Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Fashion Week - Jours 3

Jenifael..luna
    Troisième jour de défilé, troisième parcours ! Troisième créatrice mise à l'honneur, dans une robe verte du doux vert, qu'elle affectionnée tant. Une tenue qu'elle avait offert à sa mère, pour un anniversaire, alors qu'elle été enfant. Une enfant qui voulait sans cesse faire plaisir à la mère de famille et donc, avait offert cette robe vert printemps, un vert froid, que la jeune fille porter aujoud'hui, dans un de ces filets de perles, héritage de Béatrice de Castelmaure et de sa mère, Angèle. Le parcours du jour, était raide. Loin de la boucle du premier jour, le tapis avait était rallongé et maintenant, il formait une boucle, oui, mais carré ! Trois belles lignes droites - surement pour le plaisir des modèles, qui auraient moins de peines - formait un U, avant de revenir sur l'estrade. Le trajet était néanmoins plus long.

_________________
Jenifael..luna
    La jeune femme sur scène, sourit aux présents et annonça.

    "- Bonjour, nobles seigneurs, nobles dames, bienvenue à tous pour ce dernier jour de défilés ! Je vous propose que l'on commence la journée par une création divine ! "

    Elle continua.

    "- C'est une création, qui à été crée par Louis Gauttier d'Arezac Niraco ! Oui mes dames ! Un homme. Et quel homme ! Celui-ci va vous éblouir, par la confection d'une tenue composée d'une chainse de couleur beige-dorée, surmontée d'une cotte noire. Un peliçon de brocart sarcelle et or porté par dessus.
    La taille est rehaussée d'une ceinture de tissus accordée. Un galon d'or orne l'encolure brodée de topazes blanche et ainsi que les manches agrémentées de lapis-lazuli. "


    Elle ajouta.

    "- La robe est portée par la dame Aphykit."

    Enthousiaste la jeune fille. Il faut dire que les hommes couturiers ne cours pas forcément les rues et quoi de plus souhaitable, pour une femme, qu'un homme qui peut coudre pour elle?

_________________
Hersent
Après une nuit passée dans ses appartements au Louvre, la GARF se rendit dans les jardins, vêtue de vert, dans une tenue qu'elle mettait souvent.



Un souffle celte se posa sur les parterres royaux et celui des invités. Un murmure d'où sourdaient curiosité et étonnement parcourut l'assemblée.
Ainsi, les hérauts pouvaient coudre autre chose que des listels! Elle connaissait le travail du héraut en question et avait toujours apprécié son goût exquis.
Elle attendit avec impatience la venue de l'égérie.

_________________
Merveylle_mirandole
La boisée était venue tout aussi tôt que la veille pour voir le défilé du troisième jour. La deuxième et dernière robe qu'elle présentait était différente de la première, tout en restant dans une certaine simplicité qu'elle affectionnait tant. Nerveuse, elle rejoint Hersent et prit une chaise à ses côtés. Le défilé n'avait pas commencé mais elle ouvrait déjà des yeux émerveillés à la vue de la tenue de l'Ar Sparfel.

- Bonjour Baronne. Vous avez une robe exquise, je vous jalouserai presque !

Elle afficha un sourire mutin, essayant tant bien que mal de ne pas laisser le stress l'envahir. Calant son bâton d'argent entre son bras blessé et sa poitrine, elle récupéra un éventail de sa main libre et commença à s'aérer. Elle avait beau être en extérieur, ça ne l'empêchait pas de sentir ses oreilles commencer à chauffer, signe avant coureur chez la demoiselle que le malaise n'était pas loin. Tant que son teint ne virait pas au blanc cadavérique et qu'elle restait assise, elle tiendrait le coup.

Elle devait essayer de se détendre, Lucie l'avait démontré la veille, elle savait parfaitement défiler. Elle savait également que tous les goûts étaient dans la nature, certains aimeraient d'autres pas... ça n'avait pas vraiment d'importance, elle était surtout impressionnée. C'était une chose de présenter une tenue dans confort cosy de son atelier, c'en était une autre de voir son oeuvre se balader devant autant de monde.

