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[RP] Retrouvailles en rose

.mahaut.


"Les portes de la cour de Mareuil vous sont ouvertes".
Il l'avait vraiment écrit, ils avaient tous vérifié.



"Une cour carrée, avec une aile où se trouvent cuisines et forges, qui donne sur la rue, une aile pour les invités où vous êtes attendus, et le corps principal de bâtiment avec mes appartements, la bibliothèque, les bureaux, la pièce à vivre etc.
Jeannot vous fera faire un tour de propriétaire à votre arrivée.
En attendant de vous accueillir, recevez mes sincères amitiés."


Depuis toutes ces années, il ne les avait pas oubliés... Côté poneys, bien évidemment, personne ne l'avait oublié non plus, particulièrement les deux soeurs qui avaient toujours clamé leur profonde amitié à son égard. Les mauvaises langues disaient que c'était à cause de sa fonction d'avocat, poste hautement nécessaire dans l'entourage poneysque. Mais les vrais poneys savaient qu'il avait suffi d'un simple après-midi en taverne lors d'une tournée comtale pour qu'un radeau de la méduse épique les convainque de l'aimer à jamais.

Sans même s'émouvoir de leur prétendue mort, voilà qu'il leur ouvrait les portes de sa maison. Vu son courrier, il était peut-être même devenu agent immobilier, comme quoi la voie juridique peut mener à bien des surprises.
Arrivés à Périgueux, les poneys avaient retrouvé le chemin de la forge et avaient signalé leur présence au dit Jeannot, à grands renforts de "YOUHOU" sonores.
Une fois devant lui, ils avaient réclamé à grands cris la visite de la propriété.
Refusant catégoriquement de porter leurs malles, les soeurs avaient réquisitionné les éléments mâles des poneys (du moins ceux ne portant pas de robes) pour les suivre de pièce en pièce en portant à bout de bras des piles de malles emplies de vêtements de couture et autre kits de survie.


- Hiiiiiiiii, les cuisines ! Bonjour bonjour, ne vous dérangez pas pour nous ! Poursuivez votre travail... Ajoutez du cognac, vous verrez, c'est souverain ! Ah, fourré au foie gras, c'est mieux. Tenez, une farce foie-gras/cognac, c'est un bon compromis, non ? Mais non je ne vous dérange pas, je suggère, c'est vous le chef ! D'accord, je sors, mais c'est juste pour ne pas salir ma robe avec des tâches de gras, ça n'a rien à voir avec votre couteau. Fitz, debout ! Pas bouger ! Bieeeeeeen ! Donnez-lui une escalope, il sera ravi.
- Ooooooooh... la bibliothèque ! Ça sent la poussière, non ? Han, est-ce qu'il a "passion dévorante" ? Nan ? Et "désirs brûlants" ? Nan ? Nan sérieusement ? La suite de "Amours péripatyticiennes" ? Même pas ? Faites voir ? "Principes du droit". Mouais. Et si j'ouvre au hasard pour vérifier, hein ? Ah. Bon mais je suis sûre qu'on les trouvera... JeanChoumichou enfin ! Ne posez pas mes malles sur le bureau, ça pourrait faire des tâches de sérieux dessus ! Sur la malle, voyons !
- Les appartements de notre maître.
- Oh, faites voir ? Mais siiiiii ! Oh c'est sooooombre. Non, ne me dites rien. On va lui faire la surprise. On va tout redécorer. Quelle est sa couleur préférée ? NE DITES RIEN ! Rose, n'est-ce pas ? Avec des nuances de vert pour faire contraste. Bien. Faisons-lui la surprise. Myrmillmze ! On ne goutte pas sur le tapis du baron ! Jeannot ?
- Ma Dame ?
- Quand rentre le Baron ?
- Demain ma dame, très certainement. Mais...
- C'est plus qu'il nous en faut ! N'ayez crainte, nous allons réutiliser les éléments en les remettant au goût du jour, c'est du Heaume stage inne. Ça coûte trois fois rien et ça donne une vraie personnalité à votre habitation ! De la peinture, vite ! Je sais qu'il en a, il a toujours aimé peindre. Fitz ! Va chercher ! Hop ! Ouiiiii ! Lâche le pinceau...lâche le pinceauuuuu... Lâche ! Bon sang, activez l'escalope, il va baver partout sinon... Orkaaaa ?
- Hiiiiii, il a un lit baldaquiiiiiiin !
- Hiiiiiii, avec des coussins à pompons ? Hiiiiiiii !


