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[RP] Je t'avais promis...

Jurgen.
    Et la promesse avait été formulée sous forme de menace. Le teuton avait alors, à plusieurs reprises, crié "J'te tuerais, et c'est pas une menace, c'est une promesse !" lorsque la rage s’emparait de lui. Parce que s'il avait de plutot bons rapports avec les Corleone, les Vitalis, c'était autre chose. Une amitié ambigüe, dans le sens où elle était toujours pleine d'emmerdes et d'embrouilles.
    Jeni était apparue lorsque le Trompe la Mort était arrivé à Pau pour servir le duc de la Mirandole. Jenifael était alors sa maîtresse, et, rapidement, elle changea de main pour un homme peut être plus viril, moins de vert vêtu. Et le courant n'était jamais réellement passé, entre eux. Plusieurs fois, il avait tenté de la tuer, une fois, il avait presque réussi, en reprenant ses esprits juste avant. Car ne l'oublions jamais: Jurgen a une passion, celle de trancher des gorges quand la frustration et la colère s'accumulent.

    Et ce soir, les sœurs Vitalis étaient allées beaucoup trop loin... de frustrations en frustration, Jurgen bouillait. Il y avait tout d'abord Darria. Si elle n'était pas la source de ses problèmes, elle y avait fortement contribué. Si on mettait de côté le fait qu'elle avait su le séduire, elle avait également renié leur fils. le fruit de leur amour si improbable. Les choses s'arrangeaient, mais Jurgen restait cet homme troublé et stressé au point d'en mourir. Puis Jenifael qui, à force de remarques constantes, le faisait mourir de frustration... Et enfin... Enfin... le Pompon. ANITHA. Anitha, cette vile créature qui avait alors permis à Darria de forcer Jurgen a adopter deux porcs. Ou plutôt, un cochon et une truie. Tout à fait, Messieurs dames. Car Darria aime les animaux. Elle les aime plus que sa propre chaire. Le constat en était là: Jurgen avait une ménagerie. Il en était le copropriétaire mais n'avait aucun droit dessus. Ils ne pouvait manger aucun de ces animaux sous peine de voir une Darria hystérique et rancunière. Si on ajoute, pour la défense du teuton et de l'horrible crime qu'il souhaitera commettre, que Jeni avait alors usurpé sa propre identité d'il y a quatre ans... Oui.. Jeni tentait vainement de séduire le teuton. Et elle l'avait même mordu.

    De fait, il avait craqué. Il n'était pas un autre homme. Il était toujours le même. Disons que sa partie sombre, depuis Pau et l'incident en compagnie d'Alysson sur le portier, s'était profondément endormie. Mais rien de tel, pour la réveiller, qu'une victime de choix. Jenifael était en réalité LA victime qu'il convoitait depuis Pau. Depuis presque un an. Il la convoitait, et il l'aurait.
    Lorsqu'il fut certain de l'heure et du lieu, il se cacha des heures durant pour pouvoir appréhender celle dont il voudrait trancher la gorge ce jour là.

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Jenifaelr
L'Italienne n'était plus à sa première menace. Depuis tout petit, on nous menace, elle avait grandi avec, comme tout le monde, mais les premières sérieuses s'étaient produites avec son premier amour. Elle ne craignait pas encore les hommes à l'époque, jusqu'au jour, ou de nouveau, elle se mit à en aimer un de nouveau, elle le vit étrangler de rage la mère de son enfant. Après l'avoir suppliée de la lâcher, après s'être mis et pleurer toutes les larmes qu'elle pouvait pleurer il l'avait lâcher, pour la première fois, elle prenait conscience de la force et de la menace que pouvait représenter un homme.

Une leçon était acquise, celle de craindre et d'être méfiante.

