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[Rp] "Zoko ad eternam"

Rose

C'est pour ça qu'elle était là, venir leur placarder au milieu du front leurs revendications pour qu'ils passent pour des cons.

Pendant qu'ils réunissaient leurs magots pour le planquer bien profond dans le fin fond de leur troufion, qu'ils hurlaient à l'aide à tout bout de champs à grands coups de courriers menaçants, eux, se gaussaient en se délectant du spectacle pitoyable qu'on leur offrait ...

Ils s'imaginaient qu'ils en voulaient à leur fric, à leurs mairies, sans doute même à leur château... or, il en était tout autre. Ils étaient là, demain ils seraient peut être ailleurs, ils reviendraient, prendraient leur temps, mais plus jamais, jusqu'à obtenir gain de cause, la Touraine n'aurait la paix...

Ils avaient patienté depuis le mois d'avril pour leur donner une sévère correction et ils avaient tous le même but... qu'elle soit cuisante.






Tourangeaux !



Lisez ce qui suit comme l'explication de notre présence et aux actes qui ont, qui sont et seront désormais commis ...

L'armée " "Zoko ad eternam" est ici pour vous punir. Vous, ou ceux qui vous dirigent.

En effet, depuis des lustres, La Touraine et d'autres de ses partenaires, poutrent en toute impunité ceux qu'ils considèrent comme leurs ennemis quand bien même n'ont ils jamais foulé ce sol...

Vos méthodes et vos listes noires gangrénées par du travail de collabos sont inacceptables.

Jusque là vous avez eu le loisir de ne pas honorer vos dettes, mais aujourd'hui il va falloir régler rubis sur ongle !

L'armée "Ordo Ab Chao de Hasselt" dirigée par Rhiana. a prit, une nuit d'avril un des nôtres et s'en est targuée ...

C'est pour Rhiana. et deux de ses hommes que nous sommes là. Nous voulons les têtes de ceux qui se sont vantés d'avoir tué Zalem.

- Aubree
- Fiocco45
- Rhiana.


Tant que nous n'aurons pas trouvé la paix à travers la vengeance, nous mettrons à feu et à sang votre duché. Pour un de nos blessés nous tuerons 2 de vos hommes, en attendant, et pour vous prouver notre bonne foi, nous vous prenons votre duchesse.

Echec !

Pour Zalem


Rose C.



Linoa
[Never ending story]

Branle bas de combat depuis l'aube.
Une magnifique chose de faire cela alors que la duchesse se trouvait encore en partie absente, une bonne idée donc d'attaquer ce jour là, alors même que les conseillers ducaux avaient pris le relai et magnifiquement bien réagi. La duchesse était fière d'eux et de leur réactivité mais aussi des habitants qui s'étaient mobilisés à l'appel, il était probable qu'elle ait l'occasion de le leur dire, en attendant, les groupes se formaient, prêts à défendre, les vivres et autre produits étaient mis à l'abri qu'il s'agisse de la mairie ou du castel puisque même s'ils n'étaient pas présents pour cela mais pour cette vengeance encore un peu floue, pourquoi se priveraient ils de piocher au passage?
Il fallait bien le dire, entre le procès de Sofy d'Hescorail et cette attaque, quelle serait la troisième chose qu'on les prendra pour responsables alors qu'ils n'y sont pour rien?

Enfin, ce n'était pas pour autant une raison pour ne rien faire, pour ne pas réagir, les angevins ne leur feraient pas de cadeau sinon ils ne seraient venus en aussi grand nombre.
Intégration faite de la lance de la duchesse de Vernou, son vassal personnel à ses côtés ainsi que d'autres turons volontaires, il suffit d'un dernier regard, d'un hochement de chef, confiante malgré le nombre d'ennemis dehors, pour plonger ensuite dans la bataille, du haut des remparts où ils se trouvaient afin de repousser l'envahisseur.

Non, Tours et son château ne tomberaient pas, parce qu'ils étaient là, parce qu'ils avaient répondu à l'appel, parce qu'ils avaient des personnes chères à leur cœur, à protéger et rien que pour cela, il fallait se battre.
Depuis des années qu'elle n'avait eu besoin de brandir l'épée, depuis des années qu'elle se maintenait en forme par des exercices quotidiens au cas où ce jour arriverait, depuis des années qu'elle avait quitté ce statut de soldat qui pourtant l'avait gratifié d'une volonté plus forte, tout s'éveillait d'un bloc


Sus à l'ennemi!!