Et les soeurs avaient retroussé les manches de leurs domestiques et suivants divers pour leur faire repeindre les appartements du Baron en couleurs "pinkyglossy". Vraiment, il avait bien fait de les inviter, il allait faire une belle plus-value quand il revendrait sa propriété. Et pour seulement 3% du prix de vente final ! Moins les honoraires des poneys, évidemment.
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Fichtre, mais c'est quoi le challenge rp ?
Orkaange
Voilà. Ayé! Elles avaient trop bien travaillé, l'aile personnelle de Têf était particulièrement scintillante, brillante, et.... rose. Pendant que mahaut faisait le home stage Inn et surveillait les poneys et domestiques divers qui s'activaient, Ork s'était occupé de la bibliothèque. Elle avait envoyé des émissaires partout dans Périgueux, afin de trouver les derniers titres de soeur Harlequin, et elle n'avait pas été déçue. ILs lui avaient trouvé les meilleurs, et deux qu'elle n'avait pas lu. Elle rangea donc "Sa plus belle confidence" et "une parenthèse enchantée" dans la bibliothèque, jetant au passage deux corpus par la fenêtre et s'installa confortablement pour lire " Guidée par la passion" : Alors qu'elle voyage en Périgord, la jeune Elisabeth échappe de peu à la prison. Son salut ? Elle ne le doit qu’à l’intervention inespérée de Shame, un homme hautain et autoritaire qui la trouble immédiatement. Car, si elle lui est reconnaissante de l’avoir tirée de ce mauvais pas, c’est pourtant un tout autre sentiment qui prévaut lorsqu’elle le regarde : un désir brûlant, qu’elle n’a jamais ressenti auparavant… Après tout, elle est loin de chez elle et va devoir passer plusieurs jours en compagnie de Shame, sous peine de retomber entre les mains de la maréchaussée. Alors, pourquoi ne pas se laisser aller à la passion ? Les pieds sur le bureau, un paquet de chouquettes au foie gras à côté d'elle, la blonde tournait les pages goulument, tout en s'empiffrant de petits fours. elle s'arrêta brusquement, tendant l'oreille. Un brouhaha incroyable se faisait entendre à la porte. elle se releva tant bien que mal sur ses Loups Bouttins, son livre toujours à la main et se précipita vers l'entrée, soulevant précautionneusement sa robe Ver Sat Chier de l'autre. Ben oui déjà courir dans les escaliers avec des talons de dix centimètres c'était chaud, mais si en plus elle abîmait sa robe, ça allait pas le faire. Elle arriva en trombe dans l'entrée, tombant sur Jeannot qui s'avançait tranquillement, l'air toujours aussi impassible malgré les changements brutaux que les poneys avaient effectué en arrivant

-HAN! Jeannot? Mais que se passe t'il ? Qui ose me déranger juste au moment ou Shame avoue langoureusement son amour à Elisabeth, allongé sur une peau de bète?
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Tetedefer
Têf était tranquillement installé sur les gradins de l'amphithéâtre, écoutant le carabin en chef pérorer sur la physiologie avancée, expliquant comment trois mesures de sel d'alun et à égale proportion de l'incarnat de Béryl et des fientes de chauve-souris avaient le pouvoir de raviver le teint et de favoriser la purgation, lorsque tout à coup son banc se mit à trembler.
Il jeta un coup d'oeil à droite : rien, à gauche : une chauve-souris de belle taille -bien celle d'un petit poney-, à l'air gêné. Le coulis blanc s'échappant de son extrémité distale était probablement la source de son embarras. Elle fixa furieusement ses ailes, jouant nerveusement de la patte avec un collier de magnifiques béryls, qui scintillaient de rose. Elle eut un hennissement gêné et son teint s'aviva, passant du rose, au rouge, au grenat, puis étrangement au rose de nouveau. Son hennissement se fit strident, et elle martela des sabots, de plus en plus fort et -
Têf leva soudainement la tête de son grimoire : la lecture était terminée, tout le monde sortait, et leurs sabots et chausses martelaient le parquet, résonnant, faisant trembler son banc.
Il s'ébroua, regarda un filet de salive tracer un S sinueux sur la page XXVIII, s'essuya le menton et s'étira. Enfin, il prit la suite des autres, tout occupé par les bribes de son hallucination diurne. Qu'est-ce que cela pouvait bien signifier?

Devant les grilles, il aperçut Jeannot. Etrange, que venait-il faire ici? ne devait-il pas être à la cour Mareuil? Celui-ci eut un tic nerveux en l'apercevant, et se précipita sur lui :


"Maître Têf! Ils sont là! Ils sont là!"
"Jeannot? respirez, voyons, et dites-moi QUI est là."
"Eux! les rosins!"
"les Rosins? des moines? des jardiniers?"
"Mais non, les rosins, vous savez, là, la blonde qui couine et qui s'habille comme... euh... comme... euh... et puis la brune, celle qui flaire les bouteilles à travers les murs!"


Tout à coup, Têf sentit le monde faire un salto, et se remettre parfaitement droit. Il venait de comprendre son rêve. Prémonitoire. D'alerte maximum. Un cri de Cassandre qui aurait abusé d'amanite tue-mouche. Un hululement de Banshee qui annoncerait une fête.

