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Ça tourne mal ! Crakity pris !

Crakity
Mon pantin est en procés, ce RP est largement ouvert à ceux qui souhaitent jouer avec moi son arrestation, lors de la nuit du 20 au 21 où Crakity a été blessé, puis son procés. Contribution de PJ bourguignons attendue et souhaitée




Nuitée du 20 au 21, aux pieds des remparts de Dijon


Cela tournait mal ! Blessé par un sauvage bourguignon, Crakity essayait de se faire discret et de se rapprocher de ses compagnons. Malheureusement, le chaos de la bataille avait fait céder les rangs. Isolé, blessé, le jeune homme sentait bien que cela allait être chaud pour son fessard. Pour le moment, les bourguignons ne prétaient pas attention à lui. Son bourreau d'assaillant s'était détourné pour affronter d'autre soudards, mais ... Jusqu'à quand allait il passer entre les gouttes?

Entrainé par les vagues d'assaut, il se retrouva près des portes sud de la capitale bourguignonne. L'étendard Fatum s'éloignait, il ne voyait plus l'étendard des Renards. De plus en plus isolé, sa cuisse saignant abondament, le jeune homme vit la nasse se refermer et seconcrétiser en une demi douzaine de soldats bourguignons qui lorgnaient dans sa direction... Ca tournait mal, se dit il encore une fois.

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Fatum non sit necesse
Maud
En sueur après le combat, Maud essuyait sa rapière ensanglantée sur les braies d'un ennemi. Souple et fine . Pas de celles qu'on manie à deux mains. Un bijou pour frapper vite.
S'agirait pas que leur sang de Sans Noms souille l'acier de ma "Toutebelle".
Eh oui! c'était le surnom qu'elle lui avait donné.
Passant sa main gantée pour éponger son front, c'était le moment des râles et du ramassage de blessés avant de refermer les portes .

On prend nos blessés et on les ramène à l'intérieur.
Un coup d'oeil abaissé pour se mettre à portée de la taille de l'altessounette. Debout et en forme
Altesse royale, ne vous attardez pas! Rentrez s'il vous plait! Vous me direz après où vous avez frappé!
Avec un sourire carnassier, maud se dit que la duchesse était pile poil à hauteur pour les jarrets et ce qu'on appelait les précieuses.
Elle allait rentrer pour l'escorter quand


Là!

Montrant de son épée un homme blessé mais qui semblait chercher à s'enfuir
On le capture! Et on le ramène! C'est de la chair à rançon ça ou à potence! Et j'ai un quota de phalanges à contenter !
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Poucelyna
Derrière les soldats bourguignons, se trouvait la petite duchesse qui se tenait bien droite sur son deux-marche et qui arborait un chignon improbable afin de la faire paraître plus grande. Elle donnait des ordres à ses soldats et au procureur.

Il y en a un par ici !!! et un autre par-là...attention celui-là il pisse le sang! S'il tâche ma robe, achevez-le!

Ahhhh...mais faites attention enfin, il y en a un qui vient de s'enfuir le bras en sang pour remonter dans une armée!!

C'est quand même pas croyable ça! je l'ai dit, dès qu'il y a un homme qui tombe, on le met en procès, on le laisse brailler, puis on le pend par la peau des bourses! ça lui fera passer l'envie de recommencer.

Si c'est une femme, pareil, sauf qu'on la tond comme une brebis....hein, quoi ? monsieur le Juge? Une fessée cul-nul? va pour la fessée cul- nu.


La jeune fille secoua la tête en se demandant ce qu'ils avaient tous avec les fessées ces temps-ci. Elle crut reconnaitre parmi les blessés celui qui aspergeait les envahisseurs d'un liquide.

Oh la la!! attrapez-le!!

Se rapprochant de Crakity, elle le détailla de près et prit la parole.

Bonjour mon brave. Hé bien! On ne vous a pas raté à vous dites donc!

Vous rendez-vous compte du mal que vous faites?

Vous avez le droit de garder le silence. Ou d'implorer mon indulgence.