_________________
Aphykit
Que lui était-il passé par la tête le jour où elle avait accepté le défi du Gentil Gauttier ? Sûrement pas un trait de génie ! Son goût de la provocation lui avait une fois encore joué un tour.
D'abord, il avait fallu faire le voyage et quel voyage ! Elle n'aimait pas Paris : trop grand, trop centralisé, trop impersonnel, trop loin, trop royaliste, trop... trop tout pour la petite provinciale, farouche indépendantiste.
Maudit voyage ! Une ornière, il avait fallu faire appel à un charpentier pour remette la carriole en état et un jour de retard ! Un !
Une fois arrivée, elle dut batailler des heures durant pour trouver le lieu de rendez-vous. Et là, ce fut l'apothéose : bain, coiffage, habillage. Des tas de femmes l'entouraient, la pomponnaient, la coiffaient, elle avait horreur d'être touchée et dut donc se gendarmer pour ne pas les assassiner sur le champ de bataille, enfin dans la salle de toilettage.
Et la robe ? Gauttier lui avait parlé d'une parure sobre : où était la sobriété ?
Des dorures partout, des froufrous et les chaussures ? Des espèces d'échasses qui n'avaient rien de pratique ! Certes, elle vivait en Béarn et les bergers adoraient se déplacer sur des échasses lors des fêtes, mais elle n'avait rien d'une bergère.
Maudit Gauttier ! Elle aurait sa peau ! Il ne perdait rien pour attendre celui-là.

Après les horribles préparatifs, elle dut se contempler dans le psyché, elle en resta bouche bée. La robe était parfaite, la coiffure somptueuse !
Certes, elle ne l'avouerait jamais, mais elle devait reconnaître la qualité du travail. La robe était belle, sobre malgré tout, elle camouflait à merveille ses hanches trop étroites, ne dévoilait rien de sa poitrine bien trop petite. Ce petit détail, elle y tenait particulièrement, et avait insisté à mille reprises là-dessus... Maigrichonne, elle était au fond plutôt complexée par ses mensurations dignes d'une limande.

Il ne lui restait plus qu'à quitter le doux cocon pour rejoindre les jardins où elle devait défiler. L'idée de se pavaner devant des mâles libidineux l'horrifiait aussi. Au final, elle était prête à défaillir en descendant le grand escalier, son coeur battait trop vite, ses joues étaient empourprées, mais elle serra les poings pour continuer à descendre l'escalier.

Arrivée dans le jardin, elle avisa un petit regroupement un peu plus loin, cela devait être l'endroit où elle devait se rendre, au plus vite. Visiblement, elle n'était pas en avance. Dans l'assemblée, elle chercha Gauttier, il avait intérêt à se radiner vite fait, au risque de supporter ses foudres lors de leur prochaine rencontre. Un trou dans l'herbe pourtant régulièrement taillée, elle manqua s'étaler de tout son long, se rattrapa de justesse et reprit sa progression, bien plus concentrée sur le sol et ses aspérités que sur l'assemblée. Il ne devait pas manger la pelouse pour quelques secondes d'inattention.





Le moment était venu : il lui fallait parcourir l'assemblée d'une manière à la fois élégante et sûre, cela lui semblait bel et bien insurmontable à cette heure, tant elle était en prise à des émotions diverses et variées.
Bien plus habituée aux champs de bataille , aux voyages, l'aventurière se sentait profondément mal à l'aise, et fit tout pour dissimuler son trouble grandissant.
Elle tenta d'afficher un sourire du genre "hôtesse de l'air" et s'avança lentement dans les allées. Parler était hors de question, elle ne savait que dire de toutes façons. Pourvu qu'aucune question ne lui soit posée.

_________________

Merci à JD Lou Audrea
Lily.es_de_hauterive
[coté spectateur]

les jours se suivent et pour le plaisir de chacun se ressemblent. Les invités, les "mannequins" offrent des myriades chatoyantes de couleurs, d'étoffes brillantes.

Meme si elle retourne à Urt sans tenue, elle ne regrettera pas son déplacement, C'est toujours un joli spectacle que de constater de visu ce que des doigts de fées peuvent créer avec du fil, des aiguilles, des tissus de toutes sortes et surtout un sens inné de la beauté des choses et de l'harmonie. Domi meme est sous le charme de beautés qui passent devant ses yeux et visiblement il ne s'ennuie pas trop. Tout est donc parfait en ce lieu.

Pour ce dernier jour du défilé, Lily a choisi de porter une robe due au talent d'une personne qu'elle connait depuis fort longtemps, du temps peut etre meme où cette artiste ne pensait pas aux tissus mais seulement aux vers et aux rimes. La jeune femme en adore la couleur, tout a été merveilleusement pensé pour donner un ensemble harmonieux.
Avec cette tenue, Lily a choisi de porter un collier et une parure de cheveux du meme ton. Cette fois encore ses cheveux sont serrés dans une coiffe mais à l'inverse du premier jour, Lily a décidé de les orner d'une résille dorée.

