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Info:
petit (grand) topic de flood/rp ou les angevins ont déposé leurs chansons au grés de leurs états d'âmes.

[RP] Si on chantait ?...

Fitzounette
HRP : Petit RP sans prétention, juste pour le plaisir d'exprimer les humeurs de son personnage...

Elle l'avait vu... Elle lui avait parlé. Ils avaient ris... Elle en restait bouleversée, troublée. Aucun autre n'avait ce pouvoir sur elle et sur son coeur. Pourtant elle ne pouvait s'empécher de ressentir une sorte de mélancolie... Pourquoi tout devait être si compliqué ? Et c'est ainsi qu'elle errait, hurlant comme une âme en peine, une drôle de complainte :

Love me, please love me
Je suis folle de vous
Pourquoi vous moquez-vous chaque jour
De mon pauvre amour ?
Love me, please love me
Je suis folle de vous
Vraiment prenez-vous tant de plaisir
A me voir souffrir

Si j'en crois votre silence
Vos yeux pleins d'ennui
Nul espoir n'est permis
Pourtant je veux jouer ma chance
Même si, même si
Je devais y brûler ma vie

Love me, please love me
Je suis folle de vous
Mais vous moquerez-vous toujours
De mon pauvre amour ?

Devant tant d'indifférence
Parfois j'ai envie
De me fondre dans la nuit
Au matin je reprends confiance
Je me dis, je me dis
Tout pourrait changer aujourd'hui

Love me, please love me
Je suis folle de vous
Pourtant votre lointaine froideur
Déchire mon cœur
Love me, please love me
Je suis folle de vous
Mais vous moquerez-vous toujours
De mes larmes d'amour ?
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Letiti
Il l'avait retrouvé. Ca n'avait pas été facile. Il avait échaffaudé des plans plus compliqué les uns que les autres au point qu'il ne s'y retrouvait plus lui même. Mais il l'avait retrouvée. Et voila qu'elle repartait avec lui. Letiti était sur un petit nuage. Il fredonnait.

Monseigneur l'astre solaire,
Comme je ne l'admire pas beaucoup,
M'enlève son feu, oui mais, de son feu, moi je m'en fous,
J'ai rendez-vous avec vous!
La lumière que je préfère,
C'est celle de vos yeux jaloux,
Tout le restant m'indiffère,
J'ai rendez-vous avec vous!

Monsieur mon propriétaire,
Comme je lui dévaste tout,
M'chasse de son toit, oui mais, de son toit moi je m'en fous,
J'ai rendez-vous avec vous!
La demeure que je préfère,
C'est votre robe à froufrous,
Tout le restant m'indiffère,
J'ai rendez-vous avec vous!

Madame ma gargotière,
Comme je lui dois trop de sous,
M'chasse de sa table, oui mais de sa table moi je m'en fous,
J'ai rendez-vous avec vous!
Le menu que je préfère,
C'est la chair de votre coup,
Tout le restant m'indiffère,
J'ai rendez-vous avec vous!

Sa majesté financière,
Comme je ne fais rien à son goût,
Garde son or, or, de son or, moi je m'en fous,
J'ai rendez-vous avec vous!
La fortune que je préfère,
C'est votre coeur d'amadou,
Tout le restant m'indiffère,
J'ai rendez-vous avec vous!
_________________
Cosmik_roger
Cosmik entendit chanter, dans son état il se dit qu'il pouvait chanter une chanson :

L'hymne de Saumur par exemple !


*hips* *hips* *hips**hips* *hips**hips* *hips**hips* *hips* *hips**hips**hips* *hips**hips* *hips* *hips* *hips* !
_________________
Chabinne
La déception, le chagrin et la souffrance engendre méfiance et froideur.
Mais aussi, un besoin de protection et de nonchalance.
En réalité le cœur est indécis, ou ne l'est pas, mais une fois ça de vécu c'est le cerveau qui commande.
Les pensées de la brune, comme si elle se donnait un propre cours sur l'après d'une relation amoureuse.
Dans les ruelles d'Angers, elle fredonne une chanson.


