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[RP] Voilà où mène la curiosité des enfants...

Gyldas
Fuyant le père de ses enfants, Gyldas avait quitté Tulle pour se réfugier à Roche. C'est avec soulagement qu'elle y avait retrouvé son amie Valériane à qui elle avait pu se confier. Après s'être appesantie quelques temps sur son sors, l'ex-Lieutenante de Tulle semblait enfin se résigner à accepter ce qui lui arrivait: Arteis l'avait quittée pour de bon.

Assise sur l'un des bancs du parc, elle surveillait distraitement ses deux filles qui jouaient à "chat". Dans le couffin à côté d'elle, la petite Ambre, rassasiée, regardait ses mains tout en faisait des bulles de lait. Gyldas priait silencieusement pour qu'elle ne régurgite pas son biberon, mais ça semblait mal parti. Elle sortit de sa poche la réponse d'Allyxia et la relut une énième fois. Une fois de plus, ses mots étaient durs, mais elle avait raison, même si ça faisait mal à Gyldas de l'admettre.

Elle s'interrompit en voyant arriver sa rouquine en courant.

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--Dorilys
Ca commençait à faire un moment qu'elle ennuyait sa petite sœur. De caractère placide, Cyrielle n'était pas facile à décourager, et Dorilys se plaisait souvent à voir combien de temps mettait la brunette avant d'abandonner. Mais ce soir, pas de chance, sa cadette riait aux éclats devant les tentatives de la rouquine à faire plier sa volonté. C'est peut être pour ça que ça mère ne disait rien. Tant qu'aucune des deux ne râlait ou pleurait, elle n'intervenait pas.

Pour une fois, Dorilys se lassa la première. Elle jeta un coup d'œil en direction de sa mère pour la voir plongée une énième fois dans sa lettre. Cyrielle en profita pour lui taper l'avant-bras avant de s'enfuir aussitôt sur un joyeux "C'est toi le chat". Mais Dorilys l'ignora à demi en lui répondant distraitement:


- Je ne joue plus, je vais voir maman.

Elle courut donc vers sa mère et, dégageant d'un revers de main les cheveux collés à son front trempé de sueur, elle s'enquit auprès de Gyldas:

- C'est tante Ally qui écrit, hein? Et Astyxio? Il a mis un mot pour moi?

Elle savait que ça n'était pas vrai, sans quoi sa mère le lui aurait déjà donné, mais elle brûlait d'envie de savoir ce que contenait la lettre. Elle savait par expérience, malgré son jeune âge, que sa mère ne relisait pas sans cesse un courrier si tout allait bien.

Gyldas
La perspicacité de sa fille n'en finirait jamais de l'étonner. Soit elle était d'une intelligence hors du commun, et elle avait deviné à qui sa mère s'était confiée, soit elle avait vu la direction qu'avait pris la pigeon pour repartir, et elle en avait déduit d’où venait la lettre, soit les rumeurs se confirmaient selon lesquelles les rousses étaient des sorcières, et son talent commençait à poindre. Quoi qu'il en soit, elle avait tapé dans la mille. Gyldas ne put retenir un sourire de bienveillance. Mais aussi maternel fut-il, Dorilys ne serait pas dupe d'un mensonge de sa mère. Gyldas allait devoir jongler.

- Oui, c'est tante Ally qui écrit. Elle vous embrasse bien fort.

Ca, au moins, c'était vrai. D'un regard désolé, elle ajouta:

- Non, Tixo n'a pas mis de mot pour toi. Mais tu sais, il est allé rejoindre son père qui est noble, et il apprend les manières des Grands. Alors il ne faut pas lui en vouloir. Il n'a peut être pas le temps. Mais je suis sure qu'il pense à toi.

Ca, c'était même certain. Au vu des bêtises que faisaient ces deux là quand ils étaient réunis, Gyldas doutait que le blondinet oublie sa rouquine. Elle se leva pour clore la discussion et appela Cyrielle qui s'était mise à dessiner par terre avec une branche.

