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[RP] La cathédralette du diocèse de Rodez

Wendoline
La voix de Wendy tremble d'émotion en récitant le credo, ses yeux ne quittent pas les mariés...
Omniprésents les amis venus accompagner ces deux là dans leur serment et partager leur bonheur prient comme elle.
Le sentiment qui étreint Wendy est tellement déroutant....
Connaîtra t'elle un jour un tel bonheur ?
Madrigal
Ne connaissant pas le fonctionnement d'une messe, Madrigal regarda les autres réciter une parole qu'elle ne connaissait pas. Elle se contenta des regarder en écoutant les paroles mentionnée par les gens. On aurait dit un murmure de groupe, un chant sans mélodie, un appel au plus haut.
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Garriguette
Garri récita avec émotion son credo, un peu déçue qu'Eric n'en fît de même. Il lui avait dit à quel point tout ce qui touchait à la religion le laissait, non seulement indifférent, mais bien plus, semblait l'agacer au plus haut point ! Son visage marquait d'ailleurs une telle désinvolture à ce moment précis que Garri en fut presque peinée... Il regardait son ami Drum, appuyé contre un pilier, et tous 2 subissaient, de manière évidente, les affres d'une cérémonie à laquelle ils n'assistaient que par le fait de l'affection qu'ils portaient à Nanou et Marcj. Garri prit la main d'Eric et la pressa contre sa bouche, doucement, amoureusement...et se dit son fort intèrieu: ça ne fait rien, je prierai pour nous 2, que cela lui plaise ou non...mais je ne le lui dirai jamais !

Et elle se replongea dans un total recueillement...
--Behrooz


Je m'acheminais vers le lieu de culte où devait avoir lieu le mariage de Nane Khanom. Je savais que nous n'étions pas en avance. Mais j'avais eu beaucoup de mal à répondre à la prière de cette savante personne. Je jetais un coup d'oeil par dessus mon épaule pour m'assurer que la chaise à porteurs me suivait bien. Oui, il était évident que ce projet rencontrerait certaine opposition de ce côté-là.

Arrivé devant l'édifice, je me retourna vers les porteurs et leur fit signe de s'arrêter. J'ouvris la portière pour m'assurer que la "marchandise" n'avait pas subi de dommage. Mon apparition à l'intérieur de l'habitacle déclencha une violente réaction en chaîne mais sans conséquence, heureusement, pour moi. Bon, vu la rude réponse en retour, elle allait bien.

Je me redressa et fis signe aux porteurs de m'attendre là. Je devais me dépêcher de retrouver Castelreng Âghâ. Lui seul pouvait prendre en main la suite des évènements. Pour ma part, mes possibilités étaient limitées. Je savais déjà que j'aurais à répondre de mon initiative. Avec elle, je pouvais me permettre une certaine impertinence mais il y avait un seuil à ne pas franchir. Et là, je me savais en équilibre dangereux sur le bord.

Je pénétrai dans la sainte enceinte. Je fis une halte pour chercher Castelreng Âghâ. Il y avait du monde. Je repéra Nane Khanom et Marcj Âghâ. Il ne devait pas être loin. Dès que je le vis, je rasais les murs pour le rejoindre.

Arrivé à son hauteur, je posa ma main sur son épaule pour attirer son attention. Quand il tourna sa tête, je me pencha pour lui murmurer à l'oreille :


Âghâ, j'ai besoin de vous dehors. Gros gros problème.


Et sans attendre, je rejoignis la sortie, sachant qu'il me suivrait.
Capoune
Assoupit sur son banc. Capoune se réveilla en sursaut à l'invitation de Baron à réciter le credo. Rougissant de ce faux pas, quoique un homme a bien le droit de se reposer ou il peut ...et récita à son tour le credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


...et attendit la suite, tentant de ne point s'assoupir à nouveau

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Zazous
Zazous était rentrée de voyage depuis peu. Elle était rentré exprès pour le mariage de sa marraine.

