Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, ..., 32, 33, 34   >   >>

Info:
Page 23 Les bas-fonds attaquent le refuge Page 29 Macabres Découvertes Page 30 L'avalanche de Janvier 1458

[RP-IG Taverne] Au refuge des montagnards

--Orsen
Suivant le Vicomte, l'homme se rendit donc sur les ruines de l'auberge qu'ils s'emploieraient à rebâtir. Ka commençait à peine à donner quelques indications sur les travaux à venir, quand une voix grave résonna derrière eux, interrompant une première fois le Devirieux... Visiblement, il devait s'agir d'une des personnes de sa mesnie, dont il avait évoqué l'arivée plutôt. Fier-Barbe repris donc ses explications lorsqu'une longue plainte vint perturber à nouveau son discours.

L'ouvrier et le Vicomte se dirigèrent alors vers l'homme qui venait de pousser ce long cri d'alarme et de souffrance... Apparemment, l'homme de Saint-Véran venait d'être puni de sa maladresse, toutes les planches gisaient sur le sol neigeux. Le sire commença alors à enguirlander son serviteur, Orsen, lui décida de donner un coup de main pour rassembler les coûteuses planches de bois.


Ej vas vouos aidai à rassemblai le bois, ça era plus vite.

Et aussitôt dit, aussitôt fait, il se pencha pour commencer à remettre les planches à leur place.
Ka_devirieux
Le 2ème chariot arrivait avec quelques personnes de la maisonnée. Le Fier-Barbe fît quelques pas dans sa direction , lui faisant un signe pour l'attirer vers lui. Il revint alors vers l'Ostro et Orsen et constata le travail efficace qu'accomplissait déjà l'homme sans même qu'aucune demande n'aie été faite.

Et bien en voilà de la volonté ! Je n'en doute plus, j'ai grandement de la chance de vous avoir trouvé ! Se tournant alors vers le bourru; Prends en d'la graine l'Ostro! Tiens d'ailleurs tu oublieras pas de faire la pesée d'monsieur pour le génépi !

Pendant ce temps là l'autre chariot était arrivé, et les gens commençaient à en descendre. Excusez moi quelques instants; Il se dirigea alors vers ses autres gens et les invita à rejoindre le chariot de matériel.

Une fois que tout le monde fût rassemblé, il se distingua de la masse pour prendre la parole;


Merci à chacun d'être la, c'est grâce à vous que le refuge a toujours fonctionné et c'est grâce a vous qu'il sera remis sur pieds! Autant que nous commencions au plus vite les travaux pour en bénéficier aussi au plus vite.

Nous devrons d'abord amener les matériaux là-bas, puis commencer à débarrasser la bas
- Il s'aidait de ses mains pour indiquer - Et puis seulement nous pourrons entamer les piquets de fondations par là-bas.
_________________
--Orsen
Orsen continuait de rassembler les planches, bon sang! C'est qu'elles étaient lourdes, mais il en fallait plus que ça pour le décourager, cela lui rappelait son passé, quand il aidait son père et en compagnie de ses frères pour réparer la grange, ou bien quand il avait fait construire sa bergerie.

Et bien en voilà de la volonté ! Je n'en doute plus, j'ai grandement de la chance de vous avoir trouvé !

Il sourit derrière son écharpe, et dans un souffle il lui répondit tout en hissant la planche qu'il tenait.


Vîngt Dgieu! Ej l'avo dit, Monseigneur, le travail m'epoure pas.

Orsen posa la planche à l'arrière de la charrette. Pendant ce temps, le Vicomte s'était éloigné pour accueillir ses hommes. Lui en profita pour finir le chargement avant de rejoindre le gros des ouvriers pour écouter Ka. Quand ce dernier eut terminé d'indiquer les premières tâches à accomplir, Orsen suivit les autres sur le chantier afin de commencer à mettre la main à la pâte en amenant le matériel au site indiqué.
--L_ostrogoth
Le bourru ne pensait qu'à une chose; masser son orteil. Mais il n'eut que le temps d'avoir mal avant que son maître ne l'enguirlande pour sa maladresse. Il commença alors à rassembler les planches et à les charger. Le grand homme qui accompagnait Ka commença alors à l'aider dans sa tâche, et à vrai dire, sa masse de muscle était bien plus efficace que la masse de graisse ostrogothesse.