Cette volonté la cueillit pourtant à quelques pas d'où elle se trouvait précédemment par un premier coup d'épée portée à sa jambe dextre qui la fit s’affaisser avant qu'un autre ne soit porté plus haut à son flanc. Manquant de forces après avoir perdu tant de sang, il ne lui restait plus qu'à plonger dans les ténèbres.

Advienne que pourra.

_________________
Entre deux eaux.
Meera
[ Quelques Heures avant ]

Elle avait appris un mot : TURON.
Bon bien-sur Meera et la déraison... Elle s'était mise à chanter en taverne.


- TURON TURON
TON MOULIN VA TROP VITE
TURON TURON
TON MOULIN VA TROP FORT.


Un Turon, un habitant de la Touraine donc s'était présenté ce soir là en disant qu'il était un Turon alors voilà...
Elle n'était pas ivre, mais pas du tout. Juste qu'elle avait envie de s'amuser. Bon il faut dire qu'elle n'était pas au mieux de sa forme donc fallait compenser par autre chose.
Et cette autre chose est la moquerie.


Remarquez quelques jours plus tôt elle s'est faite insulter de Catin car elle a baisé avec la compagne - qu'est pas vraiment la compagne - d'une autre, alors il était temps surtout de se divertir avant que la fameuse compagne qui pas la compagne vraiment de sa partenaire d'un ou deux trois soirs de la Borgne, prenne une bonne tarte dans la gueule - et pas au sens propre du mot mais bien en pleine gueule - , car finalement c'est ce qui allait arriver si elle continuait à l'attaquer au lieu de se remettre en question sur sa pseudo relation.
Enfin les histoires de cul ça pue c'est bien connu.


Mais Meera n'avait pas du tout l'esprit à ça, elle a rencontré une Rousse, elle a posé son dévolu sur elle et c'est elle qu'elle veut, le hic ? Elle est Turon justement !

- Meera t'es pas sérieuse?
- Bah si pourquoi ?
- Le Très-haut ne te pardonnera pas !
- Je réglerai mes différents avec le Très-haut face à face en temps et en heure.
- Tu pourrais le rejoindre plus vite que prévu... Dès ce soir.
- Mais non, faut être po..si..ti..ve ! Et je suis d'humeur positive, ce soir on passe et on pète tout !
- Fin pas moi...
- Ouais voilà pas toi.

A cet instant, la Borgne a une pensée pour Elle, oui Elle, la brune qui était censée être l'amour de sa vie mais maintenant qui est loin avec femme et enfant.
A une époque, elles s'étaient dit qu'elles prendraient la Touraine et de fil en aiguille...

Bref ce soir la Borgne quand elle baissera sa visière pour attaquer elle pensera à Elle au loin.


- CLAIRS - OBSCURS !!!

Clair ou Obscur ?
A cet instant, lorsque la bataille fait rage, il fait Obscur et demain matin il fera Clair forcément on verra mieux.
Elle ne sait qui est tombé, elle ne sait là de suite maintenant ce qu'il se passe à droite et à gauche, elle sait qu'en face d'elle il y a une demoiselle avec les cheveux noirs ébène, elle a la hargne elle se bat bien, mais voilà, la Borgne aura eu le dessus sur elle.

Meera voit son adversaire du soir s'affaler sur le sol, elle sait qu'elle l'a grièvement blessé, c'est ça les combats y'a des morts, des blessés et des intacts, mais pour l'instant ce soir en tout cas, Meera en sortira intact.

Un regard vers Rose, un regard vers ses coéquipiers, la situation a l'air d'être géré plus ou moins.

Son adversaire ne se relève pas après quelques minutes, Meera un peu folasse s'approche doucement d'elle, elle s'appuie sur son épée et se penche par dessus d'elle.

Un sourire en coin des lèvres, puis sur le front de la demoiselle, Meera se paie le culot de lui tamponner généreusement sa signature.




Une chose est certaine, la Borgne adore son sceau.
_________________
Catnys

La Touraine, une vague image, une vague envie… Il aura fallu, un homme, et sa chute pour que tout bascule et passer d’une inspiration à une véritable quête de vengeance.
La vantardise de ses bourreaux comme un écho était arrivée jusqu’à elles, exacerbant l’irrépressible, et maintenant l’incontournable projet, celui de mettre à mal la Touraine, et que chacun entende bien leur motivation.
Non, pas l’appât du gain ou la notoriété mais juste de rendre justice à leur compagnon.

La Touraine, enfin, des semaines qu’elle attend ça, et tenir cette promesse faite à celui qui ne peut l’entendre. Fallait pas toucher à cet homme là …

Son regard se teint de sombre sans doute comme jamais auparavant, c’est ce soir, ce sera sans doute encore demain et les autres à venir, mais ils partiront pas tant que Tours n’aura pas donné tout son sang.