Vous pouvez me flatter aussi, je crois que j'aimerai bien ça, et on me fait rarement des compliments.


Continuant de scruter Crakity, elle essaya de voir ce qu'il avait sur lui.

C'est vous qui palsmodiez un trucs à vos vilains amis? vous leur jettiez quoi dessus? un mauvais sort'

Car elle était tout de même curieuse. Elle entendit Maud lui parler et se rapprocher aussi.


Vicomtesse Maud! commencez pas à faire votre rabat-joie et votre chaperon!! je suis grande à présent et j'ai pas envie de rentrer. On s'amuse bien ici d'ailleurs. Pas vrai?

La peste osa poser la dernière question à Crakity.
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Frim
Frim en avait fini avec d'autres, et elle se reposa sur son épée, pointe au sol. Elle regarda le champ de bataille et son regard se posa sur une scène étonnante. Elle s'approcha puis écouta, et son sang fit qu'un tour.

Mais non de Djiou, un ennemi, c'est mort, pas pris, et surtout pas vivant. Depuis quand vous faites des prisonniers. Décapitez le , on passe à autre chose, et puis, ça limite les argumentations oiseuses. On se casse pas le derrière pour en plus faire des prisonniers qu'on doit alimenter alors que plein d'autres crèvent la dâle. Vous voyez pas ? il est blessé, Achevez le !

La vermine, ça s'élimine à la base, pas en les écoutant déblatérer.

Ou vous osez pas ? je m'en occupe moi !


Son épée n'était pas au fourreau, seulement pleine de sang , et elle en redemandait. Mais elle la planta en terre, et sortit sa lame courbée, venue tout droit d'un séjour peu pacifique en turquie.

Vous permettez que je commence par les oreilles ?

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Crakity
Cela se confirmait. Cela allait mal tourner. Non au présent, cela tourne mal. C'est un fait. Claudiquant, il 'avait pu s'enfuir à temps. Loin de lui les compagnons ne le virent pas. Crakity ne leur en voulait pas. Il avait été mauvais. La cause au manque d'entrainement. Des années qu'il n'avait pas pris les armes et voilà. Esseulé, le regard aux abois, il avait perdu son air hautain et provocateur. Cela allait être sa fête. Les bourguignons n'avaient pas la réputation d'être tendre avec leurs ennemis. Deux femmes et une enfant -une enfant! Avait on idée d'élever sa progéniture une épée à la main - étaient non loin du vaurien.

Se collant au mur d'enceinte, il pensa passer inaperçu. Cela allait fonctionner quand une des deux femmes, nettoya son épée nonchalamment, se tourna d'un coup en poussant un là retentissant.

Elle avait avant parlé à la jeune fille en la nommant "altesse royale". Craity fronça les sourcils. Altesse royale...? Le temps de réaliser, des épées le tenaient en respect.

La jeune fille l'apostropha. Le jeune homme la trouva mignonne. C'était donc elle, la duchesse de Bourgogne. Il l'observa pendant qu'elle lui parlait. Rapidement, Crakity s'aperçut que des soldats n'étaient pas loin. La suite de la duchesse ou sa garde personnelle. Quoiqu'il en soit, évaluant en un clin d'oeil ses chances de s'échapper, il y renonça immédiatement. Rien ne servait d'essayer. Il serait transpercé bien rapidement, même si il en tuait une.

Il jeta son épée et poussa un soupir puis reporta son attention sur la jeune fille. Elle n'était pas vieille. Une pré-adolescente certainement. On devinait les traits de la future femme qu'elle deviendrait. La première impression de Crakity se dissipa. Elle n'était pas "mignonne". Son regard était celui des régnants. Jeune ou pas, cette fille était une main de fer dans un gant de velours. Dans quelques années, elle serait belle.

Ignorant les premières, il répondit à la dernière question provocatrice de la duchesse, notant au passage que la femme qui l'avait repéré était une vicomtesse et se nommait Maud.


Citation:
On s'amuse bien ici d'ailleurs. Pas vrai?