Zazous arriva, malgré ses efforts, en retard pour la cérémonie. Dimitri dans les bras, elle entra a pas de loup dans la cathédrale pour l'union de Nane et Marcj.

Essayant de ne pas faire de bruit elle alla s'assoir dans un petit coin (enfin la ou il y a de la place) avec Dimitri afin que celui ci ne dérange personne au cas ou il aurait faim.

une fois installée, elle balaya du regard afin de voir ou reconnaitre d'éventuels amis. Elle en vit beaucoup mais préféra reste la ou elle était pour ne pas gêner la cérémonie de même que la ou elle se trouvé elle pouvait regarder l'union sans être gêner.

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Castelreng
Il n'avait pas manqué l'entrée de sa soeur au bras de Capoune. Pas à dire ! elle était d'une grande beauté dans sa robe de Noce ! Il s'en était renfrogné, déçu, véxé au plus haut point que sa soeurette eut préféré un ami à un frère. Il n'aurait pas été peu fière de la conduire à son futur époux. Ce se vit sur son visage.

Le blond baron, ne se fit pas attendre et, sitôt le couple devant lui, commença la cérémonie. Doucement, un silence se fit dans le saint édifice lorsque fut lut un extrait du livre des vertus. Beau passage qui radoucit l'humeur du seigneur vexé et qui prit la mais de sa douce épouse, revivant un peu de ce qui avait été leur mariage.

La célébration se poursuivait donc malgré les murmures un peu haut de certain invités, Castelreng, de temps à autre regardait en direction de ces voix quelques peu gênantes et malvenues dans ce lieux de recueillement.

Un œil sur ses enfants au moment du crédo qu'il ne manqua pas de réciter avec ferveur, un sourire aux lèvres en constatant que Joé tentait de faire de même.

Il en était à la dernière phrase du crédo lorsque une main vint se poser sur son épaule à l'en faire sursauter. Tournant la tête afin de voir qui osait le surprendre de la sorte, il arqua le sourcil en voyant devant lui l'un des fidèles serviteurs de sa peste de sœur, la bien nommée Sara !
Il ne fut pas plus de mots pour que Léran comprit que la situation était des plus grave. Qu'avait encore fait la peste ? il ne prit guère le temps de se poser la question, murmura a son épouse de ne pas s'inquiéter , empoigna sa canne et se leva. Un regard vers le blond curé qui devait sans doute se demander ce qu'il se passait, si tentait que ce dernier vit l'intendant de Lescure débarquer.

C'est donc le plus discrètement possible qu'il suivit Berhooz vers la sortie.


[Sur le parvis de la Cathédralette, alors que la cérémonie se poursuit]

Une chaire aux porteurs savamment fermée agitée de soubresauts aux grand dam des porteurs qui tentaient avec plus ou moins de bonheur de la garder en position verticale ; c'est là que l'intendant conduisit Castel....

Voyant l'affaire, notre homme se posa mille questions. Que renfermait cette chaise ? Le cadeau de noce de la peste de Lescure ?? Qu'avait-elle trouvé d'insolite ? Quelle idée saugrenue avait-elle eut encore et pourquoi avait-on besoin de lui ? Pourquoi d'ailleurs la Peste n'était-elle pas encore arrivée ??

Arrivé devant la portière d'autres questions fusaient encore,mettant sa cervelle à ébullition.
Ouverture de la porte......
Mouvement de recul à l'en faire choir lorsqu'il découvrit ce qui se cachait à l'intérieur. Une chance que l'intendant se trouva derrière lui pour le garder en équilibre et en position "debout". ...
Quelques minutes pour enfin comprendre la situation....
Un mouvement de la tête en arrière pour regarder Berhooz.....
Retour vers l'intérieur et regard sur un Sara ligotée et bâillonnée avant de demander des explications.
En quelques mots, l'intendant lui résuma l'affaire. Castel l'écoutant, fusillait de plus en plus sa sœur du regard.

Il lui ôta son bâillon et avant même qu'elle n'eut le temps d'ouvrir la bouche il lâcha d'un ton qui ne demandait aucun commentaire.


