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[RP] Un enfant dans la ville...

Theudrick
Non, malheureusement pour lui, il ne savait vraiment pas où ils habitait. Le bambin venait juste d'arriver et avait échapper ses parents pour découvrir cette nouvelle ville...
Il secoua la tête, tout penaud, pour montrer à la dame qu'il n'en savait rien...




La dame qui sentait la vanille lui adressa soudain la paroles...




Je connais fort bien votre mère, jeune homme... Allons nous assoir et nous occuper de boire et manger, je vais envoyer mon valet vous l'appeler.


Son visage s'éclaircit d'un seul coup lorsqu'il entendit ces quelques mots... Cette dame connaissait ses parents, c'était bon signe ! Et pis elle était quand même plus jolie que cette horrible Dame Garance !



Hugues lui adressa un sourire, les yeux encore encore rouge et mouillés par les larmes, avant de se relever en titubant, les jambes toutes engourdies...



Il jeta un oeil sur sur ses habits... horreur ! ils étaient tout sales ! Sa mère allait sûrement le trucider...

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Armoria
Bien bien bien... Faisons les choses dans l'ordre. Forrest, ajouta-t-elle au fidèle qui venait de s'approcher, fais en sorte de brosser les vêtements de ce garçon, il semble souffrir de n'être guère présentable.

Elle se pencha vers la blondinette, prenant doucement sa main pour la lever et étudier le caillou avec autant d'attention que s'il s'agissait d'une gemme. Puis elle rendit son verdict :

Le choix est fort judicieux...

Allons, je vous propose de vous installer à la Sémuroise pendant que je fais en sorte de m'enquérir des vos parents, jeune homme.

Autre signe discret à Forrest : elle règlerait les dépenses.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Theudrick
Hugues vit avec horreur l'homme qui se nommait Forrest avancé vers lui, une brosse à la main... Il se mit aussitôt en colère et, en tapant du pied sur le pavé...


Ne m'approchez pas avec vos sales pattes ! Je suis propre !



La dame, sans doute une Reyne, une Impératrice, reprit:



Allons, je vous propose de vous installer à la Sémuroise pendant que je fais en sorte de m'enquérir des vos parents, jeune homme.



Dès lors, on pouvait lire de l'inquiétude dans les yeux du petit garçon... C'est quoi la Sémuroise ? Où était-ce ? Ma mère connait-elle cet endroit ? Voici les questions qui tournoyait dans la petite tête blonde du bambin...




Mm..mais... Ma mère connait cet endroit ? Comment vas t-elle faire pour me retrouver ?

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Armoria
Un sourcil se leva, un doigt fin se tendit pour souligner ses dires.

Tss tss... Voudriez-vous que votre mère vous retrouve tout crotté ? Là... Et ici... Et là encore : un coup de brosse est un minimum pour faire honneur à vos parents.

La voix avait cette fermeté de qui donnait des directives de longue date. Le doigt se tendit, un peu plus haut, cette fois, plus loin.

Regardez cette riante façade : c'est la Sémuroise, la taverne de la ville. Allons, hâtez-vous un peu, que je m'en puisse aller à la rencontre de votre mère et la ramener.

Certaine que Forrest aurait partie belle, à présent, elle salua Anyza d'une inclinaison de la tête et partit s'enquérir d'Arianrod, suivie de ses enfants.

(demain plus en ville, continuez bien)
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Theudrick
Tss tss... Voudriez-vous que votre mère vous retrouve tout crotté ? Là... Et ici... Et là encore : un coup de brosse est un minimum pour faire honneur à vos parents.





Hugues fut soudain secoué par la voix douce mais néanmoins autoritaire de la Dame. Il se laissa faire, sans dire un mot, suivant l'homme des yeux avec son regard noir et en émettant, de temps à autres, un petit grognement...





Ahem... euh... j'y vais alors... lui dit-il, timidement





Le petit garçon, après s'être fait brosser des pieds à la tête, se laissa guider jusqu'à la taverne de la ville...
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Anyza
Envoyer un serviteur... Évidemment, la brune n'y aurait jamais pensé. Mais c'est vrai que c'était beaucoup plus simple ainsi. La princesse prit les choses en main - de maître, d'ailleurs-, et la jeune mère resta debout, à triturer ses jupes. Petit salut de tête lorsque la princesse part accompagnée de son fils.
L'heure tournait, la nuit tombait, mais elle ne se résolvait à laisser le jeune garçon, même en compagnie de l'impassible serviteur de son Altesse.


