Klouska et Bisouman sauvés du bucher (Janvier 1457)

Dans la première semaine de l’année 1457, un triste événement arriva à deux Clermontois forts aimés et investis dans leur commune. Klouska et Bisouman venaient d’être accusés de sorcellerie et risquaient le buché !!


Au tribunal, L'évèque Zippo avait ainsi déposé l’acte d’accusation de Klouska :

« Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Bisouman.

De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps. »

Klouska, après avoir reçu la missive du tribunal arriva en courant afin de s'expliquer.
C'est donc les joues rosies et le souffle court qu'elle s'agenouilla devant Mme le Juge et qu'elle prit la parole :

« Mme Le Juge,
C'est honteuse que je viens me présenter à vous aujourd'hui. On me condamne aujourd'hui de Sorcellerie, ce qui me transperce le coeur... J'ai toujours été une citoyenne dévouée et c'est justement pour apporter notre aide à Ste Ménéhould que Bisouman et moi avons dut, nous l'avouons faire un petit tour de passe passe.. (en effet, "Bisouman" étant en vacances chez moi pour les fetes de fin d'année nous avons été obliger de gerer nos personnages de mon seul ordinateur) Bisouman et moi aurions effectivement pu partir en retraite mais la situation à Sainte n'était pas vraiment stable alors nous sommes resté là au cas où vous auriez eu besoin de nous.
Pour notre défense, je me dois de vous préciser tout de même que dès notre 1ere avertissement nous vous avions contacter par courrier pour vous expliquer la situation.

C'est donc en mon nom et en celui de Bisouman que j'invoque votre grande clemance. »
Klouska, toujours à genoux baissa la tête et attendit la sentance. Elle esperait de tout son coeur que ses mots auront pu expliquer ses gestes.

La défense a appelé Iscambe à la barre.

Iscambe avait reçu sa lettre de convocation et s'empressa de se rendre au tribunal afin d'apporter son témoignage. Elle avait été bien surprise d'apprendre que Klouska et Bisouman étaient inculpés de sorcellerie, si exemplaires et respectueux des lois qu'ils étaient. C'est donc le coeur gonflé d'incompréhension qu'elle entra dans la salle :

« Monsieur l'évèque, je tiens à apporter mon témoignage en faveur de Klouska, car elle est une personne exemplaire pour tous à Clermont : travailleuse, gentille, serviable et qu'elle ne peut avoir perpétré les choses que vous dites. Monsieur le Juge, Klouska est dévouée à sa ville : elle a été douanière de Clermont ; elle est dévouée à la Champagne : elle est allée défendre, au péril de sa vie, la ville de Sainte qui menaçait de faire cessession ; enfin elle est dévouée à sa famille et ses amis : toujours prête à rendre service et réconforter son prochain ; enfin elle est dévouée à Aristote car elle compte se baptiser et se marier, choses qui n'ont pu être faites, étant tous déplacés à Sainte pour les événements que vous connaissez.
C'est pourquoi je demande à la cour de faire justice et de ne point entendre les calomnies qu'on répand sur sa réputation et son honnêteté. J'en ai fini Monsieur le juge »;
Iscambe alla s'assoir en retrait de la barre et attendit la sentence.

La défense a rappelé Klouska à la barre.Voici son témoignage :

« je viens d'apprendre que vous alliez m'eradiquer.
C'est donc le coeur lourd et dans l'incompréhension la plus totale que je dis Adieu à tous mes amis...
Trouvez vous normal de m'envoyer au bucher sans raison ? (comment Bisou et moi pouvons nous etre un seul personnage puisque nous sommes en couple ?? le Hrp doit il vraiment tuer le Rp... tout cela n'a pas a etre lier, et je ne devrai pas etre dans cette situation.. )
Je n'ai JAMAIS commis d'acte de sorcellerie et vous allez me bruler pour des actes que je n'ai pas commis.
Aristote vous punira pour cet acte. »

Klouska se laissa tomber au sol et ne dit plus un mot... attendant son sort.


Le même jour, L'évèque Zippo prononçait également l’acte d’accusation de Bisouman :

« Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Klouska.

