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Info:
Poursuite d'une tentative précédente infructueuse. La glisse, elle l'a dans le sang !

Glisser c'est la santé, vengeance à l'Allégeance - Act II

Melissandre_malemort
Une fois la salle prête, Mélissandre attendit qu'Edouard arrive pour sa première cérémonie.
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Edouard_de_noireterr
Le jeune bâtard avait le coeur tremblant, ses pas avaient chancelé sur le trajet qui le menaient à la salle où l'attendait la première cérémonie à laquelle il allait devoir assister. Et quelle cérémonie !
La Touraine, rien que ça ! Tout un symbole à n'en pas douter. Ainsi, rasé de près, fraîchement lavé, ayant mis sa plus belle chemise, il entra dans la salle à la suite de Mélissandre.

Juste avant d'entrer, il prit une grande inspiration, et ferma les yeux une seconde. Derrière cette porte, sa nouvelle vie l'attendait, la vie qu'il se forgeait, non pas seul, mais avec les amis qu'il se faisait, les gens qui lui faisaient confiance. Un sourire sincère et franc s'étira sur ses lèvres. Ses cheveux tirés en arrière dans une queue de cheval, nouée par un ruban de velours noirs ondulèrent un instant.

Puis, il entra.

Ses yeux noisettes avaient retrouvé leur étincelle rieuse, il regarda Mélissandre et lui dit :

Votre Altesse Royale, je suis prêt.


C'était sans doute un peu exagéré, mais en tout cas il était motivé, et les choses se passeraient bien. Il connaissait Alvira, il aimait la Touraine, quoiqu'il en dise, tout irait pour le mieux, à n'en pas douter.
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Alvira
    "Chaque journée est un élan qui traverse l’histoire."
    De Jim Morrison

Projet en cours ? Elan ? Mouvement ?

Celui de lire les divers plis du jour, et parmi eux, elle s'en doutait, celui de Melissandre pour la convier à rappliquer son petit cul (ouais je sais les mensonges c'est pas bien), au Louvre. Alors, levant la papatte, et après avoir bouclé une valise, et s'être paré d'une tenue de voyage confortable notre Duranxie avait décidé de se mettre en route. Un cheval, le sien, Bucéphale irait à la Capitale, cela le changerait des lices du Royaume dans lesquelles Alvira tentait inlassablement de parvenir à percer. Un jour peut-être comprendrait-elle que les joutes ne voulaient pas de ses hanches généreuses, ni de son appétit démesuré. Un jour, mais pas aujourd'hui.

Aujourd'hui c'était, jeudi, et le jeudi on joue à Gliss' en folie, en salle du Trône. Qu'est ce que c'était extasiant n'empêche ! Ce coups-ci la méthode allait légèrement changer, la Régente avait pris soin de venir avec une robe plus "adapté", du moins le pensait-elle. Étoffe douce, soyeuses à souhaits pour que tout passe crème, mieux que de la vaseline ! Seul hic, peut-être le nacre de la dite robe qui risquait d'en prendre un coup, et encore que non, elle se rappelait comme le sol était doux et propre, étonnement. Enfin, léger détail, sa Chancelière ne lui en voudrait pas, même si pour le coup elle profitait d'une créa' de toute beauté.




C'était là le flot de ses pensées quand elle arriva sur le parvis du Louvre, se représentant à nouveau la salle dans son esprit pour comptabiliser au mieux le nombre de foulées qu'il lui faudrait rajouter à celle de la fois d'avant. Avec le cuissot qu'elle avait pris à gambader dans la cambrousse à cause des Angevins, ce coups-ci c'était sûr, elle exploserait tout ! Les lippes dévoilèrent des canines acérées, prête à mordre quiconque se mettrait entre la Reyne et elle une fois que son vol aurait débuté. Couvre feu conseillé à tous ! Même aux Huissiers ! D'ailleurs, ils étaient là, la Régente en était toute jouasse.

Votre Altesse Royale !
Edouard !
Bien le bonjour à vous !


