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[RP] Bar «Le Central»

Ceriera
[Ouverture du Central]

Voilà ce que Cerièra avait fait de sa journée : retaper une bâtisse en taverne, afin d'en faire un endroit accueillant, un havre de paix.
Loin des… arf, passons, c'est jour de fête. *N'y pensons même plus…*
Elle avait blanci les murs à la chaux, voulant que l'endroit soit clair, lumineux. Elle l'inaugurerait ce soir-même, offrant à boire à qui passerait dans la soirée.

Sebelia l'avait vite rejointe dans la journée, avec pour surprise des fleurs pour décorer. Cerièra en avait fait quelques petits bouquets, dans des pichets, vases de fortune, un disposé sur chaque table, pour que la soirée d'ouverture soit égayée de couleurs.




Son amie s'était spontanément proposée comme tavernière, ce que la griotte avait accepté avec une grande joie. Elle s'était déjà investie dans la décoration, c'était donc bien naturel. Sa gentillesse et sa douceur avaient ici toute leur place.

Cerièra avait ensuite cuisiné quelques parts de fougasse à l'anis, recette de sa mère, que Sebelia avait goûtée. Par bonheur, elle l'avait trouvée bonne !




Il ne restait plus qu'à finir un brin de ménage… une petite bière pour se motiver ? *Allez…*
Tout en briquant, elle repensait à ces paroles de Saint-Augustin :


«Aime et fais ce que tu veux !
Si tu te tais, tu te tais par amour ; si tu cries, tu cries par amour ; si tu corriges, tu corriges par amour ; si tu épargnes, tu épargnes par amour.
Qu’au dedans se trouve la racine de la charité. De cette racine rien ne peut sortir que de bon.
»


Voilà qui lui semblait un bon précepte de vie. Indiqué pour la journée, en tout cas.
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη
Sebelia37
Sebelia avait apprit le matin même de l'inauguration que sont amie avait dépoussiérer une vieille bâtisse pour en faire une taverne. Curieuse elle décida de s'y rendre avec un bouquet de fleurs pour son amie, que Cerièra décidèrent de disposer sur les tables en plusieurs petit bouquets. Après passer un bon moment de sa matinée avec son amie dans la taverne a discuter elle décida de se proposer pour devenir sa tavernière ce que Cerièra accepta avec joie !!!

Arrivée le soir pour l'inauguration elle prirent un verre (ou même plusieurs pour la patronne) ensemble en discutant de chose et d'autre attendant qu'un fuxéen ou un voyageur passent.. Jusqu'à ce que le compagnon de la jeune femme arrive, après quelque semaine de séparation elle était heureuse de pouvoir le retrouver en taverne le soir de l'inauguration.. Cerièra voyant que les deux amoureux avait besoin de se retrouver les laissa seuls, elle confia alors le double des clés de la taverne a la jeune femme pour fermer derrière eux, se que Sebelia considéra comme une grande preuve de confiance.

Heureuse d'avoir retrouver son blond, Sebelia ne c'était pas rendue compte de l'anxiété de son compagnon elle avait mit sa sur le compte de leurs retrouvaille. Puis un peu plus tard dans la soirée Butch offrit a sa douce une magnifique bague et la demandas en mariage, ce qu'elle accepta sur le champs bien évident elle était folle de joie !!!

La jeune femme était au ange de cette magnifique soirée puisque quelque jours au paravent pendant son voyage en Provence elle avait eu la confirmation de sa grossesse...
Ceriera
Tard dans la soirée, Cerièra était tranquille au comptoir à faire la compta de la taverne.
La taxe taverne venait d'être remboursée, elle pourrait enfin donner quelques écus à sa jolie tavernière. Une première paye, ça se fêterait… demain soir !


Citation:
Nom : Sebelia
Poste : Tavernière du Bar «Le Central»
Description de poste : Faire boire les clients

Participation aux bénéfices sur la période du 17/09 au 07/10/1463 inclus : 22,33 écus

Le salaire de la tavernière sera payé aléatoirement, si bénéfices, après remboursement de la taxe par le bailli et calcul.

La patronne,

Cerièra


Ceci dûment envoyé à la demi-blonde, elle alla rejoindre sa maison… il s'agirait de veiller à ce que tout aille bien !
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη
Poma
Ça n'était pas souvent que Poma descendait de sa montagne, elle n'était pas férue de la ville, bien trop peuplée à son goût. Elle lui préférait de loin le calme de son village, où tout le monde lui était connu.
Mais voilà, cherchant en vain la patronne chez elle, elle se décida à aller voir si par hasard elle ne serait pas dans sa taverne, maugréant :


Ça ne m'étonnerait pas, vu comme son amie et elle s'en sont pris aux réserve de bièrs de l'auberge, chez nous !

