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Info:
Mieux que la banquise, la salle du Trône, de quoi s'éclater en toute intimité.

Allégeance en folie, oups ça glisse ! - Act I

Melissandre_malemort
Ce jour, Alvira portrait haut les couleurs de la royauté face aux félons et aux traitres.

Postée à l'entrée de la salle du Trône, Mélissandre attendit sagement l'arrivée d'Helena, en charge de la cérémonie.

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Alvira
    De la Touraine à Paris, il n'y a qu'un pas. Peut-être deux quand il pleut !


La Touraine se réveillait sans Alvira ce matin là. Au soir, elle n'avait pu s'empêcher de rester pour donner les dernières consignes et débattre encore de quelques sujets avec ses conseillers. Route avait été faite pour prendre une chambre dans un bon Hôtel de la ville. Et c'est dans le silence feutré de la pièce, que la jeune femme prenait un bain délassant, bercé par la douceur du savon d'alep sur sa peau qu'elle enduisait d'une mousse légère et fine. La fin de cet instant d'intimité fut clôturé par le dépot d'huile de rose derrière sa nuque, et ses poignets, les quelques onguents corporels permirent à la brune d'être fraiche et dispo. Bien des choses lui passaient en tête. Dès le lendemain elle se rendrait au Louvre. Une première, où bien des choses l'y avait poussé. plus encore la confiance des Tourangeaux méritait de ne point être déçue, plus encore de ses désormais Conseillers qui travaillaient à la Paix et l'avancée des Jardins de France. C'était là un point d'honneur qu'elle se mettait à le faire, à charge d'âmes plus encore, dans la nouveauté de la charge qu'elle embrassait depuis quelques jours.

Au matin, ce fut une robe bien particulière que Tempérance étala sur la lit. Celui d'un mariage qui n'avait jamais eu lieu, une création unique de sa soeur, qu'elle avait gardé. Valéryane avait eu bien mal au coeur pour Alvira et l'avait questionné pour connaitre ce qu'adviendrait de ce cadeau d'un jour heureux. Ce fut là, dans la confidence d'une chambre familiale d'Armagnac et Comminges, que promesse avait été faite. Le jour d'un serment à la Couronne, la benjamine porterait les étoffes, broderies, et dentelles, comme un pied de nez à la malédiction Duranxienne que les femmes subissaient les unes après les autres dans cette branche de fou. Et il était arrivé plus d'un an et demi après. Autant dire que c'était avec intention et implication qu'elle irait ployer le genou devant la Reyne de France pour une cause qui n'était pas la moindre. Loin s'en fallait.


    Au Louvre




Arrivée sur le parvis, l'immensité qu'elle connaissait déjà pour travailler non loin dans plusieurs Offices Royaux, la jeune femme prit la direction d'un lieu qu'elle n'avait pas contre rarement parcourut. Les gardes Royaux jalonnait les alentours, Alvira aurait pu les compter peut-être par poignée, ou était-ce un regard tronqué qu'elle avait ce jour-là, en tout cas, une fois à l'entrée de la salle, la Régente perçoit la présence féminine de Mélissandre.

Le bonjour votre Altesse Royale.
Heureuse de vous revoir ici-lieu, où je ne pourrais d'ailleurs, que vous croiser.


Un fin sourire s'étira, le passage obligé se faisait avec le Premier Huissier Royale, puis elle ajouta liant ses iris à celles de son interlocutrice.

Alvira de Silly de la Duranxie, Vicomtesse d'Ecotay, Baronne de Brassenx, de La Rochefoucauld, et de La Rochandry, Dame de Carcarès Sainte-Croix et d'Estampes-le-Sceau, pour la Touraine.

Quizz Royal ouais j'ai le droit ! Et le prochain tour je donne ma langue au chaaaat !
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Helena_plantagenet
    Postée devant les portes de la salle du trône j'attends le feu vert du Premier Huissier de France, un fois que Mélissandre sort de cette dernière je lui souris tout était donc prêt. Même pas le temps de dire ouf ou bonjour que la nouvelle régente est là. J'étais pourtant pas si petite maintenant mais j'étais invisible pour madame Alvira. Je laisse ma petite moue triste apparaitre même pas ma chef me voit devant elle le comble n'est ce pas! J'attends ou je me lance?

    Bonjour ch..... Monseigneur Alvira de Silly de la Duranxie, je m'appelle Héléna Plantagenêt Bonnemaison second huissier Royal en charge de votre cérémonie, je vous souhaite la bienvenue au palais du Louvre.

    Mon visage s'adoucit peut être était ce une étourderie de ne pas m'avoir saluée.

    Je crois qu'il s'agit là de votre premier allégeance, avez vous des interrogations avant que je vous annonce en salle du trône où vous serez reçue par sa Majesté Lafa de Bussac.

