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[RP]Cérémonie d'hommage : Retour aux sources... exceptionnel

Yunab
Il fallait croire qu'ils c'étaient tous passer le mot pour débarquer avec leur progéniture.
elle accueillit la petite famille d'un sourire et d'un signe de tête avant de grimacer légèrement aux paroles de maltea.
Bien entendu, elle n'avait pas oublier les primes hommages du jour et se souvenait parfaitement de ce qu'elle avait a faire.
Ce fut l’évocation du baisé vassalique qui fut en cause de cette grimace, pourquoi fallait-il que ca tombe sur elle, sérieux? alors que depuis des mois cela n'avait jamais été remit en question.voilà comment la blonde se vengeait d'avoir dut se déplacer jusqu'ici!


a son tour elle s’adressa a malty d'un ton plus bas

je me souviens parfaitement de ce que je dois faire.
et pour le baisé de paix, si je tombe malade ce sera de ta faute rien de tel pour les microbes.
Tu peux appeler Aimelin


avant de reprendre sa place au devant du trône, en attendant qu'aimelin prenne place face a elle.
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Korn29
Korn regarde le garde mais resta assis et se mit a sourire en coin.

"Toi tu me touche et je te transperce. je fais rien de mal et je compte pas emmerdé mon monde et si tu es assez courageux éssaye de me déloger et tu verras. maintenant laisse moi regarder et je te promets que rien ne se passera. Pas maintenant en tout cas."

Quand il eut fini il se tourna vers la cérémonie etne dis rien laissant la cérémonie se faire... une main sur son épée.
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--Garde1
Il était un garde, sur ordre du héraut il attrapa le dict Korn et le vira en dehors du castel d'un coup de pied dans le fondement.

Non mais ! Elle a dit dehors.

Il s'en retourna à sa place c'est pas la porte ouverte à tout le monde dans le château de Reims mais pour encore plus atteindre la salle des cérémonies il y a le temps de se faire tirer dessus à coup d'arbalète.
Korn29
Un garde!! Comme si il suffisait d'un garde pour le foutre dehors. Bref il sortit sa dague et lui envoya dans la cuisse. Assez bon dans le lancer, la dague se planta net dans la cuisse du garde qui hurla comme une jeune pucelle.

Le garde étant par terre il reprit sa dague en lui souriant. Il la tira lentement.


'Je t'avais prévenu petit avorton, et la prochaine fois, evite de t'en prendre à un vrai soldat, ça t'evitera des déconvenues."

Il regarda par dessus son épaule et vit que d'autres grades approchaient. Il se mit à courir vers sa monture puis repris le chemin inverse au galop.
Maltea
Appeler Aimelin, oui c'était une idée....un messager se dirigeait vers elle... une missive de Kelso d'après le scel.... elle la lirait plus tard, d'abord le prime hommage, ils en seraient ainsi débarrassé.... et peut-être aussi des microbes, enfin non des boulets plutôt!

Aimelin de Millelieues, approchez vous je vous prie, et agenouillez vous devant Sa Grace Abeline Cardofer, duchesse de Champagne.....
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Aimelin
Il avait suivi amusé l'arrivée d'un homme étrange et il en avait suivi encore plus amusé sa sortie entre deux gardes avant de hausser les sourcils quand Champagne l'appela.
Qu'est ce qu'il avait encore fait pour qu'elle l'appelle ?
rha c'était à cause du pépin, à coups sûr elle allait lui passer un savon et ne voulait pas que ça s'entende.

Et tandis qu'il s'approchait après avoir jeté un regard vers Alie, il fronça les sourcils lorsqu'elle lui demanda de s'agenouiller devant Yunab, réalisant la suite à venir.


Nom d'un vinneuf à cornes j'avais oublié ! laissa t il échapper dans un léger murmure que personne n'entendit... sauf peut être jolie maman car elle avait l'ouîe fine et yuyu qui n'était pas en reste.
Telle Suzeraine, telle Vassale.

C'était le moment de se rappeler comment ils avaient procédés pendant son mandat, avec Yunab.
Et de leur faire son grand sourire charmeur afin qu'elles oublient les imperfections, avant de poser un genou à terre et de tendre ses deux mimines qu'il avait heureusement lavées avant de venir, attendant que la jeune Duchesse prenne la parole.

