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Allégeance pour le Comté de Toulouse

Vittoria
Enchainant sur les allégeances, Vittoria ne tarda pas à faire préparer la salle du trône pour l'événement à venir d'autant plus que ce jour, ce serait le "baptême" de la jeune Helena qui allait officier sous les yeux du Premier Huissier de France.
Une fois que tout fut en ordre, la Comtesse s'en alla rejoindre les portes des lieux pour y attendre la régente, ainsi que son huissier du jour.

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Helena_plantagenet
    Le Premier Huissier de France venait de distribuer les missions, la mienne était Toulouse. Comme moi j'étais contente, c'était le comté de mon papa avant qu'il aille au ciel, c'est le comté où j'avais mon château quand je serais plus grande. J'allais rencontrer une personne du Comté la belle régente élue. Je marche vite pour rejoindre la Comtesse Vittoria devant les portes avant que le roi ou la régente arrivent.

    Bonjour votre Grandeur Vittoria je vous remercie de me laisser faire toute seule puis aussi de rester pas loin si je me trompe.

    Je ne dis rien mais j'en mène pas large, j'ai la boule au ventre.

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Huissier Royal de France et Maire de Montbrisson
Jason_ludgaresvissac
Il pénétra dans la salle du trône encore vide et pu tout à son aise préparer et disposer ce qu'il avait apporter avec l'aide des pages de la Bouche
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Lanfeust86
Le Roy arriva en salle du trône pour les allégeances toulousaines, province assez particulière au niveau de la religion.

Il prit place tranquillement sur le trône.


Bien le bonjour à tous.
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Aryanna
[Arrivée à Paris]

Quelle idée, mais quelle idée saugrenue avait-elle encore eu ? Quelle idée stupide s’était-elle laissée mettre en tête pour accepter que Doppel et Gänger les accompagne dans ce périple parisien ? Fichtre ! A écouter Amandine, ils leurs étaient nécessaires pour le voyage, la protection, la sureté et tout le tintouin. Certes, la noire lui avait concédé l’idée, ne serait-ce que pour avoir de l’amusement durant le voyage surtout, mais là… Trop ! C’était trop, beaucoup trop ! Quelle mascarade ! Et elle avait bien compris pourquoi la rousse petite main de Montfa avait tant insisté et n’avait eu de cesse de répéter qu’il était nécessaire qu’elle parte avec ses deux gardes. Pour sûr elle lui en devait une !

Cela faisait à peine une dizaine de jours que la caravane toulousaine était revenue de La Flèche où ils s’étaient au mariage de Manon et du Capitani. Les élections étaient arrivées bien assez rapidement ensuite. Tout ça sans compter les découvertes du voyage angevino-toulousain, aller-retour.

Un calvaire !
Quelle idée, mais qu’elle idée saugrenue avait-elle encore eu ? Deux jours avant le départ, l’oiselle était passée chez Cerièra récupérer la mandoline ré-accordée de Gänger, comme le pauvre homme n’arrêtait pas de se lamenter. Bah tien, elle aurait bien dû la laisser là-bas. Évidemment, le bougre l’avait emmené pour le voyage. Et, même réaccordée, il avait pris un malin plaisir à leur casser les oreilles. Le voyage à cheval s’était annoncé long, insupportable et complètement fatigant. Même avec des notes justes, le ménestrel démoniaque arrivait à tirer des notes plus étranges et inaudibles de son instrument du diable. Et, avec Doppel, ils faisaient bien la paire, ces jumeaux.
Ho, pour sûr, Amandine lui en devait une.
C’est aux abords de Paris, alors que les deux zigotos entonnaient une énième fois leur chanson en canon, qu’Aryanna fini par craquer une nouvelle fois. Cette chanson « Ô petite Amandine ! », elle en avait a-ssez !

« -
Ô qu’elle est jolie cette petite rousse
- … Oui cette petite rousse !
- Ô Belle Amandine, vos beaux yeux me font mourir d’amour
- D’amour mourir me font, belle Amandine, vos yeux
- Vos beaux yeux d’amour me font, belle Amandine, mourir *

Un soupire de la noire, alors qu'ils continuent leur tintamarre.

-
Amandine a les yeux verts, Amandine a les yeux verts
- Verts les yeux Amandine a ! **
- Ça suffit ! La Seine est proche !
- La scène ? Un public m’dame ?
- Pour vous y plonger dedans, et vous y noyer, oui !
- T’as vu elle devient méchante, encore !
- Gänger, si vous jouer encore une note, je vous casserai cette mandoline sur la tête !
- Mais… ma tête ! Ma Mandolineuuh !
- Vous m’avez entendu ! Arrêtez ce vacarme, j’aimerai pouvoir récupérer l’usage de mon audition ! »

Et ils étaient partis dans de nouvelles messes-basses, se chamaillant tous les deux à qui aurait Amandine, à qui aurait le dernier mot sur l’horrible noire. Rien de bien différent de d’habitude, en somme.
Mais la fin du voyage jusqu’à l’auberge, où ils s’aèreraient un peu l’esprit, et pourraient frotter leurs oreilles endolories se passa sans autre fausse note.


