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[RP] Un renard dans la mare

--L_afficheur_
(RP ouvert à tous! )



Dans les ruelles d’Angers, l’afficheur trottait, portant précieusement un paquet de vélins soigneusement empilés avec ordre de ne pas en perdre un seul parce que :

- « … sinon, je te casse les rotules, après je te pends et pour finir je te crame… »
- « … le papier, ça coute cher, déjà que je l’ai pris dans les réserves de Marzina… »
- « … je pourrais bien étrenner mes poulaines sur votre gros derrière, mais là de suite, j'ai une course à faire, ne m’attendez pas… »
- « J'ai soif! »

Alors l’afficheur n’en menait pas large, ses petites affiches serrées contre son cœur, son pot de colle coincé entre les dents parce que :

- « … t’auras les mains prises, mais si t’en renverses une goutte, on les collera nous même avec ta cervelle… »
- « …la colle ça coute cher, déjà que je l’ai prise dans les réserves de Marzina… »
- « … … »
- « … L’est bonne c’te gnole… Hips… »

Arrivé sur la place publique, il attrapa, fébrile, l’une des affiches, repensant non sans déglutir qu’il n’avait pas le droit à l’erreur parce que :

- « … si tu sal*pes le boulot, je t’offre à Finam, et sache que dans les geôles de Gennes, personne t’entendra crier… enfin si, mais tout le monde trouvera ça normal. Il reste des chouquettes ? »
- « … il se pourrait bien que ça te coute cher si Marzina apprend que t’as gâché son vélin et sa colle… »
- « Mais qu’est-ce que vous foutez encore là, ça fait deux heures et demi que je suis partie ... »
- « … RRRRRoOOooNNNPPPsssHHHhhiiIIIttTTT… Gné... bulot... quequette... RRRrrrRROOOoooNNNnnnnppppSSSssHHhhhiiiiTTTttt... »

Après dix-huit minutes de concentration, l’affiche trouva enfin sa place sur le panneau d’affichage, prête à signaler à tous les angevins, ce qu’ils devaient savoir…


Sabaude
La villégiature en Anjou pour un royaliste n'est pas de tout repos : esquiver les torgnoles - ou pas- , les exorcismes, les poneys, les lapins blancs....

Sans oublier les chocs visuels et auditifs qui marqueront à jamais l'esprit.
Le Capitaine qui tente de baptiser avec des Lanternes et de refourguer ses chapeaux.
Le nain qui met genou à terre pour demander la main de l'Anaon et lui passer des anneaux aux orteils.
Le Moustique qui lui tâte le grelot.
La Suzeraine de l'archiduchesse qui passe sa soirée à monter un cheval de bois sur roulettes offert par un père indigne.
Le dit père, tri-breton tri-irlandais tri-louche qui crie à qui veut l'entendre que son pénis est sanctifié. Rosita en ferait une attaque si elle savait... Il faudra qu'il lui écrive à la rousse... un jour.

Non, non, il y a de quoi perdre la tête, pas littéralement bien-sur car il tient à sa caboche, et de prendre l'air.


C'est le pas traînant, le sourire niais de celui qui a reçu un baiser calycien, l'oeil fatigué d'une courte nuit qu'il visite la ville, pouces entre cuir et étoffe.

Ah tiens! Un dessin de renard. Je croyais que c'était les canards qu'on révérait par ici. Boarf.

Il avance, il baille, accroche encore la bestiole rousse.

Marrant, ils lui donnent un nom: Wanted... Faudra que je demande à Calyce si elle donne des noms a ses canards et Katina à ses chouquettes.

Le vicomte continue sa marche, fait des ronds, se perd un peu. On ne peut pas dire qu'il est particulièrement réveillé.

Encore le renard.... Ils ne vont vraiment pas bien par ici, même si c'est mieux que le palmipède. Quelle coïncidence il est alençonnais comme moi leur....

Les prunelles s'ouvrent enfin en grand et les méninges chassent la brume de sous son crâne.

Mierdasse! Qu'est-ce là que ce placard, cette turlupinade? Et je n'ai pas de fleur de lys sur la fesse, namého! L'artiste a de la patte ceci dit.

De droite et de gauche il regarde, aux aguets.
Le dessin dont il apprécie traits et couleurs ne saurait le désigner clairement, il n'est point aussi velu, ni roux. Sauce sur le plat de viande, aucune récompense.
Pour avoir vu Merlain et Rikiki compter leurs sous comme deux lutins cupides, il sait que sans écus à la clef, pas un seul de ces drôles d'angevins ne lèvera le petit doigt. Il respire et rit même, emporté par la conclusion.


Pfiou! Bon pas tout cela mais évitons de traîner par ici.
_________________
Calyce
-HahahaHAHAHAhahahahaHA

Calyce aussi, elle rit.
Cachée derrière un buisson, mais elle rit. Parce qu'il faudrait pas que Renard Sabaude pense qu'elle se fout de son museau. C'est pas vrai. Elle salue juste la patte de l'artiste...et puis c'est drôle, dans le fond. Mais vraiment dans le fond, hein. Parce qu'en surface, ça va pas.


