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[RP] Par monts et par vaux, une exposition tournaisienne

Slamjack
C'est une gueulante qui stoppa la progression du Baron Noir. A l'affût, il observa autour de Lui et c'est ainsi qu'il aperçut, à l'entrée, une demoiselle en robe blanche, les cheveux blonds décorés d'une rose rouge. La voyant ainsi timide -et bonne- le Meister s'approcha de la belle qu'il ne connaissait pas.

Vous attendez quelqu'un?

Dans ce genre de mondanités, auxquelles il est habitué, aussi rustre soit-il, Slamjack se trimballe toujours avec deux verres. L'un pour Lui. Et l'autre, pour ce type d'occasion. Même s'il est souvent condamné à le boire Lui-même. Mais pas cette fois. Il tend le verre, rempli de bulles pétillantes, à Estrella, qui pétille elle aussi.

J'ai admiré quelques bustes... Dites-moi que le vôtre est parmi ceux-là!

Comme à l'accoutumée, le Général ne jugea pas utile de se présenter. Même quand il se trouvait devant le Roy de France. Slamjack devait estimer que l'ensemble du Royaume le connaissait, ou au-moins, le reconnaissait. Mais là, il fut bien obligé de décliner son identité afin de savoir comment la belle se nommait.

Je suis Slamjack de Lys-Lez-Lannoy.

Inutile de la gaver de titres et fonctions. Elle semblait déjà suffisamment intimidée. Et puis cela avait bien peu d'importance.

Et vous êtes?
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Général des Forces Spéciales Flamandes
Comte en Flandres, Seigneur en Lorraine et Chevalier en Bretagne.
Labre_dela_rosenoire
Comme promis a son amie, Labre se rendit a l'expo afin d'admirer les oeuvres et surtout voir le résultat du travail de Jo.

Un Verre a la main elle admiait chaque buste.
Tous avaient été travaillé de main de maitre et l'on pouvait voir que chaque modèle faisait preuve de grace.

Passant devant l'oeuvre de Jo, elle affichat un sourire, se rendant compte que finalament elle n'était pas si mal faite que ce qu'elle pouvait le penser.

Elle aperçu le maire en compagnie d'un homme qu'elle reconnue immédiatement malgrés le fait de ne pas l'avoir croisé depuis des années.

Ce bon vieux Slam.. il a pas pris une ride...

Enfonçant sa tête dans ses épaules, elle passa a proximité de lui en espérant qu'il ne la reconnaisse pas....
Elle l'avait largement entendu la traiter de "félon" durant sa jeunesse.

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Zeliejeanne
Il pavane le Staline, verre à la main, bouche pleine, il arpente, mondain parmi les mondains. Elle, placée non loin de leur œuvre géante, elle l'observe du coin de l'œil tout en discutant avec Eulaly, Rosa e t Labre, tenant elle aussi un verre à la main. Il s'approche de sa statue, elle ne le quitte plus des yeux.
Citation:
Bordel!

Elle détourne la tête, ne le regarde plus s'intéressant tout à coup à la conversation qu'elle suivait distraitement. Il ne doit pas voir qu'elle l'observait, comme si tout cela était naturel. Naturel de montrer ses seins ? Il ne s'énerve pas outre mesure, elle pense "Staline, tu n'es pas au bout de tes surprises".
Il avance, nonchalant près de la statue de leur filleule. Zélie se mord la lèvre inférieure, regarde Eulaly, ses yeux lui passent ce message : "Danger à bâbord". Elle lui prend la main pas solidarité.

Citation:
MAIS BORDEL!!

Les yeux plantés dans ceux d'Eulaly, tournant le dos à son époux, Zélie grimace, le bruit du verre cassé ne la rassure pas. Vrai que la beauté du corps de sa pupille ne peut laisser indifférent, homme ou femme, pour des raisons différentes.
Elle tourne légèrement la tête, il s'approche, passe devant le phallus géant et s'arrête, lisant l'inscription gravée.

