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[RP] Aux portes de La Trémouille (arrivées et départs)

Sons
sons sachant le retour de ducho proche se decida de sortir de son histoire de coeur d avec sa pinte qui l occupe depuis quelque jours
arrivait aux porte de la ville ,il retrouva tout ses compagnons rencontre pendant la campagne angevine
je sais que vous avez perdu l un des votre la bas ,je vais l attendre avec vous pour lui rendre un dernier hommage ,je l ai guere connu ,mais ce aurais pus etre l un des notres,donc par fraternite dans la douleur je vous tiendrais compagnie pour un derniere adieu

je saluais tout le monde et commence quelques prieres en silence ,tout en me disant que chaque jour l aube nous aporte ses joies et ses peines
pnj


Bertal arriva la mine basse, vêtu comme à son habitude, surtout comme Ducho avait eu l'habitude de le voir.

Il salua l'ensemble des amis qu'il trouva sur place d'un signe de tête et, se calant sur un coin de tonnelet qui traînait par là, il se mura dans un profond silence méditatif.
Honore.saint_cyr


Honoré avait par hasard suivi Bertal qui se rendait aussi aux portes de la ville afin d'accueillir le cortège funèbre avec la dépouille de Ducho, le diacre n'avait que peu connu l'homme du fait qu'il n'était pas un habitué des tavernes, toutefois, il le savait bon vivant et humoristique, c'est ce souvenir qu'il garderait du garçon.

Le Diacre se signa, personne ne lui avait demandé d'officier les funérailles, Ducho était-il seulement baptisé? quoi qu'il en soit, c'était un trémouillois apprécié, le diacre se devait d'au moins venir lui rendre un dernier hommage et il préféra se mettre discrètement en retrait à quelques mètres de là.

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Evêque du Mans
Daien
Daien savait que le village avait perdu une âme forte..encore un pillier qui disparaissait de La Trémouille. Il s'avança vers les remparts, aperçut un petits groupe de personne non loin de là. il leur adressa un signe de la main discret, puis s'assied sur le rempart, les pieds dans le vide, ferma les yeux, et abaissa le rabat de son chapeau près des yeux...
Un vent de tristesse balayait les remparts, et glaçait les joues des quelques personnes présentes, attendant le retour de la dépouille de Ducho...

Daien sentit une larme lui couler le long de la joue droite, le vent glacé?..la tristesse?..les deux surement. Il murmura..


"Le trio n'est plus, un est mort, l'autre blessé gravement..et moi?...."

Il soupira et attendit....
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Forcehung

Force quittait son poste de Police 1 heure plus tôt (ahhhhh le fonctionnaire !!! ^^).
Il était sobre pour une fois.
Et pourtant il déambula la place puis les rues, comme un fantôme. Il croisa les personnes sans vraiment les voir.
C'est un triste jour à marquer d'une pierre blanche.

Arrivée aux portes de la ville, il reconnut les amis de Ducho :
Lorrys, Bertal, jehan, Olivier, little et bien d'autres encore.

Ducho était très apprécié. Si jeune et déjà dans le trépas.
La vie est bien aléatoire.

Force rejoignit ses amis, les salua et resta silencieux avec eux un moment même s'il savait que sylmeria n'arriverait que demain. Partageons notre tristesse ensemble.


Jehan_de_proisy
Jehan était plutot silencieux et continuait de scruter l'horizon...

Tout d'un coup il se redresse et porte sa main en visière sur ses yeux pour mieux voir...


Mes amis...je crois qu'ils arrivent si je ne me trompe pas...regardez, sur la route qui vient de Poitiers il me semble qu'ils y a plusieurs cavaliers et des charrettes non?

Jehan époussète sa tenue comme s'il attendait un hôte de marque...il sent le moment qu'il redoute arriver et s'y est préparé...


Allez courage, se dit-il, Ducho n'aimerait pas que je faiblisse et me laisse aller.


Jehan descend des remparts et se plante droit comme un "i" auprès de la porte. Il attend...
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Jehan_de_proisy
Jehan en attendant revoit les moments passés avec son ami. Leur jeunesse avec ses bêtises comme seuls savent en faire les jeunes hommes.
Leur début de vie d'homme où ils se sont engagés pour défendre leur Comté au moment où d'autres choisissaient de ne rien voir de ce qui se préparait.
Puis les campagnes auxquelles ils ont participé partageant l'excitation du moment et l'amertume de l'après-combat.
Oui ils ont fréquenté les tavernes ensemble que cela soit à La Trémouille ou bien à Poitiers. Ils y ont rencontré toute sorte de gens. Des hautains fiers de leur nombril, des frileux se cachant derrière leur ombre, des mégalos, des sentencieux, des fourbes faisant mine de boire de la tisane et de redouter les femmes alors qu'ils mènent une vie de patachon...Combien de fois ont ils rit ensemble en regardant vivre leurs semblables.
Jusqu'au jour où Ducho a demandé à Jehan ce que ce dernier attendait pour se présenter à la mairie...
Et là, à la veille d'un nouveau mandat Ducho revenait comme pour dire à Jehan "Vas y mon ami! fonce n'écoute pas les sots et les chagrineux, fonces!.
Jehan y voit un signe et ses doutes s'envolent, sa conviction se raffermit, il a à présent un peu d'expérience et il va la mettre toute entière à la disposition de ses villageois, mais là il va s'occuper du premier d'entre eux pour lui...Ducho

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pnj
Sylmeria adressa un signe de remerciement au commandant des Eperviers pour son escorte.

