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Lette à la Prévôté de France et au peuple.

Dragonet
Envoyés aux agent de la prevotée en limousin, et affiché sur de nombreux panneau.. il est non signé, ce qui est en soi une signature.




Il est apparu ces derniers jours qu’une enquête était diligenté à mon encontre, et il m’a semblait utile dans le cadre de votre travail de vous fournir les éléments nécessaires à celle ci. Je conseille à tous de le lire, vous y verrez des choses qui vous sont connus, et infiniment plus qui sont cachés à tous.

Savoir quand commence les choses est toujours délicats. Peut être ce jour où, officier de l’armée Limousine, j’ai démissionné lors de la Fronde pour soutenir le Duc Juliano di Juliani alors que nos armées par mensonge et trahison tentait de le renverser, ou peut être le jour où je devins ambassadeur pour réconcilier nos deux peuples et œuvrer au sein de l’ADC afin de favoriser la paix, mais plus probablement le jour où je vins proposer à la Reyne un projet de Cour d’Armor.

Je connaissais l’image du Roy de par la fronde, je savais les rumeurs concernant la mort de son père et celui de l’assassinat du précédent pape, ou encore celui de Caedes au sein de la bastille. Inutile de dire que j’avais une image de la royauté très négative. Pourtant la Reyne, symbole à mes yeux de la féminité et de la royauté m’avait touché par son éclat. Le projet fut refusé, mais Juliano di Juliani, secrétaire particulier de la Reyne, me proposa un autre projet… La Ruche. Des hommes et des femmes prêts secrètement à servir leur Reyne au détriment de leur propre vie, être ses yeux et son bras. Après avoir hésité, j’acceptai.

Lorsque Juliano devint le Grand maitre de France, la Ruche fut dissoute et un service, officiel celui-ci, fut crée. Beaucoup de nos membres sont aujourd’hui pair de France, duc ou comte, ou plus prosaïquement mort. J’avais en ce qui me concernait été nommé Médecin de la Reyne pour mieux pouvoir entrer dans sa chambre jour et nuit, ou l’accompagner sans attirer l’attention, le Louvre m’était aussi ouvert que peuvent l’être les bras d’une jeune jouvencelle après un bal.

A la dissolution de la Ruche, je décidai de continuer à servir ma Reyne, mais cette fois ci en tant que médecin et non plus en tant qu’agent. Je mis au monde le dauphin, puis ses sœurs, loin des intrigues de la cour et du pouvoir, œuvrant en tant qu’hospitalier ou au sein de l’hôtel dieu, voir au sein de la maison ecclésiaste, ayant même pris ma retraite de la vie politique. La Reyne avait plus besoin d’un médecin que d’espion, et ce fut encore plus vrai le jour funeste où le Roy l’a contraignit a accomplir son devoir conjugal, après des années de délaissement, pour concevoir les princesses.

La Reyne, meurtri, blessé, délaissé par son mari, se refugia dans un couvent, et perdant ma raison de vivre, je me rèinteressa aux affaires publiques, avec la création de la ville de Limoges dont je fus 3 fois maire. Juliano qui n’avait rien oublié de nos combats de l’ombre pour la couronne, me nomma en tant qu’écuyer du Grand couvain, l’ordre royal personnel de sa Majesté Lévan, en tant que médecin, mais également pour l’ensemble des « services rendus ».
J’appris alors que sa dauphine, Armoria, épouse du prince Morgennes, s’était éloigné de la voie qu’il avait tracée. Mais cela ne m’intéressais guère. La Reyne était morte, mais elle avait demandé à son plus fidèle alliée d’être le précepteur des princesses, et il souhaitait que je reprenne avec elles ce que j’avais fait pendant tant d’années pour leur mère. J’acceptai avec d’autant plus de joie que la couronne sous l’impulsion de la Curia, prenait un tournant qui ne me plaisait guère.

J’étais revenu à la vie politique, en tant que chambellan, puis comte, et je voyais la prévôté délaissé au profit des services non officiel, ceux de Chelles ou la garde privé d’Armoria. Je désapprouvais et eu l’occasion de le dire au conseil des feudataires, sans pour autant cesser de me consacrer à l’œuvre de ma vie, servir et protéger la lignée royale légitime.

Je savais que le Roy, si il fut pécheur assurément, cherchait la repentance et le pardon de Dieu, et qui était je pour le juger moi-même, quand à ces deux princesses, tout en elles indiquaient une noblesse et une pureté qui rendrais à la couronne son éclat d’avant, et une époque de prospérité pour tous. J’étais donc, plus que jamais, fier de servir la couronne, même si je laissais ma foi et ma raison me guider pour en juger les actes.

Puis vint cet événement qui vous amène à ce jour, la révolte. Vous devez pour la comprendre la remettre dans son contexte. Au moment des faits, je contestais au conseil des feudataires la façon dont Armoria avait géré la Guerre de Bretagne, et plus encore l’après guerre.

J’avais nommé Surintendant de nos finances Trokinas, puis Johanne tous deux dépositaires des finances du comté. Je m’arrêterais à certains fait, facilement vérifiable.

Les raison officielles de la Révolte : Un trou dans les caisses qui auraient conduit le limousin à perdre en prestige sans l’intervention des insurgées.

L’armée qui organisa la révolte en dépit des ordres de défendre le château donnée par le comte, le capitaine, le connétable et le gouverneur furent mené par Ewaele, actuelle comtesse et vassale de Marie Alice, Secrétaire d’états de la Curia, et de Bessbuff, bras droit d’Enguerrand de Lazare, frère de Marie Alice, connétable de France et membre de la Curia.

Ils étaient sous les murs du château plus de 15 jours avant l’attaque de celui-ci.

Le premier Sur intendant des finances, Trokinas, absent 15 jours curieusement des l’arrivée des insurgés (la loi autorise 7 jours maximum), fut nommé secrétaire d’états du Limousin par Marie-Alice.

Le deuxième Sur intendant Johanne, qui sortit des informations illégalement du conseil, les confia à Kidineige qui monta le dossier pour la Curia et devint alors peu de temps après Surintendante des finances au sein de la Curia.

Celle qui « sauva » le limousin de la perte de prestige possible conséquent à ce trou soudain fut Nebisa de Malemort, qui fut nommé peu de temps après Chambellan du Roy... Au sein de la Curia.

Il semble avoir échappé à tous que, une fois sauvé d’un trou forcement crée par ceux qui géraient les finances du comté (donc Johanne), la révolte n’était plus nécessaire, le Limousin ayant 70 000 écus en caisses
(Car ce n’était que les liquidités qui faisaient défaut , par le trésor, et du fait d’une mauvaise gestion des mandats.. par Trokinas et Johanne.)

Tout cela est facile à vérifier, mais la suite est bien plus intéressante.

La révolte, de par nos lois et la charte de l’ADC était illégale. On demanda donc à la Curia de la légitimité.

