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Info:
A compter de la page 12, l'enguelade entre le Grand-Duc et le Prince.

[RP] Sacre du Grand Duc

Mael.de.kerdraon
Amy venait nous faire part de la découverte de Kory. Je prenais la fiole qu'elle me tendait, la débouchait, senti brièvement l'odeur qui s'en échappait. Je ne relevais rien de suffisamment caractéristique.

Il fallait procéder de la même manière que lorsque j'étudiais une essence curative inconnue.


Votre excellence vous voulez bien m'apporter votre concours pour déterminer de quel poison ils 'agit ?

J'examinais la couleur, l'odeur, je trempais une bandelette imbibée d’alcool dans un peu de poison dilué voir si une couleur va apparaître, bref je fais toute sorte de test sur la substance, sans parvenir a un résultat convainquant.

Il demeurais un dernier test a faire. J'invite alors ma consœur a me rejoindre autour du brasero, je verse quelques gouttes du poison sur une braise et hume l'odeur qui s'en dégage. C'était une odeur d'ail assez forte. Un sourire se dessine sur mes lèvres.


Vous avez senti ça !

Ma consœur ne pouvait ignorer qu'il s'agissait de l'odeur caractéristique de l'arsenic évaporé très fortement concentré.
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Melian.de.ventoux
Bien sur. lui répondit-elle, se tenant à sa disposition tout en prenant soin de le laisser diriger la manœuvre vu qu'il était en son pays et qu'elle n'était qu'invitée.

Melian s'approcha donc de son collègue à son invitation et le laissa faire divers tests pour tenter de déterminer le poison contenu dans la fiole trouvée par une Dame.

Finalement, le dernier test les renseigna sur la catastrophe. Melian releva les yeux vers lui, et son expression disait qu'elle aussi avait reconnu cette odeur caractéristique.

Il fauct que nous lui enlevions cela vite. murmura-t-elle pour éviter de déclencher une panique générale. De quoi disposeriez-vous pour tenter d'en contrecarrer les effects en vostre officine ? lui demanda-t-elle ensuite sur le même ton.
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Alix_ann
Alix s'était inquiétée pour rien, Dana avait à peine paniquée, rien de grave n'était arrivé. Elle hausse les épaules : Y'avait pas mort d'homme hein !
Elle regardait autour d'elle en silence, se faisant observatrice. Equemont était entre les mains de nombreux médecins et il n'y avait rien de plus qui pouvait être fait. Alix, de loin, gardait un oeil sur Dana.

Étonnamment, c'est Lemerco qui brisa le silence et la sortie de sa muette réflexion. Encore plus étonnant, Alix qui mettait d'habitude un point d'honneur à paraître tout à fait détachée de Lemerco, voir à agir comme si elle n'en avait rien à faire, lui sourit le plus aimablement du monde, l'air soulagé de voir apparaître un visage familier.


Je vais bien. Au top, ou autant que faire se peut! Merci. Et toi donc?

Elle continue encore de sourire.
Voilà, suffisait d'une effusion de sang pour la rendre candide ! Gonzesse !

Suivant toujours Dana du coin de l’œil, elle la voit s'approcher vers eux. Si la pression était légèrement retombée, Dana semblait toujours très affectée, peu être plus qu'elle ne pensait.
Alix reste interdite face à son amie, qui leur expliquait qu'Equemont était bien mal au point. Elle aurait bien voulu trouver une parole réconfortante, mais elle était plus que nulle pour ce faire de manière générale.
L'air triste, elle continue de suivre du regard son amie, terrassée par l'impuissance.