Elle franchit les portes de La Trémouille, tirant par la bride un cheval lourdement attelé. Le matin se levait, déjà des silhouettes se profilaient face à elle. Elle remit sa capuche, tapota les naseaux fumants de l’équin pour lui signifier la fin de son périple.

Ainsi, Ducho rentrait chez lui. Un retour aux racines, auprès des siens. Evidemment, les gens présents devant les portes de la ville devaient être là pour lui…Elle baissa la tête, avançant à la recherche d’un homme qu’elle finit par reconnaitre. La carriole s’arrêta. Elle jeta un regard en arrière, comme elle avait fait de nombreuses fois pendant le trajet. Comme si, dans un dernier espoir, un dernier coup de folie, il avait pu sortir, s’en sortir, à nouveau la faire rire, sourire. Idiote…Le linge blanc était toujours là, recouvrant le cercueil du trémouillois. Il n’avait pas bougé du trajet, tuant toute folle illusion qu’elle se plairait à imaginer.

Elle releva brièvement la tête, encapuchonnée, reconnut quelques visages amis, mais évita de croiser leur regard. Comme à Poitiers, on saluerait à La Trémouille la mémoire d’un frère, d’un ami, rien de plus normal. Simplement, elle, elle n’en pouvait plus. Enfin, elle vit Jehan. Elle s’approcha, l’enlaça brièvement.


- Jehan, Ducho ne voulait rien de grandiose, pas d’hommage extraordinaire, pas de cérémonie religieuse, juste partir, simplement. J’ai conscience que cela est difficile, tout le monde veut le saluer une dernière fois, cela s’est passé ainsi à Poitiers, cela se passera ici.
- Je ne connais pas La Trémouille, je te laisse décider où son corps doit reposer. Il est rentré chez lui, c’est tout ce qui compte à présent, auprès de ses amis et de ses plus fidèles proches qui sauront lui rendre un hommage respectueux.
- Je vais repartir au plus vite, excuse moi auprès des amis que je n’aurai salués. Qu’ils sachent que Ducho est parti heureux, en forêt de Poitiers, à mes côtés, souriant, mais aurait-on imaginé autre chose…


Un faible sourire à son frérot, puis d’une voie sanglotante :

- Je suis désolée…tout cela a été si…brutal…je n’ai rien pu faire, pas pu le retenir, pas pu vous le ramener…en vie. Je suis désolée.

Puis l’envie d’en finir, de rester, ici comme à Poitiers, encore forte une dernière fois, avant de s’autoriser ce qu’elle n’avait pu faire jusqu’à présent, son deuil, seule.

- Jehan, j’aurai besoin d’un coup de main pour dételer la carriole et descendre le cercueil de Ducho. Tu peux t’en charger ?

Elle rejoint la carriole, fixant le cercueil, préparée depuis de longues journées à cette ultime séparation qui ne cessait de la faire souffrir.
Vite, reprendre la route, rentrer à Poitiers, seule
Vite, faire vivre sa mémoire et ses souvenirs
Enfin, bientôt, repenser à lui, à eux, et sourire.
Mimill
Mimill arriva à son tour et avait reconnu certain de ses amis, elle savait pourquoi ils étaient tous réuni ici.

Elle écouta Sylmeria demandé à Jehan de descendre le cercueil de Ducho ce qui lui fis froid dans le dos ... elle qui l'avait vu repartir il y a quelques semaine, le voilà de retour mais pas comme ces amis l'auraient espérer.

