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[RP] Pourquoi ? Elle est trop jeune !

Killijo_de_denere
Le toit de la taverne lui est tombé sur la tête. Elle s'est mariée. Sans lui. Sans lui demander son avis. Sans rien d'ailleurs. Un coup de foudre. Dans un bordel. Il rumine ce qu'il vient d'apprendre tandis que son cheval galope. Il le fait courir plus vite pour fuir ce malaise mais rien n'y fait. Il devrait aller sur Vannes pour la rejoindre, comme il l'a dit, mais il n'a pas la force, pas le courage tout de suite de la voir à ses côtés. Comment a-t-elle osé ? Il sait qu'il était absent, qu'il était malade, mais il aurait tellement voulu que cela se passe autrement. Et l'autre... le bellâtre innocent... Il lui appuie sur le nez, il lui en tombera du lait ! Comment a-t-il pu ? Où a-t-il été éduqué cet enfant-là ? Et de lui raconter leur rencontre, dans un bordel, il accompagnait un ami... Mais bien sûr ! Ce genre d'excuse, il la sortait à sa mère en lui expliquant avec force arguments qu'ils s'étaient perdus. Le tout étant de prendre un air bien sincère. Il avait tenté de déceler quelque chose de bon dans cet individu, mais il n'avait rien trouvé. Rien qui lui dise qu'il en valait la peine. Rien qui lui disait qu'il méritait peut être une chance. Juste un duel. A mort. Sentir sa lame s'enfoncer dans son ventre, regarder la vie s'échapper de son corps...

Il s'est arrêté à une taverne. Inconnue. Il ne sait même pas où il est. Il sait juste que son cheval est fatigué et qu'il a besoin de repos et de foin. Il restera donc ici quelques heures. Il entre dans la taverne après avoir confié son cheval au palefrenier avec quelques recommandations. Intrépide n'est point un cheval que l'on offense. Ou on ne le fait qu'une fois. La salle est assez calme, abritant quelques buveurs esseulés. Il s'installe lui-même à une table, isolée et commande un grand pichet de vin. Piquet ou vin de qualité, il s'en moque, pourvu qu'il ait l'ivresse. Son amie Fibi, sa complice de beuvrerie est loin. Il n'a personne avec qui trinquer et vider un tonneau. Il commence à vider un pichet. Puis un autre. Et encore... Il rumine les paroles, le bordel, le mariage, le coup de foudre... Il a toujours cette envie de le transperser. Mais sa fille lui en voudrait à mort... Il la perdrait définitivement s'il assouvissait sa pulsion. Alors il boit.

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Chez moi
Aphrodite....
Je chevauche à un rythme effréné.
Non pas un homme mais bien un cheval que j’ai « emprunté » à un pauvre type qui roulait sous la table.
Les larmes baignent mes joues, les sanglots secouent mon corps non pas œuvre du vent qui fait voler mes longs cheveux blonds battant mes flans mais bien celle d’un homme.

Ou peut-être simplement une accumulation de choses qui ont fini par en faire une montagne et aujourd’hui le venin s’insinue dans la brèche ouverte pour contaminer le tout.
Les larmes sont essuyées rageusement du revers de la main tandis que le pied est mis à terre le cheval abandonné et la porte de l’établissement poussée.
Ou je suis ? C’est une bonne question à laquelle je serai bien en mal de répondre ayant pris la fuite sans demander mon reste.

Ce que je fuis ? Un homme.
Un homme rencontré depuis une semaine et qui, dès notre deuxième rencontre susurrait qu’il m’aimait.
Risible non ? Je ne demandais rien aux hommes avec qui je couchais si ce n’est de ne pas m’aimer. Je n’ai pas besoin d’amour, j’en veux pas, j’ai Niallan ça me suffit. On ne s'aime pas c'est bien plus complexe et nous ne cherchons pas à savoir.
Qu’on puisse m’aimer me faisait peur, peur que l’on m’enchaine et que l’on me vole ma liberté si chèrement gagnée.

Ah l’intérieur c’est une ambiance neutre que je découvre au travers du voile de mes larmes, un peu partout, égarés des buveurs invétérés qui passeront probablement la soirée et la nuit ici. Finalement je jette mon dévolu sur une table autour de laquelle séjourne un brun plutôt séduisant.
J’ai besoin de me changer les idées.
Je veux un homme.
Juste pour la soirée et pour m’amuser. Pour oublier aussi.
Pas de contrainte et surtout, pas de « je t’aime ».
Voilà c’est ça je vais le séduire me divertir et ainsi ça ira mieux.
Résolution prise un sourire vient étirer mes lèvres, les yeux sont essayés effaçant toute trace de leur précédent forfait et de m’avancer d’une démarche gracile vers la table du brun qui visible est en train de se saouler, prenant place en face de lui.

Faut pas boire tout seul, à deux c’est plus marrant !