Elle placarde à tout va, sur les portes des chaumières, échoppes, église…avant de grimper à son clocher.





ZALEM …. Retenez ce nom. Aujourd’hui il est trop tard. Mais demain, tremblez, fuyez lorsque vous entrendrez ce nom.

Il est notre fureur, il est celui qui nourrit notre soif de vengeance.

Justice sera rendue à sang pour sang.

Remerciez vos gouvernants, tous coupables !

Sangre e furia.

Catnys.






Du haut du clocher de l'église elle lâche les velins au vent qu' il les porte dans les ruelles de Tours jusque dans les campagnes alentours. Que tous sachent.
Le rassemblement est sonné, elle rejoint la troupe armée, bien décidée à joindre l'acte à la parole, avec au plus profond d'elle la colère grondante.

_________________
Sam_.
[ Juste avant l'impact ]




Alors ça y est on y est, c’est le grand jour, aujourd’hui je vais éclater du Tourangeaux ! Je dois avouer que je ne suis pas peu fier de faire partie de cette équipe, mais p’tain je ne suis pas rassuré quand même. Faut dire que c’est un métier ça d’éclater des tronches à coup de pelle ou de cisailler des jambes à coup de hache…moi j’ai qu’une épée.

Bon alors est-ce que j’ai tout ?

Je me le répète dans ma tête, ça fait dix fois, voir même cent fois que je vérifie si j’ai tout, et à chaque vérification, c’est le même rituel…épée, c’est bon, bouclier aussi…
Je ne manque pas aussi de vérifier si mes comparses sont pas loin de moi…jouer le héros c’est bien, mais le jouer avec d’autre c’est mieux. Moi j’en ai rien à foutre de ce Zalem, je le connais même pas, je suis là parce que mon chef me l’a demandé et puis…cette fois je n’ai pas envie de le décevoir, ouais je n’ai pas envie que ça se passe comme avec l’oublie d’accompagner Nico ou de se faire éclater la tronche lors de mon passage en douane. Le type faisait trois fois ma taille…ce n’est pas une raison mais je m’en fou, il m’en faut bien une.

Je stresse…putain je stresse…plus le moment arrive et plus je stresse ! Pourtant j’essaye de ne pas le montrer, ma main commence à être moite, je le sens, et ça me perturbe cette connerie, surtout que je serre mon épée d’une façon anormale…

P’tain il faut chaud…

Merde, c’est sorti tout seul de ma bouche, pas pu contrôler cette phrase à la con, ça fait le mec qui se plaint tout ça…et je déteste me faire remarquer, surtout dans un moment pareil. Surtout que dans quelques minutes je vais surement suer comme un porc à taillader à tout va. Je laisse mon regard trainer à gauche et à droite, avec l’espoir que personne ne relève…puis au fond je m’en fous, ce soir on aura plein de truc à raconter…

J’sais pas si il y aura un cri de guerre, toute façon même si c’est : « Tourangeaux, tête de veaux ! On vous éclate à coup de sabot ! » Je vais le brailler comme jamais à m’en arracher les cordes vocales. Parait que ça donne du courage de gueuler, parait que ça évacue la peur, en tout cas ce qui est sur…ce soir je tue un homme…
Thea_
Elle voulait en être ,elle voulait venger son ami ,celui avec qui elle avait partagé de nombreuses aventures ,celui qu'elle avait aimé n'était plus.....
Difficile a croire ,Zalem était un guerrier inébranlable pour elle ,elle l'avait vue combattre de nombreuses fois par le passé ,impossible qu'il ne soit plus ….

Mais tu a beau r'garder sa place préféré chaque jour dans les tavernes ,depuis ce jour d'avril ou la nouvelle tomba ..Zalem ne passa plus jamais le pas d'la porte

Il lui fallait les noms de ceux qui avait fait ça ,et ce que femme veut ,femme l'obtient …
Une armée et trois noms ,c'est pour eux qu'ils sont tous ici ,pour crier vengeance

Les Tourangeaux blessent et tuent a tout va ,nombreux sont ceux qui ont envie de vengeance et d'en découdre

Pour Zalem et pour bien d'autres


Pour une vie prise ,dix Têtes devront tomber !
Foi de Théa


Et ça commence ce soir .

23/06/1463 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Tours.