La Lisbeth se promène dans les ruelles de Guéret, vêtue de façon masculine, avec une ample chemise sombre et des braies de cuire renforcée, accompagné de ses habituelles bottes, ceinture, dagues et cape. Pourquoi changer une équipe qui gagne? Confiance, sûr d'elle, avec son allure féline, ses courbes amincies et ses mèches vénitiennes nouvellement irrégulières, couper par un barbier fou nommer Jurgen, les mèches oscillaient entre divers tailles frôlant les épaules carrées de l'Italienne.

Elle avait bien grandi depuis le temps, la jeune femme, agenouillée devant le brun forgeron, pour qu'il cesse son action, L'eau avait coulé sous les ponts et elle c'était trouver un maître d'armes, devenu ensuite son amant, pour les fêtes, elle lui avait offert un cadeau de choix : une faveur. Celle-ci fût d'aller à Pau.
Là-bas, elle c'était retrouvée au milieu d'une belle assemblée qui lui avait plu, elle avait également quitté un lit, pour un trouvé un autre, un autre, qui lui donner un frisson dans le dos, un frisson qui lui manquait avec le précédent. Ce frisson était accompagné malheureusement d'une contrepartie : supporter l'ignare stupide qu'il traîner avec lui. Au fil du temps, elle se mit à l'apprécier à sa façon ... Le temps s'écoula, doucement, Jenifael plaça sa confiance, peut-être n'aurait-elle pas dû, mais sa vie était à portée de leurs mains à tous dans tous les cas, elle s'en souvenait que trop bien, revoyant parfois les images de la femme étranglée.

Elle n'était donc pas sur ses gardes, trop sûre d'elle la Vénitienne. Pourquoi être sur ses gardes, lorsqu'on ne risque rien? Du moins, c'est ainsi, que la Florentine voit les choses.
Certes, elle aimer embêter sa soeur, sa dernière lubie avait été de se faire passer pour amnésique.
Certes, elle aimer embêter Jurgen, sa dernière lubie avait été de se faire passer pour amnésique et amoureuse de lui.

Elle aimer tout cela, mais eux, aimait-il? La question lui effleurait de temps à autre l'esprit, mais sans grand plus.

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Jurgen.
    Lisbeth... C'est un nom qu'il s'était toujours refusé de prononcer. Pas qu'il ne l'aimait pas, au contraire il le préférait à l'autre, mais tout ce qui pouvait mettre mal à l'aise la Vitalis aidait le teuton à jouir de sa propre vie. Il était alors une sangsue. Parce que Jurgen était au fond de ces pervers qui jouissent du malheur des autres, sans jamais s'en rendre compte. Il était un pervers, parfois très narcissique, qui s'ignorait royalement et qui pensait que tout lui était naturellement dû. Et pourtant, le teuton en avait vécu des choses. Il avait maintes et maintes fois frôlé la mort, jusqu'à ce qu'elle devienne partie intégrante de lui.

    Jenifael n'avait jamais mérité ça. Mais elle en savait trop. Sur lui, sur Darria... Non, Jurgen, ne te cherche pas d'excuses. Tu es comme ça. C'est ta nature profonde, cette folie qui te permet de survivre. Jeni est tout simplement mal tombée. Elle est là, à portée de main et de dague émoussée. Mais elle sait. Et tu te trouves des foutues excuses.
    N'empêche que tu as quand même envie de passez ta dague, cette fois ci Bien aiguisée, comme tu as eu le temps, sur sa gorge qui ne t'inspire aucun désir.


    Et quand il la voit débouler, le teuton, lui, dans la pénombre d'un soir de janvier hivernal, n'a aucune hésitation. C'est comme un besoin vital, que de voir ce sang pas si innocent couler. Car en plus, il se trouve des tas d'excuses. Il se dit qu'elle a du tuer des gens, que Déos la puni à travers le bras de l'Allemand, de ce pauvre enfant de pendu, à Dantzig. Et il repense aux horreurs qui ont fait sa vie. Pourquoi pas lui, après tout? Pourquoi ne pourrait-il pas, tout simplement, la punir...? Pourquoi...?


