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[RP - Cauvisson] On est dans la merde ...

Jenifaelr
    Tout PNJ même non prévu, son accepter ! Les PJ aussi


    [Château de Calvisson]

    L'intendant laissé à Boissières s'était réuni avec celui de Calvisson, à eux deux, ils se partageaient les tâches d'aller à la rencontre du peuple et de recenser les récoltes, ensuite ils donnaient leurs informations à la dame de Boissières qui gérer les répartitions au sein de la Vaunage. L'heure était grave. Durant la fin d'année, les terres avaient été dévastée par d'énormes inondations et si on avait compensé les pertes de maisons et autres, par des logements de fortune plus loin des rivières et plus près des châteaux de la région, que les vies avaient été pour la plupart sauvée, les récoltes elles, c'étaient retrouver en bien mauvais état. Les deux intendants étaient en catastrophe, l'un bossu, sale portant l’oriflamme de Boissières, l'autre jeune et en pleine de forme, aussi opposée étaient-ils, leurs expressions étaient la même. C'était le printemps et l'on avait presque rien à récolter ou à planter, le peu que l'on parviendrait à avoir ne suffirait pas. L'on avait passé l'hiver sur des réserves, en réduisant les portions pour tous, un gros contraste avec l'hiver précédent, où les familles avaient eu plus qu'ils ne leur en faillaient.

    "- 'Va hurler. "
    "- Pourquoi? On y est pour rien ! "
    "- Té ! "


    Une conversation très productive donc, entre les deux intendants. Ils se décidèrent à écrire à la Féline.



    A Jenifael Lisbeth, Suzeraine, Dame de Boissières,
    D'Bismuth,

    M'dame, l'heure est grave.

    On à pu rien ! Les inondations de la fin de l'année 62 on tout détruit, on à réussi à passer l'hiver, mais le printemps va être dur, faut faire quelque chose ou nos finances sont à sec, les paysans aurons pu d'boulot et pu de nourriture, m'dame faut faire quelque chose.

    En attente de votre réponse, Ma dame
    Bismuth,
    Ce 23 mars 1463

_________________
Jenifaelr
    [Quelques part dans le royaume]

    La vénitienne hurla à plein poumon. QUOOIIIII? Il suffisait qu'elle parte quelques mois et on parvenait à faire piquer du nez son boulot? La lettre fût donc ... incendiaire !



    De moi, Jenifael Lisbeth, Dame de Boissières en Vaunage,
    A Bismuth, immondice de vermisseau vicelard et emmerdeur !

    BOUGE TON CUL !

    J'ordonne que tu fasse construire un château sur l'endroit le plus haut de Boissières. Tu y fera aussi un castrum ! Je veux un château immense, avec des terrasses pour profiter du soleil et tu te démerde pour le castrum !

    Cela donnera du boulot aux paysans le temps que leurs champs se désangorge, etc. Bouge toi le derrière Bismuth, parce que si à mon retour, rien n'avance, rien n'est fait, je m'assurerais de te pendre dans un cachot par les oreilles et de t’émasculer ...

    Claire?

    Jenifael Lisbeth
    Dame de Boissières en Vaunage,

_________________
Suzanne


    Le regard noir de Suzanne se posa sur la chambrière. Les bras croisés sur la poitrine, la matrone fit claquer sa langue. Il était hors de question que le nouveau château de la Dame soit un carnage. Comme il était hors de question qu'une jeunette décide de changer les consignes qui ont été donnés. La contournant, La Du rejoignit un petit office. Bismuth lui avait fait parvenir les exigences de la Dame ; un château sur le plus haut point de Boissières, ainsi qu'un castrum. Mais pour ce qui était de donner de la vie dans ce château, s'était vers Suzanne qu'on se tournait. Tout devait être parfait, irréprochable.

    Pointant la missive vers la jeune et pauvre chambrière, la noiraude soupira.