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Finn
Les Buses d'Anjou s'étaient massées en nombre devant la capitale tourangelle en l'honneur de la nouvelle bande ayant intégré leur grande famille, ces « Clairs Obscurs » qui réclamaient aujourd'hui vengeance pour la perte de l'un des leurs sous les coups d'une armée de Touraine.

Tout naturellement, comme en Berry puis en Maine avant ça, l'Irlandais avait joint ses reîtres à ceux de Gennes dans cette entreprise motivée par leurs nouveaux alliés. Trois bandes de Buses et autres Angevins faisaient ainsi face aux remparts turons depuis lesquels les toisaient moult défenseurs locaux armés pour certains de pioches, de pelles et d'autres appareils de mort issus de l'artisanat paysan.

L'assaut lancé, Ó Mórdha ajusta les derniers lacets de sa brigandine et se tourna vers ses gens n'attendait probablement qu'un mot pour tenter de faire céder les murs de la cité. Sa face hémiplégique s'attarda sur le jeune Sam qui, en proie à des inquiétudes de dernière minute, martyrisait nerveusement la fusée de son épée. Lorsqu'il l'entendit se plaindre de l'inconfort, le vieux reître ricana et alla lui flanquer une bourrade amicale dans le dos.


Tu veux pas qu'on te catapulte directement de l'autre côté, Samy ?!

C'est qu'il fallait encore l'escalader cette muraille ou à défaut en faire sauter quelques pans, ils n'étaient pas au bout de leur peine. Il s'adressa alors au reste de sa compagnie.


Tranchez, taillez, découpez. Mais surtout, gardez les morceaux. J'échangerai contre de l'or tout trophée anatomique de Tourangeau que vous apporterez à ma collection.

En avant, bande de Buses !
_________________
Alessandro.di.roja


- D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé la guerre. Je n'ai d'ailleurs jamais connu d'expression aussi pure de notre essence véritable.
Les armes dénudent les os, parfois, mais souvent les âmes. Vois, Ô Grand Epieur, tes plus inoffensives créations réclamer leur part de sang.
Ce soir, nous dansons à ta Gloire sous les remparts de Tours, et te ferons parvenir, par derniers sanglots, les espoirs écrasés des perdants.
Qu'ils se rependent en grandes taches colorées, et dressent sur ces terres condamnées une immense toile à ta Grandeur. -





- Ne laissez pas se refermer la brèche !
- Ils barricadent la porte de notre côté, on aura du mal à progresser.
- On tient bon ! Ne laissez personne vous échapper ! SALAMANDRES, AVEC MOI !


Beaucoup de nos hommes étaient rodés à l'escarmouche, mais le siège d'une capitale sera toujours une autre affaire. Surtout quand les éléments s'en mêlent. Un brouillard épais nous privait d'une vision globale du terrain, et celà faisait plusieurs heures que nous avions perdu de vue l'armée ennemie. Nous devions faire face aux miliciens qui tentaient de nous bloquer l'accès à la ville, et aux volées de projectiles de ceux qui gardaient les remparts. Malgré le déséquilibre évident des forces en notre faveur, nous avions du mal à progresser. Si la plupart des défenseurs se battaient avec des massues improvisées et des couteaux de cuisine, ils se contentaient avec une certaine efficacité de nous garder hors de l'enceinte. Nous nous contentions, pour notre part, de traquer les inconscients restés en dehors des murs, par trop de lenteur ou quelque bravoure mal avisée, et d'éprouver les faiblesses des fortifications.
Nous avions l'espoir peu avant l'assaut d'une chance de prise rapide de la ville, et ainsi d'éviter une guerre d'attrition. Nous avons déchanté.


- On a perdu Chalva !
- Merde ! On ne doit pas se séparer. On voit pas à deux lieues avec ce brouillard.
... J'suis sûr qu'elle s'en sortira.


Les assauts se succédaient sur plusieurs fronts, mais les combats dignes de ce nom n'étaient pas à l'ordre du jour. Les cris de guerre de l'autre côté du champs de bataille nous rapportaient la nouvelle de la chute de la Comtesse, mais ça ne faisait que nourrir notre frustration. Quand il fût clair que trop d'efforts seraient vain, j'avais guidé notre section, sous la bannière de Gennes, pour un ratissage des fermes voisines, à la recherche d'un trophée ou deux à ramener.
La récolte fût maigre, comme en témoigne le récit. Raison de plus pour nous attarder. L'acte un est posé.

- En plus ils ont eu Coolmaro...
- C'était pas une bonne idée la lanterne...



Citation:

23/06/1463 04:06 : Vous avez frappé Spm. Vous l'avez légèrement blessé.
23/06/1463 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Tours.