Citation:
ZELIE JEANNE STALINE!!!! EULALY DE BAYLAUCQ STALINE!!!! VICIEUUUUUUUUSES!!!! PERVEEEEERSES!!!!! Si les rues étaient pavées de pals vous marcheriez sur vos séants!!!!

Eulaly qui s'inquiète :
Citation:
La suite du plan c'était quoi encore ?

Trop c'est trop. Zélie se redresse, fière, et du haut de sa petite taille, elle lui fait front.

C'était bien ton idée cette exposition ! Nous n'avons fait qu'y apporter notre touche personnelle. A Staline coquin, Staline coquine et demi ! C'est bien toi qui nous a appris ça. *puis plus doucement, presque sur le ton de la complicité* Tu pourras me refournir en glaise ? parce que, si je dois mouler tous les tournaisiens je vais en avoir besoin. Déjà qu'avec celui-ci, plus je le moulais, plus il m'en fallait. J'ai bien cru en manquer, pourtant tu sais, Khal m'en avait fourni une bonne quantité ....
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Gueni
On lui en avait parlé de cette satané exposition ! Parlé !? nan .. le mots est bien trop faible ! On lui en avait bourré le crâne ouais .. Mais c'est bien beau d'en parlé sauf qu'il faut indiquer ou c'est ! Parce que la Halle, c'est grand ! Et elle s'y est perdue, la jeune et belle femme. Car oui, malgré ses multiples tournée et ses nombreux voyages, malgré son vécu et son passé, malgré la balafre qui lui traverse le dos et sa peau pas très blanche elle demeure belle, même après avoir donné la vie à un ange. Un ange déjà là haut.

Il fallait la voire, à faire plusieurs fois le tour de la ville cherchant cette fameuse exposition, pourtant tout le monde en parlait ! C'était le sujet du jour, ou plutôt le sujets DES jours car cela faisait plusieurs jours que les villageois en faisait leur principal sujet de discussion ! En même temps, il faut l'avouer c'est l'une des idées les plus originales qu'elle n'ait entendue. Après toutes les exposition qu'elle ait vue, celle-ci est bien la plus authentique et la plus intéressante. Intéressante, pour la gente masculine surtout ouais ! Elle avait hâte de les voire, de voire des yeux ressortir à chaque buste exposé, sur la limite de tomber au sol par fascination. Et les mariés, et les conjoints qui devront quant à eux garder un regard chaste et pur sans trop le poser sur les poitrines, les belles poitrines exposées. Mais pire encore, il y aura pire que ça, il y aura les épouses jalouses ! Ou peut-être les époux ...

Heureusement, que l'artiste était là pour lui indiquez le chemin exact pour s'y rendre à cette foutue exposition ! Foutue, mais faut l'dire, très réussie. Les mouleurs s'y étaient donné à cœur ouvert et avaient en effet reproduit les bustes avec exactitude, surtout avec plaisir, elle pense. Elle pense qu'elle aimerait, elle aussi, se voire en double, se regarder longuement puis sourire à la perfection des traits de son visage, de la forme de sa poitrine généreuse et se dire : je suis parfaitement parfaite ! Mais elle se contentait d'admirer l’œuvre magnifique représentant la belle blonde avec qui on l'avait confondue. C'est vrai qu'elle est belle, elle aussi. Non, plus que ça, elle est magnifique. Et elle représente parfaitement, en plus de cela, la femme libre et amoureuse. Mais elle n'a pas envie d'être amoureuse, Gueni. Non, elle veut être libre.

La salle de réception était grande, divinement bien décorée et surtout très accueillante et pour une fois, elle se fit discrète la demoiselle.
Après avoir longuement contemplé la Eula immobile, elle prit du temps pour regarder les autres moulages pendant que tous, autour d'elle, parlaient entre eux. Jusqu'au moment ou elle posa les yeux sur une représentation plus particulières que les autres.


Oooh dieu .. à qui appartient ce machin ?