[Le Louvre]

Ils étaient en retard. L’oiselle avait dû se changer. « Parce que paraître devant le Roy habillée comme une paysanne ne vous va pas, Vescomtessa », comme dirait Amandine. Aussi avait-elle mit l’habit le plus dérangeant du monde : une robe. Ce qui n’était pas forcément une bonne idée. Même si sa première allégeance au Roi, quelque quatre mois plus tôt s’était déroulée sans anicroches, l’allégeance au dernier Comte de Toulouse, elle, avait été catastrophique. Pour ne pas tomber à ses pieds en se prenant les bottes dans sa robe il faudrait qu’elle touche du bois. Une porte, ça tombe bien !
Mais ils étaient en retard parce que… Doppel avait mis un temps fou à se préparer, même pour les amener jusqu’aux pieds du Louvre. Quand on parle des femmes et du temps qu’elles mettent pour se préparer, hé bien… il ne faut pas oublier les gardes ivrognes mais méticuleux.

Enfin… Ils étaient arrivés finalement. Elle ne savait pas comment se sentait Sébastian, elle n’osait lui poser la question. Mais son Capitaine ne lui avait pas fait faux-bons, heureusement. C’est le bras glissé sous le sien qu’elle avait traversé le chemin les amenant face à la Salle du Trône. Il fallait bien cela pour qu’elle ne tombe pas et puisse faire attention à sa robe.

Arrivés devant les portes elle salua les personnes présentes. Une femme et une joliette ***

«
Bonjorn à Vos.
Aryanna per lo Comtat de Tolosa, ainsi que notre Capitani, Sébastian de Franchimont Yachvili.
»

Qui a dit qu’à chaque fois qu’elle vient avec du monde, le voyage était un enfer ?
Bonne question. Mais l’allégeance et les "retrouvailles" du Roi s’annonçaient plus calme, en théorie.



[* Libre adaptation du Bourgeois gentilhomme de Molière, Acte II, scène 4.
** Libre adaptation de la chanson des Inconnus, Isabelle a les yeux bleus[/u, ou Gwendoline a les yeux verts, selon.
[u]***
Joliette : se dit d'une femme jolie. Comprendre ici : petite fille jolie, ou jolie petite fille, ou petite jolie fille, ou... Stop, j'vais pas me relancer dans le Bourgeois gentilhomme.]

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Sebastian.
La mandoline, pire arme de torture utilisée par les gueux au XVème Siècle, jugée " infernale " par l'AAP, " inhumaine" par les services secrets du Roy, en charge de la découverte par la force des... Secrets?
Le blond avait suivi l'épée au côté la joyeuse troupe monter au Louvre. Le trajets avait été beaucoup plus long que lorsqu'ils avaient été au mariage de leurs amis présent en Anjou dans les armées royales. Sébastian ne comprenait pas la nécessité d'emmener les deux attardés avec eux, tant leur aide en cas d'escarmouche serait inutile. La Amandine se targuait de refuser leurs avances, mais elle les leur avait collés dans les pattes, insistant pour leur venue...
Aux abords de Paris, lorsque la Noire prit un peu d'avance sur la caravane, connaissant mieux le chemin du Louvre qu'eux, le blond lança son cheval dans un léger trot pour remonter la troupe et la rejoindre, non sans au passage passer les cordes de la mandoline au fil de la dague, histoire d'envisager le retour dans le calme.

Une fois arrivés et préparés, le Capitani accompagna sa Vescomtessa au Louvre, l'admirant pour la deuxième fois dans une robe, et attendant à tout moment qu'elle se vautre...Il prit la peine de lui relâcher le bras avant d'entrer dans la salle, non pas qu'il n'assumait pas leur relation, mais on tortille pas du cul devant un Roy, surtout de France, sauf si il nous invite au bal. Après qu'Aryanna l'eut présenté, il salua toute l'assemblée de toute les courbettes et signes de têtes respectueux qu'il avait pu apprendre, glissement le moins fébrilement possible...


Adishatz.
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Helena_plantagenet
    Je tenais plus en place à force d'attendre, impatiente de commencer ma première cérémonie. Et si je me trompais? Et si je décevais la comtesse Vittoria? Et si j'y arrive pas? Et si je faisais la honte à maman le Grand Prévôt de la France. Pffff! J'avais pleins de questions dans ma tête qui me donnaient tout chaud et mal à mon ventre. Peut être je peux partir en courant pour me sauver, ohoh trop tard la belle régente est devant moi avec un messire tout beau. Je les salue avec une belle courbette.