Prés de toi je n'arrive pas à respirer
Loin de toi, on peut voir la mer
Tu m'as promis la lune
et je t'ai cru
cela n'a été qu'une histoire de plus qui ne compte pas...


Ne reviens plus jamais par ici
je me sens emprisonnée
je veux vivre
quelque part loin de toi
là où tu ne peux pas me trouver
il n'y a pas de marche arrière, c'est mon tour
je parle et tu te tais
tu priras, tu pleureras, tu étoufferas sans moi
et tu sauras tout ce que j'ai souffert.


Loin de toi

_________________
Nayriagrimwald
La Dame au Faucon aimait fredonner des airs de chez elle, de ses terres d'origines celtes, Eireann. Elle n'hésita pas à entamer la chansonette, une chason ou etre perdue donne l'espoir, d'un renouveau meilleur ou au pire de l'amertume des vagues qui emporte Far and Away. Melant anglois et gaélique elle entonna donc...


One day, one night, one moment,
My dreams could be tomorrow.
One step, one fall, one falter,
East or west, over earth or by ocean.
One way to be my journey,
This way could be my Book of Days.

Ó lá go lá, mo thuras,
An bealach fada romham.
Ó oíche go hoíche, mo thuras,
Na scéalta nach mbeidh a choích.

No day, no night, no moment,
Can hold me back from trying.
I'll flag, I'll fall, I'll falter,
I'll find my day may be Far and Away.
Far and Away.

One day, one night, one moment,
With a dream to believe in.
One step, one fall, one falter,
And a new earth across a wide ocean.

This way became my journey,
This day ends together, Far and Away.
This day ends together, Far and Away.
Far and Away.



[traduction possible demander par mp ^^]
Cheeky
[Spé dédicace à Fitz ...]

Just take those old records off the shelf
Ill sit and listen to em by myself
Todays music aln t got the same soul
I like that old time rock n roll
Dont try to take me to a disco
Youll never even get me out on the
In ten minutes Ill be late for the door
I like that old time rockn roll

Still like that old time rockn roll
That kind of music just soothes the soul
I reminisce about the days of old
With that old time rock n roll
Wont go to hear them play a tango
Id rather hear some blues or funky old soul
Theres only sure way to get me to go
Start playing old time rock n roll
Call me a relic, call me what you will
Say Im old-fashioned, say Im over the hill
Today music aint got the same soul
I like that old time rock n roll

Still like that old time rockn roll
That kind of music just soothes the soul
I reminisce about the days of old
With that old time rock n roll


[Promi je ferai la chorée plus tard !]
_________________
Vendettal
Voilà plusieurs jours que Vendettal voyageait seule, traînant ses braies au gré de ses humeurs. Depuis hier, c'était différent. Ils étaient trois. Alors qu'elle vérifiait ses arrières, elle entendit une chanson. Aussitôt achevée, elle rétorqua par un petit air sans même sans apercevoir.

3, 4…
Un peu sucré
Un peu salé
Un peu sur toi
Un zeste de moi
Un peu plus zen
Un peu larsen
Un peu tout le monde
Pour peu que l’on sème
Nos rires nos peurs
Dans l’air du temps
C’est sans douleur
Des chants pas méchants
Un qui nous plait
Un qu’on oublie
Un qui nous fait

Chanter
Et souffler dans les airs
Des bulles d’amour FM air
Chanter
Ce qu’on a sur le cœur
Le cœur est un maître chanteur

Il court il court
Ce cœur qui bat
Il me fait dire
N’importe quoi
Un jour c’est oui
Un jour c’est non
Chanson d’ami
Meilleurs ennemis
Parait que c’est vrai
Parait que j’invente
Je suis un homme
Un ange si ça me chante
Et ça fait mal
Et ça fait rien
Ça fait du bien