Puis discrètement auprès de la Princesse, elle questionna rapidement histoire de savoir si de nouveau meuble, ou autre décorations, tapis, et tapisseries à la con pourraient être source d'obstacle et de défaite notoire pour sa performance à venir. Un air un brin goguenard fiché au visage. La coupable non, ce n'était pas elle ! Le crime n'était pas encore commis, rappelons-le.
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Simeon.charles
La Touraine à Paris, ou plutôt la duchesse de Touraine venait renouveler son allégeance et ça Siméon voulait le voir. Non pas qu'il pensait qu'elle ne le ferait pas, mais elle fut avec le comte du Poitou les deux principaux alliés de la France et pour cela Siméon se devait de venir la saluer. Après tout, les alliés se faisaient de plus en plus rare dans ce monde

Il était coincé dans son broigne plus noir que la nuit et sur lequel de fins et discrets serpents d'argents étaient brodés. Ses cheveux étaient noués sur le dessus, dans un chignon tribal, fait à la va vite. Son oeil gauche restait caché sous la fronde de cuir brun qui lui servait de bandeau.
Il avait l'épée au flanc, car il était Connétable et donc un des rares à pouvoir être armés au près de sa majesté. De plus, cela lui donnait le droit d'arriver par les tentures, soit derrière le trône afin d'intervenir en cas de soucis.

Il poussa de sa main la dernière tenture qui cachait la porte dissimulée et se glissa tel un loup dans la salle du trône. L'ancien routier ne savait que trop bien jaillir dans le dos d'un homme ou d'une femme pour lui taille la gorge et lui prendre sa bourse. Cependant ce jour, il ne souhaitait que voir un échange entre deux femmes qu'il appréciait.


Majesté.

Il était prêt, il était là.
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Edouard_de_noireterr
[Devant la porte, avec Mélissandre et Alvira]

Le jeune bâtard avait fait un large sourire en voyant Alvira s'approcher, il était ravi de la revoir. La dernière fois qu'ils s'étaient vu, et qui était la première aussi d'ailleurs, ils avaient pu parler. Mettre les choses au clair. Il en avait été ravi.

Monseigneur,
dit-il en faisant une révérence de moins en moins maladroite à force,
C'est un plaisir que de vous revoir, si je peux me permettre, votre robe est radieuse, et elle vous va à merveille.

Il devait sans doute être plus stressé qu'elle, après tout, ce n'était pas sa première cérémonie à elle mais il proposa tout de même :

Tout va bien Monseigneur, vous n'avez besoin de rien ?


Oh, qu'est-ce qu'il pouvait être maladroit, de bonnes intentions certes, mais emballées dans un papier pas encore tout à fait présentable. Se tournant vers Mélissandre, il sourit doucement, espérant ne pas commettre d'impair. Il attendait la reine.
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Alvira
Alvira hocha la tête brièvement. Elle aussi avait un certain plaisir à revoir l'homme devant elle. Fils du traitre, il n'en restait pas moins qu'il s'était positionné en lucidité. Il n'y avait alors aucune raison de le limoger à outrance, simplement la Régente avait souhaité que les choses soient dites entre eux, ne supportant pas la fuite sans explication. Surtout quand on est responsable d'évènements capable de faire sombrer une Province.

La Touraine, elle n'y était pas née, certes, mais la Duranxie ne savait pas vivre quelque part sans s'y donner entièrement. Cette Terre, elle y offrait son âme, qu'importe qu'elle soit considéré étrangère par certains, les faits étaient là, la plus grosse majorité la considérait de confiance. A tel point qu'elle était la Duchesse sortante de Touraine et semble-t-il reprenait le précédent chemin pour le redevenir. Malgré la vengeance et autres bourriques du genre.

Passons !
Dans sa robe damassée, le moment était délicieux, la jeune femme trépignait d'impatience de se la donner sur le parquet Royal. Allez, ouvrez les portes que je glisse sans savon, sans culote, et sans pantaloooon. Tsss, trompé de couplet. Bref !


Le plaisir est partagé Edouard.
Je suis ici pour la Touraine, je n'ai besoin de rien, hormis, d'une Reyne sur son Trône, la salle dans son entièreté... Et...


Plus bas, d'une voix de confidence.

D'une chance avérée dans ma prise d'envol !

Râclement de gorge, la Grassouille comme beaucoup l'appelaient à raison, releva le menton, le départ bientôt annoncé lui donnait envie de latter le Mainois afin qu'il s'y mette.
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Lafa_
Chouette la Touraine ! Chouette son connétable ! Oh la prochaine allégeance allait lui plaire elle en etait sûre.
En scène !