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Magda
Je m’ennuie…
Je m’ennuiiiiie
Je m’ennuiiiiiiie tellement !!



Des jours et des jours à répéter cette ritournelle en faisant les cent pas dans la cour.
Regarder les fleurs pousser, c’est bien, c’est joli.
Sentir le soleil réchauffer et brunir la peau, c’est bon, c’est joli.
Faire des tartes avec les premières cerises, c’est goutu, c’est joli
Mais bon dieu que c’était chiant !!!!
A ce rythme là, elle allait devenir une matrone à tablier blanc avec une nuée de chiards lui courant autour.
Alors quand l‘ordre arriva, ce fut bon, ce fut joli. Fleurs piétinées par la danse de joie, soleil éclipsé par l’éclat de l’épée et de l’armure, et tarte carbonisée dans le four !

Après de longs jours d’attente, de silence, vint enfin l’action. Celle qui transforme le long fleuve tranquille qui coule dans vos veines en un torrent bouillonnant. Guetter la proie, lui sauter dessus, l’achever.

Ca évidemment c’est dans l’idéal, dans les livres, dans les contes et légendes !!!
La réalité fut plus nuancée.
Car….

Eh, eh, Coolmaro est arrivé
Sans s'presser
Le grand Coolmaro, le beau Coolmaro
Avec son ch'val et son grand chapeau
Avec sa lanterne et son renne p’titLanterno
Avec ses bottes et son vieux raffiot

On pense que sur un champ de bataille, on ne peut entendre que le bruit du fer contre le fer, le hennissement des chevaux affolés, les râles et les cris des hommes (oui des femmes aussi..)
Eh bien non. En réalité quand La Lanterne est là , ce sont aussi des couinements qu’on entend.

Maaagdaaaaa , Alesssss sauveeeeeez moi. Magdaaa hiiiiiiii Aless aaaaaahhhhh aidez moi.

A ce moment précis , une multitude d’images envahissent votre cerveau:
Finir son adversaire. Sauver Cool. Retrouver Cool et ses couinements à la prochaine bataille. Image noire et cris suraigus
Finir son adversaire. Trainer par ci par là. Rejoindre Cool. Trop tard.Image noire
Finir son adversaire. Sauver Cool. Baillonner Cool. L’assigner au rata.

La dernière option fut la bonne.

Finalement c’était bon, c’était joli

Citation:
23/06/1463 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Tours.

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Marzina
[Devant les remparts]

Juchée sur son palefroi à la robe fauve, une jolie blonde aux longues boucles dorées cascadant jusqu'au bas de son dos, et surmontées d'un tricorne d'homme élimé. Sa peau blanchâtre de noble était couverte d'une chemise blanche ample immaculée et d'une paire de braies noires, le tout recouvert d'une large cape de velours noir doublée d'hermine. Le port altier, l'Altesse dirigeait son cheval au travers des combats sans mal, promenant ses yeux noirs sur les cadavres qui tombaient autour, et sur les angevins qui semblaient prendre leur pied. Tandis que le cheval s'avançait, le combat semblait s'éloigner, comme lui laissant le passage jusqu'aux remparts où elle leva des yeux furieux. Brandissant une hache vers ces remparts, elle s’époumona:

"MALLOZH DOUE, DESCENDEZ DE LA QUE JE VOUS ÉTRIPE !"

Levant sa hache vers le ciel, elle explosa:

"C'est pas parce que je suis enceinte qu'il faut éviter de me combattre! JE VEUX VOS ORGANES!"

Elle avait promis à la duchesse d'Anjou un cadeau avec la prochaine carte postale...et hors de question de prélever un organe sur quelqu'un qu'elle n'aurait pas tué elle-même.

Citation:
23/06/1463 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Tours.

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Chalva


Réveillée en Flandres par une missive Alessandrienne des plus annonciatrices, la Loivelé et son équipier pas toujours doué (traduisons équipier par Bocom) s'étaient hâtés de rentrer en Anjou pour mieux vite en repartir. Parce que oui, on lui avait promis une aventure, celle qui devait pas capoter. Car avouons le, les plans Angevins sont rarement tenus, et ça finit souvent en débandade. Mais ça c'est vivre à l'Angevine, et autant dire qu'on se fait rarement chié comme ça.
Bref, des jours qu'elle tanne Alessandro pour savoir quand ça commencera.
Quelques jours déjà qu'elle se concentre de tout son corps pour suivre l'armée, qu'elle ne se fait pas alpaguer par d'autres désirs quel qu’ils soient, c'est que tout ça, ça demande de la concentration.
Les soirs passent (ils ont l'air longs comme ça, car pour Chalva c'est ainsi, en réalité ils ne sont que deux) et la frustration s'immisce en elle.
Forcément qui dit une Loivelé frustrée, dit une Loivelé derrière un comptoir.

