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[RP] La police en grève, pour une démission tant attendue...

Lambert25
Il avait croisé Nessty ce matin, et se rappelait de son visage quand elle le reconnut. Un mélange de dégout et de désepoir, comme elle seule savait les faire. Elle avait reçue la lettre alors! Aussi avait-elle tout de suite ripostée!
Arrivé sur la place, le vieux lieutenant Saintais en cloua une à sa gauche, et une à sa droite.


Citation:
Lettre ouverte des membres de la maréchaussée Poitevine

A son Infinie Grandeur Jehan Proisy- Fortunat, comte du Poitou , Seigneur d'Hermenault; dict Petitjehan
A tous les membres du conseil comtal,
A tous les élus Poitevins,
A toute la population poitevine,
A Nessty, procureur du Poitou,
Bonjour !

Ces dernières semaines, l’ambiance générale au sein de nostre organisme n’a cessée de se dégrader. Depuis plusieurs jours donc, la bonne entente qui qualifiait la maréchaussée de nostre Comté n’est plus ! Même s’il nous est désagréable de le dire, cela est entièrement du à l’intervention répétitive de certaines personnes.
Aussi, par l’intermédiaire de cette lettre, nous, policiers Poitevins, avons décidés d’annoncer un arrêt de travail, de durée indéterminée, suivie d’une démission générale des effectifs, si nostre demande n’est point prise en compte !
Nous demandons aux autorités compétentes, ainsi qu’à la dame Nessty, Niortaise, membre du conseil comtal élu le 05 juin de l’an de grâce mil-quatre-cent-cinquante-sept, d’entendre notre demande. Nous voulons que la dite-procureur actuelle démissionne de son poste dans les plus brefs délais, ainsi que de toutes les fonctions qu’elle pourrait occuper au sein de ce même conseil, au quel cas nous annoncerions tous un à un notre démission définitive. Cet arrêt de travail prend forme dès demain, samedi 27 juin de l’an de grâce mil-quatre-cent-cinquante-sept. Seuls les services de douane seront assurés, mais aucun des rapports quotidiens ne sera publié (sauf en cas de danger imminent pour nos terres). Toute la procédure des dossiers sera abandonnée durant cette période.

Que cela soit su,
Les membres de la maréchaussée dau Poetou pi de la Séntunjh.


Lieutenant Lambert25, de Saintes

Lieutenant Elhana dite La_justiciere, de Niort

Lieutenant Forcehung, de La Tremouille

Lieutenant Xedar, de La Rochelle

Sous-lieutenant Allydou, de La Tremouille

Sous-lieutenant Godo51, de Saintes

Sous-lieutenant Jmanci, de Niort

Sous-lieutenant Loulouu, de La Rochelle

Sous-lieutenant Xavix, de Saintes

Sergent Caillou498, de Thouars

Sergent Kalimereth, de La Tremouille

Sergent Merveille.du.mounet, de Poitiers

Sergent Sons, de Saintes

Sergent Wolfwarrior, de La Tremouille

Sergent Zouk59, de Saintes


Braves Poitevins! Honorables Poitevines!
A ce jour, une révolution à lieu en nos terres, menée par la police!
Saviez-vous que nostre conseil comtal comptait dans ses rangs des révoltuionnaires? Des révolutionnaires, qui, de surcroit, osent porter plaintes contre les membres de la maréchaussée!


Il leva la lettre d'accusation qu'il venait de recevoir:

Citation:
Expéditeur : Le tribunal du Comté

Par la présente, les autorités de police du Comté; vous signifient votre mise en accusation.
Il vous est reproché; notamment des faits de trahison.

Votre procès commence dès aujourd'hui. Vous êtes priés de vous rendre au tribunal d'ici à deux jours ouvrables.

Pendant la durée de l'instruction, vous resterez en liberté


Voici ce que nous avons tous reçu ce matin! La procédure est soit disant suivie par les autorités de police! On se moque de nous mes Dames, on nous trahit Mes Sieurs! Et avec nous, c'est vous qu'on atteint! Tout le conseil était au courant de ce qui se passait! La lettre ouverte clouée à côté de moi a été envoyée hier, et, depuis ce matin, nous commencons notre arrêt de travail! Depuis hier, tous les postes de police concernés ont été fermés, et aucun ne ré-ouvrira tant que nous n'aurons pas obtenu ce que nous voulons! Nous n'asurerons que des services d'aides à la personne en cas de crise grave!
Pour le Poitou, suivez-nous, et reversons Nessty!