- Allez, il se fait tard, on va rentrer.

Joignant le geste à la parole, elle prit le couffin à bout de bras et se dirigea vers la maison de Valériane, son amie qui lui offrait gentiment le gîte et le couvert pendant son séjour.

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--Dorilys
Bon, d'accord! Sa mère ne voulait rien lui dire, alors il allait falloir qu'elle se débrouille autrement pour savoir ce qu'il y avait dans cette fichue lettre. Pour l'heure, elle se contenterait de ce que Gyldas lui avait dit, mais dès la nuit tombée…

Tout en cheminant jusqu'à la boulangerie de Dame Valériane, Dorilys échafaudait son plan. En voyage, la rouquine parlait peu. Son silence ne surprendrait donc pas sa mère. C'est donc une fillette à l'apparence calme et sereine qui pénétra dans la boulangerie ce soir là, et répondit poliment à Bérangère qui ne manqua pas des les accueillir.


--Berangere
Le soir tombait et Bérangère finissait de ranger et de nettoyer la boulangerie.
Elle vit une jeune fille entrer dans le boulangerie.. son visage lui disait quelque chose


Ah ben bonjour toi ! mais attend un peu.. t'es la fillote à Dame Gyldas ? l'amie de la baronne ?
ça fait plaisir de te voir.. et ta mère , elle est là derrière je suppose.. allez, rentre donc et viens me faire un bisou..


Bérangère, aimait la compagnie, et celle des enfants la ravissait.. bon, fallait savoir où était encore passée sa maitresse, dans son bureau sans doute...


Elle vit rentrer Dame Gyldas et la suite de sa progéniture... elle lui fit un grand sourire


AH ben, dame Gyldas, si j'm'attendais ... rentrez , rentrez..mes cocottes, installez vous, j'va prév'nir la baronne

elle s'approcha de l'escalier qui menait aux chambres et aux appartements de la baronne, et se mit à crier à plein poumons..


M'DAME LA BARONNE !!! , vous avez de la visite !!!


Puis elle regarda les fillettes...

Oh, mais vous avez grandi les filles ! ça pousse tout ça, hein, m'dame Gyldas ! et qu'est-ce que vous avez donc dans vo't panier ? ooooohhhh un tiot bébé... encore une tite fille hein ? bah, c'est pas grave, au moins, elle jouera bien avec ses soeurs allez... et vous, comment qu'vous allez ? vous restez quelques jours ?

Gyldas
Si ce n'était pas de l'accueil, ça! Gyldas sourit quand la servante remarqua le couffin. Ca lui rappela la perte de son fils, mais le temps n'était plus à le pleurer. Il fallait vivre avec les vivants. Loin de s'appesantir, elle répondit joyeusement:

- Eh oui! C'est à croire que je ne sais faire que des filles!

Elle se retint de rire à grand-peine en entendant la façon dont Bérangère appela Valériane. Décidément, son amie avait su rester simple et ne semblait absolument pas à cheval sur le protocole. Gyldas n'avait pas prévenu Valériane de sa visite. Aussi, elle avait eut quelque appréhension à se rendre chez la baronne sans se faire annoncer. Mais Bérangère réussit à dissiper totalement son malaise. Il faudrait tout de même qu'elle songe à revoir ses manières. Il n'était pas question qu'Arteis lui reproche d'éduquer ses enfants de travers.

- Pardonnez moi, j'arrive un peu à l'improviste. Mais s'il plait à la Baronne de me recevoir, j'aimerais effectivement rester quelques jours.

