[RP] Course d'inauguration du 1er juin - Course d'après-midi

Elle laissa de la place en bas de l'affiche, au cas où des inscrits de dernière minute se présenteraient


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Intéressé par les courses de lévrier? Alors venez par ici!

Le soleil n'était pas chaud, et il commençait à pluvioter, Dieu merci, il y avait une course pour égayer cette journée. Alix et moi, nous avions relevé le défi et gagner ce pari. La course allait se dérouler. Le matin même, une autre partie de ce rêve avait été réalisé. Je me rappellerais toujours avoir lancé l'idée comme ça, alors entourée de mes chiens "Et si on faisait courir des lévriers".

J'étais surexcitée, accueillant les chiens et leurs maîtres bien sur! J'avais tiré une corde sur le départ de la piste. Des seaux d'eau étaient disposés à l'arrivée, après l'effort, les bêtes devaient boire et pour les vaillantes, il y avait aussi de quoi manger: des biscuits! C'est Neyco qui m'avaient dit que les bestioles adoraient ça.
Je saluais une des premières à se présenter.
Les tribunes se remplissaient, beaucoup commençaient les paris sur les différents chiens.

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Une rouquine qui s'ennuyait, ça n'était jamais bon et en voilà une qui furetait, là où il y avait du monde. Que faisait-elle là ? Allez savoir. Elle aimait venir voir ce genre de choses, comme les tournois. Après tout, son père était noble et elle se devait de se tenir au fait des nouveautés que les grands de ce monde pouvaient inventer.

Là, elle avait entendu parler d'une course de chiens. Pensez donc, une course de chiens, c'était très courant chez eux en Irlande. C'était son père naturel qui lui avait raconté ça une fois et ses frères et elle, s'étaient empressés de trouver des bâtards pour les dresser à courir. Ce souvenir qui datait de plus de dix ans lui arracha un sourire. Maintenant ses parents étaient retournés là-bas, dans le pays des chaudrons magiques.

Oh, ne vous y trompez pas. Notre rouquine n'était pas venu « que » pour regarder la course. Pensez-vous ! C'était bien mal la connaitre, même si dans ce genre de lieu, elle n'avait pas trop de chance pour se remplir les poches. C'était même plutôt le contraire, elle se ramassait à chaque fois, mais elle était du genre têtu la grande !

Quand il y avait des rassemblements comme celui-là, il y avait « toujours » du beau monde. Qui disait beau monde, disait choses de valeurs n'est-ce pas ? Donc voilà l'état d'esprit de la rouquine qui marchait nonchalamment non loin des gradins. Elle observait ce qui pouvait bien se passer. Elle n'avait pas vu la course du matin, mais ne voulait rien manquer de celle qui allait avoir lieu.

Elle s'accouda sur un rondin de bois, qui délimitait le parcours que les chiens devaient faire et elle attendit ....
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Alors qu'elle tenait Pollux en laisse, Della fut saluée par une jeune dame qu'elle ne connaissait pas. Poliment, elle répondit à ses salutations.

Et dans la foulée, ce fut une toute jeune fille, rousse encore, qui s'adressa à elle.

Le bonjour damoiselle. Lui répondit-elle, dans un sourire, tenant fermement Pollux qui serait allé faire un tour. Non, c'est ma première fois...et vous, avez-vous déjà pu admirer ce genre de course ? Etourdie ? Oui, sans doute...elle avait omis quelque chose...Oh, pardonnez-moi, je suis Della d'Amahir-Euphor. Pas la peine de dérouler tous les noms et titres à rallonge, pour cette fois. Avez-vous un chien qui participe ?

Pollux s'était assis, sagement, Della lui caressa le haut du crâne. Je vous présente Pollux. Tout en parlant, elle scrutait les alentours, cherchant toujours une nièce...
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Joueuse indisponible jusqu'au 15/02

La gamine acquiesça. Le travail ne manquait pas au cynodrome, et elles allaient rapidement être débordées si leur petit projet continuait de progresser.

Mais elle n'eut pas le temps de répondre, que déjà elle l'entraînait vers sa tante. Elle resta interdite quelques secondes, stupéfaite par les présentations très directes d'Hélène.