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Alvira
Alvira n'avait absolument rien contre la jeune fille, bien au contraire. Ces derniers temps pour ne pas dire semaines et mois, la Duranxie courrait de partout, effectuait tâche après tâche, même ses rédactions en Secrétariat d’État étaient effectués de manières presque automatique. Tant et si bien qu'elle ne passait plus comme avant forcément prendre nouvelles ou s'arrêtait pour savoir quoi ou qu'est-ce, mais cela n'empêchait en rien d'apprécier les gens et d'y penser de temps à autre.

C'est d'ailleurs avec un large sourire qu'elle accueillit Héléna. Qui n'était pas là à son arrivée, puis que Mélissandre était seule quand la Régente pointa son nez. Somme toute, la Tourangelle pouvait avoir tous les dons du monde, elle n'avait pas celui de deviner l'organisation des Huissiers.

Dire que depuis tout ce temps, la brune n'avait pas croisé la mère de la dite Plantagenêt junior. Lui était revenu aux oreilles des noces et autre potentielle naissance, mais pas l'invitation, allez savoir si son Gode froid d'époux ne l'avait pas tout simplement mangé ? Bref !

C'était l'occasion de demander, vu que le silence était d'or entre les deux amies. La vie faisait parfois qu'on pouvait se perdre de vue un temps.


Bonjour jeune fille !
Heureuse de te croiser ici, voilà bien belle implication. Ta maman va bien ? Tu la féliciteras pour son mariage j'ai appris cela.


Un sourire bienveillant alimenta le visage de notre Monstralvinette, avant qu'elle réponde par la négative à la question posée. Prête, elle l'était, les yeux détaillant le décor somptueux, le trac se fit sentir frôlant son palpitant qui loupa quelques battements.
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Lafa_
Oh la Touraine, magnifique ! Alvira ! Que demander de plus.
La Reyne attendait avec impatience la jeune femme.
Elle se redressa et scrutait l'entrée de la salle.

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Acrisius
Le seul bruit intempestif que produisit son entrée dans la Salle du Trône fut le crissement des gonds de la porte lorsqu'elle lui fut ouverte. Le Malingre s'approcha sans attendre d'un pas de félin jusqu'à proximité de la Reyne, marquant toutefois une certaine distance pour ne pas interférer dans l'allégeance qui allait s'ensuivre. Les doigts entrelacés sur son abdomen cachaient malicieusement une croix d'Aristote qu'il utilisait en cet instant pour réciter silencieusement une prière. Il ne prêta guère attention à la décoration de la pièce. Par le passé, les circonstances l'avaient par trois fois amené à fouler ce sol. Pour des raisons bien différentes.

Une fois en place, il attendit, muet, de voir la scène se dérouler. Son visage impassible ne trahissait pas l'émotion qui animait le jeune Beauharnais, se régalant par avance d'assister à cette cérémonie, Ô combien importante pour son amie. Mais il n'était pas ici pour simplement contempler la scène. Si la Reyne l'avait autorisé à venir ce jour-là, c'était pour une raison bien particulière. Il n'adressa qu'un sourire à cette dernière afin de ne pas déranger, puis reporta son attention sur l'entrée, où Brassenx devait apparaître dans quelques instants.

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Blason en période de sèche.
Helena_plantagenet
    Ça fait tout drôle de parler à ma chef de zone nord chez madame le Premier Secrétaire d’État. Pourquoi elle disait tout ça? J'avais aidé père et mère pour les préparatifs, son nom était parmi les invités je m'en souviens bien.

    Je suis heureuse d’officier votre cérémonie. Mère elle va très bien elle se repose avec la naissance de Emma la crevette c'est une furie pire que moi. Pourquoi vous n'êtes pas venue au mariage? Mère avait invité son filleul et sa filleule, messire Goddeffroy a même répondu qu'il viendrait avec vous, vous n'étiez pas au courant?

    C'est la faute des hommes ils oublient toujours tout, ils ont des mémoires d'éléphant, mère avait été triste de ne pas voir le couple Silly à ses épousailles.

    Je lui passerais vos félicitations.

    Il était temps de revenir à cette journée unique pour la nouvelle régente.

    Vous n'avez pas de questions? Nous pouvons commencer?

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Alvira
Alvira voyait autant son mari que... La fleur des neiges en haut d'un mont éternel. Imaginez donc ! En bref, elle n'avait eu aucunement l'invitation, d'ailleurs quand elle avait eu connaissance du mariage, la Vicomtesse s'était dit qu'ils avaient surement dû le faire à comité restreint pour ne pas être convié. L'intimité d'une Chapelle légèrement fleurie, voyez le topo purement romantique ou expéditif, au choix !

Ainsi, ils avaient été convié, et ce cher Gode Froid avait répondu, quel bonheur, une chance qu'elle avait eu là la Griotte. Pour autant la Duranxie garda le sourire, un brin figé oui, de celui qu'on fait pour éviter d'insulter copieusement le salopiot d'époux.