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--Berangere
Bérangère écoutait l'amie de sa maitresse... la dernière fois, elle avait vu le ptit homme de Gyldas mais elle avait appris que la peste l'avait emporté.. la Baronne lui en avait dit quelques mots, bien obligée, vu les questionnements de Bérangère qui ne lâchait pas le morceau facilement.. mais pas question de remuer le couteau dans la plaie, Dame Gyldas avait assez souffert.. pis là, de ce qu'elle avait compris, le bel homme avait pris encore la poudre d'escampette ! ! elle avait pas de chance la pauv jeune femme.. si c'était pas malheureux..

Eh ? à la provisse ? y a pas de provisse qui tient ! vous savez que vous venez quand vous voulez, c'est Dame Valeriane qui l'a dit ! vous êtes ici chez vous !

Ah, je l'entends qui descend, moi, je file préparer vot' chambre, y en a pas pour longtemps... ben, j'prends vos bagages, j'les monte à l'étage !


Valeriane
La Baronne de Châteauvert était de retour à Rochechouart depuis quelques jours. Elle était restée quelques temps à Limoges pour travailler à l'Université, et pour aller à la cérémonie du Grand Couvain où elle avait vu Gyldas recevoir le collier de Patricien. Valériane était fière de son amie, depuis le temps qu'elle travaillait sans compter pour le comté !!...c'était normal d'avoir un peu de reconnaissance .
Elle était en train de vérifier la liste des élèves quand elle entendit la voix de sa chère servante...


-M'DAME LA BARONNE !!! , vous avez de la visite !!!

Val eut tout de suite un sourire et ne fut pas surprise de l'annonce peu conventionnelle de Bérangère.. elle était nature et Val ne s'en formalisait pas.
Elle descendit rapidement les escaliers , elle avait une robe bleu très simple et les cheveux libres. Ici, point de manière.

Elle arriva devant Gyldas , le sourire au lèvres, les bras ouverts


Gyldas ! ! Quel plaisir ! Tu m'avais dit que tu allais voyager un peu mais je ne savais pas exactement quand tu me ferais le plaisir de ta visite !
A chaque fois que tu viens , surtout avec tes enfants, tu mets un peu d'animation, de bonheur dans cette maison.


Elle vit les fillettes et le couffin...

Bonjour les filles ! Alors, on fait un petit voyage ? et la petite Ambre ? comment elle va ? la dernière fois que je l'ai vue, c'était à la cérémonie, et ma foi, j'ai été très satisfaite ! Quand j'ai du la garder alors que sa mère recevait le collier du Grand Couvain, elle n'a pas pleuré dans mes bras !
J'espère que vous êtes fières de votre maman les enfants ?

Mais bon, d'abord, désirez vous quelque chose à boire ? les filles ? Gyldas, du lait pour le bébé ? Bérangère peut aller en chercher si tu veux !

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--Dorilys
Ah ben non! Si Bérangère montait les bagages de sa mère, Dorilys ne verrait pas où elle avait laissé la lettre. Oui, mais si elle proposait d'aider Bérangère, sa mère allait trouver ça bizarre. Quoique! Elle avait l'air trop ravie de revoir la baronne pour s'en soucier. Et toutes les deux, elles étaient déjà en train de parler d'Ambre.

Pour la première fois de sa jeune vie, la rouquine se dit que, finalement, un bébé, ça pouvait bien servir.

- Je vais aider Bérangère. Elle pourra pas tout porter!

Et sans attendre la réponse de Gyldas, elle emboîta le pas à la servante.

Gyldas
Prise entre l'accueil chaleureux de Valériane et la proposition hors du commun de Dorilys, Gyldas ne réussit qu'à bredouiller un "Oui, c'est une bonne idée" à sa fille avant que celle-ci ne disparaisse dans les escaliers. Après tout, si ça lui faisait plaisir! Ca changeait de la période où Lénora s'occupait tellement d'elle qu'elle ne savait rien faire de ses dix doigts.

