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[ RP] La Caverne des poèmes

Franck0312



Franck se promenait dans les ruelles, repensant à sa naissance à Angers.
Les souvenirs lui revenaient, et nonchalant il continuait sa promenade lorsqu'il passa devant une bien belle demeure qui se nommait :
" LA CAVERNE DES POEMES "

Quel nom étrange, pourquoi une caverne pour des poèmes, que cela signifiait-il ?
Envahi par la curiosité, il décida d'y entrer et ses yeux s'éblouirent devant ces longs murs où l'on pouvait lire sur un magnifique panneau dont la décoration avait été signée par Dame Sadnezz :

ICI DEPOSEZ VOS POEMES

Franck s'assit, réfléchit, et, toujours dans ses pensées, sa naissance à Angers.
Soudain, il décide d'écrire un poème afin de le déposer et ainsi de laisser trace auprès des Andegaves de sa naissance parmi eux.
Il décide aussi de dédier ce poème à Dame Sadnezz qui venait longuement d'écouter sa tourmente.
Il sort sa plume et sur le bureau prend un parchemin.
Sa plume va et vient d'une ligne à l'autre et enfin le poème apparaît.
Il le relit et le dépose sur le mur dans un des cadres prévus à cet effet.


LE VOILIER A SOMBRE

Nous ne baguenauderons pas sur la plage du Touquet,
Toi et moi, nos corps entrelacés : mon bonheur s'est éffacé.
Ainsi, toi ma délectable fée,
En ce jour de janvier, tu en as décidé.

Le cyclone à chaviré ce voilier que j'étais,
Les vieilles voiles étaient déchirées.
Au large de la détresse, j'ai pu rattraper
Une modique barque afin de ne pas me noyer.

Toi, Aristote que j'ai souvent vilipendé,
Ne vois-tu pas à quel point je suis harassé.
Dans ta miséricordieuse bonté,
Concéde moi un peu de ta force pour naviguer.

Les tempêtes, cyclones, ouragans, je veux les défier.
A travers ces souffrances je veux me régénérer.
Le grand voilier a sombré m'entraînant dans l'obscurité.
Mais dans un ultime combat à la barque j'ai pu m'accrocher.

Perdu au milieu de cette immensité,
Je me laisse guider par les vents et marées.
Mon corps et mon esprit, asséchés par les éléments déchînés,
Sont venus s'échouer sur la plage d'Angers.

Franck
Meiline
Meiline était Bretonne, elle aimait écrire..
Elle déposa son ecrit longuement murit depuis l'aube à Angers, elle et sa famille reprenait la route ce soir, elle avait hâte..




Je veux me jeter dans les flammes de ta passion
Non dans le gouffre de mes doutes
Sois mon lieu de végétation
Et j'y dessinerai notre route

Sème tes rêves dans mon être
Cultive en moi la bonne graine
Apprend nous à joliment renaître
Dans nos sourires et dans nos veines

Pacte de sang, pacte d'amour
Oublies le venin de la jalousie
Plonge dans mon coeur qui te dit
Je t'aime un peu plus chaque jour...

A toi..

_________________
Sadnezz
Sad passait par là, le chaperon accueillant ses longs cheveux dans la brise du soir . Son regard fut attiré par la porte de la demeure toujours ouverte, de laquelle on pouvait apercevoir un message sur le mur interieur. Elle entra et sourit a la vue d'un poème signé Franck. Elle prit la plume qui était la posée pour accueillir les mains les plus créatives et elle se souvint d'un poème qu'elle eut écrit jadis. Elle rassembla ses souvenirs et griffonna..




AIMER CE QUE L'ON DETESTE, DETESTER CE QUE L'ON AIME

Tu en parcourras des mers sombres et froides
D'aventures en aventures tu erreras
Peut-être même d'une autre tu tomberas malade
Pris dans ses filets les miens tu oublieras

Puis-je paraitre austère et silencieuse
Comme le coeur d'une vieille cathédrale
Je n'en reste pas moins doucement malheureuse
De faire toujours les choix qui font mal

Ne dit-on pas : ce que femme veut dieu le veut
Parfois ce que l'on ne peut voir pourtant existe
Comme le vent qui souffle dans tes cheveux
Et sèche les larmes de tes yeux tristes

Un abîme beant à la place du coeur
J'avançais de deceptions en deceptions
Depuis ta simple presence me fait peur
C'est la fuite qui m'apelle, au fond.

Sadnezz


Elle le plaça près de celui de Franck et fila sans trainer, sous le soleil qui se couchait doucement...
_________________
Isabellelagrande
Isabelle a vu rentrer et ressortir peu après trois personnes de la belle demeure de pierre « la Caverne des poèmes »Deux qu’elle connaissait, la charmante et serviable tavernière Dame Sadnezz et le fringuant et romantique Franck.

La curiosité fut la plus forte, elle pousse la porte de bois sculptée, se faufile en silence à pas de loup dans la vaste pièce éclairée par des torchères qui donne une lueur dorée aux murs recouverts de tapisseries.