-Mais quels enfoirés... Qu'elle siffle en sortant de son buisson, le menotte essuyant une dernière larme.
Mais quels enfoirés !
Mais quel coup tordu !
Pas besoin de se miner le cerveau à chercher des heures qui sont les personnes derrières tout ça...

-Tiss !
Elle c'est la cheffe.
Celle qui pense pouvoir faire taire l'Alençonnais au sujet de son petit tour en cheval de bois sur roulettes. Le truc c'est que l'Archiduchesse connait très bien sa suzeraine. Pas l'esprit assez tordu pour pondre ce genre de plan. Non... C'est quelqu'un de bien plus sadique qui lui aura soufflée l'idée à l'oreille. Quelqu'un qui peut l'influencer au point qu'elle accepte de se ridiculiser en taverne, devant un royaliste...

-Finn !
Irlandais perfide ! Exorciste de mes deux ! C'est avec "ça" que tu crois me libérer du démon qui squatte mon dedans ? Bah, tu t'fous le doigt dans l'oeil jusqu'à pénis Saint, FILS DE LEPRECHAUN ! Des insultes, oui ! Des insultes que jamais elle n'aurait osé débiter en face de l'O Mordha. Trop lâche. Même là d'ailleurs, elle se permet juste de les penser ces insultes. Et encore, elle surveille les alentours, sait-on jamais qu'il apparaisse par magie pour lui racketter son gouter.

Et puis il y a l'illustration.
C'est de l'Art. C'est beau, c'est fin, ça donne l'impression d’être pailleté c'est propre...c'est pas Finn. Enfin, si, c'est lui mais de façon indirecte. Il a forcé...

-...Katina !
Sa pauvre vassale. Qu'a t-il bien pu lui faire pour l'obliger à dessiner la torture de pauvres palmipèdes ? C'est tout vu. Il l'a menacée de bruler toutes ses bottes, tous les bottiers et leur descendance, lui raser le crâne tous les trois jours et interdire la confection de chouquettes. C'est obligé.

-Mais quel enfoiré !

Plus tard dans la journée alors qu'elle paresse dans son lit, elle reçoit des nouvelles de son adopté victime de la plus grosse diffamation du siècle.
Diffamation parce qu'elle sait que...
-Sabaude ne mange pas de maman canard : Il le lui a juré !
-Il est pas roux !
-Et il n'est pas tatoué sur la fesse gauche...ah non, ça elle ne sait pas...


-Mais il va te le prouver, il a dit !
-OUAIS !
-Il tombera le pantalon ?
-OUAI...euh ?
-Hinhin.
-J'ai déjà chaud quand j'pense à sa chemise qui tombe alors...
-Ah bah là ça va être de la brulure au 3éme degré.
-Faut refuser poliment...
-Ouais mais comment savoir pour le tatouage du coup ?
-Pis brulure au 3éme degrés, c'pas si grave au fond.
-Gaffe, tu baves là.
-Hinhin...


Oulah, faut vite chasser ces pensées qui lui font avoir les joues en feu en plus du filet de bave disgracieux au coin des lèvres.
Un godet de vin et un tour de la ville plus tard, elle rejoint Renard.
Dans la main gauche, une perruque blonde :


-Avec ça, vous seriez Braïan, le dresseur venu d'Angloysie.

La main droite, elle, brandit un postiche roux :
-Manunaig. Le pêcheur breton reconverti dans la canarderie. Ils aiment tout ce qui se fini en "aig" ces gens là.
Et le bout de la poulaine qui pousse un paquet aux pieds renardesques.
-Et là dedans, vous avez de quoi devenir Hilda la Danoise ancienne employée de cirque, spécialisée dans le canard...
Dans le paquet : Une robe verte, une perruque tressée blonde et des poulaines rouges de taille mâle.
Vous avez le choix comme ça...
Et de porter sur lui un regard honteux, pas fière du tout, avant de lui déposer un baiser sur la joue.
Il y aura vengeance, je vous le jure.
_________________
L_incomprise
[ "Le chapeau fringant !", Angers ]

L'auteur ayant la flemme de vous faire un résumé détaillé, c'est en image qu'il présente la scène de crime qui se déroula en taverne quelques jours plus tôt.
Âme sensible ? S'abstenir !




Vous n'avez rien compris ?
Bande d'incultes !


Dans le rôle du père : Finn, le Hobbit/Leprechaun.
Dans le rôle de la fille : Tiss.
Dans le rôle du cadeau : le cheval de bois à roulettes.
Dans le rôle de la lanterne : Coolmaro, caplanterne.
Dans le rôle de la taupe : Calyce.
Dans le rôle du renard : Sabaude.
Quant à la chouquette... l'auteur ne pointera pas du doigt la lâcheuse Katina qui préféra Saumur à Angers ce soir là.
--L_enquete
[Pendant ce temps là à Angers.]