Reprenant ses esprits, elle s'empressa d'ajouter :

Ma tante, quel plaisir de vous revoir.
Je ne vous avais pas vu au milieu de toute cette foule!

Surtout, ne pas vexer ladite tante en lui avouant qu'elle ne se rappelait plus de sa tête.
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Intéressé par les courses de lévrier? Alors venez par ici!

Après midi, l'après midi. On lui avait dit qu'il participerait à la course de l'après midi. Franchement, vous vous imaginez vous ? Déja qu'il allait se ridiculiser, il le ferait l'après midi ! Pas le matin quand les gens sont encore endormi et pouvaient ne pas voir le pauvre bouvier défier les lévriers. pas, non plus, de possibilité de filer à l'anglaise une fois la course terminée. Il allait devoir assumer la honte devant toute la noblesse du coin.
En plus, Erwelyn courait le matin. Bon, ok ça lui éviterait de voir son chien se faire prendre un tour par une levrette rose mais quand même.

C'est donc après avoir assisté à la course du matin depuis les tribunes qu'il avait été confier son chien aux valets pour le départ. Il avait ensuite rejoint les tribunes ou s'attroupait déjà un petit groupe de dames plus ou moins jeunes. Plutôt plus que moins au premier abord. Il reconnut parmi elles, la jeune dame qui avait pris son inscriptions et sa comparse Hélène connue au collège. Une autre dame attira également son attention, elle lui disait quelque chose, il lui semblait qu'elle faisait partie de la famille du nouvel oncle par alliance, mais il ne se souvenait pas de l'avoir vue aux noces.

Sans hésiter il se jetta dans le bains.

Bonjour mesdames, je suis Gaïlen d'Arduilet.

Puis se tournant vers la Blackney :

Hélène, quel plaisir de vous revoir après si longtemps.
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Ceci est un jeu. MP si je vous oublie.

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[Avant la course, la pluie toussa toussa]

Agitée comme une puce, je n'avais pas encore pris le temps de discuter. J'avais un oeil partout, sur les chiens, sur les pages, sur Alix la divinatrice et sa tante retrouvée. Un oeil et une oreille étaient aussi données à ceux qui me parlaient, c'était si rare que je ne loupais pas cette occasion, un gage de ma légendaire sociabilité envers mes congénères. Première à me parler, la jolie rousse qui avait filé lorsque moi je lui avais parlé.

- Oui on s'est vu pour les inscriptions, j'espère que êtes prêtes pour la course. Je vous souhaite bonne chance pour voy et vostre chien.

Deuxième interlocuteur qui m'adressait la parole, j'étais d'ailleurs assez surprise qu'il me salue.

- En effet cela fait bien longtemps qu'on ne s'est croisé, le collège Saint Louis a fermé depuis.

Troisième interlocutrice dont je ne comprenais pas la moitié du langage.

- En effet, on va réfléchir avec Alix à engager une personne pour nous aider, si vous voulez, dès que la course sera finie, on pourra en reparler

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Bonjour.

Elle tourna son regard clair vers « sa poule aux oeufs d'or » quand celle-ci la salua et hocha simplement la tête. Ne pas trop en faire, ça pourrait éveiller des soupçons. Elle avait d'ailleurs retenu un sourire quand elle avait dit son nom à rallonge. Rien de tel pour faire bouger une oreille de voleur. Un nom pareil devait être forcément synonyme de richesse.

- En effet, on va réfléchir avec Alix à engager une personne pour nous aider, si vous voulez, dès que la course sera finie, on pourra en reparler.

Pareil, elle hocha la tête puis ajouta de son accent irlandais.

J'vous r'mercie bien m'dame.
J'vais donc attendre l'fin d'la course et j'vais en profiter pour la regarder. J'serais pâ loin si vous m'cherchez ...

A peine cette phrase terminée, les chiens furent emmenés sur le terrain alors que la pluie recommençait tomber. Une fois les chiens en place, le départ fut donné et la course commença. Les chiens partirent comme des furies, mais comme le sol était glissant, un gros écart pris rapidement le pas entre les chiens. Certains glissaient et d'autres en profitaient au contraire pour creuser la distance. C'est ainsi que le chien de Della se retrouva avant dernier.