"LES PONEYS?"
"Ouiiiiiii, les poneys, euh... roses.Eux, là, ils ont déjà commencé, ils sont partout, je peux rien faire, la cour est déjà dévastée, ils s'attaquent aux domestiques, ils..."
"STOP, Jeannot, STOP! explique-moi tout depuis le début. N'oublie rien. Dis-moi où en sont nos réserves de prune. Et les saucissons? D'ailleurs, à ce sujet, est-ce qu'ils sont avec ce vieux moine pervers? Les couteaux sont-ils sous clé? et l'argenterie? allez, parle, Tudieu! Parle!"


*******************************************

Précédé de Jeannot, Têf entra par le portail principal, jetant un regard alarmé vers la forge. Non, apparemment, rien de ce côté là.
Il traversa la cour,passa le puits, arriva devant le perron du corps principal tout en enlevant son mantel qu'il tendit à un domestique, et escalada les marches.
Un clopinement irrégulier et crescendo lui parvint, de vers l'étage puis l'escalier, et il arriva dans l'entrée juste derrière Jeannot, pour assister à la périlleuse déscension d'Orkaange, robes relevées à mi-cuisses et oscillant sur des sortes de chausses à échasses.


-HAN! CLOP Jeannot? Mais que CLOP t'il ? Qui ose me CLOP juste au moment où Shame avoue CLOP reusement CLOP amour CLOP, allongé sur une CLOP bête?

Têf s'arrêta net , tentant désespérément d'un côté de faire sens de ce qu'il entendait, lors même que d'un autre côté, il essayait de dévoir ce que son analyse lui suggérait.

"Argh... euh... Dame... Orkaange? Euh..."

Fixant les chausses, il prit conscience de son impolitesse. Son regard tenta bien de remonter, mais lorsqu'il arriva aux genoux, il fut obligé de sciller, et aux cuisses, de fermer les yeux, tout en continuant à hausser le regard derrière les paupières. Il ne rouvrit ces dernières que lorsqu'il sentit qu'il devait être à peu près au niveau du visage. Raté . Plus haut. Là, c'était plus sûr.

"Dame Orkaange! quel plaisir de vous voir! euh... Vous vous entraînez pour quelque chose? Shame? sur... euh... sur v... avec v... euh sur une bête? Il a avoué quelque chose?"

Têf, perdu, tendit la main pour soutenir l'improbable équilibriste et espéra que son sourire compenserait sa perte momentanée des fonctions langagières.
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"non quaerenda ratio quorum non est ratio."
Jeanjakou


    Chapitre 3



    Gwendoline s’effondra sur le sol, inerte. Emu par la sensualité limousine de la puterelle, Alfonse la souleva avec douceur et la porta jusqu’au salon, où trônait nonchalamment près du feu un fauteuil en cuir recouvert de peau de léopard. Il déposa là la femme de petite vertu et la dévisagea sombrement. Il savait que sous les paupières closes se cachaient deux émeraudes qui ne manqueraient pas de le regarder d’un air épouvanté. Le corps juvénile, qu’il savait nu sous le léger châle de soie, semblait si délicat qu’on pouvait craindre de le briser au premier assaut masculin. Mû par un désir insatiable mais ô combien coupable, le jeune homme souleva enfin le châle de Gwendoline, révélant un sein rond et ferme. Si seulement la jeune femme n’était pas sa demi-sœur cachée, soupira-t-il. Il pourrait alors lui avouer qu’il l’aimait comme jamais il n’avait su aimer une femme.

    Une voix masculine, celle de son père, le rappela durement à la réalité.

    « Halte-là, sacripant ! Cette dame n’est point pour toi ! »

    Alfonse se tourna lentement vers l’importune personne, le détaillant d’un œil moqueur. Qu’avait-il à craindre du vieillard ? Celui-ci faisait tout au plus un mètre quatre-vingt-dix, et ne devait guère peser plus lourd qu’un taureau juvénile. Que lui importait à lui, le Géant des Flandres, les cris de ce pantin, ce minus !

    « Eh bien, Palsambleu ! Peu me chaut vos cris, vous allez me laisser tranquille ! Je fais ce que je veux, et où je veux. Tonnerre de Brest ! Nous n’avons point voulu l’indépendance pour vendre des cornets de carottes frites à la foire de Troyes. »

    Le vieil homme, vexé, sauta au cou d’Alfonse pour le faire taire. Ce dernier l’écrasa langoureusement contre le mur d’une baffe monumentale. Puis, il se tourna vers l’objet de ses pensées, qui s’éveillait doucement à la réalité tragique de leur famille décomposée.

