[RP] La fugue......

Isabelle était partit de la taverne en courant
Celui qu’elle pensait comme un ami venait de la traiter de tous les noms et cette phrase raisonnait dans sa tête, elle était mechante … une garce … et ignioble ….

Oui c’est bien ce qu’il avait dit …
L’enfant en n’avait était plus que touché car ces mots venait de celui qui la fasciné pour ne par dire le seul garçon après son père qu’elle aurait pensait épouser un jour

,En chemin elle croisa kali assis sur la fontaine qui regardait les étoiles pensives , la puce se refugia dans ses bras en pleurant a chaude larmes et se mit a lui comter sa mesaventure
Kali ne fut pas contente du tout de ses qu’elle entendit et malgré les protestation de l’enfant s’en alla dire deux mot a l’énergumène qui avait mit un e enfant de 6 ans dans cette état ..

Pendant son absente la petiote était restait un long moment se mordant les ongle angoissait en les regardant pas la fenêtre
Puis elle prit une décision et sur celle-ci partit en direction du domaine d’Hermenault

Elle rentra au domaine se faufilant dans les ombres pour ne pas que Pierre la voit
Gravit les marches tel un félin sur la pointe de pied
Prit un baluchon dans son armoire qu’elle remplit d’une robe de rechange, de sa poupée en porcelaine donner quelque jours avant par sa maman, quelque friandise, sa petite épée de bois, un chale….



Puis elle le mit sur l’épaule et reprit le même chemin toujours en faisant attention de ne pas se faire surprendre
Apres c’être éloignait des murailles elle profita des herbe haute pour se trouner vers l’édifice

Des larmes envahir ses yeux

Adieu popa …. Adieu moman …. Préfère partir si je suis si atroce que ca, veux plus vous embêter
Puis maintenant vous avait Diane elle me remplcera suis sur que je vous manquerait pas comme ca …

C’était vrais isa avait une petite jalousie pour sa petite sœur qui prenait tout le temps de sa mère et les mots de yonan avait fini de l’achever elle ignorait qu’eil avait sans doute essayer de la manipuler pour des raison obscure mais une chose était sur elle voulait plus le voir, elle voulait pas être un fardeaux..


en repassant prêt de la taverne elle croisa kali qui l’arrêta pour lui demander ou elle allait
La petite lui mentit délibérément
Vais me cousser suis fatiguer lui avait t’elle dit essayant de cacher son but exacte

Kali n’y avait vu que du feu et elle l’avait laissait partir sans aucune inquiétude

La petite avait bien essayée d’aller chercher réconfort auprès de son père mais celui-ci devait avoir une inième réunion et il n’était pas dans son bureau

La demoiselle d’Hermenault avait beau essayer de montrer qu’ele avait confiance en ele de se montrait aussi forte que son père elle avait le point faible de sa mère un manque de confiance qui resurgissait des qu’on la rabaissait

Des larmes envahir ses yeux qu'elle essuya ses larmes avec rage elle partit disparaissant dans la pénombre de la nuit…..
Personne ne la vit partir … personne ne savait que la tiote ne dormirait pas dans son lit cette nuit ….
elle arriva a une forêt bien plus loin des sentier balisé mais pour le moment l'enfant ne comptait pas arrêter sa course et avançait avec rage et colère ...
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Un homme était adossé a la muraille et aperçu la jeune fille partir seule. Il la reconnu sans peine et pensa que son cher père serait accablée.

Il la suivit discrètement, effaçant ses traces a lui, ainsi que les traces de la petite avec une grande méticulosité. Il laissa ainsi la petite s'éloigner de toutes villes, toute habitation en continuant a la suivre et a l'épier tout en effaçant toute traces de passage...


La petite lui simplifiait le passage. Elle ne suivait pas de chemin prédéfini et semblait vouloir passer en pleine nature.
Arrivé a une petite foret, notre homme l'accosta de manière brutale. Sa main lui couvrait les yeux et la bouche, et, sans aucune gentillesse, lui dit les mots suivants.