    Sais-tu lire ? Non bien sûr.. Dame Jenifael souhaite un nouveau château. Un immense château. Sais-tu ce que cela signifie ?

    Posant délicatement le plis à sa place, Suzanne tourna son visage à l'expression impassible vers la femme de chambre.

    Du travail. Seulement tu me fais perdre du temps. Et je n'en ai pas pour jouer avec une petite sotte qui ne suit pas la bonne marche.

    Traversant la pièce, La Du ouvrit la porte.

    Prends tes affaires.

    Le ton était sec, mais aucune colère ne se lisait sur ce visage que toutes femmes redoutait. Elle était devenue avec le temps, grâce à ses efforts, une de celle qui en l'absence de la Dame ; gérait aux côtés de Bismuth le moindre petit détails. Seulement comme elle venait de le faire comprendre, le temps pressait. Le nouveau castel devait être prêt au retour de la blonde, même le moindre bagatelle. Fermant la porte derrière la forte tête, Suzanne tapota doucement ses doigts contre ses lèvres. Il lui fallait une idée ; un changement ne vient jamais seul. Alors quoi de plus normal pour la matrone de ces lieux que ce contenter les plaisirs de la Dame.

    Jetant une cape noir sur ses épaules, la noiraude traversa le castel. Ses pas claquant contre le sol sonnait comme une alerte aux oreilles des chambrières et cuisinières. Mais elle n'avait pas le temps pour venir reprendre interminablement les erreurs des unes et des autres. Pas aujourd'hui. Entrant dans le couloir qui était destiné aux bons gens qui faisait de cet endroit un lieux confortable, Suzanne tourna afin de trouver une porte en bois. Toquant trois coups, elle entra ; son fils était en train de jouer, comme elle l'avait imaginée. Anthonin se leva pour se plaquer dans les bras de sa mère. Un brin de douceur gagna le visage de La Du.


    Je m'en vais au marché. Sois sage, j'essayerais de te ramener un petit quelque chose.

    Embrassant le sommet de son crâne, Suzanne laissa un sourire fendre ses lèvres. Il était son tout, son miracle, son sauveur. Si elle était encore en vie aujourd'hui, s'était grâce à ce fils muet. Nul besoin de parole pour se faire comprendre, Anthonin et Suzanne se déchiffraient en un regard.

    Au village, Suzanne savait pertinemment ce qu'elle souhaitait. Quelques linges pour le nouveau château, du pain pour le souper, et quelques nouveaux porcs pour les terres des paysans. Certes, ce côté paysans n'était pas son travail, mais si Bismuth passait moins de temps à tenter d'obtenir d'elle quelques faveurs, tout ne serait pas tel quel aujourd'hui.

    Rentrée, elle laissa les cuisinières se charger de prendre la nourriture. Montant dans ce qu'elle appelait son bureau, la noiraude prit la plume.


    Citation:

    A vous, Dame de Boissières,
    De Suzanne La Du,

    Ma Dame,

    Je vous fais parvenir un plis, puisque ce cher Bismuth m'a fait parvenir celui qui lui était destiner.

    Sachez que je tente de mon côté de prendre en mains les petites qui s'occupe de vos linges, ainsi que de vos appartement. Certaines sont plus robustes que d'autres, mais ce n'est qu'une question de temps.

    Pour ce qui est de vostre château, nous tacherons les chambrières et moi même d'y mettre de l'ordre !


    Mes respects ma Dame.
    Suzanne.


Jenifaelr
    La jeune femme, répondit au plis. Avec un fin sourire. Heureusement qu'une domestique de poigne veiller sur certaines affaires.



    A Suzanne,
    De Jenifael Lisbeth, Dame de Boissières-en-Vaunage,

    Bismuth ne se bouge pas? Alors soit. J'envoie l'ordre aux gardes de le pendre par les testicules dans le cachot !

