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[RP] Anoblissement à Clermont en Viennois

Elisa.malemort
[ Jeudi 25 juin 1463 – Château de Clermont en Viennois ]

Deux jours. Deux jours déjà que la famille était de retour dans les terres de famille. Deux jours qu’ils profitaient de l’ombre des cerisiers en ces après-midi chaudes, les petits fruits carmin écrasés sous les bottines des enfants ou enveloppés dans leur main avant d’être croqués avec plaisir, laissant échapper des gémissements de plaisir pour chaque bambin qui y goûtaient. Le calme était là. Louis dormait paisiblement tantôt dans les bras de ses parents, tantôt dans son couffin, habillé d’une simple robe en lin qui lui permettait de ne pas avoir trop chaud. Les plus grands, eux, profitaient du cours d’eau qui longeait le bout du domaine pour se rafraîchir. Emery et Eyvin prenaient soins d’arroser leurs sœurs pour les entendre crier des « Mamannnnnnnn ils nous embêtent ! » ou bien des « Mamaaaaaaan ! Emery il fait faire des bêtises à Eyvin! », Ce qui entraînait des courses poursuite des garçons cherchant à attraper leurs sœurs, qui très souvent, partaient se réfugier dans les bras de Kye.

Les moments en famille étaient tous plus agréable les uns que les autres. Et la Malemort ne souhaitait en rater aucun. Le premier sourire, la première dent, le premier pas, le premier mot, tant d’évènements qui lui rappelaient que le temps passe bien trop vite. Elle avait vécue une vie folle, dans un château, dans des bureaux, dans des stocks, souvent loin de chez eux, souvent loin d’eux. Et elle ne voulait plus de tout cela. Sa vie en Rouergue l’aidait à garder cet objectif en tête. La vie était paisible là-bas. Petit à petit, la famille commençait à se familiariser avec les lieux et avec les villageois.
Ce matin là, les derniers ordres avaient été donnés, et les domestiques finissaient de préparer le domaine, pendant que la famille se préparait. Bientôt, la famille se retrouverait, pas toute entière, malheureusement, mais des membres qu’elle n’avait pas vu depuis trop longtemps. Des Baccard pour la plupart, qui était resté vivre en Lyonnais eux. La Malemort avait remit une robe violette brodée de perles sur le contour du bustier et sur les épaulettes. Un bracelet de perles autour du poignet gauche et le collier que lui avait offert Kye –lui revenant de sa mère- autour du cou. Un saphir au doigt en plus des autres bagues habituelles et sa couronne sur le sommet du crâne qui venait mettre en valeur ses cheveux rassemblés sur son épaule droite. Une fois finie de se préparer, elle alla vérifier que les enfants étaient eux aussi sur le point d’avoir terminé. Mais, où était Kye d’ailleurs ? Celui-ci avait le chic pour disparaître à chaque grande étape, la dernière fois, cela était pour le baptême des enfants, il avait été en retard car le vieux avait traîné dans son bain… Mais cela serait loin de gâcher la journée. Le visage de la Duchesse n’arriverait pas à perdre son plus beau sourire, car aujourd’hui, elle était heureuse. Toute la famille pensait être réunis pour profiter simplement de se revoir, mais l’occasion serait bien plus grande, et la Malemort avait hâte de vivre ce grand, ces, grands moments.

La Courageuse, descendit donc au salon, afin de vérifier que la pièce était prête à accueillir tout le monde pour la cérémonie. Les fleurs étaient installées dans leur vase, des chaises mises à disposition pour les invités. Les lustres avaient été briqués. Tout était prêt oui. Ils ne manquaient plus que les invités donc…

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Lizzie_de_joncheray
Quelques jours plutôt

La crapule avait reçu depuis peu une missive qui l'invitait à rejoindre les siens sur les terres familial. Bien entendu qu'elle n'attendrait pas une nouvelle fois l'invitation puisque déjà ses frères et soeurs lui manquaient terriblement, sans parler de sa mère et de son vilain. Elle l'aimait bien se Kye même si elle ne le laissait pas paraître.

Elle était comme une fillette à qui on avait promis une surprise, elle qui tenait déjà difficilement en place. Elle voulait que le temps avance pour déjà être la-bas près d'eux. Mais hélas elle devait attendre encore et encore, en tentant de rester calme près de son promis et de sa puce.