    « Doux Christos, songeait-elle, et dire que je suis enceinte de triplés d’un homme aussi fort qu’il est mon frère ! Mais… comment diable notre père est-il présent ? La mère Denis aurait-elle trahi notre secret ? A-t-il acheté son commerce ? Ou alors… oh le traitre ! C’est lui qui m’a vendue à ce lupanar ! »


Un bruit de couloir sortit le Guyenno-Breton de sa transe. Cela faisait plus de dix minutes qu’il lisait le premier tome des aventures utérines de Gwendoline et Alfonse de la R., les frères-amants maudits du Limousin de la série des Gwendoline écrit par Eléonore Jeannette, une sœur Harlequin particulièrement prolifique qui n’hésitait pas à frapper son lectorat par ses incursions étonnantes dans le genre « érotique suranné » en vogue depuis les années 1457.

Il se leva du fauteuil dans lequel il était avachi et sortit dans le couloir. Un type, qu'il ne connaissait pas, venait de rencontrer Orkaange et commençait à tailler le bout de gras dans un patois mi-angoumachin, mi-péripatéticien, mi-anglais, mi-français. Bref, ils discutaient à deux et l'un d'entre eux était inconnu du petit Guyenno-Breton.

Il s'approcha.


Bonjour à vous ! Soyez le bienvenu chez Têf, mon bon monsieur. Désirez-vous un petit encas ? Un verre de vin ? Je peux secouer deux serviteurs pour qu'ils apportent de quoi caler une dent creuse.

Puis, il dit :

Moi c'est Jean, et je suis ravi de faire votre connaissance. Et si ça peut vous consoler - j'ai entendu un bout de votre conversation, je ne pense pas qu'Orka s'entraine sur un poney pour avoir la Honte.
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Eliance
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    Voyage, voyage
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Mike, faut que j't'avoue un truc...
Non.
Mike... tu t'souviens d'pourquoi on est parti ?
Non.
Mike, je crois qu'tu vas m'en vouloir.
Pire.


Dans le mensonge, le plus dur est bien l'aveu. Eliance en fait l'amère expérience. Premier mensonge et première difficulté à balancer la chose dans la face du blond. Mais là, alors qu'ils ont de la terre périgourdine collée partout aux chausses, elle n'y tient plus. Elle doit lui dire. Elle s'est tue tout le voyage. Merci, d'ailleurs, à Germaine, qui a accaparé bouche et autres attributs mikiens jour et nuit (la pauvre...).

Elle a su tenir son propre secret, Eliance, malgré la lourdeur de la chose. Quatorze jours entiers pendant lesquelles elle est allé contre sa nature. Autant dire que ses ongles ne s'en remettront sans doute jamais, rognés jusqu'à l'os. Eux ont bien entendu quotidiennement le secret mensonge et sans doute d'un peu trop près. Mais n'exagérons rien, ce n'est rien comparé au calvaire de ladite Germaine...

Le moment. Celui où elle va balancer. Il arrive, ce moment. Du moins, elle essaie de s'y préparer, de le préparer. Plus facile à dire qu'à faire. Et, finalement, c'est l'alternative « miquettes » qui prend le dessus.


euh... Mike ?... quand on s'ra à Périgueux, tu voudras v'nir avec moi ?
Double sous-entendu. Lui risque de comprendre : on va aller aux putes ! Elle insinue plutôt : on ira voir tes employeures. Tu te souviens les deux sœurs diaboliquement chiantes dont l'une est l'épouse moisie de 22 ? Ben c'est elles. Enfin, l'une ou l'autre, faudra négocier... Alors, heureux ?


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    Domaine d'un certain Tef
    ----------------------------------------------------
    Un jour, tu seras kidnappé par un poney. Et ce jour, c'est maintenant.

Ca sent le rose. C'est indescriptible. Elle ne saurait pas dire comment ni pourquoi, mais ça sent le rose. A plein nez. A peine débarqués dans la cour, ça pue. Elle fronce le nez, la roussi-blondasse, devant l'évidence. Les poneys sont dans la place. Pourvu que Mike ne sente rien, lui.

Oui, oui, c'est l'bordel en question, tu vas voir...

Elle n'a pas réussi à cracher le morceau. Ça risque de piquer... à tout moment !

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Orkaange
"Dame Orkaange! quel plaisir de vous voir! euh... Vous vous entraînez pour quelque chose? Shame? sur... euh... sur v... avec v... euh sur une bête? Il a avoué quelque chose?"

Bonjour à vous ! Soyez le bienvenu chez Têf, mon bon monsieur. Désirez-vous un petit encas ? Un verre de vin ? Je peux secouer deux serviteurs pour qu'ils apportent de quoi caler une dent creuse.
Moi c'est Jean, et je suis ravi de faire votre connaissance. Et si ça peut vous consoler - j'ai entendu un bout de votre conversation, je ne pense pas qu'Orka s'entraine sur un poney pour avoir la Honte.