Après une accolade de retrouvailles, la conversation s'entama bien vite. Val semblait ravie d'avoir un peu de marmaille sous son toit, et Ambre monopolisait déjà toute l'attention des deux femmes. Gyldas entreprit de répondre aux questions de son amie, et comme d'habitude, il y en avait eu une kyrielle. Mais les rapports de police qu'elle avait fait régulièrement lui avaient appris à se souvenir de tout dans les moindres détails, et c'est sans aucune peine qu'elle reprit point par point:


- Oui, mon voyage n'était pas prévu avant un moment. Mais vois-tu, Arteis a décidé de mettre un terme à notre relation. Et… ça m'a tellement secouée que je suis partie sur un coup de tête. J'ose espérer que ma tornade rouquine ne va pas mettre ta maison sens dessus dessous. En général, elle se tient bien, mais quand elle a quelque chose en tête…

Elle se souvenait de sa fugue quand elle était chez Allyxia, et si c'était la pire bêtise que la fillette ait pu faire jusqu'ici, ça n'était pas un des meilleurs souvenir pour Gyldas. Baissant les yeux sur le couffin où reposait la petite, elle sourit en la voyant jouer avec ses mains.

- Eh oui, elle pousse! Et elle est comme Cyrielle: relativement calme, elle ne pleure pas souvent. Laisse tomber le lait: les grandes ont goûté, et Ambre a déjà pris son biberon. On a un peu de temps pour nous.

Elle releva la tête en souriant. Contrairement à ce qu'elle s'était imaginé, Tulle ne lui manquait pas tant que ça, et elle comptait bien profiter de son séjour à Roche sans arrières pensées.

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Valeriane
Val vit Dorilys emboiter le pas à Bérangère, quelle brave petite se dit elle..; c'est bien de se rendre utile !

T'inquiète pas Gyldas, ta fille ne fera sans doute rien de mal, surtout avec Bérangère à ses côtés.. et de toute façon, il n'y a pas grand chose à mettre sans dessus dessous.

Val sourit en pensant que c'était elle qui mettait tout sens dessus dessous et que c'était Bérangère qui devait tout ranger derrière elle..


Ah, Gyldas, cet Arteis.. il t'en aura fait tout de même... ! enfin, c'est sans doute difficile pour toi d'accepter cette situation mais au moins, tu n'as plus de questions à te poser, tu peux mener ta vie comme bon te semble.
Même si, j'en suis consciente, tu dois souffrir de le voir partir avec une autre... et puis... élever des enfants seule.. ça ne va pas être de tout repos. Heureusement qu'elles sont mignonnes toutes les trois, qu'elles ne sont pas turbulentes et exigeantes.. enfin, c'est mon impression..

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Gyldas
Gyldas faillit éclater de rire. Si ses filles étaient polies, c'est bien parce qu'elle leur avait fait la leçon avant d'arriver. A la ferme, c'était autre chose, surtout en ce qui concernait Dorilys. De nature rebelle, la rouquine avait appris à se contrôle, mais elle n'en restait pas moins boudeuse et grognon quand Gyldas lui disait non.

- Ca dépend des jours, tu sais. Mais tu as raison, c'est une bonne chose qu'elle prenne des initiatives. Je ne peux pas toujours être derrière les trois en même temps.


Elle se serait bien passée de parler d'Arteis, mais comment éviter un sujet aussi récent? S'efforçant de sourire, elle répondit à Valériane:

- Le plus dur n'est pas qu'il m'ait quittée. C'est de le savoir avec une amie. Mais… c'était forcé qu'il se retrouve avec une amie… Je n'ai guère d'ennemies, à Tulle, voire pas du tout. Enfin… J'espère!

Allez assez parlé de moi. Dis moi ce que toi, tu deviens. J'ai cru comprendre qu'on t'avait refusé à la Licorne. Qu'est-ce qu'on te reproche au juste?

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--Dorilys
Bon voilà! Maman était occupée à bavarder alors elle avait tout le loisir de faire ce qu'elle voulait. Il n'y avait qu'une malle alors ça irait vite. Dorilys aida donc Bérangère à ranger les quelques vêtements qu'elle contenait, et en profita pour regarder discrètement dans chaque poche et entre chaque vêtement si la fameuse lettre ne s'y trouvait pas.

