Natilouna
RP, bien évidemment ouvert à tous. Si même... Je pouvais avoir un forgeron qui se glisse dans ce RP, j'en serais tout à fait ravie. Enfin... Tout n'est pas écrit à l'avance, je pourrais changer au court du RP. La seule chose que je sais.. C'est ce que mon perso cherche ^^.
Voilou ! A vos claviers et à vos idées
Voilou ! A vos claviers et à vos idées
La jeune femme aux cheveux bruns lui tombant sur les épaules qu'elle aimait avoir dénudées par un temps si clément venait de déposer ses maigres bagages dans l'un de ces villages du Comté d'Artois. Cette belle jeune femme entra dans la première taverne qu'elle vit dans ce village, et jouant de ses atours, elle demanda d'une voix douce au pauvre tavernier qui n'avait d'yeux que pour sa poitrine mise en valeur pour l'occasion.
-Mon Bon Messire, c'est que j'ai été brigandée sur le chemin qui me menait jusqu'à vous, et j'ai à peine de quoi me nourrir assez. Seriez-vous assez Bon pour me loger cette nuit, à moindre frais ?
Le tavernier avait toujours le regard fixe au même endroit. Il en aurait bavé derrière son comptoir sur la belle brune n'avait pas décoché un mot. Au début il avait l'air retissent, ce que la brune sentit bien. Elle entreprit donc le second plan.
Doucement, elle avança sa main et la posa délicatement sur le nez du tavernier, en la faisant descendre de manière très lente en prenant soin de lui entrouvrir quelque peu les lèvres. Malheureusement, cet homme n'avait pas grand chose pour plaire aux femmes, un peu bedonnant, avec un tablier trouer, et une chevelure qui ma foi, le sauvait un peu.
-Vous laisseriez une pauvre femme telle que moi dans les rues mon Bel Ami.
Son comportement commençait à changer, d'ailleurs, il bougea de derrière le comptoir, toujours avec au moins un oeil sur la poitrine de la Brune. Il fit le tour du propriétaire, comme si la jeune femme lui appartenait. Elle suivait bien sur son déplacement des yeux sans bouger d'un pied, cela nuirait à ses plans. Par contre, quand il voulut approcher la main pour aller tâter de plus près les rondeurs postérieures de la femme, celle ci, dans un réflexe inouïe, lui attrapa le bras, et d'un petit bruit avec la langue, elle marmonna ensuite.
-Peut être si vous êtes sage et que j'ai ce que je désire. Alors vous aurez ce que vous désirez si Aristote est avec vous..
Toujours sans un mot. L'homme se ravisa et se saisissant des bagages de la belle brune, grimpa quatre à quatre les escaliers. Pendant ce temps là. Elle écrivit dans la poussière du comptoir, avec le bout de son doigt.
« Je reviens tout à l'heure. Ne disparaît pas mon Brave. »
Puis elle s'en alla en vitesse à l'extérieur, avant qu'il ne redescende. La première raison de son retour ici allait enfin pouvoir se mettre en place.
Le Retrouver !
La Brune se déplaçait à pas lents, mais pas trop, pour ne pas trop attirer les regards. En même temps, elle jetait des coups d'oeil de ci, de là, afin de voir s'il y avait l'homme qu'elle recherchait dans l'une des rues sombres. Elle le connaissait bien, il suffisait d'une catin pour le retrouver sans le moindre problème. C'est que ça, elle l'avait maintenant compris. Alors, elle avait décidé de remettre sa poitrine bien en présence, ainsi que ses formes qui ne la désavantageait pas. Le seul bémol que l'on pourrait déceler dans ce corps qu'on pourrait dire de rêve, c'est qu'elle n'était haute que de quatre pieds et quelques. Mais disait-on.. Tout ce qui est petit est mignon, non ?
Au détour d'une ruelle, elle s'arrêta, voyant une forge en pleine confection d'outils. L'homme, qu'elle cherchait, était forgeron d'après ce qu'elle se souvenait. Alors, elle s'approcha et resta devant à regarder le forgeron faire son oeuvre. Bien plus de quelques minutes, elle semblait passionnée par l'artisanat de cette personne là. Elle avait toujours la tête basse, et ne savait discerner s'il s'agissait là d'un Messire ou d'une Dame. C'est ce qui l'empêchait d'entamer la conversation au départ, mais sa soif de vengeance l'emporta pour finir, et elle se risqua.
-Excusez moi mais... J'aurais une question à vous poser. Je ne voudrais point déranger, et je comprendrais que vous n'ayez point de temps à m'accorder pour mon affaire. J'irais faire mes recherches plus loin.
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