Toujours accompagnée d'Anne, elle s'approche du prochain parcours qui sera foulé par la jeune femme qui présentera le prochain modèle.
Et justement à peine les deux amies installées, la présentatrice annonce une nouvelle création.
Aussitot un silence relatif se fait sur son passage

_________________
Ricco
Ricco avait reçu une invitation a cette semaine de la couture. Le problème pour lui est qu'il était un homme et que probablement, il n'y aurait rien pour lui, le second était qu'il n'avait pas de femme, ni chose à courtiser pour l'instant.
Mais bon, tant qu'il y a des ferrero et des cocktails ou du champagne, il aimait bien faire l'incruste. Qui sais, pourrait-il trouver son bonheur pour les dames blanches.

le Baron de Fresne-en-Maintois n'avait pas pu se rendre aux deux premières journée car le temps de revenir pour le festival, s'installer, aller boire un coup, et tout ça, bref il avait perdu du temps le corniaud et se retrouvait déjà pour la troisième journée.

Il avait fait des efforts vestimentaires. Doublet vert avec aiguillettes en or, chemise à jabot dont on n’apercevait qu'un léger pli qui ressortait au niveau du col. Chausses blanches, et petite ceinture de cuir. Il n'avait pas pris ses armes, seul une petite dague dans son fourreau de cuir, pendait attachée à la ceinture. Et pour couronner le tout, son chapeau qu'il ne quittait jamais.

Sur place, il y a avait du monde mais il s'empressa d'aller vers Hersent, qui était fondamentalement la seule personne qu'il connaissait.
- bien le bonjour, Votre Excellence !
Je n'ai point trop l'habitude de ce genre d'évènement, la place à coté de vous est-elle libre ?

_________________
Sofja
[Dans les jardins du Louvre]



    Aujourd’hui était encore une merveilleuse journée dont le soleil venait caresser, rougir la peau. Elle adorait cette sensation mesme s'il n'était pas convenable qu'un noble ait la peau autre que, blanche. Mais comme à son habitude, elle renvoyait les règles d'un revers de main. Elle avait donc choisit une robe légère et surtout flamboyante, comme elle aimait. Voilà qui l'a mettait d'excellente humeur pour enchérir durant cette journée.

      Altesse Merveylle, j'admire vostre talent, j'ai hâte de voir une autre de vos créations.


    Puis Hersent passa non loin d'elles.

      Baronne, j'adore cette tenue de nostre chère Clarinha. J'ai toujours rêver de l'obtenir mais elle nous a quitté trop vite.


    A ce moment, le mannequin entra en scène. La blonde resta sans voix. Une robe pleine d'audace, surprenante, délicieuse. Elle l'a voulait !

_________________
Susi
des lieux étrangers, un monde de dingue, Susi avait du mal à se repérer, mais heureusement un visage connu l'arrêta net.

Aphy commençait à défiler avec la splendide robe de Gauttier.

Le sourire lui monta aux lèvres, et c'est sans réfléchir elle se mit à applaudir pour l'encourager et montrer à quel point elle trouvait les tenues de son époux magnifique.
Et de lancer en même temps un BRAVO ! Très peu conventionnel.

Elle aurait bien aimé garder toutes les tenues de son époux, ne rien laisser de son talent aux autres. Mais elle retenait sa jalousie comme elle pouvait. Car oui, que son époux rendre les femmes aussi belles la rendait jalouse. Il avait beau lui faire de magnifique cadeau. Elle avait une penderie bien remplie à faire pâlir de jalousie plus d'une femme. Mais que voulez vous une femme reste une femme. Et Susi maintenant était une vraie femme.

Enfin, bref, cette pointe de jalousie passée, Susi admirait le travail de Gauttier.
Et applaudissait sans se soucier de qui pouvait l'entendre.

Wouhouhou! Splendide ! Elle s'était juste retenue de siffler.

_________________
Wendoline



Pour cette troisième journée, elle avait choisie une robe dans des tons orangés. Le beau temps enfin décidé à s'installer invitait les jeunes femmes à se vêtir de manière plus légère.
A l'entrée du chapiteau elle chercha du regard si l'une des Dames de la Cour du Lys étaient à proximité quand une créature des mille et une nuits de vert vêtue apparu dans son champ de vision. Hersy !

Relevant le bas de sa robe elle la rejoignit prestement.


C'est toi le mannequin qui défile Hersy ? Ce vert est splendide !


Mais voici qu'on annonçait le début du défilé avec une tenue réalisée par Gauttier, oh ! un Héraut couturier !