Le tout est lancé d’un ton jovial, joignant le geste à la parole me saisissant du pichet pour en boire une lampée.
Finalement il promet être un divertissement intéressant…
Killijo_de_denere
Il lève le nez, un peu surpris, encore plus par la présence d'une femme ici, seule. Il ne lui semblait pas avoir vu d'autres filles qui restaient à l'étage pour le plaisir des clients. Il la détaille rapidement, jeune, fine, gracile, elle est bien jolie, la petit blonde. Il la regarde boire au pichet avec un demi-sourire. Il appelle le tavernier et lui demande un autre vin, pas la piquette des clients et deux verres. Un grand pichet.

Nous avons grand soif, dit-il en regardant sa compagne de beuvrerie fraîchement arrivée. Il ne s'occupe déjà plus du tavernier qui est parti promptement chercher du bon vin. Un bon client qui va payer rubis sur l'ongle, ici, ça ne court pas les chemins. Le palefrenier lui a dit que c'est un beau cheval qu'il a à l'écurie. Au pire, s'il ne paie pas, le cheval lui paiera bien plus que ce qu'il va lui servir. Killi l'invite d'un geste à s'assoir, il se lève et lui tend la main avec un sourire.

Killi pour vous servir, damoiselle.

Il a remarqué qu'elle a les yeux qui brillent. Elle semble avoir pleuré. Qui oserait attrister un agneau pareil ? Cette jeune fille est faite pour les baisers et les câlins, pas les larmes et les disputes. Le tavernier est déjà revenu en baissant la tête, bossu prêt à recevoir son coup de pied. Killi le renvoie d'un geste. Il assure le service lui-même. Il est bien imbibé, mais il peut encore tenir la route. Il a repris l'entraînement avec la dernière visite de son amie. Il tend un verre à la jeune damoiselle.

Buvons à cette vie qui nous donne tout de même des petits plaisirs.

Il se penche un peu plus près pour lui demander sur le ton de la confidence.

Etes-vous perdue ? Dois-je vous ramener en votre demeure familiale ?

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Chez moi
Aphrodite....
D’abord la surprise se lit sur le visage qui me fait face.
J’aime bien surprendre.
Un homme qui a de la suite dans les idées. Si en plus il me prend par les sentiments en commandant à boire…
Une invitation, une main tendue, serrée et les présentations de se faire. Aucune hésitation lorsque mon soit disant prénom passe la barrière de mes lèvres.
Je n’ai jamais porté mon prénom originel, mais un stupide surnom donné par des géniteurs tout aussi idiots et pourris jusqu’à la moelle. Mais depuis la mort de ma jumelle, depuis que je suis persuadée que nous partageons un corps pour deux âmes je porte son prénom et me présente sous celui-ci.
Seuls ceux qui me connaissent vraiment, seuls mes amis savent. Les autres ignorent et c’est mieux ainsi.

Liu, pour vous tenir compagnie lorsque vous buvez. Il est dangereux de me dire que vous êtes la pour me servir … très dangereux.

Le tout agrémenté d’un sourire pétillant et légèrement charmeur.
Oui oui je vais séduire cet homme parce qu’il me plait, c’est un gentleman enfin il semble en être un. Je me demande pourquoi il boit tout seul.
Personne ne devrait avoir le droit de boire tout seul.
C’est tellement triste.
Une pensée est adressée à l’Écossais qui me zieute de son nuage la haut. Ou d’autre part je ne sais pas. Je sais juste qu’il continue de veiller sur moi. Et j’espère qu’il est fier de ce qu’il voit.
Je ris. Parce que cet homme en face de moi est drôle. Les autres ils boivent à des rencontres. Lui il boit au plaisir. Et moi je vais boire avec lui.
Je le regarde amusée un sourire taquin errant sur mes lèvres.

La vie n’est pas très gentille avec vous si elle ne vous donne que de petits plaisirs… ou alors vous ne rencontrez pas les bonnes personnes.

Il s’approche. Il parle. J’écoute. Je souris.
Perdue ? Moi ? Oui il a raison je suis perdu dans tous les sens du terme. Me ramener à la demeure familiale ? Là j’avoue que je tique.
Je fais donc si jeune que cela pour avoir besoin encore d’être sous une tutelle quelconque ?

C’est mon cheval qui m’a conduit ici. Enfin celui que j’ai emprunté… Donc je suis à moitié perdue. Je suis indépendante pas besoin de me raccompagner je ne suis plus une petite fille, enfin selon vous je dois en avoir l’air. – petite moue boudeuse - Et vous, dites-moi – je me penche plus encore en avant jusqu’à frôler son oreille – pourquoi buvez-vous tout seul ?

Je me redresse pour lui sourire et siroter mon verre.
Killijo_de_denere
Son sourire est assez ravageur. Il lui sourit à son tour quand elle lui parle de la servir. Après tout, servir une damoiselle comme elle... Intéressant. Il a nombre d'idées sur la question. Elle continue à le taquiner, il apprécie déjà fortement sa compagnie. Il en a oublié sa colère et ses envies de meurtre. Pour l'instant. Elle est adorable, cette jolie blonde qui semblait si triste en arrivant. Il la regarde avec un demi-sourire lorsqu'elle parle de rencontrer les bonnes personnes pour les petits plaisirs. Son esprit vagabonde déjà sur les petits plaisirs qu'il pourrait lui faire. Elle semble offusquée de sa proposition. Pourtant, d'ordinaire, les dames ont plutôt tendance à bien lui signifier qu'il les raccompagnera seulement, et qu'il n'y aura rien de plus. Au début seulement. Il lui répond d'un air tranquille.