Ka fit alors des compliments à Orsen. Le petit pois entre les oreilles de l'Ostro fulmina alors;


Bondieu mais c'est qu'il va me piquer la place l'espèce de chêne sur patte là ! - Sur l'instant il ne dit mot face au Devirieux, seul un Grumpf prolongé d'un long soupir et d'un regard jaloux fût exprimé.





Ka_devirieux
Le matériel était maintenant acheminé jusque là et le déblaiement avait commencé. Le Fier-Barbe avait maintenant oté son mantel et relevé les manches de sa chemise pour œuvrer avec les volontaires. Les hommes terminaient de déblayer l'endroit où serait rebâti le refuge.

Îl nous faut creuser de profonds trous aux extrémités pour bâtir les fondations.-Il se dirigea alors vers les troncs les plus épais et les désigna. Ceux-ci seront tout bons pour commencer la structure, une fois les trous creusé il faudra les hisser dedans.

Il regarda alors Orsen, l'homme travaillait certes bien! Il lui dit alors; Peux-tu t'occuper de mener les hommes pour déplacer les troncs? Je me chargerai des trous!
_________________
Elisabeth1964
Le spectacle qui s'offrait aux yeux d'Eli lui fit chaud au coeur tant de bonnes âmes avaient répondu présent pour les aider à reconstruire le refuge une idée lui traversa l'esprit.

Elle quitta les lieux se rendit en sa demeure et confectionna en compagnie de Mya des mets exellents afin de restaurer tout ce gentil monde qui devait avoir grand faim elle prépara également du vin chaud de la tisane et autres breuvages.

Elle attela leur jument à sa charrue y mis tous ces paniers monta Mya sur le siège avant puis pris place à ses côtés.


Allez finette conduis-nous au refuge vite les hommes ont faim...


Mya souriait si heureuse d'être maintenant assez grande pour faire ce court voyage avec sa maman et c'est surtout surtout l'idée de revoir son papa sain et sauf qui la ravissait au plus au point.

Arrivée sur place elle appelle Ka pour qu'il vienne lui prêter main forte elle le savait fort occupé mais se doutait bien qu'il répondrait présent pour descendre victuailles et breuvage nécessaires pour reprendre des forces.


Ka s'il te plait j'ai besoin de ton aide viens-voir!
_________________
--Orsen
Malgré le froid ambiant, Orsen commençait à suer à grosses gouttes ainsi emmitouflé dans ses épais vêtements d'hiver et à force de s'activer, mais il ne se plaignait pas pour autant: le travail avançait bien, le matériel venait d'être acheminé sans encombre et le déblayage avait commencé, mais cela ne faisait que commencer. Il ôta donc son capuchon, laissant apparaître sa chevelure noire et son regard brun à la lumière du soleil hivernal. Il s'épongeait le front quand une voix le fit sursauter, Ka s'adressait à lui.

Peux-tu t'occuper de mener les hommes pour déplacer les troncs? Je me chargerai des trous!

L'homme, tout en regardant vers le bas pour ne pas croiser les yeux du Vicomte répondit.

Cment i vouos hait'cha, Mounseigneur.

Soudain, une voix de femme raisonna dans le chantier, appelant après le Devirieux, Orsen profita de cette diversion pour s'en aller en direction des gens chargés des troncs. Même ici, il se retrouvait à donner des ordres, cela le fit sourire intérieurement alors qu'il contemplait le bois qui leur faudrait transporter.

L's gas, el Vicounte de Savines nouos a demander de paiter l's tronches de bois jusqu'aux trous qu'i va faire creuser. Ein petiot d'ordres ne s'sa pas de trop... Ej vouos demanderes dounc de vouos bouter par dex pour porter l's tronches jusqu'aux trous, nouos attendr'choums qu'is eyent fini pour l's glisser dedauns.
Ninoua
C'était la première journée de travail sur le chantier de reconstruction du Refuge des Montagnards, froide et venteuse comme d'ordinaire en hiver, mais chargée d'entraide et de solidarité entre tous les habitants de Briançon.
Ninoua s'était longuement questionnée sur l'utilité qu'elle pourrait avoir là-haut, elle et son ventre rond de 7 mois. Ne serait-elle pas une entrave plutôt qu'une aide ? Pourtant c'est bien elle qui imprimait ses pas dans la neige du chemin menant au chantier, emmitouflée dans sa chaude cape et sa besace accrochée à son épaule.