Les heures passaient pour faire place à moment de préparer le départ
Conflit de taille
amener 2 ou 3 malles
2 bien sûr 3 Tugdual allait râler
une chacune j'espère
mais non une pour moi et une pour eux

l'interminable questionnement concernant le déplacement
léger
ou pas

Quand le côté Baccard affronte le côté Malemort
Elle avait l'habitude de voyager léger mais la c'était tout autre chose. Elle voyageait avec ses rayons de soleil et elle devait penser à tout car le temps était un peu juste pour oublier quelque chose et devoir faire demi tour.
Juliette, une jolie robe pour elle et une pour la petite voila que tout serait prêt. Ah non une tenue pour Tugdual et la tout serait pret pour entreprendre la route. Elle avait tellement souvent fait rebrousser chemin à son père pour sa Juliette, qu'elle tenterait d'éviter de faire subir le même sort à son promis.

Il était l'heure de partir.

La veille du départ la brune avait déjà fait porter les malles dans le carrosse . Pas de temps à perdre. Ils allaient entreprendre le voyage calmement la tête reposer puisque tout était prêt.

Mon chéri, Adel quand vous serez prêt nous pourront partir voir mamie.
_________________
Nynaeve87
[La veille]


Il fallut une journée de cheval à la brune pour gagner le domaine de la duchesse. C’est bien fatiguée, que Dauphiné mit pied à terre dans la petite vile de Chirens le vingt-quatrième jour du mois de juin.

Poussiéreuse et décoiffée, elle démonta afin de confier les rênes à Alexian, homme à tout faire des Gaudemar qui l’accompagnait toujours lors de ses voyages, et regarda la façade de la charmante auberge où ils passeraient la nuit.

Je te laisse t’occuper des chevaux et vais vérifier qu’ils ont bien reçu ma missive de réservation.

Le hall était propre et clair. Elle s ‘approcha du comptoir .

J’ai réservé deux chambres pour cette nuit… Nynaève de Gaudemar.

Souriant, le maitre des lieux appela une petite blonde rondouillette

Conduit donc m’dame la vicomtesse jusqu’à sa chambre et prépare lui un bon bain.

Reconnaissante l’embrunnaise, lui sourit à son tour.

Si vous pouviez prévenir la Duchesse de Clermont-en-Viennois que Dauphiné est arrivée.

Il leurs faudrait, le lendemain matin, faire une petite mise au point du déroulement de la cérémonie.
Tugdual_de_joncheray
[Il était l'heure de partir]

Mon chéri, Adel quand vous serez prêt nous pourront partir voir mamie.

Quand vous serez prêts? Mais ils étaient prêts! Ils n'attendaient qu'elle. Elle. Elle! Lizzie Baccard de Malemort, la femme la plus importante dans leur vie. La femme pour qui Tugdual avait fait préparer, sans le lui dire, une malle supplémentaire de vêtements, car, croyez-le ou non, il la connaissait. Ah hein!

Installé contre une roue du carrosse donc, il attendait sa fiancée depuis l'instant où elle avait dit qu'elle serait bientôt prête, c'est-à-dire, depuis plus ou moins une demi-heure, car il savait qu'à chaque fois qu'elle disait qu'elle était bientôt prête, le temps prenait une définition très relative. Mais hors de question de dire à la Baccard de Malemort qu'elle se faisait, parfois, attendre. C'eut été périlleux, compte tenu de l'héritage caractériel de la belle brune... Mais cela plaisait bien au Joncheray, après tout.


Nous sommes prêts ma chérie! Nous sommes déjà dans le carrosse!

Évidemment ce n'était pas le cas. Mais qui en voudrait au Joncheray pour ce petit mensonge? Certainement pas le cocher qui commençait déjà à piquer du nez sur son siège. Un petit coup de clairon serait nécessaire pour le réveiller, sinon une bonne taloche derrière les oreilles.

Adelphine?