Tous les policiers étaient là, et tous l'applaudirent de toutes leurs forces. Ils ne se laisseront pas faire! Pour le peuple du Poitou, il faut agir!
_________________


Il n'y a de vie et de solide esprit que celui qui prend sa source dans le coeur. Vauvenarges
--Kramdukon



L'Kram s'pointait en grinçant des dents. L'râlait car les femelles du coin s'montraient pas et dès qu'il voulait l'ver l'jupon c'est une bigote qu'il trouvait d'dans. L'avait donc tenté sa chance en restant à Poitiers, laissant sa Grande filer toute seule à Thouars, comme une grande mais 'tain d'brigands d'ptite souche ! Z'avaient osé toucher à sa belle Vilaine, l'amochant bien et maint'nant c'était à lui d'courir partout porter des papelards. 'tain d'Grande, qu'est ce qu'elle grattait l'parchemin d'puis qu'la Proc c'est Nesst ! La préférait à gratter l'gravier des ch'mins. Pourtant l'gros rouquin restait fidèle à Nessty, car Vilaine elle l'était sa Grande, ô que ouais, plus que jamais même, et même en geôle on l'entendait brailler d'loin quand elle était pô contente... L'avait pu sortir et s'était trainée immédiatement au tribunal. Lui, l'Kram, s'était fait j'ter d'la seule paillasse à 3 deniers qu'il avait pu dégoter. L'panier n'avait bien sur pas été garni, l'avait pu cuver d'y a 3 jours. 'tain d'garde qu'était v'nu l'secouer pour lui dite qu'la Grande l'demandait fis ça...

L'Kram s'pointait en grinçant des dents. L'avait porté très très tôt les plaintes au prévôt. Juste après les 1ers coups d'cloches pour la messe. La demi après 9 heures qu'avait dit une bigote pressant une ptiote aux doigts dans l'pif. 'tain d'brigands d'ptite souche ! Z'avaient osé toucher à sa belle Vilaine, l'amochant bien et maint'nant elle était affalée dans zun coin à s'faire rafistoler, sans pouvoir bouger du tribunal. L'avait râler avec elle car l'voulait aller au château mais l'gros rouquin l'avait pas voulut. L'avait pas mis les pieds ailleurs qu'en prison d'Poitiers et qu'au tribunal.

L'Kram s'pointait en grinçant des dents. L'cracha aux pieds du bouseux braillant après sa Grande. L'avait jamais vu la Vilaine pleine de haine lui ? Ben l'allait la voir. L'trouva l'nain au discours incohérent, l'diffamateur publique, qu'ressemblait au portrait fait par Nessty. Lui tendit l'papelard pour l'convoquer au tribunal, sans un mot, juste un regarde d'Kram du Kon bien cradasse, bine dégueulasse. S'défroquer d'vant tout l'monde, couillus et pisseuses complices : trahison et haute trahison. Bou diou, c'qu'elle aimait pô les traitres la Grande, mais qu'est c'qu'elle les aimait vraiment pô. L'ptits qu'étaient pô d'la flicaille, elle les coll'rait plus tard en procès, plus gentille avec les ptits nouveaux, trop gentille la Vilaine. Mais sur qu'avec un arrêt en taverne du rouquin, elle avait d'jà du l'faire la Proc. L'gros rouquin rit au nez du bougre. L'avait envie lui tousser d'ssus mais Nessty n'l'aurait pas voulu. Pô l'droit d'taper en Poitou qu'elle n'cessait dire à tout l'monde. Comme si y'vait moins d'crétins ici qu'ailleurs. L'ramollissait la Vilaine, l'ramolissait...