HAAAAAANNN TEEEF! CAAALIIIINNNNNN *clop* DANS MES BRAAAAS *clop* ..Regaaarde Jean Mimi c'est Têf! *clop* Comment allez vous cher Baron? *clop* Je vois que le temps n'a pas eu de prise sur vous, vous êtes toujours aussi.. aussii.. comment dire.. vivant quoi![



Ork rayonnait. C'était lui! Vivant! Enfin quoi que il avait l'air de pas tout bien comprendre. L'âge sans doute. On lui avait dit qu'il vivait retranché cour de Mareuil, et qu'il sortait rarement pour prendre l'air. En effet il lui semblait un peu poussiéreux à première vue! Mais les ponettes étaient reviendues! La vie allait changer pour le baron, comme il n'avait pas idée d'ailleurs! Elle se précpita, clopinant, le livre toujours à la main, et sauta au cou de Têf, puis sautilla tout autour de lui battant des mains


-Hiiiiiiiiiiiii MAHAAAAUT REGAAARDE IL EST LAAAAA... La petite surprise est prète? On peut monter? Tef, viendez voir, on a une surprise pour vous!
- Madame, y'a des traine savates dans la cour, on fait quoi?
-Ben je sais pas moi, avisez mon brave Germain!
-Non mais vous nous avez dit de vous prévenir si par hasard des gens se pointaient ici
-Rhaaa.; Mais vous voyez pas qu'on cause avec le baron! Ben demandez leur c'qu'ils veulent et faites entrer! Ha nan je sais appelez mon mari, il avisera. Moi je dois faire la surprise à Tef

Et c'est dans une envolée de jupons rose que Ork entraine le baron vers l'escalier, sautillante et papillonnante telle une baleine sur un gravier
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Mike91
Y’a rien de plus chiant que les voyages. Surtout quand il faut gérer tes gosses, supporter une Eliance et truc nouveau, trainer un type sans patte qui on ne sait pas quel mystère s’est attiré la gratitude de sa conseillère. Alors oui… c’est drôle de la lâcher du haut d’une colline avec sa chaise roulante…ouais très drôle, mais de Belley à Bourg juste. Après ça devient vite chiant quand il faut le remonter.

Une catin de compet’ ça ne se refuse pas. Encore plus si c’est sa conseillère qui lui dégote le paquet…pour une fois qu’elle fait une bonne action, il faut l’honorer. Il va même plus que l’honorer…il va la défoncer, il y pense tellement qu’il s’occupe même pas de savoir pourquoi le Périgord. Non mais le Périgord quoi ! Le PE-RI-GORD ! Un truc paumé à l’autre bout de la France, des semaines de marche, avec rappelons le, un estropié, ses gosses, et la chieuse. Mike sera mort avant de baiser, ça n’en fait aucun doute…ouais mais ça…c’était avant.

Avant d’avoir trouvé sa nouvelle lubie, son nouveau jouet, son nouveau passe-temps. Et oui, Mike a sa Germaine de compagnie. C’est trop bien ce truc en fait, quand certains font des pauses pipi, lui fait une pause gâterie. Contre un arbre, dans un buisson, sur une table, par vent, pluie ou beau temps, elle est toujours dispo la Germaine. Ca mange peu, car ça a de la réserve, ça parle quand on lui demande, mais alors…qu’est-ce que ça baise. Y’a peu de risque de se faire voler sa Germaine, parce que la Germaine est moche. Ça peut en bloquer certains…Mike lui a la parade…il ferme les yeux. Alors surement qu’un jour il en fera un commerce, il en vendra par millier et chacun aura sa Germaine de compagnie, mais pour le moment…

Citation:
Oui, oui, c'est l'bordel en question, tu vas voir...


Bah il va laisser à l’entrée la Germaine, parce que p’tain…elle s’est pas foutu de sa gueule la Eliance. Un bordel comme on en fait pas, il en sûr, y’a de la catin de luxe la dedans, peut être même de la catin noble ! Alors après une tape dans le dos en signe de gratitude il enchaine. Et je vais me régaler ouais, ça va te couter un bras cette histoire ! Ouais parce que sa catin c’est cadeau, Eliance dégote, invite et paye ! C’est comme ça que ça se passe pour le Mike. Pas le temps de se frotter les mains qu’il pénètre dans la cours carrée après un rapide Restes là…mais peut être que je reviendrai pas… à sa Germaine. Oui je sais c’est moche d’abandonner sa Germaine, mais que voulez-vous, Eliance a mis la barre très haute Allé magnes toi je suis sûr que c’est par là ! Et ouais c’est qu’il veut le gouter le gâteau avant de le voir, va pas falloir trainer Eliance…mais l’index montre le bâtiment où se trouve la bibliothèque… pas sûr que sa catin s’y trouve…quoique…
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.mahaut.
- Ne bougez plus ! Làààààà... C'est PAR-FAIT.