Tu vas faire ce que je te dis et inutile de répliquer ! D'ailleurs je veux même pas t'entendre !

Puis, regardant les porteurs qui se trouvaient à l'arrière de la chaire, il ajouta :

Vous deux ! amenez vous là ! faite un siège de vos bras pour la Dame de Lescure...... Toi ! Silence j'ai dit aucun commentaire ! ....... Berhooz Portez hors de cette boîte votre maîtresse et confiez là à ces hommes. On se dépêche, je ne voudrais pas que mon absence soit une gène pour la cérémonie.

Aussitôt dit, aussitôt fait ..... Castel laissa passer le convois Lescurien et le suivit vers l'intérieur de la sainte bâtisse.

[ edité pour correction des fautes de frappes]
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--Doucebrise




Une belle journée d'été, rugissement de couleurs dans le ciel, chatoiement de lumières irisées...

Le souffle calme et frais d'une petite brise glissa langoureusement sur l'herbes souple en caresse et s'engouffrant dans le bel édifice...
Dansant dans les cheveux et sur la moindre parcelle de peau, a frissonner... relaxante... reposante... tournant les têtes... Petite brise qui observe, détaille, fait sourire...

Fermez les yeux et soupirez...

En se jour, pour certains, petite brise qui sent bon, sent l'amour, sent le désir, parfum de derniers ébats...
Fermez les yeux, de cette brise qui vous caresse vous ramène, à nos instant de bonheur...

Petite brise joueuse, mais bien vaillante, qui dans une unique caresse vous rappel pourquoi la vie est belle...

En se jour de bonheur où deux êtres qui s'aiment et s'unissent, petite brise, tout en caresse s'enroule autour des mains amoureuses... chatouille les mentons pour décrocher des sourires... caresse des joues pour apporter réconforts... frôle des lèvres pour baisers ceux qui aime quelqu'un, quelque part...

Douce brise, file sous les robes et soulève toute ses belles féminités, frétillez petites flammes de cierges, sous se souffle d'amour qui emplit se petit lieu féérique...
Saradhinatra
[Auberge de Nane.]

Sara avait accepté du bout des lèvres d'assister au mariage de Nane. Mais porter cette robe, il était hors de question. Elle lança un regard noir vers ces fanfreluches inutiles et désespérément féminines. Pourquoi ne pouvait-elle pas porter son uniforme ?
Elle fit part de son refus catégorique à la vieille Berthe. C'était à prendre ou à laisser ! Elle n'en démordrait pas ! Elle vit sa servante sortir et revenir avec Berhooz.

Elle lança un regard de défi à son intendant. Il pouvait se mettre à deux pour la convaincre, elle ne changerait pas d'avis. Le vieux persan la fixa silencieusement avant de sortir. Forte de cette victoire, elle se leva en faisant attention à sa cheville et se dirigea vers le bahut pour prendre son uniforme.
Tournant le dos à la porte, la peste ne vit pas son intendant revenir en catamini. Tout ce qu'elle se rappela à ce moment était un chiffon appliqué sur sa figure, ensuite le trou noir.


[Quelque part]

Hmmm ... y'avait trop de roulis sur ce bateau. La mer doit être déchainée. Il faut qu'elle se réveille pour aller aider les marins à ramener les voiles. Mais sa tête était lourde. Elle prit sur elle-même et se força à se lever. Elle leva une paupière, puis l'autre. Tiens, sa couchette était vraiment petite. Et pourquoi ne pouvait-elle pas faire de mouvement ? Petit à petit, le brouillard qui voilait son esprit se dissipa. Elle n'était pas sur un navire.
La peste de Lescure fronça les sourcils en découvrant sa situation.


HYUMMMUHUMMMMM
* ! voulait-elle s'exclama mais aucun son sortit. (*traduction : NOM D'UN POISSON POURRI)

On l'enlevait ! Qui avait osé l'enlever ! Qui oser enlever la Dame de Lescure ? Qui avait donc oser s'en prendre à la Peste de Lescure. Soudain la réponse la foudroya. Elle était en robe et elle se souvenait parfaitement qu'elle était en braie.

