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[RP] Cours de Séduction

Arrogane
Elle avait réussi à avoir une salle de cours. Alors, elle avait passé une bonne semaine à l'aménager comme il se devait. La pièce était divisée en deux partie par un rideau central. Le parquet avait été ciré avec soin et brillait. Deux plantes trônaient sur deux table deux guéridons mis avec soin. Pour l'occasion, elle avait fait venir deux tableau de maitre, car elle n'imaginait pas une pièce sans art. Des rideaux avaient été disposés aux fenêtres. Un parfum doux et sucré parcourait la pièce. Oui. Cette salle ne ressemblait à aucune autre. Elle avait décidé qu'elle serait sa salle à elle. Il n'y avait là rien de luxueux au premier regard. Les commodes avait été frottées ainsi que les chair et bureaux. Rien ne trainait. Tout brillait.

Elle avait prévu quelques cobayes pour la deuxième partie de la leçon. Ils participeront lorsqu'elle leur demandera. Pour l'heure elle ouvrit les portes.

Elle inscrivit alors sur le tableau.


Citation:
Leçon une : L'entrée est l'initiative

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Fanatique de son Illustre frère - Inventrice d'idées loufoques -Persuadée d'Être d'une Race Supérieure - Collectionneuse de Pipes,Clefs et Prénoms - Chasseuse de Pigeons -
Chef-d'œuvre du Très-Haut - Cas Particulier et Exceptionnel- Chieuse Professionnelle - Miss Bretagne, Selon ses Présentations -
Attire Tout, Même les Emmerdes - Arrogane Kerallec - Mariée en devenir - Bretonne...
Elle est notre Breizh, nous sommes ses Flammes !
>>>>>>>Maudit Soit quel Mâle y Pense
Demat deoc'h/dit/d'an holl=Bonjour vous/toi/tous ; Mat ar jeu ?Ca va ? ; Mat tre!Ca va! ; Trugarez=merci sincèrement ; Yec'hed mat ha mersi bras=Santé et merci.; Kerallec=Parfait ; Mar Plij=S'vous plait; Kenavo! Au revoir!
Eripsoe
De son bureau qui devenait peu à peu sa tanière, le Recteur savait tout ce qui se tramait dans ses locaux. Car il possédait un art rare et qu'il ne partageait pas. Il savait se faire aimer du petit personnel. Ne pas le prendre en pitié pour ne pas l'incommoder et le respecter assez, cependant, pour s'attirer sa sympathie. C'était un travail de longue haleine et qui demandait une certaine expertise, mais il le maitrisait plutôt bien. Une pratique née d'un vécu. Ceci explique toujours cela.

Il ne mit donc pas longtemps à savoir que son nouveau professeur avait investi les lieux et avait ouvert les portes. Aussi, confia-t-il un petit mot à aller remettre à la dame à un des jeunes coursiers qu'il employait. Et nul doute que le travail fut bien fait.


Citation:
Demat Princesse.

Autoriseriez-vous le Recteur de ces lieux à assister, en simple spectateur, à votre leçon ? Il se dit qu'il en serait extrêmement flatté.


E.M.

_________________
Arrogane
Et dans le couloir, deux messagers se rencontrent.

Cher collègue, quelle surprise de vous rencontrer iceluec en ces couloirs universitaires.

Ya. N’est-ce pas ? Je suis mandaté pour donner une missive à la Kerallec.

Voilà un curieux dessein que le fait que nous nous croisions pour la même mission. J’en ai en effet une à donner moi-même à la même charmante personne. Donnez, je vais vous débarrasser.

Nenni, je vais le faire moi. Donnez-la vôtre, je m’en vais lui porter.

Je vous assure qu’il n’est pas dérangement pour moi de vous subordonner dans cette tâche.

N’ayez crainte, je devais y aller également, c’est comme on dit, sur mon chemin.

Justement votre chemin est loin pour retourner jusqu’à Réoz. Vous gagnerez du temps.

Le temps n’est pas une affaire, je suis venu ice, je peux bien passer la porte et vous laisser dans vos couloirs à votre besogne.