La brune tournoya sur elle-même pour admirer la salle. Le Baron allait adorer. C'était le moment le plus intéressant du relouquingue, quand les sacrifiés élus pouvaient redécouvrir leur habitation, des étoiles plein les yeux en lâchant de petits "aaah" et autres couinements ravis... Non, ça n'avait pas de prix. Enfin si. Mais là, non, car c'était pour le Baron.
Elle avait bien travaillé, vraiment. Les serviteurs avaient ronchonné mais le mur de torches écrivant "Chuis Baron, chuis le daron" rendait vraiment bien sur le dessus de cheminée. Nan pis ces armures repeintes en rose... C'était tout simple mais ça mettait de la gaieté. Alors quand il s'apercevrait que s'il touchait les lances ça projettait des confettis arc-en-ciel, obligé, il allait pleurer.
Pour se remettre de tous ces efforts, elle avait débouché une bouteille de grand cru et s'était avachie sur le fauteuil à grand dossier qu'elle avait fait retendre avec un tissu imprimé léopard pour montrer le côté sauvage du juge.


- Je... je fatigue, ma dame...
- Mais non mais non, c'est l'émotion !
- Je vous assure que non !


Elle avait eu une idée encore plus géniale que les autres. Au centre de la pièce, un serviteur avait été grimé en blanc les bras en l'air, façon marbre antique, pour amener une touche de classique ainsi qu'un peu de gaieté quand on s'apercevrait qu'il faisait également un délicieux porte manteau punching ball. Elle avait choisi soigneusement un serviteur anciennement limousin pour ça.

- Aaaaaah je l'entends ! Le Baron est là ! Hiiiii ! Vous avez fini de préparer son lit ?
- Oui ma dame. Les dentelles parsemées de petits papillons brodés sont en place sur le baldaquin. Et les 48 coussins également.
- Têeeeeef ! Orkaaaaaa !


La brune se précipita vers la porte, la refermant derrière elle pour garder la surprise. Enserrant le juge dans ses bras en gardant son verre à la main, elle parvenait à sautiller sur place sans rien renverser.

- Hiiiiiiiiiiiiii Barooooooooooon ! Vous avez vu ? On était mortes et pis, PAF, pastèque, on est là ! En fait c'était pas vrai ! Vous y avez cru, hein ? Naaaan vous nous connaissez bien, vous. Oh, dites donc, vous portez toujours vos vêtements sombres ! Vous avez vu, nous on a renouvellé notre garde robe ! Regardez j'ai même mis un bustier pour fêter votre arrivée ! Et un jupon ! C'est du Rit Qui elle, c'est joli, hein ? C'est déstructuré mais graphique. Pas comme Orka, hein, vous avez vu comme elle est débraillée ? Je vous sers un verre ? Regardez j'ai un nouveau vernis, vous aimez ? C'est lie de vin. C'est joli, hein ? Sobre en plus. Du coup je me suis permise une touche de "orange magic" à côté. Oh, je suis contente de vous revoiiiiiir ! Vous n'avez pas changé ! Enfin vous avez toujours l'air un peu triste mais ça va changer, ne vous en faites pas. D'ailleurs, hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! On vous a fait une surpriiiiiiise ! Attendez je me ressers, je ne voudrais pas être sobre et tout faire rater. Bon, prenez mon bras. Mais si vous pouvez, je ne mords pas ! Là. Bon, vous êtes prêt ? Fermez les yeuuuuuuux...

Babillante, elle avait tournoyé, bu, resserré le baron dans ses bras très fort, re-bu, montré ses doigts sous le nez du juge pour qu'il admire son vernis, montré son jupon et son bustier, re-re-bu, resserré Têf un coup et avait fini par accrocher à la fois le bras de l'homme et la poignée de la porte.
Des étoiles dans les yeux, elle fit signe à un ménestrel de jouer un petit air langoureux tandis qu'un graveur venait tirer le portrait du baron en pleine découverte de son nouveau chez lui, en plan très serré.


- Tadaaaaaaaaam !

Du rose, du rose, des coussins, des bougies parfumées partout, un lit à baldaquin tendu de dentelle, des papillons, des torches à motif et au milieu, un portemanteau façon chérubin antique qui tremblotait à force de rester sur un pied, les bras tendus vers le ciel.

- Hiiiiiiiiiiii ! Je saiiiiiiiiiiiiiis ! C'est trop beau ! Vous êtes content, hein ? Attendez, je me ressers un coup. Ohé, les gens en bas ! Venez vous extasier ! Si si, Baron, j'insiste, si personne ne profite c'est gâché. Oh comme je suis contente qu'on vous ait retrouvé ! Encore un câlin pour la peine ! Et pas de merci entre nous, hein ? Allez, champagne ! Bon sang, machin, arrêtez de trembloter, la corne d'abondance de vin va finir par tomber !
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Fichtre, mais c'est quoi le challenge rp ?
Cmyrille
Passer son après midi à maroufler des cetiqueurs roses dans les écuries de Tef. Voilà sa mission. Et si il ne l'avait pas acceptée, sa nuit d'amour se serait auto-détruite dans la seconde. Ce qu'il faut faire pour tremper le biscuit quand même. Même quand on est marié...
Bref. Il marouflait. Sur une jambe il marouflait.