Un agent de la maréchaussée, Gérard, content de prendre sa première plainte.
En face de lui, une jeune femme éplorée : la plaignante.


-Bin c'tait y a quelques jours d'ça mais j'saurais pas vous dire quand, c'est qu'j'connais pas l'nom des jours de la s'maine moué.
-Moui...
-Et donc j'tais de rapine du côté d'angers là. J'faisais la douane qui vole pour l'duché, j'tais à deux doigt d'attraper un mainois quand y m'est tombé d'sus.
-Qui ?
-L'bonhomme à la face déphasée !
-Déphasée ?
-Ouais. L'a une partie de la gueule qui dit merde à l'aut', j'me souviens !
-Et donc il vous a volée ?
-Mon ch'val !
-Carrément ?
-Mais oué ! Mon ch'val de bois qu'j'ai volé moi même à un 'tit tourangeau l'année d'vant là.
-Et vous faisiez quoi avec ce cheval ?
-Bin il m't'nait compagnie quand j'attendais le pigeon à plumer, p'rdis ! Pis j'avais fière allure d'sus...faut m'comprendre, j'pas les moyens d'm'en payer un vrai d'canasson, ni la force d'en voler un...'lors avec "Dada"-c's'nom au cheval- j'tais bien. D'puis que j'l'ai plus bah...j'ai pu envie de rapiner, m'sieur l'agent.
-QUOI ?!
-Oué, oué, j'vous l'dis moi : c'type là il a tué ma motivation à pratiquer l'rapine ! ON VOLE LES VOLEURS ANGEVIN EN ANJOU quoi. C't'y pas un monde, ça. J'suis trouée...'fin outrée, là. J'suis au bord du gouffre et si vous r'trouvez pas mon Dada, bin j'm'y jetterai.
-Z'inquiétez pas ma bonne dame. Je s'occupe de tout, tu s'occupes de rien.


Finn
[So mûr.]


Entre deux cuites, l’Irlandais traîne ses basques en ville du côté des affiches. Celle de leur odieux complot anti-royalo y trône toujours, à présent accompagnée d’une toute autre infiniment moins jouasse : une alerte pour disparition.

- « Les sales petits fils de Mainois ! »

Une vente d’indices... On cherche à le faire tomber !

Bien sûr, il avait eu le temps d’effacer le numéro de série tout comme la griffe de l’artisan avant d’offrir ce petit cheval de bois sur roulettes à sa chère fille bâtarde, retrouvée après des années d’anniversaires manqués : Tissouille.

Alpaguant un passant et après l’avoir molesté pour le prier de bien vouloir lui servir d’écritoire, Ó Mórdha lui déroule un vélin sur le dos afin de prévenir son supposé demi-sang.


Citation:



    Fille adorée,


    La mare mal chaussée est sur les dents.

    En attendant que les choses se tassent, je suggère de mettre au vert l’étalon de bois.


    Secrètement,
    Pôpa chéri




_________________
Tiss__
Correspondance Père -Fille...

"Le renard est dans la merde. "
"Chouquettes et paillettes ? "
"Le crayon court tout nu sur la plage vierge."

Complot bien organisé, tu parles...
Heureusement que Katina et Chalva sont là pour aider.

Et une nouvelle missive paternelle d'arriver.
La maréchaussée est dans la place ?
Pour sûr c'est un coup Calycien... dans l'esprit de Tiss en tout cas.


C'est la mouise...
Planquez tout !
Elle veut la guerre, elle l'aura !
Elle est jalouse de mon cadeau...


      Citation:

        Pôpa chéri,

        Sans poulaines ne toucheront fier destrier !
        Je le jure.
        Sous un riquiqui amas de culottes sales...
        Nul ne chercherait.

        Secrètement,
        Fille adorée.



_________________
Sabaude
Assis dans un coin sombre d'une salle de taverne, l'oeil brillant et l'ongle d'un pouce grattant sa lippe, le jeune vicomte serré dans sa cape réfléchit autant que la surface de son godet de cidre. Qui a bien pu faire cela ? Les noms défilent entre ses tempes, il les sépare et les associe, jamais totalement satisfait des combinaisons. Il va même jusqu'à écarter le nain : pas d'or ni de poney piétinant du royalo. Pour Merlain il hésite.

Inquiet de la farce, lui ? Un tantinet. Il est en Anjou et dans cette Province tout est possible. Avant de franchir la frontière on met la cervelle en retraite, on la remplace par un vent léger de folie et on croise les doigts pour ensuite parvenir à sortir de là sans trop de séquelles.

L'angevin est polisson, il déconcerte, surprend, vous prend par surprise d'une torgnole ou d'autres espiègleries quand ce n'est pas votre bourse qu'il a subtilisée, ou partie de votre coeur...