Vous pourriez être mariée, avoir une famille à vous qui vous attend à la maison, que sais-je ? Je vous rassure, vous n'avez point l'air d'une petite fille.

Il a bien observé ses formes, elles sont loin d'être celles d'une enfant. Il les aurait bien visitées avec les mains aussi, mais il s'abstient. Pas ce soir. Il a trop mal. Mais ses yeux disent le contraire de ce que sa tête dit. Ils la parcourent, brillants à l’idée d’en voir plus.

Je serais un muffle de vous laisser repartir seule sans escorte dans cet endroit isolé. Qui sait ce qu'il pourrait vous arriver ?

Il s'approche de la damoiselle et lui chuchote. Il ressert les verres et se rapproche pour continuer comme elle lui parlait. Le parrallèle l'amuse.

Je n’ai trouvé personne d'aussi charmante pour boire avec moi.

Lui parler de son coeur brisé ? Pas tout de suite. Il a l’habitude de confesser, mais point de l’inverse. Il n’a point bu assez pour cela. Il se penche pour lui murmurer

Quel est le goujat qui fit pleurer ces beaux yeux ?

Pour avoir consolé nombre de donzelles, en avoir profité ou pas, les avoir réconciliées avec les hommes et peut être plus encore, il a perçu dans son regard qu'elle semble bouleversée. Certainement un fiancé qui l'a déçue. Pourtant, ce n'est pas faute de les prévenir.
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Chez moi
Aphrodite....
Mais yeux s’égarent sur cette bouche que j’ai plus qu’envie de gouter , suivant la courbe délicate de ses lèvres puis ma vision se trouble et tangue ressentant déjà les premiers effets de l’alcool.
Je suis sûr que si quelqu’un nous observe ce qu’il verra se résumera à peu près à cela : un homme et une femme qui semblent tous deux porter la misère du monde sur leurs épaules, regard triste, depuis peu enflammé par le désir, buvant tel deux dépressifs et alcooliques pour oublier.

Mais oublier quoi ?
Que veut oublier mon nouvel acolyte de beuverie ?
Parce qu’il ne fait aucun doute qu’en buvant ainsi, en se saoulant, il cherche à fuir, à noyer par un fluide plus puissant que les larmes le chagrin qui vient du cœur.
Mais d’abord viennent ses questions ; et il faut y répondre.
A commencer par le mariage… Le mariage ce que je fuyais justement en venant ici. Alors comment pourrai-je l’être ?
Mais pourquoi ne le serai-je en effet pas ? je suis plus qu’en âge d’être mariée et à ce stade de ma vie je devrai être une épouse modèle et avoir donné déjà plusieurs enfants à un mari que je n’ai pas et dont je ne veux pas.
Des demandes en mariage y a pas e soucis j’en ai eu.
Elles se sont toutes soldées par un « non » de ma part et un échec cuisant pour les fous demandeurs.
Peut être est-ce la bague à mon annulaire. Seulement un connaisseur devrait savoir que c’est à l’annulaire gauche qu’elle signe et signifie le lien marital et non au droit comme je la porte.
Il est temps d’éclaircir ma situation aux yeux de ce brun plus qu’attirant.

J’avoue être plus que rassurée que vous ne me preniez pour une fillette, je me serai vexée s’il en avait été ainsi.
Quant à ma condition et bien je ne suis pas mariée et ne veut pas l’être, je pense avoir le temps encore, de plus je n’ai pas l’envi de détruire mes plus belles années avec une chaine autour du cou ou plutôt du doigt devrai-je dire…


A nouveau je me penche de sorte que mes lèvres frôlent son oreille à chaque mot articulé.

Je suis ravie de m’être perdue en votre compagnie dans ce cas…


Je me redresse légèrement de sorte à pouvoir le regarder à nouveau sans toutefois trop m’écarter.

Ce n’est qu’un demi-gougeât qui attend simplement trop de moi comme par exemple le mariage que je fuis comme la peste.
Vous savez, maintenant à vous de me dire ce que vous cherchez à noyer dans cet alcool qui ne vous sera que d’un piètre secours, alors dites-moi, vous ce que vous tentez de fuir ?