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Alienor_vastel
Du bureau des juristes à l'ancienne salle du trône du castel, il y avait, non pas un pas, mais de longs couloirs et nombre d'escaliers. L'avantage cependant, c'était que pour passer de l'un à l'autre, il n'y avait pas besoin de sortir, comme cela aurait été si la cérémonie s'était tenue au ban. Et que donc, point n'était besoin de surveiller la clepsydre de peur d'être en retard.

Quoique...

Elle avait quasiment oublié, la blondinette, et lorsque son époux était venu la chercher, elle n'avait pas eu le temps de se changer. Ce fut donc vêtue de sa toge de juge, qui à défaut d'être seyante, tenait chaud en cette mi-mai où le printemps se faisait tirer l'oreille, qu'elle se dirigea vers le lieu de la cérémonie, sa fille dans les bras, besace contenant son tabard en bandoulière puisque Maltea l'avait informée quelques jours auparavant qu'elle aurait peut-être besoin de la poursuivante qu'elle était. Une histoire de fontaines au nombre de six, paraissait-il, et qui lui vaudrait possiblement de devoir échanger une tenue moche contre une autre, différente mais tout aussi laide.

Si l'on ajoutait à cela les yeux rougis d'avoir passé du temps à lire et relire le Codex qu'elle connaissait pourtant presque par coeur, autant dire que la journée n'était pas à faire assaut de toilettes, et que pour le côté gravure de mode on repasserait.

La pièce était quasi vide à leur entrée, si l'on exceptait le nombre de gardes affectés au service d'ordre. Un tit signe de la main à l'intention des deux duchesses, un sourire en direction d'Elsa, et elle resserra l'étreinte autour de Lily en même temps qu'un léger sourire s'afficha sur ses lèvres à songer que d'ici quelques mois, l'enfant pourrait concurrencer la fille de Yunab côté calins à Maltea... et que celle-ci allait adorer !

Elle cherchait du regard un endroit pour s'installer, c'est que le pépin commençait à peser son poids, lorsque son mouvement fut interrompu par un peu de chahut au fond de la salle où un intrus avait tenté de s'introduire. La diversion ne dura que quelques instants, suffisamment longtemps malgré tout pour que la jeune femme ne s'amuse à identifier in petto les articles de loi, au moins trois, enfreints par l'individu, réflexe de juriste.
Pensées bien vite balayées cependant lorsque la voix de Maltea appelant Aimelin résonna dans la pièce. Un léger froncement de sourcils avant d'en comprendre la raison et d'échanger un regard avec son époux, le regardant s'avancer et s'agenouiller devant Yunab à qui elle adressa une petite moue qui signifiait en substance "fais gaffe pour le baiser de paix, rapide et léger hein !"

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Yunab
Elle ne pût s'empêcher de sourire en voyant la tête d'Aimelin, visiblement il n'y avait pas que Maltea qui avait eu un trou de mémoire.
Elle laissa le futur Duc prendre place devant elle et posa ses mains sur les siennes avant de prendre la parole, un peu plus solennel qu'elle ne l'était d'habitude avec lui, circonstances obliges...



Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne, de Precy Saint Martin et de Lesmont.

Vous êtes ce jour agenouillé devant Nous, Abeline Cardofer, Duchesse de Champagne, légitime représentante de notre suzerain, sa majesté Jean III , Roy de France, afin de recevoir votre fief de retraite, Le Duché de Sézanne , en récompense de votre engagement au sein de notre bien aimé duché.


Acceptez-vous cet honneur?

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Aimelin
Il sentait ses mains qui tremblaient légèrement tandis qu'il relevait la tête pour croiser le regard de Yunab.
Combien de fois avait il rêvé d'offrir ce titre à celle qui emplissait sa vie ? Il avait bien dû en rêver des centaines de fois avant d'oser plonger dans cette fonction qui lui avait pris son énergie, sa vie pendant des mois, lui avait attiré les diffamations des imbéciles jamais contents et qui ne faisaient pas le quart de ce pourquoi ils critiquaient, cette fonction qui lui avait permis d'étancher un peu plus son besoin d'apprendre et de comprendre. Et s'il avait commis des erreurs comme tout un chacun, il savait qu'il pouvait être fier de son parcours loin d'être terminé.

Il sortit de ses pensées pour répondre à la Duchesse.


Moi Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne, de Precy Saint Martin et de Lesmont accepte cet honneur .