Et c'est là que sa vision de la mode prit une toute autre dimension. Un instant sans voix, elle finit par applaudir et le mannequin et le créateur !

_________________
Sofja
    Heureusement que la Jagellon avait un brin de retenue sinon elle serait déjà en train de baver sans gêne, de ramper au sol pour supplier le couturier de lui vendre la robe et s'il refuser, de séquestrer la jeune fille qui défilait. Oui, oui, heureusement qu'elle avait reçu une bonne éducation et qu'elle pleurerait toutes les larmes de son corps en voyant un de ses GRANDS riches lui voler.

      Mes Dames, vous connaissez ce couturier ? C'est la première fois que j'en entends parler.


    Pourtant, elle connaissait pas mal d'atelier. Serait il à son compte ? Ou dans un atelier non fréquenté par Sofja. Mystère, mystère... et boule de gomme.

_________________
Hersent
Elle savait que la griffe de la très regrettée Clarinha était reconnaissable par les habituées des ateliers de création.

Votre Altesse, ne le soyez pas, votre talent vous fera égaler la maestria de la regrettée Clarinha. Merci pour cette appréciation qui ne pourra que lui faire plaisir depuis le paradis solaire.
Elle constata que la jeune fille était nerveuse, ce qui était compréhensible, aussi osa-t-elle poser une main rassurante sur le bras de cette dernière: Altesse, respirez calmement, tout se passera bien. La tenue présentée par Dame Lucie a été largement applaudie je suis certaine que la prochaine nous ravira une fois encore.

Elle répondit à la Vicomtesse:

Dame Sofja, c'est un honneur pour moi d'avoir pu acquérir deux tenues griffées Clarinha, dont celle que je porte aujourd'hui.

Puis à Wendy:

Non, je ne suis pas mannequin, pas tout de suite. Normalement, je devrai présenter une tenue.

L'annonce de la présentation de la tenue suivante fut faite et là, Hersent resta sans voix.
Elle applaudit le travail du couturier qui osait l'originalité. Et ces deux pointes de soulier la ravissaient.


BRAVO, BRAVO!


Un mot fut noté sur un parchemin. La bataille serait rude.

Tout ce que je sais de lui c'est qu'il est aussi Héraut. Il a un sacré talent en devenir!
_________________
Lucie

Troisième jour. Ne devant défiler que plus tard, la Fleurie se glisse parmi les spectateurs et, apercevant Susi, elle se porte à sa hauteur.


    - Bonjour Su… S’arrêtant, Barbazan écarquille les yeux en voyant passer sa revêche collègue de l’ambassade, métamorphosée par la splendide création de Gauttier. Seigneur tout puissant ! Votre époux est doté d’un talent incroyable ! S’écrit-elle en applaudissant aussi, songeant qu’il lui faudra un jour passer commande auprès de lui car cette fois-ci elle n’enchérira pas ; la robe est grandiose mais ce n’est absolument pas le style de la fleurette.

_________________

Anne_lise.dangely
Les jours se succédaient et le plaisir de découvrir les nouveaux modèles, les anciens aussi, restait intact. Avec toujours son époux à ses côtés, attentif à ce qu'elle ne se fatigue pas trop, prêt à rentrer à Bayonne au moindre signe de lassitude. Mais Anne ne voulait pas être ailleurs et ne montrait rien de sa fatigue quand celle-ci venait lui rappeler que sa priorité se trouvait dans ses entrailles.
Le couple arriva donc ensemble comme toujours.


Anne retrouva une place assise auprès de Lily et les deux couples découvraient le modèle suivant.

La Duchesse le détailla, tout était observé et un sourire sur son visage trahit son enthousiasme. Elle se tourna vers son époux, cherchant dans ses yeux un accord sur la somme à dépenser. Un clignement de ses paupière la rassura. Elle lui sourit et glissa un billet.
_________________
Susi
Sourire en direction de Lucie.

Bonjour Lucie.
Et acquiescements à ces dires. Mon époux me fascine, je suis une inconditionnelle fanatique de ses œuvres..

L'amour est aveugle mais Susi maintenant pouvait reconnaitre les œuvres de son époux, et en toute objectivité les adorées.

La robe va tellement bien à Aphy.


Oui, parce qu'il n'avait pas dénaturée son amie. Certes il l'avait ornée d'une robe mais cette robe lui allait à la perfection. Gauttier avez se dont de sublimer la femme telle qu'elle était sans la déguiser.
Puis de rajouter a sa voisine.

Mon époux m'a dit que vous aviez eu déconvenue aux enchères au bal du Lys et du Paon, j'espère que cela ne sera pas le cas ici.

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)