Où donc était la petite? Sous le carrosse ou sur le carrosse? Encore préoccupé par les envies de "s'envoler" de la petite, le père se mit en quête de la fillette, en espérant la trouver avant que sa fiancée ne soit, vraiment, prête à partir.
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Adelphine
La petite ne savait pas quoi se mettre sur le dos sa mère avait choisi une robe qu'elle n'aimait pas du tout.
Elle voulait être belle pour cette occasion... la plus belle de toutes les petites princesses.
Elle préfèrait sa robe toute rose avec pleins de froufrous qui pourrait virevolter au vent.
Adel fouilla dans le placard pour la saisir et la garda dans ses bras pour l'emmener avec elle.

La petite Joncheray était folle d'impatience à l'idée de retrouver sa mamie et son papi qu'elle avait à peine dormi la nuit passé.


Adelphine?

Adel fit de grands yeux ronds quand elle entendit son père crier son nom.
La puce descendit à toute vitesse au rez de chaussez toujours avec sa robe en mains claqua la porte de la maison puis se mit à courir à toute vitesse vers son père qui attendait son arrivé.

Je ch'suis là papaaa moua y'a juste voulu avoir ma belle robe rose papa... l'aime pô la robe que maman a choisi moua

La petiote regarda son père avec ses yeux de p'tit chat pour sa faire pardonner d'avoir fait attendre son père.
Adel était enfin prête à faire le voyage avec ses parents pour aller voir ses grands-parents qui lui manquaient tant.

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Lizzie_de_joncheray
C'est en faisant les 100 pas qu'elle fini par entendre Tugdual déjà dehors.

Adelphine?

Son timbre de voix la fît légèrement sursauter. Mandieu !

Aller le rejoindre la maintenant
Ha non c'était trop bien se faire désirer sa mère lui avait appris cela


Quelques secondes encore et ça serait bon
Mais non rien ne presse

La conscience mais qu'elle pouvait être embêtante celle-la

Une tornade allait alors précipiter le questionnement sans fin de la brune en faisant irruption dans la pièce après avoir descendu enfin enchaîné les marches. Elle l'étonnerait toujours cette gamine. La force de caractère qui logeait en elle la faisait sourire. Elle savait ce qu'elle voulait ou elle voulait et quand elle le voulait. La il était question de mamie plus rien autour n'avait d'importance.

Elle tourna la tête en voyant que la petite avait une discussion avec l'homme de la maison.Un petit sourire s'affichait en entendant Adel

Je ch'suis là papaaa moua y'a juste voulu avoir ma belle robe rose papa... l'aime pô la robe que maman a choisi moua


Alors demoiselle de Joncheray, prête pour le voyage en carrosse en direction de mamie Elisa?

À peine la phrase terminé que déjà le cocher ouvrait la porte en tendant la main à la petite. Le temps que la crapule vole un baiser au passage à son chéri avant d'être inviter à grimper à son tour afin de prendre place devant Adelphine, attendant son fiancé qui ne devrait plus trop tarder maintenant.


Une fois que toute la petite famille était bien installée, la Baccard donnait l'endroit ou se rendre

au Château de Clermont en Viennois mon brave, et que ça saute,une future dame impatiente réclame sa mamie

un sourire amusée au cocher qui la connaissait quand même un peu après ses quelques moi. Il lui répondit tout sourire

Il serait fait le plus rapidement possible jeune demoiselle au vol s'il le faut

Un sourire amical envers la petite tornade et voila que les sabots des bêtes s'emballent à un rythme endiablé en direction du lieu de rassemblement.
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Maycka
Rien ne sert de courir ; il faut partir à point

 peine de retour à la maison que quelqu'un l'attendait sur le seuil.Mais qui ce la pouvait-il bien être pourtant elle n'attendait personne,. Elle pressa le pas pour arriver devant la personne qui semblait un peu impatiente.

M'sieur comment j'peux vous aider? Vous chercher quelqu'un?

Maycka Baccard c'est bien vous ?

Oui !

J'ai une missive de grande importance à vous remettre en main propre.

Ses yeux d'un vert étincelant le scrutait de haut en bas de gauche à droite. Elle voyait bien qu'il tenait une missive mais d'aussi loin elle n'arrivait pas à déchiffrer de qui venait cette lettre.

J'peux vous offrir à boire avec cette chaleur vous ne pouvez pas refusez..