Ce fut peine perdue. D'ailleurs, en y réfléchissant bien, maman avait lu et relu sa missive quand elles étaient au parc. Alors elle ne pouvait sûrement pas être au fond de la malle. Dans son bagage à main peut-être.


- J'ai oublié le sac de maman en bas. Je vais le chercher. On pourra le ranger avec ses affaires.

Une descente quatre à quatre, un joyeux "Maman, je monte ton sac", et une remontée en un clin d'œil, et voilà la rouquine qui avait presque atteint son but. Elle ralentit avant d'arriver à la chambre et jeta un œil dans la besace. Gagné! Elle était là! Un coup d'œil à droite, un coup d'œil à gauche, personne! Dorilys glissa le parchemin dans sa manche et, l'air de rien, donna le sac à Bérangère.

- On peut ranger ça avec le reste? On le cherchera pas comme ça!

--Cyrielle
Elle était bizarre Dory, ce soir. D'habitude, elle bougonnait dès qu'il fallait aider. Cyrielle hésita à peine quelques secondes: la curiosité l'emporta que l'envie de s'asseoir calmement à côté de maman. La fillette n'avait jamais vu sa sœur aussi minutieuse, sauf lorsqu'elle cousait les robes de leurs poupées avec papa. C'était louche et plus que louche.

Aussi, quand Dorilys remonta les escaliers, mais ne parut pas dans la chambre aussi vite qu'elle l'aurait dû, Cyrielle jeta un œil discret dans la couloir. Oh, pas trop longtemps! Il fallait rester discrète. Bérangère était occupée, mais ça ne voulait pas dire qu'elle avait les yeux dans sa poche. Elle en avait d'ailleurs terminé et le sac que lui tendit enfin Dorilys était la dernière chose à ranger.

Alors que la servante quittait la chambre en invitant les "petiotes demoiselles" à venir manger un morceau, Cyrielle chuchota à sa sœur:


- J't'ai vue! T'as volé un truc dans le sac à maman, c'est pas bien! Tu me dis ce que c'est, sinon, je vais l'dire!

Il devait y avoir une bonne raison pour que sa sœur fasse ça, mais elle ne voulait pas être en reste. Soit la rouquine partageait son secret, soit Cyrielle se ferait un plaisir de la voir se faire gronder. C'était sa vengeance habituelle suite aux taquineries souvent pénibles qu'elle subissait chaque jour.

--Berangere
Bérangère était contente de voir Dorilys venir l'aider, elle fit les lits, puis avec elle, rangea les vêtements dans l'armoire...

Elle vit la jeune fille repartir aussitôt et revenir quelques temps après avec le sac de dame Gyldas...
Bérangère parut surprise, mais sans plus


Eh ben, Dori, t'en fais un cirque.. ! !qu'est ce t'avais oublié donc ? ah, ça ?! ben, oui, donne moi le sac de ta mère, on va l'ranger avec l'autre. Et ta soeur.. elle fait quoi ?

La chambre était fin prête et la Bérangère redescendit pour préparer le diner..

hep, les p'tites, vous avez faim ? vous r'descendez avec moi ? ou bien ...

Elle vit la plus petite chuchoter quelque chose à sa frangine...

Et alors, on fait des messes basses ? hum ?

Voyant que les gamines ne l'écoutaient pas, trop occupées à s'dire des choses de filles , la Bérangère n'attendit pas la réponse , grommela quelques mots, et fila à la cuisine ... elle se dit qu'elle passerait discrètement devant la salle où les deux femmes discutaient, ça devait être plus intéressant que des secrets de gamines...


Ah, ces enfants alors...! toujours à jouer..à s'raconter des histoires sans queue ni tête... z'ont bien d'la chance !





edité pour la suite de l'histoire
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