Cette question étira les lèvres de Crakity en un sourire. Un sourire charmeur, malgrè la situation, il ne s'en départissait pas :

En effet, Votre Altesse Royale, on s'amuse bien.

Une tâche vermeille inondait maintenant sa cuisse blessée. Le sourire de Crakity ne laissait rien paraitre de son désarroi.

La troisème femme s'intéressa à la conversation. Elle ressemblait à une mercenaire et son discours fit frémir Crakity. Là, cela tournait vraiment, vraiment mal....


Citation:
Mais non de Djiou, un ennemi, c'est mort, pas pris, et surtout pas vivant. Depuis quand vous faites des prisonniers. Décapitez le , on passe à autre chose, et puis, ça limite les argumentations oiseuses. On se casse pas le derrière pour en plus faire des prisonniers qu'on doit alimenter alors que plein d'autres crèvent la dâle. Vous voyez pas ? il est blessé, Achevez le !

La vermine, ça s'élimine à la base, pas en les écoutant déblatérer.

Ou vous osez pas ? je m'en occupe moi !

Vous permettez que je commence par les oreilles ?


Et la femme de joindre le geste à la parole en sortant une dague à la lame courbe.

Woh! Woh! Woh!! Je me rends! Je suis désarmé et Apôtre Fatum, un genre de haut dignitaire, vous n'allez pas me tuer? Non? Sans déconner... Vous n'êtes pas censé être civilisés, vous les bourguignons?

Il lança un regard quelque peu désespéré à la duchesse :

Je ne mange pas beaucoup en plus......

On était mal, on était très mal...
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Fatum non sit necesse
Atchoumeuh
Atcha' se battait. Non 'fin pas vraiment, ce soir-là il était à l'arrière : il risquait de gagner la bataille à lui tout seul sinon, et ça n'aurait pas été drôle pour les autres ! En effet, tous les brigands voulaient leur part de danger, de coups d'épée et de sang ...

Aussi, lorsque les premiers coups d'épée se firent entendre dans la nuit, Atchou' était aussi peu exposé que ne l'étaient les coffres de la mairie ! Mais le brigand, lui était mobile, et avait reçu la tâche d'évacuer les blessés.

Les premières minutes semblaient interminables, entendre le fracas des armes sans pouvoir y prendre part : il devait se concentrer sur son rôle, et surtout éviter le combat ! De toute façon, le brigand avait délaissé son bouclier, seule son épée pendait à sa ceinture désormais.

Puis, un combattant tomba à terre non loin. Se glissant dans la nuit, Atchou' l'atteignit et, après un bref coup d'oeil pour s'assurer qu'aucun ennemi ne lui sautait dessus, saisit le blessé par les épaules et le traîna en direction du camp Fatum.
Atcha' n'avait pas pris une seconde pour voir de qui il s'agissait : un Fatum ? Un Renard ? Pas un bourguignon en tout cas, et c'était ce qui comptait. Eloigné des combats, Atchoumeuh reçut l'aide de deux autres compagnons et, ensemble, portèrent le blessé dans le campement. Puis, laissant ce dernier entre de bonnes mains, MiTchou repartit sur la plaine.

Un bon moment se passa ainsi : le brigand évacuait un camarade blessé, puis revenait se charger d'un autre .... Les heures passaient, lorsque Atchou' vit une silhouette boiter vers lui, tout en se trouvant dans les rangs bourguignons : un royalo, bien que salement amoché, encore désireux de se battre ? Drôle d'idée ... En même temps, personne n'avait dit que les royalos étaient intelligents, si ?

Atcha' détourna donc son regard et partit dans une autre direction, aidant d'autres blessés alors que la bataille se terminait ...
Maud
On s'amuse bien ici d'ailleurs. Pas vrai?
rududju, comme parfois elle était agaçante l'altesse, et en plissant les yeux

Mais oui mais oui, altesse royale et je ne vous dis pas comme les archers ennemis pourraient s'amuser à vous prendre pour cible !