Nous vous accompagnons à la Sémuroise. Alycianne ?

Coup d'oeil vers sa fille, qui regardait encore l'autre garçon.
Ils se dirigèrent vers les portes de la taverne.



[A la Sémuroise]


Anyza montra d'un signe de tête une grande table bien éclairée, tira quelques sièges.


Installons-nous là, et votre mère nous trouvera bien vite.


Elle attisa le feu de cheminée, et s'approcha du comptoir.


Hum. Vous voulez quelque chose à boire ? Une tisane, ou du lait, peut-être ?
--Alycianne


Pas trafic, ma dame, présent pour une gente damoiselle.


Timide sourire de la fillette. Elle avait pas l'habitude qu'on lui parle comme ça, ça non. Et Jullius il parlait si bien ! Gente damoiselle, qu'il avait dit.
Et la blonde à la belle robe lui prend le poignet, le lève pour observer le caillou.
Ah, non ! Elle va pas lui prendre, quand même ! La blondinette serre les dents, déplie ses doigts afin de montrer la petite pierre.


Le choix est fort judicieux...

Ouf. La femme l'avait relâchée. Nan mais. Par contre, elle avait pas compris ce que c'était, le mot "zudicieux". Mais de toute façon, c'était Jullius qui l'avait trouvé, alors forcément le choix il ne pouvait qu'être le meilleur.
Elle referma son poing sur le caillou blanc, se détendit. C'pas aujourd'hui qu'on allait lui voler un caillou.

Elle se raccroche à la discussion, comprend qu'on va aller à la Sémuroise. Chouette ! Elle n'entrait presque jamais en taverne, car sa mère le lui interdisait, disant qu'elle était trop jeune.
Le garçon perdu se fait brosser les vêtements par quelqu'un, et pleurniche un peu moins. S'il avait pris un caillou dès le début, il ne pleurerait plus du tout. Parce que les caillou, ça fait finir les larmes. Simple, pourtant.

Sa menotte se glisse dans la main de Jullius.


Tu viens, toi aussi ?
Theudrick
[à l'intérieur de la Sémuroise...]




La taverne était presque vide, seul quelques hommes était encore présent, finissant leur chope avant de retourner au foyer...




Installons-nous là, et votre mère nous trouvera bien vite.




Hugues se dirigea, sans dire un mot, vers la table que le dame lui avait désignée... Sous ses grands airs, le petit bonhomme était en réalité un grand timide...
Il n'osait pas les regarder, préférant pianoter sur la table avec ses petits doigt et lançant, de temps à autres, quelques regards furtifs vers le serviteur de la Dame qui sentait la vanille...

Et si sa mère avait voulu l'abandonner ? Et si elle ne voulait pas aller le chercher ? Le petit Hugues frissonna, essayant tant bien que mal de ne plus penser à ces stupides hypothèses qui lui trottaient dans la tête et lui glaçait le sang...



Euh... non merci... j.jj.. je n'ai pas vraiment soif...


Non, le bambin n'avait plus soif. Il n'avait plus faim d'ailleurs... Tout ce qu'il souhaitait, c'était que le cauchemar se termine, sauter dans les bras de sa mère et ne plus jamais la quitter...

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--Jullius

Tu viens, toi aussi ?

Jullius serait très probablement incapable de raconter ce qu'il se passait autour d'eux, à ce moment-là. Comment s'intéresser à autre chose qu'aux grands yeux d'Alycianne tandis qu'elle lui prend la main en l'invitant à les accompagner à la Sémuroise ?

Euh...Je...Je ne sais pas si...
Un regard qui cherche celui d'un adulte, pour confirmer ou pour se faire jeter...mais non, ils sont déjà partis, presqu'entrés, même !
Bah, après tout ! Jullius sourit.

D'accord, je viens avec vous !

Et gaillardement, toujours chevalier dans sa tête, Jullius marcha aux côtés de sa princesse jusqu'à la fameuse Sémuroise, un peu nerveux quand même.
Discrètement, il glissa à Alycianne :

Tu es déjà venue ici, toi ? Moi, Della, elle veut pas que j'entre.
Ce sont des yeux curieux qui parcourent l'intérieur de la taverne, des oreilles grandes ouvertes qui recueillent les bruits, des narines expertes qui étudient les odeurs ! Quelle aventure !

--Alycianne


La bouche s'entrouvre, un sourcil se fronce... Et le sourire réapparait. Bien sûr qu'il venait, Jullius !