    Bonjour dame Aryanna et messire Sébastian de Franchimont Yachvili.

    Je ne savais pas si j'avais bien prononcé le nom trop dur, si mon papa Sebastien avait été là il m'aurait appris la langue de Toulouse sauf lui il est monté au ciel quand moi je suis née. Je devrais demander à maman de m'apprendre, comme ça moi je serais forte je leur souris.

    Je suis contente de vous rencontrer et vous accueillir au Palais du Louvre. Dame Aryanna avez vous des questions avant que je vous annonce en salle du trône?

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Huissier Royal de France et Maire de Montbrisson
Aryanna
Et l'oiselle de répondre à la petite huissière par une révérence légère, parce qu'il n'y a pas de raisons d'abord ! Avant d'esquisser un sourire à la question posée. Aurait-elle des questions, autre que des questions complètement stupides et hautement bêtes ? Ha bah non, elle a beau chercher dans ses pensées, elle ne doit pas avoir de questions intelligentes en stock.
Ses yeux glissent sur la belle enfant, alors que ses mains se joignent, comme pour se rassurer. Le pouce dextre frôlant son identique sénestre. Il n'y a pas de raisons que cela se passe mal après tout, il faudra juste qu'elle fasse attention, ou que Sébastian soit réactif et la rattrape assez vite.

Et elle ouvre la bouche, tout en se rendant compte qu'elle ne sait à qui elle s'adresse. Croyant comprendre que l'Huissière derrière elle est le Premier Huissier Royal, la Comtesse Vittoria de Farnezze de Sulignan. Mais alors, pour la demoiselle c'est une très bonne question, aussi s'en sort-elle d'une pirouette. Haa... Le peu de connaissances du monde du Louvre, depuis qu'il n'y a plus de Secrétaire d'État en Toulouse, un vrai problème de taille.

«
Lo mercé, Dòna.
Nulles questions ne me viennent à l'esprit, aussi pouvez-vos continuer comme il vous siéra.
»

Et de sourire à nouveau. Bientôt elle devra reprendre le contrôle de sa robe.
Mais avant cela... Pirouettes cacahuètes.

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Helena_plantagenet
    Dame Aryanna était gentille et trop marrante, je l'aimais bien. Elle n'a aucune question je pouvais continuer, j'ouvre les portes de la salle du trône, j'avance doucement en prenant une grande inspiration, il ne fallait pas que je crie pour me faire gronder par le Premier Huissier de France, je gonfle mes poumons pour que le roi entend ma voix. La dame ne m'avait pas donné son titre sauf moi j'avais travaillé pour le trouver.

    Dame Aryanna vicomtesse de Montfa, nouvellement élue à la tête de Toulouse par la voie des urnes et reconnue par le conseil comtal, accompagnée par messire Sébastian de Franchimont Yachvili capitaine de cette belle province.

    Je crois que j'avais tout bien fait comme dame Vittoria.

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Huissier Royal de France et Maire de Montbrisson
Lanfeust86
Le roy répondit simplement.

Qu'elle entre.
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Aryanna
Roulement de tambours...
Elle attendait sagement jusque là, son pouce jouant avec sa main opposée, alors que la joliette annonçait leur présence. C'est avec un brin de surprise que la noire écouta l'enfant énoncer son nom pourvu de son titre. Elle l'avait oublié en arrivant, mais la jeune fille avait travailler bien davantage son arrivée qu'elle-même. Une fois rentrée au pays*, il était évident qu'elle se renseignerait, question de curiosité. Une enfant jolie, souriante, qui semblait dynamique et avec les pieds sur terres. Pour être Huissier Royal en même temps, il fallait avoir des qualités, non ? C'est un peu ce qu'elle ressentait en attendant le plus tranquillement possible.

Et Hop ! C'est parti mon kiki !
Le Roy avait parlé, la voix était parvenue jusqu'eux. Il était temps d'entrée.
Ses mains se lâchèrent pour glisser sur sa robe et la relever légèrement afin de ne pas marcher dessus. Une astuce qu'elle avait apprise à la suite de son observation poussée en salle d'allégeance toulousaine. Une astuce tout à fait intelligente. Un truc auquel elle n'aurait évidemment Ja-Mais pensé. Pas pour rien que l'oiselle et les robes ça fait quarante-douze, au moins.
S'avançant lentement jusqu'au devant du Roy, tête droite, pas assuré à nouveau, elle effectue la révérence protocolaire d'usage tout en ouvrant la bouche :

«
Vostre Majesté »

Elle se redresse, elle glisse ses onyx dans les yeux royaux. Elle est prête, évidemment, mais d'abord un petit mot. On ne rencontre pas le Roy tous les quatre matins. Enfin... Sauf aux Grands Feudataires.