    Il sort. Furtivement, comme il en a l'habitude. Et rapidement, l'italienne se retrouve coincée entre ses bras. Il n'est pas musculeux. Pas sec non plus, mais il n'a pas de force brute. Seule la stratégie l'habite, comme toujours. Le poignée de la Dame est bloqué avec habileté derrière son dos, et la lame, de sa main droite, vient effleurer, presque avec tendresse, le cou.

    -Tu vois. J't'avais promis, Jeni. J't'avais promis.

    Il répète alors, comme pour se convaincre lui même devant la jeune femme, son amie (finalement, c'est véritablement une amie. Qui lui pardonnerait autant de forfaits?), que son geste est légitime. Mais Jurgen a raison, c'est bien Deos, qui punie les gens, car lui, qui est t-il, lorsque de son souffle chaud, sur la nuque de l'italienne, il murmure des paroles presque incompréhensibles, pour la juger?

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Jenifaelr
Les Italiens ont le sang chaud, très chaud. Trop chaud. Souvent, cela cause des tas et des tas d'ennuis à la belle, mais ce soir, il lui fait garder la tête froide. Alors que sous le ciel d'hiver, le froid pénètre ses vêtements et un frisson le parcours, un frisson mêlant le froid et l'adrénaline. Celle-ci se diffuse dans son corps en un instant mais son esprit n'arrive pas à se déconcentrer de la lame glacée sur le derme beige dorée de son cou.

Elle sent ses poignets liés dans son dos.
Elle sent le souffle chaud sur sa peau, qui lui déclenche une chair de poule et constelle sa peau de grains.

Elle lui a promis qu'il pourrait la tuer, elle aussi tiens ses promesses.
L'adrénaline fait enfin son effet et renvoi à l'esprit de la jeune femme, les dures leçons du forgeron. Alors qu'il l'oblige à porter son épée d'une seule main, alors qu'elle n'y parvenait pas, pour la muscler. Alors qu'elle se prenait des gifles, à cause de son manque de rapidité pour les éviter, alors qu'il l'attacher sournoisement, pour qu'elle se détache. Tenue au sol, sur les épaules, en version sac de patates, ou attachée à une chaise, chaque fois, son coeur tambourinant dans sa poitrine à l'époque, et chaque fois, les mêmes récompenses lors de ses réussites. Des instants de bonheur, qui l'encourageaient à donner le meilleur d'elle-même. Elle tourne les poignets, pour que Jurgen lâche sa prise, mais elle n'ose pas lui écraser le pied, pour pas que la lame ne creuse sa peau délicate et fasse couler du sang.
Elle parle à son tour, le ton n'est pas suppliant, pas encore.

"- Lâche-moi, s'il te plaît. Lâche-moi. Je ne dirais rien à personne. "

Pas même à ma soeur, pas même à ta femme, semble dire ses yeux, mais les yeux aigue-marine de la vénitienne, ils ne les voient pas. Elle espère libérer ses mains, en les faisant tourner, pour qu'il perde sa prise, pour qu'elle puisse lui asséner un coup de coude dans le ventre et s'enfuir. Peut-être pourrait-elle faire plus? Peut-être, sa fascination pour le liquide vital pourrait s'éveiller et elle pourrait passer des heures, au-dessus de Jurgen, après l'avoir attaché avec soin, pour se délecter, de le voir saigner, en posant son regard songeur et vide sur les gouttelettes, mais l'heure n'est pas ça, elle n'est pas en position de force, ses bras sont assez forts pour une épée masculine portée d'une seule main, ils ne le sont pas assez pour être supérieur aux hommes.

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Jurgen.

        Serre le poignet, Jurgen. Une femme ne te fait pas peur. T'es un homme, ou t'es un grec?