Elle sourit à l'individu l'invitant à se rafraîchir. Après tout May avait toujours été chaleureuse et en se mettant dans la peau de l'homme elle aurait bien aimer qu'on lui offre à boire avant de reprendre la route.

Allez mon brave n'ayez pas d'inquiétude j'suis pas vraiment une sorcière. Une petite touche d'humour pour le rendre un peu plus à l'aise.Ce qui semblait fonctionner.

En même temps Arta arrivait de la boulangerie, l'homme terminait son verre avec un sourire qui semblait vouloir la remercier pour son hospitalité .

L'homme regardait le couple et dit après s'être raclé la gorge ... Messire, Dame une excellente soirée à vous. Un sourire,suivi d'un hochement de tête et il disparu

Le regard inquiet en reconnaissant l’emblème

Une grande respiration elle prit le temps d'ouvrir le parchemin et le lire en regardant son mari.

Bon chéri demain on prend la route vers chez la belle-soeur le délai est juste mais ... 'idée d'vivre en montagne aussi!! tssss

Un sourire à son amour et déjà elle se préparait pour le départ du lendemain
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Tugdual_de_joncheray
[Quelques jours plus tard]

Clermont-en-Viennois. Ils étaient arrivés. Qu'espériez-vous? Que l'on vous raconte le trajet, qu'on vous dise que la route était merdique, que l'air climatisé n'était pas installé dans le carrosse, que Lizzie a vomi ses petits déjeuners et ses déjeuners trois fois sur quatre, qu'Adel en signe de compassion faisait de même une fois sur deux et que Tugdual a mis une taloche derrière la tête du cocher à chaque fois qu'un vomit était éjecté? Non. On ne vous le raconte pas.

Clermont-en-Viennois donc. Ils étaient arrivés. Les représentantes de la gente féminine s'étaient mises en belles robes dans une auberge avant d'arriver au domaine. Le Joncheray avait, lui aussi, non pas mis une belle robe bien qu'il en ait été le souhait de sa gamine qu'il le fasse, mais bien en tenue appropriée pour sa première visite en sol dauphinois. Territoire hostile?

Clermont-en-Viennois. Bis repetita. Parce que ça me plait de l'écrire. Avec éclat, les portes du chateau ducal s'ouvrirent sur T... Adelphine de Joncheray. Les femmes et les enfants d'abord après tout. Et puis entre nous, c'était plus sécuritaire, histoire de s'assurer la bonne humeur de la belle-maman. Elle fondrait sans doute d'amour en voyant la petite blonde. En première ligne donc, Adel de Joncheray. Elle se ferait sans doute bombarder de petits compliments gentils, faisant en sorte de mettre la belle-mère en de bonnes dispositions. Quoique, probablement qu'elle le serait déjà... Méfions-nous tout de même un peu.

Clermont-en-Viennois. Ta-ta-ta-taaaaaaaa! Héhé. Le Joncheray se tourne vers la brune à qui il tient la main tandis que la mignonne blondinette est au devant. Un sourire. C'est bon signe, il est détendu, ce qui est remarquable. Remarquez. Il est détendu. Vous y croyez? Non? Essayez. Essayez enfin? Lui il essaie. Très fort. Vraiment. Un sourire à sa brune. Une vraie brune. Avec du caractère. Et un coléoptère? Sur son épaule. Il la repousse. La bestiole, pas la femme bande de c***. Il regarde la brune. Le Joncheray, pas le coléoptère bande de c***... quoique le coléoptère aussi, avant de filer.


Un passager clandestin...

Qu'il regarde filer. L'Immigration sera informée plus tard, à moins que quelques pots de vin, ou posts de vin ne viennent faire oublier le tout à ceux qui ne l'ont pas déjà oublié.

Clermont-en-Viennois...

Clermont-en-Viennois... Ça valait bien ces heures de route. Par contre... ou est belle-maman?

Un petit sourire en coin, il aimait dire belle-maman, allez savoir pour quoi... et revenez ensuite.
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Arta.grialaltro
Arta débarquait de sa boulangerie les mains blanchit par la farine, il approcha d'un regard soupçonneux de sa femme en compagnie .... d'un homme.

Que faisait donc sa rousse avec un autre pendant qu'il travaillait ! Il se dirigea donc vers sa femme et l'enlaça dans le dos pour lui faire un calin mais surtout pour bien montrer qu'elle n'appartient qu'à un seul homme ! Il déposa ses mains blanche sur le ventre rond de sa femme et les salua.