De ce fait je prête Hommage envers sa majesté Jean III, Roy de France, et promets fidélité, aide armée et conseils afin de représenter dignement ces terres de Champagne qui me sont confiées et dont je prendrai le plus grand soins ainsi que de ceux qui les font vivre.


Bon il n'avait pas dit la vraie formule sans doute car un peu trop ému mais il espérait n'avoir rien oublié dans son hommage.
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Yunab
Elle écouta attentivement Aimelin prononcé son prime hommage. S'imaginant très bien ce que ce dernier devait ressentir pour l'avoir aussi connu même si avec le temps tout cela avait beaucoup moins d'importance a ses yeux.

son regard n'avait pas quitter le jeune homme alors qu'elle lui répondit.


Nous,Abeline Cardofer , Duchesse de Champagne, jurons devant témoins et sous l’œil bienveillant du Très Haut, Justice, Protection et subsistance pour les terres de Sézanne dont vous devenez désormais le détenteur.

Elle l'invita a se redresser et d'un geste presque habituel , effleura légèrement de ses lèvres celles du duc pour le baisé de paix avant de se saisir doucement des nouvelles armes de ce dernier qui reposait sur un coussin près du trône ducal, on restait dans le classique.

Veuillez recevoir ces armes aux couleur de Sézanne, symbole des terres dont vous êtes désormais seigneur.

et de terminer par un sourire, c'était a malty de conclure en lui remettant l'aveu
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Aimelin
Rassuré de n’avoir commis aucune faute il se releva et reçu le baiser de paix sans sourciller, affichant une mimique amusée en pensant toutefois qu’il avait eu chaud que ça ne soit point le vinneuf qui officie. Brrrr… il en avait presque des sueurs froides à la pensée de cette attrocité. De toute façon il aurait refusé par une quelconque pirouette, ou aurait mangé un truc avant , histoire de décourager l’imprudent.
Mais là, vu la jeune femme qu’il avait en face, ça n’était pas une corvée, bien qu’il eût aimé avoir des yeux derrière la tête afin de voir son épouse.

Son sourire s’effaça légèrement, pour laisser place à l’émotion lorsque la Duchesse lui remit ses nouvelles armes qu’il ne quitta pas des yeux, comme un gosse émerveillé par un cadeau. Pour lui, un titre de noblesse était un cadeau qu’il fallait recevoir avec humilité, l'apprécier et le respecter, même si celui-ci était accompagné bien plus souvent de devoirs que de droits.

Il murmura à l’intention de son amie…
je te remercie et en prendrai soins.
Avant de laisser ses prunelles grises se poser sur Champagne.
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Hersent_
[Reims, jour J]

Un voyage presque sans encombre: un essieu brisé qui avait failli immobiliser l'Ar Sparfel au beau milieu de nulle part. A croire que ça n'arrive qu'à elle ce genre d'incident technique.
D'ailleurs, et cela avait été une tentative de sabotage? Enfin, moui, ça ne tenait guère la route, si elle osait s'exprimer ainsi, vu que depuis le temps qu'elle n'était plus Capitaine Royal ni Prévôt, les actes de malveillances à l'encontre de sa personne n'avaient plus lieu d'être.
Le bris d'essieu s'était produit en pleine campagne orléanaise: il fallut que le cocher aille jusqu'au village quitté deux lieues auparavant, prévenir charpentier et forgeron.

Cet inconvénient mis à part, le voyage se poursuivit dans le calme et la sérénité. La campagne champenoise était telle qu'elle l'avait laissée en partant: immuable.
Un détour par Maizières et Vignory pour s'assurer que tout allait bien, sans oublier de se rafraîchir et de changer de tenue, puis fouette cocher vers Reims!


[A deux pas de la Salle de la cérémonie]

Le carrosse aux armoiries des Ambassades Royales s'arrêta devant le perron de l'hôtel particulier du Ban Champenois, Lubin, son fidèle huissier eut juste le temps de baisser le marche-pied pour que la diplomate descende de voiture qu'un esclandre eut lieu:
Bienvenue en Champagne, sa vie sociale trépidante, ses manants bagarreurs et tout et tout.
C'est qu'en plus le combat avait été violent! Du sang, des cris presque d'agonie. Que faire? Elle était habillée pour une cérémonie d'hommage pas pour opérer en urgence sur les pavés.
Elle avait prêté serment et ne pouvait laisser le malheureux... quoi déjà? Il ressemblait à un garde...se vider de son sang.