Soudain, un éclat de verre retentit dans la grande salle résonnante. Puis des paroles.. Des paroles gravement prononcées avec colères. Elle se retourna alors pour reconnaître Jo dans un état de fureur, criant les deux noms et les traitants de vicieuses et perverses. Elle s’avança alors vers la grande pièce maitresse de l'exposition, comme l'avait présentée Khal au messire inconnu qu'elle n'avait jamais croisé d'ailleurs ni même jamais entendu parler de lui, pour ajouter sur un ton tout calme après l'épouse de l'artiste :

En plus, il est parfaitement bien réussi, celui là !
--Coguin
(le forum bug pour mes pnj, il faut donc bien interpréter qu'il s'agit ici d'une intervention de "Félicien Geron et non de Coguin)


Félicien était revenu depuis quelques temps à Tournai en compagnie de ses deux éternels compagnons, Fulbert et Malaude, afin de s'occuper un peu des affaires de leur non moins éternel ami, Nevgerel. Ainsi après avoir soigneusement vérifié que la mauvaise herbe poussait librement dans l'ancien corps de ferme délabré que le flibustcuré, éminence bleu des flandres, seigneur des creux moussus, (y ostro, y ostro comme auraient dit les espagnols) n'avait jamais pris la peine de déclarer, ils avaient minutieusement contrôlé que l'intérieur se trouvait toujours exactement dans un état de bordel indescriptible, qu'il était possible de chiper une dizaine de bouteilles de vin à la cave et de les vider sans que le mal fût visible et qu'on pouvait encore y hurler en pleine nuit toutes les insanités que l'âme pouvait susurrer à l'esprit sans que le voisinage ne s'en offusquât.

Passées ces nécessaires retrouvailles avec le domaine familier, les trois compères n'avaient plus goûté qu'une seule impatience : l'ouverture de l'exposition.
Aussi bien ils se trouvaient parmi la foule frémissante à leur troisième tour de visite n'ayant échangé jusque là que de discrets avis d'experts sur la gamme des "haaan", "oh !", "rhâââ", lorsque Félicien, prenant une inspiration, émit ses mots ailés.


- Ce dessein de la femme qui est sans être par le truchement et s'oblige dans le libre sous le retrait, fait de seins au dessein de s'ignorer avec présence de part la grâce à laquelle il faut, je dis dans la ferveur du vouloir que je sais, qu'on ne peut plus de l'art même si et surtout non si jamais en plus parfois, car telle il est de la femme lorsque il se doit parmi dans l'espace et multipliée avec de la répétition qui se provient toute seule accompagnée sous de la différence tandis qu'on se revient que les seins font l'essaim tel qu'on en voit de la foule avec des gens dedans.

à quoi Fulbert non moins ému répondit

- Ddd-des nini, dd-des ninini, des nibards par milliers ! c'est dédé, c'est dédé, des nibards partout ! que je peux, que je si ! que je peux les toutout les toucher ! que, quequeque c'est les nini, les ninini les nibards de toutes les ff les fff les fifi, les plus belles files de Tournai !

Et sans plus attendre Fulbert repartit mais en courant dans l'exposition avec pour unique objectif de traverser la galerie et de lécher chaque sein en une seule passe.

Malaude qui était restée silencieuse jusque là fut prise alors de ce sourire si singulier qui faisait annonce pour les habitués d'une imminente fourberie.
Elle circula parmi les badauds, en choisissant uniquement les mâles isolés et par fin susurrements les convainquit bientôt de lancer très prochainement le cri de chasse "Gare aux nibards !", tandis qu'elle fermerait les portes de la galerie.
Kolopi4
Le Prévôt suivait le Général, comme à son habitude tel un garde du corps. C'était tout de même de sa responsabilité la sécurité intérieure. Quel honte il aurai si une tentative d’assassinat avait lieu contre Sa Grandeur alors qu'il était en charge. Kolopi s'en voudrait pour l'éternité. C'est pourquoi il restait à l'affût. Cela ne l'empêchait pas pour autant de regarder avec attention chaque poitrine avec attention.

