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[RP] Angevins, rassemblement !

Eireen.
Eireen observa le nouvel arrivant, les bras chargé de bouteille, son visage ne lui disait rien, mais quand il parla de Craon, elle comprit rapidement.

Bonjour Tictac, bienvenue. On se croise enfin après tous les courriers que nous avons échangé. Prêt pour celle nouvelle aventure ?

Elle n'eu pas le temps d'attendre la réponse qu'Elva lui glissait un panier de douceurs dans les bras.

Bonjour Elva ! Ca fait plaisir de vous voir. Il y a effectivement un petit pique nique organisé. Histoire de picorer ensemble et papoter autour d'un verre.

Panier déposé avec le reste.
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Yohanna.
On nettoie.

L'ordre était donné.


Bien. Donnez-moi des hommes. Et des grands. Et des talonnettes plus hautes. C'est qu'elles sont toutes grandes ces foutues angevines.

Bien armée de l'armure offerte par Samsa, de l'épée offerte par Samsa, de son bouclier obligatoire fourré à l'aide de Samsa, et de sa hache adorée, voilà H qui prend la tête d'une troupe de vingt soldats, encore plus harnachés de fer et d'armes qu'elle.
Depuis quand on pique-niquait sur la place alors qu'on était soumis à l'ennemi ? Depuis quand on faisait campagne contre l'ennemi pour faire chier ?
Le règne de la terreur était en place. Et elle allait terroriser.

Rackam le « découillu » était de la partie. Son petit sourire malsain lui avait bien plu, alors ils avaient partagés les soldats. 10 partout.
Lui il prend par la gauche, elle par la droite. Ils allaient faire un peu de ménage.

Un bordel de bruit que ça faisait là d'dans. Les soldats à pied, armurés de pied en cap, ricanant et effrayant les villageois par leur air imperturbable. Ca sentait le roussi dans les rues d'Angers? C'était le but. Et elle, devançant la troupe fièrement montée sur un demi-sang bai, son bouclier dans le dos, car la gênant plus qu'autre chose, ils avançaient
Une fois sur la place, elle donna ordre :


On arrache ces affiches. On brûle les tables. Et les petits gâteaux. Le vin vous pouvez gardez. Mais seulement les bouteilles ouvertes. Les autres sont peut-être empoisonnées. C'est quoi ça ? On s'est cru chez mémé ?! Vous êtes sous le joug de la reine, et croyez-moi, il va devenir très lourd.

Et les soldats déjà se mettaient en branlent. Sa moitié était pour le nettoyage. Ceux de Rack devraient attraper les protestataires et les foutre en geôle. Ordre de la hiérarchie. Ca ne rigolait plus.

Hé, t'as vu Ben ? Y'a un arc en ciel sur l'affiche ! C'est joli hein ? Sont cons ces angevins quand même… Ils prônent la paix ou pas ? Et puis y'a écrit quoi là déjà ?

La ferme Raz'. Laisse cette affiche tu sais pas lire ! Et puis y'a rien d'intéressant d'sus, même si y'a des beaux dessins. Et bouge-toi d'obéir. Sinon elle va encore nous taper sur les doigts la H. On a beau faire deux fois sa taille, elle rigole pas.

Frrrrtttt… Ca va ça va… On a l'droit d'picoler t'as vu ? Tiens regarde ! Une bouteille ! Et des gateaux !
Dites ! M'dame H. On peut manger des gâteaux ?


Elle roule des yeux, pas aidée avec des soldats de la sorte.

Allez, prenez tout. On nettoie on a dit. Et on fout le feu ici. Que le sol en garde les traces de suif ! Et continuez à faire du bruit, ça fait peur aux pleutres.
Bougez-vous ! La propagande a assez duré !

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Falco.
Sur son putain de canasson immense, en retrait mais immanquable.
Ses orbites vides et ses oreilles manquent rien de ce qui déboule sur la place.

Ils se croient à la Foire du cochon du Mans les angevins?
Genre on se rassemble entre deux révoltes sur la place pour taper le bout de gras en politique?
Sont bétaux.
Ou pas.
Juste qu'ils ont pas capté que Couronne était jusqu'ici super gentille et conciliante.
La Couronne, quoi.