L'Kram s'pointait en grinçant des dents. L'avait vu l'papelard du gueulard. L'avait rien eu sa Grande, mais rien du tout. L'aurait entendu hurler, d'rire bien sur en voyant c'panflet d'un moufflet même pô sec sous l'bec. Pas gonflé l'bougre, juste meringué par la foudre lui, d'raconter des ân'ries, d'batailler l'pavé à c'tte heure. L'gros rouquin arracha l'mot à la gauche du braillard. L'était gauche d'toute façon et f'rait pas la différence. Pas d'raison qu'la Proc n'ait pô la missive qu'lui était adressée. Son plus fel et plus feal gars lui fil'rait, comme l'avait filé ces pouilleux hier avant d'p'loter la paille, tout seul. T'être qu'ça servirait pour l'tribunal, là où la belle dormait d'puis 15 jours. Au pire, l'en f'rait du feu c't hiver avec tout c'papier.

L'Kram s'pointait en grinçant des dents. L'regarda la liste, les noms et r'leva la tignasse rousse vers l'bonhomme. L'allait faire quoi l'gros rouquin ? Coller sa battoire dans le faciès d'l'autre pantin ? Nan, pô taper qu'elle avait dit sa Grande, pô taper les ptits. C'tait pô bien. L'sourit l'Kram, car l'savait qu'l'gus au nom d'Godillot qu'que chose, l'était dans l'sud. L'fraudrait l'expliquer au Kram ça. Puis l'Xavix, l'était plus l'prévôt lui, l'était aussi en voyage. Puis l'Xedar, l'avait filé son cabot en garde à la Grande y a un an et l'était encore dans l'nord lui, pour l'ambrasse... nan, l'ambassade... ça d'vait être une 'spèce d'galipette, l'savait pô c'que c'était. L'lâcha d'l'air, par l'nez comme un buffle. C'tait ça où l'explosait l'Kram.

L'Kram s'pointait en grinçant des dents. S'marrait en voyant l'autre secouer la convocation qu'il v'nait d'lui r'mettre. Ben l'a preuve qu'la gueuse avait déposé sa plainte comme l'fallait chez l'prévôt, l'seul à bosser chez la flicaille donc l'seul à pouvoir rec'voir la plainte. L'avait quoi d'en l'ciboulot l'merdailleux ? C'tait qui "tous" qu'l'autre braillait ? L'avait pas porté plus 10 convocations l'grous rouquin. L'eva une babine pour monter un croc. Pas plus, zallaient tous prendre peur en voyant ses dents carriées. L'raconte quoi l'gueux, pô bossé 'jourd'hui alors qu'il disait d'jà pô bosser hier ? L'savait même plus c'qu'il racontaitn l'pauvre. Puis Révolutionnaire, mouarf, l'd'vait pô savoir c'que c'tait c'lui là...

L'Kram s'barra souriant de toutes ses dent gâtées. S'gratta la panse au passage et lâcha un dernier vent. Vlà c'qu'lui inspirait c'tte réunion. L'rêvait sur'ment d'se faire un spectacle, pas grand monde sur la place, m'fin autant qu'd'poils au derrière qu'le ouistiti d'un mat'lot d'Vannes. L'gros rouquin ricanait, contente sa balada matinal. L'offrit un dernier mollardon aux pieds du gros lardon et s'en r'tourna voir sa Vilaine. Fallait la soigner la Grande car 'tain, c'qu'elle était amochée par ces 'tains d'brigands d'ptite souche ! Même l'ancien bourreau l'avait eu mal pour elle quand l'avait vu sa belle. L'viendra pas sa Ness, l'démissionnera encore moins la bougresse, l'chial'ra encore moins d's'être fait rosser la tronche par des 'tains d'brigands d'ptite souche. L'serr'ra les dents la Vilaine, n'mouf't'ra pô avec les crétins. L'gros la connaissait sa Grande. L'aimait bien son chignon et son sourire. Fallait pô lui chercher chercher les poux et encore moins la chatouiler sans raison. L'Kram veillait, la gueuse s'reposait.



Alienor.1
Alie arriva devant le piquet de grève aussi minable était il, mais choquée de sa nuit , elle n'allais pas en rester la.

Bien le bonjour a vous, je me permet de venir pour une raison, j'ai été brigandé cette nuit et ce matin à ma sorti de prison je reçois une missive du maire et quelle fut ma surprise l'affront qui m'a été fais ne pourra point être réparé ???? voila le fin de cette missive bizarre non ?

Il faut faire quoi , arrêtez d'œuvrer pour le Poitou en tant que CaM car personne ne va daigner réparé cela ?