Chanter
Et souffler dans les airs
Des bulles d’amour FM air
Chanter
Ce qu’on a sur le cœur
Le cœur est un maître chanteur
Tithieu
Un ivrogne balafré qui, anonymement, passait par là, entendit chanter la populace des bas-fonds angevins, au beau milieu de la place publique qui était, de coutume, le fief des quidams et autres riverains en tous genres.
D'ordinaire, son unique sourcil se serait froncé, dans une expression faciale bien disgracieuse. Et puis, il aurait cherché dans la foule, de son demi-regard perçant, à savoir si aucun ou aucune de sa basse-cour de Couesmes ne s'était mêlé à la populace un poil trop évoluée à son goût des villes d'Anjou.
Mais là, l'alcool aidant, il ne fit que s'approcher, sans prétention mais avec une zeste de discrétion. Oui, même saoul, le Balafré restait prudent et anxieux.
Lorsque s'évanouirent dans l'air les dernières notes de la mélodie entonnée par Vendée, et après qu'il eut "burpé" bruyamment, il se mit lui-même à fredonner, seul dans son coin, de plus en plus fort. L'air, l'hymne qu'il fredonnait était pareil à une rumeur qui, s'élevant du bout d'une foule immense, remontait jusqu'à sa tête pour devenir une véritable clameur.
Fredonnant donc de plus en plus fort, de plus en plus distinctement, il se mit d'abord à frapper dans ses mains, en cadence, au rythme de la musique qui envahissait son esprit rendu exceptionnellement festif par les vapeurs d'alcool.
Au bout de quelques secondes, son fredonnement, ses murmures, devinrent une véritable comptine, d'apparence commune, mais battue dans les tempes du Balafré par un air entêtant, une mélodie irrésistiblement entrainante.
Reprenant du début le fil de sa comptine, il reprit bien vite la puissance de la clameur qui lui oppressait le crâne, battant dans ses mains le rythme des paroles qu'il déclamait et s'agitant, bientôt, comme un véritable possédé.


Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De son doigt il dan-se
De son doigt il dan-an-se
De son doigt doigt doigt
De son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De sa main il dan-se
De sa main il dan-an-se
De sa main main main
De son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De son bras il dan-se
De son bras il dan-an-se
De son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit!

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De son pied il dan-se
De son pied il dan-an-se
De son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit!

héhey!

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De sa jambe il dan-se
De sa jambe il dan-an-se
De sa jambe jambe jambe
De son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit!

Allez!! un p'tit coup d'bordeaux!

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De son ventre il dan-se
De son ventre il dan-an-se
De son ventre ventre ventre
De sa jambe jambe jambe
De son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey! ainsi danse jean petit! ioooh

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De sa fesse il dan-se
De sa fesse il dan-an-se
De sa fesse fesse fesse
De son ventre ventre ventre
De sa jambe jambe jambe
Et de son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit! OoOouuuuh

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De son épaule il dan-se
De son épaule il dan-an-se
De son épaule paule paule
De sa fesse fesse fesse
De son ventre ventre ventre
De sa jambe jambe jambe
Et de son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit! Aaaoowwww

Jean petit qui dan-se
Jean petit qui dan-an-se
De sa tete il dan-se
De sa tete il dan-an-se
De sa tete tete tete
De son épaule paule paule
De sa fesse fesse fesse
De son ventre ventre ventre
De sa jambe jambe jambe
De son pied pied pied
Et de son bras bras bras
Et de sa main main main
Et de son doigt doigt doigt
Hey!Ainsi danse jean petit!


Quand il eut enfin fini de chanter, les vapeurs d'alcool ayant embrumé son cerveau jusqu'à y avaler quelque mélodie que ce soit et ses mouvements de dératé ayant fait remonter de son estomac relans d'alcool et de son souper, il s'en alla vomir à l'entrée de la taverne la plus proche. Avant, bien sûr, d'en pousser la porte...
_________________
Acedia
L'était d'humeur joyeuse Acedia.
Et quand des notes de musique vinrent s'offrir à ses oreilles, elle le fut plus encore.
Sa joie de vivre, elle voulait la faire ressentir en tout lieu et tout temps, et ce même si parfois, comme tant d'autre en ce Royaume son coeur et son âme hurlait en sourdine.



    Pour moi c'est l'heure de foutre à la poubelle
    Mon cœur en bois et pour de bon,
    C'est le crane serti d'étincelles
    Que je viens donner ma démission.