A quel titre il agit.?
Et bien celui d'une âme damné de la Couronne, un chien du Lys.
Et si ça défrise et provoque crachat cela l'arrange.


Ce qui est buvable..C'est à dire peau de balle..Tachez de pas le casser.
Pour le reste..
Que la troupe se gave si elle estime cela mangeable.
J'ai immense doute.


Puis il déclare, aprés réflexion, aux gens sur la place, souriant et aimable


Vous êtes prié de militer en caves et recoins.
Quand on se révolte chaque soir en ville, estimez vous heureux que tout rassemblement de plus d'un canard et d'une courge soit autorisé.
Ouste...


Il hésite, sourit, puis rajoute..
Avant de tourner dos avec le gros palefroi posant crottin fumant.



Pauvres couillons à mémoires courtes.
N'osez pas râler qu'ici soit imposé le quart de vos conduites barbares au delà d'Anjou.
Ici est sol vaincu par les armes.
Pisseux.


Dans la cité grouillent dizaines de corsaires royaux dans la capitale des brigands.
Dizaines de gentils chevaliers aussi.
Ils se pensent chez mémé les gugusses?
L'aveugle déplore que Couronne ne sache , par excés de gentillesse, aller au bout de ses intentions.
Faire le boulot à terme.



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Rose
Comme si leur bordel allait passer inaperçu ... comme si une poignée de gourdes pouvaient mettre le feu à quoi que ce soit... suffit de les renverser, les gourdes, pour qu'elles se déversent et finissent en flammèches ridicules... Ils étaient vingt, deux groupes de dix. Même une garde de nouvelles recrues pouvaient arrêter un groupe deux fois plus important d'étrangers de tous bords.

Évidemment, pour lutter contre le feu...l'eau et si ça paraissait si simple, c'est parce que ça l'était.

Constitué de ceux qui se trouvent à proximité, près à venir donner leur avis sur la question de cette soit disant invasion, Rose se rend compte qu'au centre de la petite sauterie Française se trouve la nana qui fantasme sur son mari... "Putain ça tombe bien..." se dit elle en arrivant avec un seau d'eau...


Parait que t'as chaud aux miches la Française ? Et de se positionner entre le premier stand et la gueuze en balançant vers elle la première pluie fraiche de la saison...

Vous, vous et vous, vous m'éteignez l'autre groupe et vous les empêchez de passer... On va pas se laisser emmerder par une bande de ribaudes en jupons, d'autant quand on voit avec qui ils sont capables de s'allier pour arriver à leurs fins ....

Et entendre une voix familière s’élever, comme une plainte haineuse...Putain mais il est là lui ...pourquoi je suis pas étonnée ... Elle se détourne un instant de la nouvelle groupie de Cob pour interpeler Falco .... Parce que tu étais pas Duc d'Anjou et tu n'as pas participé à toutes nos sauteries extérieures vieux suce boules ? .... Tant que tu as brillé en Anjou t'as bien été content de profiter de nos bras, mais dés que tu as dut faire face à la frustration, t'as baissé ton pantalon ! ... Tu crois être dans le camps du plus fort... pauvre fou... idiot idéaliste qui pense qu'ils te soutiendront si tu arrives à tenir l'Anjou ...Tu me fais tellement pitié ... Elle sort finalement son épée, entendant les armes, derrière elle, sortir à leur tour, sentant les présences de Nev, Marie, Cob, Eireen, Sean ... ils étaient déjà plus nombreux que les vingt pauvres fous qu'on envoyait au casse pipe ...

Nouveau regard sur la femme ....


On pourrait régler ça en lice toi et moi chérie ... qu'en penses tu ? Ton jour et ton heure me conviendront ... au lieu de foutre des coups d'épée dans l'eau... et puisque l'autre vieux crétin veut faire le malin ... il veut pas aussi venir se battre, qu'on en finisse une bonne fois pour toute et qu'on lui coupe enfin les cordes vocales ? Défie t'elle Falco et Yohanna... A mois que vous vouliez voir si Rackam aura autant de chance avec moi qu'avec Nevada ?

Pas question de les laisser bruler quoi que ce soit ou faire taire qui que ce soit ici ... Ils étaient en place pour lutter, prêt à tous se battre et ils ne renonceraient jamais ...
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Kayhan
L'odeur de la merde n'a jamais dérangé Kay plus que ça, tout le monde peut s'en douter.