Elle se tenait le ventre priant Aristote de lui laisser ce qu'elle perdait.

Donc que vous soyez en grève est une chose, mais laisser des voleurs partirent en ais une autre.
Vous laissez la porte ouverte aux brigands modeste et de renom, ils vont tous venir ici car bien sur vous ne protéger pas les citoyens.

Quelle solution avez vous trouvez ? ou bien je dois faire justice moi même et bien sur pas comme vous pouvez le pensez.
Allydou
Sur la place, aux cotés de Lambert, Ally avait comme les autres reçu sa convocation pour le tribunal des griffes d'un pigeon matinal.
Ce n'était pas une surprise pour elle, et bien sur, elle était prête à justifier de ses actes, devant son supérieur, devant le Juge et surtout devant son Comte.
Le malaise ressenti depuis quelques temps au sein de la police n’avait que trop durer et seule cette lettre ouverte au Comte apportait peut être une solution.

Elle voit arriver vers elle, un autre pigeon, encore un, décidément, eux en ce matin, ne fatiguaient point, et le libère de son message.



Citation:
Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, dict « Petitjehan », Comte du Poitou, disons que nous avons entendu les raisons ayant menées votre action, suite à la lecture de votre lettre et aux explications données directement par certains de vos membres.
Cela ne vous exempte pas d’une sanction car nous ne pouvons tolérer telle attitude sans réagir.
En conséquence nous vous enjoignons une reprise immédiate des opérations dévolues à vos fonctions dès ce jour. Faute de déférer à cette injonction, vous serez effectivement poursuivis et traduits en justice.
La sanction que nous vous infligeons, au nom du Comté, porte sur la suspension de votre salaire journalier jusqu’à nouvel ordre.

Fait en notre Château de Poitiers le vingt septième de juin mil quatre cent cinquante sept.

Et,
Pour que cela soit entendu et que cela soit fait, apposons notre scel.




Satisfaite qu’ils aient déjà été entendus, elle se dépêche de sortir une plume et un parchemin pour répondre.


Citation:
Votre Grandeur,

Le but de notre démarche étant de vous faire savoir notre mécontentement, et non de mettre en danger le Poitou ou sa sécurité, je reprend sans tarder mes fonctions de sous lieutenant et chef maréchal.
J'ai bien entendu la sanction qui m'est due, la respecte et la comprend tout à fait.

Avec tout mon respect,

Allydou, sous lieutenant de police de La Trémouille.


Elle laisse partir l’oiseau, et va reprendre le travail, qu’elle n’avait jamais cessé de faire, si ce n’est en apparence, du moins coté coulisse, le bien être et la sécurité du Poitou lui important bien plus qu’on aurait voulu le faire croire.
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Zouk59
Zouk savait bien que la garde rapprochée de la gueuse viendrait la soutenir, ce qui le faisait rire, c’est que les vilains revendiquent assidument le droit de protester, alors qu’ils le refusent à ceux à qu’ils s’opposent. Les policiers avaient bien essayaient de protester, mais devant la fin de non recevoir de la gueuse, l’action actuelle était la seule envisageable.

Il regarda, la personne qui avait besoin de se fritter, pour une cause inconnue de sa personne

Et surtout quel besoin de se cacher derrière un masque, à moins d’être vraiment très moche ou très couard, lui qui dit se battre pour les petits quand il affiche « À qui est dépouillé, il reste les armes » devise d’un souverain qui ne c’est jamais battu pour son trône, et qui préfère se plaire dans luxe et de luxure !!!

Il savait qu’il ronchonnait dans ses dents mais il avait reçu l’ordre de ne pas répondre à la provocation, alors il n’allait pas le voir, mais il était bien décidé à le fixer dans les yeux….

Ne pas répondre, ne pas protester, voila une constante de la police, tous les ivrognes, et les voyageurs aigris qu’il fallait toujours accueillir, diriger ou renseigner, malgré les insultes, les ralliements…..