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Edouard_de_noireterr
Une reine, un trône, une salle... Je peux vous offrir tout cela, juste derrière cette porte. Puis il lui sourit, et reprit sur le même ton de la confidence :

Quant à l'élan pour la prise d'envol, je vous dois bien cela, après tout j'ai pris mon envol grâce à la Touraine, et à vous.


Il lui fit un petit sourire, prit une énorme inspiration, et ouvrit la porte.

Il s'était entraîné, alors il fit la plus belle révérence dont il était capable, la reine était là, au fond sur son trône. Avant de plonger son regard vers le sol, il la regarda une seconde, il essaya de faire passer de la gratitude dans son regard. Il était là grâce à Elle, et il le savait. Puis, d'une voix claire, il annonça :

Alvira de Silly de la Duranxie, Vicomtesse d'Ecotay, Baronne de Brassenx, de La Rochefoucauld, et de La Rochandry, Dame de Carcarès Sainte-Croix et d'Estampes-le-Sceau, reconduite à la tête de la Touraine, choisie par le peuple et reconnue par le conseil nouvellement élu


Ouf, il avait tout retenu, enfin il croyait, il se releva et s'effaça pour la laisser passer, c'était à elle, il avait finit sa mission pour le moment... Cela c'était bien passé ?


edit manquait une lettre

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Alvira
Bien.
Alors faites.


Quelques mots, trois qui vinrent heurter les lippes de notre brune pour arriver jusqu'aux oreilles d'Edouard. Simple efficace, elle n'avait finalement pas le temps d'en dire plus, ce jour était particulier pour ça. Passer d'un état de Régente à celui de Duchesse, la dimension unique et grisante de pouvoir faire véritablement avancer la Province. Étrange sensation qui se mit à lui broyer le coeur quand elle entendit sa titulature, habitué à "Duchesse de Touraine", diantre, là aussi les choses lui paraissaient si instable qu'elle ne devait pas l'être elle. Et la Reyne en avait besoin également. Oui, oui, besoin vital de voir la réussite d'une glissade dont seule la Belette avait le secret.

Pied assuré, démarche affirmé pour ces quelques mètres, elle passa devant les Huissiers, les salua d'un hochement de tête comme pour les remercier et pénétra dans la salle du Trône. Lentement, Alvira déambulait, jaugeait du regard le moindre changement potentiel de la pièce. Essayant de mesurer les distances, jusqu'à ce que ses prunelles se portent au fond du lieu. Elle s'arrêta, interdite de voir le Bouillon présent. C'était parfait, diaboliquement parfait. Il était venu. Il était là.

Toutefois, dans son esprit tordu, où s'échafaudait un plan tout aussi déphasé, il lui fallait le Connétable près d'elle. Tout près d'elle. Il en rêvait, il la voulait, pour une fois, elle le ferait. Plongeant ses iris noires dans celle du bonhomme, elle le demanda. Voix grave qui parcouru la longueur de la pièce pour venir fouetter le Saint-Just.


Siméon..

Rien de plus.

Ne le quittant pas des yeux, toute droite, elle lissa un pli de sa robe, remettant un autre pan d'étoffe du revers de sa main. Elle patientait. Demande finalement presque tacite, il comprendrait. Appel que certains auraient pu considérés de "timide". Que nenni, lui seul pigerait et elle espérait qu'il saurait être discret, même s'il ne savait pas encore ce qu'il devait faire. C'était bien là le meilleur de ce moment. Dans cette ambiance calme et feutré, au décorum si majestueux qu'il appelle au respect, la Régente de Touraine se paye un luxe qu'elle envisage comme légitime. L'attitude restant digne jusqu'au bout des cils, rien ne l'empêchait de faire montre d'un poil d'excentricité. Et...

Sus aux lames de parquet récalcitrantes !

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Lafa_
Ah la voila ! Elle appréciait beaucoup la duchesse, régente enfin l'élue de Touraine et elle savait qu'elle ferait tout pour que le spectacle soit au rendez vous.
Mais le détail qui tue ne lui échappa pas : le regard, l'attitude ... Han ! Elle se tourna vers Siméon discrètement, un regard du genre "Dites ... vous ... elle ? ?" Non parce la reyne était du genre possessif et que c'était SON connétable. Et qu'on ne distrait pas SON connétable en pleine guerre !
Nan mais ! La brune fit un regard désabusé et fit un signe de la main à Alvira.
Allez petite faut qu'ça glisse !

