de ne pas agir, ni qu'il se délecte de sa chair.

Libertad...Des rêves rien de plus, une cause perdue à l'avance...Pas à la Cour qu'elle existe, ni dans tes vaines paroles dont tu te rends seule prisonnière... Vous croyez unis dans une fraternité, vois tu tes amis s'inquiéter pour toi, te rechercher...rien...Je crains qu'aujourd'hui tu doives te relever seule enfin si on t'en laisse le temps...

Un sourire s'afficha, espérant l'avoir un peu blessée, elle voulait lui faire peur, une sorte de petite vengeance à sa rébellion dans l'antre. Il était temps pour elle de passer aux choses sérieuses, et parler de cette recherche pour une prime, éclaircissant un peu sa voix dont le ton montée petit à petit.


Qu'on soit énervé bien sur, cela me semble normal...Pas une façon de te faire des amis en ces lieux...Maintenant sache qu'on a aucunement besoin de toi...On nous achète pas avec ce genre de paroles doucereuses, bonne pour les piliers de comptoir... J'espère que tu as mieux qu'une promesse pour nous convaincre, car cela me semble bien léger....


De toute manière, les promesses étaient pas des choses qui lui plaisaient énormément, et elle avait aucune confiance en cette étrangère toute prétendue alliée qu'elle soit. Mais la jeune femme ne reprit par la parole, elle attendit la réponse de celle qui passait devant ce conseil improvisé pour adresser la requête qu'elle avait tant souhaité.

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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRFariboles
Le revoilà qui beugle… décidément elle devait être un repas très intéressant, le lycanthrope un plat courut ? Elle se tait toujours, les bras croisées, réponses qu’il aura dans tout les sens. Il parlait trop fort, signe que peut l’écoutait autrement. Il faisait trop cas de ses envies, pour être vraiment un danger immédiat. Même regard septique. Elle était là, lui aussi, ce genre de chose se réglait vite. Toujours la même idée qui revient. Qu’il sorte une pique et un coutelas. Bon appétit… Fin si il réussissait à s’emparer du « dîner. »

Petit sourire ironique, c’est pas le moment de jouer, pourtant ça la démange pas mal. Bondir et mordre, dans toutes les courbes charnues qu’elle trouverait. Elle secoue la tête, sentant le frisson de répulsion plus que nécessaire à sa position précaire. Mélange de désir, de frustration et de dégoût.

Pas le moment de lâcher.

Une femme parle. Elle n’en a pas connut tant que cela. En fait elle n’en a connut qu’une. Et encore. Pas vraiment. Pas une manière de se faire des amis en se lieu ? Mais toutes les écoutilles étaient ouvertes, donc, intéressée. Par différente chose, semble t’il. Calembredaine n’était pas vraiment dans de beau drap, mais elle n’avait jamais eu a douter de ses alliers. Ce qui ne semblait pas être chose courante ici, ou, forcément tous avait se battre pour le même bifteck. Des dissensions importantes flottaient. Certain voulaient sa tête, pour jouer ou pour manger.

"Moi aussi j'ai les crocs"pensée confuse au milieu du ram dam.

D’autre était d’accord avec sa proposition.



Promesse ? Ne penses tu pas que ma tête vaut cher ? En tout cas plus que mon poids en viande. Il me semble que j’avais la confiance, quand il a s’agit de ramener tout un butin dans vos caisses, alors qu’à cette heure la, Halleck avait eu des raisons d’en douter.

Suspension dans sa diatribe... reprise de souffle rauque

Me vendant a ces mercenaires, vous aurez au moins quelques choses… En me bouffant ici, vous n’aurez même pas tous l’estomac plein. J’ai dit que je ramasserai pour vous tout ce que je trouverai. C’est en cela que ma promesse vaut…Il paraît que votre force n'est plus a démontrer. N'avez vous donc pas les moyens de me forcer a obtempéré ?....De toute manière la prime vous l’auriez eu déjà.

Pas d’autres mots, des doutes, elle en avait. Des tonnes. Des espoirs nettement moins. Mais sa dignité, sa fierté d’être une Libertadienne ne se mesurait pas. Mais elle commençait à tourner comme le loup en cage qu’elle était. En cage. Viendrait un moment, ou il auront bien plus l’intérêt de la tuée. La nuit devait être belle. Grondement violent qui sort de sa gorge, elle est fébrile. Elle est folle. Elle ne tiendra plus très longtemps.
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-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient plus encore à droite du Grand siège]


Il écoute toujours attentivement la conversation qui se trame ici alors que ses dix doigts battent le rythme sur les accoudoirs glacés de son siège. Il replace son chapeau afin de protéger sa tête du froid. C'est bien la qu'est le problème de cette pièce. Il apparait impossible d'allumer un feu pour se réchauffer sans dévoiler leurs visages. Sans se prêter au jeu, il regarde, observe, écoute chaque mot, analyse le duel verbal en cours. La conversation est animée, s'enflamme un peu à l'opposé. Il a reconnu la voix massive de son frère. Il est arrivé en retard et n'a donc pu percevoir le visage de l'ensemble de ceux qui siègent à ses côtés.

Le jeu l'amuse. Il fait du coude à celui qui se tient à sa gauche et lui susurre :


Un verre de vin noir aux Larmes de Pal qu'elle finit aux geôles... ou en compagnie du gros.

Il rigole dans sa barbe, discrètement, pour ne pas troubler la conversation des autres... Puis il prend sa pipe, gratte une allumette. Légère odeur de souffre qui se répand. La lumière dévoile un instant sa barbe grisonnante. Son visage reste à couvert de son chapeau. Il secoue la tige de bois qui s'éteint alors.

Il inspire une bouffée de tabac... un peu de lumière... due à l'embrassement de celui ci... révèle de nouveau aux autres les longs poils crasseux qui décorent son visage.

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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
-fromFRDans L'Obscurité
[Celui qui se tient à gauche du Grand siège, entre deux sièges]


PUCELLE !

Il a faim. Il ne veut qu'elle. Elle grogne, comme lui. Il n'en peut plus de la déshabiller du regard. La nature prend le dessus. Il lui faut assouvir ses pulsions et lui faire tâter du gourdin. Que les autres statuent sur son sort, lui va se distraire pour patienter. Il sait toutefois que cela mettra fin au jeu car elle risque de découvrir son visage. Quoique... Il a les mains gantées... Il fouille un peu sans trouver ce qu'il cherche. Il retire donc son épais gilet pour le craquer de la force de ses bras.

Schriiiwchhhhh

Il se fout le tout sur la tronche, perce à coup de dague deux trous pour ses yeux puis s'approche de la femelle, bâton armé.


[Celui qui se tient debout, face à la PUCELLE]


Le monstre arrive, envoie sa main colossale offrir un aller retour à la rouquine en hurlant :

T'seras MA catain désormais !

Je serai ton amant ! Le meilleur de tous !

Le premier... Et le DERNIER !


La main fuse, empoigne un nibard et le presse férocement. Pour sur qu'il n'a jamais été aussi excité d'avoir face à lui une femelle si dégourdie. Elle l'a chauffé dès son arrivée à l'Antre. A ce moment, il savait déjà qu'elle serait un jour sienne.
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Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent. Ou pas.
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