Je vais te tuer, mais avant, j'ai envie de m'amuser. Je te laisse 4 heures devant toi. 4 heures pendant lesquelles je vais rester la. Ensuite je te suivrais a la trace ou a l'odeur, et je te tuerais.

Car tu est jeune je te laisse cette chance. Ferme les yeux et compte a voix haute jusqu'à 10 avant de les réouvrir. Si tu ne le fais pas, tu est morte dans la minute qui suit...


La dessus, il s'éloigna sans aucun bruit, laissant la petite la. Elle ne pouvait pas le voir même si elle ouvrait les yeux.
Notre homme était rapide, très rapide. Il s'était perché dans un arbre touffu, espionnant la jeune fille. Désormais des yeux semblaient l'épier en vue d'en faire leur proie. La petite, dans cet amas de feuilles et de branches, ne pouvait pas le voir.

Isabelle marchait avec entrain donnant des coups de son épée de bois avec rage dans les herbes hautes
Elle commençait a avoir mal aux pieds mais elle aurait préférer s’arrêter au prochain village qui semblait encore très loin, et pour sur au lieu d’allé vers un de celui-ci elle commençait a s’enfonçait dans la forêt
Tout à coup elle sentit une présence derrière elle, mais pas le temps de réagir ses yeux son masquaient sa bouche écrasé sous une énorme main
Son cœur s’embale son souffle s’acsélère

L’homme se pencha à son oreille et lui souffle des mots d’une voix perverse et amusé
Les jambes de l’enfant flanchent de peur
Elle a du mal à se concentrer et essaye de comprendre sa demande …
Mais déjà l’homme la laisse là……. Pantelante……… tremblente

Son cerveau bouillonne et des larmes s’échappent de ses yeux verts
Elle se met a compter rapidement jusqu'à dix enfin des sanglots lui bloque la voix et c’est une voix enraillait qui sort de sa gorge

Puis elle se souvient … 4 heure pour se sauver … 4 heures pour sortir de se purin
son esprit se brouille …. Trouvait un sentier se dit t’elle trouvait un sentier !

Elle détale comme un lapin et au lieu de courir droit devant elle, elle part sur la gauche et prend ses jambe a son coup
Courant le plus vite que ses petits mollets lui permettent
Elle sort de la forêt et arrive dans un champ ou les herbes au aussi haute qu’elle des fleurs sauvage témoigne que se n’ais pas une culture
Elle court si vite dans ce champ que les herbes fouettent son doux visage
C’est au milieu des herbes qu’elle perd son châle…..

Elle le sent toujours derrière lui il est tout prêt elle veux le distancer ….. le semer …
Que faire …
Dans le champ au lieu d’allé tout droit elle tourne encore vers la droite …
Elle sais que dans le sens qu’elle arrive il y a le village … du monde …

Mais c’est sans compter sur une colline rocailleuse qui lui barre la route …
Elle lève les yeux pour mieux voir le chemin qu’elle peut y emprunter
Et a travers ses larmes se lance dans une ascention plus que périeuse proche de l’escalade
Mais le danger elle n’an a que cure elle ne souhaite qu’une chose sauver sa peau…
Ses petite pieds gravisse doucement mais sans prendre le temps de faire attention au danger ….
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La demoiselle D’Hermenault est toute essoufflée….
Elle a les jambes qui lui intime de s’arrêter mais sa peur la pousse a continuer sa course vers une destination que l’enfant de 6 ans a du mal a évaluer
Arrivait en haut de la colline rocheuse elle se retourne pour regarder en contre bas le temps de reprendre son souffle …
Elle voit l’homme qui est toujours derrière
Il ne se presse pas il prend le temps de prendre son châle de le mettre à l’opposé …
Que fait t’il … ?
Pas le temps d’attendre plus déjà l’homme monte
Elle repart toujours avec agilitée ..
Elle veut trouver une solution, et se demande comment l’homme arrive a la pister sans lui courir après et c’est a ce moment la qu’elle se souvient de se que lui avait apprit les nonnes a propos des chausseurs qui pour pister les animaux les suivait a la trace
Et sans réfléchir elle se mit a courir d’arbre en arbre tournant en rond et laissant des millier de petit pas partout durant quelque mètre espérant lui faire perdre du temps pour trouver une autre solution et c’est en s’attelant a cela qu’elle remarqua un lieu ou il d’une avait pas de terre ni herbe
Elle laissa des pas partir vers la pente qui était facile sous les arbres puis repartit en direction des roches qui tombait en pique dans la montagne
Cela ne l’arrêta pas pour autant
Elle sauta de plate forme en plate forme pour s’éloigner le plus possible mais stoppa sa course quand elle aperçut une tout petite grotte assez petite pour pouvoir d’y loger et attendre sans bouger