    Je suis un homme, qu'il aurait envie de répondre. Alors il serre le poignet. Et si sa force était illimitée, peut être le sectionnerait-il simplement avec deux doigts? Il n'en est rien. La Vitalis a de l'entrainement. Elle sait y faire, même s'il ne l'acceptera jamais. Alors il serre autant qu'il le peut. Comme il l'a déjà été dit, il n'a aucune force herculéenne, mais Jurgen demeure un homme entraîné aux aléas de la vie>.

    -Arrête...

    Et cela, il l'a répété nombre fois durant la soirée, sans que Jenifael n'en comprenne vraiment le sens. Qu'aurait-il pu dire? "Ne touche plus à celui qui est un père pour moi!"? Ç’aurait été pour lui des paroles de pucelle jalouse, qui aurait encore amené l'italienne à croire que le teuton était grec. D'ailleurs, s'il avait dit "Arrêtes de parler d'Alaric" qu’aurait-elle répondu? Jurgen n'aimait pas qu'on le charrie sur sa virilité. Les faits étaient là: Il avait deux enfants, deux beaux enfants, et il ne supportait pas que l'on puisse douter de sa capacité à procréer. Et elle se débattait encore alors que sa propre main se refermait plus fermement encore sur le poignet, et remontait le plus possible vers les omoplates. Ce devait être douloureux, mais Jurgen n'en avait cure. Après tout, qu'avait ressentit celui qui l'avait, tout petit, égorgé? Qui lui avait déchiré la peau? Rien. Tout juste de la haine, ou un moyen vainde défense. Car qui, mis à part Oũtis, Corbeau, Sextus Pompée ou encore Alp Aslan, se seraient amouraché d'un enfant aussi futile?

    Alors la dague aiguisée se presse un peu plus sur le cou de l'italienne. Il sait qu'il est en danger. Il sait que la situation pourrait se retourner. Il sait très bien que si Darria voit ça, c'est la fin pour lui, pire que la mort, elle se rendrait compte de ce qu'il est au plus profond de lui. Ne l'a t-elle jamais su?


    -Tu f'ras quoi, hein? j't'avais dis, Jeni, que j'le f'rais.

    Et cette attente, est-elle le signe d'une hésitation, ou savoure t-il simplement la détresse?

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Jenifaelr
Elle gémit. Alors que ses bras remontent, elle s'immobilise et gémit, l'Italienne. Souvent elle fait la belle, la fière, souvent elle oublie qu'elle ne s'entraîne plus, que son corps travaille moins désormais, que son esprit et que si celui-ci s'aiguise au fil des calculs et feuilles de compte, son corps lui se raidit, se rouille. Alors elle serre les dents, la mâchoire contractée elle laisse couler une larme sur sa joue, pensant sa fin proche, sentent toujours le contacte du métal et désormais incapable de ce concentré sur autre chose que la douleur qui à monter dans ses bras, jusqu'aux épaules et bientôt lui prend la nuque.
La larme n'est pas crainte de la mort, la larme est destinée à la seule chose qu'il lui reste réellement, celle qui lui ressemble trop à son goût, sa fille. La petite Chloé, qui est devenue aussi bien sa raison de vivre, que la raison de sa mort. Une enfant qu'elle chérit plus que n'importe quoi, prête à s'asservir, pour offrir à la fillette tout ce qu'elle souhaiterait.

Puis le teuton reprend la parole. Une parole dans lequel elle décèle de l'espoir, l'espoir pour le barbu qu'il est encore tant de s'arrêter, s'arrêter oui, mais en échange de quoi? Du moins, c'est ce qu'elle entend.


"- Je t'en prie, s'il te plaît. Lâche-moi. S'il te plaît. "

Puis le ton se fait suppliant, étranglé, la douleur dans son dos, aidant.