De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps. »

Bisouman, appelé à la barre répondit :

« Dame Klouska et moi même avons etaient trainé devant la Sainte -Inquisition, pour sorcellerie.
Je ne peut point nié que nous n'avons pas pris en compte les avetissements de madame la juge, mais cela pour plusieurs raisons (RP comme HRP).
Premiérement, (HRP parlant) , Dame Klouska et moi-même somme ensemble mais nous nous voyons peu, habituellement nous mettons nos personnages en retraite sauf durant la semaine du 26/12/1457 au 04/01/1458 pour la cause qui nous mene à la seconde raisons.
Donc en second lieu, (rp parlant) , aucun de nous deux c'est mit en retraite, car il se trouve que durant cette periode nous attendions des ordres du Duché car nous etions en pourparler avec St Menehould qui essayer de se rebeller contre le duché pour devenir une ville frenche et independante.
C'est pour cette raison que nous avons était traduit en cours??
Pour avoir voulu proteger notre duché!!
Cela et il normal?
Nous essayons de sauver notre patrie et nous sommes condamner pour une chose insignifiante, je vous pris votre grâce de bien vouloir nous laisser vivre et nous épargner la potence. »


La défense a appelé Oceanedr à la barre. Voici son témoignage :

« Madame le Juge, Monseigneur,
Je me presente aujourd'hui devant vous avec le plus grand respect, mais aussi fort attristé.
En effet, j'apprends que mes 2 amis de toujours, Bisouman et Klouska risquent le buché.
Pour quelle raison, la sorcellerie...
Je les connais depuis toujours, c'est même moi qui ai accueillit Klouska a Clermont, et je suis le parrain de Bisouman.
Je les ai vu evoluer séparement, et quel ne fut pas mon bonheur un jour de les voir tomber amoureux.
Se sont des personnes engagées dans la vie Clermontoise, de bons citoyens actifs aimant leur village et leur duché...
Si eux sont sorciers...alors tout le monde l'est..
J'implore votre clémence, punnissez les...mais ne les brulez pas... »(HRP je peux vous affirmer que se sont bien 2 personnes distinctes, qui sont tombées amoureuses gràce aux RR, la situation de Sainte les obligeait a rester actifs ds le jeux voila pourquoi ils ne sont pas entrés en retraite. Se serait vraiment dommage de tuer des personnage RP a cause de ça...)

Puis, ce fut au tour d’Iseult.
Elle arriva en serrant les dents, et salua le juge.

« Madame le juge,
J'ai appris la future, et iminante, éradication de mes amis, Bisou et Klouska.
Bisou et Klouska sont un peu des plus beaux couples que j'ai eu l'occasion de rencontrer. Leur bonheur étincelle dans notre belle ville de Clermont, et il nous rend heureux. Ce sont des êtres merveilleux, débordants de bonté, et défendant leur ville.
L'idée de nous séparer d'eux nous est insupportable, je parle aux noms de tous les Clermontois et amis des accusés.
D'ailleurs, de quoi les accuse-t-on vraiment ?
D'avoir préféré faire un acte qui parait tout à fait insignifiant, quand on y pense, pour défendre Sainte Ménéhould ?
Avec tout le respect que je vous dois, je trouve tout ceci ridicule.
S'il venait à leur arriver l'injustice, pour ce dont on les condamne, ils nous manqueraient à tous énormément, et Clermont perdrait de ses meilleurs habitants.
Avec tout mon respect. »

Iseult s'inclina, et dessera un peu ses poings..


Sans que le jugement soit rendu, et malgré la mobilisation de nombreux Clermontois, le buché fut préparé pour le soir même.

La nuit du 06 au 07 Janvier 1457, Klouska et Bisouman devait être transférés de leur prison vers le Buché. Ils étaient enfermés dans une charette-cage accompagné de 3 gardes et du bourreau.

De son coté, Océ, ainsi qu'un groupe de Clermontois de préparaient a l'attaque. Ils étaient sur le chemin menant au buché, en embuscade. Océ s'adressa à ses amis.

Mes amis !! Ce soir, nous allons nous battre contre la sainte inquisition...nous devons réparer cette injustice, nous devons sauver mes amis, NOS amis !! Une dernière chose avant qu'ils arrivent...je ne veux pas de morts, je ne veut pas de bléssés...nous nous devons de les libérer sans effusions de sang !

Il leva son épée, tous étaient prêt a l'attaque. Quand le convoi passa, Océ sauta au milieu de la route brandissant son épée.

STOOOOOP !!!!!!

Le convoi s'arreta, les gardes et le bourreau se firent menaçant, riant de voir ce simple fermier au milieu du chemin.

QUE COMPTE TU FAIRE IMBECILE !!! NOUS SOMMES PLUSIEURS, NOUS SOMMES ARMES ET ENTRAINES !!

Océ eut un petit sourire et leva son épée au ciel.

Les amis !!! A MOI !!!!

Iscambe avait, bien sûr, accompagné son parrain pour la dure besogne qui s'annonçait. Attaquer un convoi de la sainte inquisition n'était pas sans la faire frémir de crainte et surtout de dégoût... Mais enfin, elle surmonterait ses sentiments pour sauver sa soeurette d'une mort atroce et certaine.