C’est donc encore vers la droite qu’elle détala le souffle cours et a une rapidité qu’elle ne s’attendait pas d’avoir s’enfonça a plat vnetre et en marche arrière dans le petite renfoncement … puis elle ferma les yeux et essaya de respirer le plus doucement possible se qui n’étai pas chose facile quand son cœur battait a tout rompre et que tout son corps tremblait comme une feuille…
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Euric monte la garde en cet après midi.
Tout est calme, tranquille et aussi loin que porte son regard il ne se passe rien...
Il s'assied sur le bord du rempart prenant une pause dans un des rares coins d'ombre.

Son regard est attiré par une forme qui trottine il y prête attention car la forme se dirige vers la sortie des remparts donc de l'abri.

En y prêtant plus d'attention il voit des cheveux blonds et manifestement il s'agit d'une enfant d'environ six ou huit ans...
Lorsque celle-ci se tourne vers les remparts il ne bouge pas il la regarde avec attention...

Mais cré bon diou! ça s'rait y pas la Damoiselle de not'Comte? Ben on dirait mais pourquoi qu'elle est seule? Mmmm...

Il l'observe et la voit s'éloigner. Elle porte un baluchon et là Euric se dit on dirait...

Il essaie de descendre aussi vite qu'il peut les remparts pour rattraper la gamine mais le temps d'arriver pfffft l'oisillon s'est envolé. Il essaie de trouver ses pas dans la poussière de la route mais n'en trouve aucune comme si quelqu'un avait effacer les traces...

Euric décide alors d'aller prévenir le Comte...

[Aux portes du Château Comtal]
Vain diou comment c'est y qu'je vais rentrer la'd'dans?

Holà, euhhhhh j'suis Euric j'ai vu un truc qu'je dois causer à sa Hauteur...

Tu veux quoi? T'es qui et pis tu veux y dire quoi à Sa Grandeur (pfft même pas capable de savoir comment on doit causer...!n'importe quoi!)

Bah j'suis d'garde à la sortie et j'ai vu un truc...sûr qu'il me donnera queques écus l'Comte

Quelques écus? Va te faire pendre ou jeter dans un cul de basse fosse oui!

Dans le doute l'homme alla trouver son Commandant et lui raconta ce que le garde lui avait dit. Puis il revint avec son supérieur.

Bon entre mais te préviens hein si c'est pas important t'es pas prêt de rentrer chez toi l'ami.

Rires gras en songeant à une donzelle qui avait réussi à s'introduire au Château pour insulter le Comte. Elle croupissait depuis dans une geosle hurlant chaque jour après le Comte et ses gardes. Ces derniers jouaient à lui tendre de la nourriture au bout d'une pique. Sans doute un jour recevraient ils l'ordre de la jeter à la rue.

La nuit est tombait … elle grelotte dans sa cachette, ses dents claque et elle regrette se châle perdu qui l’aurait pourtant réchauffée un minimum …
Elle n’ose bougeait car elle sait qu’il est tout prêt .. et si elle en n’ai si sur c’est qu’elle sent l’odeur de la viande qui doucement rôtit au dessus des braises ….
Elle a si faim son ventre creux lui intime de manger et cette odeur ne l’aide pas a oubliait…
Il fallait trouvait une solution pour sortir de là sans être vu, mais d’abor … laisser une trace de son passage …
Elle trouve une pierre tranchante et se met a graver sur la roche légèrement a l’extérieur « isa » et fait une flèche dans la direction ou elle compte partir…. Elle espérait que ses parent le verrait bien que la marque ne fut pas facile a déceler sur la roche …

Elle rampe le plus doucement possible, égratinant ses genoux nues sur les graviers qui fond du bruits sous elle, elle grimace de peur, puis sert les point !