Elle avait pris la pluie et alors que la course se terminait, elle décida de se mettre un peu à l'abri.
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Toute à ses retrouvailles avec sa tante, Alix ne prêtait pas grande attention aux personnes autours.

Elle n'avait donc prêté aucune attention aux gens autour, et rougit vivement quand Luna se présenta :

Veuillez m'excuser, je ne vous avais pas remarqué. Comment allez-vous

Retournant vers sa tante, elle s'empressa de répondre :

Et vous ma tante, comme vous avez...
Elle allait dire grandir par mimétisme, quand elle réalisa sa distraction. S'arrêtant net, elle réfléchit à toute vitesse pour trouver quoi ajouter :
... comme la maternité vous embellit!

Pffiouu!

D'ailleurs, mes cousins vous accompagnent-ils? Je n'ai jamais eu l'occasion encore de les rencontrer vous savez!

Tout en parlant, elle faisait signe à un valet de venir prendre le chien :
Rassurez vous, le domestiques que voici s'occupe de tout. Il va le mener sur la piste et lui mettre son dossard.

Et pendant que le valet s'occuper du chien et qu'elles s'étaient mises à l'abri de la pluie, elle ajouta à la dernière question :
Oh oui! Les chiens, les rapaces, les furets, les chevaux. Si père me laissait faire, nous aurions une ménagerie à Cusy!

Tout en devisant, elle adressait quelques saluts aux arrivants en attendant le début de la course.

Et Hélène lança enfin le début de la course. Du coin de l'oeil, elle surveillait l'efficacité des valets, échaudée par les incidents de la course du matin.
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Intéressé par les courses de lévrier? Alors venez par ici!

Hélène le salua brièvement avant d'essayer de fuir pour reprendre son office d'organisatrice. Il reconnut l'ami de sa chère cousine Blanche dont il avait fait la connaissance à Limoges il allait le saluer quand les chiens s'élancèrent. n'osant pas regarder de peur de voir son chien le ridiculiser il finit par croiser la piste du regard. Visiblement, il n'était pas le seul a ne pas avoir engagé le bon chien. Le 11 profitait de la pluie pour aller aux pâquerettes mais ce n'est pas ce qui amusait le plus le jeune comte. Un lévrier parti trop vite dérapa et rata complètement un virage ce qui lui fit perdre bien des places. Quant à son chien, il était fidèle à sa race et à ses origines. Certes ce n'était pas un grand coureur mais il faisait preuve de détermination et de courage comme les gens du nord et se maintenait en bonne position malgré son handicap racial.

Soudain la dame devant lui dit :

Faut-il déjà récupérer les chiens ?

Se mêlant, une fois encore, de ce qui ne le regardait pas, il répondit :

Si j'ai bien compris le principe, ils n'en sont même pas à mi course, rien n'est encore joué *malheureusement*

Car, oui, il aurait été de bon ton pour l'Arduilet et son pauvre canidé que la crourse se termine la. La distance agmentant, les véritables coureurs de fond risquaient de faire une bien plus grande différence sur son animal. Il regarda alors la jeune rousse qui semblait être la propriétaire du numéro 9.

Félicitations damoiselle, vous semblez avoir acquis une graine de champion, il faudra que vous me renseignez l'éleveur qui vous a fourni cette belle bête. même si rien n'est encore joué.
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Ceci est un jeu. MP si je vous oublie.

*Non Gaïlen, fallait pas parler à la dame. Oui tu es serviable et elle avait posé une question, mais te voilà bien maintenant. Tu vas lui dire quoi ? Que t'es un sombre imbécile qui n'a même pas su acheter le bon chien ? Que le tien est sans doute plein de qualités mais qu'il préfère le coin du feu de sa ferme natale à la chasse au lièvre ? Que même s'il adore courir les proie, il ne les voit que quelques secondes tellement elles ont vite fait de le semer?*

Prenant un air assuré et attendant la réponse de la rousse il répondit à la blonde :

Le mien c'est le noir là en milieu de peloton. En fait, ce n'est pas un lévrier. j'en ai commandé un à un éleveur renommé d'Irlande mais il tarde à être livré. Du coup, et parca que je ne voulais pas rater l'inauguration du cynodrome, je suis venu avec un chien sévissant sur mon domaine de Roubaix. mais visiblement la pauvre bête à d'autres qualités que la course.