2 personnes de la Curia s’y opposèrent formellement.. Le chancelier Belgiam, qui m’écrivit me confirmant l’illégalité de la chose. Il fut poussé à la démission aussitôt.
Et le Grand Aumônier Gédéon qui de par la confession savait non seulement ma loyauté envers la couronne, mais les dessous de l’histoire, et me soutint alors qu’on demandait mon renvoi des institutions royales (car je suis officier de la couronne et à son service, encore à cet Heure).. Curieusement, depuis peu il à disparu..Mais je vais y revenir..

J’ai alors saisis la pairie qui unanimement de donna raison elle aussi. Mais La Grand maitre de France, prétextant que me remettre au pouvoir entrainerais assurément un conflit majeur dans la région (on se demande bien pourquoi d’ailleurs), convainquis le Roy de rien n’en faire et de lui donner raison. Il était peu probable évidement qu’elle veuille revoir au trône comtal une personne qui lui demandais des comptes, et Bessbuff comme Ewaele seraient toutes deux assurément plus.. Docile. Que ça soit illégitime ne l’intéressait guère, après tout si elle pouvait convaincre le Roy par mensonge, n’était il pas lui-même LA LOI.

Après la révolte, j’avais été sommé de rester au Limousin, ce que je fis jusqu'à la décision finale du Roy. J’ignorais encore que le pire était à venir.

N’étant plus comte, je décidai de retourner vers ma raison de vivre, la famille royale. Je parti en Bourdonnais-Auvergne rejoindre les princesses. Aussitôt, Ewaele et Bessbuff pénétraient dans mon appartement de Limoges et lancèrent un avis de recherche. Je n’avais plus de raison de rester puisque le Roy s’était exprimé, mais de bonne volonté, je rentrai sagement au Limousin, sans comprendre les raisons de cet acte. Il me fut même interdit de m’approcher des princesses au Louvre..

Vous êtes bien, Messires et Dames de la prévôté, placés pour le savoir.

Mais même en admettant que je sois le plus mauvais des gestionnaires, ce qui était loin d’être le cas, de nombreux points restaient obscur.

Mon renversement du Trône, validé par la Curia, alors que la pairie si opposé, Belgiam et Gédéon s’y opposaient au péril de leur poste.
Le fait que du fait du « comblement inopiné » la perte n’aurais pas eu lieu, et qu’on ai maintenu la révolte.
Son « anticipation » 15 jours avant.
L’intervention de la Curia alors que le limousin n’est pas du DR, et les feudataires ont pas à répondre de leur gestions à la Curia.

La volonté de m’empêcher d’approcher les princesses, que se soit lors du voyage royal ou au Louvre, alors que dans le même temps, nul ne venait m’arrêter lorsque chaque matin, je me rendais à l’Hôtel-Dieu pour travailler pour la même Curia, et côtoyais le Grand prévôt de France régulièrement dans les locaux de Saint Ouen ?

Ces réponses, je l’ai, je pense, trouvé, et je laisse les faits parler d’eux même.

Son altesse Juliano di Juliani, précepteur des princesses et du dauphin est déclaré mort, il a disparu, aucune explication.

Ses altesses, les Princesses Marie-Héloïse et Mahaut-Hélène sont déclaré morte alors qu’elles étaient sous la protection de la Garde Royale. Aucune explication, on parle de sorcellerie, rappelons que c’est le Grand aumônier qui est du coté Royal le seul Habilité à représenter la couronne, et qu’il était un esprit libre.. il à disparu. Pas d’explication.

Le dauphin Marc Antoine, dont la localisation était connu que de Juliano, mais à l’étranger pour ses études, à disparu

Plus proche de Moi, Constance qui de sa position de maitresses du haras royal me permis d’assister à l’enterrement de la Reyne sous les traits du cocher du propre carrosse d’armoria, est morte dans des circonstances étrange, une enquête vous révélera que son testament fut quelques mots pour m’avertir… mais de quoi. Sa marraine vous le confirmera. Son actuel remplaçant vous confirmera aussi que la Grande écuyère de la couronne, Kirah, l’avait publiquement avertit de ne plus s’approcher de moi pour sa sécurité. Tout cela existe, et est retrouvable..

Pire, la Duchesse de Champagne, dont l’enfant est mien, fut renversé par des brigands, dont un angevin qui était connu et traqué par votre propre prévôté. La duchesse fit le nécessaire pour faire protéger le château, les maréchaux obéirent, mais les loups de champagnes qui sont eux sous les ordres de la Curia ne le firent pas. 11 brigand réussirent à s’emparer du cœur de la bourse de la Curia, la piller, et seule la Duchesse fut accusé, alors qu’elle n’a aucune autorité sur les loups, et fut destituer. Son vrai crime, sans doute ne pas être partisane non plus d’armoria.

Je songe en tremblant à l’avenir de ma fille âgée de quelques mois, lorsque l’on voit l’acharnement de la Curia sur ses parents et sa volonté de les écarter du pouvoir. Heureusement, j’ai pris des dispositions pour garantir son avenir.

Mais des exemples comme cela, mon bureau en est jonché. Peut on accusé un écuyer de Saint Ouen ayant œuvré sa vie durant pour la couronne, un prince ancien GMF, deux jeunes princesses de 8 ans, le dauphin, une Maitresse des haras, une duchesse du DR et tant d’autres d’être anti royaliste… Assurément non, pourtant ils partageaient tous un point commun. Il était anti-Armoriste et n’approuvaient pas sa manière de gérer le Royaume de France. Ah j’allais oublier le prince Morgennes, peu soumis dit on aux caprices de son épouse et qui à mystérieusement disparu.

Et que dire de cette étrange calendrier qui fait qu’alors que j’avais annoncé ma candidature aux comtales, la prévôté de France arrive, quelques jours en avance sur le cortège, pour mener une enquête datant de quelques mois, et sur un fait que tous considère comme passé, mais qui pourrais me conduire néanmoins à la Bastille au profit d’Ewaele, vassale de la curie, lui garantissant dans tous les cas la victoire. ?

Le limousin n’est pas un cas isolé, et je n’ignore rien des actions que mènent certains membres de la Curia en Anjou, au Poitou, en champagne, et ailleurs, de ces actions qui échappent même a votre prévôté car Armoria à ses propres réseaux qui échappent à tout contrôle. Je les connais, car percevoir les intrigues est ce don qui me fit un jour travailler pour la couronne, et c’est cette malédiction qui vous amène à ce jour à ma porte.

La famille royale légitime est morte, et parmi les royalistes, il n’existe plus que deux camps.. Ceux qui ont déjà été acheté, et ceux qui sont mort. Je ne ferais pas parti des premiers.
Il en existe aussi sans doute un troisième… des gens qui aiment la couronne et le peuple de France, au-delà de leur vie, et prêt à se battre contre la corruption. Ce sont des gens comme vous, comme moi, des officiers de la couronne, des gens du peuple, des feudataires, qui sont capable de voir que ce voyage de la famille royale n’en transporte pratiquement que les plus illégitimes, hormis le Roy, ou encore Nombre de gens dont la gentillesse apparente n’a d’égal que la noirceur d’une âme corrompue par le sans nom de rêvant sans cesse que d’engranger un peu plus de titres ou de pouvoir.