    Pour vous, je songe à une promotion. Intendante adjointe, ça vous plairait? Choisir qui nous embauchant, m'aider dans mon travail et chapeauté la maisonnée.
    Lorsque je serait présente, votre rôle se résumera surtout à gérer la maisonnée, lors de mes absences, cela voudra aussi dire gérer l'argent, les récoltes et d'autres, suivant mes instructions. En revanche, échouez et vous payerez chère. Je n'accepte pas que le travail accomplie ces dernières années en Vaunage, soit mis à néant, par de la paresse.

    Pour le futur château de Boissières, celui que j'ai demander, il prendra des mois, je le sait bien, pour le personnel en revanche, tourner au minimum. Quoique vous pouvez songer à prendre une ou deux filles de plus, pour faire travailler le village et permettre aux paysans de se relever de ces inondations.

    J'ai pour habitude de n'avoir que 3 personnes qui s'occupent de l'intendance, 5 gardes et 1 garçon d'écurie, cela devrait changer avec le nouveau château, néanmoins je tiens tout de même à rester au strict minimum, j'aime la discrétion.

    Merci d'avance,

    Jenifaël Lisbeth


    Elle ne s'attarda pas, elle retourna à son alcool, pour replonger dans la transe dépressive dans laquelle elle se mettais ces derniers temps.

_________________
Suzanne


    La Du était assise sur la couche de son fils. Le regardant jouer, elle se glissa au sol près de lui. Ces derniers temps, elle le savait, elle n'était pas la meilleure mère qui soit. Boissières avait besoin d'être remit sur pieds, et les jeunes filles de la maisonnées n'en faisaient qu'à leur tête. Anthonin dans tout ceci se retrouvait mit à l'écart, parfois oublié quelques jours pas sa propre mère. Alors pour se faire pardonner, elle avait trouvée quelques jours plus tôt sur le marché, de quoi se vêtir lorsqu'il s'en allait avec le garçon d'écurie. Suzanne ne comprenait pas ce qui liait ces animaux et son fils, mais il retrouvait au moins le sourire durant ce temps.

    Anthonin, mon chéri.. Je suis désolée de ne pas être avec toi en ce moment. Boissières à besoin de retrouver une vie confortable, tu comprends?

    Attrapant le délicatement le menton de son fils, Suzanne lui adressa un sourire. Poussant quelques mèches rebelles du visage de l'enfant, elle retint un soupire.

    Je sais que tu aimes aller avec le garçon d'écurie.. Je t'ai trouvée de quoi te vêtir lorsque tu le rejoins.

    Lui donnant les linges, La Du lui embrassa le front avant de repartir dans son bureau. Le sourire de son fils l'avait réconfortée. Leur lien n'était pas brisé. C'est tout ce qui lui importait à présent ; le bonheur de son fils, et de la Dame. Fermant la porte en posant le châle qu'elle portait sur les épaules, la noiraude fronça le nez quand elle trouva un plis. Était-ce encore une invitation de Bismuth ? Car il pouvait toujours courir pour avoir sa main, ou même un baiser. Dépliant le vélin, un léger sourire naquit sous les mots de Jenifael.

    Citation:
    A vous, Dame de Boissières,
    De Suzanne La Du,

    Ma Dame,

    Disons que nous savons toutes deux comment est Bismuth. Aussi, il bouge son corps aussi vite que possible.

    Quant à une promotion, j'en serais honorée ma Dame. Vostre confiance me touche, je tâcherais de ne pas vous décevoir comme durant ces dernières années.

    Le personnel de vostre château actuel et de celui à venir risque de changer. J'ai dû dernièrement me séparer d'une jeune fille. J'irais au village en repérer quelques unes qui pourront aider durant tout ces grands changement.

    Je vous suggère de prendre quelques gardes de plus lorsque le futur château de Boissières sera terminé. Il y aura sans aucun doute plus d'espace à protéger.

    Aussi, afin de vous détendre, j'ai songé à quelque chose. Que diriez vous de bains de vapeur ?


    Mes respects ma Dame,
    Suzanne


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