    - Rien'a'fout' de l'armée, je l'emmerde l'Armée !

Et du dixième verre ou plus encaissée par elle et par le Tavernier accessoirement.
    - J'ai pas besoin d'elle *hisps* ! J'vais y aller moa *hips* ! Par la Graaande porte même ! Ouais *hips* j'vais y aller moaa ! Pas besoin *hips* d'un vieux chef poilu grisonnant pour y *hips* ... *hips*


Les verres se lèvent et s'enchainent en avance du combat à venir, faut le fêter, et Chalva comme elle est quand même très solidaire de tous ses camarades, elle fête ça pour tout le monde, et ça s'enchaine un petit voir un long moment.
Cette nuit là, personne ne vit la Loivelé au combat.
Peut être bien parce que sa grande gueule et son alcoolisme l'avait laissé tranquillement s'endormir à l'Auberge la plus proche. Ils sont si prévenants.

_________________
Aemilia
Sérieux. Ces fous d'angevins avaient décidé de se pointer en Touraine, genre ni vu ni connu, et prendre le château. Ils avaient débarqué un beau matin aux portes de la ville, la bouche en coeur, l'épi de blé pas mûr au bec, et avaient commencé à monter leur camp sous les yeux des miliciens qui terminaient leur ronde de nuit. Aussitôt prévenue, la blonde avait sauté hors du lit, fait préparer un casse-croûte pour la route - elle était bien moins efficace le ventre vide, il fallait l'avouer - alors qu'on l'arnachait déjà des habits de protection qui viendraient protéger son jeune corps. Par-dessus le gambison, l'on viendrait déposer une broigne bien serrée et plus légère qu'une armure de plaques. Car il fallait bien l'avouer, à quinze ans, une armure entière de plates - comme elle, ahah - et elle n'allait plus pouvoir se mouvoir correctement pour se défendre des assaillants. Des gantelets, des spalières, et tout un tas de trucs un peu moins lourds que le fourbi que les jouteurs portaient pour parader en lice.

Ainsi apprêtée, bien loin de sa vesture habituelle plus féminine et riche en pierreries, la jeune duchesse de Vernou s'était présentée à l'Etat Major, épée et écu à ses armoiries tenus par l'un de ses servants pour la décharger avant les combats, et avait suivi les ordres, participé à l'élaboration d'un plan pour repousser les attaquants, et fait envoyer quelques missives pour préparer les hommes qui combattraient à ses côtés.

Pour qui connaît l'agnelle, elle a beau être une Amahir, de cette grande famille dont on connaît surtout le père pour ses exploits guerriers en tout genre, elle ne sait pas aussi bien se battre que les hommes. Elle n'a pas leur force, leur maniement de l'épée, ni leur grosse voix bien grasse qui effraie plus d'un brigand de grand chemin. Elle est gauche, surtout quand il s'agit de danser. Mais elle sait parfaitement esquiver, puisqu'elle a, dès toute jeune, toujours cherché à échapper aux gens qui voulaient l'attraper. Elle ne sait pas bien chasser à l'arc, mais elle manie parfaitement l'aiguille, et avec une épée à deux mains adaptée à sa taille et assez légère, elle sait piquer là où il faut.

Et c'est ainsi que, pour motiver ses troupes, elle leur parla ainsi avant de se ruer sur les ennemis, aux ordres de la grascieuse Rose.


Mes amis! Boutons cette merdaille d'Angevins hors du sol tourangeau! Combattons avec fierté pour notre duchesse! Pour la Touraine! Pour nos familles et nos amis! Corne de bouc! Ils n'auront pas le Jardin de la France!

A l'attaaaaaaaaaaaaaaque!


Schlack. Schlock. Zwwwiiiiiiiiiip. Boum. Crack uhhhhhhh. C'est ce genre de bruit que faisait son épée qui fendait l'air avant de s'abattre parfois sur une autre lame, quand l'estoc pénétrait un poitrail, ou quand le pommeau assommait vulgairement un assaillant quand elle se retrouvait dans une situation un peu complexe. Ses boucles d'or étaient parsemées de tâches sanguinolentes, tout comme son fin et blanc visage qui avait durci sitôt le combat engagé. Les ennemis tombaient, mais ses amis aussi. Parfois, un corps était protégé, ramené dans un camp pour être soigné. C'est ainsi qu'elle entendit, par d'autres assaillants, le nom d'une des personnes qu'elle venait de transpercer de part et d'autres. Un certain Coolmaro.