Et pour l'amadouer et se retenant de rire en entendant Frim:

Que diriez-vous de continuer l'amusement à l'intérieur? Hum.. même si comme notre chère amie, je lui couperai volontiers les oreilles à cet apôtre ou la langue après lui avoir soutiré toutes les informations possibles.

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Poucelyna
Etait horrifiée par les paroles de Frim qui voulait tuer tous le monde de suite.

Ça va pas la tête? Pourquoi vouloir les tuer maintenant alors qu'on pourrait les torturer avant...et leur faire expier leurs péchés par la même occasion? ils avoueront même ce qu'ils n'ont pas fait.

On peut les faire hurler et ouvrir grand les fenêtres afin que leurs petits copains les entendent.

La mort viendra après, mais laissons leur le temps de se défendre, rodidju! Vous êtes des sauvages en Provence!


La jeune duchesse n'était pas au bout de ses surprises quand elle entendit Maud.

Encore un curé? Regarda bien Crakity. C'est quoi votre nom à vous? Rome va m'entendre en tout cas!!

Remarqua qu'un brigand s' enfuyait à toutes jambes après avoir évacué plusieurs blessés.

Ahhhhh! certains s'en sont sortis! On les aura à la prochaine attaque. Ils tomberont tous de toutes façons.
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Crakity
Oulalala, voilà que ça causait tourment, torture et mort. Stoïc, Crakity adressa son visage le plus impassible à la duchesse. Il n'y avait pas trente six solutions, plutôt une seule et dernière carte à jouer, ignorant la vicontesse et la mercenaire sanguinaire, il s'adressa à la duchesse :

Ma fill... Votre Altesse Royale, je suis en effet curé. Mes paroissiens sont les fribourgeois. Me torturer ne servirait à rien. Je ne révèlerai rien.

Le jeune homme lui sourit en se retenant de lui ébouriffer les cheveux, puis poursuivit :

Des bourguignons sont tombés, blessés, certainement capturés par mes Compagnons. Si je puis me permettre, vous devriez monnayer la libération de vos sujets contre moi.

Alea jacta est.

Une lueur ironique illumina son regard quand il poursuivit :

Les miens sont pires que les vôtres, m'est avis. En effet, nous ne sommes que des brigands, des vauriens pour qui la vie de ceux qui ne sont pas des notres ne vaut pas grand chose. Je me permets donc, Votre Altesse, de vous conseiller de réfléchir aux conséquences des actes que vous perpétreriez à l'encontre de ma personne.
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Fatum non sit necesse
Frim
Regarde les uns et les autres, dubitative et fait la moue

Mais euhhhhh !!!!!!!!!!

Couper les oreilles, ça n'enlève pas l'ouie, parait même que ça l'affine. Puis, après, le nez, bon pour les bronches, pis ... les yeux. Oui, là, je vois pas trop... Enfin, il pourra toujours parler et entendre, alors quoi ?

Quand on aura fait ça, on pourra démarrer la torture, non ? Puis ensuite, quand il aura vendu même des êtres chers qu'il n'a jamais connu, je l'étripe, pour faire bonne mesure.


Regarde Poucelyna puis Maud, suppliante.


Allez, s'iou plait ! J'vous promets, ça va faire mal et il va crier comme un goret.


Repose son regard sur l'affreux. Bon, ben, il était presque mignon. Dommage. Elle retourne le manche dans sa paume pour avoir la lame vers le bas.
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Poucelyna
La jeune duchesse ne savait plus trop à quel saint se vouer et ne savait quelle décision prendre. Le curé lui semblait sympathique et elle n'avait pas plus envie que ça de le renvoyer chez les sauvages.

Mon Père, je vais voir ce qu'il convient de faire et vais demander l'avis de mes douces amies qui sont près de moi.

Elle se tourna vers la moins douce des deux qui l'enjoignait à tourmenter davantage les prisonniers.