Je suis un vieil homme en ce sens que j’ai vécus plus de vie que nombre d’entre nous rêverais d’en avoir et nul ici n’en connais le dixième. Si mon amour de la couronne ne peut être défait, ma raison de vivre en la servant est mort avec la branche légitime et ne renaitra qu’avec elle.

Néanmoins, je suis écuyer de Saint Ouen, et j’ai servis la couronne avec amour, tout comme vous, tout comme ces soldats morts en Bretagne ou ailleurs, tout comme ces gens morts si curieusement en si peu de temps partageant tous le même idéal d’une couronne sans tache. C’est pour cette raison que je me rendrais au buffet organisé en l’honneur de mon Roy.

Vous connaissez désormais les faits, tous les faits. Vous me trouverez sans peine au milieu des royalistes qui ont encore le cœur pur, car il en reste, même si leur nombre ne cesse de se réduire. Vous pourrez m’arrêter sans peine, sachant qu’il n’y aucun crime que je n’ai commis, mais que m’arrêter voudra dire que nul jamais ne me retrouvera en vie.

Quelques soit votre décision, prenez la peine d’écouter ce que j’ai dit, de faire votre travail en tant que membre de la prévôté, comprendre pourquoi votre rôle est si négligeable, qui agit dans l’ombre pourquoi tant de mort ou de disparitions inexpliqué partageant tous le même scepticisme sur la GMF. J’ai de par le royaume disséminé des indices à votre intention, et cela est mon héritage. Je le lègue aux Loyalistes.

Je n’aspirais aujourd’hui qu’a servir le peuple limousin, mon premier amour avant la royauté, mais le peuple s’est laissé bercer par le conservatisme, la Haine de l’autre, la peur et le mensonge.. Il est facile d’annoncer une progression de 66% des gains quand on ne rembourse pas nos voisins et que l’on profite de donateur crédule. Cela même qui ont soutenu ce pouvoir, sont les premiers à quitter nos frontières et laisser mourir encore un peu plus notre province.

J’ai entendu le message du peuple et je sais qu’il n’est pas prêt. Je suis las de me répéter, de combattre des moulins à vent et de vouloir le bonheur de ceux qui le refusent. Après tout si le peuple du Limousin rêve de vivre dans la misère, sans aucun horizon et une vie sans passion, alors que le château s’enrichit sur son dos, ai-je le droit de l’en empêcher ?

Je continuerais mon combat, non en temps qu’élu pour le bonheur de tous, mais, puisque tel est votre souhait, uniquement pour ceux qui ont la force et la volonté de se prendre en main, de ceux qui n’attendre que le comté les assiste, mais qui rêve d’agir pour changer le monde.
Mon regard se tourne désormais uniquement vers les esprits libres les cœurs pures, ceux pour qui dévouement ne veut pas dire pouvoir et récompense, mais sacrifice et don de soi. A ceux là mon message s’adresse désormais.





Ne prenez pas la peine de me traquer, Beth, Kazert, Sebbe, le rendez vous est pris au festin du Roy, je porterais l’armure des justes et Dieu sera mon Témoin. Quelle armure porterez-vous ce jour là vous-même? Si Armoria veut ajouter une victime de plus dans un sillage de cadavre parmi les plus loyaliste que les pires ennemis de la couronne lui envie et lui jalouse, arrêtez moi. Mais ça sera la seule occasion que je vous donnerais de le faire.

Après je rejoindrais le monde des Ombres, loin d’une famille royale désormais assassinée, pour défendre ce qui reste de plus précieux au Royaume de France….. Son peuple, sans distinction de province ou de religion.

PS:Aimadina, cette lettre est aussi pour toi, elle t’apportera j’espère certaines des réponses que tu cherches.. la guerre fratricide du Limousin s’est achevé, elle s’achèverait quelques soit le résultat.la Justice n’aura jamais son du, le peuple préfère l’oppression à la mémoire et au droit….ce n’est pas mon cas.
Trokinas


Trokinas vit l'écriteau, le lit, puis ne fit aucun commentaire. Il n'avait pas tout lu d'ailleurs, se rendant vite compte que cela n'était qu'un tissu de mensonges, ou une vision très altérée de la réalité. Le Vicomte aurait il perdu la raison en même temps que les élections?

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--Garderoyale
L'homme portant les insignes de la Garde Royale , s'arrêta devant un attroupement , ce fraya un chemin jusqu'au parchemin, non plusieurs parchemins.
Il commença a lire et voyant le nom de Dragonet il arracha l'un des nombreux parchemin et repris sa route pour Tulle.
Il avait ordre de trouver le Capitaine Kazert.
Nebisa
Et bien sur, le passage " si j'avais gagné j'aurais rien" dit manque et tend à établir le niveau de crédibilité de ce torchon ...

Le sourire aux lèvres, heureuse d'être de retour chez elle, la Malemort s'étire, et, à l'aide d'un page courbé, monte sur un tonneau pour faire ce qu'elle fait le mieux...

Si certains ici ont des questions ont poser, veulent savoir la vérité ou ont le moindre doute suite aux mensonges proférés par un aigri assumant pas l'échec de sa carrière basée sur le népotisme et la magouille, qu'il s'avance, qu'il demande, il aura, sans fards, sans dissimulation, ainsi que j'ai toujours vécu, les réponses qu'il voudra.

Certains ici me connaissent, le mensonge n'est pas dans mes façons de faire et j'en ai plus qu'assez de laisser une clique de gens de mauvaise foi souiller la réputation du Roy, de ses conseillers, au profit d'une victimisation perpétuelle destinée à dissimuler leurs propres exactions.

Je vous en prie donc, face à face, je n'ai pas besoin d'un placard anonyme moi pour parler, venez, demandez, exprimez vous.
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Ijarkor
Ayant lu l'affiche et vu la Comtesse de Ségur juchée sur son tonneau. Le vent froid balayait la place, et Ijarkor se dit qu'ainsi perchée, elle allait tomber malade si on ne lui donnait pas l'occasion de s'agiter. Aussi, il prit au mot sa proposition et l'apostropha.

Comtesse, permettez-moi d'abord de vous souhaiter un joyeux retour en ces terres que nous aimons tous. Comme vous le voyez, la vie politique ici est toujours aussi vivante... et les tonneaux aussi solides et bien charpentés !

J'ai une question, qui n'est pas en rapport direct avec les affaires parisiennes racontées dans l'affiche du Vicomte: à vrai dire, Paris est loin, et ce qui s'y passe m'est étranger.

Mais dans cette affiche, le Vicomte confirme un bruit qui court, comme quoi le Capitaine Kazert de la Garde Royale serait venu il y a quelques jours, alors que la campagne électorale battait son plein, pour arrêter le chef de la liste "Renaissance", en vertu d'un ordre datant du 18 août dernier.

Je ne crois pas, comme l'auteur de l'affiche semble le dire, que cette intervention royale ait eut le moindre effet sur le résultat des élections: la volonté du Très Haut s'est clairement exprimée à travers le vote des habitants du comté, en faveur de la liste ULM.