Bien le bonsoir, mon amour, sire.

L'homme partit bien vite accentuant un peu les soupçons bien qu'il avait entièrement confiance en sa belle, ce n'était pas le cas du coursier !

Bon chéri demain on prend la route vers chez la belle-soeur le délai est juste mais ... 'idée d'vivre en montagne aussi!! tssss


Et hum d'accord je vais prévenir notre fille mais j'peux savoir juste qui est cet homme qui boit un verre avec ma rousse ? Juste pour savoir hein ?

Suite à ça Arta laisse sa femme préparer les bagages pendant qu'il s'occupait des chevaux pour qu'ils soient prêt au départ avant d'aller chercher son petit trésor.
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Nynaeve87
Elle se leva tôt. Une vieille habitude militaire sans doute. Quelques ablutions, la tenue adéquate passée à la va-vite, un dernier coup de brosse, deux traits de maquillage elle s’apprêta à descendre.
La salle commune était vide encore, les fenêtres grandes ouvertes laissaient déjà passer les chauds rayons du soleil. Il ferait encore bien chaud aujourd’hui.
Alexian ne tarda pas à la rejoindre.


Nous pourrons partir quand vous le désirerez. Les chevaux sont prêts.

Elle lui sourit l’invitant à s’asseoir et poussant devant lui la belle miche de pain que le tavernier venait de déposer avec du fromage t quelques fruits. Le thé serait bientôt prêt.

Une heure plus tard, ils étaient tout deux à cheval et montaient vers le château. Une brise légère rendait le voyage agréable et ils furent assez rapidement aux portes de la demeure des seigneurs de de Clermont en Viennois. La brune sourit en lisant les armoiries dessinées à l’entrée. Un blason si proche du sien.

Se penchant vers le garde qui venait à eux.


Veuillez annoncer la vicomtesse de Gaudemar mon brave.

Et hop de passer use jambe par dessus l'encolure et de sauter les pieds bien à plat sur la pierre en souriant. La journée se présentait bien.
Nynaeve87
Elle se leva tôt. Une vieille habitude militaire sans doute. Quelques ablutions, la tenue adéquate passée à la va-vite, un dernier coup de brosse, deux traits de maquillage elle s’apprêta à descendre.
La salle commune était vide encore, les fenêtres grandes ouvertes laissaient déjà passer les chauds rayons du soleil. Il ferait encore bien chaud aujourd’hui.
Alexian ne tarda pas à la rejoindre.


Nous pourrons partir quand vous le désirerez. Les chevaux sont prêts.

Elle lui sourit l’invitant à s’asseoir et poussant devant lui la belle miche de pain que le tavernier venait de déposer avec du fromage t quelques fruits. Le thé serait bientôt prêt.

Une heure plus tard, ils étaient tout deux à cheval et montaient vers le château. Une brise légère rendait le voyage agréable et ils furent assez rapidement aux portes de la demeure des seigneurs de de Clermont en Viennois. La brune sourit en lisant les armoiries dessinées à l’entrée. Un blason si proche du sien.

Se penchant vers le garde qui venait à eux.


Veuillez annoncer la vicomtesse de Gaudemar mon brave.

Et hop de passer use jambe par dessus l'encolure et de sauter les pieds bien à plat sur la pierre en souriant. La journée se présentait bien.
Elisa.malemort
Des bruits de pas dans l’escalier. Une course pour savoir qui arrivera le premier et voilà ses deux terreurs de fils qui arrivent face à elle, déjà débraillés et décoiffés. La Malemort se mit à sourire. Plus le temps passait, plus Eyvin commençait à s’ouvrir un peu plus aux autres. Parfois courageux, parfois petit garçon, il perdait petit à petit cette crainte qui s’était installé en lui depuis sa naissance. S’affirmant de plus en plus chaque jour, même si parfois, le réconfort des bras de sa mère était primordial. Comme toute bonne mère qui se respecte, elle s’approcha d’eux et se mit à genoux devant les deux garnements.