Mais pas le temps de s'attarder. Les ennemis arrivaient en nombre croissant, alors qu'à quelques mètres, une voix se faisait entendre, connue. La duchesse de Touraine tombait.


Soldats! La duchesse! Protégez-la! Ramenez-la à l'intérieur!

Oui parce qu'avec une armure, une épée et un écu, difficile de la porter soi-même sans se faire toucher. Tandis que la blonde couvrait les porteurs, l'on ramenait le corps inanimé de Linoa...
_________________

Image d'Anna Rettberg / Manoir des Artistes, Comptoir Parisien
Meera
[ Second jour même heure même endroit. ]

La veille, Meera avait eu de la chance? ou du talent ? On ne saurait le dire précisément. Cependant le lendemain au petit matin, une chose était certaine, nous étions encore dans le positif, c'est à dire que nous avions perdu moins d'hommes qu'eux.

Elle écoutait Rose, qui donnait les informations sur les "pertes", Meera eut un sourire quand elle entendit que la Duchesse est tombée. Meera annonça du coup qu'elle avait blessé grièvement la Juge de Touraine toute fière d'elle-même, il ne manquait que le Procureur et c'était carton plein.
Un autre jour peut-être?

En taverne.

- Je vais prier pour nous.
- Prier Meera? Je crois que le Très-haut s'en fiche pas mal.
- Mais non voyons, moi il va m'écouter. Fin si j'articule bien..

Voilà tout est une question de formulation, d'articulation, quand vous priez et que le Très-haut ne vous vient pas en aide, c'est qu'il n'a tout bonnement pas compris votre demande.

- Donc Meera est une Sainte?
- Je suis une Prieuse et une Poète moi !
- Poète Sanguinaire ?
- Oh j'adore ! Ouiiiii voilà Poète Sanguinaire. Pour la peine je vais t'écrire un poème avec ce titre !
- J'attends de lire ça ! Fin si tu fais lire..
- Je te ferais lire sans problème. Bon je vais me préparer, car MOI je dis que.. Prier c'est être à moitié pardonnée !

Prier pour être à moitié pardonnée une fois face au Très-haut, la blonde a toujours des idées ingénieuses comme ça.
Quelques heures avant un énième assaut, la Borgne s'installe dos contre un arbre puis sort son nécessaire d'écritures. A l'ombre des disputes à l'abri des coups d'épées, bref un endroit calme et paisible pour s'abandonner à l'écriture.


    Turon, Turon,
    Restez dans vos maisons.
    Zélotes risibles,
    Fayots et disciples,
    Jamais fierté humaine
    Ne peut faner vos leurres !

    Avec vos chimères, avec vos colères,
    Avec votre zèle, avec votre fiel,
    Vous nous jouez les soldats de Dieu
    Et répandez le sang en tout lieu.

    Nous sommes les Angevins,
    Arrivés hier au petit matin,
    Pour venger des amis et Zalem,
    Nous voulons faire un grand Schlem.

    Turon, Turons,
    Tours tôt ou tard tombera,
    Si ce n'est pas ce soir,
    Ca sera sans doute plus tard.


- MEERAAAAAAAAAAA...AAAAAAAAAAA... MEEEEEEEEEEEEE

Il est l'heure pas le temps de continuer, pas le temps de tergiverser. Elle range son nécessaire d'écritures et se prépare pour l'assaut.
Un mot à sa coéquipière, Rose paie une tournée, des gobelets s'entrechoquent.


- Cat pendant j'y pense, il est terminé !

Un sourire en lui tendant un velin. Sa visière se baisse. Rose donne l'ordre, chacun se met en position, évidement que les adversaires cette fois ne sont pas surpris, ils tendent des pièges, mais qu'importe nous sommes nombreux nous encore..
Face à face avec une blonde - châtain. Heureusement qu'elle n'est pas Rousse, Meera aurait réussi à se faire blesser en baissant sa garde pour l'admirer.


Citation:
24/06/1463 04:06 : Vous avez frappé Bhauny. Ce coup l'a probablement tué.
24/06/1463 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Tours.


La demoiselle ne tiendra pas bien longtemps, la fatigue peut-être? Lorsqu'elle s'écroule sur le sol comme un pantin désarticulé, Meera sourit, un sourire carnassier.
Et encore une fois sur le front de son adversaire du soir, elle tamponnera son sceau.