Mais j'aimerais avoir des explications sur la demande de Messire Kazert, que heureusement, la Comtesse Ewaele a eu l'intelligence d'ignorer. Car de deux choses l'une:
- soit le Vicomte est coupable de ce dont on l'accuse, et il fallait l'arrêter et le juger fin août, et ne pas l'autoriser à se présenter aux élections;
- soit il est innocent, et il fallait annuler cet ordre, ou du moins qu'un procès et un jugement vienne faire éclater son innocence.

Dans tout les cas, ne trouvez-vous pas cette intervention de la Garde Royale assez inopportune ? Pourquoi la justice du Roi traite-t-elle cette affaire si longtemps après les faits, et juste en ce moment ?

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Nebisa
Le bonjour mon pére... Loués soit la résistance des tonneaux limousins en effet !

La Comtesse s'empresse de vérifier que celui sur lequel elle se perche tient le coup avant que de répondre

En ce qui concerne l'ordre de détention du Vicomte, il a été donné suite à la révolte, afin qu'une enquête de la prévosté puisse avoir lieux . Durant ce laps de temps, le vicomte de Saint Germain s'est amusé à bastre la campagne, en Auvergne et dieu sait ou encore pour montrer qu'il n'entendait point obéir. Il est revenu, pour tenter de se faire élire Comte et voilà...

Savoir pourquoi il a fallut trois mois pour que Messire Kazert arrive, sur son cheval blanc, m'intéresse autant que vous tous. Mon avis personnel sur la question tiendrait en "ce coup d'esbroufe n'avait d'autre raison que faire le jeu du Vicomte de Saint Germain, il gagnait les élections, pof "la princesse d'Etampes veut arrêter un Feudataire", il perdait ? Bah "c'est a cause de l'arrestation". "

Savoir si le Vicomte est, ou pas, coupable également. Même si mon avis sur la question reste le même qu'aux moments des faits... Dans tous les cas, l'enquête est en cours, les résultats seront publiés.

Concernant la durée de l'enquête, je suppose que le nombre de dossier passant entre les mains du Duc Sebbe de Valrose, le Grand Prévost, explique que cela nécessite plusieurs semaines...

Vous ai-je bien éclairé mon pére ?
_________________
Armoria
Après le bain, vanillée de frais :

Votre Altesse ? Les messagers sont en train d'afficher votre réponse, mais...

Un sourcil se leva.

Mais quoi, Forrest ?

Eh bien, j'ai vu la Comtesse Nebisa, juchée sur un tonneau, qui s'occupait à répondre à ces fadaises.

Elle leva les yeux au ciel.

Elle est inconsciente... Le tonneau est-il solide, au moins ? Tu aurais dû garder un exemplaire, que je la rejoigne sur place.

Forrest exhiba en souriant le dernier exemplaire : il connaissait bien sa maîtresse.

Allons, mène-moi sur place.

Une fois arrivés, elle regarda Nebisa, non sans sévérité.

Eh bien, Comtesse, vous trouvez-vous donc si petite, que vous vous sentiez d'ainsi vous percher ? A-t-on idée de faire pareilles acrobaties, en étant aussi enceinte ! Descendez donc me rejoindre, Forrest a un placard à afficher. Ainsi, je n'aurai point à lever la tête pour vous parler.

Elle frotta ses mains l'une contre l'autre, frileuse.

Accueil original, qui nous change de la présentation des armées, mais je ne vous cache point que je préfère la méthode classique...

Elle salua d'une inclinaison de la tête celui qui était manifestement un homme d'Eglise.
_________________
[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
--Lanocenoire
L'homme , la femme comment savoir sous ce déguisement. En tout cas cela devenait intéressant.
De la vie de l'émotion, et beaucoup de bruit pour une crotte de mouche, qui devait être une crotte d'éléphant.


J'aimerais savoir comment vous qui êtes sur un tonneau avec le bidon que vous portez en lieu et place de votre ventre avait vous fait pour y être perché ?
J'aimerais savoir comment dame nature peut encore vous faire procréer.
Vous êtes bien enceinte ou vous êtes grosse?

Pourquoi vous vous défendez avec tellement de hardiesse ? Auriez vous un secret, une vérité a dire ?


S'adressant au prêtre

Quand a vous l'abbé, homme d'église. Votre question est pertinente, je me la suis posé aussi. Par contre je me réserve pour la poser a la bonne personne, Sebbe , Kazert ou Beths.
Si on me laisse les approcher. D'ailleurs ils sont bien absent
.

Regarde les deux femmes

Comparez a vous deux . Peut être que eux dorment sur leurs deux oreilles pas comme certains qui ont détruit des soeurs. Deux soeurs!
Nebisa
Arrivée d'une GMF au ton sévére, Malemort qui grimace et hausse les épaules... Ce qu'elle fait ? Elle s'adresse directement aux Limousins, à ceux qui ne valent pas moins qu'elle, à ceux qu'elle respecte et qu'elle sert depuis des années, à ceux qui aujourd'hui sont les pions qu'entend manipuler un fou démago....

Oh... Altesse ! Le bonjour ! Je... communie avec le peuple voyez vous ! Il me semblait bon de répondre directement aux questions que pouvait le placard anonyme du Vicomte de Saint Germain. Pourquoi voulez vous que je descende ? On m'entendra moins d'en bas ! Et puis je ne suis pas si enceinte que ça !

Arrivée d'une gamine sous une cape, le courage est aux anonyme ce que les bourses sont aux chapons...

Bonjour ... euh inconnue... l'asile est à la sortie de la ville, pouvez pas vous tromper.

(désolée, je parle pas aux pnj qui sont là parce que le PJ manque de courage)

_________________
Armoria
Armoria regarda la... personne. Homme ou femme, c'était forcément une personne. De cela au moins, elle était sûre. Un homme avec une voix de fausset, ou une femme avec une voix de charretier, d'où la confusion.

Et moi, j'aimerais savoir ce qui vous autorise à manquer de la simple notion de respect qui veut que l'on se présente. Sitôt que je saurai qui vous êtes, soyez certain... Certaine, peut-être ? Que je me ferai une joie de vous répondre.

Elle se tourna ensuite de nouveau vers Nebisa.

Quant à vous, Forrest vous aidera à descendre sitôt qu'il aura fini d'apposer l'affiche.

Le regard était clair : c'était le Grand Maître de France qui parlait au Chambellan. Forrest, quant à lui, s'occupait de la demande de sa maîtresse et s'appliquait à poser l'un des placards qu'elle avait annotés.

Citation:
[...]

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Citation:
Je connaissais l’image du Roy de par la fronde, je savais les rumeurs concernant la mort de son père et celui de l’assassinat du précédent pape, ou encore celui de Caedes au sein de la bastille.


Il aurait été intéressant de savoir sur ces rumeurs l'avis de l'auteur.

Citation:
La Reyne avait plus besoin d’un médecin que d’espion, et ce fut encore plus vrai le jour funeste où le Roy l’a contraignit a accomplir son devoir conjugal, après des années de délaissement, pour concevoir les princesses.


Ah, au temps pour moi, il le donne... L'auteur accuse Sa Majesté d'avoir violé la Reyne. Sans doute était-il dans la pièce, en tant que témoin ? Ce sont là de graves accusations sur lesquelles il nous faudra revenir, je pense.