Quand enfin elle paraît, un sourire illumine son visage malgré le chiche éclairage. Il est tout chose dès qu'elle est près de lui et sa capacité à accepter n'importe quoi- ou presque- monte en flèche.
Toutefois à la vue des perruques, des noms et des métiers il tique et sourit de plus en plus en coin, un peu jaune.
Le dresseur de canard et la perruque il assume, il lui a suggéré pour passer inaperçu.
Pour le reste...comment dire... D'un index il fait des ronds sur le dos de la main de l'archiducherie.


Anglois cela ne va pas être possible. Je ne connais pas un mot de leur foutue langue.
Breton je refuse net ! Roux en plus 
!

En Anjou agis en angevin !
Il lorgne sur le paquet, dubitatif, soumis à ses tergiversations galopantes. Et s'il osait ?
Ce n'est pas comme s'il n'avait pas un passé d'animateur de jeux, qu'il n'avait jamais porté une tenue de soubrette pour un pari perdu, ni un costume intégralement vert avec chapeau à plumes pour appâter le chasseur de sanglier. Le ridicule, cela fait depuis longtemps qu'il lui a livré un duel et l'a remporté... ou perdu, c'est selon le point de vue.
Il inspire profondément.


Va pour Hilda ! On s'attend à voir un homme à vos côtés.
Mais je vous préviens dame Canard, si le nain me demande en mariage je lui mets la torgnole du siècle. Et si on découvre la supercherie, il y aura des chevauchées de cheval de bois sur roulettes qui vont voyager loin !

Mimine calycienne encore sous la sienne, une soudaine pensée vient le titiller de sa fourche.

Ce n'est pas un plan à plusieurs, dont vous même feriez partie, pour que je fasse un truc tordu pour ne pas dire angevin ? Une phase de l'exorcisme ?

Mais non, il ne peut penser cela. Pas elle, pas son adoptée ! A la faveur d'un pan de vêtement relevé sur eux, il vient sceller la vengeance d'un baiser appuyé.

Il faudra m'aider à mettre la robe et à raser moustache et barbiche, délicieux caneton, murmure-t-il à son oreille intacte d'une voix suave.

Sur ce un peu plus tard, découvrant une affiche pour un cheval de bois qu'il connait bien, les mains se frottent et quelques dessins sont découpés pour ensuite être collés avant de finir sur un mot glissé sous une porte. Dans le doute, entraîner dans sa chute quelques drôles.




_________________
Calyce
Le Renard opte pour le déguisement danois ce qui vaudra à l'Archiduchesse de rester bouchée un bon moment. Mais pas trop longtemps quand même, c'est qu'elle doit l'aider à s'habiller et...se raser ?
Mettre une lame dans la main de la brune c'est comme donner les pleins pouvoirs à un Finam : DANGER.
On va s'en tenir à l'habillage, hein, il se rasera tout seul.

La chemise royaliste tombe et le palpitant angevin s'affole dans la poitrine, le cerveau en est tout déglingué aussi (plus que d'habitude !).
Il y a hémisphère droit, sage, qui commande un truc du genre :
-Range tes yeux, bécasse. C'est sale.
Le gauche, beaucoup moins sage, voire limite dépravé :
-Mais allez, saute lui dessus. Tu t'laveras après au pire.
Et une voix intruse qu'on sait pas d'où elle sort :
-Ta mèèèère ! Le naturel angevin surement.


C'est la voix de la raison qui l'emporte ! Voix qui ressemblait étrangement à celle de Tiss...humpf.
Bref, le Renard devient danoise quand le déguisement s'achève par la pose de perruque blonde. Ajustement de tresses et éclats de rire de l'angevine.
Elle ne se moque toujours pas !...Quoi que si, un peu beaucoup. Mais elle a le droit ! Il le lui permet tant qu'ils n'ont pas retrouvés les autres à Angers.


[Angers.]

Hilda, la dresseuse de canards est dans la place.
On y croirait presque...Calyce du moins, elle y croit. Les autres un peu moins. Parait qu'elle fait plus mainoise que danoise. Ca, en vérité, l'Archi ne saurait le dire vraiment : elle n'y connait rien en dannoiseries.
Hilda est donc prise pour une mainoise...pauvre Sabaude qui se cache dedans (dedans la robe, rhô).


-Pourquoi elle a l'poil aux pattes ?
-Pourquoi elle cause roumain au lieu du danois ?
-Et pourquoi elle dresse les canards en les assassinant ?
-On peut la bruler ?
-NooooOOOOOON !


Peut-être qu'il vaut mieux être Renard que Danoise en Anjou finalement.
Encore une fausse bonne idée de Calyce !

L'avantage c'est qu'on ne cherchera plus à surveiller ses nuits.
C'est vrai quoi, qu'est ce que la Dénéré pourrait bien foutre en compagnie d'une danoise ?
Comploter contre un irlando-breton ? Peut-être.

Calyce a une idée en tout cas....en espérant qu'elle ne soit pas trop mauvaise cette fois.