Non, ze suis zamais allée dans une taverne. Réfléchit. Ah si, c'était en voyage.
Ma m'man elle dit que c'est pas pour les petites filles, les tavernes.


Comme maman Della. Ils ont les même mamans. Elle serre un peu plus la main du garçonnet avec qui elle partage un point commun.
Serrer la main de Jullius, c'est comme toucher des cailloux. Ça fait partir la peur.
Et ils poussent les portes de la taverne.


Une grande salle, avec des tables et chaises, tabourets, un comptoir derrière lequel se trouve déjà sa mère, la douce lumière d'un feu, une bougie éteinte là-bas, et cette odeur dominante, que parfois a sa mère quand elle revient de chez les Amis. L'odeur de la bière, mais la fillette ne le sait pas.
Pas très éclairée et pleine de recoins sombres, la pièce lui fait penser à un immense terrain de cachettes. Quelques hommes, dans le fond, parlent à voix basse. La blondinette ne s'y intéresse pas, et va directement s'asseoir -avec quelque difficulté- sur un grand siège près du garçon perdu.


Z'veux du lait de sèvre, m'man. S'to plait.


Sa deuxième menotte s'ouvre enfin pour poser le petit caillou blanc sur la table en bois. Sourire complice à Jullius. L'est trop beau son caillou, quoi.
Regarde à sa droite, où le garçon perdu est recroquevillé sur sa chaise.
Elle fronce les sourcils. Qu'est ce qu'on peut y faire, puisqu'il veut pas de cailloux ?
Elle secoue ses boucles blondes.


Pleure pas Hugues... Ta maman
*fait attention au mot compliqué* Arianrod elle va venir bientôt. Pa'c'que les mamans ça retrouve toujours les enfants.

Elle fit une drôle de moue. Elle sait pas parler pour qu'il soit pas triste. Ce qu'il lui faut, à lui, c'est juste un caillou.
Theudrick
Hugues regardait avec intérêt les petits cailloux que les deux petit s'offrait, ils en avaient plein, de toute les couleurs... Peut-être une occasion de gagner quelques écus pensait-il secrètement...




Pleure pas Hugues... Ta maman Arianrod elle va venir bientôt. Pa'c'que les mamans ça retrouve toujours les enfants.



Il ôta aussitôt cette idée de son esprit, il s'en voulait presque d'avoir pu y songer quelques secondes.
Il fit un petit sourire à la fillette pour la remercier de s'inquiéter de son triste sort...


Il avait peur le petit, il ne supportait plus l' attente... Où était-elle ? Peut-être voulait-elle l'abandonner ? Et son père, s'inquiétait-il pour lui ?


Il prit sa tête entre ses bras et serra... serra, serra encore.. toujours plus fort comme pour l'empêcher de penser. En vain...


Il s'ils festoyaient en ce moment même ? fêtant son départ dans l'ivresse et la joie ? Et sa sœur, pleurait-elle ? Y aurait t-il...




Çaaaaaaaa suffiiitt !!!!!!!!!!



s'effondrant en larmes et marmonnant, dans le vide....



Pitié... que ça cesse... seigneur je vous supplie... que ça cesse...
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--Jullius


Le petit caillou blanc se retrouve sur la table. Alycianne ne pouvait pas lui faire de plus beau cadeau que d'apprécier ce caillou.
Jullius s'installe aux côtés de la Princesse aux boucles blondes, il se sent fier pour le coup et ne voudrait être nulle part ailleurs !
Il est même un rien jaloux lorsque Alycianne s'adresse au gamin pleurnicheur. Il lui décoche un regard en coin. Comment peut-on être aussi gnangnan ? Jullius soupire...Et puis, son bon coeur prend le relais et aussi son éducation aristotélicienne. Il ne faut pas oublier que Jullius rêve de devenir curé, quand même ! Il se remémore l'attitude de messire de Volvent, le frère de Della. Il est curé à Lyon et Jullius a pu l'observer dans sa tâche.
Le gamin prend alors le même ton compassé d'Eldwin de Volvent et s'adresse à l'autre gamin.

Allons, sois courageux, Hugues. Le Très Haut veille sur toi. Prie-le de tout ton coeur et il t'apaisera.