Vous êtes vraiment intenable les garçons. Madeleine et Eli vous avez fait tout propre et vous avez vu votre tenue déjà ? Vous étiez censé être tout beaux pour l’arriver de Lizzie et tante May…

Le regard désolé des deux enfants fit littéralement fondre la mère qu’elle était. Et en guise de réprimande, elle les embrassa chacun leur tour tout en replaçant leur chemise et les cheveux pour qu’il retrouve une forme acceptable. Tout en sachant pertinemment que cela ne durerait que quelques minutes tout au plus. Mais le timing était parfait, puisque la Malemort entendit les pas des chevaux résonner devant le château. Attrapant dans chaque main, Emery et Eyvin, elle s’avança en bas des escaliers.

Kye, Emelyne, Ehmée, ils sont là ! Dépêchez-vous !

Kye était chargé de s’occuper de Louis avec l’aide de Eli si besoin. La Malemort avait un faible pour cet attachement entre le père et son fils. Cette manière qu’avait Kye de s’occupait de lui depuis sa naissance, de veiller sur lui, les nuits d’orage ou lorsque Louis était malade. Elle s’imaginait parfois, l’enfance de Koraï, June et Jigsaw. Les enfants avaient-il tendance à exagérer le mauvais père qu’avait été Kye ou est-ce l’âge qu’il avait prit qui avait finalement fait de lui un bon père, tel qu’il était avec Louis aujourd’hui ? La Malemort n’aurait certainement jamais sa réponse, mais elle savait que Louis, entre ses bras, ne risquait rien. Comme elle savait également que chacun de ses enfants étaient en sécurité auprès de Kye, tout comme elle.

N’attendant pas de réponse, elle fini par faire ouvrir la porte du château et retrouver alors la voiture bien présente. Tugdual, Lizzie et Adelphine étaient bien là. Les deux monstres lâchèrent sa main pour venir se jeter dans les bras de leur sœur.


Doucement les garçons ! Lizzie est fragile…

Mère louve qui ne se refait pas. Toujours à protéger ses rejetons. Elle s’empressa néanmoins de s’avancer elle aussi, en mamie ravie elle attrapa Adelphine dans ses bras pour la faire tourner et la serrer fort contre elle.

Bonjour mon Trésor, comme tu m’as manquée. Ta robe est magnifique dis moi, on dirait une vraie princesse.

Elle déposant Adel par terre et marcha vers sa fille et son futur beau fils quepeut-êtrecaronn’estquandmêmepassûrtantqueçan’estpasfaitsurtoutquandilyaunelouvedanslesparages…. Elle les embrassa chacun leur tour, d’une bise sur la joue. Celle de sa fille agrémentée d’une main sur son ventre déjà arrondi.

Je suis heureuse de vous recevoir. Venez ! Entrez ! Les filles et Kye sont encore à l’intérieur. Ils sont encore entrain de se préparer, ils se font désirer, des vraies filles…

Un sourire en coin et d’un geste de la main, elle les invita à avancer vers l’entrée du château. Tandis que la voiture était amenée proche des écuries pour prendre soin des chevaux. A ce moment là, Dauphiné, arriva à son tour. Elle la salua.

Dauphiné, juste à l’heure. Bienvenue à Clermont en Viennois. Votre route fut-elle bonne ? Je vous en prie, suivez moi. Nous attendons encore ma belle-sœur et sa famille.

Elle avait évidemment prit soin de lui laisser le temps de répondre à chaque fois. Faisant un signe au palefrenier de s’occuper des chevaux. La Duchesse invita la Vicomtesse à la suivre jusque dans le château, rejoignant le salon où sa fille, son fiancé, sa petite fille et ses deux fils étaient déjà.

Nous n’attendons plus que May. Voulez-vous boire quelque chose en attendant, par cette chaleur, cela fera du bien.