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Amarante.
Son devoir fait, elle ne pouvait que prier maintenant en son for intérieur, pour qu’il puisse s’en sortir … Maël et tous les médecins qui étaient autour de lui, trouveraient bien à le guérir … Equemont était une sorte de force de la nature, il ne pouvait en être autrement … Elle serra un peu plus fort la main de sa fille qui la regarda de ses yeux noirs et à qui, elle accorda un petit sourire …

La main de Dana sur son bras la fit revenir sur terre … La jeune mère n’allait pas bien et cela se voyait très clairement … Avait-elle entendu ce qu’elle avait dit à Maël ? Possible …


Je vais sortir Amarante.
Je n'en suis pas sure, mais je crois avoir entendu parler de poison, dans le groupe entourant Equemont.
Peter a dit qu'il qu'il qu'il.. était pâle...
C'est.. Le cas, il est pâle. Terriblement. Blanc comme.. Comme un mort.
Il faut que je puisse être auprès de Salomon, si jamais. Si.. On ne sait pas..
Je..
Je vais aller voir mes fils.


La brune hocha la tête, mais il était hors de question qu’elle la laissa comme ça. Elle allait aller avec elle, c’était plus prudent … Elle lui emboita donc le pas …

Je vous accompagne, il ne sert à rien de rester ici de toute façon …

Quand elle arriva à hauteur d’Alix et de Dol, elle les regarda et adressa un sourire à l'ours …

Je vais l’accompagner … Restez-vous ici ?

Puis elle ajouta.

Si vous apprenez quelques choses, surtout venez, nous le dire …

Elle continua et fit signe à sa cousine de la suivre, elles rentraient, c’était bien mieux … C’était ainsi que toutes sortirent de la Cathédrale, dans l’angoisse et l'attente d'avoir des nouvelles … Quelle qu'elle fut ... Elle rattrapa Dôn et glissa son bras sous le sien ...
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Equemont
Vous l'aurez saisi, le Grand Duc se tenait debout, droit, bien que se tenant au premier banc de la cathédrale. Il était digne malgré sa chute et son teint de plus en plus blafard. Ses yeux semblaient rester fixer, malgré le brouhaha qui recouvrait toutes les autres voix qui lui parlaient. Il eut de mal à entendre ce qu'on lui disait.

Se laisser soigner ? Plus tard. La Bretagne passait avant. Il leva la main droit d'un geste calme pour demander le silence et le retour au calme. Son souffle ralenti l'empêcha de donner de la voix. Alors il serra la mâchoire pour contenir la rage guerrière qui lui animait les entrailles. Lorsque Maryane et Peter l'eurent rejoint, il les observa, puis il sourit, dans un effort.


Maryane, je vous prie d'être témoin que je demande aujourd'hui à messire Peter de Kerdren d'être Régent de Bretagne si je venais à trépasser... par le plus grand des hasards.

Ahah. Quel petit comique.

Maintenant, nous rentrons au château en carrosse, comme prévu. Donnez-moi ma couronne.

Et le Grand Duc de reprendre son couvre chef royal et de le remettre sur ses cheveux blonds. Puis de prendre d'un pas décidé la direction de la sortie, fendant la foule présente dans la nef. Arrivé sur les marches du portique, le Souverain, plutôt ingérable, monta dans le carrosse qui avait été prévu à cet effet, dans la stupeur générale. Il n'eut le temps de s'asseoir dignement et s'effondra sur la banquette. Il se retourna suffisamment pour dire à ceux qui le suivaient de ne pas monter avec lui. Il fit juste signe à son fils, Aur de le rejoindre.

Etait-ce son caractère d'animal blessé qui se cache pour mourir ? Etait-ce son orgueil si caractéristique qui le faisait tenter de se suffire à lui-même ? Un peu de tout ça certainement.

Aur. Je vous ai accompagné jusqu'à la mort et elle n'est pas venue. C'est votre tour maintenant. Votre vieux père se meure. Cette flèche était plus qu'une simple flèche. J'en ai déjà reçu. Mais là, je sens mes muscles se durcir et se tendre. J'ai été empoisonné, à n'en pas douter.

Au château maintenant.


Tout le monde devait rester médusé dans la cathédrale. Une fois arrivé au château, alors qu'il était inconscient, on le porta jusqu'à son lit.

Equemont entrait dans son agonie.

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Peter_kerdren
Clou-é qu'il était le bec de l'homme à collants verts.