L’autre continuait de s’marrer, mais que savait-il de zouk …..que savait-il des autres policiers. Ces hommes et ces femme qui se sont rassemblés pour servir et protéger les poitevins, peuple qui c’est réunit afin de vivre au sein d’une société, ou même si tout n’est pas parfait, il y a de la place pour tout le monde, ou tout le monde pouvait s’exprimer…… sauf des policiers qui était la cible de la plus grande agitatrice du comté …
Que savait-il de ceux qui devaient veiller à la prospérité tout en protégeant la justice et l’égalité d’un des comtés les plus puissants du royaume de France, cible de toute une flopé d’ennemis qu’ils étaient chargé de surveiller ……

Zouk repris sa rancœur mais l’intervention du CaM le sortit de ses réflexions.

En se tournant vers elle , il lui dit :


Moi dame, dès que notre affaire est terminée , j’irais traquer , parce que les crimes ne peuvent rester impunis et plus particulièrement les vols, mais depuis que mon honneur à été mis en cause pour trahison, j’ai surtout besoin de me défendre.
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Sons
sons,de retour du tribunal, ou il venait de deposer sa plaidoirie face a dame nessty, arriva en place publique pour discuter du sujet du jour avec tous ces collegues.. vous aussi vous avez donc tous reçu le courrier du comte..comment peut il donc deja nous avoir juger avant de nous avoir tous entendu..nous sommes deja convier a rendre visite au tribunal..d'ou je reviens a l'instant apres leurs avoir dit ceci..
Citation:
voila m'sieur le juge,

tout d'abord je me presente sons, policier saintais depuis, le 30 octobre 1456, date du jour ou je fis mes etudes au poste de saintes
tout d'abord comme vous pourrez le constater, je n 'ai jamais preter serment, donc , je ne vois pas comment on peut me juger pour acte de trahison envers le poitou..!!..et ceci car a l'epoque, le prevot briller par une telle absence, qu'il ne m'a jamais indiquer le chemin du pretoir..tout ceci ne m'empecha pas d'avoir fais un travail qui ne m'avait ete que demander...n'etant pas abiliter a prendre des decisions de moi meme..donc ici devrait paraitre en meme temps que nous, tout conseil comtale passer.. car si nous avons ete induit en erreur dans notre fonction cela c'est fais sur leur demande..vous constaterez que a aucun moment je n'ai deranger au serment de police que j'avais fais a ma ville de saintes..car tout d'abord je suis saintais avant d'etre poitevin..signalant tous mes departs, et toute mes absences..toute fois en se qui concerne nos actes de prudences dans notre ville..ce n'est pas parce certaines lois n'etant pas encore au registre, que nous devons negliger notre vigilances..se n'es pas parce ce qu'il n'y a pas de loi qui m'oblige a me nourrir que je ne vais pas manger...
je fus maintes fois remercier par certain noble poitevins pour ma vigilance reconnu..vous devriez en retrouver certain courrier dans vos dossiers...
et enfin pour se qui serait de trahison envers le poitou..je trouve que la c'est un peu exessif..moi qui ai ete combattre les angevins en anjou..defendu la tremouille lors de son pillage..defendu ma ville de saintes lors de l'attaque mener par les libertad..avoir repousser un minimum de trois revoltes a saintes..en en retrouvant a chaque fois les coupables..alors je pense que serments ou pas j'ai prouver ma fideliter a ma terre poitevine..
j'accepterais le verdict quel qu'il soit..mais je pense que madame de la procure avait un tant soi peux de diplomatie tout ceci aurait put etre eviter ..

voila m'sieur le juge, je vous laisse juger des faits qui me sont reprocher ici


cela ne m'a pas empecher de prendre se matin mon poste au marechaux de ma ville, que ce soit avec ou sans solde.. et alors que l'on me reproche d'etre un mauvais poitevin...et pour vous dame alienor...je pense que vous devrez attendre un peu pour votre affaire..il parait que nous n'avons pas droit d'instruire de dossier..surment un model de se que pourrais devenir la nouvelle justice poitevine
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au fil de l eau,ou le courant le mene
Caillou498
Caillou passait pres des piquets et tenta de trouver le reponsable de cette grêve. Il cria en espérant qu'on l'entende

-Eh oh, je me présente, Sergent Lapierre, dit Caillou, je suis le chef des maréchaux de Thouars. Apres avoir longuement pensé, j'ai pris la décision que la sécurité des Thouarsais et Thouarsaises était beaucoup plus importante que n'importe quels différents. Donc je retourne au boulot pour le plus grand bien de mon village. C'est la raison pour laquelle ont m'a engagé et je vais continuer d'honorer cet emploi.