Allé isa !! un peu de cran est-ce que Gabriel aurait cédait face a l’adversité… ?
Une fois hors du trou toujours cachée par le contre bas elle lève les yeux au ciel intimant son frère ange gardien de venir l’aide de lui donner le courage qui lui manquait
Elle osa un regard dans la hauteur
Et vie l’homme a l’abri sous son chapeau s’emblant dormir, a ses pieds la viande qui crépite doucement, elle avale sa salive. Cela semble si appétissant….
Osera t’elle s’approcher pour lui voler sa pitance …

Ses yeux brille dans la nuit d’envie est plus forte et la petite imprudente ne peux plus résister, elle remonte vers l’homme endormit avec le plus de précotion possible
Tout prêt du feu un buisson solitaire …
Elle s’y cache ne lâchant pas des yeux le potentiel repas
Puis met un pas devant elle …. Gravier qui glisse sous sa chausse…. Elle ferme les yeux attendant que l’homme se réveille et l’empoigne violement par le col
Mais celui-ci ne bouge pas ….
Elle fait deux pas avec précipitation et empoigne la broche avant de partir en courant comme une voleuse…. Tout en courant elle croque dans la viande a plusieurs reprise tel une sauvage, le jus de celle si coule sur son menton, pas le temps de manger proprerment l’homme doit déjà être a sa poursuite elle continue de courir dans la direction indiquer plus bas…..
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Mange petite, mange, tu a besoin de force. je repartirais a ta chasse le jour levant. Prend donc un peu d'avance, et ne dors pas! je suis derrière toi ...

Notre homme semblait amusé et aucunement fâché, à croire qu'il l'avait préparé pour elle ce lapin, la sachant proche de lui ...


Plusieurs heures plus tard, une bonne nuit de sommeil passée pour notre homme, il se mit en direction de l'enfant, a petite foulée cette fois. Il semblait vouloir rattraper son retard, mais il faut dire que cette situation semblait aussi énormément l'amuser ...

Yonan ne se pardonnait pas de ce qu'il avait pu dire a la petite. il ne s'en souvenais même pas!
Depuis, il ne l'avait guère revue et cela l'attristait grandement. Il décida de la contacter par un moyen relativement original.

La nuit tombée, il fit appel a un drôle de volatile, une chouette qu'il connaissait apparemment bien.

Va et porte ce message a Isa. Montre toi gentille avec elle et ne la pince pas.




Sur ces mots, le volatile s'envola vers le chateau, puis a la recherche de la fillette ...

La nuit semble ne pas se finir l’enfant qui courrait fini par marchait épuisait de fatigue seule l’angoisse la tenait réveillait
Elle fermait de temps en temps les yeux mais sitôt qu’elle se rendait compte qu’elle dormait sursauter et les ouvrait grand pour ne plus les fermaient
Il fallait qu’elle s’arrête sinon elle ne tiendrait pas le coup ….
Sur cette pensée elle vit de loin un arbre ou elle pouvait monter facilement, a son sommet les branches touffu qui pourrai la cacher si des fois l’homme passer part là…
Elle se rappela qu’il la suivit a la trace et arracha une branche d’un buisson pour effacer ses trace sur une trentaine de mètre, puis gardant toujours la branche dans sa mains elle se mit a montait dans l’arbre jusqu'à la cime
C’est la qu’elle découvrit un grand nid vide, comme ceux des cigogne, elle y entra délicatement espérant qu’il ne se briserait pas. Mais la fondation très costaud tien bon et la petite put s’y couchait confortablement
Ses yeux se fermèrent et elle faillit s’endormir quand tout a coup un oiseaux de mauvaise augure se jeta sur elle d’abor elle le chassa violement mais la chouette insistait a revenir sans cesse
C’est a ce moment qu’elle vit entre ses serres une message
L’enfant se calma et récupéra le message retenant l’oiseau pour pas qu’il file
El lisant les mots ses yeux s’emplirent de larmes ….