Mais, cher collègue...

Ah. C’est vous ? J’ai cru que c’était mes élèves. Demat deoc’h. Vous avez quoi dans vos mains ? C’est pour moi ? Je vous trugareze mes sieurs et excusez-moi de vous avoir déranger. Je vous laisse à vos converses. Bonne journée ha kenavo.

Ah vous êtes content ! Elle est partie !

C’est vous qui devez l’être ! Un messager universitaire, messager de pacotilles !

Parce qu’être toute la journée sur les chemins à glander c’est plus glorieux ? Vous n’êtes que des incapables vous les messagers des routes, toujours à vous perdre où à dire que vous êtes coincé par un rassemblement de charrettes où à dire que vous tournez depuis trois ans autour d’une écurie pour y caller votre cheval et dire « Y a pas d’plaaace ». Glandeur !

Fichtre. C’est la feignasse de fonctionnaire qui me dit cela ? Vous ne manquez pas d’aplombs, vous les branleurs administratifs ! Vous ne fichez rien et vous avez la sécurité de l’emploi dans vos petits bureaux ! Vous ne savez pas ce que c’est que de trimer vraiment, vous, planqués comme des rats dans vos trous !

Et vous dans vos tavernes à chaque fin de journée à essayer de culbuter le cul de la première fermière qui passe !

Oui bah nous au moins on n’est pas des puceaux tenus en laisse par bobonne !

Qui c’est l’puceau de sa bobonne ? Hein qui c’est ? Viens m’le dire en face dehors ! Viens si t’es un homme ! Baiseur de vaches !

Oh j’vais te casser ta gueule de lèche-poulaine toi ! Sodomite de mouches !


Et pendant ce temps l’Arrogante lisait ses deux courriers. Celui du recteur et un autre beaucoup plus étrange, même mystérieux, surprenant, cacheté qui la rendait irrésistiblement souriante. Elle n’avait jamais reçu de ce genre de courrier. C’était très excitant pour elle. Cela tombait à pic. Finalement, après l’initiative, la vraie leçon sera celle de correspondance. Voyons comment ses élèves répondraient à ces lettres-là. Travaux pratiques préliminaires. Si ça ce n’était pas excitant !
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Fanatique de son Illustre frère - Inventrice d'idées loufoques -Persuadée d'Être d'une Race Supérieure - Collectionneuse de Pipes,Clefs et Prénoms - Chasseuse de Pigeons -
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Misstaire

Taire se pointa à l’université affublée de ses éternelles guenilles. Elle avait hésité à faire un effort vestimentaire, mais n’en avait finalement eu ni l’envie ni l’énergie. On le lui avait pourtant expliqué plusieurs fois : la séduction passait par l’apparence. Elle ne pouvait pas dire qu’elle s’en foutait, il lui était même arrivé de faire preuve de coquetterie quelques semaines plus tôt. Pour ce que cela lui avait rapporté…

Elle s’était inscrite à ce cours dans un but précis. But qui s’était évaporé et avec lui les douces illusions dont elle s’était jusqu’alors bercée. Elle arrivait donc sans autre motivation que celle de revoir Marie. Sûr qu’elle avait des tonnes d’astuces à lui apprendre en la matière, mais Taire doutait d’être une bonne élève. Elle pensait surtout que minauder ne fonctionnait que pour les femmes disposant d’un physique avantageux. Pour celles qui n'appartenaient pas à cette catégorie, ça s’avérait franchement ridicule.

Quand elle poussa la porte de la salle de cours, elle fut d’abord frappée par le rideau qui se trouvait au milieu. Qu’est-ce qu’il foutait là ? Y avait-il des gens planqués derrière ? Pourrait-elle aller s’y réfugier si la panique la prenait ?
Ses yeux furent ensuite attirés par la silhouette parfaite de la Kerallec et un sourire se dessina instantanément sur ses lèvres.


Marie ! Vous commenciez à me manquer !

Elle préféra éviter la banale – mais parfois fort gênante - question « Comment allez-vous ? », se disant que ce n’était ni le lieu ni le moment.