Sur le chemin, elle serrait fort son bâton dans sa main gauche et son bouclier dans sa main droite. Elle n'aurait jamais penser se servir de ses pauvres armes contre une telle équipe de soldats aguerris. Une épée serait plus efficace, c'est sûr... encore faudrait-il savoir s'en servir !!! Mais ils étaient nombreux les Clermontois, amis fidèles et effrontés, prêts à affronter le pouvoir quand celui-ci s'apprêtait à leur enlever des amis si chers à leur coeur.

Quand Océ la tira de sa rêverie en criant un "les amis, A moi !" elle se ressaisit et ne pensa plus qu'à délivrer sa chère soeur. La serrer dans ses bras, puis prendre soin d'elle était son obsession, afin de lui faire oublier les tristes heures qui l'ont vues accusée, condamnée, mise au fer et menée au bûcher.

Iseult observait la scène, de loin. Elle pleurait. Elle n'osait pas s'approcher. Mais elle ne voulut pas ses cacher les yeux. Elle se froça à regarder l'horreur qu'il était infligé.

Queza comme beaucoup de clermontois avait été prévenue de l'arrestation de klous et Bisou. Elle avait rejoins le groupe d'Océ pour les tenter de les aider à sortir de là. Muni de son simple bâton, à croupie dans les fourrés, elle se rappelait inlassablement dans sa tête:
"L'union fait la force! L'union fait la force!"

Vu le nombre qu'ils étaient et comme chacun était armé, ils devraient réussir leur embuscade. Il suffisait que les plus armés monobilisent les bourreaux pendant que les autres trouvent les clés et délivrent les prisonniés.

Elle guettait le convoi... les bourreaux étaient corectement équipés, entrainés et n'avaient pas passés quelques jours à se promener sur Sainte. Mais lorsque le convoi arriva, la rage contre la justice ou plutôt l'injustice remonta en elle. Elle ne pouvait supporter de voir ainsi ses deux bons amis enchainés dans cette cage. Alors, quand Océ les appela, elle n'hésita pas un instant, elle bondit de sa cachette.

Jeanmerlin en entendant le signal de l'attaque du chariot se dit que l'effet de surprise jouerait à coup sûr en leur faveur...mais après...Ils avaient quand même à faire à des gardes de la prison, des hommes entrainés...
Jeanmerlin chuchota à ses compagnons:

Attaquons nous d'abord au conducteur du chariot pour paralyser l'avancée vers la place du buché.

Jeanmerlin se faufila sous la charette le plus discrêtement possible et après avoir atteind l'avant du convoi assomma rudemment le garde,stoppant net le chariot

Asphodele et Hanae passaient par là pour leur petite randonnée quotidienne. Elles virent de loin un drôle d'attroupement. En y regardant de plus près, Aspho reconnut ses amis.

Klous... Bisou... murmura t elle.

Elle avait envie d'aller rejoindre Océ et tous les autres pour les aider mais elle étaity avec Hanae. Le temps de la déposer chez quelqu'un et de revenir l'attaque serait terminée. Elle était là à hésiter. Hanae avait lâcher sa main. Elle était tel une boxeuse: elle frappait de ses petits poings, le droit puis le gauche en sautillant sur place. Aller tonton Océ disait-elle d'un air déterminé. Les coups s'enchainaient avec une rapidité étonnante. Elle commença à courir quand Aspho la stoppa dans son élan.

Restes ici toi et calmes toi. Que dirait ton papa s'il te voyait?

Il dirait certainement : Vas-y Hanae mets leur une correction à ses bourreaux! Et ils y seraient aller tous les 3!

Quelle tristesse. Aspho appereçut Jujoss et alla vers elle et la prit dans ses bras tout en zieutant les autres pour y aller si l'un d'eux se trouvaient en difficulté.

Dove qui avait appris l'injustice qui se perpétrait, tait revenu sur ces pas. Il ne savait pas ce qu'il allat faire mais il était plein de colère. Soudain, il vit tout un attroupement autour d'un chariot. Et, il crut entendre son ami crier:

Citation :

Les amis! A moi!!!!

Dove accouru, c'était bien ses amis qui s'attaquaient au chariot. Il fut prit d'un immense espoir et se mèla à l'attroupement. Il aperçu au travers des barreaux, le visage de Klouska et Bisou. Plein de fureur, il assena des coups de baton et cria:

On n'a pas le droit de toucher à nos amis!!!

Klouska, redressant son buste sur ses bras meurtris s’approcha des barreaux pour voir ce qui se passer autour d’eux. Elle cligna des yeux pour s’éclaircir la vue. Et c’est la qu’elle aperçu ses amis.
Tout allait très vite… elle avait tout juste le temps de reconnaitre leur visage avant de les voir filer se battre avec d’autres gardes.
Elle sortait peu à peu de sa stupeur et reprenait ses esprits. Toute cette agitation lui donnait la nausée mais ce fut les pleurs de Bisou qui la firent réagir.
Elle se tourna vers lui et lui dit d’un ton sévère.