Nouveau signe à un valet pour que celui-ci vienne servir une citronnade à chacun des convives.
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Kye
C'était un jour comme les autres. Le soleil s'était levé à l'est et irait se coucher à l'ouest. Les enfants feraient leurs bêtises, avec ou sans Kye. Ils se chamailleraient, avec ou sans Kye. Et ils iraient se réfugier dans les bras d'Elisa, avec ou sans Kye. Tout pouvait se passer avec ou sans lui, mais c'était quand même mieux avec lui. Tout était mieux avec lui. Il rendait chaque journée pas comme les autres, justement.
Mais aujourd'hui, changement de plan. Ce n'est pas lui qui rend la journée pas comme les autres, c'est Elisa. Elle mène la maison comme un chef son orchestre. Tout doit être parfait pour elle, plus que d'habitude. Il faut dire que cette journée est au combien des plus importantes. Réunion de famille. Les réunions de famille, c'est toujours important. Mais celle-ci est encore plus importante que les autres. Pourquoi ? Il faudra suivre la journée pour le savoir.

Maman est en bas et elle ne fait pas de chocolat. Papa est en haut et il ne fait pas de gâteau. Oui, on a inversé les rôles et c'est Kye qui doit préparé Louis cette fois. Ce n'est pas son premier enfant, il s'est s'y faire. Ou pas. Il se trompe de pied. Il met à l'envers. Ça c'est le trou pour le bras, par pour la tête. Pourquoi habiller un enfant est aussi compliqué ? Oh rassurez-vous, ce n'est pas la faute de l'enfant, Louis est très calme, étrangement. On peut presque voir dans son regard qu'il ne comprend pas ce qu'il lui arrive, ah c'est c'est sûr, c'est différent quand c'est Maman qui habille ou quand c'est Eli. Eli, d'ailleurs, elle est derrière, appuyé contre un mur, un bras en travers de la poitrine qui sert d'appui au coude de l'autre bras, la main sur la joue, elle le regarde faire. Elle a envie de rire, de toute façon, il n'y a que ça à faire vu qu'il a refusé toute aide.


Kye, Emelyne, Ehmée, ils sont là ! Dépêchez-vous !

La voix d'Elisa vient d'en bas. Eli se remet droite sur elle, alors que Kye penche la tête en arrière et marmonne. Elle aurait pu parier là-dessus, elle aurait gagné.

- Je crois qu'il est temps de me laisser faire mon travail Kye.

Et vas-y qu'il marmonne de plus belle, gagnant une ultime tentative pour habiller Louis. Raté. Alors Eli s'impatiente, elle serre les poings et les poses sur ses hanches.

Jeune homme, Elisa attend en bas. Je doute qu'elle apprécie votre retard. Alors, laissez-moi habiller ce petit bébé comme il faut.



Presque un demi-siécle d'âge et voilà comment il se faisait traiter par Eli. Encore et toujours comme un enfant. Mais derrière ses aires autoritaires, elle avait raison. D'ailleurs, c'était surement une des rares personnes, peut-être même la seule personne, dont Kye ne tenait jamais tête. Il se mis un pas sur le côté et fit un signe de la main pour lui dire d'y aller.

- Pourquoi les habits pour enfant sont-ils si compliqué à mettre, Eli ? Ils ne peuvent pas faire des choses plus facile à mettre ? Et puis vous avez vu tout ce qu'on lui met à mon fils ? Je suis sûr qu'il n'arrivera même plus à bouger avec tout ça. Il va rester bras et jambes tendus pendant toute une journée...je vous jure...


Elle le regarda d'un air inquisiteur. Jurer ? Devant un enfant ? Vraiment ? Bref, il prit l'enfant et le mis dans ses bras. Voilà, il était habillé. Impressionnant.


Et voilà un jeune homme parfaitement habillé.

Un jeune homme ? Mon dieu, heureusement qu'Elisa n'était pas dans le coin pour entendre ça. Elle aurait surement répondu qu'il n'était pas un jeune homme et qu'il était encore un petit bébé et qu'il le resterait. Ou du moins, c'est ce qu'elle souhaitait. Car oui, Elisa, voulait bien vieillir elle, mais il fallait que ses enfants restent petit, qu'ils aient toujours besoin de leur mère. Bref, elle est attachante n'est-ce pas ? En tout cas, c'est comme ça que Kye la voit et c'est comme ça qu'il l'aime.

Louis dans les bras, un passage par la chambre d'Emelyne, puis celle d'Ehmée et la petite troupe descend les escaliers sagement. Sagement, sagement...c'était sans compter sur les rires de Louis qui, dans les bras de son père, la tête sur l'épaule, avait une parfaite vu sur les grimaces de ses grandes sœurs.
A l'approche du salon, tout s'arrêta. Les grimaces, les éclats de rire. Tous savaient qu'il fallait bien se tenir en présence d'invités. Bon, là, les invités étaient de la famille, alors le sérieux n'allait pas durer. Un rapide coup d'oeil du Noircastel pour voir qui était présent et qui n'était pas encore là.