*Espèce d'abruti, je vien de dire que je ne savais pas ou en acheter et maintenant je pond un mensonge gros comme ce fichu bouvier. Ils vont me le payer...ils vont me le payer... Ça se mange un intendant Vénitien ? Et un bouvier ça se mange ?*

Et le vôtre, il est habitué à de tels choses ?

*Voilà, qui est mieux, noyer le poisson qu'ils ont dit ...*
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Ceci est un jeu. MP si je vous oublie.

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Gaïlen sans doute distrait par la pluie ne répondit pas tout de suite à son interlocutrice. Mais Alix était là et en bonne organisatrice répondit à sa place, le préservant d'une certaine honte. La rousse semblait encore plus perdue que lui et comme elle ne répondait pas , il reprit en direction de la dame :

C'est, en effet, ce que cette bonne damoiselle m'a expliqué ce matin. Moi aussi je n'y connaissais pas grand choses en courses et me suis donc retrouvé ici avec un chien inapproprié.
Le mien est un chien de Bouvier des Flandres, bien plus habitué à garder les troupeaux dans le plat pays qu'à courir le lièvre * Je pense, qu'il ne serait pourtant pas contre de courir la levrette, mais c'est une autre histoire* C'est également un bon chien de garde, je devrais peut être l'utiliser plus pour ma garde que pour ce genre de divertissements.

Lui aussi trouvait les lévriers bien laids esthétiquement, mais il devait constater qu'ils étaient bien plus rapide à ce jeu. Et avec le deuxième tour vint la parfaite illustration de ses paroles. Le brave Pouille comme tout bon flamand qui se respecte pensa plus à chercher la bagarre qu'à courir. Résultat, le brave chien qui avait fait illusion lors du premier tour, se retrouvait avant dernier . Pollux, lui, semblait ne pas trop mal supporter le désavantage racial qui était le sien et pouvait, toujours, envisager une place sur le podium.

Oh, mais regardez, le vôtre ne semble pas trop mal se débrouiller !
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Ceci est un jeu. MP si je vous oublie.

Elle se prenait au jeu la rouquine. La pluie avait cessé et elle s'était rapprochée des barrières qui délimitaient le parcours. La première course de Pollux n'avait pas été des plus gratifiantes. Un chien sans grande valeur à coup sûr. Il aurait pu au moins faire un effort !

Petit temps de pause pour les chiens, mais aussi pour les maîtres et elle en profita pour observer « sa poule aux d'or » qui discutait avec un tout jeune homme. Ca parlait chien bien évidemment et elle regarda son chien, quand celui-ci le décrivit à Della. Pas un lévrier non plus. Une grosse boule de poiles à qui on ferait un bon gros câlin en se roulant par terre et en évitant les coups de langues baveuses au possible. A cette pensée, la rouquine eut un sourire amusé sur sa frimousse. Peut-être devrait-elle en trouver un pour sa soeur, juste pour faire enrager son père puisqu'elle avait deux chats.

Le deuxième tour commença et elle se concentra sur la course, encourageant Pollux qui se défendait plutôt bien finalement. Elle avait un large sourire, se disant que peut-être, il vaudrait quelques choses. La course fut vite terminée et une autre pause fut faite. Elle en profita pour aller boire un peu et chiper du pain qui se trouvait sur une table improvisée et quelques provisions.

Troisième et dernier tour. Le départ fut lancé et alors que Pollux était lancé, elle eut la brillante idée de lancer des morceaux de pains pour en ralentir certains, mais Pollux fut distrait aussi et il perdit de la place, la faisant rager.

Mais nan, pâ toi ! Touches pâ à c'pain et cours !! Pfff !!! Rhaaa !!!

