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[RP]Un Bal pas comme les autres ou pas ...

Lise
Elle éclata de rire quand la brune se présenta.

Tu vas m'faire crever à force de dire des choses pareil.

La rousse était vraiment pliée de rire.

J'vois ça tu as décidé t'faire quoi en faite ? d'piquer dans les poches ou... foutre le bazar ?

Lise souria à la brune.

T'm'excuse mais j'dois sortir un bon moment.

La jeune femme sortie vite du bal, elle ne savait si elle allait revenir ou non. Voyant qu'elle n'avait plus personne pour danser avec elle... Elle n'avait plus trop envie de rester mais bon... !
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Lhouise
Il ne lui avait pas laissé le temps de dire mots et l'avait accueillie avec un doux baiser.
En se concentrant bien, elle était certaine de parvenir à dénombrer combien ils en avaient échangé depuis le début de leur relation. Sa manie de compter les choses, tout autant anodines qu'importantes, pouvait se déclencher n'importe où et voilà que ça lui reprenait, là.
Elle se dégagea de l'étreinte et secoua doucement la tête comme pour s'aider à se défaire des chiffres qui envahissaient son esprit.
1... 2...
Mais le premier, en fait, pouvait-elle le compter ? Le premier, elle le lui avait volé dans une auberge à Saintes, alors qu'il tenait entre ses mains une lettre écrite par une autre, lui annonçant qu'elle espérait le voir. Depuis, l'autre avait été renvoyée. Elle avait, elle, Lhouise, sa préférence.
Oui ce baiser, il comptait ! C'était la première fois qu'elle avait goûté à ses lèvres.
C'était la première fois qu'elle était amoureuse.
Et la première fois qu'elle allait à un bal, invitée par un homme.

Elle se laissa guider par le Seigneur de Moricq vers les intérieurs du château de leur hôte.

Et là, ce fut la confrontation à la foule. Des gens de partout. De belles tenues. Des éclats de voix. Des rires. Des femmes. Des demoiselles. Des hommes. Des enfants. La vie. La belle vie.

Elle se sentait bien. Elle, Lhouise, aux côtés du Moricq.
S'appuyant sur son bras, elle vint lui susurrer à l'oreille,
Merci de m'avoir invitée. J'aime ces moments publics à vos côtés.
Les circonstances avaient fait réapparaître le vouvoiement qu'elle avait mis du temps à abandonner au profit du "tu" qu'il lui avait demandé.

J'espère que nous croiserons la dame qui offre ce bal. Je suis sûre que c'est quelqu'un de charmant et d'intéressant.
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Des fois, j'suis blonde. Pis, j'aime pas les pouffes !
Daisy.black.
J'vois ça tu as décidé t'faire quoi en faite ? d'piquer dans les poches ou... foutre le bazar ?

Aussitot la question posée et ne la laissant pas le temps d y repondre.la rousselette quitta précipitamment le bal avec un air qui lui semblait tristounet.
C est vrai qu elle n avait jamais su réellement comprendre le comportement de ces cheres donzelles qui semblaient heureuse et que deux minutes plus tard pouvaient sembler aussi maussade mais enfin bon la nature les avaient faits ainsi et il ne fallait surtout pas chercher a trop les comprendre par risque de s en bruler les doigts.

Ses yeux noisettes poser sur le blond tout en face d elle qui semblait l'ignorer,le regard perdu dans l assistance ne faisant guere attention a la belle qui venait tout juste de lui etre présentée,la fit sourire.
Daisy lui fit une révérence des plus théatrales et trouva qu au final ce bal serait d'un ennuie morbide avec toutes ces parures..ces faux sourires..cette arrogance...cette hypocrisie.. tous ces gens qui aimaient en mettre plein la vue avec leur language et d ailleur ce qui la faisait rire c est d admirer la facon qu ils avaient de postitionner leurs levres en forme de cul de poules essayant d en imposer aux autres....ah qu ils pouvaient etre risibles.

Dernier regard vers l assistance...la belle fit virevoltée ses jupons et prit le chemin de la sortie sans aucun remord
Guillemette_
[Dans le petit salon...]