Pensez-vous disposer de suffisamment de patience pour m’enseigner votre art ou préférez-vous déclarer forfait avant de commencer ?
Arrogane
Marie ! Vous commenciez à me manquer !

Ah ma Taire ! Heureusement que vous êtes là ! Vous ne me laissez pas toute seule!

Pensez-vous disposer de suffisamment de patience pour m’enseigner votre art ou préférez-vous déclarer forfait avant de commencer ?

Elle sourit et s'approcha de la brunette qu'elle connaissait maintenant depuis pffiou. Un an au moins.

Et bien j'ai toute la patience possible pour ce cours qui devient dès lors.. presque privé. J'avais préparé plusieurs choses mais tant pis. Il vaut mieux la qualité. Et comme ça.. vous sortirez d'ici presque Kerallec. Puis ne vous inquiétez pas, on va bien s'amuser.

Un petit clin d'oeil.

Comment allez vous ?

Mais asseyez vous donc. Oh et première leçon.Et faites moi voir surtout comment on s'assoit.. Imaginez que.. que vous voyez l'helvète pour la première fois, qu'il vous tape dans l'oeil, qu'il vous attire. Vous le voulez. Surtout pensez très fort que vous le voulez.


Elle mit une plante sur une des tables disposées comme en taverne.


Imaginez que cette plante.. c'est lui. Et allez vous asseoir dans la pièce de façon à ce qu'il vous repère.

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Liocea
Liocea déambulait dans les couloirs à la recherche de la salle de cours. Elle savait que Taire devait y aller aussi, mais elles ne s'étaient pas retrouvées à l'entrée.
Elle toqua et entra sans attendre finalement.
Dans la pièce à la décoration surprenante par rapport à ce qu’elle avait l'habitude de voir se tenaient la professor et Taire, toutes deux devant un grand rideau.
Taire semblait écouter déjà avec attention pour un premier exercice, dont Lio n'entendit que la fin des consignes


Citation:
Imaginez que cette plante.. c'est lui. Et allez vous asseoir dans la pièce de façon à ce qu'il vous repère.


Lio hésita un instant, se demandant pourquoi elle avait inscrit ce cours un jour sur son planning. Mais la présence de Taire lui rendit sa curiosité.
Elle fit trois pas en avant, puisque de toute façon elle avait dérangé la séance et que les deux femmes la regardaient.


Le Bon jour mes Dames
puis je me joindre à vous?


Elle ne demanda pas si elle dérangeait, ni si elle était en retard, puisqu'elle connaissait les réponses et se décida donc plutôt pour un sourire joyeux.
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au fil de l'eau
Misstaire
Citation:
Et bien j'ai toute la patience possible pour ce cours qui devient dès lors.. presque privé. J'avais préparé plusieurs choses mais tant pis. Il vaut mieux la qualité. Et comme ça.. vous sortirez d'ici presque Kerallec.


La p’tite brune haussa un sourcil. Presque Kerallec ? Ca, c’était une sacrée motivation ! Mais si elle ne doutait pas des capacités de Marie à enseigner son art, elle doutait des siennes à pouvoir l’assimiler.


Citation:
Puis ne vous inquiétez pas, on va bien s'amuser.


Ah ça ! Sûr qu’elle allait se marrer l’arrogante ! En ce qui la concernait, c’était beaucoup moins évident. Mais elle avait raison, autant ne pas se prendre trop au sérieux et s’amuser de la situation.

Citation:
Comment allez vous ?


Erf, elle opta pour un petit mensonge ; ce n’était pas le moment de s’épancher. Pour ça, elle préférait l’ambiance plus feutrée des tavernes.

Tout va bien Marie, je suis ravie de vous revoir.

Citation:
Mais asseyez vous donc. Oh et première leçon.Et faites moi voir surtout comment on s'assoit.. Imaginez que.. que vous voyez l'helvète pour la première fois, qu'il vous tape dans l'oeil, qu'il vous attire. Vous le voulez. Surtout pensez très fort que vous le voulez.