- Sieur Cmyrille ! Sieur Cmyriiiilllllee !!!
- Ouai ouai ! J'suis là ! Qu'est-ce vous voulez Germain ?
- Y'a des gens dans la cour.
- Oh ? Sans déconner ?...
- [b]Oui.

- Et c'est pour ça que vous courrez comme une donzelle après son premier poney ?
- Ben...
Vous m'avez dit de trouver n'importe quel prétexte à peu près valable pour vous sortir de là.
Pis votre Dame a dit que c'était à vous de gérer les gens dans la cour.

- Comme si j'avais rien de mieux à fiche tiens...
...
Bon d'accord, j'ai rien de mieux à fiche, mais c'est pas l'sujet !

- On fait quoi alors ?
- Ben vous vous allez prendre ma brosse et maroufler à ma place. Juste par vengeance. Voilà.
Et vous faites ça langoureusement hein. Que j'ai pas besoin de repasser derrière.

- Mais euh... Je sais pas faire ça moi. Surtout langoureusement.
- Raaaahhhh !!!
Au moins faites le en plissant les yeux !



Et, abandonnant écuries, marouflage et serviteur, il se rend dans la cour, qui, bizarrement, n'est pas encore rose à paillettes. Alors qu'on aurait pu penser que ce serait le premier endroit à devenir inhabitable. Mais non. Deux individus plantés au milieu, dont l'un montre une aile du manoir. Probablement des touristes venus visiter le pavillon poney de la foire internationale du bon/mauvais goût (rayer la mention totalement hors de propos).

- Bon alors ? C'est pourq...
Oh cheffe ! Mike !
Qu'est-ce que vous faisez là ?

_________________
Eliance
Citation:
ça va te couter un bras cette histoire !

Tiens, ça fait penser à Eliance qu'elle a un peu oublié de payer la dernière pute du Mike. De belles économies ! À noter qu'ils devront dorénavant éviter Lyon. Et la blonde qui lui a servi un soir. Mais voilà que Mike abandonne la Germaine et se casse. Eliance, dans un élan inexpliqué de grande mansuétude, se permet un petit retournement de tête, juste avant de le suivre, en articulant silencieusement, à s'en décrocher la mâchoire, en direction de la pauvre Germaine.

A       ttends       ici

Parce que bon, une fois que le blond aura compris que de pute, il n'est pas question dans la battisse, il voudra bien venir chialer sur les chausses de sa grosse moche Germaine. Donc, autant qu'elle reste. Avec un peu de chance, ça adoucira peut-être éventuellement sa colère envers la menteuse provisoire, aussi. Et c'est en trottinant que Eliance rejoint le Mike qui est déjà en train de prendre possession des lieux. Partout chez lui. C'est fou, d'être comme ça quand même.

Non mais attends... on peut pas rentr...
Citation:
Oh cheffe ! Mike !

Tiens, en plus de sentir le rose, ça sent le poney, maintenant. Eliance se retourne sur un 22, qui sent donc le poney, et ne tarde pas à froncer le nez. C'est que c'est insupportable cette odeur. Mais vraiment.
22 ! ah ben quelle surprise !
Qu'il sente autant le poney, sous-entendu...
C'est chouette de vous voir.
Citation:
Qu'est-ce que vous faisez là ?

Question fatidique. Eliance sent que ça va puer encore plus d'ici quelques instants.
Eh ben on fait comme vous, hein ! Comme vous...
Mais pas tout de suite... Non, tout de suite, elle cherche comment elle va pouvoir s'en sortir, de ce merdier. Et surtout échapper au courroux mikien qui risque de se réveiller en même temps que la vérité. La meilleure issue qu'elle voit à l'instant se trouve en 22. Je sais, c'est fou. Elle lui choppe le bras et l'entraîne elle ne sait pas trop où, en mode poto-confidence, peut-être vers les soeurs rosement diaboliques. Ou les écuries. De toute façon, ici, tout sent le rose et le poney, alors...
Non mais 22. Va falloir arrêter de m'appeler « cheffe », hein.
Et puis, bon, on est amis, non ? App'lez-moi Eliance. C'bien Eliance. Non ? Ou Roberte si vous préférez.


Tout ça en jetant des coups d’œil derrière elle, vers le blond, en priant pour qu'il retourne, on ne sait par quel hasard, voir sa Germaine.

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Mike91
Citation:
Qu'est-ce que vous faisez là ?


Bah la même chose que toi pardi ! Non mais franchement, cette Eliance c’est une conseillère en carton ça on ne peut pas lui enlever, mais par contre c’est la cheffe rêvé ! V’là t’y pas que pour récompenser ses deux meilleurs journalistes elle leur offre les plus belles catins de France et de Navarre. Et puis franchement, depuis la perte de son pote à Narbonne, c’est une bonne occasion de s’en refaire un autre. Y’a pas à dire, ça rapproche les hommes que de se finir au même moment dans le même corps. Là tout de suite, il envie de l’embrasser la Eliance tellement il est content, mais ça attendra…les putes d’abord !