La quinquagénaire rentra timidement, espérant la voir, priant le Très-Haut pour qu'il n'y ait pas trop de monde. Moins elle aurait d'interlocuteurs urbains, meilleure serait sa journée : il se dit tant de choses futiles à la ville !
Juste quelqu'un qui puisse la renseigner. Ou Cerièra elle-même…


Bonjorn. Y'a quelqu'un ?
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[size=10]Fromagère de Montferrier.
Sebelia37
Sebelia était au Central comme tout les matins pour faire le ménage quotidiennement, a cette heure-ci peut de monde venait a la taverne.

Elle alla a son rythme arrivant bientôt a son terme la demie blonde ne voulais pas trop se fatiguer au risque d'accoucher seule dans la taverne, après avoir nettoyer les table et le comptoir et elle prit le temps de s'assoir deux minutes le temps de boire un lait chaud au miel avant de commencer son balayage.

Perdue dans ces pensées elle releva la tête de sa tasse en entendant le grincement de la porte, elle vit une dame entrer timidement.

" Bonjorn. Y'a quelqu'un ? " entendit-elle.
Sebelia se leva avec le sourire

" Bonjour Dona Bienvenue, je suis Sebelia la tavernière du Central"

La demie blonde invita la dame a entrée et a s'installer

" Que puis je faire pour vous ? "
Poma
Poma aperçut vite une jeune femme fort douce, et visiblement future maman dans peu de temps. Le sourire de la tavernière la rassura un peu.

C'est à dire, heu… je cherche la patronne des lieux, Cerièra. J'ai quelque chose à lui donner. Je suis passée chez elle, je ne l'ai pas trouvée. Alors je me disais que peut-être ici…
… vous ne savez pas où elle est ?


Poma n'osait pas trop bombarder Sebelia de questions, mais quelque chose l'avait intriguée devant chez Cerièra. Elle demanda tout de même :

Dites, j'ai vu qu’elle a une porte neuve : elle a été cambriolée ?

Elle s'inquiétait. Quand la brune était venue à Montferrier, elle n'avait pas l'air dans son assiette. Réalisant un peu tard que Sebelia rechignerait sans doute à répondre à une inconnue, elle se présenta. Chose qu'elle n'avait pas l'habitude de faire. Boudu, à la montagne, tout le monde se connait !

Je… je m'appelle Poma. Je viens de Montferrier, le village où Cerièra a passé son enfance. Elle vous l'a dit peut-être ?
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[size=10]Fromagère de Montferrier.
Ceriera
Sapin
Central


Le sapin était magnifique, tout le monde avait mis la main à la pâte et c'était une belle œuvre collective, dont ils pouvaient se réjouir en dégustant leur vin chaud.
Mais comment allait le Central ? Restait-il des victuailles en nombre suffisant ? Les fûts n'étaient-ils pas vides ?

C'est ce que Cerièra allait vérifier, mais dès qu'elle ouvrir la porte, c'est tout autre chose qu'elle eut à l’esprit, reconnaissant Poma.
La Ferrimontaise avait eu un comportement étrange vis-a-vis d'Aryanna et elle quand elles la virent dans les montagnes. Que pouvait-elle bien faire ici ?

Un petit sourire à Sebelia qu'elle avait déjà retrouvée en ville, avant de se consacrer au cas Poma :


Poma ? Ça, pour une surprise…
Que viens-tu faire à Foix ?


La question était réelle, Cerièra ne se doutait pas qu'elle venait pour elle, vu l'accueil mitigé que la montagnarde lui avait réservé.
Autant Cerièra avait invité Bomacip pour les fêtes, autant elle s'était gardée d'en parler à Poma. En aurait-elle eu vent ?

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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη
Poma
Poma ne savait pas si elle était soulagée de voir enfin celle qu'elle était venue chercher, ou anxieuse, car c'était le moment de lui confier sa faute. C'était la culpabilité qui l'avait menée à Foix.
La vieille gardait bon nombre de secrets, mais s'était décidée à se débarrasser d'un d'entre eux. Et qui sait ? peut-être que cela aiderait à dénouer le reste, sans qu'elle ait à dire quoi que ce soit.


Je… j'ai… quelque chose à te donner. Ou plutôt à te rendre.
Tu sais que j'aimais beaucoup ta mère. Elle était une amie précieuse pour moi. Alors quand tu as décidé de quitter Montferrier, j'ai voulu garder quelque chose d'elle. J'ai pris ça…


Inutile de faire un long discours. Cerièra reconnaîtrait le bijou, les explications n'en seraient que plus simples.