Penser qu’elle le voulait ? Ca, c’était un jeu d’enfant. Elle maîtrisait cet aspect de l’exercice à la perfection. Quant à s’asseoir… Elle ne voyait pas en quoi c’était compliqué. Poser ses fesses sur une chaise, elle le faisait plusieurs fois par jour. Elle pouvait même s’asseoir par terre si elle le voulait.


Citation:
Imaginez que cette plante.. c'est lui.


Elle ne put réprimer un petit rire en imaginant l'Helvète en plante verte. Il pouvait être comparé à une multitude de choses, mais certainement pas à une plante verte.


Citation:
Et allez vous asseoir dans la pièce de façon à ce qu'il vous repère.


Han ! Misère… Fallait que la plante la repère… Elle ne s'était pas imaginé que les exercices seraient si ardus. Elle fit une moue dubitative. Comment pouvait-elle attirer l’attention dans un geste aussi familier ? Ses fesses, fermes et bien dessinées, étaient peut-être la partie de son anatomie que préférait le brun. Elle avait bien remarqué qu’il les reluquait plus souvent que la bienséance ne l’autorisait. Elle prenait d’ailleurs un malin plaisir à les lui mettre sous le nez dès que l’occasion se présentait. Sauf qu’écrasées sur une chaise, elle ne voyait pas à quoi elles pourraient lui être utiles.
C'est alors qu'une voix connue se fit entendre :
Citation:
Le Bon jour mes Dames
puis je me joindre à vous?


Lio arrivait en sauveuse. Elle la salua d’un sourire et profita du regard détourné de Marie pour s’asseoir en douce.
Killijo_de_denere
Un cours de séduction ? A l'université ? Bah fallait lui dire ! Il aurait postulé pour enseigner, on ne le prévient jamais des choses intéressantes ici... Toujours les mêmes demandes, toujours les mêmes rengaines mais un cours aussi novateur que la séductions... Il ne sait ce qu'en dira Liz mais tant pis. Il y va. Il doit aller voir ce qu'il s'y passe, qui le donne et surtout ce que l'on y apprend. Il cherche des informations sur le panneau d'affichage général et surtout, cherche à savoir quand il démarre. Un peu d'animation, que diable !

Merci mon brave !
Il prend le chemin de la salle et il n'a pas besoin de se renseigner sur la pièce exacte parce que ça sent la cocotte comme on dit. Mais de la cocotte de luxe. De celle qui utilise nombre d'artifices pour attirer le mâle. Il voudrait bien leur expliquer un de ces jours que ça ne sert à rien. Ils sont simples. Elles se parfument à la bière, se présentent nues à leur proie, il n'y aura point besoin de colifichets ou autre entrave pour être séduit. Il frappe doucement à la porte et entre, voyant trois femmes occupées autour d'une plante. Cours de jardinage ou cours de séduction ? Se serait-il trompé ?

- Mes dames, bonjour, désolé de vous interrompre, je suppose que je suis bien au cours de séduction ?

Il regarde la salle, décorée pour un salon de poésie, mais certes point pour la séduction comme il la conçoit. Il comprend rapidement qu'il est au bon endroit. Tout est installé pour des donzelles, certes, mais où sont les hommes ? Partis, écoeurés par cette odeur persistante. Il regarde l'affiche et lit l'écriture bien féminine. Initiative ? Est-ce une blague ? En général, elles regardent les hommes en attendant qu'ils viennent à elles en les attirant avec des oeillades suffgestives, et s'il arrive trop vite ou de manière un peu trop cavalière, elle le rejette comme vagabond puant. Ils rêvent tous d'une femme qui la prenne cette initiative, leur retire les braies et les prenne comme elle en a envie. Il en connut une qui le fit avec lui. Il en tomba fou amoureux et ne voulut plus la quitter. La voilà la méthode ! Comment la paire de jambes va-t-elle expliquer à ses congénères comment prendre l'initiative ? Il est curieux de le voir. Il s'approche des dames et leur fait le baise-main habituel.