D'ailleurs, il crut en reconnaître une ou deux dont les artistes restaient anonymes. Il en avait vu des seins dans sa vie. Lorsqu'il passe devant la statue de Jo, Kolopi fait un mouvement de tête approbateur en ce retournant vers ses deux soeurs d'armes qui étaient un peu plus loin. Il continuait la visite, avec comme musique de fond non pas des musiciens mais les cri d'un Staline en colère.
Gosselin
Gosselin n'était pas un féru de nature morte. Au mieux pouvait-il admirer une belle chope bien pleine d'une cervoise débordante de vitalité mousseuse, mais c'était tout. Les corbeilles de fruits et autre pichets vaguement grisâtres le laissaient de marbre. Aussi était-il sceptique lorsqu'il entendit parler d'une exposition dans la ville où il était fraîchement débarqué. Une exposition ? Une moue dubitative habitait encore les traits de l'homme. Il marchait d'un pas mou vers le lieu qu'on lui avait indiqué, les mains dans ses poches salies, triturant les restes qui encombraient les fibres du tissu. Il avait cru comprendre qu'il s'agissait d'une exposition de moulage de seins, quelque chose à voir avec la fierté féminine des Tournaisiennes... Dubitatif, vraiment. Depuis quand les femmes acceptaient-elles de se dénuder pour se faire exposer sur la place publique ?

Il sortit une main de sa poche, se frottant le nez du dos de sa mimine et releva les yeux du chemin avalé par ses pieds. Il approchait de la grande salle de réception et il se demandait bien quel était véritablement le thème de cette exposition dont tout le village parlait depuis maintenant un moment. Peut-être étaient-ce des peintures de nus... C'est ce qui se rapprochait le plus de cette histoire de poitrine.

Plus il se rapprochait du lieu, plus il était curieux de découvrir ce que renfermaient les murs élevés devant lui. Il lâcha ses poches pour tirer un peu sur sa chemise débraillée et se passa une main sur la nuque par réflexe, achevant le passage dans ses cheveux qui s'ébouriffèrent par là même. Maintenant, il fallait faire bonne figure et ne pas oublier de saluer les gens qu'il avait déjà rencontrés auparavant, au détour d'une chopinette.

Alors qu'il pénétrait dans l'imposant bâtiment, un voix s'éleva, grondant il ne savait qui. Les sourcils levés, il regarda autour de lui, sans trouver l'objet de la discorde. Il finit par hausser les épaules et s'avança dans la grande allée, ses yeux tombant sur les sculptures. Ca n'était pas possible ...


" Nom de ... Mais c'est un sein ça ! "


Il pointa du doigt une des sculptures, sa peau entrant au contact de la pierre froide. Surpris, il sursauta et s'excusa par réflexe.


" Veuillez m'excuser ma Dame, la surprise m'emportait ... Vous êtes charmante ceci dit, soyez-en sûre ! "

L'instant d'après, il fronçait les sourcils en réalisant qu'il parlait à un caillou et secoua la tête, dépité. Quel empoté ...

Il reprit son chemin, déambulant entre les bustes effectivement particulièrement réalistes, l'oeil gourmand, tant du spectacle de la chair que de la finesse du rendu. Il commençait même à en apprécier le côté artistique, oubliant quelque peu la nature humaine de ce qui paradait sous ses yeux. Ici, une courbe retenait son attention, là un morceau de voile. Il finit par trouver un buste lui plaisant plus que les autres et s'accouda à l'énorme phallus pour observer la poitrine plus à loisir. Inconscient de ce sur quoi il reposait son bras, il admirait les courbes des seins de pierre, absorbé.
Keewy
Le jour J avançait à grand pas. Son compagnon avant qu'elle parte faire le tour des Flandres avait tenu à la prévenir qu'une exposition serait faite en tournai à son retour, et que l'idée de ce projet était venue de lui et de son ami JO. Et quand il s'agit d'une idée de JO ou de Nev , vous pouvez être certain que forcément il y a quelque chose de louche et par conséquent Kee, non curieuse à l'accoutumée avait du utiliser de son charme pour tirer quelques renseignements et là elle avait regretté de lui avoir demandé.