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Alvira
Toujours pas, Alvira ne bougeait pas d'un pouce. Imperturbable, elle attendait le Connétable. Lâché suffisamment fort pour que cela soit audible et qu'il se radine. Allait-il l'aider, ça c'était la grande question, un brin le moment d'ailleurs.

Alors dans la douceur de la pièce, la Régente restait inflexible face au geste de la Reyne. Non, non, non, elle n'avancerait pas. Lafa devrait attendre, on ne bouscule pas les artistes, surtout ceux dont on attends beaucoup, surtout ceux qui donnent beaucoup. Car la vie est la boucle infinie d'un éternel recommencement. Un jour tu vis, un jour tu meurs, et le lendemain la naissance d'un prochain fait qu'à nouveau, tout bascule.

Vamos Siméon, vamos !

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Simeon.charles
Pourquoi elles le regardaient lui, alors qu'elles étaient les actrices principales de cette scène. Lui n'était là que pour être un témoin muet.
Le visage resta un moment impassible, pourquoi elles le dévisageaient... Il s'était bien tenu, pour une fois.

Toujours était-il qu'on l'attendait pour il ne savait pas quoi.

Il avança donc en direction de la duchesse qui visiblement, avait un souci. Un lacet défait qui pourrait lui faire tomber un jupon devant sa majesté ? Un pied ayant foulé une déjection canine ? Etait-elle saoule et avait besoin d'un tuteur pour ne pas se vautrer devant la reine ?

Face à elle, il tendit l'oreille prêt à l'aider, quelle que soit la demande, tant que ça ne mettait pas en danger la reine.

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Alvira
Sage, oui, pour une fois comme on dit. M'enfin là, il n'y avait aucunes considérations de bon comportement ou pas. Alvira, immobile attendit que Siméon la rejoigne. Silence non pesant mais bien présent. Une fois en face de lui, à même pas un mètre seulement, elle lui souffla.

Poussez-moi...
Discrètement.


La tête s'incline du genre "allez, allez". Et sans tarder lâchant le Connétable du regard, elle lui passa devant pour se mettre dos à lui comme tendant la perche. Cette perche ou ce popotin qu'il pourrait botter à souhait afin qu'elle avance assez fort pour se retrouver là où elle devait être. La Reyne avait voulu tricher la fois d'avant en proposant de repousser le Trône, ce coups-ci, ce serait la Régente qui userait d'un Grand Officier pour apposer parade. C'est donc tranquillement qu'elle s'attendait à ce que le Bouillon la propulse. Et pour que cela ne se voit pas elle enclencha quelques pas. Ainsi il n'avait plus qu'à la saisir par la taille, les hanches et la bazarder par dessus le parapet Royal !

Zou !

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Simeon.charles
Elle lui offrait son postérieur en pleine salle du trône.
Certes ce n'était pas pour quelques grivoiseries, uniquement pour une facétie dont le bâtard d'Artois n'avait pas encore deviné la silhouette. Cependant, en parlant de silhouette, il en devinait une sous les jupons devant lui et il avait bien hâte de plaquer sa main dessus pour la pousser comme elle le voulait.

Mais, il avait aussi décidé d'être sacripant.

D'un souffle, le plus discret possible :
" D'accord, mais vous m'en devrez une. Quoique je demande."

Pour conclure l'accord, la main d'acier rencontre le popotin soyeux et il la pousse discrètement mais fermement.

Et une duchesse de Touraine pour la table treize !

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Alvira
Le rêve bleu de Siméon, manque de bol pour lui c'était devant témoin, et quel témoin ! Autant dire qu'elle était loin de risquer grand chose. Il ne pourrait pas du tout la palper, lui tâter le gras ou autre. Le seul instant de plaisir serait surement de lui tacler le postérieur. Elle s'en réjouissait d'avance, c'était plutôt sadique dans les faits, mais tellement bon justement qu'elle sache qu'il ne pourrait pas obtenir quoique ce soit, tout en lui octroyant un petit sucre sous forme de service rendu. Mais ça, elle comprit que c'était peut-être mal joué quand il lui souffla que cela lui vaudrait un autre service. Ghrumphf !