Mais que de surprise, partager ça avec 22…Franchement Eliance tu assures ! Lui sent pas le poney, non là, il y pense tellement que tout ce qui l’entoure sent le cul. Eliance s’empare de 22, mais ça le choque pas plus que ça, tourné vers la bâtisse il s’adresse à 22 sans les regarder…Tu les aimes comment toi ? Non parce que moi les petites brunes avec des p’tits culs j’adore…tu vois le genre de…*clap* ! *clap* ! *clap* ! Tape dans ses mains en annonçant …faut que ça claque quoi! Dans son délire il se tourne quand même vers les deux confidents qui se barrent Hey ! Mais qu’est-ce que vous foutez ? Alors comme un gamin à qui on a promis un cadeau, bah il part au petit trot vers le couple nouvellement formé Attendez moi merde ! Bah ouais on ne se débarrasse pas du Mike en rut comme ça, et puis, pour ceux qui en douteraient, la Germaine est déjà morte pour lui…Allé Eliance, dis…il est où le cadeau ?
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Orkaange
[Pendant ce temps là à l'étage]

Muet! il était muet d'admiration pour tout le travail qu'elles avait effectué. Ca pouvait pas être autre chose hein, c'était tellement magnifique! Et encore il avait pas vu la bibliothèque, toute relouquée, et les magnifiques volumes qu'elle y avait placé ! Elle grimaça à la pique de Mahaut, et tandisque la brune virevoltait dans la chambre, plaça son pied sur la robe de sa soeur. Un magnifique "craaac" s'en suivit, qui lui arracha un sourire victorieux. Le baron, une soeur à chaque bras, semblait toujours sous le coup de l'émotion et la blonde lui tapotait doucement le bras, inquiète. Ben ouais il était vieux, c'était pas l'moment qu'il leur pète une durite en plus! Non c'était trop d'émotion en une fois, elle garderait la bibliothèque pour une autre fois; Ou alors il découvrirait tout seul, et viendrait la remercier, des larmes dans les yeux et la voix tremblante, d'avoir éclairé ses vieux jours. Ouais voilà, on allait faire comme ça. Elle remplit une coupe de champagne, se la but cul sec quand elle entendit des voix en bas, étouffée par la fenetre. Elle s'y précipita, et vit le vil mari de elle en grande conversation avec un couple, et se pencha en faisant des grands signes



-Hiii Soleil de mes nuits! Youhou ! C'est qui les gens? Il me semble les reconnaitre! vazy fais les entrer j'arrive! Ce seraitpas ma secrétaire pis mon garde du corps par hasard?



Et c'est une tornade rose qui se reprécipita dans l'escalier, aussi rapidement que ses talons lui permettaient pour accueillir les nouveaux arrivants
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.mahaut.
- Je sais... C'est l'émotion. Ça fait ça à tout le monde. Allez-y, pleurez un bon coup , baron ! Jean-Gatien, venez dessiner en gros plan, c'est bon pour l'eau d'imat ! Cherchez pas c'est le nom de l'eau qui coule des yeux, Baron.
Allez, un mot pour remercier toutes les équipes ? Ils ont marouflé jusqu'à 4h du mat', hein ? Et vous imaginez le temps mis à allumer toutes ces bougies ? N'éternuez pas, hein, ça casserait l'ambiance.
AAaaaaah, c'est pas tout ça mais moi je suis CRE-VEE, j'ai passé 2heures à dire aux gens quoi faire, c'est fou qu'ils aient si peu de sens esthétique...


Elle s'affala sur un pouf à motif zèbre tout en se massant les pieds.


- Je suis contre le fait d'aller voir moi-même qui sont ces gens. Si on est noble, on a des domestiques pour ça, non ? Y aller soi-même, ça fait... ça fait pauvre.


Elle ne put retenir un frisson de dégoût avant de redresser la tête en entendant le cri de la blonde.

- QUOI ? Bon, après, ça fait pauvre mais c'est chaleureux, aussi, d'y aller, hein ? Ça fait "je sais ce que je vaux mais je vous aime bien donc je dépasse les préjugés." Ouais. Pis les nobles doivent avoir un idéal de pauvreté, ne serait-ce que pour faire enrager les vrais pauvres. Allez, j'y vais. ORKAAAAA ! ELIAAAAANCE, SOUVENEZ VOUS DE MA PROPOSITION ! JE DOUBLE TOUT !

Et la brune déboula dans les escaliers, ses chaussures à la main, remontant sa jupe pour glisser le long de la rampe et arriver plus vite en bas. On pouvait être noble et rapide après tout.

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Fichtre, mais c'est quoi le challenge rp ?
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