Mon regard est doux, prête à l’écouter, ce soir sera la soirée confession et plus si affinité.
Killijo_de_denere
Il reste très proche d'elle pour parler, sentant son souffle contre son oreille, son envie grandissante de tourner la tête et de goûter à ces lèvres qui le frôlent. Il écoute ce qu'elle lui explique. Elle aussi n'a pas envie d'être punie et attachée à vie ? Quelle belle rencontre, une blonde magnifique qui elle aussi a envie de noyer son chagrin, et peut-être même d'être consolée dans les bras d'un coq bienveillant. Il glisse sa main sur son bras en l'écoutant, la laissant errer tout le long en douceur, tandis qu'elle lui parle. Il est plus concentré sur la blancheur de son bras et du goût qu'il doit avoir, tout comme son cou quand il entend le mot "demi-goujeat"... C'est comme si elle parlait de lui. Il lui semblerait même entendre la voix de sa fille. Lui dire qu'il ne changera jamais et qu'il continuera à séduire tout ce qui passe sans sentiment. Qu'il n'est pas capable de garder une femme. Oui, et alors ? Il est vrai que chez lui, c'est un réflexe de courtiser, comme de respirer. Il voit une femme attrayante, il la désire déjà, la sentir céder à ses flatteries, fonde sous ses baisers... Il tente de revenir un peu à la raison et de se comporter en être civilisé au lieu de se jeter sur elle, même si sa pulsion première vient le titiller Et ce n'est pas en buvant qu'il va réussir à se controler. Il tente de se reprendre intérieurement, mais il n'est qu'un homme. Et la chair est faible, surtout quand il regarde cette poitrine attrayante. Il laisse le combat intérieur se dérouler à l'intérieur de lui, le coq rabattre le caquet de l'infime partie de sagesse en lui. Mais l'image de sa mère arrive à son esprit.

Killijo de Dénéré, je suis ta mère. Cesse de penser avec ton deuxième cerveau.

L'arme fatale. Le coq part, la crête basse, vaincu. C'est po juste. Elle était arrivée tel un magicien avec une longue barbe blanche, un bâton et un grand chapeau pointu et repartie de la même manière. Action - réaction. Suivant... Le Killi avait rangé sa main, sur sa jambe, qui trépignait d'y retourner. Il avait repris une gorgée de bière, parce qu'on va quand même pas se laisser aller. Et il l'avait regardée assez longuement. Que lui dire ? Qu'il avait les mains en sang parce qu'il avait abîmé plusieurs tables au lieu de sa fille ? Qu'elles le faisaient encore souffrir, mais qu'il était bien prêt à les soigner par quelques caresses féminines. Il n'a point pris le temps de les envelopper dans un tissu. Il est parti directement. Il devait aller loin. Ici, il les trempera dans l'eau. Plus tard. Il a bien mieux à faire tout de suite. Il se penche et lui murmure. Ben oui, on peut se confier en restant tout de même très près de la confidente, non ? Avec une main sur le sein, ça rapproche. C'est une manière de communiquer. Il l'expliquera un jour. Il oublie l'idée d'aller caresser le galbe qui se présente tout près de lui, y résistant à grand peine, mais... Sa fille, sa mère... Plus fortes que sa douleur.

C'est une fille qui me cause cette tristesse. Vous les femmes, vous savez nous blesser bien plus par les mots que par les armes.
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Chez moi
Aphrodite....
Je frissonne légèrement au contact de la main qui parcourt mon bras, laissant l’ébauche d’un sourire en coin naitre sur mes carmines.
Là à cet instant précis si le pervers du coin avait accès à mes pensées il serait rassasié pour des lustres !
Parce qu’en ce moment dans ma caboche de blonde il y a tout un tas de choses que j’aimerai faire à ce gentil individu qui me caresse le bras en remerciement pour tous les verres qu’il m’a offert. Oui beaucoup de choses et d’ailleurs… très peu aristotéliciennes. Aucune je dirai même.

A force de séduire et plaire aux hommes s’en était devenu un réflexe pour moi ou plutôt une partie intégrante de ma manière d’être en présence du sexe opposé. Ce qui fait que je pouvais me retrouver à dragouiller sans même m’en rendre compte et je dois dire que souvent c’était les femmes de ses chers messieurs qui me rappelaient à l‘autre en m’injuriant comme elles savent le faire.

Oui parce que si je ne l’ai pas encore dit et bien je vais le faire maintenant, je raffole des hommes mariés. J’aime être leur maitresse, j’aime le risque que notre relation soit découverte, j’aime exceller dans un domaine ou leurs femmes se font fades et plates.
Mais revenons-en à nos moutons ou plutôt à ce bel homme qui n’a d’ailleurs rien d’un mouton …
Ce soir je suis d’humeur joueuse mais aussi à l’écoute, (qui sait je pourrai peut être entendre quelque chose de croustillant …).
Il semble en intense réflexion ou… combat contre lui-même ?
Il avait fallu que je tombe sur le seul torturé du coin ! Mais au fond c’était pas plus mal, car, pour les desseins que j’avais en tête concernant mon avenir et mon devenir si ce soir je devais me confier en étant trop saoule il ne serait point choqué par mes propos ombrageux.

Lorsque sa main quitte mon bras pour prendre place sur sa cuisse je laisse transparaitre sur mon visage une moue réprobatrice, et, alors que je le sens sur le point de se confier je me mets en position prête à tendre l’oreille à la confession qui tarde à passer la barrière de ses lèvres.
Ah. Une femme. Tsss je m’assène une claque mentale.