Il se retourna et continua son chemin.
Alienor.1
Alie qui lisait les annonces du Comte fut choquée de voir un stupide parchemin. elle se tourna vers la personne qui lui parlait.

Je vous remercie de votre sollicitude, et je suis ravie de voir que vous pensez au Poitevin, mais en vu de la lettre que j'ai reçu , les brigands ne seront pas inquiétés pffff, de plus je viens de voir une annonce du Comte qui vire sans préavis Nessty de son poste de procureur, je doute qu'il se soit entretenu avec elle pour cela. Je vois dans votre liste de grévistes le nom de notre Bailli , donc elle devrait aussi être démise de ses fonctions et pour cause : a t elle parlez de vos revendications au sein du Conseil ?

Petite moue dubitative.


Je pense que la tout va trop loin, je sent le coup monté à plein nez, faute de nous coller un procès pour haute trahison comme des membres du conseil voulait le faire, ils trouvent la parade ce jour, fort bien mal venu d'ailleurs.

regardant Cailloux elle sourit, elle le connaissait et savait qu'il ne laissera pas les Thouarsais sans protection.

Bon et bien vous venez d'ouvrir la grande porte de ce que je considère comme du n'importe quoi, vous auriez du parlez trouvez un représentant pour discuter, maintenant advienne que poura certains vont s'en mordre les doigts.

Pour le moment je dois me faire soignée , mes blessures sont trop profondes. Je vous salue .
Theudrik
Theudrik se redressa soudain, bailla et s'étira, sans ouvrir les yeux. Une douleur dans le dos les lui fit ouvrir et il réalisa soudain qu'il était assis à son bureau. Le jour était levé depuis bien longtemps apparemment, si on en jugeait par la lumière qui inondait la pièce presque à la verticale ; les chandelles s'étaient consumées depuis bien longtemps et on ne voyait qu'un petit reste de cire au fond des bougeoirs.
Il tâcha de rassembler ses idées ...
Il se revoyait s'asseoir à son bureau juste avant la fin de la journée du 26 juin, lire les demandes de laissez-passer, commencer à écrire une missive ... qu'il n'avait jamais finie, les traces d'encre montrant que la plume avait glissé vers le haut du vélin, quand il avait dû s'assoupir, ou plutôt s'effondrer sur son bureau. Oui, c'était l'explication de ce trou noir dans sa tête !
Combien de temps avait-il dormi ? Douze heures ? Quinze heures ? Plus ? Mystère !
Il faut dire qu'il avait tellement de sommeil en retard, son organisme avait réclamé son dû de repos.
Le silence ! Le silence qui régnait autour de la pièce contenant son bureau et le secrétariat l'intrigua ! Il se leva, dégourdit ses jambes ankylosées et regarda dans les couloirs. Personne ! Pas un planton, pas un sergent, pas un garde ! L'angoisse saisit le Pictave. Une révolte ? La mise à sac du château ?
Il parcourut les salles vides et sortit quand il entendit une clameur s'élever de la place. Il tira son épée, bien décidé à en découdre s'il le fallait.
Ce qu'il vit le laissa sans voix ! Tous les policiers du Comté rassemblés, en train de vociférer, de grogner près d'une affiche qui prônait leur grève.

Le souffle coupé, il resta un moment bouche bée, ne sachant quoi dire ou faire. Son ami Xavix s'approcha le premier de lui et l'informa brièvement de la situation. Estomaqué, le prévôt se dit que ce n'était pourtant pas le jour, ses neurones n'étant pas encore bien réveillés de cette nuit comateuse. Puis, reprenant du poil de la bête, il remit son épée au fourreau, s'avança au milieu de ses collègues et prit la parole :