Sur des tableaux prévus à cet effet sont accrochés trois parchemins, elle tend le bras, ses longs doigts effleurent délicatement le peau, doucement elle caresse les lettres qui se suivent , s’entrelacent et font des mots, des phrases, toutes plus belles les unes que les autres.
Des mots de tempêtes des mots de naufrages,de voyages, des mots doux des mots d’amour des mots passion .

Elle a tout lu, assise sur un tabouret accoudée à la grande table de bois, un sourire, elle écarte une mèche de cheveux sortie de son bonnet de dentelle, ses yeux sont brillants, oui les mots quand ils sont beaux ,font perler quelques larmes au bord de ses longs cils. Elle se redresse , remet en place les trois parchemins.

Isabelle se dirige vers la sortie, dehors la nuit est déjà tombée, elle est restée longtemps. Frileusement elle resserre le châle posé sur ses épaules et presse le pas pour rentrer dans sa masure. Un jappement joyeux, un petit chien la suit, elle s’arrête, le caresse.
« Tu es seul toi aussi ? Oui, viens suis moi, on partagera la soupe, et si tu veux tu pourras rester ! »Elle pense que jamais ne doivent venir les mots tristesse, les mots désespoirs, les mots noirs ?
{La_tigresse}
Encore un sujet balisé par le censeur...
Franck0312


franck se promenait en réfléchissant aux élections à venir. il pensait à cat son ami et il voulait l'aider.
alors il ouvre la porte de la caverne des poèmes et il s'assit.
il réfléchit comment aider son ami, et il se dit qu'un poème qui permettrait de faire un peu réfléchir sur la philosophie du pouvoir serait le bienvenu.
et, comme une lumière l'idée lui vient un homme ou une femme en face de son miroir.
Il se dirige vers le bureau, prend un parchemin, sort sa plume et se met à écrire ligne après ligne.
Enfin fini et après lecture il pense que cela permettra une reflexion et il le dépose à côté de celui de sad qu'il a apprécié.

LUI ET MOI

Lorsque je le vois lui, je me vois moi
Dans ce miroir qui luit, face à mon désarroi.
Mon coeur affaiblit se demande pourquoi
Il n'a compris de la vie que l'apparence du Moi.

Le revoila lui, heureux de mon émoi
Se glorifiant aussi qu'il ne serait jamais moi
Car sur son piedestal assis, il est mon sur-moi.
Et dans ce miroir maudit, toujours je me vois.

Le bousculant, lui pour moi devenir roi
Méprisant autrui au seul son de ma voix.
Oui, moi aussi je suis devenu roi,
Du royaume du gâchis, composé uniquement de moi.

Aujourd'hui j'ai compris que pour devenir roi,
Dans la plénitude de la vie, il n'y avait pas que ma voix.
Ce miroir que j'ai tant maudit, aujourd'hui me renvoie
Non pas l'image de lui, mais l'image de moi.

Merci miroir ami, d'avoir fait comprendre à qui se croyait roi
Que même sans lui le monde poursuit sa voie

Franck

que l'on y réfléchisse
Marmi
Marmi eu envie d'écrire un poème. Elle prit sa plume et un parchemin et griffone ce qui lui vient à l'esprit.


Si on pouvait lire ce qui trotte dans la tête
Je crois que vous partiriez à des kilomètres

Quand je la vois avec sa forme si appétissante
J'en suis toute bringuebalante
Je la regarde bouche bée
Au point d'en baver

Elle est depuis toujours ma preferée
Crue cuite voir meme marinée
A toutes les sauces elle fond en bouche
C'est quand meme mieux que de gober des mouches

Nous t' aimons petite côtelette
Mais quand tu es dans notre assiette

_________________
Clement_bourreau
inspiré par tant de poésie clement s'y essaya à son tour, mais un bourreau qui fait des vers.....

ode à la victime

Oh toi mon supplicier,
toi que j'ai torturé!
toi le bel écorché,
que j'ai cisaillé!

laisse moi de dire ces quelques vers,
avant que tu n'ailles nourrir la terre!

toi qui t'es mis à crier,
en sentant ta chair bruler!
moi qui t'es étranglé,
avant de te découper!

laisse moi de dire ces quelques vers,
avant que tu n'ailles nourrir la terre!

avant que le soleil ce lève,
c'est ta potence que j'élève!
quand ma hache tombe,
et que tu rejoins la tombe!


évidement, il ne fallait pas s'attendre à autre chose.....on est bourreau ou on l'est pas!
_________________
Temaile
Ravie d'y trouver un tel endroit, l'inspiration du moment la poussa à y laisser quelques mots.

Nuage a glissé sur la brume;
Son duvet était noir de pleurs
Pierrot a craint qu'il n'eût un rhume
Et qu'aux étoiles il ne fît peur.

Tout doux! Pourquoi tant de grisaille?
C'est l'heure où les terriens font trêve;
Ils n'ont que faire de ta mitraille
Bien avant que l'aube se lève!

Vois! La lune disait ainsi,
Vois ces astres au firmament!
Ils aiment à défier le vent,
A se suspendre à l'infini.