Pauvre saute tu aurais dû t’en douter quand même ! Quand une femme pleure c’est à cause d’un homme et quand un homme noie son chagrin c’est qu’il est cocu ou qu’il vit un amour à sens unique.
Alors laquelle des deux options pour notre inconnu ?
Je pense que tu réfléchiras mieux confortablement installée ma belle …
Moui… pas faux.

Le sourire se fait espiègle alors que je relève la deuxième partie de sa phrase.

Il faut bien que nous puissions vous atteindre par quelques moyens… Vous savez aussi très bien blesser sans armes vous, les messieurs.
Une fille qui vous cause cette tristesse ? Vous êtes donc amoureux ?
Racontez moi donc ce qui cause votre douleur …


Et tout en disant cela je me glisse sur ses genoux, passant un bras sur ses épaules pour lui caresser la nuque, sincèrement à l’écoute de son malaise et, confortablement installée pour l’entendre me conter ses malheurs et très éventuellement le consoler.
Killijo_de_denere
La jeune dame ne sera pas aussi sage que lui, il lui semble qu'elle a apprécié cette main qui se promenait sur son bras. Son sourire en dit long. Il sent un bras passer autour de ses épaules, une main délicate qui passe dans son cou, la jeune fille qui arrive sur lui... Oh mes aïeux... Aristote, pourquoi me fais-tu cela, tu veux te rincer l'oeil, toi aussi ? Il passe un bras autour de sa taille, l'autre main trouvant naturellement sa place dans son dos, à écarter les lacets de son corsage. Il l'attire toujours vers sa bouche pour continuer à lui murmurer des choses, puisqu'elle veut qu'il lui raconte sa douleur. Il ne peut retenir un sourire néanmoins. Amoureux ? Lui ? Il a même oublié le concept. Il ne peut tomber amoureux. Il a mis une cuirasse inviolable et ne laisse y entrer que ses filles ou les femmes de sa famille. Les autres lui importent peu.

La fille que j'aime trop est en fait issue de mes entrailles, enfin si l'on peut dire ça ainsi... Il s'agit de ma cadette.

Il réussit à dénouer le lacet du corsage dans son dos, en résistant à la douleur autant qu'il le peut, mais certaines échardes sont enfoncées bien loin. Il préfère se préoccuper de ce cou qui est offert à lui, tendre et délicat, appelant les baisers et les caresses.


Cette jeune dinde a décidé de se marier, et d'épouser le premier venu...

Il ponctua sa parole d'un baiser. Puisqu'elle l'avait déjà condamné, au moins, il saurait pourquoi il avait pris sa peine. Même si ses dernières frasques en Bretagne n'y étaient certainement pas étrangères non plus. Avant la pénitence, n'avait-il point le droit au repas du condamné ? Il avait sur le genoux de quoi le rassasier. Pour ce soir tout au moins. Il posa la tête contre le buste de la belle pour se consoler de cette douleur d'avoir perdu sa petite fille dans les bras du premier rustre mal dégrossi venu.


Vous au moins, vous ne ferez point cette stupide erreur...

Il remonte pour baiser la naissance de son cou, savourant par la même occasion le velouté de sa peau en laissant ses lèvres posées dessus.


La vie est pleine de plaisirs à déguster sans pour autant s'enchaîner...

Pourquoi était-il là ? Ses mains ? S'il ne les bougeait pas trop, elles arrivaient à le laisser tranquille. Et cette jolie blonde... Elle pleurait, oui.


Ne laissez point un homme vous enchainer. Aucun n'en vaut la peine. Et nul ne vaut vos larmes...

Pourquoi remettre ça sur le tapis ? Réflexe de diacre ? Peut-être. Vouloir consoler à son tour ? Certainement. Ne plus rien raconter ? Assurément.

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Chez moi
Judithe
Je suis contente.
Je n’ai en rien perdue ma soirée qui commence à peine.
J’ai trouvé un charmant brun qui paie à boire. Un brun qui contrairement à certains hommes que je croise - pour ne pas dire la plupart – n’était pas un mort de faim dans le sens où il ne me saute pas dessus.

De plus si je me fie à ce qu’il me dit, nous semblons encrés dans la même philosophie de vie et avancer avec les mêmes idéaux, ce qui promet une soirée avec beaucoup de divertissements en tous genre agrémentée de débauche sans prise de choux le lendemain avec le lourdaud du coin qui pense que je ne lui offre non pas une nuit mais aussi celles à venir.
C’que les hommes peuvent être c*ns, stupides et naïfs ! Et après l’on parle des femmes ? Mais moi je sais ce que je veux ! Je veux m’amuser, je veux séduire, je veux que les hommes caressent mon nom, je veux qu’ils le murmure, je veux qu’ils m’aient dans la peau et dans la tête à toute heure du jour et de la nuit, je veux qu’ils atteignent l’orgasme en mon nom.
Je veux leur devenir indispensable.