- Ravi de vous revoir, Arrogane, Miss, Liocea.

Il leur sourit et s'assied dans un coin pour observer.

- Je vois que le cours a commencé.
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Chez moi
Liocea
Le temps de voir son amie s'affaler sur une chaise et de pouffer légèrement, que déjà elle sentait, une présence dans son dos.
Elle se retourna et resta interdite un instant tout en tendant sa main pour le conventionnel baiser de main de Killi qu'elle venait de reconnaitre.


Citation:
- Mes dames, bonjour, désolé de vous interrompre, je suppose que je suis bien au cours de séduction
- Ravi de vous revoir, Arrogane, Miss, Liocea.
- Je vois que le cours a commencé


Le voyant alors s’installer dans un coin, elle grattouilla un instant sa chevelure, avant d'aviser sa besace pour en sortir un planning qu'elle avait elle même élaboré




Les plus de la semaine


ça me dit
- gode bless Tatoo: Tatoo

Lunmanche
- So Pretty things: Arrogane


Elle réalisa soudain. Et se permit d'intervenir en tant que doyenne ayant élaboré le planning

Oh Killi, ravie de vous voir ici, mais...


Car oui...Il y avait un mais...

Vraiment désolée, il est vrai que je ne l'ai pas précisé dans le planning,il s'agit ici d'un cours pour débutants.
Vous êtes vous en phase d'approfondissement ou plus si affinités ou me tromp'je?

peut être cherchez vous le cours de Tatoo?


Puis elle se tourna vers la professor un peu confuse se demandant finalement si cette entrée ne faisait pas partie du cours. Après tout, une plante, un coq, quels sujets pratiques allait encore sortir la belle professor de tous ses artifices...

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au fil de l'eau
Rhodophore


Arrivé depuis peu en ville il se promenait au hasard des rues qui le menèrent devant une battisse sur laquelle était écrit en grand UNIVERSITÉ, de nature curieux il ce décida à franchir la porte d'entrée . Sans faire de bruit il passa dans les couloirs relevant les matières enseignées affiché devant la porte des salles.
Il s’arrêta devant une affiche peu ordinaire " Cours de Séduction"
Qu'est ce donc que cela pensa t'il .
Puis la curiosité prenant le dessus il frappa a la porte

TOC TOC TOC



et sans attendre de réponse entra


Bien le bonjour a toutes et a tous.
Est ce qu'un simple soldat comme moi peux participer a ce cours ?

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Killijo_de_denere
Laissant la paire de jambes discuter avec sa plante et la damoiselle Taire, Killi reste avec la damoiselle Liocea, à la belle maison aux bonnes crêpes. Il lui sourit et lève un sourcil lorsqu'elle lui parle de phase d'approfondissement.

Ma chère, il me semblait que vous saviez déjà que je suis assez expert en la matière pour prodiguer moi-même les cours. Quand à ceux de Tatoo... Je ne les connais point.

Il se tourne vers le nouvel arrivant, soldat de son état. Il l'accueille avec un grand geste.


Eh bien mon brave, entrez donc ! Voyez, la dame professeur est occupée à montrer l'art de la conversation avec une plante et moi, eh bien... J'occupe la damoiselle Liocea ici présente. Charmante de son état, et bonne cuisinière, pour autant que le souvenir de ses crêpes me donne un goût de reviens-y.

Il sourit à la damoiselle et lui prend la main pour l'aider à se lever.


Puisque vous me demandiez ce que je fais ici... Je pourrais vous aider si vous le désirez, en vous expliquant quelques bases d'entrée en matière tandis que la damoiselle professeure converse avec son amie verte et la damoiselle Miss.
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Chez moi
Arrogane

Et bien! Que de monde ! Elle était contente l'Arrogante. Elle en attendait pas tant. Elle observa chacun arriver... Mais c'est qu'il y avait des hommes ! Bon. Parfait.
Elle chuchota a Taire :


On va reprendre ça, excuse-moi, je vais les accueillir. Mais c'est très bien, très bien.

Elle se redressa. Mis sur son fabuleux visage un sourire digne de la plus belle princesse Disney.