Citation:

Finnou, Filou, Sacré Coquin,

Vous me manquez vachement beaucoup.
Vous avez oublié votre chemise chez moi hier, je l'ai lavée. Venez la chercher, Coquinou.

Cindy, la Rousse à forte poitrine.


-Mouais...ça devrait le faire. Eon, pouvez aller remettre ça à la Duchesse de Penthièvre...en mains sales, hein ! Pas à quelqu'un d'autre. A MARZINA.

Et de se frotter les mimine alors que le messager nain s'en va.
Ca sent bon le crime passionnel !

_________________
--L_enquete
[A la maréchaussée, on bosse !]

-M'dame...
-M'zelle.
-...hiiii m'zelle...
en replaçant une mèche de cheveux gras qui se fait la malle. On pourrait croire qu'il drague...et on aurait raison. Nous avons du nouveau dans l'affaire qui vous concerne...
-Z'avez r'trouvé Dada ?!
-Presque ! On tient une piste. On aurait aperçu votre cheval dans une taverne en compagnie d'un type qui correspond au signalement du criminel...il serait accompagné femme qui chevauchait votre canasson !
-ANH !
La main sur la poitrine, l'oeil qui brille, plein d'espoirs.
-Hé oui ma tite dame, on déconne pas chez nous. Vous partageriez un saucisson avec moi ?
-C'dépend, c'vous qu'offrez ?
-Oui...gnihéhéhé
-Trouvez Dada et j'partagerai t'c'qu vous voudrez !
-Z'inquiétez pas ! Nous lançons un nouvel avis de recherche. Plus précis.
-Uh...


Citation:
ATTENTION :

Parce qu'il n'y a rien de plus important que la sécurité des angevins.
Parce que nous nous laisseront pas faire par la tyrannie d'un homme au visage pas fini.
Parce qu'ON NE VOLE PAS NOS VOLEURS.
Parce qu'on ne laisse pas un crime impuni.
Parce qu'il faut aider la Jeanette qu'a perdu son cheval (et que j'aimerai, accessoirement, me la faire un peu.)

NOUS DEMANDONS L'ARRESTATION DE TOUTES LES FEMMES QUI ONT CROUPES.

Gégé la Débrouille de la maréchaussée.

Remercions le chat roux qui nous veut du bien.


-Vous avez oublié le côté "naine qui ronchonne".
-C'est pas assez précis ça : elles sont toutes naines et ronchonnes.
-Ah...et le machin en bas, il ressemble plus à un renard non ?
-C'est pareil, au boulot !
Sabaude
Pas de nouvelles de Gégé la Débrouille, qu'elles soient criées ou placardées.
Plus la queue d'un breton-irlandais, d'un nain, d'une mercenaire...
Plus une seule torgnole depuis plus d'une semaine, ce qui a de quoi le laisser pantelant.
Personne n'a essayé de le plaquer au sol en hurlant sus au renard royaliste tueur de canards.
Pomme dans le groin porcin, il s'est débarrassé de ses oripeaux de danoise, et moustache et fine barbiche repoussent.
Tout va pour le mieux en Anjou!

Il se sent tellement serein qu'un messager est parti pour l'Alençon, direction Cabotin.
De Merlain il a eu des informations, des confirmations, l'homme ne fut pas difficile à convaincre. Croire que LUI, Sabaude Renard, composerait une ode pour Katina.... Il l'aime bien le Merlain, il regrette presque d'avoir joué sur les mots.... C'est une ode à l'amour qu'elle aura, mais pas écrite par lui! HEIN HEIN HEIN! Judas sort de ce corps!

Voilà la facétie de bonne guerre du jour, car il en est persuadé, la dame chouquette n'est pas étrangère aux affiches et il veut lui apporter une overdose de mièvrerie pour qu'elle cesse de flancher à chaque fois que l'archiduchesse et lui se regardent.


Citation:
Nom et prénom de la donzelle à marier : Choovansky de Montmorency Katina [IG :Katina_choovansky.]

Sexe : Nous supposons qu'elle croit fermement que les garçons naissent dans les choux et les filles dans les roses.

Age : Physiquement : 20, mentalement cela dépend de l'humeur : de 1 à 80 ans

Aspect : une petite brune plate/mince aux cheveux longs.

Caractère : C'est un croisement entre un ours affamé, un canard plumé, un lapin blanc psychopathe et la rosée du midi. Comment cela il n'y a pas de rosée le midi ?

Passions: Les poneys, les chouquettes, les perruques, réprimander sa suzeraine, titiller le royaliste....

Particularités : Vomit devant l'Amour, panique devant les lapins blancs, a la torgnole vive....