Mes doigts continuent de s’affairer sur sa nuque en une caresse volatile et sensuelle, alors que je l’écoute se livrer.
Un instant je pense à de l’inceste entre lui et sa fille couplé à un amour inconditionnel pour la gamine mais finalement non, simplement un amour paternel. Comme Diego avec nos enfants. Il les aime plus que tout au monde. Et je sais que sa fille et pour lui, la femme à ses yeux, la plus importante.
Il me l’a confié, il me l’a écrit, il deviendra fou. Si je me souviens bien cela devait donner à peu près cela : « Et je ne serai qu’un fou derrière elle, qu’un homme de plus à ses pieds, aux pieds de ma divine princesse qui grandit et prend un peu plus chaque jour en beauté, elle est aux prises avec le temps qui s’affaire sur son beau visage à replacer les traits de la figure maternelle. Notre fille est une déesse, un ange parmi des démons, comme toi, elle est divine. » *
Une fille et un fils fruit d’une histoire passionnée avec l’italien désormais enchainé au mariage. J’étais ravie qu’il se soit marié car il me donnait plus envie encore de conquêtes sur sa délicieuse personne. Il finirait par céder.

Ah c’est donc sa fille qui épouse un idiot…

De nos jour elles ne comprennent plus rien vous savez, elles lisent trop de ses histoires de petites jouvencelles, pensent que le mariage est une histoire d’amour alors que ce n’est qu’une affaire d’argent, une transaction.
Elles sont persuadés qu’il sera comme dans leurs récits mais tout ceci n’est qu’illusoire, dès que ces messieurs ont ce qu’ils veulent ils vont voir ailleurs et alors ce sont les larmes qui viennent s’inviter au menu du ménage.
Votre fille à besoin du retour à la raison et de la claque magistrale qu’assène la vie à ses demoiselles ignorantes en matière d’hommes.
Je pense qu’elle ne tardera pas à se la prendre si vous voulez mon avis ! Mais dites-moi, a-t-elle au moins épousé un bon parti ?


Au baiser qu’il me donne je retiens légèrement sa lèvre avec mes dents. J’ai parlé, maintenant j’ai besoin d’étancher ma soif que j’ai de lui. Il a délacé mon corset, la robe de glisser de mes épaule et de s’arrêter à mi bras. Je ne ferai rien pour la remettre en place. Sa tête vient trouver place sur ma poitrine lui caressant les cheveux comme si je consolais un jeune enfant.

Non je ne suis pas assez naïve pour cela en effet…

Je me saisis de sa main, jouant avec ses doigts.

Ils ne peuvent m’enchainer, je ne suis pas du genre à ma laisser faire vous comprenez…

Je ponctue ma phrase en portant ses doigts à mes lèvres pour les embrasser faisant courir le bout de ma langue sur la cambrure de ceux-ci.

Êtes-vous un bon père pour votre fille ?

Phrase anodine perdue au milieu de la chaleur ambiante des corps qui grimpe rapidement.
Ce jeu me plait. Cette proximité, cette ambiguïté, cette séduction qui dure, tout en confiant les tourments qui agitent l’âme.


* Extrait du passage d'une missive écrite de Diego à Aphrodite (Judithe).

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Killijo_de_denere
Elles me poussèrent à me marier pour avoir une vie stable et ne plus courir la gueuse, mais à quoi bon ? Le mariage ne sert à rien, surtout si comme vous dites, il n'est qu'affaire d'argent. Je

n'ai rien à offrir à une femme, pas de titre attirant, point de de statut social. Je ne comprends point ce qui la poussait à épouser cet ahuri. Il semble être noble, il s'appelle du lac. Henri de

lac, cela sonne comme une mauvaise plaisanterie, non ?

Il a la tête sur sa poitrine, appréciant tranquillement la douceur sur laquelle il est posé. Elle a emprisonné sa main, l'empêchant d'aller jouer sur ces seins qu'il brûlait de voir. Il se laissait séduire tranquillement, appréciant les initiatives que sa jolie compagne prenait. D'ordinaire, elles se laissaient faire, se contentant de frémir ou de protester faiblement, ici, elle lui attrapait directement la main et lui donnait un aperçu intéressant de ce qu'elle pourrait lui faire avec sa langue. Ses doigts ne lui renvoient point trop de signe de douleur après leur altercation avec un arbre. Ils sont assez abîmés, mais rien qui ne puisse être guéri par des baisers.

Si je suis un bon père ? Je me targue d'en être un, oui. Elle me trouve trop protecteur, trop moralisateur, alors que je ne respecte aucun des principes que j'essaie de lui inculquer.

Il glisse ses mains sous le corsage et l'écarte un peu plus avant pour une meilleure vue. Il en profite pour ponctuer ses paroles de baisers sur cette poitrine provocante offerte à lui.

Je tente de les protéger des tavernes, des rencontres faciles et des hommes qui pourraient leur faire ce que je suis en train de vous faire.

Ses mains glissent dans son dos, comme pour reprendre conscience que si le père de cette jeune fille la voyait, il pourrait avoir envie de le rosser comme il le ferait s'il voyait une de ses filles en pareille situation.