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Albin.
[Chinon quelques jours avant]

Remis sur pied après sa petite escapade d'une journée en Anjou où il avait subit un brigandage, Albin avait reprit quelques gardes de nuit sur les remparts de Chinon en tant que chef maréchal.

Chinon était calme, trop calme même ces derniers temps, les tavernes vides notamment du coup personne avec qui partager quelques verres.

L'Ar Sparfel se voulait un peu pensif ces derniers temps, les idées ailleurs, très loin, porter vers quelque chose...ou quelqu'un surnommée divine.

La nuit semblait dans un premier temps calme comme la ville, pas d'animation, pas de personne ivre ou de gens à se battre dans la rue pour n'importe quelle histoire, pas de voleurs ou d'assassin non plus juste quelques rares animaux qui rôdent comme les chats chassant les souris.
Les torches étaient allumés un peu partout pour éclairer la ville et les remparts ainsi que le passage des miliciens rassurant la population et surtout permettait au maire de dormir sur ses deux oreilles paisiblement.
Le sommeil justement au fur et à mesure gagnait l'esprit d'Albin mais un bruit de pas, suivi d'un bruit d'arme ainsi que d'autres allaient permettre au jeune Baron de reprendre contenance.


Pincez moi si je ne rêve pas et confirmez moi que c'est bien un étendard Angevin que je vois.

Un des gardes de la ville n'hésita pas à pincer l'ancien duc tourangeau avant de répliquer.

Je vous le confirme messire Albin.

Hééé c'était une expression pas obligé de le faire. Continuez à veiller sur la sécurité de la ville je vais tâcher de prévenir le conseil ducal.

Albin regagna sa demeure Chinonaise et demanda à ce l'on fasse venir son page qui arriva aussi vite que possible.

Podrick, va demander à Quentin qu'il emmène à Entrammes Gaelant et Merveylle il faut qu'ils soient en sécurité et Entrammes c'est l'endroit le plus sur pour eux actuellement.

Puis Albin donna un pli destiné à Orome, Linoa dans un premier temps.

Apporte ensuite ceci à qui de droit, c'est important même très important, nos vies peuvent en dépendre.
File maintenant et vite !


Podrick parti, l'Ar Sparfel alla en direction de la chambre de Mery pour la réveiller en douceur mais forcément qui dit Princesse dit garde.

Laissez moi passer, je dois voir ma petite cousine c'est très important.

Les gardes s'écartèrent et Albin entra dans la chambre afin de réveiller Merveylle.

Merveylle, ma chère cousine réveille toi.

Albin donna un baiser sur le front de la petite princesse la laissant se réveiller petit à petit.

Il faut que vous partiez Altesse avec votre petit cousin pour votre bien.

Et de lui dire où elle va être conduite sans trop expliquer pourquoi elle doit soudainement partir.

Quentin va vous conduire tous les deux à Entrammes où vous serez plus en sécurité qu'ici surtout que je risque de devoir m'absenter un long moment.
C'est plus grand qu'ici en plus ce sera mieux pour votre suite et vos gardes, il y a un grand château, de grands jardins, pleins de chevaux.

D'accord? Et tu pourras veiller sur Gaelant comme une grande?

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A venir
Orian
Non mais sérieusement ?! Tout commence par des vacances de me*de, retour en Anjou on me promet de l'amusement et tout ce que j'ai c'est la joie d'avoir donné une éraflure ?! C'est bon là haut, je suis diacre je suis un poil plus pieux que tout ces abrutit alors donne moi ce que je veux ou je crame ma bure !

A quoi bon rester diacre s'il n'y avait pas d'avantage ? Après avoir montré son poing au ciel d'un air menaçant Orian reparti sur le champs de bataille la veille il n'avait pas eu grand chose mais ce soir il comptait bien dégourdir son épée après avoir enquillé quelques verres il se rendit donc sur le champs de bataille légèrement en retard, c'est qu'il avait oublié de retirer sa chemise d'homme soyeux, "mes terres pour de la soie!" jamais il n'aurait prit le risque de l’abîmer en combat.

Une fois arrivé il ne restait plus grand chose à faire quelques tourangeaux étaient au sol et le Sidjéno était dépité. Mais au loin il y avait un homme un peu pimp en mode noble grand brun tout ça tout ça quoi, et le demi masqué il en avait marre de ne rien tuer alors il se rua sur l'homme en balançant son cri de guerre


HOMME SOYEUX !

Citation:
24/06/1463 04:06 : Vous avez frappé Godeffroi. Ce coup l'a blessé superficiellement.

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