«
C'est toujours un honneur et un plaisir de nos tenir devant Vos, ce jorn.
Cela fait quelques mois déjà.
Je vos remercie de nos recevoir.
»

Elle aurait pu parler de l'Anjou, elle aurait pu parler de la Bourgogne, elle aurait pu parler de beaucoup de choses. Mais, deux mois auparavant déjà elle avait fait une petite bourde, autant ne pas réitérer donc.
Aussi, comme ses mains ont relâché sa robe en arrivant face au Roy, celles-ci glissent sur le tissu soyeux...



[ * On trouve vraiment n'importe quoi sur Utube, Moon Dieuu !]
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Sebastian.
Sébastian se tenait sur le côté de la porte de la salle du trône, admirant les dorures au plafond et la décoration intérieure, digne des meilleures décoratrices du Royaume de France telle que Valérie Dame ido.
Il fut extirpé de son observation attentive de cet étalage de richesse par l'appel de la jeune fille, et l'apparition du Roy. Il admira alors l'homme qui revenait du front, lui le Blond, qui n'avait pu partir, ayant fait le choix de défendre les intérêts de Castres lors du début de la Guerre en devenant maire. Dommage, car jamais deux sans trois, et il aurait aimé une troisième fois dans sa vie défendre les intérêts du Roy et de son peuple dans le Grand Ouest...
Mais soit, mairie, puis capitole, puis conseil Comtal, et le voici propulsé au Louvre en bonne escorte de sa douce, la Vicomtesse de Montfa, qu'il admire s'avancer en robe, en étant cependant tenté d'espérer la voir se vautrer, histoire de pouvoir la charrier, et d'un autre côté la volonté de la voir plus encore en robe, tant elle était ravissante.

Il se glissa sur le côté de la salle, la main sur le pommeau de son épée, gardant la tête basse devant l'élu des Français, devant le plus grand Sehner qu'il ait croisé.

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Lanfeust86
C'est donc deux personnes qui entrèrent en salle du trône et le Roy de les accueillir avec le sourire.

Dame la bienvenue au Louvre et veuillez recevoir nos félicitations pour votre élection à la tête de Toulouse.
Nous espérons que votre province se porte bien et nous écoutons à présent votre serment.

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Aryanna
Un sourire qui s'esquisse à la question sur la bonne santé du Comté et la noire d'opiner doucement...

"
Si, lo Comtat se porte à merveille "

Toulouse même lorsqu'elle tombe, se relève toujours après tout. Lors de l'incendie de 1463 la ville a connue l'effervescence, les quartiers touchés se reconstruisent peu à peu. La vie suit son cours, toujours. Parce que les Toulousains sont déterminés même s'ils se chicanent. Les Toulousains sont exaltés. Les Toulousains sont inspirés.

Mais elle cesse là sa distraction mentale et pose genou à terre. La tête se baisse alors que sa tresse vient rejoindre et caresser le sol de la Salle du Trône. Il est temps.

"
Nos, Aryanna, choisie per le peuple du Comtat de Tolosa puis reconnue par ses conselhièrs élus, prêtons ce jorn allégeance à la Couronne de France, représentée par Vos, Vostre majesté, Lanfeust de Troy, Roy de France.
Ce jorn, où Vos nos faites l'honneur de nous accueillir auprès de Vos, Nos faisons serment et promesse de respecter le Royaume de France et Vos, Nostre Roy. Nos promettons la fidélité de Tolosa et son Conseil le plus avisé à travers ma bouche. Tolosa promet, à travers Nos, l'aide sous toutes ses formes ainsi qu'écoute attentive.
"

Elle prenait de l'assurance dans ses allégeances, a priori. Elle sortait des sentiers battus usuels, un peu. Mais point trop n'en faut...

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Lanfeust86
Le Roy répond alors au serment.

Dame, nous entendons votre serment.

Nous, Lanfeust de Troy, Roy de France, acceptons votre allégeance et Nous vous promettons en retour à vous Aryanna, Comtesse de Toulouse, la protection, la justice et la subsistance durant l'ensemble de votre mandat.


Il se lève et dépose alors une couronne sur la tête de la comtesse.

Que cette couronne symbolise votre statut de Grand Feudataire du Royaume de France.

Puis l'aidant à se relever, il lui donna le baiser vassalique.


Sachez que nous écouterons vos conseils avec attention, bon retour en vos terres.
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