Chers collègues,
que dis-je, chers amis pour la plupart,
je comprends votre humeur, mais je vous en conjure, reprenez votre service ! Le Poitou compte sur vous ! Certes, il y a eu des abus de la part d'une certaine conseillère, procureur de surcoît, mais je ne crois pas que ce fût pour nuire à notre Comté. Oui, je vous le concède, ses méthodes cavalières, son caractère de chien, son vocabulaire et ses manières de gueuse, sans compter les rumeurs sur son passé trouble, je conçois que tout cela vous ait déplu. Mais je vous prie de lui montrer justement que vous n'êtes pas que des "flicaillons", selon ses propres termes, mais des poitevins fidèles avant tout, des policiers responsables, sérieux et intègres, des gens en qui je place toute ma confiance et qui ont droit à tout mon respect pour les tâches ingrates que nous fournissons chaque jour. Je m'en vais de ce pas rencontrer le Comte et lui demander sa clémence pour vous tous.
Regagnez vos bureaux, pour l'amour du Poitou, si ce n'est par amitié pour moi. Il me déplairait de vous en donner l'ordre, même si je n'hésiterai pas une seconde, sachez-le, mais je préfère que vous le fassiez de vous-même.


Theudrik reprit sa respiration et poursuivit :

Pardonnez-moi d'avoir laissé s'installer cette grogne et de l'avoir mésestimée. Sachez aussi que je plaiderai pour moi devant le Comte, pour avoir laissé traîner cette ambiance délétère dans notre belle administration, dont je suis si fier de faire partie. Mes amis, au travail. Le Poitou nous regarde et a besoin de nous tous !

Theudrik dévisagea ses collègues, espérant les avoir convaincus. Du travail l'attendait. Quelle idée d'avoir dormi si longtemps ! Maudit corps qui avait failli devant la tâche à accomplir.

A tous, désolé, mais j'étais absorbé par de multiples activités HRP, et je ne pouvais pas m'y soustraire ! Je ne m'attendais pas à une telle crise

_________________
Theudrik
né à Poitiers
Cultivateur de maïs
Forgeron
Policier/douanier
Fiancé de Kiliana
Neferoure
Elle observait la scène sans dire mot ... Chacun semblait rester sur ses positions sans se remettre en question et v'là le prévôt qui vient faire son p'tit tour les priant de r'prendre leur travail ... En plus il s'excuse ... Sourire ironique, bin voyont s'excuser de quoi il avait rien fait lui ! On pouvait pas en dire autant d'une conseillère qui elle était au courant de tout depuis le début ... Elle aussi avait baffoué l'autorité non seulement du prévôt son supèrieur mais en plus du Comte .... Mais bien sur sa sanction ne serait pas la même que celle de Ness qui avait toujours agit au grand jour .... C'est sur certaines relations aidaient bien parfois, 'fin souvent apparement et la justice ne semblait pas la même suivant les personnes.

Elle se demandait quand la plainte d'Alie et de Ness serait prise en compte concernant les brigands et ce qu'attendait le Comte pour envoyer des lances contre eux ce qui aurait du être fait depuis un moment puisqu'ils opéraient depuis un bon moment.

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Sons
sachez mes dames neferoure et alienor, qu'on ne peut pas etre juge et condamner en meme temps... que se soit pour notre bailli...etant elle meme de la police... je ne vois comment elle aurait put nous servir de porte parole...je pense qu' elle aussi avait choisi de dire son mecontentement...ainsi que dame nessty...c'est nous qui condamnions ces agissements ...et se serais elle qui nous jugerer..!!!...
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au fil de l eau,ou le courant le mene
Alienor.1
Alie se frotta les tempes elle avait rien compris a ce qu'il disait , elle regarda Néfé pour savoir si elle avait compris
Neferoure
Elle sursauta quand Sons lui parla ... Hum encore un qui lit dans les pensées .... Frissons de voir ce genre de personne pulluler en Poitou.... Elle essaya de comprendre ses dires mais un peu de mal ... Il devait encore délirer comme à Bordeaux, apparement il était encore malade.

Heu ... t'as pris des cours avec Mes Deux ? Alors j'vais essayé de résumer le peu que j'ai compris ... Donc tu dis que dame Allydou Bailli et donc au conseil est avant tout Policière ? Et que par conséquent elle n'aurait pas du en parler au Comte de ce que vous envisagiez de faire ? Hum .... Doit elle fidélité à vous ou au Comte .... apparement elle a préférer à vous, ensuite a vite été voir le Comte lorsque ça à commencer à sentir mauvais .... Et maintenant elle dit qu'elle n'a jamais arrêter son travail de policière j'me demande ce qu'il faut croire dans ses dires et sa fidélité.