La jeune fille est installée dans le petit salon... Elle ne s'assoit pas et regarde alentours les meubles, les bibelots... Elle se demande si la dame va venir, ou lui renvoyer un garde pour la ramener manu militari... Elle ne devrait pas rester là ! Elle est idiote ! D'autant plus qu'elle n'a plus le parchemin... Elle tourne de long en large... Elle va et vient, ne sait plus ce qu'elle doit faire... Et puis elle écoute, elle écoute tout les bruits qui viennent de la grande salle de réception ou de bal, elle n'en sait trop rien : les discussions, les bruits des danseurs, la musique en fond sonore, les rires... Elle sourit, imaginant, parfois, qu'elle se trouve parmi ce beau monde là. Un monde qu'elle a connu, un peu, quand elle était une enfant, quand ses parents étaient encore là tous les deux et aisés... Elle n'en profitait pas beaucoup, forcément, des bals, car elle était trop petite ! Alors elle se cachait sous une table, et voyait passer devant elle les pieds des invités de ses parents, les souliers des dames, les bottes des messieurs...
Aujourd'hui, elle revit tout cela en souriant, songeuse, dans ce salon qu'elle ne connaît pas. Elle ne sait pas ce que l'avenir lui réserve, elle espère que ce ne sera que du bon, elle n'en sait rien, mais de toute façon, ça ne pourra pas être pire que ce qu'elle a vécu...

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Pandemie
Pandémie était heureux, d'une part il était entouré de gens qu'il appréciait, et d'autres part, Lhouise l'avait rejoint comme il l'espérait.

Certes cette dernière, ne connaissais pas encore les Us et coutumes de la noblesse, mais l'élégance de sa tenue ajoutée a sa beauté naturelle, faisait qu'en ce haut lieu, elle se fondait dans la masse. Pandémie regarda Lhouise et lui dit :


Je vais te présenter à mon Amie, l'organisatrice de ce Bal, Héléna . C'est une personne gentille et adorable. Mais avant, je souhaiterais que tu m'accompagne sur cette mélodie, que tu me fasses l'honneur d'être ma cavalière.....



Pandémie sourit, embrassa Lhouise et attendit qu'elle l'accompagne danser

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Aelen
La blonde s'était stressée pour rien... visiblement... on l' avait averti de choses potentiellement dangereuses, et il n' y avait rien, absolument rien. Le garde avait parlé de personnes rentrées par « effraction » sans se faire annoncer. Probablement des gens qui n' avaient pas trouvé ou pas croisé le serviteur dont c'était la tâche.

Elle avait beau regarder tout ce qu'elle pouvait, pas une seule arme, juste un rassemblement de nobles. Elle n' avait aucun ressentiment particulier à leur égard.

Elle ruminait intérieurement contre ces gardes qui l'avaient complètement faite stressesr quand elle se retourna vers une Ophelie pas très à l'aise et lui répondit en parlant assez bas.


Oh, excusez moi, j' ai un peu réagit de trop. Les gardes avaient un peu exagéré la description qu'ils m' ont faite de la situation. Il n' y a en fait en rien besoin de cela.
Mais sans lien avec ce qu'ils m' ont dit si vous saviez ou est Anna, j' en serais grandement rassurée, il faut très peu de temps à une enfant pour se faire mal. Désolée de vous avoir demandé ça à vous, vous devez étre épuisée avec la réception.


Elle sourit légèrement a la brune pour essayer de la rassurer tout essayant de mieux faire passer ses excuses. Elle profitait tout de même de sa présence ici pour guetter la pièce de son œil aguéri.
Phalbala
Vidara avait été invité au bal et avait convié Phalbala avec lui . Elle se rend donc au bal mais elle ne connaissais personne !

Elle s'installe non loin de la porte d'entrée pour attendre le Comte Vidara .
Xence
Ca parlait droite et à gauche... ça picolait... ça riait... ça dansait... bref... froncement de sourcil... forcement Auxence ne connaissait qu'une personne ici... l'était occupée... normal...

Il prit un verre qu'il but cul sec... ce brouhaha commençait à lui mettre un mal de crane terrible... l'aimait pas les gens... c'était connu mais l'était la quand même... quelques unes sortaient... lui restait la planté sur ses pieds à attendre...

Le temps de secouer la caboche... l'allait faire un petit tour dehors... soit ses mauvaises habitudes allaient reprendre le dessus... soit il allait râler... en gros c'était du pareil au même... il observa quelques instants de plus les personnes présentes... l'aime s'amuser mais pas forcement de cette manière la...

Se faufiler à travers la masse bruyante... se morde la joue pour ne pas grogner... et enfin atteindre la porte... bien sur y avait de jolies donzelles... mais bon pas le moment de les accoster...