"- Je t'en supplie Jurgen, tu me fais mal. "

Sur sa gorge, la lame bouge au rythme de ses cordes vocales. Les épaules de la blonde sont toujours hautes, à cause de la prise du barbu sur les poignets. Elle songe aux marques qu'elle aura après cela. Puis elle repense à ses entraînements, à aucun moment elle ne sait comment s'échapper. Comme une biche prise par un chasseur, ou un enfant pris en faute, elle ne bouge plus, immobilisée par la douleur. Il ne l'a pas désarmé, ses dagues sont toujours en place, la première, dans la manche gauche, la suivante dans sa botte, mais comme elle ne peut pas les atteindre. Alors d'un coup, sans prévenir, alors qu'elle a relâché son corps au maximum, elle tente de lui écraser le pied, mettant le plus de poids possible sur ça, espérant le déconcentrer suffisamment longtemps, pour retourner la situation.
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Jurgen.
    Le pied italien s'écrase sur celui du teuton. Il grogne et râle et lâche prise. Mais Jeni, as-tu vraiment pensé que ce pied suffirait à t'échapper? Jurgen est un homme hargneux, stratège. Peut être pas sur l'instant, où il n'agit qu'en chasseur, mais il peut l'être. Il la regarde. Il la voit bien, maintenant. Il voit la trace de larme sur la joue et se prend à sourire, sadique comme il peut l'être.

    De la pointe de la dague, l se gratte la gorge, l'observe toujours. Mais rien ne dure plus de quelques secondes.
    Il secoue la tête. L'hésitation est bien là. Elle l'a pourtant mis en colère. Elle a attisé la flamme de sa haine. Depuis si longtemps, il veut sa gorge. Il ne la supporte guère plus. Et pourtant, l'action est faite, il ne peut plus reculer. Si elle parle, c'est les Corleone qu'il aura sur le dos. Ou Anitha. Et ça, ce n'est en rien une bonne idée. Non qu'il les craigne réellement. Mais il ne doit pas être égoïste. L'équipage a tant donné pour lui. Il leur doit bien ça.

    Alors il ne la laissera pas s'échapper.

    Et pourtant...


    -J'compte jusqu'à trois.

    Une infime pause où il la fixe toujours en décortiquant le moindre geste.

    -Eins.

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Jenifaelr
    Il la voit. Il voit alors ses yeux, qui le supplient et l'implorent. Si elle mourrait, qui penserait à elle? Hormis Chloé et Jehanne? Qui s'occuperait de sa mort? Puis sa chance. Il lui laissa au final, elle en eut presque une larme à l’œil, presque. Il parle de nouveau.
    Eins.
    Qu'est-ce? Elle ne comprend pas. Que veut-il dire? Cassante, elle lui dit :


    "- J'parle pas ... "

    Puis cela l'illumine, comme une idée soudainement brillante. Il compte. Alors la féline tourne les talons, sans demander plus et se met à courir. Elle n'est pas la plus rapide qui soit, elle est vive néanmoins. Elle court, ne regarde même pas derrière elle. La jeune femme courait, courait, encore et encore. Les mèches volent au vent, facilement repérable dans la nuit froide, elle tourna, droite, gauche, droite, droite. La voilà arrivée à la place. Seule, au milieu de celle-ci, elle se tourne et retourne, ne sachant quel chemins prendre, son cœur bat à toute allure dans sa poitrine, prêt à sortir de celle-ci. Elle a dégainé une dague, au cas où. Jenifael ne prends pas le temps de supplier, d'implorer cette fois-ci, elle sait qu'une seule chose compteras, savoir se cacher ... si elle parvient à échapper à Jurgen. Ses jambes se mettent en mouvement de nouveau et vont droit devant elle, dans une des ruelles, dans la nuit, il y à un son sourd au sol, car même si elle est silencieuse, la nuit l'est plus qu'elle. Sa tenue lui permet de se donner au maximum, elle ne risque pas de trébucher en se prenant les pieds dans sa robe, ni ne craint de grimper au besoin. Malgré tout, la boule au fond de son estomac, reste là, pesante, alors qu'elle à l'impression de sentir encore la dague du teuton sur la peau délicate de son, qu'elle à l'impression que ses bras sont toujours dans son dos et qu'elle à encore en bouche, le goût salé de la larme versé plus tôt.

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