La mort, non mais c'était injuste tout simplement scandaleux. Elle allait lui répliquer qu'il était gonflé, et honteux qu'il lui sorte pareille connerie, mais déjà voilà qu'elle s'envolait, sursautant légèrement au contact des mains du Connétable sur ses miches bientôt Ducales, assez fortement pour que la jeune femme décolle. Il avait de la poigne le bougre. Une poigne de dingue. Alvira en aurait presque été soulagée qu'il ne lui ait pas donné un coup de botte aux fesses.

En attendant, elle glissait, la robe damassée lui permettait de ne pas s'accrocher à tout va, à l'inverse par contre, sa lourdeur aurait peut-être raison du record que la Duranxie souhaitait faire. Rebelote, avec toute la grâce qu'on lui connaissait, Alvira leva les mains en l'air ouvrant les bras pour s'assurer une équilibre alors que son corps s'abaissait pour épouser le sol, une rotule contre ce dernier. Yeux dans les yeux avec la Reyne, en mode "love to love" bébé, notre brune traversait la salle du Trône...

Lala lalala lalala ! Un rayon de soleil vint à transpercer la pièce, illuminant les lames, les miroirs et autres tapisseries.

"Un matin suspendu
Aux fleurs de mon jardin
Ta main sur mon petit cul
Cherche le chemin
D'un Trône suspendu

Par la fenêtre ouverte
Les plans que nous faisons
Ses petits espoirs
Pour pleins d'émotions
Pleins d'é-mo-tions !

Un rayon de soleil
Sur son si beau visageeeee..."

Et..
En parlant de visage...
Ce fut le drââââme !
Une Reyne à bâbord ! A tribord ! Alvira tournant-retournant la tête ne pouvait éviter la collision !

SCHOOOOOUUUUMMMM !

Une Reyne en table treize ! Bingo !
Alvira avait présumé et sous estimé la force du Bouillon, ainsi sans se méfier elle était arrivé trop vite. La Reyne, se demandant ce que les deux tramaient à ne pas revenir normalement à ses devants, avait sans méfiance avancée. Chose totalement irresponsable quand une Belette se trouve dans la pièce, prête à faucher tout même la mort en spectre, dimanche et jours fériés compris.

Culbute de Lafa ! Olé ma poule !
Le Souverain embarqué, il se retrouva sur notre Régente qui referma ses bras sur lui et se laissa choir vers l'arrière. Un monticule de jupon voilà ce que cela donnait de l'extérieur, un truc plutôt informe, sans vraiment trop de classe, hormis le côté cher des étoffes. Même un bébé chat n'y retrouverait pas sa mère, oui oui, l'inverse même !

Une fois remise ou presque de cet enchevêtrement de soieries, la jeune femme refila sa paluche à la Reyne.


Majestée, mais ça ne va pas !
L'on tient toujours les distances de sécurité ! Tou-jours, c'est la règle de base tudieu !


Regard lancé à Siméon, haussant les épaules, d'un air de dire "ta faute ça encore". Pure stratégie pour se donner bonne conscience, une fois Lafa debout, la Duranxie attrapa cette dernière par les épaules, lui souffla sur la tignasse pour que les mèches de cheveux reprennent place, niveau coiffure, ok ! Puis, elle tira un brin sur la robe, à gauche, à droite. Lui faisant signe de réajuster son corsage, rangeant ses propres Robert et Roger, en place ! Rien d'outrageant, c'était plus à visé de confort. Un téton comprimé rien de pire ! Surtout quand ils sont encombrants et lourds !

Ma Reyne, voyez, plus besoin de repousser le Trône, l'assise est là, tout comme moi. Prête pour mon serment.

Sourire aux lèvres, il fallait détourner l'attention rapidement pour que tout continue normalement, peut-être que sous le choc, la Bussac ne dirait rien de particulier. Quand on voulait de l'animation on assumait les bavures potentielles. Et vu qu'elle avait un complice Connétablement sien, et pas des moindres, la couverture était complète. Alvira se sentait au dessus de tout soupçons, à tord ou à raison, ça c'était un tout autre débat.

A nouveau debout, elle patientait, droite et pleine de cette intention avérée de ployer le genou de façon plus "classique".


[Avec accord de JD Lafa pour sa pantine]
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