Et bien non, je n'ai pas eu l'information. Je crois qu'il serait judicieux de dire à votre mère de m'écrire directement. Je le ferais également. Mon époux doit avoir autre chose en tête. Je ne le croise que peu ou pas, d'ailleurs je m'inquiète pour lui de ce retrait de la vie mondaine. Surement une baisse de régime, un brin de nostalgie d'on-ne-sait-où.

Puis plus bas à la jeune fille, histoire que peut-être Cerise sorte de sa léthargie le Silly en chef. La déception d'une fille ? Là encore l'énigme était lancée.

Une oreille attentive de sa marraine pourra peut-être l'aider, allez savoir, mais me concernant, sans invitation je n'ai appris le mariage qu'une fois celui-ci terminé.

Et comme ici, c'était Héléna qui menait la danse le Chef de Zone indiqua à son SE, qu'elle était prête pour se rendre auprès de la Reyne, en mode "opé" à petite foulée !
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Helena_plantagenet
    Je souris à ma chef de zone, je garde pour moi les derniers mots pour les remonter à mère quand je la croiserais. J'avais déjà beaucoup parlé et c'est mal, il ne faut pas voler la vedette à la nouvelle régente.

    Je vous demande de patienter le temps que je vous introduise en salle du trône.

    Grincement de mes talons, j'ouvre les portes et d'une voix claire.

    Monseigneur Alvira de Silly de la Duranxie, Vicomtesse d'Ecotay, Baronne de Brassenx, de La Rochefoucauld et de La Rochandry, Dame de Carcarès Sainte-Croix et d'Estampes-le-Sceau, nouvellement conduite à la tête de la Touraine par le peuple et désigné par le conseil élu.

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Lafa_
Ah enfin la voilà !! Aller hop hop hop

Qu'elle entre.
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Alvira
    "Mieux vaut glisser du pied que de la langue."
    Proverbe Français


Les portes s'ouvrent, lentement, elle se dit d'abord qu'elle va fermer les yeux pour ne pas faire sa curieuse et zieuter dans tout les coins.. Puis l'on ne sait trop pourquoi, la jeune femme garde les paupières ouvertes, mirant le décors. Ces boiseries finement sculptées, les dorures, les fenêtres en enfilades qui rendait l'ensemble grandiose... Ne parlons pas des tapisseries qui a elles seule représentaient une somme affolante. Ups, déformation professionnelle, ou issu d'un traumatisme ancien du temps de son mandat de CAC sous Acrisius. Caissette après caissette, denrées par milliers il avait fallut compter pour satisfaire le malingre qui s'extasiait ou pas de ses découvertes.

D'ailleurs le dit bonhomme était là. Sa silhouette, Alvira, l'aurait reconnue entre 10 000, sa présence aurait pu changer ses plans, mais non la décision était prise, la Duranxie ne pouvait pas se dérober sous la tentation de ce sol qui s'offrait à elle. Quelques pas d'amorcés, elle sentait comme une caresse le vent dans ses cheveux, ses souliers avec une facilité déconcertante évoluaient sur le parquet impeccablement entretenu. Aussi bien que le parc qu'elle avait emprunté une poignée de minutes auparavant pour se rendre en salle de parade.

Non, elle ne fit pas mettre de la farine, ni de la vaseline, aucun besoin. Seule une foulée l'élança, impossible de résister, la seconde s'allongea un peu plus, et par la troisième elle quitta son trottinement de petit poney heureux du pays d'Heidi. Désormais sa robe s'ébrouait dans des plissements. La Régente le regard posé sur Lafa, concentrée au possible calculait l'éventuel atterrissage, et donc le moment où il faudrait se laissez à....

Glisser ! Oser ! Hop-là !

C'était partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Tel un pro d'Aïkido, elle s'agenouilla, ployage de genou en règle, alors que son pieds droit se positionna à l'arrière pour lui permettre une précision d'arrivée à toute épreuve. Et la traversée magique se fit, magnifiquement bien, aucun accroc, seule la robe souffrit, expiant les pêchés de son coût par bruissement secs témoignant de sa douloureuse rencontre avec le sol et sa rudesse. Voilà que sur 6 bons mètres ce fut magique. Yeah, Alice, ça glisse qu'on aurait pu crier !

Dramatiquement, la Vicomtesse n'arriva pas aux pieds de la Souveraine, manque d'élan manifeste, elle pensait s'échouer à la base du Trône - mais s'arrête telle une motte de beurre trop lourde - 3 mètres avant le début des marches Royales.


Ma Reyne... !