Yonan … zé besoin de toi ….

Mais comment le prévenir qu’elle était en danger rien pour écrire …
La seule idée qu lui vint fut de prendre le ruban de ses cheveux de l’imbiber de sang de ses genoux de mettre une morceau de la branche qu’elle avait gardait et d’accrocher le tout a la patte de l’oiseau

Emmène vite se message a ton maitre belle chouette et pour la motivé elle mit dans son bec une des friandises qu’elle avait emporter avec elle ….
L’oiseau prit son envole et elle le regarde disparaître dans la nuit les larmes aux yeux

Le sommeil l’enleva sans même qu’elle ne sens rende compte et se n’est que quand le soleil l’éblouit qu’elle se réveilla en sursaut ….
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Le soleil se levait. notre homme était toujours assoupi et se réveilla avec peine. Il prit quelques instants pour se lever, plier ses affaires et se mettre en route.

La pente gravilloneuse avait parfaitement enregistrée les traces de la petite. Toujours aussi méticuleux, celui-ci les effaçait sans difficulté et continuait sa traque. Il arriva bientôt vers une foret. Tout a coup, les traces disparurent.

Notre homme chercha 15 mètres autour pour savoir si il n'y avait pas quelque chose, mais rien. Il regarda ou s'était effacé les traces, inspecta les arbres autour, mais rien ...

La petite semblait s'être volatilisé, mais il remarqua aussi une branche brisée.

Ah la garce!


Notre homme fila droit dans le sens des traces, se disant que c'était la qu'il avait le plus de chance de retrouver la trace de la petite ...

Elle se frotte les yeux pour se réveiller et s’étire, un baillement lui fait ouvrir sa bouche jusqu’a presque la décrocher
Elle regarde en contre bas …
Ses yeux s’écarquille il est là en bas !
Elle se met a l’abris de sa fut et retient sa respiration …

Le temps que l’homme la cherche et celui-ci s’éloigne ….
Une fois qu’elle ne le fit plus elle descend a pas de loup de l’arbre
Les courbature la fond grimacer
Et elle manque a plusieurs reprise de tomber de l’arbre

Une fois les pieds au sol elle sort la pierre qu’elle avait trouvait tantôt pour graver sur l’arbre juste derrière une petite branche, son nom et a coté la flèche qui indique le sens dans lequel elle est partit …

Un regard vers la où le malotru est partit et elle part vers la gauche pas rapport a la où l’homme est partit
Marchant sur la pointe des pieds pendant plusieurs mettre avant de partir en courant le plus vite possible !

Et la elle arrive a une rivière…
Le courant semble fort mais il faut tout de même passer
Elle relève sa robe pour éviter de la mouiller… mais les pierres sont glissante accenturé par les remous de l’eau et elle tombe assise et la douleur ressentit par les galets lui fait poussé une crie a la fois de douleur mais aussi de peur

Haaaaa !!

Elle se relève rapidement trempait puis jetes un regard en arrière avant de repartir en courant
En sortant du lit elle laisse tomber malencontreusement sa poupée qui reste échouer sur une roche au soleil…
Elle court …… court …. Des arbre toujours des arbres ….

Ses larmes roulent sur ses joues ….

Papa maman z’ai peur … maman papa où êtes vous …..

La chance lui sourit un peu tout de même un buisson de murs s’étale sous ses yeux elle se rut sur les fruit les gobe jusqu’au dernier puis elle passe entre de muriers toute ronce sortit se lequel elle écorche son doux visage… elle y va quand même doucement pour ralentir son bourreau qui peut être n’osera pas passer en milieu des piquants ….
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