Passer la porte... descendre les quelques marches pour arriver à l'air libre... ouf... enfin du silence... juste les quelques voix des dames présentes sur le pas de la porte... s'étirer... reluquer à droite... à gauche... va bien y avoir un endroit sympa ou se poser...
Helena.
Tiens son Auxence était toujours aussi grognon. Et je grogne par ci et je te grogne par là..rhalala c’est qu’il n’avait pas changé. Reprenant ses esprits après cette surprise des plus agréables elle lui posa un doux baiser sur la joue tout en souriant.

Contente de vous revoir mon cher libertin. Je ne pensais pas vous voir répondre à mon invitation. Mais vous m’en voyez fort ravie. Faites comme chez vous.

Elle lui fit un clin d’œil malicieux et ajouta tout doucement

De toute façon vous connaissez bien les lieux.


Helena se retourna en entendant la voix d’Ophélie. Elle fut surprise de voir les deux la blonde et la brunette en discussion non loin d’elle. Elle abandonna Auxence et s’approcha d’elle en fronçant légèrement les sourcils.


Qu’est ce qui se passe ?


Ophélie lui tendit alors un parchemin. La jeune demoiselle le prit et lut attentivement les lignes. Ce parchemin était signé par le prêtre Jean … Homme d’église qu’elle ne connaissait point mais à l’évocation du nom de son amie elle frissonna. Depuis le temps qu’elle n’avait plus eu de ces nouvelles. Que devenait-elle ? En tout cas elle savait qu’en parlant d’elle au prélat la jeune demoiselle de Rocabret ne pouvait que trouver une porte ouverte.


Hummm bien….Aelen je vous laisse surveiller tout ce petit monde et si on me demande dites que je suis occupée et que je reviens bientôt. Ophélie je vais aller voir cette jeune fille. Vous pouvez reprendre vos activités.


C’est donc dans un bruissement de robes qu’Helena quitta la salle de bal laissant un court instant ses invités. De toute façon tous les invités semblaient être arrivés. Elle se dirigea vers le petit salon et y entra. Une jeune rouquine, frêle était là debout attendant tout en admirant la pièce. Souriante Helena s’approcha d’elle et prit la parole d’une voix douce tout en posant ses océans sur la demoiselle craintive.


Bonsoir Demoiselle Guillemette de Rocabret. Je suis Helena Di Rivombrosa. Installez-vous je vous en prie.

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Guillemette_
- Bonsoir Demoiselle Guillemette de Rocabret. Je suis Helena Di Rivombrosa. Installez-vous je vous en prie.

La jeune fille sursaute, et se retourne d'un bloc face à la maîtresse des lieux. Elle fait une courte révérence et dit...

- Bonjour Dame... Je vous remercie de me recevoir malgré la réception qui se déroule chez vous. Si j'avais su, je ne me serais pas présentée ce jour ! Je vous prie de bien vouloir me pardonner. Je peux revenir un autre jour, si cela vous arrange ?


Elle se tient debout sans oser s'asseoir, même si la dame le lui a dit... Elle a les yeux baissés, consciente de sa position de jeune fille ruinée... Quelle va être la décision de la Dame ? La garder ? La faire mettre à la porte ? Allez savoir ! Et puis, elle tombe si mal, durant cette fête... Si elle avait su. En fonction de la réponse et de la réaction de la dame de Montmoiron, soit elle reste, soit elle repart dans son village, et ira se réfugier chez son ancienne nounou, afin d'y survivre, dans la pauvreté, certes, mais au moins, elle aura un toit sur la tête. Mais elle aimerait mieux trouver un emploi, afin de garder la tête haute devant la vie !
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Helena.
Helena regarda la jeune demoiselle timide et presque appeurée et surtout mal à l'aise de l'avoir déranger. Un sourire bienveillant se dessina sur le visage de la brunette. Elle s'approcha de la rouquine et lui prit délicatement le bras et l'entraina vers un fauteuil moelleux l'invitant à prendre place.

Vous n'avez pas à vous excusez mademoiselle Rocabret. Vous ne pouviez pas savoir qu'il y avait réception ce soir.


Elle la regarda de ses océans avant de reprendre tout en s'installant face à elle.

Ce parchemin vient donc du Père Martin Lecotre. Si je comprends bien vos parents sont morts et vous vous retrouvez toute seule et ruinée...