Citation:
J’appris alors que sa dauphine, Armoria, épouse du prince Morgennes, s’était éloigné de la voie qu’il avait tracée.


Sa dauphine ? Je l'apprends... Si effectivement j'ai jamais été perçue de la sorte, alors, oui, je le clame haut et fort : je me suis écartée de la voie tracée, et avec entrain. Le temps des complots et autres manipulations est bel et bien derrière nous, et il ne suffit plus, ce jour, d'être l'ami d'un ami pour trouver une place au soleil : il la faut mériter. J'assume donc et revendique ce contre-pied de la méthode Juliani.

Citation:
Mais cela ne m’intéressais guère. La Reyne était morte, mais elle avait demandé à son plus fidèle alliée d’être le précepteur des princesses, et il souhaitait que je reprenne avec elles ce que j’avais fait pendant tant d’années pour leur mère. J’acceptai avec d’autant plus de joie que la couronne sous l’impulsion de la Curia, prenait un tournant qui ne me plaisait guère.


Pour avoir reçu copie du testament de feue Sa Majesté Catherine-Victoire, copie écrite de sa main, je sais une chose : elle n'a nullement cité messire Dragonet - que, curieusement, je pense être l'auteur de ce message - pour s'occuper de ses filles. Ce choix revenait donc exclusivement au Prince Juliani, ce dont je n'ai par ailleurs nulle preuve. Ont reçu copie de ce testament, outre le Prince et moi, le Duc Wulfen et la Duchesse Numalane. Il convient donc, là, de différencier la volonté de feue la Reyne de la volonté de celui auquel elle avait confié ses filles.

Citation:
J’étais revenu à la vie politique, en tant que chambellan, puis comte, et je voyais la prévôté délaissé au profit des services non officiel, ceux de Chelles ou la garde privé d’Armoria. Je désapprouvais et eu l’occasion de le dire au conseil des feudataires, sans pour autant cesser de me consacrer à l’œuvre de ma vie, servir et protéger la lignée royale légitime.


Heureuse chose que la création de mes fidèles 45, qui ont servi le Roy tant à Compiègne qu'à Laval puis Fougères, certains y ayant perdu la vie. Je passe sur le fait que l'auteur me nomme par mon prénom comme si nous étions proches, tant tout un chacun aura compris que c'est loin d'être le cas. Etonnamment, j'ai grand mal à nouer amitié avec des gens qui me vouent une telle haine.

Citation:
Je savais que le Roy, si il fut pécheur assurément,


Qui de par le Royaume de France, peut se permettre de dire que notre Roy est un pécheur ?

Citation:
cherchait la repentance et le pardon de Dieu, et qui était je pour le juger moi-même,


Juger, certes non... Salir, calomnier, oui, mais juger, non, au grand jamais, n'est-ce pas ? Il est tellement plus simple de lancer rumeurs et accusations infondées et de laisser le peuple se faire son idée...

Citation:
Puis vint cet événement qui vous amène à ce jour, la révolte. Vous devez pour la comprendre la remettre dans son contexte. Au moment des faits, je contestais au conseil des feudataires la façon dont Armoria avait géré la Guerre de Bretagne, et plus encore l’après guerre.


Certains ont contesté, d'autres non... Tous ceux qui ont contesté ont-ils subi ma "vindicte" ? Cela se saurait.

Je passe sur la révolte, enquête est menée par la Grande Prévôté de France, enquête qui, sans nul doute, aurait été plus rapidement menée si le Comte Dragonet n'avait tout fait pour s'y soustraire.

Citation:
2 personnes de la Curia s’y opposèrent formellement.. Le chancelier Belgiam, qui m’écrivit me confirmant l’illégalité de la chose. Il fut poussé à la démission aussitôt.
Et le Grand Aumônier Gédéon qui de par la confession savait non seulement ma loyauté envers la couronne, mais les dessous de l’histoire, et me soutint alors qu’on demandait mon renvoi des institutions royales (car je suis officier de la couronne et à son service, encore à cet Heure).. Curieusement, depuis peu il à disparu..Mais je vais y revenir..


Messire Belgian a démissionné, la nuance est de taille. Quant à Monseigneur Gedeon, il a dit revenir sous peu. Sans doute l'ai-je fait enfermer dans un cul de basse-fosse de mes terres de Saulieu ?

Citation:
J’ai alors saisis la pairie qui unanimement de donna raison elle aussi. Mais La Grand maitre de France, prétextant que me remettre au pouvoir entrainerais assurément un conflit majeur dans la région (on se demande bien pourquoi d’ailleurs), convainquis le Roy de rien n’en faire et de lui donner raison. Il était peu probable évidement qu’elle veuille revoir au trône comtal une personne qui lui demandais des comptes, et Bessbuff comme Ewaele seraient toutes deux assurément plus.. Docile. Que ça soit illégitime ne l’intéressait guère, après tout si elle pouvait convaincre le Roy par mensonge, n’était il pas lui-même LA LOI.


Diantre, si je devais faire démettre tous ceux qui me demandent des comptes, ce qui est légitime pour un Feudataire... Autant ne plus organiser d'élections, et mettre à la tête des provinces les gens que j'y souhaite voir, voilà qui serait sans nul doute plus rapide et efficace, si mon pouvoir est si grand... Ah, la belle France, où tous les Feudataires seraient à mes ordres ! Allons, tout cela oscille entre folie et mensonges...

Citation:
Après la révolte, j’avais été sommé de rester au Limousin, ce que je fis jusqu'à la décision finale du Roy. J’ignorais encore que le pire était à venir.

N’étant plus comte, je décidai de retourner vers ma raison de vivre, la famille royale. Je parti en Bourdonnais-Auvergne rejoindre les princesses.


Donc, il est resté, en partant. Et moi qui suis manifestement toute-puissante, je n'ai point songé à le faire enfermer. Je suis parfois distraite.

Citation:
Il me fut même interdit de m’approcher des princesses au Louvre..


Rien de bien grave, en somme, puisqu'elles n'y étaient point.

Citation:
Mais même en admettant que je sois le plus mauvais des gestionnaires, ce qui était loin d’être le cas,


L'enquête en cours le dira.

Citation:
Mon renversement du Trône, validé par la Curia, alors que la pairie si opposé, Belgiam et Gédéon s’y opposaient au péril de leur poste.
Le fait que du fait du « comblement inopiné » la perte n’aurais pas eu lieu, et qu’on ai maintenu la révolte.
Son « anticipation » 15 jours avant.
L’intervention de la Curia alors que le limousin n’est pas du DR, et les feudataires ont pas à répondre de leur gestions à la Curia.


La Curia Regis est une Chambre : saisie, elle doit statuer.

Citation:
La volonté de m’empêcher d’approcher les princesses, que se soit lors du voyage royal ou au Louvre, alors que dans le même temps, nul ne venait m’arrêter lorsque chaque matin, je me rendais à l’Hôtel-Dieu pour travailler pour la même Curia, et côtoyais le Grand prévôt de France régulièrement dans les locaux de Saint Ouen ?


Alors, il était à Paris, ou en province ?

Citation:
Son altesse Juliano di Juliani, précepteur des princesses et du dauphin est déclaré mort, il a disparu, aucune explication.