Mimill demeura silencieuse et regardait au loin ...
Chiquette
Chiquette regardait au loin l'arrivée de syl et de son ami défunt,le coeur battant à toute pompe,les yeux noyés par le chagrin,elle ne trouvait pas la force de descendre les rejoindre ni surtout la force de regarder le cercueil ou se trouvait l'un de ses meilleurs amis
Elle se remémorait les instants passés avec ducho en taverne,les bonnes parties de rigolade et le temps des tatouages,mais aussi l'accueil qu il lui avait fait lors de son arrivée a Lt...
Elle pensait au voyage qu'ils devaient faire ensemble...ce voyage si attendu,et se demanda si ce n est pas ce voyage qu'elle devrait faire avec lui...
Chiquette restait figée,les bras balant,les yeux fixés vers tout ses amis reunis
pnj
Cesar qui passais par ici entendit Sylmeria parler de Ducho.
Il baissa la tête,retenu quelque larmes...et soupira.
Il pensant au bon moment passé avec lui.Surtout les rigolades...
Ducho...une personne importante pour moi...et pour nous...
Il se dit que c'était le choix de ducho et que nous qui avons essaier de le retenir...maleuheureusement il est quand même parti...
Cesar leva la tête et regarda le ciel en soupirant...
pnj
Millicent avait appris quelques jours plus tôt la mort de Ducho. En apprenant que son cercueil était aux portes de la ville, elle se précipita là-bas. Beaucoup de monde regardait déjà le morbide spectacle.
Elle se fraya un chemin jusqu'à Mimill et Daien.
Elle vit alors la boîte sombre qui détenait à présent le corps de son ami. Les larmes qu'elle avait réussi à tarir lui revienrent aux yeux. Ducho allait beaucoup lui manquer.
Jehan_de_proisy
Jehan serra sa sœurette dans ses bras essayant de la réconforter de son mieux et saluant le courage de la jeune femme d'avoir pu faire faire cet ultime voyage à son ami.

Merci Sylm, et courage tu sais que je suis la pour toi.
Il sera fait selon ses volontés...n'ais aucune crainte.
Pas de messe, pas de cérémonie, juste quelques vrais amis.
Sylm si tu souhaites venir t'installer à LT tu y seras la bienvenue alors réfléchis et quand tu aura repris un peu le dessus, fais moi savoir ta décision...


Jehan embrasse sa sœurette affectueusement.
Citation:
- Jehan, j’aurai besoin d’un coup de main pour dételer la carriole et descendre le cercueil de Ducho. Tu peux t’en charger ?


Pas de souci, à partir d'ici je prends le relai Sylm...tu as plus que largement fait ta part...reposes toi...

Jehan s'approche du cercueil heureux que personne ne puisse remarquer le désarroi qui l'habite en cet instant. Il se signe et murmure quelques mot à voix très basse à son ami...
Enfoiré! tu aurais quand même pu revenir nous voir une dernière fois...

Après s'être recueilli quelques instants Jehan se retourne fait un signe aux amis pour qu'ils l'aident à décharger. Il a fait venir une charrette pour conduire Ducho sur la petite colline qui domine le village.
De là ce dernier pourra les regarder vivre et sourire de leurs éternelles facéties.

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Daien
Daien était encore là assis à méditer de sombres pensées, quand il fut tirer de sa torpeur par l'arrivée du cortège lugubre...Il essuya rageusement la larme qui avait coulée, et descendit les marches pour aller à la rencontre de Sylméria...

Il l'entendit demander des volontaires pour porter le cercueil, il s'approcha de Sylméria, et inclina légèrement la tête.

"Bonjour Dame, on se connait pas trop, je suis Daien, ami de calembours de Ducho, je viens prêter main-forte pour le cercueil.
Il tapota l'épaule de Jehan..

"aller, mon cher, on retrousse ses manches" dit -il en faisant un clin d'oeil.
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pnj
Sylmeria laissait les trémouillois agir. Elle reconnut la plupart des gens présents, et avait toute confiance en ceux que Ducho lui avaient jadis décrits comme ses amis. Certains lui adressaient la parole, d’autres observaient en silence.
Elle ne savait que trop depuis plusieurs jours le sentiment qui peut habiter les hommes à la vue du corps inerte d’un ami que l’on aimerait embrasser mais qu’en même temps l’on n’ose toucher.

Son cheval fut débarrassé de la cariole et on chargea le corps de son aimé sur une charrette que Jehan avait pris soin de faire avancer.

Ce serait là son ultime trajet, qu’il ferait aux côtés de ses proches et amis. Sylmeria n’avait pas la force de l’accompagner plus. Et puis, même en haut d’une colline de La Trémouille, il n’en restait pas moins encore présent partout autour d’elle. Ce serait sa manière à elle de le garder à ses côtés.

Elle reprit la bride de son cheval, fit un signe discret de la main à Jehan pour le remercier, et prit le chemin du retour.
Elle se retourna une dernière fois, les murs de la ville franchis. Puis accéléra le pas, une furieuse envie de crier, mêlée à une grande faiblesse lui faisait trembler les lèvres. Curieuse sensation qu'elle ne parvenait à réprimer, puis qu'elle laissa avec soulagement s'exprimer.

Soupir, sanglots, regard vers le ciel étoilé,
Avenir incertain, dure réalité, projets abandonnés,
Une vie à recommencer, larmes chaudes et salées,
Mais envie de se relever, chevauchée vers Poitiers.
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