Aristote savait pourtant comme il était plutôt d'humeur bavarde en toutes circonstances, mais là ...



"Maryane, je vous prie d'être témoin que je demande aujourd'hui à messire Peter de Kerdren d'être Régent de Bretagne si je venais à trépasser... par le plus grand des hasards. "
qu'il avait dit avec un sourire ...

Le Gardien des Aedès tenta bien de bredouiller un inaudible : Mais Ma ... Ma ... Majes... Trop tard, comme revenu des morts, le souverain de Bretagne s'était relevé et, devant ses yeux ébahis, avait coiffé sa couronne pour quitter les lieux sur le champ, suivi par une foultitude de médecins, de conseillers, de gardes ou de courtisans.

Alors Peter tourna la tête vers Maryane. La chancelière paraissait aussi interloquée que lui. Il ne trouva qu'à sortir ces mots stupides :
Euh, qu'Est-ce qu'on fait, maintenant ?*


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Maryane.
J'attends Peter, sans paniquer, sans même faire l'effort de me rendre très vivante. Je suis comme ailleurs, perdue dans une scène douloureuse de mon passé. Autre Grand Duc, autre lieu, autre époque, tellement plus d'horreur qu'aujourd'hui. Pour autant je garde le même sang froid, cette même absence de réaction. Les gens autour de moi s'affairent, me bousculent presque. A la rigueur, j'ai une petite envie, celle de leur crier de se la fermer et d'arrêter cette cohue ridicule. On ne s'entend plus penser, on a même du mal à entendre nos souvenirs.

Je suis donc témoin que Peter de Kerdren sera régent si la Bretagne perd son Grand Duc. Parfait.

Equemont prend la couronne, la remet et nous précise qu'il compte suivre le cours de la cérémonie comme prévu. Je ne fais rien pour l'arrêter, je ne me pousse pas pour le laisser passer, je ne le suis pas, je ne me retourne pas sur son passage. Je ne réponds pas à la question de Peter, je l'entends à peine. Je reste plantée là, aussi molle qu'une huître sur un buffet de réveillon. Jusqu'à ce que soudain je ressente le besoin impérieux de sortir d'ici, de retourner dans le seul lieu où je me suis un jour sentie à l'abri de tout, sûre de mon avenir. Ce même lieu qui me priva de ce sentiment en quelques mois à peine. Oubliant mon rang, mon poste, la robe lourde et onéreuse qui m'habille, je m'élance dans l'allée, je cours. J'en perds une mèche, diantre.

Sur le parvis, j'emprunte le chemin frayé par le Grand Duc et je me dirige vers la première voiture officielle libre qui se trouve devant moi. Mais je ne vais pas au château, je quitte Nantes.

Trecesson! Le plus rapidement possible.

Je ne sais pas si c'est le ton de ma voix ou le poste que j'occupe qui décide le cocher à m'obéir mais toujours est-il qu'il le fait. Je ferme les rideaux, je ferme les yeux mais les images me poursuivent malgré tout. Le long des rues, à la sortie de Nantes, sur les chemins, jusqu'à Trecesson elles s'intensifient. Je vois, j'entends, je ressens les coups de poignards. Je revis en boucle le meurtre de Riwan, ce jour où je n'ai rien fait, tenant bêtement la couronne dans les mains, laissant mon époux transpercer son cousin coups après coups, sans relâche. Plus de dix coups d'une violence et d'une froideur inouïes. Et le sang qui coule jusqu'à mes pieds nus. Le bruit de la couronne qui finit par tomber. Le regard surpris de Riwan. Mon être tout entier s'incline face à la violence du souvenir.

C'est l'angoisse.

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Aur..
Aur suivit son père comme son ombre tandis qu'il fendait la foule pour sortir sur le parvis. L'inquiétude le disputait à l'admiration et à l'agacement : la blessure semblait sérieuse, Equement aurait du se laisser sagement emporter au lieu de marcher ! Mais en même temps... il s'agissait d'un véritable symbole. Le souverain, même blessé, marchait la tête haute. Aur s'engouffra à la suite de son père, sur un signe de celui-ci, dans le carosse qui les attendait.