Je l'apprends ici. J'en suis certainement responsable, j'imagine. Comment m'y suis-je prise ? Un assassin, une ttroupe d'empoisonneurs ? Ou, perfide que je suis, j'ai tablé sur le temps qui passe et nous approche tous du Très-Haut ?

Citation:
Ses altesses, les Princesses Marie-Héloïse et Mahaut-Hélène sont déclaré morte alors qu’elles étaient sous la protection de la Garde Royale. Aucune explication, on parle de sorcellerie, rappelons que c’est le Grand aumônier qui est du coté Royal le seul Habilité à représenter la couronne, et qu’il était un esprit libre.. il à disparu. Pas d’explication.


Le Grand Aumônier de France est en retraite spirituelle... Suis-je aussi responsable du fait que cet homme pieux ressente le besoin de se ressourcer ? L'ai-je donc envoyé moi-même en un couvent ? Doux Christos, ce serait faire peu de cas de sa foi.

Citation:
Le dauphin Marc Antoine, dont la localisation était connu que de Juliano, mais à l’étranger pour ses études, à disparu


Peuple du Limousin, contemple mon pouvoir, et crains-moi ! Sans même savoir où se trouve le Dauphin, il ne fait nul doute entre ses mots que j'ai aussi triomphé de lui...

Pitoyable.

Ce que je trouve inquiétant, en revanche, c'est que le Roy lui-même ignore où est son fils, et ce, grâce au Prince.

Citation:
Plus proche de Moi, Constance qui de sa position de maitresses du haras royal me permis d’assister à l’enterrement de la Reyne sous les traits du cocher du propre carrosse d’armoria, est morte dans des circonstances étrange, une enquête vous révélera que son testament fut quelques mots pour m’avertir… mais de quoi. Sa marraine vous le confirmera. Son actuel remplaçant vous confirmera aussi que la Grande écuyère de la couronne, Kirah, l’avait publiquement avertit de ne plus s’approcher de moi pour sa sécurité. Tout cela existe, et est retrouvable..


J'en toucherai un mot à la Duchesse Kirah, qui aura sans envie de répondre. Ou pas, tant l'ensemble de ce que nous découvrons ici est vil.

Citation:
Pire, la Duchesse de Champagne, dont l’enfant est mien, fut renversé par des brigands, dont un angevin qui était connu et traqué par votre propre prévôté. La duchesse fit le nécessaire pour faire protéger le château, les maréchaux obéirent, mais les loups de champagnes qui sont eux sous les ordres de la Curia ne le firent pas. 11 brigand réussirent à s’emparer du cœur de la bourse de la Curia, la piller, et seule la Duchesse fut accusé, alors qu’elle n’a aucune autorité sur les loups, et fut destituer. Son vrai crime, sans doute ne pas être partisane non plus d’armoria.


Enquête est en cours, et je suis la première à dire qu'il y a eu plusieurs manquements dans cette affaire. Je suppose que les brigands étaient à mes ordres ? Oui, non ?

Citation:
Je songe en tremblant à l’avenir de ma fille âgée de quelques mois, lorsque l’on voit l’acharnement de la Curia sur ses parents et sa volonté de les écarter du pouvoir. Heureusement, j’ai pris des dispositions pour garantir son avenir.


Ma foi, il y a de quoi trembler, en effet, en voyant que j'ai tous les pouvoirs, y compris des pouvoirs semi-divins... Qui pourrait se soustraire à mon courroux ?

Citation:
Mais des exemples comme cela, mon bureau en est jonché. Peut on accusé un écuyer de Saint Ouen ayant œuvré sa vie durant pour la couronne, un prince ancien GMF, deux jeunes princesses de 8 ans, le dauphin, une Maitresse des haras, une duchesse du DR et tant d’autres d’être anti royaliste… Assurément non, pourtant ils partageaient tous un point commun. Il était anti-Armoriste et n’approuvaient pas sa manière de gérer le Royaume de France.


Le Dauphin qui a disparu avant que je ne devienne Grand Maître de France, pour mémoire. Pour avoir longuement parlé avec lui, je sais ce à quoi il aspirait pour la France, et je doute fortement qu'il aurait été si hostile à ma façon de faire. Les Princesses de 8 ans s'occupaient donc de la gestion du Royaume ? Diantre, quelle précocité... Quant à ce qui leur est arrivé, il ne m'appartient nullement de me prononcer. Je me mêle de temporel, et cela suffit grandement à occuper mes journées.

Citation:
Ah j’allais oublier le prince Morgennes, peu soumis dit on aux caprices de son épouse et qui à mystérieusement disparu.


Tellement disparu qu'il est pour l'heure à Lyon... Passons.

Citation:
Et que dire de cette étrange calendrier qui fait qu’alors que j’avais annoncé ma candidature aux comtales, la prévôté de France arrive, quelques jours en avance sur le cortège, pour mener une enquête datant de quelques mois, et sur un fait que tous considère comme passé, mais qui pourrais me conduire néanmoins à la Bastille au profit d’Ewaele, vassale de la curie, lui garantissant dans tous les cas la victoire. ?


Que dire en effet, du fait qu'il n'y a eu nul renouvellement d'ordre d'arrestation ? Que dire du fait que ledit Kazert, que l'on sait proche d'un certain groupuscule, après avoir tant tardé - depuis août, vous pensez - se décide enfin à venir juste avant les élections à venir montrer à quel point ce pauvre Dragonet est ma victime ?

Citation:
Le limousin n’est pas un cas isolé, et je n’ignore rien des actions que mènent certains membres de la Curia en Anjou, au Poitou, en champagne, et ailleurs, de ces actions qui échappent même a votre prévôté car Armoria à ses propres réseaux qui échappent à tout contrôle. Je les connais, car percevoir les intrigues est ce don qui me fit un jour travailler pour la couronne, et c’est cette malédiction qui vous amène à ce jour à ma porte.


Certains membres de la Curia... En Anjou, ils sont sur place entre deux belligérants, assurant devoir de protection pour un Duché qui a besoin de se relever d'une guerre, sans pour autant menacer le Comté voisin. Je dirais qu'ils font leur devoir. En Champagne ? Nous avons des membres de la Curia ici, dans le Limousin, pour la tournée royale, et d'autres, déjà cités, en Anjou... Champagne, vraiment ?

Citation:
La famille royale légitime est morte,


Tant que nous avons un Roy à même d'avoir des hoirs, la famille royale est bel et bien une réalité.

Citation:
Nombre de gens dont la gentillesse apparente n’a d’égal que la noirceur d’une âme corrompue par le sans nom de rêvant sans cesse que d’engranger un peu plus de titres ou de pouvoir.


Je ne saurais régner, pas plus que mon fils, mon époux étant le bastard de France, et je ne saurais avoir davantage de pouvoir. Je pense que pour une fois, ce passage ne me concerne point. Surtout que, Dieu merci, le Roy est vivant, et en bonne santé.

Citation:
Je suis un vieil homme en ce sens que j’ai vécus plus de vie que nombre d’entre nous rêverais d’en avoir et nul ici n’en connais le dixième.