Je n'aurais pas du. Elle te revient, c'est toi la Vidal.
Alors je suis venue te demander pardon et te la rendre.
D'autant que… c'est le moment, je pense.

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[size=10]Fromagère de Montferrier.
Ceriera
Cerièra percevait bien la gêne de Poma. Ça alors ! Celle qui s'était montrée si distante et énigmatique lors de sa ballade en montagne avec Aryanna, voilà qu'elle semblait chercher ses mots… qu'est-ce que c'était que cette histoire ?
C'est sourcils froncés, dans l'expectative, que Cerièra l'écoutait. Lui rendre quoi ? Qu'est-ce que sa mère venait faire là-dedans ?

Quand Poma ouvrit la main, elle reconnut tout de suite le médaillon de sa mère. Elle le prit, le serra entre son pouce et son index, et le regardant, elle voyait sa mère le porter, son sourire chaleureux, sa douceur.
Elle eut un sourire ému, trop ému pour ressentir de la colère contre Poma.


Je pensais qu'il était perdu. Tu sais, il ne me reste rien d'eux, que des souvenirs.
La Vidal… je n'utilise plus ce nom depuis bien longtemps. J'ai toujours eu peur qu'en l'entendant, j'ai plus de chagrin qu'autre chose.


Les larmes lui montaient aux yeux, si bien qu'elle ne fit pas attention tout de suite au «c'est le moment» de Poma.
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη
Poma
Voyant l'émotion de Cerièra, Poma se demanda comment elle avait pu lui en vouloir autant de temps. En vérité, elle avait eu de la peine Poma, de perdre les parents de Cerièra, surtout Beatritz, son amie. Elle aurait bien gardé un peu plus leur petite, mais voilà qu'elle avait décidé de partir. Se sentant abandonnée de tous, Poma avait pesté contre celle «qui n'en faisait qu'à sa tête».

Elle se radoucit en voyant «la petite» au bord des larmes.


Allez, pleure pas va… elle n'était pas franchement douée pour remonter le moral des gens, et était assez mal à l'aise. Elle donna donc un peu plus d'informations à Cerièra, avant de se préparer à filer en vitesse.

Ton père avait le même. Ça venait de lui ce symbole. Il l'a perdu quand tu étais petite.
Ta mère était en colère contre lui, mais ça ne l'a pas empêchée de continuer à porter le sien.


Elle guetta ses réactions. Ça n'était pas qu'une question de médaillon, ça avait été toute une histoire à l'époque. Les années qui suivirent, elle s'était toujours demandé ce que la petite savait ou pas. Se pouvait-il qu'elle ne se souvienne plus ?

– Ah bon ? Je n'en savais rien…

Voilà qui expliquait qu'elle n'ait pas réagi non plus aux petits cailloux qu'elle lui avait laissé sur le chemin, la dernière fois.

Tu devrais le porter ton nom Cerièra. C'est ton héritage, ne le renie pas.

Poma se leva d'un coup, et prit la direction de la porte. Elle était émue aussi Poma, mais au lieu de le montrer, ou de partager son émotion avec Cerièra… courage, fuyons ! Et puis, elle avait peur de trop en dire à force…

Bon, je rentre dans ma montagne moi ! J'ai assez traîné ici. Au plaisir, si tu remontes par chez nous.

– Bomacip est ici. Tu ne veux pas rester pour les fêtes ? Les fuxéens ont fait un joli sapin.
Oh, allez Poma, ne fais pas ta sauvage, suis-moi ! Tu viens boire un vin chaud, et si tu ne veux pas rester, je te laisse partir, promis.


Cerièra 1 - Poma 0, échec et mat. Elle ne semblait pas lui en vouloir, si elle l'invitait à rester. «Un cœur tendre, comme sa mère tiens», pensa-t-elle, retrouvant un peu de Beatritz chez Cerièra. Va pour un vin chaud, elle salua la tavernière et suivit Cerièra, prenant sur elle d'avance d'affronter la foule.
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[size=10]Fromagère de Montferrier.
Bomacip
[brève de conversation]

Au Central, devant une bière, Bomacip et Cerièra discutaient du prochain départ de la brune, et des projets du vieil homme.

– Vraiment Bomacip je ne te comprends pas. Tu sais combien Antoynette a été triste des nouvelles du Prieuré ?

… ce qui ne l'empêche pas de s'y rendre Cerièra. Et ce qui ne t'as pas empêchée, le sachant, d'essayer d'arrondir les angles.