Antre connue: Anjou



Le chapeauté à grelots a eu pour ordre de déposer ceci chez Dame Violette, une marieuse bien connu des désespérés. S'il le faut il fera des copies, arrangera quelques lignes et s'assurera que ce soit placardé dans le royaume.
_________________
Katina_choovansky.
(Anjou, le lendemain)


Pourtant, elle avait fait preuve de bonne volonté.
Contrairement à d’autres que nous ne nommerons pas, elle avait plus ou moins fini par laisser tomber les plans géniaux du genre

- « … On creuse un trou dans le sol, on met des piques au fond, on recouvre avec des branches, on attend que le renard passe dessus ET PAF ! »
- « Ca va pas faire plutôt « PROUITCH » ?
- « ET PROUITCH ! »
- « Non mais les Piques voudront jamais s’entasser au fond d’un trou, laissez tomber… »

Ou encore :

- « On met de la ciguë dans une chouquette et on lui donne à quatre heures ! »
- « Gâcher une chouquette c’est sacrilège! »
- « Un beignet alors ? »
- « Nan mais j’me suis mal exprimée, gâcher le gouter tout court c’est sacrilège… »

Ou encore :

- « On le fait monter sur le bateau de Coolmaro »
- « Et ? »
- « Et ça devrait suffire… »
- « Mmmm… Bof, le temps que le bateau quitte le quai et coule, il sera mort de vieillesse dessus… et c’est long, mourir de vieillesse… »

Autant dire que le nain avait dit deux trois trucs pas très polis que nous pourrions résumer par « Allez tous mourir », que Katina n’avait pas relevé parce qu’elle n’avait pas assez d’argent dans ses poches pour le saouler et lui faire oublier tout ça. Sabaude avait donc eu la vie sauve le temps de son séjour.

Mais ça, c’était avant.
Car aujourd’hui, elle avait reçu un énigmatique papelard d’Enjoy.


Citation:
Chère Katina Chou-vansky de Montmorency,

Faisant suite à ta lettre, je crois détenir l'élu de ton palpitant papillonnant de poneys éventrés et de royalos empalés. Qui plus est, si on considère le large intervalle que comprend ton âge mental. Voici un bellâtre : brun, aux yeux marron, une répartie à toutes épreuves, un peu cabossé bien qu'il ait peu servi. Je certifie sa virginité, le contraire serait étonnant.

Voici un descriptif sur le même modèle.

Nom et prénom de ton futur époux : Léandro Luciano Corleone

Sexe : Il pense pareil.

Age : Physiquement : 3, mentalement 3 ans aussi. Mais des fois, on pourrait presque dire qu'il approche les 4 printemps.

Caractère : Un môme de 3 ans quoi.

Passions : Enfantines pour ne pas dire immatures. Bizarrement, elles se rapprochent des tiennes : poneys, choux, fleurs, perruques, etc.

Particularités : Je ne peux les exprimer tellement y en a.

Son titre nobiliaire : Léandro Luciano Corleone, Signore di Cunigghiuni





- Ci-joint l'index d'une personne de ton entourage proche. Si tu refuses, d'autres viendront. J'ai de quoi écrire encore neuf lettres...



D’abord, elle n’avait rien compris. Ça manquait un peu de paillettes et de pendus pour qu’elle pige du premier coup. Ensuite elle était encore un peu remontée après Enjoy qui l’avait BANNIE d’une conversation sous prétexte que c’était pas pour elle, que les affaires, ça concerne les grandes personnes blablablaaaaa…
Fort heureusement, la rancune chez Katina, c’était un peu comme les chouquettes à gouter, y en restait vite plus du tout. Bien sûr, bien sûr, parfois, ça se gravait à la mémoire, comme un macaron trop cuit, un truc terrible qui vous marquait à vie, ainsi en était-il des béarnais et de la princesse aux petits pois, mais dans l’ensemble, elle avait la mémoire courte.

Ainsi donc, passée l’incompréhension, et l’heure du quatre heures, car certaines choses sont sacrées dans la vie, elle avait pris le temps de réfléchir. Pour l’heure, elle était loin de l’illumination, et pas que parce qu’elle venait de remarquer que ses bottes en fourrure iraient à merveille avec son manteau en renards vénitiens, mais parce qu’elle ne pouvait pas imaginer que ce qu’elle avait pris pour un gros câlin pas très viril entre Merlain et Sabaude en taverne, n’était autre qu’une ruse renardienne pour intimer à l’angevin, le silence concernant ses HORRIBLES manigances.
Plume fut donc prise après avoir pallié au plus urgent… :

- « Lâchez l’ours sur le barde» avait-elle ordonné au petit page qui lui avait délivré la missive. « Et jetez lui des cailloux. Plein. »

… en attendant de trouver le fin mot de l’histoire.


Citation:
Chère Enjoy,

Commencez par accepter mes excuses sincères, j’ai abimé le barde que vous aviez joint au courrier en lui faisant comprendre que ses chrysanthèmes, je préférerais qu’il les bouffe par la racine plutôt que d’en faire des rimes avec « anathème ». Excusez-moi si je lui ai cassé une dent ou deux et qu’il zozote à jamais désormais, mais de vous à moi, verra-t-on vraiment la différence ?