Lubin! Sieur Cocher - elle avait oublié son nom - ! Venez avec moi tous les deux, je vous prie. C'est pour une urgence. Lubin, il doit bien avoir dans une de mes malles un tablier de chirurgien, vous me le trouvez que je puisse éviter de gâter ma tenue - cela lui aurait fait mal au coeur de gâcher une tenue griffée des DO - et n'oubliez pas ma mallette de médecin.

Lubin apporta ce qui lui avait été demandé et Hersent s'affubla d'un affreux tablier pour examiner la victime. Blessure à la cuisse, l'artère ne semblait pas touchée. Le jeune homme était dans le potage, au pays des rêves, sous l'effet de la douleur.

Elle regarda la position du soleil, humpf il lui restait du temps avant la fin de la cérémonie. Seulement, elle devrait agir comme sur un champ de bataille, sans fioriture et parant au plus pressé.

Jeune homme? Jeune homme? Vous m'entendez?

A priori non... bon, cela simplifiait les choses même si Lubin faisait déjà le nez: c'est que cela changeait de la vie feutrée des Ambassades!

Jeune homme, je m'occupe de vous, je vous rafistole, n'ayez crainte, vous aurez une très jolie cicatrice griffée Ambassades Royale et de Champagne. Je peux pour garantir que tout le monde ne pourra pas en dire autant.

Examen de la blessure, il fallait nettoyer tout ça et arrêter le sang. Elle avait tout dans sa mallette.

Sieur Cocher!!! Filez à l'auberge quérir bassines d'eau et linges propres, ça urge!
Lubin, vous sortez la bougie et vous vous débrouillez pour trouver de quoi l'allumer. Je dois recoudre la plaie.


Compresse imbibée de lotion analgésique et hémostatique. Le reste du matériel arrivait, elle put se laver les mains et commencer à nettoyer les contours de la plaie pour ôter toutes les impuretés possibles.

Quand tout fut propre, elle fit signe à Lubin de passer l'aiguille à la flamme de la bougie - notons chers lecteurs que la météo nous épargne le vent, quelle chance!- et elle commença son office de dentellière, sans trembler. Le pauvre gars était évanoui, donc pas besoin d'éponge soporifique.

Elle lui fit un joli surjet simple vu que le pire avait été évité. Elle nettoya le tout avec une lotion à base de lavande et de souci pour cicatriser et fit un cataplasme avant de bander la cuisse de la victime.

Elle appela un autre garde du Ban Champenois pour veiller sur le jeune homme et l'emmener dans un endroit calme le plus rapidement possible.

Misère... elle était propre maintenant et échevelée. Elle ôta son tablier, se relava soigneusement les mains, les sécha longuement puis se recoiffa et lissa les plis de sa robe. A vu de nez... pas d'éclaboussures de sang.


[Enfin, LA Salle!]

Trotti, trotta, Hersent se dirigea vers ladite salle pour y faire son hommage. Si elle aurait su, elle aurait pas v'nu*, tssss, non mais franchement, il n'y avait qu'elle pour se trouver dans des situations aussi improbables: après le bris d'essieu, l'opération en plein air!

Elle entra dans la salle où quelques personnes étaient déjà présentes. Elle les salua de la tête et s'installa pas trop loin, histoire de ne pas se faire griller la place après qu'Aimelin ait fait son prime hommage.

Quand il l'eut achevé, elle eut un regard vers Champagne afin de savoir si elle pouvait se présenter ou pas.
Elle attendit sagement qu'on lui fasse signe d'approcher.



*Emprunt à "La guerre des boutons"

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Alienor_vastel
Et tandis que la cérémonie se déroulait sous ses yeux, et que Lily gazouillait sagement au creux de ses bras, Aliénor ne pouvait se retenir d'un sentiment partagé. Pas à cause de ce baiser de paix qui, bien qu'elle sache qu'il n'y en ait pas de raison, faisait monter en elle une petite pointe de jalousie, mais en raison de ce que tout cela représentait.

Oh bien sur, elle était fière de son époux, et de ce qu'il avait accompli jusqu'à présent, n'en déplaise aux mal pensants qui ne vivaient que par la critique facile au lieu d'agir. Elle avait été à ses côtés, soutien parmi d'autres mais aussi critique lorsqu'il le fallait, et comme ceux qui avaient été amenés à travailler avec lui, elle savait ce qu'il avait fallu de labeur, de temps passé, d'énergie dépensée, et ce qu'il en fallait encore dès lors que l'on se mettait au service des autres.