BERHOOOOOOOOOOOOOZ ! 'Spèce de vieux babouin puant du bec ! Elle sentit la rage l'envahir. Fossile sénile sorti d'une fosse à purin ! Il allait le payer !

Elle sentit le balancement s'arrêter et la tête de Berhooz apparaître ! Sa réaction fut immédiate. Elle s'élança pour lui porter un coup avec sa tête ! Mais ce dernier recula se mettant hors d'atteinte.


Hmmm-hmmmm !**
(** traduction : Infâme traitre ! )

Il disparut aussi vite qu'il était apparu de son champs de vision. La fureur décuplant ses forces, elle rua comme une mule endiablée pour se libérer ! Chapon maubec antidéluvien ! Dès qu'elle mettra la main dessus, elle l'écharpera, lui faire avaler ses propres tripes ! Chiabrena suranné ! Aaaah ça, dès qu'elle se sera libérée de ses liens, il en arrivera à souhaiter la mort de tout son être !

C'est rouge de colère et hors d'haleine que son frère la découvrit.


Hm-hmm-hummummuuuu ! huuuuh ! hummmummm !*** (***traduction : libères moi, Cast ! Que j'en fasse de la chair à saucisse !)

Tu vas faire ce que je te dis et inutile de répliquer ! D'ailleurs je veux même pas t'entendre ! lui ordonna son frère après lui avoir ôté son baillon.

La surprise lui coupa le sifflet. Tel un poisson hors de l'eau, elle ouvrit et ferma la bouche. Mais une petite voix dans sa tête domina les questions et protestations qui se bousculaient en elle. Etait-ce l'instinct de survie ou l'autorité que venait de montrer son frère qui lui fit ployer la tête de mule qu'elle était ? On ne saurait dire. Mais le résultat fut là. Elle se laissa emmener vers l'église.

C'est perchée en hauteur que la Peste de Lescure fit son entrée au mariage de sa soeur. De son perchoir, elle put observer les invités déjà arrivés. Le fait d'attirer l'attention était le cadet de ses soucis. Elle venait de voir sa soeur devant l'autel. Oublier la colère, la rage et tous les sentiments négatifs, elle n'avait que d'yeux pour Nane si belle dans sa robe. C'est toute émue qu'elle prit place à côté de sa belle-soeur Oriabel. Elle lui fit un sourire avant de reporter son attention sur les deux futurs mariés et le blond padre qui sent bon.

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Marcj

La main toujours dans celle de sa douce, il récita son crédo :


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN




Le crédo fini, Marcj ne vit pas Castel sortir de l’église, mais peu de temps ensuite, le murmure dans l’édifice lui fit tourner la tête.
Et quelle surprise, Sara venait de faire son entrée, et lorsque les deux hommes qui la portaient la firent assoir sur le banc réservé à la famille, il vit dans son regard son émotion d’être là.
Marcj se tourna vers sa douce le sourire aux lèvres, guettant sa réaction.
Sans nul doute c’est la joie qu’il lirait sur son visage….
Maria_eugenia


Maria toujours occupée par les petits, moucher les uns, calmer les autres, bercer le petit n'avait pas vraiment le temps de s'ennuyer, mais quand vint le credo elle demanda le silence ABSOLU ce qu'elle obtint sans trop de mal en fronçant les sourcils.



Elle pria pour tous les gens qu'elle aimait, elle pria pour tout ceux qui étaient seuls, elle pria pour les miséreux et les orphelins et puis elle pria pour Grammy..toute sa tendresse fût pour lui et seulement pour lui qui aujourd'hui n'était plus sur son épaule...

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"Le verbe "aimer" est le plus compliqué de la langue. Son passé n'est jamais simple, son présent n'est qu'imparfait et son futur toujours conditionnel." Jean Cocteau
Fregouille


Freg s'était laissé bercé par les paroles du bon curé et s'était laissé sombrer dans une certaine torpeur... il regardait amusé les enfants autour de lui, se disant :

Ce ne doit pas être facile pour eux non plus...