Bonjour Lizzie qu'il ponctua d'un sourire qui s'effaçait au fur à mesure qu'il continuait. Bonjour Tugdual et bonjour Dauphiné.

Puis il alla rejoindre Elisa en s'installant à ses côtés.
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Maycka
C'est entrain de presser le pas pour faire les bagages que la rousse fût interrompue par son mari. Elle le regardait un moment le connaissant trop bien..

Citation:
Et hum d'accord je vais prévenir notre fille mais j'peux savoir juste qui est cet homme qui boit un verre avec ma rousse ? Juste pour savoir hein ?


Un petit sourire en coin elle fixa son chéri avec ses grands yeux verts.

C'est le messager d'Elisa on est attendu chez elle alors ... Faut faire vite..
C'soir on ne tarde pas dodo tôt car on part durant la nuit..


Ses quelques mots échangés, Arta se dirigeait déjà vers sa vieille jument pour la préparer. Comme elle était du type pas très commode, la rousse savait qu'il prendrait un long moment à ses côtés. Cette satanée jument elle lui en aurait fait voir de tout les couleurs.

Après une courte nuit de sommeil

Debout avant même la première apparition du soleil, la rousse s'assurait que tout était en ordre. Elle fût surprise de voir que son mari avait déjà penser à tout elle souriait un peu . Il la connaissait sans doute mieux qu'elle même se connaissait il lisait en elle depuis le tout premier jour. Qu'elle l'aimait son Arta, malgré les naissances les décès les années, son amour pour lui était toujours aussi puissante..
Il était temps de réveiller la maisonnée et de prendre la route...

Un p'tit dej en famille et hop en route vers le château.Un trajet de plusieurs jours mais quoi de mieux pour respirer l'air de la campagne.

Les jours passent sans pour autant se ressembler

Enfin le château se dessinait au loin, il était temps. Le carrosse s'arrêtait devant l'entrée et enfin l'on pouvait marcher sur un sol ferme quel bonheur. C'est la main entrelacer avec celle de son époux qu''ils entraient dans le lieu à la recherche de sa belle-soeur..

Elisaaaaaa!? C'est May on vient tout juste d'arriver!! t'es ou!?

Elle s'enfonçait dans le château en regardant partout
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Lizzie_de_joncheray
Souriante resplendissante encore un peu blême du très long voyage mais heureuse de se retrouver parmi les siens. Accueillie par sa mère, et ses petits voyous de frères qui se ruaient déjà sur elle. Elle laissait un instant son amour pour aller faire la bise à ses petits taquins qui lui avaient grandement manquer. Les enlaçant fortement avant que sa mère ne les ramènes à l'ordre. Elle allait rapidement embrasser sa mère la serrant fort contre elle, une fois que celle-ci avait déposer la blondinette au sol.

Que de plaisir de vous retrouvez tous, vous m'avez vraiment manqué.Maman je suis enceinte je suis pas fragile c'est pas comme si c'était une maladie quand même.

Un léger sourire et elle s’accrochait au bras de Tudgual en marchant tranquillement les jambes encore engourdies par le trajet, laissant la dame ouvrir la marche avec sa mère.

Dès que l’hôte offrait à boire la petite voix de la crapule s'imposait.

J'irais bien pour un bon verre d'abricotine ça fait longtemps quand même Emelyne sera sans doute ravie de le partager avec moi.

Son petit sourire de crapule s'affichait en même temps que son teint redevenait rosé.

Elle attendait la réprimande de son promis et de sa mère elle s'amusait de les entendre ronchonner. Elle pressa le un peu le pas maintenant trop pressée de retrouver le reste de sa famillle. Ä peine la cadence modifié qu'elle arrivait vers Kye qui le saluait à son tour lui faisant une bise en lui soufflant à l'oreille, " elle se nomme Adelphine" un petit sourire et c'était le tour de ses petites soeurs de recevoir les étreintes de la crapule
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