Degemer mat! Entrez, entrez!

Elle chaloupa alors son corps d'abord vers le soldat Rodophore.

Et bien jeune soldat...si on m'avait dit que vous seriez ici, je ne l'aurais pas cru. Comment allez-vous?

Et elle lui tendit le revers de sa main, en s'approchant plus près.

Vous êtes ma surprise.

Puis se retournant vers la doyenne de Navigation.


Dame Liocéa, soyez la bienvenue ! Vous êtes fort élégante et il semblerait que ceci n'est échappé au séducteur Killi.

Comment va le Coq ? Vous êtes sûr d'avoir besoin de cours? Il me semblait que votre sourire charmeur n'ait point besoin de plus d'apprentissage. Ravie que vous soyez ici. Nous nous connûmes dans un cours et nous nous revoyons dans un autre. Voyez comme nous sommes.

C'est parfait. Figurez-vous que j'allai justement vous inviter pour la dernière partie. J'imaginais que vous auriez pu être un parfait dernier cobaye.

Mais apparement celle de professeur vous irait bien aussi. Hum. Voilà ce que je vous propose. Etant donné que vous n’avez pas besoin de ce cours, et étant donné que nous avons presque autant d’homme que de femme, peut être que vous pourrez être le professeur des hommes, et moi des femmes ? Ca vous conviendrait ?
Le cours de correspondance passera après.


Elle ramassa sa paperasse avant de prendre en main le message d’Eripsoë, d’y répondre et de lui faire parvenir.

Citation:
Messire le recteur,
Venez-vous bruler au cours d’une séduction.
Venez, venez. J’ai une surprise pour vous
.


Nous allons passer à la pratique directement.

Nous sommes trois femmes, il va y avoir trois hommes. Nous allons donc faire trois tables.


Elle s’avança et enleva la plante de la table de Taire.

Première Table : la table Bleue (darkblue ou blue ). Elle comprendra Taire et Eripsoë
Deuxième table, la table Indigo (indigo ): elle comprendra Lio et Killi
Troisième table, la table rouge (rouge foncé/darkred) : elle sera composée de Rodolphore et de moi-même.

Il faut voir la séduction comme un jeu subtil d’observation, de flatterie, d’embarras et d’espièglerie. Pour séduire, il faut rendre comme unique la personne qu’il y a en face de vous.

Ce que j’appelle L’Initiative est une technique d’echec. Le but est d’attirer tout de suite l’attention de celui qui est en face de vous. Une phrase, un geste, quelque chose qui fera qu’il ou elle se rappellera de vous. Quelque chose qui fait qu’on ne peut vous oublier. Un regard, une phrase, une maladresse, un battement de cils ou un jeu de jambe, ma technique personnelle. Le premier pion que vous poser est le plus important. Il ouvre la voie au but même de ce petit jeu. C’est le départ. Le signal.

Sortez du lot en montrant qui vous êtes. Là est l’Initiative.


Et elle s’assit sur la table correspondant à sa couleur.

Killijo et moi, si il le veut bien, seront vos professeurs du jour. Le premier cours sera celui de l’Initiative. Messieurs, imaginez que nous sommes dans une taverne. Qu’il n’y a qu’une table. Les autres n’existent pas. Vous êtes célibataire, vous rentrez dans cette taverne et vous voyez une charmante femme assise. Elle vous plait. Vous ferez quoi ? Montrez ce que vous êtes capable de faire.

Mes dames, vous êtes dans une taverne, vous trouvez le temps long, un charmant jeune homme vient à votre rencontre. Comment devez-vous vous comporter ? C’est une danse, n’oubliez pas. L’homme fait les pas, la femme décide du rythme.