Je ne veux point de mariage arrangé pour elle, puisque je n'ai point de dot ou de titres à leur offrir, ces fables de mariage d'amour, j'y crois encore moins, mais elle aurait pu au moins me demander mons avis sur celui qui partagera sa vie.

Il la regarde et lui prend le menton pour avancer son visage vers lui et glisser près de son oreille.

Bien sûr, aux yeux du père que je suis, nul n'est assez méritant pour ma fille. Le suis-je à vos yeux pour un baiser ?

Il descend dans son cou, doucement, sa langue glissant le long de sa veine.
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Chez moi
Judithe
Ses paroles me font réfléchir quelques minutes. Du lac. Ce n’est pas un véritable nom de noble ça.

Il me semble en effet que ce nom est étrange ou du moins s’il appartient à la noblesse ce doit être une famille fraichement anoblie et de plutôt basse naissance. Et vous pouvez me croire je m’y connais en noble.
Mais alors la théorie de la plaisanterie peut être en effet à explorer. Peut-être votre fille n’a pas réellement épousé cet homme, peut être étais-ce pour vous faire payer un quelconque forfait ?
Les filles fonctionnent comme ça vous savez. Quand quelque chose leur déplait elles trouvent un moyen pour se venger et faire mal.
Quel âge à la vôtre ?


Alors qu’il embrasse mes seins, mes mains viennent prendre place dans ses cheveux lui offrant une sorte de massage crânien appuyant ses lèvres contre la rondeur de la chaire qui frémit sous la caresse.

Trop protecteur et trop moralisateur ? C’est le propre d’un père il me semble. D’un bon père je veux dire. Mais vous ne pouvez pas non plus la blâmer si vous ne respectez pas ce sur quoi vous appuyez.

Mes doigts fins agrippent les cheveux pour lui relever le visage et qu’il me regarde. Et plonger mon regard dans le sien avant de poursuivre d’une voix enchanteresse :

Les protéger c’est bien mais elles doivent apprendre la vie. Et pour ce qui est des choses que vous me faites c’est parce que je le veux bien et que vous me plaisez.
Ce n’est pas en les cachant à la vie que vous les en préserverez. Elles doivent y gouter par petites doses. Moi je n’ai pas pris le temps de déguster et aujourd’hui me voilà accro à certains vices…peut désirables.


La joue masculine est caressée du bout de la pulpe de mes doigts, faisant glisser mon pouce sur l’ourlet de ses lèvres murmurant :

Personne n’est assez bien pour ma fille et pour mon fils. Jamais.


Je me penche en avant posant mes lèvres sur les siennes et de sussurrer tout en changeant de position de sorte à me retrouver assise sur lui à califourchon face à face cuisses enserrant sa taille :

Je crois que si je ne vous jugeai pas digne ou assez méritant je ne serai pas si offerte…

La fin de ma phrase se perd entre nos lèvres qui se frôlent et s’éloignent pour mieux se gouter, de nos langues qui se cherchent pour mieux se trouver alors que ma main s’égare sur le torse masculin, glissant sous la chemise pour caresser la peau nue. Puis, alors que je m’abandonne, le souvenir de ses mains malmenées me revient, fronçant les sourcils je me recule légèrement.

Mais dites-moi, qu’avez-vous fait à vos mains ?

L’une des mains est saisie entre les miennes pour laisser les doigts féminins les découvrir et effacer les maux qui les parcourent, la portant à mes lèvres pour en embrasser la paume, avant de la faire glisser le long du menton, du cou venant trouver place et arrêter sa course sur mon sein droit, faisant glisser un peu plus le tissu pour qu’elle soit posée à même la peau.

Laissez-moi vous guérir…

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Killijo_de_denere
Théorie de la vengeance ? Pourquoi sa fille voudrait se venger de lui ? Il a plusieurs théories sur le sujet, sa naissance illégitime, la boulangère, ses nombreuses aventures, Rod, doit-il continuer la liste ? Il préfère s'occuper de cette poitrine appétissante que de réfléchir aux milles et unes raisons qui pourraient conduire sa fille à vouloir une quelconque vengeance à son encontre.

Elle a quinze ans, cette jeune poulette. Et oui, elle m'écrivit nombre de lettres assez incendiaires pour me reprocher quelques aventures. Et quelques femmes accessoirement

Il apprécie la douceur de sa peau et les rondeurs qu'il baise doucement tout en l'écoutant parler.

Je tuerais celui qui voudra faire goûter quelques petites choses à mes filles sans les avoir menées à l'autel.

Il serre sa taille de ses mains, pour mieux remonter sous ce corsage qui est désormais grand ouvert devant lui. Il vérifie d'un coup d'oeil que personne ne s'occupe d'eux. Il glisse ses mains sur ses cuisses pour remonter plus haut et caresser le galbe de ces rondeurs posées sur ses genoux.

Vous confessez mieux que moi encore, ma jolie.

Il se rapproche pour avoir un baiser, alors qu'elle ouvre sa chemise. Il décale ses bras pour qu'elle puisse continuer son exploration à son aise quand elle voit ses mains.