Khal lui avait avoué qu'il allait mettre son talent de sculpteur pour la ville. Elle le connaissait son talent mais cela avait été du domaine privé, intime et là le fait qu'il puisse mouler d'autres femmes comme elle auparavant, l'avait fait sortir de ses gonds et sa colère ou du moins son incompréhension à vouloir lui manquer de respect à créer des oeuvres pareilles, car elle savait, elle avait ressenti ce que l'argile avait fait sur son corps, étalée par les mains de son compagnon, personne ne pouvait y rester de marbre, les effleurements meme artistiques provoquent des sensations qui peuvent etre incontrolables.

Elle avait pris sur elle, pris le temps de la réflexion lors de son passage à Gent, elle avait été infecte, lui si sérieux, si professionnel, si talentueux , elle ne pouvait pas lui interdire de mettre son talent à profit de la ville, de lui interdire d'exercer sa passion.

Enfin, voilà le jour de l'inauguration était celui ci. Elle se para de sa plus belle jupette et de son bustier coordonné et arrivant quelque peu en retard, fit une entrée discrète, saluant d'un signe de tête les invités et cherchant du regard le maitre de la cérémonie. La salle était remplie, l'exposition était un franc succes et rien que pour cela, sans avoir encore vu les oeuvres elle était fiere de son compagnon.
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Jade.lucy
Bella regardait timidement chaque buste de loin. Ces poitrines ressemblaient à tant d'autres comme celle de sa mère, sa voisine, et qui sait la sienne peut être.
Alors qu'elle restait sagement dans le coin, un homme vint l'accoster.


"Pardon ? Oh...Non, je n'attends personne en particulier, je... On va dire que je découvre cette exposition seule..."

Elle regardait le verre qu'il tendait gentiment vers elle. Devait-elle refuser ? Devait-elle accepter ? La Blondine ne savait pas ce qui se cachait à l'intérieur de ce verre qui pétillait doucement. La couleur lui plaisait néanmoins. Tendant la main timidement vers le verre qu'il offrait, elle lui offrit son plus beau et sincère sourire.
Un homme l'avait remarqué, pour quelle raison ? Elle semblait comme les autres jusqu'à sa phrase...


"J'ai admiré quelques bustes... Dites-moi que le vôtre est parmi ceux-là! "

"Peut être, peut être pas... Auriez vous voulu ?"

Là, à ce moment là, elle ne savait pas que que le Comte des Flandres était devant elle, et encore moins qu'un homme si puissant pouvait s'intéresser à ce bout de femme à peine sortie du couvent.

"Enchantée Sire... Je me nomme Bella ou Estrella, à votre guise, je ne porte pas ces deux noms à la fois..."


C'est vrai que même après la déclinaison du prénom de l'inconnu, rien ne tilta dans sa petite tête... Après tout, cette femme ne connaissait rien de ce monde là qui l'entourait...

Un petite sourire en buvant une gorgée.

"Cette exposition vous plait ?"
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Kolopi4
Kolopi était pas loin du Général lorsque celui-ci s'adresse à la jeune femme qui regardait seule les oeuvres de ses amis Jo et Khalida. L'Prévôt connaissait ce regard qu'avait le Comte lorsqu'il voit une jeune femme de son goût. Lui il était la que pour sa sécurité il se foutait bien de ce qu'il fessait dans son lit le soir.

Mais Kolopi ne peut s'empêcher de dire à la demoiselle qui se trouvait devant lui qu'elle s'adressait au Comte des Flandres.


Demoiselle, ce n'est pas Sire, mais bien Meister. Vous vous adressez quand même à sa Grandeur Slamjack, comte des Flandres.
Kpdp
Kpdp passa voir les oeuvres dont on lui avait tant rabaché les oreilles.. En entrant, il ne pu s'empecher de sourire en reconnaissant bien la patte de maitre sly derriere cette exposition..