Il fut arraché de sa torpeur par le credo, récité en choeur par l'assemblée.
Il reprit à son tour :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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"L'important n'est pas de convaincre... mais de donner à réfléchir!"
Alchimiste1
Pendant que Baron parlait, Alchie l'écoutait sans pour autant l'écouter. Son esprit voguait au loin, tête sur l'épaule de Natale, main dans la sienne, elle rêvait de son jour, de leur jour à eux deux, et se plaisait à peindre mille et un songe, eux deux à Toulouse, eux deux en Gascogne cette même terre qui l'appelle et l'éloigne d'elle, eux deux sur les chemins, ou simplement dans leur domaine, peu importe le lieu finalement, tant qu'elle est à ses cotés.
Si sa famille n'était là à Toulouse, elle l'aurait sans doute suivi, si ses postes aussi, ses fonctions ne la maintenait ici, elle l'aurait suivi, et c'est là qu'elle réalise et comprend son envie à lui de quitter ce comté, qui pourtant est le nid de leur passion, le début d'une vie à deux.

Son regard s'attarde sur Nane, silencieuse, dont le regard pétillant disait long sur la félicité qui l'emplissait en ces instants même. Ses joues cramoisi, haussait son charme. Alchie crut ne l'avoir jamais vu aussi heureuse auparavant.

Ni les frémissements des prières, ni la voix forte et ferme de Baron, ne l'ôtèrent de ses douces rêveries, mais un vacarme provenant de l'arrière de la salle la fit tourner subitement, Cast..Sara? souffla-t-elle incrédule,
A la fois heureuseet troublée, elle les regardait s'avancer, heureuse de revoir son oncle Cast, troublée de revoir Sara., après cet incident; leur dernière discussion fut violente, et chacune se garda d'aller vers l'autre; des mois de silence sont passé, à en avoir le cœur pincé. Cast aurait-il réussi à convaincre la tante de venir? On aurait pu dire qu'elle était émue.

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Vois y de l'amour, même s'il n'y en a point
Eric.mrk
Les fidèles entonnèrent le credo... Eric demeura silencieux et vit du coin de l'oeil Garri qui le murmurait... Il sourit... Il était si fier d'être la a ses cotés, si belle, si fervente dans sa priere... Il écouta malgré lui, ému, ces voix s'unir dans cette prière et il souhaita en son fort intérieur que les coeurs et les esprits des hommes et des femmes s'expriment plus souvent a l'unisson et pas seulement en des lieux consacrés... Cela serait tellement mieux pour tous, au lieu du chacun pour soi et des ambitions personnelles de certains... L'union des ames et des coeurs, voila ce que Nane et MarcJ représentaient aujourd'hui et cela remplit Eric de joie et de bonheur pour eux et pour tous...
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Totoriflette_le_vrai
Enfin Albi se profilait au loin, dans son esprit d’enfant Toto regardait les yeux avides le paysage, le relief ondulé, des senteurs merveilleuses lui chatouillait les narines, il dévorait se paysage de regard. La chariote était composé de 8 personnes, dont sa tit mère Lili, et d’amis.
Mais avant de quitter Chinon, il avait attaché à l’arrière de sa chariote Conquête, cheval né d’une belle histoire entre les chevaux Galopain et Quinine, présent qu’il souhaitait offrir à sa tata pour ses noces. Malheureusement, un incident lors du voyage, rendit à Toto un esprit d’enfant dans son corps d’adulte.

Enfin la chariote s’arrête devant le grand bâtiment de pierre, Toto sauta au sol, et couru vers les portes, les poussant avec difficultés un grand bruit retentissant, un grincement qui lui fit mal aux oreilles portant alors sa seul main pour s’en boucher une.

Mais d’un coup, il entendit comme un chant, un sourire sur son visage se rappelant ses paroles, il resta au resta au milieu de l’allée et se mit à réciter aussi en chantant presque


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Il se glissa alors fier comme tout sur un banc, regardant tante Nane qu’était si belle.
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