C'est consciente de ceci que nulle demande de procès pour calomnie à mon encontre ne sera fait par ma personne. En revanche, j'aurai grand mal à ne dire mie pour les passages diffamant Sa Majesté. Ils sont proprement ignobles.


Pour conclure, j'ai réussi à annoter ce torchon jusques à sa fin - hormis la partie liée à la politique locale, qui ne me regarde en rien. Je l'ai fait jusques à la nausée, aussi ai-je parfois usé de traits d'humours qui n'étaient rien de moins qu'une sorte de respiration.

J'aurai soin de prier pour cet homme, qui a manifestement perdu la raison, et qui se voue si entièrement à la haine et à la rancoeur que son âme est menacée. Je prierai pour qu'il retrouve la raison, et l'apaisement. Je lui ai d'ores et déjà pardonné ce que sa folie lui fait dire de moi. J'aurai plus de mal - je doute même d'y parvenir - à lui pardonner ce qu'il dit de notre bon Roy, Sa Majesté Lévan.

Placard annoté le 14 de novembre 1456, et scellé de ma main,
Armoria de Mortain



Il aurait été intéressant de savoir sur ces rumeurs l'avis de l'auteur.



Ah, au temps pour moi, il le donne... L'auteur accuse Sa Majesté d'avoir violé la Reyne. Sans doute était-il dans la pièce, en tant que témoin ? Ce sont là de graves accusations sur lesquelles il nous faudra revenir, je pense.



Sa dauphine ? Je l'apprends... Si effectivement j'ai jamais été perçue de la sorte, alors, oui, je le clame haut et fort : je me suis écartée de la voie tracée, et avec entrain. Le temps des complots et autres manipulations est bel et bien derrière nous, et il ne suffit plus, ce jour, d'être l'ami d'un ami pour trouver une place au soleil : il la faut mériter. J'assume donc et revendique ce contre-pied de la méthode Juliani.



Pour avoir reçu copie du testament de feue Sa Majesté Catherine-Victoire, copie écrite de sa main, je sais une chose : elle n'a nullement cité messire Dragonet - que, curieusement, je pense être l'auteur de ce message - pour s'occuper de ses filles. Ce choix revenait donc exclusivement au Prince Juliani, ce dont je n'ai par ailleurs nulle preuve. Ont reçu copie de ce testament, outre le Prince et moi, le Duc Wulfen et la Duchesse Numalane. Il convient donc, là, de différencier la volonté de feue la Reyne de la volonté de celui auquel elle avait confié ses filles.



Heureuse chose que la création de mes fidèles 45, qui ont servi le Roy tant à Compiègne qu'à Laval puis Fougères, certains y ayant perdu la vie. Je passe sur le fait que l'auteur me nomme par mon prénom comme si nous étions proches, tant tout un chacun aura compris que c'est loin d'être le cas. Etonnamment, j'ai grand mal à nouer amitié avec des gens qui me vouent une telle haine.



Qui de par le Royaume de France, peut se permettre de dire que notre Roy est un pécheur ?



Juger, certes non... Salir, calomnier, oui, mais juger, non, au grand jamais, n'est-ce pas ? Il est tellement plus simple de lancer rumeurs et accusations infondées et de laisser le peuple se faire son idée...



Certains ont contesté, d'autres non... Tous ceux qui ont contesté ont-ils subi ma "vindicte" ? Cela se saurait.

Je passe sur la révolte, enquête est menée par la Grande Prévôté de France, enquête qui, sans nul doute, aurait été plus rapidement menée si le Comte Dragonet n'avait tout fait pour s'y soustraire.



Messire Belgian a démissionné, la nuance est de taille. Quant à Monseigneur Gedeon, il a dit revenir sous peu. Sans doute l'ai-je fait enfermer dans un cul de basse-fosse de mes terres de Saulieu ?



Diantre, si je devais faire démettre tous ceux qui me demandent des comptes, ce qui est légitime pour un Feudataire... Autant ne plus organiser d'élections, et mettre à la tête des provinces les gens que j'y souhaite voir, voilà qui serait sans nul doute plus rapide et efficace, si mon pouvoir est si grand... Ah, la belle France, où tous les Feudataires seraient à mes ordres ! Allons, tout cela oscille entre folie et mensonges...



Donc, il est resté, en partant. Et moi qui suis manifestement toute-puissante, je n'ai point songé à le faire enfermer. Je suis parfois distraite.



Rien de bien grave, en somme, puisqu'elles n'y étaient point.



L'enquête en cours le dira.



La Curia Regis est une Chambre : saisie, elle doit statuer.



Alors, il était à Paris, ou en province ?



Je l'apprends ici. J'en suis certainement responsable, j'imagine. Comment m'y suis-je prise ? Un assassin, une ttroupe d'empoisonneurs ? Ou, perfide que je suis, j'ai tablé sur le temps qui passe et nous approche tous du Très-Haut ?



Le Grand Aumônier de France est en retraite spirituelle... Suis-je aussi responsable du fait que cet homme pieux ressente le besoin de se ressourcer ? L'ai-je donc envoyé moi-même en un couvent ? Doux Christos, ce serait faire peu de cas de sa foi.



Peuple du Limousin, contemple mon pouvoir, et crains-moi ! Sans même savoir où se trouve le Dauphin, il ne fait nul doute entre ses mots que j'ai aussi triomphé de lui...

Pitoyable.

Ce que je trouve inquiétant, en revanche, c'est que le Roy lui-même ignore où est son fils, et ce, grâce au Prince.



J'en toucherai un mot à la Duchesse Kirah, qui aura sans envie de répondre. Ou pas, tant l'ensemble de ce que nous découvrons ici est vil.



Enquête est en cours, et je suis la première à dire qu'il y a eu plusieurs manquements dans cette affaire. Je suppose que les brigands étaient à mes ordres ? Oui, non ?



Ma foi, il y a de quoi trembler, en effet, en voyant que j'ai tous les pouvoirs, y compris des pouvoirs semi-divins... Qui pourrait se soustraire à mon courroux ?



Le Dauphin qui a disparu avant que je ne devienne Grand Maître de France, pour mémoire. Pour avoir longuement parlé avec lui, je sais ce à quoi il aspirait pour la France, et je doute fortement qu'il aurait été si hostile à ma façon de faire. Les Princesses de 8 ans s'occupaient donc de la gestion du Royaume ? Diantre, quelle précocité... Quant à ce qui leur est arrivé, il ne m'appartient nullement de me prononcer. Je me mêle de temporel, et cela suffit grandement à occuper mes journées.



Tellement disparu qu'il est pour l'heure à Lyon... Passons.



Que dire en effet, du fait qu'il n'y a eu nul renouvellement d'ordre d'arrestation ? Que dire du fait que ledit Kazert, que l'on sait proche d'un certain groupuscule, après avoir tant tardé - depuis août, vous pensez - se décide enfin à venir juste avant les élections à venir montrer à quel point ce pauvre Dragonet est ma victime ?