Votre proposition est très alléchante d’autant que je vois bien que j’ai tous plein de points communs avec votre… cousin ? … mais si je voulais un mari qui me bave dessus, j’en prendrais un vieux sur le point de mourir, pas un qui vient presque de naitre, comme ça au moins, j’hériterai vite.
En tous cas, c’est très gentil d’avoir pensé à moi ! Qui sait, peut-être en reparlerons nous quand il aura du poil au menton (et pas cet immonde duvet que tous les hommes arborent avec fierté jalonnée de mauvais gout entre 12 et 15 ans)

Juste pour savoir, hein… Vous l’avez eu où le modèle de lettre ? Parce qu’à moins d’avoir dépassé la limite légale de l’alcoolisation angevine (la mort donc) je me souviens pas vraiment avoir diffusé un quelconque courrier auquel il faille faire suite si ce n’est une lettre d’insulte au prévôt guyennais, mais comme j’ai ingénieusement signé « anonymement, Katina », il ne peut pas remonter jusqu’à moi.


Katina Choovansky de Montmorency.

PS : Ce doigt est très joli, vivement le deuxième que je puisse en faire des boucles d’oreilles !

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Finn
Au fin fond d’un rade saumurois, avant même d’avoir subi toutes les retombées de la contre-attaque renardesque, Marraine et Filleul préparent la contre-contre-attaque...


Citation:



    Vous,
    Procureuse perruquée,


    Je porte à votre alcoolique connaissance qu'un crime odieux est commis chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde depuis déjà des jours, des heures, des minutes et des secondes en le bon sol angevin. Il s'agit d'un acte de sorcellerie à l'encontre de l'Archiduchesse, ni plus ni moins, perpétré par un sombre royaliste dénommé Renard, ou "ça bode".

    En effet, ce sournois petit individu parfumé - PARFUMÉ - corrompt chaque jour un peu plus l'âme de l'allégorie angevine par son influence néfaste et royaleuse. C'est clairement de la manipulation sentimentale. Des poursuites doivent être poursuivies contre lui, ce démon mérite châtiment.

    Vive l'Anjou ivre !

    Anonymement,
    L'Irlandais.

    *Dessin*





Le dessin...

Katina dessine un bulot en bas de page.
Finn dessine un deuxième bulot.
Katina en dessine un troisième, plus gros.
Finn en dessine un quatrième, encore plus gros.
Katina en dessine un cinquième qui glisse d'un arc-en-ciel.
Finn dessine une trappe au bas de l'arc-en-ciel dans laquelle tombe le bulot.
Katina dessine des ailes au bulot pour qu'il s'échappe de la trappe.
Finn dessine une merde angevine qui tombe du bulot volant et s'écrase sur un petit renard cuivré, pour trouver un consensus.
Katina apprécie même si c'est sale, et rajoute un mur de bulots devant le renard aveuglé.
Finn conclut en dessinant une bulle au-dessus du mur de bulots, contenant ces quelques mots : « MORT AUX VACHES ».

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Marzina
L'horreur absolue. Nolan, cet adorable croisement d'une princesse bretonne capricieuse et sauvage et d'un mercenaire irlandais amoureux de l'or et des trébuchets, passait désormais ses journées à brailler. Pourtant, il était adorable jusque là, écoutant avec attention son père et sa mère quand ils lui parlaient, faisant leur fierté en martyrisant toute personne s'approchant trop près de lui, une perle rare! Malheureusement ça c'était avant, parce que maintenant il pleurait sans arrêt sans raison aucune, et s'était mis à baver plus que d'ordinaire.

"GAST! Mais qu'est-ce que tu veux à la fin?! Parle ou je t'étripe!"

La patience ne faisait pas partie du pack maternel livré à Marzina en même temps que son héritier. Ayant troqué ses belles robes et poulaines pour retourner pieds nus en braies et chemise, elle tentait de nourrir "l'adorable enfant" qui désormais commençait à quitter le sein pour manger de la bouillie. Bouillie qui sur le moment semblait lui convenir, mais qu'il recrachait maintenant sur sa mère avant de hurler. Résignée, elle attrapa alors l'enfant qu'elle cala contre son sein, chose qui jusqu'à maintenant fonctionnait très bien pour le calmer. L'enfant attrapait alors son sein entre ses mains potelées, et se mettait à téter gentiment le téton, ce qui avait fait dire à sa mère que personne ne pourrait contester la paternité de Finn devant une telle démonstration d'amour pour sa poitrine. Malheureusement ça ne fonctionnait pas, et une nouvelle tâche de bave mêlée de purée de carottes vint se former sur sa chemise à l'endroit où on devinait le téton. La bretonne devenait littéralement folle (plus que d'ordinaire), et s'était mise à hurler dans le château:

"GAST! Où est CETTE ENFLURE D IRLANDAIS?! Qu'il vienne assumer sa progéniture un peu, MALLOZH DOUE!"