    Allez les oiseaux de mon corps,
    Fermez vos belles gueules à passion
    Les accidents d'amour à la pelle
    Ne m'ont pas toujours donné raison

    Refrain :
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Moi j’connais seulement celui qui s’emballe

    Je me fabrique un cœur de pierre
    Pour devenir un grand garçon
    Celui dont tu serais fier
    Et pourrais tenir une maison

    Mais un beau jour comme ça tu te lève
    Avec une idée à la con
    Fouiller les souvenirs et les rêves
    Dans la poubelle à passion

    Refrain :
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Moi j’connais seulement celui qui s’emballe

    J’ai des fissures
    Dans mes chaussures
    C’est à coups sûr
    Mon cœur de pierre
    Qui me fait des tremblements de terre
    Tais-toi mon cœur

    Tais-toi mon cœur, mon cœur
    C’est toi je croyais que tu t’étais tut et elle
    Ne se souviendra pas de toi
    D’ailleurs c’est pas la peine
    De se briser comme ça
    Tu vas encore lui faire peur
    Oh tais-toi mon cœur, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Ecoutes moi. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Ecoutes moi. _ Je ne te reconnais pas
    Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
    Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas, Je ne te reconnais pas...
Melior_fee
Moi aussi ! j'veux chanter !

Et Melior, alors, se mit à entonner


Je dépasse aisément toutes les limites quand je commence
Je consomme énormément le but est de ressentir les choses
Alors je dépasse et j'aime en faire des tonnes, ça irrite
Les braves gens plein de raison qui respectent les limites

Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai,
je vais quitter paris,
je sais après je vais payer pour ça
Oui je vais payer pour ça

J'ai dépassé les limites aisément, facilement
Oué je dépasse les limites sans un problème éthique

Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai
Je vais quitter Paris, je sais après je vais payer pour ça
Je vais payer tout ça
Je vais me retrouver au bagne
Je vais casser des cailloux en Guyane

Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai
Je vais quitter Paris, je sais après je vais payer

J'ai dépassé les limites aisément largement
Quand je commence, je finis le travail proprement
Je consomme évidemment le plus possible de liquide
Et parfois même du solide bien en chair, bien enrobant

Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai
Je vais quitter Paris, je sais après je vais payer
Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai
Je vais quitter Paris, je sais après je vais payer pour ça
Et je ne rêve pas je sais quand j'arrêterai
Je vais quitter Paris, je sais après je vais payer pour ça
Ho je vais payer tout ça...
Alors je vais... par ici la monnaie


Puis elle s'en retourna à la Cour d'Appel, en trottinant.
Rani85
Rani voyant tout le monde chanter se dit, pourquoi pas elle? Et c'est en pensant à une certaine personne en particulier qu'elle fredonna, pas très fort

Ça y est les bien-pensants te croient dev'nu fou
C'est pas trop tôt, t'es comme ça depuis qu't'es né
Tu sais qu'au fond d'eux meme ils en sont jaloux,
Car sonnés du ciboulot ils n'ont pas sus le demeurer.
Ça y est paraît qu'tu serais dev'nu trop vieux,
Et qu'a c't'âge la on n'ferait pas toujours c'qu'on veut.
Toi ça t'fait bien marrer et c'est tant mieux.
Tu risques pas d't'arréter pour si peu !

" Et c'est comme ça, et c'est ainsi
Qu'il en a toujours été
Et c'est comme ça et c'est la vie
Et c'est pas aujourd'hui qu'ça va changer. "

Pauvre fou, si tu les crois t'as tout perdu
Ne remet jamais tes reves en doute.
Pauvre fou si tu les crois t'es foutu
Ne les laisse pas tracer ta route !

Ça y est ils te voient parti dans tes délires
A vouloir déplacer des montagnes russes.
Mais lorsqu'ils se mettent a te parler d'avenir, c'est a se demander qui c'est qui plane le plus.
Y paraîtrait meme que t'aurai perdu l'sens des réalités,
Non pas les tiennes, mais celles qu'ils tiennent pour vérité.
Tu peux bien rever t'y couperas pas,
Ils viendront te chercher jusqu'a chez toi...
Rowenda
Le vague a l'âme, alors qu'il se dirige vers Laval, il sort un parchemin et le lit sans un mot avant de laisser sa monture le guider, se laissant aller pensivement.
Commençant a fredonner il se met alors a déclamer plus qu'a chanter, regardant le ciel pensivement.