Tu crois vraiment que c’est le moment de pleurnicher ?? Nos amis sont la, courageux et téméraires de venir essayer de nous sauver et toi tout ce que tu trouve à faire c’est de pleurer ?

Klouska, oubliant la douleur commença, par mouvement lents et calculés, à se relever en se servant des barreaux de leur cage comme appui.

Allez Bisou, nous devons être dignes de leur amitié…. Soyons fort et courageux comme ils le sont ce soir pour nous !

Toujours agrippée solidement à ses barreaux, elle tenait debout mais semblait frêle.
Elle sourit quand elle vit que Bisou rassemblait ses dernières forces lui aussi pour se relever.

Elle était à bout de force mais elle savait également que les chances que cette évasion réussisse était mince et qu’il fallait absolument que Bisou et elle y mette du leur s’ils voulaient espérer pouvoir vivre.
Elle secoua les barreaux de la porte de la cage mais celle-ci semblait fermée.

Evidement, pensa t’elle… ils n’allaient tout de même pas nous laisser la porte grande ouverte.

Elle chercha des yeux ses geôliers dans ce brouhaha en se demandant lequel pouvait bien posséder la clef et surtout... surtout… comment la récupérer…

Inspirant et expirant profondemment, elle se dit que se focaliser sur le probleme n'est pas la bonne marche à suivre... il lui fallait penser aux solutions possibles.

Les clefs.. voila qui serait le plus simple.. mais comment les trouver ? Demander à mes amis de fouiller les gardes ?? non ca ne marcherai pas... et ils sont nombreux et surtout occuper à se battre en préservant leur vie.

Klouska, regardant les longues épées que brandissaient les gardes se dit que se pourrait etre envisagable.
Oui mais les barreaux semblent vraiment solide, ils résisteront même à une épée...

Klouska ne s'en rendait même pas compte mais elle pensait à voix haute et Bisou la regardait fixement et surtout semblait impressionné par le calme de la jeune femme.

Après avoir assené quelques coups, sa fureur passa. Il fit rapidement une estimation de la situation. S'ils voulaient réussir dans leur entreprise, il fallait qu'ils s'organisent. Dove se fraya un chemin pour combattre aux cotés de Océ et JM à l'avant. Ces coups étaient moins puissants mais beaucoups plus précis. Il était content de voir autant de monde défendre une noble cause.

Queza cherchait le garde qui avait les clés... quand elle vit enfin le trousseau! Un gros trousseau de clés qui pendait à la ceinture du bourreau. Il était en arrière du convoi et se battait avec sa longue épée.

Alors, Queza fit signe à Iscambe et, sans plus réfléchir, elles passèrent derrière et lui et lui sautèrent dessus pour le flanquer à terre.
Sous le choc et la surprise, il vacilla, juste le temps de lui attraper le trousseau et de le lancer à Klous. Mais, le garde se débattait et appelait ses camarades... un bon coup de bâton lui fait perdre conscience. Queza lacha le garde et courut vers la cage que Klous ouvrait...

Klouska, accrochée à ses barreaux à réflechir à moyen de sortir vit Quezala et Iscambe, sa soeurette bien aimée, se préparer à bondir, telle 2 félins, sur leur proie. Klouska eu une petit sourire en voyant le visage affolé et térorisé de l'homme mis à terre en une fraction de seconde.
soudain Klouska vit que Queza se tournait vers elle et lui lancait quelque chose.
Klous tendit les bras entre les barreaux et attrappa l'objet. Elle ouvrit les mains et découvrit ... le Trousseau de Clef !

Elle n'en croyait pas ses yeux. Elle mis bien de longues secondes à réagir puis leva la tête.
Oce, au sol, la regardait et un garde foncait sur lui...

OCE !!! Hurla t'elle, DERRIERE TOI !!!

Il virevolta et para l'attaque de son épée. Les 2 épées cricèrent. Oce qui était à moitié au sol, à genoux, avait moins d'appuis que son adversaire et sa lame glissa.
L'épée de son adversaire entailla le bras gauche d'Oce.

klouska, prise de panique et voulant venir au secour de son ami s'activa à ouvrir la porte. Ses mains tremblaient, mais les mots de réconfort et de soutien de Bisou derriere elle la calma et elle parvint enfin à trouver la bonne clef et à ouvrir la porte.

Tous deux sortirent d'un bond de leur prison, toute fatigue envolée ; pour le moment....