Dame Ninoua ! Dame Ninoua ! 'ttendez-moi !

Elle ralentit légèrement le pas, le temps que le jeune garçon de bientôt dix printemps la rejoigne. Elle le salua d'un sourire, se demandant si c'était juste une impression ou s'il la suivait dans chacun de ses faits et gestes.

Bonjour Colin

Où c'est qu'vous allez ?

Sur le chantier du Refuge, voir si je peux me rendre utile à quelque chose.

Il lui emboita le pas d'un air décidé.

J'viens avec vous. Dame Laine a dit qu'vous d'viez pas faire d'effort

La brune acquiessa et ils poursuivirent le chemin en silence.
Arrivés au sommet, Ninoua reconnu d'abord Elisabeth qui était en train d'installer quelques revitaillement sur une planche de bois posée en travers de tréteaux. Elle s'empressa d'aller la saluer et l'aider à terminer sa tâche. Les travailleurs en auront sûrement besoin à un moment ou à un autre.
Elle avisa ensuite le Vicomte de Savines qui semblait donner des directives à un homme que Ninoua ne connaissait pas. La jeune femme s'avança pour les saluer tous les deux


Bonjour à vous.
Je ne sais pas si je peux vous être d'une grande aide dans mon état, mais je met à contribution mes compétences d'infirmière si besoin.


Elle posa ensuite sa main sur l'épaule du jeune garçon pour le présenter.

Et voici Colin. Il est certes jeune mais débrouillard. Peut-être aurez-vous une tâche à lui confier.
_________________
--La_vieille_femme


Il ne faisait pas très chaud, mais cela n’empêcha pas Jeanne de prendre sa laine, sa veste, ses gants et bien sur son petit panier pour s’aventurer dehors. Enfonçant sa tête dans ses épaules pour ne pas exposer son coup à l’air frais des montagnes, la vieille femme partit faire son marché.

Marchant plutôt lentement, même pour une vieille dame, elle en profitait pour admirer cette ville qu’elle connaissait maintenant mieux que sa propre maisonnette. Les ruelles, les quartiers, et toutes les recoins de Briançon n’avaient plus de secret pour elle. Cependant, au détour d’une petite ruelle, alors un détail attira son regard. En effet à la place d’une taverne, il n’y avait plus qu’un tas de matériaux, et plusieurs personnes qui s’activaient.

Elle reconnut quelques têtes qui lui étaient familière, et s’empressa de se rapprocher d’eux, toujours son petit panier au bras. Arrivant à leur hauteur, elle se frotta les mains pour se réchauffer, tout en souriant.


E ben mos pichon, Jeanne vos desirar bòn coratge ! Mais coma est ce quant vos far aqui ? (et bien mes petits, jeanne vous souhaite bon courage, mais qu'est ce que vous vous faites là ?)

Sa petite question posée, elle qui était très curieuse de nature ne pouvait s'empêcher de jeter des couprs d'oeil vers la gauche et la droite. Elle remarqua que la dame Ely préparait une sorte de ravitaillement avec une petite table, alors que son bon mari discutait avec un autre homme et la dame la maire de la petite ville au grand renom. Elle se rapprocha d'eux doucement, souriant avec tendresse au petit garçon qui se tenait aux cotés de Ninoua.
Ka_devirieux
Son regard était dirigé vers Orsen lorsqu'il entendit une fois familière résonner non loin. Un coup d'oeil rapide et il aperçut Elisabeth qui l'appelait. L'armoire à glace acquiesça et sa voix ne tarda pas à résonner. Ka se dirigea alors vers Eli avant de gérer les fondations.

Cette dernière ramenait des victuailles, accompagnée de leur fille. Le Fier-Barbe ne put s'empêche de taquine gentillement sa fillette en guise de salut, puis lorsqu'il comprit qu'il s'agissait de dresser la table, cherche du regard une personne afin de déléguer.