Il etait en train de penser que nev manquait dans le tableau lorsque il aperçu son chef. Celui ci sur le qui-vive, etait quelque peu ridicule a emboîter le pas du général comme si sa vie en dépendait. Dediou le baronl n'etait point une frèle jeune dame incapable de se défendre. Quoi qu'il en soit la scène l'amusait, et il s'abstient bien de commenter.

Il s'empecha de soupirer a la derniere remarque mieleuse du prévot pour cirer les bottes du grand patron et se contentat de le saluer respectueusement a son passage.
Blanche30
Comme promis, Blanche passa faire un tour à l'exposition. Elle sourit en regardant les bustes. Les moulages étaient très beaux. Elle aurait bien aimé poser également, mais le "Crève" de Skal à Khalidia l'avait vaguement refroidie. La menace de se faire mouler lui aussi également. Elle chercha en vain le buste de Dina, qui lui avait dit avoir participé. Sans doute dans ceux inconnus. Enfin elle arriva devant la moulure faite par Zéliejeanne. Elle rit, voici une oeuvre qui lui plaisait bien plus que les autres !
Beaucoup de monde était venu, Blanche se fit donc discrète. Elle remarqua Slamjack en train de séduire, si on pouvait appliquer ce terme à son comportement. Peut-être pourrait-on faire un article sur les conquêtes du Comte ! Son attention fut détourné par la statue d'Eulaly. Elle était sublime, le fragile bourgeon avait fait place à une fleur assurée.
Décidément, l'exposition était réussie ! Elle féliciterait ses instigateurs plus tard.

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Arminius
arminius en voyage arriva enfin a tournais , il avait entendu parlé d'une exposition , on lui en avais vanté les mérite .
il traîna ces guêtres dans le lieux dit jusqu'ici tous était normal, belle entrée bien décoré ,il aimait bien les fleurs qu'il y avait devant , il passa l'entrée , il y avait quelques personne qui se baladais avec des verres dans les mains , un magnifique buffet et les sculpture assez étonnante .
il se dirige vers le buffet se sert de quelques encas et se sert de ce breuvage , puis se dirige vers ces sculpture , il n'aurais pas pensé a cela quoique il trouvais fort charmant c'est buste dénudé .
il était marqué regardé avec les yeux pas avec les main et il fit le tour de chaque buste avec plaisir....
il partit enfin pour pouvoir faire le tour de la ville.
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ma vie est clouée dans le temps avec mon compagnon d'infortune fourbe .
Zeliejeanne
Dimanche matin, sortie de la messe qu'elle ne manquait jamais avec son époux. Ils avaient l'habitude de passer en taverne, mais pas cette fois ci. Ils avaient chacun prévu une occupation différente. Elle ne savait pas pour son mari mais elle avait promis d'aller épousseter les bustes, ce qu'elle fit avec application.
Celui qu'elle avait moulé de mémoire ... devinez qui était son modèle ?? Zéljea n'avait pas trop le choix dans ses souvenirs ... mais bon passons !
Donc sa réalisation avait été mise à l'abri .. trop impudique ? non, trop de jaloux. Elle se mit au travail en chantonnant :


Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
C'est le plus beau des papayou lélé
Que j'ai vu depuis des années
Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
Garde le pour moi ne le montre pas
Ça f'rait des jaloux dans le quartier
Ça f'rait pleins de jaloux qui n'en n'ont pas du tout
Ça f'rait pleins d'envieux qui n'en ont pas chez eux
Ça f'rait pleins de méchants qu'en ont pas de si grands
Ça f'rait pleins de badauds qu'on rien vu d'aussi beau
Et qui diraient partout c'est un drôle de joujou
Il faut pas le montrer du tout, non ! *


* de Carlos

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--Un_souffle
Un p'tit courant d'air qui ne manque pas d'air en courant dans les coursives qui se suivent,
un p'tit courant d'air qui folâtre entre les plâtres,
un p'tit courant d'air qui se glisse et s'immisce,
un p'tit courant d'air... déjà repartit.

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