- Père, vous m'avez accompagné, proche de la mort, mais c'est la vie qui a repris ses droits, et il en sera de même pour vous ! Il y a de grands médecins à la cour et vous êtes à présent l'homme qu'ils voudront soigner en priorité ! Les poisons ont leurs antidotes... et votre corps est des plus résistants.

La fin de ses paroles ne fut probablement pas entendue du Grand-Duc, qui s'effondra inconscient sur la banquette. Seul avec lui, Aur eut besoin de toutes les forces de ses presque quatorze ans pour empêcher le corps de choir sur le plancher et pour l'installer de côté afin d'éviter qu'il ne s'étouffe. Quand ils furent enfin parvenus au château et que la porte du carrosse fut ouverte par un laquais, le pauvre garçon avait les muscles des bras tétanisés à force de retenir le lourd gabarit grand-ducal.

On le délivra très vite : une civière avait été amenée sur le parvis du château lorsque les cris d'alarme avaient devancé l'équipage. Equemont fut porté à l'intérieur et Aur le suivit dans la chambre. Là, il tira une chaise près du lit et pressa l'entourage qui s'agitait de faire entrer les médecins... la vie du Grand-Duc était entre leurs mains. Lui, il était impuissant.

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Veneny
Ça commençait à devenir le grand bordel dans la Cathédrale, les gens n'osaient pas bouger ou alors se bousculaient entre eux. Les appels des gardes ou des personnes qui tentaient de les faire sortir se perdaient dans le brouhaha de panique. Le Grand-Duc étant parti, il monta dans l'énorme Chaire qui était logiquement bien en hauteur. De la, on pouvait voir absolument tout dans la Cathédrale. Forçant sur sa gorge toujours douloureuse, il haussa le ton pour se faire entendre.

Mes enfants, nous vous prions de sortir de cette humble Cathédrale en silence et dans le calme. L'agitation ne sert à rien. N'oubliez point que le Très-Haut nous protège et guide nos pas de Sa Grâce et de Sa Bénédiction.

Sa voix résonnait dans l'édifice, surplombant le reste. Il a une voix qui porte le Ven ! "Et magnez-vous le derche !", il se retint de le dire mais le pensa très fort. Restez dans la Demeure du Seigneur ne servait rien, surtout si c'était pour faire semblant d'être choqué alors que certains s'en foutait pas mal du nouveau Grand-Duc.
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Alix_ann
Alix ne bouge pas d'un iota. Elle observe, tirant une gueule aussi peu expressive que possible, Dana s'en allé, suivit d'Amarante. Elle n'entend pas la question d'Amarante ni ne remarque immédiatement que celle-ci lui parle. Elle remarque, quelques secondes après, son regard insistant, cherchant comme une réponse à une question qu'elle n'avait pas entendu.

Non... non. Que répondre d'autre puisqu'elle ne savait même pas ce qui lui été demandé? Merci. Et elle lui sourit doucement.

Elle est affligée non pas par la scène, mais pas son inefficacité. Tout le long durant, Alix a trouvé son comportement abject. Alors que certains courent, que d'autres crient, Alix est resté planté là, se contentant simplement de vérifier d'un coup d'oeil que les êtres qui lui étaient cher tenaient le coup.
Alix ne le sait pas tout à fait mais elle est triste. Triste de ne servir à rien, de n'être d'aucune n'aide, d'aucun réconfort, d'avoir aucun mot pour apaiser la situation, ses amis. Et peut-être encore plus que finalement, on n'attende pas ce genre d'aide de sa part, puisqu'elle en était incapable.

Elle regarde donc son amie d'enfance, qui lui semblait aujourd'hui si lointaine et différente d'elle, s'en allé avec Amarante qui, contrairement à Alix, avait tout ce qu'il fallait pour épauler Dana dans cette épreuve.

Alix garde une expression crispée, presque frustrée.

Quand soudain une Princesse déboule à toute vitesse, jusqu'à la sortie.