Elle avait alors posé par terre l'enfant sur une couverture, puis était partie à la recherche du paternel, qui allait visiblement prendre CHER. Jetant un œil dans sa chambre, un reflet doré inhabituel attira son oeil et la fit stopper aussitôt. L’œil de l'Altesse ne saurait manquer la vision d'une robe hors de prix neuve sur son lit! Sûrement pour la dissuader d'arrêter de porter des braies qui, au goût du mari, moulaient outrageusement ses courbes. Elle s'approche alors, oublie l'espace d'un instant le désastre Nolanien, et découvre un morceau de parchemin ridicule sur lequel est écrit en tout petit "Finn". Pas de doute, c'est forcément son mari! Économiser le parchemin, c'est tout à fait lui! D'ailleurs, le parchemin en question lui fait penser aux siens, dont le tas semble sensiblement diminuer, alors même qu'elle ne fout plus rien du tout à la diplomatie -ayant bien assez de diplomatie à faire avec Nolan. Mystère dont elle se chargerait après, pour l'instant il lui tardait juste d'essayer la robe, ayant complètement fait abstraction du désastre culinaire et baveux qui sévissait non loin. Alors qu'elle allait pour refermer la porte afin de faire un essayage en toute tranquillité -ce qui lui permettrait en même temps de se débarrasser de l'odeur de purée de carottes et de vomi Nolanien- un coursier lui fit une courbette. Il fût accueilli avec l'amabilité princière bretonne dans toute sa splendeur:

"J'ai sonné un débile peut-être?!"

Oui, mettre à mal les nerfs de l'Altesse était mauvais pour la santé, c'est sûrement pour ça que le couard irlandais avait disparu ce jour là peut-être. A moins que ce ne soit pour fuir les hurlements de l'enfant. Ou sa bave. Ou son vomi.
En tout cas le coursier, bien qu'apparemment impressionné -par la mauvaise humeur, par les yeux noirs qui semblent tuer sur place, ou encore par les tâches diverses et puantes qui recouvraient la tenue princière- ne se démonte pas et s'enquiert:


"Avez-vous les mains sales?"

Montrant ses paumes de mains couvertes de purée de carottes séchée, Marzina évalue en même temps l'étendue de la catastrophe. Le coursier lui, trouve que les mains sont largement assez sales pour lui remettre le pli. Pendant qu'elle déchire à moitié le pli en tentant rageusement de l'ouvrir, le lâche coursier fuit à pas de loup.

"Oh LE SALAUD!"

Le coursier se fige net.

"O MORDHAAAA!"

Elle qui pensait qu'il lui avait offert cette robe par jalousie! Mais en fait non! Il lui avait offert pour apaiser sa culpabilité! Elle se mit à fouiller tous les recoins de la maisonnée en hurlant son nom et plusieurs obsénités. Arrivée à la chambre du petit, la couverture était vide...Nolan avait disparu...

"Oh l'ENFLURE!"

Elle fit le tour des tavernes, et débarqua l'air enragé dans celle où se trouvait le mari, les yeux noirs assassins, les boucles blondes électrisées, et l'index se dressant accusateur vers l'Irlandais, lui assénant la sentence princière:

"Je vais vous EGORGER! Vous éviscérer! Et puis je vous émasculerai, avant de vous décapiter, mais d'abord...RENDEZ MOI MON FILS!"

Étrangement, la taverne se vida instantanément. Il ne fallut d'ailleurs que quelques dixièmes de secondes à la bretonne pour pousser un cri de guerre et se jeter sur son mari avec la ferme intention de le faire passer de vie à trépas.
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Finn
Et voilà les retombées qui se pointent sous les traits d’une épouse en pétard et prête à commettre un maricide.

« Je vais vous EGORGER! Vous éviscérer! Et puis je vous émasculerai, avant de vous décapiter… »

Sourcil arqué, l’hémiplégique de service croit reconnaître ce langage. Hinhin, c’est l’heure des galipettes… Blondie is on fire. Et puisque le rade se vide, l’Irlandais déboucle son ceinturon avant de planter un regard libidineux sur sa Bretonne.

« Oh oui, faites-moi mal. »

La suite le laisse étrangement de marbre, elle a manifestement paumé le lardon. C’est courant et le petit bonhomme saura retrouver son chemin tout seul, pas d’inquiétude. Toutes griffes dehors, la tigresse s'abat néanmoins sur lui comme la vérole sur le bas clergé. C’est qu’elle aurait presque l’air de réellement chercher à lui ôter la vie…

« Pas TROP mal, ho ! »

En dépit des griffures, morsures et autres preuves d’affection, il parvient à lui arracher l’écrit qu’elle comprime entre ses doigts. Lecture rapide entrecoupée d’une tentative d’étranglement déjouée et…

« M’enfin… Vous savez bien que j’ai qu’une seule chemise, celle que j’porte. Vous m’avez déjà flingué toutes les autres, animal ! »
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