Tous étaient artisans de paix, Cerièra veillait sur Antoynette en écrivant à Ellya, Bomacip pourrait veiller sur elle en y étant. Mais impossible d'avouer cela à Cerièra, elle lui dirait «Ça n'est pas à toi de faire ça, tu en fais déjà bien assez, pense à toi un peu…» ou quelque chose dans le genre. Il le savait.
Mais Bomacip n'avait jamais eu d'enfants. Cerièra, pour lui, c'était déjà un peu sa fille, alors ses proches amies aussi. Qu'elle le veuille ou non.

Il chercha d'autres arguments pour motiver sa décision :


C'est bien toi qui m'en as parlé de ces travaux, il y a quelque temps, souviens-toi ! Si je peux me rendre utile… et puis, ça m'occupera le temps de ton voyage, je n'ai pas envie de revenir tout de suite à Montferrier. Je t'accompagnerais jusqu'à Bordeaux comme ça !

Bomacip voyait bien à la tête de la diaconesse qu'elle n'était que moyennement ravie. Cette idée lui trottait déjà dans la tête depuis qu'elle lui en avait parlé avant les fêtes, tant il est vrai qu'il aime aider. À plus forte raison souhaitait-il s'y rendre aujourd'hui. Il espérait qu'elle accepte au mieux son choix. Aussi la prit-elle par les sentiments :

Je pourrais ramener de la bière pour le Central ? dit-il en rigolant. Sa bonhommie semblait dérider un peu son amie.

– Oui mais… et ton atelier Bomacip ?

Ils continuèrent ainsi un moment, sur le sujet…
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Artiste du noir et du blanc.
Antoynette
[De retour après une longue absence]

Enfin rendue! Foix. Après plus d'un mois d'absence. Et chose promise chose due, Antoynette rapportait de la bonne bière ambrée de Sainte Ilinda. Soeur Ellya lui avait prêté un âne, et la pauvre anas avait eu une charge bien lourde pour le retour: trois tonneaux et la petite Olympe. Mais il allait pouvoir reposer son dos. La brune arrivait devant la taverne de son amie. Elle frappa.

Cerièra? C'est pour la livraison.

Elle allait avoir besoin d'aide. Décharger ça toute seule, c'était tout bonnement impossible.
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Ceriera
À peine passée chez elle en arrivant, Cerièra était au Central, à faire l'inventaire de la taverne.

Toute cette bière ?

C'était incompréhensible : il ne restait quasiment plus de pain, alors qu'elle en avait mis davantage que d'habitude, par contre… les fuxéens n'avaient rien bu ?

Ma ville est malade ?

Foix qui ne boit pas c'est… improbable, c'est comme…
… le Domaine Royal ne nous enquiquinait pas avec ses frontières
… le vent ne nous bloquait pas des jours dans l'estuaire
… Cerièra qui ne dirait pas de bêtises…

J'en oublie, certainement.


– Cerièra? C'est pour la livraison.

*Ah ! La voilà la solution !* J'arriiiiiiive !

Peut-être les fuxéens préfèreraient l'ambrée ? Pour qu'ils la découvrent, Cerièra offrirait la tournée de la patronne.
Elle rejoignit Antoynette dehors pour…


Gnnnnnn…

… ramener les fûts à l'intérieur, l'un après l'autre, à la force de ses petits bras.
Quand on est têtue, on n'a pas besoin de muscles. C'est le tempérament qui porte les fûts.

Elle en vissa un et, vu qu'elles étaient seules toutes les deux…


Anas t'attendra bien un peu ? On s'en boit une ?

Sans attendre la confirmation de son amie, elle servait déjà deux bières.
Qu'Antoynette en refuse serait aussi improbable que… voir plus haut.



Et la brune de prendre une goulée avant de changer le panneau de la taverne :

Cerièra, sur le panneau du Central, a écrit:
    ~ En ce moment ~

    Bière ambrée de l’Abbaye de Sainte-Illinda, ramenée par Antoynette. Merci à elle !

    Mardi 23 février : ce soir la patronne offre à boire, venez goûter l’ambrée !
    Mercredi 24 février : messe en l’église Saint-Volusien : «L’Homme est-il un loup pour l’Homme ?» Une tournée offerte à ceux qui seront venus !


[le fait de boire des bières dans une chope comme ça est certainement un bel anachronisme : qu'on me pardonne… la couleur est si jolie !]
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη
Antoynette
Si Anas allait attendre! Bien sûr, il était débâté, et bien attaché devant l'abreuvoir de la taverne. Antoynette sourit à son amie. Elle l'avait regardé le débarrasser seule des tonneaux, et avait baissé les yeux, gênée de ne pouvoir aider. Ou du moins, de n'avoir pas essayé. Mais Cerièra ne semblait pas lui ne vouloir, alors elle accepta la choppe avec plaisir.

On l'inaugure.

Ce n'était pas une question. Elle sourit et trempa ses lèvres avec délectation dans la mousse.
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