Lacha-t-elle dans l’indifférent silence du parquet si brillamment astiqué. Les lèvres retroussés en un sourire innocent.
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Acrisius
Une motte de beurre en pleine salle du Trône. Imaginez la scène. Le Malingre, à proximité de la Reyne de France, n'avait pas pu en rater une miette. Pas une. À son grand désarroi d'ailleurs. Qu'aurait-il donné pour que la porte n'ait jamais voulu s'ouvrir ? L'homme ne tenta pas de calculer. La somme aurait été astronomique. Il préféra donc se mordiller la lèvre inférieure, ne détachant plus son regard d'une dalle de pierre, un peu plus loin. Penser à autre chose, se concentrer sur autre chose. Oublierait-il ? Jamais. S'en remettrait-il ? Peu probable. Qu'avait-il fait au Très-Haut pour mériter des punitions terrestres pareilles ? La bonne question…

Son index effleura la croix d'Aristote. Pourvu que la Reyne ne la fasse pas occire. Ou qu'elle ne se venge pas en dépenses démesurées pour sa garde-robe. Quoique ? Il enverrait les factures à Brassenx. La Baronnie de sa très chère - bientôt ancienne ? - amie. Un peu de clémence ne ferait pas de mal ? Trop tard pour graisser la patte du Souverain. En parlant de ça, il fallait s'attendre à une réaction rapide à la nouvelle originalité de la motte…

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Blason en période de sèche.
Alvira
Ramer ? Ramper ? Balayer ? Curlinger ?

Non parce que mine de rien, là, vous avez l'exemple type de l'invention du curling, non pas le classique ou sur tapis comme plus tard l'on pourrait le voir en Suède mais bien "Curling Royal", ou l'art de se frotter et balayer le parquet d'une salle de Trône d'une magnificence incontestable. Évidemment Alvira n'avait aucun gêne de pingouin dans les veines, c'est donc lentement qu'elle se redressa pour se réajuster correctement, partant dans une explication somme toute légitime. Elle s'était faite avoir sur son calcul. Un comble. C'est donc le visage tourné vers le Souverain après avoir jeté un coup d'oeil au parquet récalcitrant que la Vicomtesse narra.


Vous me voyez navré votre Majesté du manque de précision de mon arrivée. Pensez bien que je pensais atterrir ici, en partant de là-bas. Le constat est amer, j'ai terminé par là.

Elle recomptait les foulées, et les mètres tout en montrant évidemment les points qu'elle expliquait sur l'étendue brune. Main tournée à gauche, puis à droite cachant une moue de déception fatale.

Ainsi avec l'élan et la poussée de ma cheville, le moment où mon corps décèlerait normalement devait se produire plus en aval, je vous aurais alors salué au pieds des marches. Il va de soit que ce fut l'imprévu total, et je ne pourrais que vous suggérer de faire vérifier les quelques lames se trouvant à senestre. J'ai bien sentit que cela accrochait ma robe.

Surement est-ce donc la cause de mon raté manifeste. Toute mes excuses ma Reyne !


Un arrêt, une demande...

Me pardonnerez-vous ?

Sa robe n'avait en fait, étrangement, pas vraiment souffert, il fallait dire que l'étoffe luisante s'accordait parfaitement à la glissade. Ainsi, ce fut un sourire enjôleur et empreint d'une "Chat Botté Attitude" qu'Alvira mirait la Reyne. Oui, oui ! Quand on s'amuse dans la galerie, faut savoir aussi faire attention à comment on le fait, sinon on est cramé, et heureusement que le public était très restreint.

D'ailleurs, en parlant de public, que foutait là son ami Poudenx ? Elle entendait déjà le savon qu'il lui passerait dès lors qu'ils se trouveraient seul, sa voix raisonnait déjà, grrrrr...

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Melissandre_malemort
Oh mon dieu.

Mélissandre, pourtant parfaitement stylée, du planter les dents dans sa lèvre presque jusqu'au sang pour ne pas hurler de rire à en faire péter les lustres. Et plus elle se retenait, plus son teint devenait mauve, si bien qu'elle disparu derrière une tapisserie, en proie à un fou rire monstrueusement bruyant.

Cette image était gravée dans sa tête.

A vie.

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Lafa_
Oh là là ... Quelle glissade, Alvira prête à remporter le record du monde de la grosse honte en 10 ... 9 ... 8 ... 7 ... etc etc etc ... zéro !
Et non contre toute attente, la reyne fut bluffée, stupéfaite, écarquillant ses yeux.
Mazette ! Quel talent !
Et de sourire amusée quand la régente de Touraine partit dans ses explications techniques.


Bien entendu vous êtes toute pardonnée mais j'espère que vous rempilerez pour retenter cet exploit car maintenant votre entrée en salle du trône devra s'effectuer de cette manière.
Nous reculerons le trône un peu plus à chaque fois ... Chiche ?


Le regard pétillant elle regarda la jeune femme.

Nous vous écoutons.
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