Il est curé, Comtesse Frim. On ne doit pas trop trop l'abimer si on ne veut pas avoir les autorités romaines sur le dos. Puis il peut servir si nous avons des mariages à célébrer.

S'adressant aussi à Maud.

Conseillez moi aussi, vicomtesse. Que fait-on de lui? Doit-on faire un échange de prisonniers?
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Frim
Frim était pas comtesse, et en France, rien du tout, mais bref.

Alex a été défroqué en deux temps trois mouvements, alors lui, ça devrait pas mettre des jours.

Donc, on commence, et puis, on verra bien ce qu'il advient, non ?

Faites le parler, c'est quand même la base. Qu'il crie sa mère ! Et puis vous en savez quoi qu'il est curé ? Je vous dis que je suis le pape, vous me croyez ? et pourtant, j'ai longtemps vécu à Avignon.


Non mais, depuis quand la Bourgogne faisait dans le pathétique ?
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Maud
Et maud n'aimait pas du tout la tournure que prenait cette rencontre
Altesse royale, celui qui se dit curé est en train de vous menacer et de vous faire chanter , vous Duchesse de bourgogne! C'est le sang qui s'écoule de sa cuisse qui lui fait perdre la raison? Il doit être bien aux abois pour inventer que l'un d'entre nous serait en leurs mains.

Non mais oh!
Je le garderais en vie Altesse royale dans une de nos geôles, le temps que nous leur mettions la pâtée. Pas besoin de tribunal. Mais je laisserai la comtesse Frim lui trancher les phalanges de la main gauche avant. Après tout, il pourra continuer à bénir de la main droite si il est vraiment curé et droitier...

Pratique et sans état d'âme là Maud:
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Crakity
Crakity ne moufta pas pendant le conciliabule qui occupait les trois jeunes femmes. Il lança un regard à la duchesse et soupira.

Sommes nous, Votre Altesse Royale, obligés d'en arriver à de telles extrémités ? J'ai rendu mon arme, mon bouclier est brisé et je saigne abondament, est ce nécessaire, en plus de me couper les phalanges de la main gauche?

Crakity lança un regad peu amène en direction de la vicomtesse et de la mercenaire.

D'autant que, je dois bien vous l'avouer, je masse divinement bien les pieds. Comment pourrai je exercer mon talent, avec cinq doigts en moins? Hein? En plus, si vous réfléchissez bien, cela ne m'empéchera pas de tenir une arme à l'avenir ou alors....

Se rendant compte de la stupidité de ses propos, Crakity se tut. Il entandait dans le lointain les ordres criés par les officiers de l'armée bourguignonne et ceux des capitaines des armées brigandes. Quelle erreur de ne pas avoir tenté de fuir, Crakity s'en mordait les doigts... Pour le moins tant qu'il en avait encore.
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Fatum non sit necesse
Maud
ben voyons... Ah mais elle les connaissait sur le bout des doigts , ah ah ah! ..
Et bon, l'altesounette avait beau être duchesse de bourgogne, la racaille et la vermine, elle était pas aussi expérimentée qu'elle et Frim....

Elle fit donc le tour de l'homme et lui appliquant le bout de son épée dans le dos
Eh bien, tu pourras masser tes congénères dans les geôles du château en attendant. Les rats vont adorer tes gratouillis sur leur ventre bien dodu du sang de tes camarades! On va voir si on ne leur donnerait pas une de tes phalanges pour les mettre en appétit tiens!
Et à Frim:
Tu veux bien t'occuper de son altesse royale et la mettre à l'abri pendant que je conduis cet individu dans les appartements réservés rien que pour lui
Et à Poucelyna, d'un ton qui ne souffrait pas de réplique et même..
Altesse royale, vous allez suivre Frim et sans discussion cette fois-ci! Parce que toute duchesse ou altesse que vous êtes, je vous fesserai cul tout nul si vous ne m'obéissez pas .
Nous sommes là pour vous protéger , même de vos caprices!

Et zou! Nan mais c'est vrai! on allait pas y passer pâques quand même!
Tout le monde à l'intérieur des remparts.
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