Elle y allait à grand coups de gestes pour lui faire comprendre, au-dessus de la barrière et Pollux avait dû l'entendre parce qu'il remonta un peu dans la course, mais malheureusement pas suffisamment. Par contre la boule de poil du gamin c'était jeté sur le pain et d'ailleurs il en bavait encore. Pour un peu, elle aurait éclaté de rire la rouquine.

Finalement, elle avait passé un bon moment à regarder les chiens courir. Journée fort sympathique au demeurant.

J'invite l'ensemble des participants à me rejoindre devant la piste pour la remise des prix.

Bien qu'elle n'ait pas de chien, elle s'approcha un peu pour voir les prix remportés, en profitant pour finir le bout de pain qu'elle avait encore dans la main. Pas de gaspillage enfin ! Se faisant, elle essaya de se rapprocher de Pollux et de sa maîtresse !
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L'ensemble avait été dressé non loin des tribunes, j'étais fière de remettre les prix pour ce premier jour de course, espérant qu'il y en aurait bien d'autres à nostre actif. Carmen me remercia et je fis de même d'avoir bien voulu répondre à ma missive. M'éclaircissant la voix, douce et mélodieuse:

- Messer Rolan, représentant du Duc Alcalnn Blackney, je vous remets le premier prix.



Donhà Carmen, pour Areia, le deuxième prix.



Purina obtient le troisième prix avec Sa grâce Aeglos



Les présents applaudirent de bonne foie les gagnants. Et comme nous avions prévu que ces participants reviennent pour d'autres courses, nous avions préparé des parchemins à leur attention.

- Un classement général sera établi suivant le nombre de participations aux courses, pour ce fait chacun a un vélin à son nom.

Donhà Carmen



Baronne Angélique



Sa Grâce Alcalnn Blackney



Baronne Luna



Sa Grâce Della



Sa Grâce Gaïlen



Sa grâce Aeglos


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Elle relut ses mots et regarda le chien.

Ouai ! C'bien comme ça ! Si elle veut t'récupérer, elle viendra, s'inon j'te garde pour ma soeur ! Mouhahaha ! C'p'pa qui va être ravis !!

Elle chopa un serviteur au passage et lui donna le parchemin avec l'instruction de la remettre à la Dame Della en personne puis elle s'éloigna avec le chien tout en prenant garde qu'on ne la voit pas filer, sinon ce serait la course assuré, un sourire satisfait sur la bouille. Ca lui avait donné soif cette histoire et le chien méritait bien un peu de repos.
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La gamine blêmit en entendant les cris de sa tante.

Au fur et à mesure que sa tante parlait, les pensées défilaient dans sa tête
1 - c'est une blague, un bizutage pour l'inauguration
2 - oh non, c'est pas une blague
3 - qu'est-ce que notre cynodrome va devenir?
4 - espèce d'égoïste, penses à ce pauvre chien qui doit être terrifié
5 - oui mais quand même, ce serait bête que cette histoire coule le cynodrome
6 - c'est vrai que je suis égocentrique, je ne penses même pas à la douleur de ma tante
6 - par Aristote, ma tante me met en cause! Mais j'y suis pour rien moi!
7 - où est Hélène que je lui refile la patate chaude?

Mais Hélène était avec un participant, et elle devait bien trouver quelques chose à répondre :

Rassurez vous ma tante, nous allons retrouver Pollux.
Ce voleur n'a pas pu aller bien loin.

Elle était très loin de ressentir l'assurance qu'elle professait, et elle pria intérieurement quelques secondes tous les saints qui lui passèrent par la tête pour faire illusion assez longtemps.

Les domestiques vont faire le tour des lieux et le retrouver! Et nous allons tous les interroger aussi!

Il paraissait difficile de rassembler les gens dans une pièce alors qu'ils étaient censés battre la campagne, mais l'absurdité de sa proposition ne lui frappa pas immédiatement l'esprit.

Asseyez vous donc en attendant leur retour. Vous voulez un réconfortant?
Hélène a du calva.

Elle en prendrait bien une liquette elle aussi pour se remettre de ses émotions, et donna rapidement ses ordres
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