Enfin il me semble qu'elle a quand même défiée et l'autorité du prévôt et celle du Comte en ne leur rendant pas compte à temps de ce qui se passait non ?

Ah dis moi au fait t'as appris où à lire dans les pensées des gens c'est à l'ecole de police ?

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Kiriell
Kiriell maire de la vile de la Rochelle et ancien procureur fut fort étonné lorsqu'il arriva devant un rassemblement de policiers.
Tout d'abords, il s'attendait à une affaire de gros bras voyant un tel déploiement qui concernait sans doute la gueuse suite à sa destitution.
il souriait d'ailleurs en se souvenant qu'elle avait eu l'audace de vouloir lui donner des conseils et le critiquer avec un autre triste compère...
Puis il fut doublement surpris de ce qu'il entendit


La police en grève !

Il était ébahi, ces hommes et ces dames qui donnaient chaque jour le meilleur d'eux même souvent bénévolement qui étaient forcés de faire grève pour être entendus...
Il s'approcha encore et alla retrouver ceux qu'il avait eu tant de plaisir à côtoyer durant deux mois


Dames et sieurs, je sais pour avoir travaillé avec vous que vous êtes dévoué à Poitou et que cela n'est pas à prouver.
Je vois en plus que vous vous êtes engagé à surveiller au minimum vos villes afin de ne jamais nuire au comté que vous défendez chaque jour à vos risques et périls.
Je reconnais parmi vous de grand amis et vous respecte tous !
sachez que je serais solidaire de vos actions et appellerais tous les maires du Poitou à soutenir leur police car sans vous, nos villes ne pourraient fonctionner en toute sécurité.
c'est donc le minimum qu'un maire puisse faire pour sa police.


Il se tourna ensuite vers les représentant du conseil comtal

Faites savoir ou rappelez plutôt au comte, sa grandeur jehan de proissy, que ce sont nos policiers les victimes et donc qu'il serait injuste en plus de les condamner.
Lorsque je vois les personnes plus que respectables qui sont signataires de cette pétition à laquelle il a donné raison puisque la Gueuse est destituée, je ne peux penser qu'une sanction puisse peser sur leur tête !
Si le comté veux encore économiser sur leur dos quelques écus alors qu'ils donnent, ont donné et donnerons espérons le pour le bien de tous, le meilleurs d'eux même, je suis fort désagréablement surpris !

faites lui savoir aussi que le maire de la Rochelle est solidaire de ses défenseurs et qu'il a une totale confiance en eux. Qu'il les soutiendra s'il le faut et restera à leur service et leur écoute.


se tournant de nouveau vers les maréchaux

Je suis de tout cœur avec vous et merci d'avoir continué à travailler malgré votre position pour protéger le comté, quant au gel des dossiers durant quelques ridicules heures, vu le travail effectué derrière, je ne vois pas en quoi cela nuira...
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visitez le domaine de la rose noire
Neferoure
Arf aprés les délires de Sons v'là l'maire de La Rochelle qui v'nait montrer son nez ... Et en plus il se permettait d'insulter un membre du conseil en l'appelant gueuse ?

Alors déjà messire Kiriell bonjour car vous saluez nos policiers mais nous non ? ... Hum .... auriez vous envie de nous appelez aussi "gueuse" car j'vous trouve bien familier avec un membre du conseil pour l'appeler ainsi .... Enfin quand à faire savoir au Comte vos récriminations bin ... Faites donc comme ces policiers qui lui ont écris apparement il lit les courrier 'fin au moins ceux d'certains vous avez p'te une chance d'être entendu. Quand aux sanctions contre eux le Comte les a donné mais pour la dame Allydou qui elle est membre du conseil et qui aurait du prévenir de ce qui se passait au Comte et au conseil afin d'éviter ceci, elle mérite une sanction plus sévère car elle a désobéit au Comte dans les consignes qu'il avait donné à tout le conseil.

Elle est passé outre et a bravé en quelque sorte son autorité ... D'ailleur tient donnez lui donc vos demandes puisqu'elle participe à certaines réunions avec messire Jehan dont nous n'entendons parlé qu'une fois qu'elles ont été faites et encore par hasard.

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