"Salut Eli, excuse-moi mais ils ont besoin de moi là-bas, attends je vais te trouver quel'-C'est alors que Ninoua arriva accompagnée d'un garçonnet, elle ne tarda pas à s'adonner à la tâche avec Eli. Le Fier-Barbe s'en contenta, sachant que Ninoua attelée à cela ne se fatiguerait pas à d'autres travaux.

Bonjour Maire, n'en faite tout de même pas de trop dans votre état! Je serai ennuyé de devoir trouver une infirmière pour notre infirmière ! Il posa alors la main sur la tête du garçonnet pour lui secouer les cheveux. "Bonjour Coli"-Vers Ninoua - Chaque bras est utile, on va bien lui trouver quelque chose! Je cherchai justement quelqu'un pour tenir les clous!
_________________
---fromFRShiun
Shiun Sirota sa tisane, malgré qu'Eli la fait avec son cœur, Shiun n'aimait pas ce gout, il grimaça à chaque gorgé qu'il buvait mais la finit tout de même et profité de la tournée de son Ami Lili pour s'éclaircir la gorge en buvant d'une traite cette bonne bière.

Ahhh, que ça fait du bien... !!

Il s'essuya les contours de sa bouche avec un revers de manche puis il se mit à rire aux paroles de Super-Benou

Mon pauvre, pas toujours facile d'être Tribun, tu aurais du lui dire qu'il fallait mettre répondre, parce qu'elle doit appuyer sur "Nouveau".
_________________
---fromFRelisabeth 1964
Eli affairée à servir des clients entendit les paroles de ses amis Ben et Shiun.

Ha oui Shiun a raison et de plus il me semble le lui avoir précisé en taverne.
Bon je vais lui envoyer un pigeon pour le lui dire.


Eli se rendit derrière le comptoir prit un parchemin et une plume vint s'assoir à table auprès de ses amis et rédigea un courrier pour Dame Puce07.

Se dirigea vers une fenêtre ouverte appela un de ses pigeons lui glissa le parchemin qu'elle avait enroulé précieusement à sa patte.
L'invita à s'envoler pour aller poster le courrier rapidement.


Voilà qui est fait je pense que cette Dame se rendra bien à notre bureau maintenant Ben.

_________________
Carmeli
Carméli encore affaiblit par ses blessures pris sa plume pour envoyer un courrier à son amie Eli.

Citation:
Bonjour ma belle,

Je viens t'annoncer une grande nouvelle.
Nous revenons sur Briançon, eh oui c'est vrai tu ne rêves pas.
Serait il possible que tu nous loges dans ton auberge quelques jours le temps de nous installer.
Je ne sais pas encore quand je serais là , mais je te préviendrais dès mon départ.
En espérant que toute ta petite famille se porte bien.
A très bientôt ma Belle, embrasse tout le monde de ma part.

Carméli


Carméli roula le parchemin et l'accrocha à la pâte de "Concon". Lui chuchotant "Allez mon beau va à Briançon et revient moi avec de bonne nouvelle."
D'un geste elle lâcha son pigeon.

_________________
[
---fromFRfrenegonde2
Comme Frenegonde n'avait pas un sou en poche, elle fit des crêpes pour remercier Dame Elisabeth de l'avoir si bien accueillit
elle les laissa sur la table du petit déjeuner et s'en alla travailler à la mine...
_________________
gueuse de son état
---fromFRelisabeth 1964
En arrivant dans sa taverne Eli sentit qu'une bonne odeur régnait dans la pièce et vit des crêpes posées sur la table.

Elle pensa immédiatement que Dame Frenegonde les avait déposé pour que ses clients s'en délectent au petit déjeuner,en prit une la mangea et la trouva délicieuse en repris une deuxième tant elle les appréciait.

Elle pensa que décidément cette Dame Frénégonde la récompensait vivement très touché de sa délicatesse elle se rendit dans sa chambre afin de remettre sur son lit une literie bien fraiche.

Puis elle redescendit à l'étage pour accueillir ses premiers clients de la journée en sifflotant gaie comme un pinson.

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3, ..., 32, 33, 34   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)