Et justement... ces armes qui maintenant étaient présentées ne cesseraient de lui rappeler ces longs mois, et tout ce qu'ils avaient dû subir dans leur histoire personnelle. A les voir, jamais elle ne pourrait oublier les tensions que cela avait occasionné entre eux, les nombreux contretemps à leur mariage ; jamais elle ne pourrait oublier non plus qu'elle avait été à deux doigts de mourir, qu'elle avait failli ne pouvoir mettre leur fille au monde, et qu'il n'avait pu être présent lorsque Lily avait pointé le bout de son nez.

Retirant doucement une mèche blonde de la main de l'enfant qui l'avait prise pour jouet, elle lui adressa un léger sourire, songeant que, d'une certaine façon, Aimelin venait de lui assurer un avenir.
Cette pensée la rasséréna, et ce fut plus sereine et l'esprit plus léger qu'elle adressa un petit signe de la main -du moins autant qu'elle le pouvait avec un bébé dans les bras- à Hersent dont elle venait de noter la présence.

Avant d'attarder ses pervenches sur les armes de Sézanne, et revenant à des futilités, elle remercia in petto que les couleurs ne jurent pas avec celles qu'ils tenaient déjà de leurs suzeraines.

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Yunab
Elle invita aimelin a s'écarter un peu, en attendant que malty ne se réveille pour lui donner son aveu tandis qu'un coursier vient lui remettre un pli dont elle prit connaissance et prit un instant afin d'y répondre tant que la salle était calme.
Citation:

A vous Abeline Cardofer dicte Yunab, duchesse de Champagne

De nous Ghost et Exaltation Lablanche d'Abancourt d'Izard, ducs de Sedan et de Châteauneuf-sur-Loire, Baron de Chaumont, seigneurs de Dienville et de Tronchay

Votre Grâce,

Nous renouvelons notre allégeance pas missive, immobilisés à Bordeaux où nous vivons désormais.
C’est donc par ces mots que nous souhaitons vous adresser notre serment : Nous, Ghost d'Izard et Exaltation Lablanche d'Abancourt, ducs de Sedan et de Châteauneuf-sur-Loire, Baron de Chaumont, seigneurs de Dienville et de Tronchay , informons la couronne ducale champenoise que nous renouvelons notre hommage à sa Majesté le Roy de France à travers Vous Yunab, sa representante légitime, nous vous jurons ce jour, et par votre entremise au Roy de France, Aide, Conseil et Protection autant qu’il nous sera possible

Ghost d'Izard
Exaltation Lablanche d'Abancourt




Citation:
Le treizième jour du mois de Mai de l’an de grasce mil quatre cent soixante-deux, à Reims,

À vous, Ghost et Exaltation Lablanche d'Abancourt d'Izard
Ducs de de Sedan et de Châteauneuf-sur-Loire,
Barons de Chaumont,
Seigneurs de Dienville et de Tronchay

Par la présente, Nous, Abeline Cardofer , Duchesse de Champagne, par la grâce du Très Haut, confirmons avoir reçu votre hommage et l’acceptons au nom de notre Suzerain et Souverain, Sa Majesté Jean III, Roy de France.

En son nom, vous baillons justice et protection pour vos terres de Champagne.



Duchesse de Champagne



hersent fit a son tour son arrivée, la jeune duchesse l’accueillit d'un sourire et d'un signe de la main l'invita a se présenter devant elle
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Hersent_
C'est Yunab qui l'invita à s'approcher pour l'hommage. Elle s'avança, lui rendant son sourire, ploya le genou et prononça les mots si importants:

Moi, Hersent d'Ar Sparfel, Baronne de Vignory et Dame de Maizières , renouvelle mon hommage à la Couronne pour la terre qu'elle m'a confiée et vous reconnais, Vostre Grasce Abeline Cardofer, comme la représentante légitime de notre Souverain Sa Majesté le Roy de France, sur ses Terres de Champagne et je vous promets Obsequium, Consilium et Auxilium, avec Force et Honneur.

Elle attendit, avec anxiété, le baiser de paix. Mais pourquoi fallait-il qu'il revienne au goût du jour?
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