Fier de lui, encore, Jullius regarde à nouveau sa Princesse, affichant un grand sourire, celui du Chevalier vertueux venant de poser une sage parole.
Redyane
En pleine après midi Emeline c'était décidée à sortir de la ville pour aller faire un tour au marché, elle avait besoin de ce vêtir tout de même.
Malheureusement pour elle cette vente de champ à Troyes n'avait toujours pas donné de succès... Elle ne pouvait donc toujours pas déménager pour rejoindre ses parents et ses frères. D'ailleurs où étaient ils eux deux la fillette n'en avait aucune idée.
Emeline ne s'était pas sentit pas sentit en forme depuis le voyage qui les avaient menés tous à Sémur et avait préféré rester au domaine dans ses appartements.

Au détours des étales et échoppes, elle écoutait vaguement les discutions tout en regardant les marchandises à ventre. Il ne lui restait plus grand chose, elle avait fait envoyer au matin de quoi payer quelqu'un pour s'occuper de son champ en vente à Troyes et avait eu à peine de quoi se payer deux épis de maïs.
Emeline soupira, l'avenir serait certainement mieux.

Deux femmes discutant un peu plus fort qu'à la coutume attirèrent son attention, l'une d'elle devait être poissonnière c'était impossible d'avoir une voix qui porte à ce point. Toutefois la petite était curieuse de nature et s'approcha pour savoir qu'elle était la rumeur du jour!


- Oui à la Sémuroise comme j'vous le dis!
- Mais il a l'air tout jeune ce petit... une taverne.
- Pour'sur comme je vous le dis l'était tout pleurnichant et perdu l'gosse!
- Et ses parents? Il n'a pas de famille?
- Perdu qu'il a dit l'petit l'attend sa maman, c'est perdu!
- Bien triste histoire...
- Sur m'dame, l'es tout jolie un ti brun au yeux vert, dois être noble l'gamin vu les habits!


Emeline resta bouche bée un instant, non ça ne pouvait être lui... mais pourtant la description et l'âge concordait avec son jumeau. Bien qu'il l'agaçait souvent elle prit peur tout de même et partit en courant vers le centre de la ville.
la fillette de s'arrêta que rapidement pour demander où se trouvait exactement cette dicte "Sémuroise". Une fois renseigné elle reparti en courant et déboula dans la taverne comme un coup de vent les yeux grands ouverts et la respiration saccadée.
Ayant du mal à reprendre sa respiration elle se tenait le ventre d'une main tout en essayant devoir les gens à l'intérieur de la taverne.

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Theudrick
Les mots du Julius, qui en temps normal l'aurait sûrement agacé, l'apaisa un petit peu. Sa mère ne l'avait certainement pas oublié, ni son père d'ailleurs... non, il n'avait plus vraiment peur. Il était juste seul. Sa timidité l'empêchait de s'exprimer, et l'attente le rongeait...


Il attendait, attendait... attendait encore. Tout ce qu'il voulait, c'était un visage connu...



Soudain, des petit grattement provenant de la fenêtre résonnèrent dans la salle. Les yeux du bambin se posèrent sur la vitre graisseuse et poussiéreuse et apercut, non sans difficultés, le petit visage angélique de sa soeur...


Une bénédiction pensait-il. Non, un miracle ! Comment avait-elle réussit à le trouver ? Haha... elle est fortiche la frangine !

Le petit bonhomme se précipita vers la fenêtre et cria...




Emeline !!! je suis làà !!! ENTREEE !!!




Trop impatient, il poussa violemment la porte et sauta sur sa sœur, fou de joie, trop heureux de revoir une tête familière...

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Theudrick
Non, malheureusement pour lui, il ne savait vraiment pas où ils habitait. Le bambin venait juste d'arriver et avait échapper ses parents pour découvrir cette nouvelle ville...
Il secoua la tête, tout penaud, pour montrer à la dame qu'il n'en savait rien...




La dame qui sentait la vanille lui adressa soudain la paroles...




Je connais fort bien votre mère, jeune homme... Allons nous assoir et nous occuper de boire et manger, je vais envoyer mon valet vous l'appeler.


Son visage s'éclaircit d'un seul coup lorsqu'il entendit ces quelques mots... Cette dame connaissait ses parents, c'était bon signe ! Et pis elle était quand même plus jolie que cette horrible Dame Garance !



Hugues lui adressa un sourire, les yeux encore encore rouge et mouillés par les larmes, avant de se relever en titubant, les jambes toutes engourdies...



Il jeta un oeil sur sur ses habits... horreur ! ils étaient tout sales ! Sa mère allait sûrement le trucider...

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