Quand, de la terre, les amoureux
Ferment les yeux et font un vœu,
Ils leurs envoient des étincelles
Et font des nœuds dans leurs cheveux.

Mais si tu pleures, ils ne pourront
Cueillir au ciel tous les serments,
Peut-être même, ils ne verront
Que mauvais présage et tourment.

Nuage ravala ses larmes
Et du croissant s'est approché
En implorant la dame blanche
Que sur son toit vienne jucher.

Au clair de jour, j'ai vu la lune;
Elle embrassait Nuage blanc.
Toute la nuit lui fit hommage
De sa douceur et de ses dunes.
Sadnezz
Sadnezz pensait beaucoup en ce moment... Et plus que jamais elle voyait les choses évoluer, en bien comme en mal, le temps passer. Elle avait passé la nuit dehors, au lac à réfléchir à sa vie et à ses projets, ceux à faire, ceux à défaire... Quelques mots s'étaient échappés et sur un vélin qu'elle accrocha près de ceux des autre elle les déposa.




Comme le temps est avare,
il passe pour un grand bavard
qui chaque jour nous apprend
que n'est acquis que le néant.

comme le temps est obscur
il nous donne le pas sûr
pour avancer avec les ans
sans voir que c'est en boitant

comme le temps est absent
on le sent parfois manquant
les été et les hivers défilent
et nous laissent fébriles

comme le temps fait justice
il à l'oeil sur tous nos vices
un jour se rit de nous voir si cupides
et reprend jusqu'à la dernière ride...

_________________
Franck0312


franck au cours de sa promenade journalière entre dans la caverne et voit les nombreux poèmes qui y ont été déposés.
Il les lit tous et les trouve plus magnifique les uns que les autres.

Il laisse une note sur le bureau : Mes amis je vous remercie de par vos écrits de faire vivre cette caverne. N'hésitez pas à en parler autour de vous et que chacune et chacun y dépose sa sensibilité.
Franck0312


Franck très matinal aujourdh'ui, pense à toutes ces dames qu'il rencontre en taverne, toutes aussi belles et pleine de délicatesse à son encontre, dont le travail reste souvent dans l'ombre au profit de ces sires.

Il décide donc de leur dédier un poème et prenant sa plume, se mit à écrire.

A VOUS DAMES DU ROYAUME

HYMME A L'AMOUR

Que de larmoiements épandus dans le passé !
Pour enfin rencontrer la félicité.
Pourquoi toujours scruter la popularité ?
Alors qu'il est si simple d'exalter.

Oh ! Toi ma délectable fée
Par qui je ne cesse de jurer
Viendras-tu un jour magnifier
Cet amour majestueusement commencé.

Ton sourire ne fait qu'embraser
Le brasier d'amour où je suis enraciné.
Ton corps ne fait qu'enjoliver
Cette sensualité en moi à jamais chevillée.

Amour subliminal auquel je suis amarré,
Moi le voilier errant en quête de sensualité,
A trouvé le havre où il peut aborder
Et près de toi demeurer pour l'éternité.

Merci mon amour de m'avoir alloué
Ce nirvana sans entaille pas toujours mérité.
Notre amour a rencontré l'immortalité
Notre royaume sera celui de la félicité.

Franck

[size=12][color=black]Je dédie ce poème à toutes celles qui voudront s'y reconnaître.
[/color][/size]
Hortensse
Hortensse arriva et écouta le poème de Franck


-Bravo Franck,il est très beau ton poème!
Eloman
Elo ce promenant dans les rue s'arrêta afin d'écouter tout les poètes qui étais la.

C'est vraiment magnifique

Messir franck vous avez eu une for bonne idée d'organiser cela
Temaile
Un petit sourire aux lèvres, elle avait griffonné, gribouillé, barbouillé et farfouillé... Au bout d'un moment... Voilà

Comme une eau de satin, cascade jaillissante
De la mélancolie d’un printemps suranné
Dans les pourpres sillons de l’aube renaissante
Vient se désaltéré au vent de mes pensées

Comme en quête d’ivresse où ma plume s’égare
Où l’écriture danse sur le parchemin froissé
Distillant, dans mes yeux, un étrange regard
D’un poème d’hier qu’on ne peut effacer

Comme le grain de sable, imperceptiblement
Entre les doigts du vent, devient insaisissable
S’écoule, lentement, du sablier du temps
Emportant, pas à pas, mon âme périssable

Comme la goutte d’eau, imperturbablement
Fait couler, en mon cœur, les couleurs de la pluie
Jusqu’à ce que les cieux, irrémédiablement
Délavent, peu à peu, les cernes de mes nuits

Comme une feuille au vent, à l’aurore envolée
Dans les champs de l’hiver où le silence crie
Mon cœur, à petits bruits, s’envient tambouriner
Aux vitres, pianotés par les doigts de la pluie

Comme un ruisseau hanté par des songes funèbres
Lamentable tombeau de l’irréalité
Mon âme partira dans le bleu des ténèbres
Jusqu’à frôler l’oubli avant de s’y noyer

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