Elle reconnaît la jeune brune. Alix ne réfléchit pas davantage, elle na aucune envie de rester ici elle non plus.


Maryane ! Attends-moi !

Et elle se met à trottiner derrière. Avec Maryane, pas besoin de mot, de larmes. D'elle, elle n'attendrait jamais d'aide ou de réconfort. Leur amitié pourrait tout aussi bien se résumer à des après-midis, les sourcils froncés, passés dans le silence et ce pour le plus grand bonheur des deux demoiselles.

Avec Maryane elle se sentira moins bizarre.

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Annesolenn_wolback
Une voix venu du ciel, que nul n'entendit à part Equemont, avait dû ordonner:' Lève-toi et marche". On le crut mourant, mais il se leva.

Anne, médusée, regarda le Grand Duc sortir sur le parvis de la cathédrale, raide et majestueux, monter dans son carrosse et disparaître, emporté par le galop puissant des quatre chevaux.

Et il avait tout prévu, même nommé le régent avant de partir, au cas où lui-même quitterait ce monde.

Le désordre régnait toujours dans la cathédrale. Anne, qui était toujours près des deux médecins, s'adressa à la chancelière du Béarn, en élevant la voix pour essayer de se faire entendre malgré le tumulte.


Excellence, je pense que nous ferions mieux de sortir. Nous n'avons plus rien à faire ici.
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Melian.de.ventoux
Melian avait assistée, sidérée, au départ du Royal patient sans rien pouvoir faire pour l'aider. Son Excellence s'approcha alors d'elle, et elle lui répondit, inquiète.

Ne devrait-on pas le suivre ? A moins qu'il y ait d'autres médecins là où il va ?


Non pas qu'elle ait le moindre doute sur les médecins Bretons, bien au contraire. Mais c'était la première fois qu'on lui fait un coup pareil il faut dire, et du coup elle était passablement perdue.
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Mael.de.kerdraon
Bien sur que nous allons le suivre !

Enfin, si vous le voulez bien votre excellence.


D'un signe de tête a Aby je lui fit comprendre de porter tout le matériel médical dans la voiture la plus proche que je montrais de la main a mon nouveau binôme, qui a n'en pas douter était dans le même désarois que moi face a la situation pour le moins ubuesque.

Aussitôt installé la voiture se mit en branle a la suite de celle du Grand Duc.


Nan mais je vous jure ! j'aurais mieux fait de m'occuper des chèvres de Patate !
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Roxane.
Mon regard s'était tourné vers lui. Il s'était relevé pour reprendre sa marche.
Il n'était plus le même. Cet homme que j'avais connu sur une plage à Tréguier fièrement chevauchant sur son destrier, lui que j'avais croisé au conseil moultes fois puis quelques fois à Vannes.
Non il n'avait pas cette fière allure. Il était peu souple, cristallisé dans sa démarche et quitta les lieux avec des yeux inexpressifs

Veneny prenait alors la parole pour calmer la foule et annoncer la fin du sacre.
Certains se mettaient à prier, la majorité reprenait le calme.
Mais il y avait une touille dans le potage. Le Grand Duc n'était pas bien.

C'est alors que nous n'avions pas à nous parler, d'un simple échange de regard entre mère et fille, nous sortions. Il ne restait plus qu'à espérer ...

Sacré sacre !

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"Mon bras et mon âme sont à toi"
Annaell
Annaell rassura sa fille sur son propre état de santé, bien qu'elle se fichât bien d'être blessée elle-même, ce ne serait pas la première fois de sa vie. Le sacre s'achevait d'une manière étrange, il avait quasiment tourné court bien que le Grand-Duc eût été couronné comme il le fallait. Il ne restait plus qu'à prier pour son salut... et surtout, à faire venir les meilleurs médicastres.

Accompagnée de Roxane, Ann sortit retrouver l'air plus libre du dehors. Elles pourraient trouver un endroit plus adapté pour discuter...

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    "Ma wrec'h ha ma ene zo evidout.... Mon bras et mon âme sont à toi."
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