Il y a de cela quelques temps à Angers par une nuit noire,
Au bord de la rivière dans les ténèbres une âme s'égare.
Un étranger sur son cheval gris alors la surprend,
Essuie ses larmes et lui offres toute sa tendresse,
La réconfortant sans faire de vaines promesses,
Douceur et amitié avant que le temps ne les surprennes.

Un jour il lui dit devoir partir pour une femme,
La belle est jalouse ses mots s'enflammes,
Eux qui ne cherchaient que douceur et amitiés
Se rendirent vite comptes qu'ils étaient liés,
Tout de douceur et de câlins, deux enfants,
Il finir par s'aimer avec tendresse, deux amants...

Aussi quand vint la trahison,
Disparu toute leur passion,
Laissant les tendres amants, couple idéal,
Echoué sur les rivages du doute et de la peur,
Mais tout le remord de l'homme ne pouvait effacer son erreur
Honteux geste d'un goujat, au couple fatal.

Aujourd'hui il rêve de la reconquérir,
De reprendre son cœur sans coup férir,
De lui prouver qu'il a appris et changer,
De lui prouver qu'il est enfin digne de l'aimer...

_________________
"L'ancien forum ou rien !"
Fitzounette
Dernier jour de mandat. Sa plume tremble, elle est épuisée. Découragée, trop de pressions. Son tremblement se meut en une énergie destructrice. Elle a besoin d'un instant de liberté, pour sa santé mentale.
De son bras, elle dégage tout les papiers, grimpe sur le bureau, et se mets à beugler, petite punkette à couettes fait des siennes :


Assez vécu dans le passé
trop de remords à dépasser.
Pas envie de vivre à l'envers
d'être ici sans en avoir l'air.
Qu’ oublier le présent ?
c'est là qu'on vit au second plan
tes yeux tournés vers le passé
tu sais pas où tu fous les pieds

je n'ai pas besoin d'alibi
je n'ai pas besoin de pays
je n'ai pas besoin de ma vie
je n'ai même pas besoin d'amis ! !

Assez vécu dans le futur
A consommer toutes ces bavures
Ce qu'on voit à l'horizon
C'est le chomage, la guerre
Et l'envie de tous foutre en l'air
D’être ici sans en avoir l’air
De vivre nos vies les pieds sur terre
Avant de crever de la peste

je n'ai pas besoin d'alibi
je n'ai pas besoin de pays
je n'ai pas besoin de ma vie
je n'ai même pas besoin d'amis ! !

Consommé..
Mes privilèges me font gerber
J'ai trop bouffé
Où est ma volonté ?
Quelle condition ?
Pour crever...
Quelle condition ?
Pour oublier...
Quelle ambition ?
A vivre comme un rat...
Quelle ambition ?
Merci, La fin me suffira !

Puis enfin, elle se calme, ramasse ses papiers, et se remet au travail, soulagée.
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Armor
Dans les classiques De Kervanech:

Qu'ileuh sont doux, bouteille jolie
Qu'ileuh sont doux, vos p'tits glouglou

Mon sort eut fait bien des jaloux
Si vous eussiez toujours remplie!

Ah bouteilleuh ma mie
Pourquoi vous videz vous?
Letiti
Bizarre que les coup d'oeils devant se faisaient si fréquents. Elles n'avaient pas confiance en lui? Pourtant il avait l'oeil perçant. Bah elle l'avait entendu chantonner, et v'la qu'elle s'y mettait. Non mais des fois, elle n'aurait pas l'dernier mot! Letiti en avait des choses à dire encore! Il enchaina donc.

Jadis la mineure perdait son honneur au moindre faux pas
Ces moeurs n'ont plus cours de nos jours c'est la gourde qui ne le fait pas
...

Letiti se fais couper la chque alors qu'un regard assassin le transperce.
_________________
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