(Merci à tous d’être venus et désolée pour l’attente, boulot irl mais ça devrait aller. Pour mieux se reperer, veuillez mettre de la couleur de votre table, tout le post que vous écrirez. Merci à tous ! )
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Fanatique de son Illustre frère - Inventrice d'idées loufoques -Persuadée d'Être d'une Race Supérieure - Collectionneuse de Pipes,Clefs et Prénoms - Chasseuse de Pigeons -
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Attire Tout, Même les Emmerdes - Arrogane Kerallec - Mariée en devenir - Bretonne...
Elle est notre Breizh, nous sommes ses Flammes !
>>>>>>>Maudit Soit quel Mâle y Pense
Demat deoc'h/dit/d'an holl=Bonjour vous/toi/tous ; Mat ar jeu ?Ca va ? ; Mat tre!Ca va! ; Trugarez=merci sincèrement ; Yec'hed mat ha mersi bras=Santé et merci.; Kerallec=Parfait ; Mar Plij=S'vous plait; Kenavo! Au revoir!
Eripsoe
Assis dans son bureau, le papier lui arriva. Il le prit, le lut et réfléchit un instant. Le jeune garçon porteur du pli attendait à l'entrée de la pièce, dans l'encadrement de la porte.

L'instant fut ce qu'on peut appeler un long instant. Mais finalement la réponse vint:


Va lui dire que je viendrai avec plaisir dés que j'aurai un moment et que je la remercie de l'invitation.

Le garçon repartit et le Recteur se leva pour aller refermer la porte. Songeur, soucieux, il ouvrit un tiroir de son meuble de travail et en tira une paire de gants blancs liserés de pourpre. Il les passa en lieu et place de ses gants noirs habituels, embellissant ces mains rongées par le feu et l'acide.

Il lissa son catogan, chercha une autre tenue. Le noir resterait la base, mais un peu de pourpre viendrait le teinter, le nuancer, changer.

Il cira ses bottes, cacha ses poignards, choisit son mantel le plus riche.

Puis il s'assit dans le fauteuil face à l'âtre qui crépitait, jetant aux flammes quelques papiers tout en laissant quelques larmes couler.

_________________
Liocea
Lio regarde Killi amusée et sourit

oh je n'en sais que ce que vous m'en avez dis et ce que votre réputation parfois laisse à entendre. Mais je ne remets nullement vos compétences en doute vous vous doutez bien.

Elle sourit au nouvel arrivant

Enchantée, en effet si la gourmandise vous dit messire vous serez le bienvenu.
Ce sont les meilleures de Bretagne pour ne rien vous cacher.


Elle rit, tandis que Killi tente presque un putsch sur le cours de la dame Arrogane, mais, celle ci réagit et reprend les rênes de la séance.
Lio sourit à Killi puis à Arrogane tout en écoutant la suite du programme pour lequel elle reste intriguée et plutôt mal à l'aise finalement.

Un regard vers Taire et elle va s'installer à la table au drapé vilolet, elle en aura des choses à raconter sur le bateau quand elles auront pris la mer.

_________________

au fil de l'eau
Killijo_de_denere
Killijo regarde l'arrogante arriver comme une reine avec un sourire. D'un cours à l'autre, finalement, ils sont des habitués des salles de cours, quelles qu'elles soient. Il la regarde avec un air intéressé.

Moi, un cobaye ? Eh bien je ferais l'innocent et je laisserais ces dames s'exercer sur moi si elles le désirent.

Il lui fait un sourire ironique lorsqu'elle lui parle de devenir le professeur des hommes.

Ne croyez-vous point que vous pourriez expliquer aux hommes ce qui attire les femmes et moi, aux femmes ce qui nous attire, nous les hommes ?

Une petite pause pour chercher ses mots.

Et je ne parle point que du physique, bien sûr.

Il écoute sagement les explications de la professeur pour envisager ce qu'elle entrevoit dans son cours. Puis il va s'installer à la table assignée où il retrouve la damoiselle Liocea, celle qui vogue plus souvent qu'elle ne fait des crêpes. Il attend qu'elle prenne cette fameuse initiative et qu'elle lui montre ce qu'elle sait faire.


Bonsoir damoiselle, Killi pour vous servir. Cette table est-elle libre ?

Il lui prend la main qu'il baise doucement en lui coulant un regard séducteur.
_________________

Chez moi
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