Elle lui tendit le parchemin pour lui rendre tout en réfléchissant. Comment pourrait elle venir en aide à cette demoiselle? La brunette ayant un grand cœur ne comptait pas la laisser repartir sur les routes et rencontrer tout un tas de personnes peu fréquentables. Soudain une idée lui vient à l'esprit. Et pourquoi ne pas lui proposer de devenir sa demoiselle de compagnie.Comme cela elle pourrait veiller sur elle comme lui demandait le prélat dans le parchemin. Elle serait également certaine que rien de désastreux ne lui arriverait.


Mademoiselle. Le Père Martin Lecotre me demande de prendre soin de vous et j'y compte bien. A partir de maintenant et si vous l'acceptez je voudrais que vous soyez ma demoiselle de compagnie. Elle s'arrêta un instant guettant la réaction de la jeune femme.

Vous habiterez donc ici au domaine de Montoiron. Ophélie qui est l'intendante de la demeure vous préparera votre chambre. En attendant je vous laisse au main d'Ophélie.
N'hésitez pas à venir vous amusez à la réception. Je suis sûre qu'Ophélie pourra vous trouver une jolie robe

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Anna..
Anna avait finit de manger les friandises volées au buffet. Soulevant un tout petit coin de nappe, elle regarda ce qui se passait dans la salle de bal.
Sa mère avait semble t-il disparu, et Claudia était en conversation avec une autre dame.
Elle laissa retomber la nappe, et se couchant à plat ventre à même le plancher se mit à jouer avec la figurine qu'elle avait trimballé avec elle.
Vidara
C'est avec un leger retard que Vidara vient rejoindre tout le monde ainsi que son amie Phal qui l'accompagnait .
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Guillemette_
La Dame de Montmoiron la met à l'aise, et lui dit :

- Vous n'avez pas à vous excusez mademoiselle Rocabret. Vous ne pouviez pas savoir qu'il y avait réception ce soir... Ce parchemin vient donc du Père Martin Lecotre. Si je comprends bien vos parents sont morts et vous vous retrouvez toute seule et ruinée... Mademoiselle. Le Père Martin Lecotre me demande de prendre soin de vous et j'y compte bien. A partir de maintenant et si vous l'acceptez je voudrais que vous soyez ma demoiselle de compagnie. Elle s'arrêta un instant guettant la réaction de la jeune femme.

Puis après un moment de réflexion...

Vous habiterez donc ici au domaine de Montoiron. Ophélie qui est l'intendante de la demeure vous préparera votre chambre. En attendant je vous laisse au main d'Ophélie.
N'hésitez pas à venir vous amusez à la réception. Je suis sûre qu'Ophélie pourra vous trouver une jolie robe


Elle n'en revient pas... Elle sourit, fait révérence, et remercie, avec émotion.

- Dame... Vous n'aurez pas affaire à une ingrate, je vous en fais le serment ! Je vous serai plus fidèle qu'un animal de compagnie... les puces en moins !


Elle sourit et rit même discrètement derrière sa main... Bon, elle a besoin d'un bon décrassage, mais au moins, elle est certaine de ne pas avoir de puce...
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Helena.
Helena sourit à la jeune rouquine. Elle semblait heureuse de la décision et surtout acceptait avec joie ce que la jeune brunette venait de lui proposer. Helena se tourna vers Ophélie qui était restée en retrait pendant toute la conversation entre les deux dames. Elle lui fit signe de s'approcher

Ophélie. Je te la confie. Prépare lui de quoi faire un brin de toilette. Elle fait dorénavant partie de la maison. Et comme tu as pu l'entendre, elle devient ma demoiselle de compagnie. Je te laisse te charger de lui préparer une chambre dans la mansarde. Merci bien


Bien Madame. Il sera fait selon vos désir.

Tandis qu'Ophélie fit une révérence, la brunette souriante quitta le petite salon pour retourner à la réception. Elle croisa alors un homme..un brun...Vidara Valensky. Elle s'approcha de lui en souriant

Bonsoir Messire Vidara Valensky. Ravie de vous voir parmi nous et bienvenue à Montoiron. C'est un plaisir de vous recevoir. N'hésitez pas à danser, et à vous divertir. La fête est faite pour cela.

Tout en parlant elle l'entraina dans la salle de bal. Elle prit au passage deux coupes de champagne et lui en tendit une.

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