Eh bien... je dirais que j'étais assez fâché de la nouvelle et que si ce n'était un arbre qui avait pris, son mari ne serait plus de ce monde, je le...

Il regarde sa main qui a un traitement tout particulier. Il lui montre l'autre avec un sourire enjôleur.

Il faut équilibrer, douce dame, là est la base de ce beau monde que le Très-Haut nous a donné

Il rapproche son visage du sien pour l'embrasser et découvrir ces lèvres qui lui disent de si belles choses. Elles ont certainement bien d'autres qualités à lui montrer.

Ma fille n'oserait point me faire une telle farce, elle me connaît, elle sait que je ne goûterais point la plaisanterie. Par contre vous, je vous goûte fort.

Il remonte ses mains vers son cou et ses cheveux pour glisser ses doigts dans la toison et rapprocher sa tête de la sienne.
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Chez moi
Judithe
Je réfléchis à ce qu’il me dit tout en faisant subir le même traitement à sa deuxième mains pour qu’elles ne se jalousent pas comme il me l’a très gentiment fait remarquer.

Quinze ans … A-t-elle des sœurs plus âgées qu’elle ou bien est-ce la cadette ? Vous savez c’est l'âge des expériences … l’âge des découvertes, elle veut tester ses limites je pense, voir jusqu’où elle peut aller et voir quelles interdictions elle peut braver.
Les filles de cet âge ont la vengeance dans la peau !
Regardez même moi je l’ai encore et pourtant j’ai trois années de plus !

Je comprends très bien votre hargne, vous êtes père et avez peur pour vos filles mais après si elles sont assez stupides pour se faire dépuceler sans rien obtenir en retour … c’est leur problème et c’est à vous de leur enseigner que dans le monde ou nous vivons tout se gagne. Je suis sûr que vous serez un très bon professeur.


Alors qu’il embrasse mes seins et glisse ses mains sur mes fesses mes mains, elles continuent librement leur exploration du torse masculin descendant toujours plus bas sur sa personne tandis que légèrement le bassin se met à bouger sur l’entrejambe masculine histoire d’émoustiller ses sens.
Je souris intérieurement. J’aime jouer et cet homme semble aimer cela aussi.
Je souris devant ma dépravation toujours plus grande.
Je souris parce que je me fou qu’une tierce personne nous voit ainsi.
Puis vient sa phrase. Serait-il prêtre ? Humm il m’a l’air religieux autant que moi je suis vierge et prude !

Vous êtes dans les ordres ? Je ne savais point que vous confessiez…


Et sur ces derniers mots mes lèvres de se poser contre la peau nue de son torse, juste comme cela posées, bougeant lentement, remontant vers son cou offert.

Non, permettez-moi de rectifier vos propos, vous ne me goutez point, vous me dégustez…

Le sourire se fait taquin voir espiègle alors que les lèvres viennent s’emparer à nouveau de leurs jumelles, resserrant sa prise de ses cuisses autour de sa taille.

Quant à votre fille, si elle veut réellement se venger croyez-moi elle se foutra des conséquences qui découleront de son geste.


Sur cette phrase, la main es tendue vers le pichet de bière pour en boire une lampée la conversation ayant asséchée ma bouche.

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Killijo_de_denere
Il écoute ce qu'elle lui raconte. Elle est assez jeune en effet, mais elle semble connaître beaucoup de choses qu'il ne voudrait faire découvrir à ses filles, même lorsqu'elles seront mariées. Il l'explore doucement avec délectation alorsqu'elle parle. Il lui murmure à l'oreille :

Je pense que je suis un bon professeur, en effet, à vous de me dire ce que vous voulez apprendre en ma compagnie, ma chère.

Il accompagne ses mouvements du bassin avec ses mains. Il se sent tendre au fur et à mesure qu'elle avance sur lui. Il laisse encore ses lacets attachés, bien qu'ils sont des plus desserrés à cause de la pression que son anatomie leur fait subir.

Judithe a écrit:
Vous êtes dans les ordres ? Je ne savais point que vous confessiez…


Il la laisse s'exprimer avec les lèvres d'une manière qui le fait chavirer plus encore, l'encourageant à continuer son monologue.


Je vous confesserais de tout ce que nous venons de faire et vous absoudrais pour tout ce que nous allons faire, ma chère.

Il se crispe à ce qu'elle vient de lui dire concernant sa fille. La connaît-elle si bien, ou est-ce une phase par laquelle toutes les filles passent ? Tandis qu'elle boit, il en profite pour continuer à desserrer ses lacets, laissant son anatomie sortir de ses braies. Il la laisse reposer le pichet. Il ne veut point en commander un autre, préférant rester tranquillement avec elle. Il bouge rapidement, profitant pour baisser les braies et lui laisser libre accès à l'étreinte qu'il prépare. Il remonte ses jupes en caressant ses cuisses.

Ne parlons plus de cette peste qui ne veut que se venger de son père qu'elle accuse de tous les maux. Parlons de nous... Et de ce que vous allez vouloir me confesser.
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Chez moi
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