Certains membres de la Curia... En Anjou, ils sont sur place entre deux belligérants, assurant devoir de protection pour un Duché qui a besoin de se relever d'une guerre, sans pour autant menacer le Comté voisin. Je dirais qu'ils font leur devoir. En Champagne ? Nous avons des membres de la Curia ici, dans le Limousin, pour la tournée royale, et d'autres, déjà cités, en Anjou... Champagne, vraiment ?



Tant que nous avons un Roy à même d'avoir des hoirs, la famille royale est bel et bien une réalité.



Je ne saurais régner, pas plus que mon fils, mon époux étant le bastard de France, et je ne saurais avoir davantage de pouvoir. Je pense que pour une fois, ce passage ne me concerne point. Surtout que, Dieu merci, le Roy est vivant, et en bonne santé.



C'est consciente de ceci que nulle demande de procès pour calomnie à mon encontre ne sera fait par ma personne. En revanche, j'aurai grand mal à ne dire mie pour les passages diffamant Sa Majesté. Ils sont proprement ignobles.


Pour conclure, j'ai réussi à annoter ce torchon jusques à sa fin - hormis la partie liée à la politique locale, qui ne me regarde en rien. Je l'ai fait jusques à la nausée, aussi ai-je parfois usé de traits d'humours qui n'étaient rien de moins qu'une sorte de respiration.

J'aurai soin de prier pour cet homme, qui a manifestement perdu la raison, et qui se voue si entièrement à la haine et à la rancoeur que son âme est menacée. Je prierai pour qu'il retrouve la raison, et l'apaisement. Je lui ai d'ores et déjà pardonné ce que sa folie lui fait dire de moi. J'aurai plus de mal - je doute même d'y parvenir - à lui pardonner ce qu'il dit de notre bon Roy, Sa Majesté Lévan.

Placard annoté le 14 de novembre 1456, et scellé de ma main,
Armoria de Mortain


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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Nebisa
Le valet de la princesse s'approchait déjà, tendant son bras, alors que la Malemort sentait la moutarde lui monter au nez... Se retrouver ici, chez elle, lui faisait oublier qu'elle était "le Grand Chambellan", avec ce que cela impliquait, elle se sentait plus Malemort que jamais et s'apprêtait à répliquer vertement à la Princesse qu'elle se trouvait fort bien sur ce tonneau, ainsi qu'elle en avait l'habitude à chaque fois qu'elle entendait dire les choses clairement. L'œil étincelant, faisant montre de plus de vivacité et d'énergie que jamais depuis le début de la tournée... mais avant que les paroles fatales n'échappent à ses lèvres, le Forrest l'avait déjà soulevée pour la déposer au sol... Plus musculeux qu'on ne le penserait au premier coup, Neb laisse un instant sa main caresser le poitrail de Forrest, se ressaisissant avant que de le remercier...

M...Merci Ferdinand...

Redevenue lucide et clairvoyante, elle se tourne en suite vers l'affiche pour connaitre la réponde du GMF...

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Ijarkor
Alors qu'il s'apprêtait à répondre à la Comtesse de Ségur, Ijarkor fut surpris par l'arrivée de cette petite femme qui parlait avec tant d'autorité. Il répondit à son salut d'un signe de tête, avant de comprendre quelques instants plus tard qui elle était.

Le temps qu'il réalise, Nebisa de Mallemort était descendue de son perchoir et se dirigeait vers la nouvelle affiche qui venait d'être placardée.


Merci pour votre réponse très claires. Que le Vicomte puisse organiser sa propre arrestation ne m'était pas venu à l'esprit, mais ce type d'intrigue m'est heureusement inconnu.

Je reste persuadé que la Justice du Roi aurait du être rendue plus tôt, mais puisque vous m'assurez que le Grand Prévost est au travail... J'espère qu'il aura la possibilité de traiter promptement ce dossier, car je suppose que les habitants du Comté voudront savoir rapidement la vérité sur celui qu'ils ont tout de même élu au conseil comtal, et qui fut soutenu par des personnes dont je connais la probité. Qu'il soit coupable ou innocent, c'est l'incertitude qui est la pire des choses pour tous.

Sur ce, je vous laisse à votre lecture.

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Aimadina
Aimadina était venu voir passer l'escorte royal. Elle vit avec grand plaisir certains visages familiers. En parcourant les rues, son regard fut attiré par une affiche anonyme.

Au fur et à mesure de sa lecture, son visage reflétait peu à peu la déception. Son nom était cité en bas du document. Non, cela n'éclairait rien et ce message anonyme allait complètement à l'encontre de ce qu'elle souhaitait pour le Limousin.

Ceux qui aimaient vraiment le Limousin comprendraient tôt ou tard que la réconciliation était la seule voie.

Dans les rues, l'animation montait. Soupirant une dernière fois, elle rejoignit la foule bigarrée pour se laisser porter par la joie des retrouvailles.
Zalina
Accompagnant le cortège, Zalina lut elle aussi l’annonce de Dragonet. Le résultat fut sans appel. Elle éclata de rire en se tenant le ventre. Décidément, il n’en ratait pas une celui-ci. Après avoir prétendu que tous les membres des Ordres Royaux devaient lui obéir parce qu’il était médecin du Roy, il avait décidé de changer de registre mais pas de méthode.
Un peu de calme revenu, la Peste écouta tranquillement les conversations et lut la réponse de la Princesse Armoria. En l’absence de Kirah, elle s’approcha du petit groupe pour compléter l’information.
Elle adressa une rapide révérence à chacun avait de prendre la parole.


Comtesse, mon Père, bien le bonjour.
Vostre Altesse, peut être puis je vous éclairer sur la partie concernant Dame Kirah et Dame Constance, étant moi-même auprès de ces Dames au moment de « l’avertissement public » de la Grande Ecuyère de France.

Dame Kirah a effectivement mise en garde Dame Constance, alors écuyère des Ecuries Royales. La jeune femme s’était laissée tourner la tête par les promesses de Messire Dragonet. Il sous entendait pouvoir lui faire visiter le Louvre et lui faire rencontrer le Beau Monde. Elle en oubliait son travail et était partie en promenade avec les Princesses… sans les Princesses qui n’étaient pas encore montées sur leurs montures.
La Grande Ecuyère n’a fait que conseiller à Dame Constance de se méfier des paroles an geleuses d’un séducteur connu avant de se retrouver bien déçue. Conseil non public d’ailleurs, puisqu’il a été donné au sein des locaux privés des Ecuries. Messire Sanktuaire, Premier Ecuyer de France, pourra également vous le confirmer.
L’ancienne Maistresse du Haras Royal n’a effectivement plus donné signe de vie depuis plusieurs semaines. Mais je doute que cela est un rapport, à moins que Messire Dragonet ait fini par lui faire visiter quelques parties secrètes de Paris dont elle n’aurait pas retrouver la sortie.

_________________
Bannière en travaux
Zalina de Montmorency,
Damoiselle de Colombiers et de Haisnes
Secrétaire d'Etat auprès du Poitou
Maistre des Ecuries Royales
Cavalière et Assistante du Maistre d'Armes de l'Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne
La_barrique
Un attroupement en gargote...

La_Barrique approcha.

Allait-il de nouveau devoir corriger les fausses idées qu'une poignée de félons s'acharnaient à répéter.
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