Falco, vous auriez chopé la maladie des vieux qui fait perdre la boule ?


Elle sort du rang de ses compagnons et va voir celui qu'elle a servi des années durant, avec plaisir.

Vous avez perdu le nord, à pas me dire ne serait ce qu'au moins un bonjour, et à me traiter de couillonne et de pisseuse pour nos retrouvailles ?
Vous voulez que je vous en parle moi, de la mémoire courte, en vous rappelant comment on a fait chier ensemble le Lys à maintes reprises au fil des ans ?


Jamais elle n'aurait pensé que revoir son ancien patronchouchou aurait été l'occasion de se voir insultée en guise de coucou.

Vous vous plaisez maintenant à nous traiter de barbares, mais commencez déjà par apprendre à saluer ce qui fut une vieille amie, avant de lui jeter vos noms de piafs à la gueule.

Qu'il ait tourné casaque et veste, elle a eu du mal à le digérer, mais soit.
Qu'il nie le passé et ce qu'ils ont été, ça, elle ne pourra jamais l'admettre.

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Katina_choovansky.
Aussi et car nous ne sommes pas les envahisseurs que vous pensez et dont on vous a bourré le crane….

Sa Grasce Ishtara Saint Just,
& le Conseil de Régence






La Montmorency, sur la route pour aller saluer les futurs conseillers angevins, pointa le bout de ses bottes au moment où ça commençait à agiter les torches, et, autant l’admettre, sa première pensée fut « Chouette, un bucher », avant de se rendre compte que c’était un bucher d’idées.
Le bucher d’idées, y avait rien de pire. C’était l’ultime réponse de la brute face à la résistance, mais c’était si loin d’être son dernier mot, à la résistance.

Elle était quand même sacrément en mal d’autoritarisme, la France pour en venir à bruler un stand électoral…
Yohannna, croisée en taverne, lui avait paru de ces gens qu’on peut se prendre à apprécier dès lors qu’on cause pas politique avec eux. Vu qu’elle était occupée avec Rose, elle ne s’attarda pas sur son cas.
C’était couru d’avance, les angevins, qui étaient quand même chez eux, quoiqu’on en dise, s’activaient déjà à éteindre le feu. Et on ne parlait pas que des Buses, mais bien des commerçants, passants, artisans, qui, sortant sur le perron de leurs boutiques, venaient tout à fait spontanément filer un coup de main.
Et ouais, le feu, ça brule, ça se propage… le français était assez con pour laisser flamber une rue entière, l’angevin lui, pensait que c’était dommageable cette histoire.

Prenant un garde à parti, le plus proche d’elle, celui qui avait l’air d’avoir des priorités dans la vie. Oui, celui qui voulait manger des gâteaux.


- «Bonjour ». Politesse forever. « Dites, z’cusez moi de vous déranger… attention, vous allez renverser le miel… », le prévint la brune. « Oui, donc, dites, c’est un ordre officiel ça, genre y a un papier de la Reyne, un truc de la régence qui ordonne de bruler un stand électoral, ou c’est une action tout à fait personnelle ? »
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Samsa
    "Hé Hé observe-moi bouger;
    Au revoir à hier.
    Rien laissé à ma manière.
    Hé Hé j'ai été sauvé;
    Avec le soleil brillant sur ma douleur
    M'obtenant à travers ce jour.
    Hé Hé observe-moi bouger;
    Au revoir à hier.
    Rien laissé à ma manière;
    Il me semble si bon de dire."*



Cerbère.
Animal mythique, chien à trois têtes, trois paires d'oreilles, trois paires d'yeux, trois truffes. Son réseau était titanesque, ses sources aussi nombreuses que l'herbe en une prairie. Des ruelles sombres aux salles royales lumineuses, peu de choses savaient lui échapper, bien que "peu", au vu de l'immensité des choses, c'était quand même beaucoup.

Elle avait rendu la mairie il y a quelques temps; elle était guerrière, pas politicienne. Diplomate, pas saloparde. Elle savait que ça lui jouerait des tours mais elle était prête à ça, elle ne s'attendait à rien d'autre d'ailleurs. Parfois, elle passait une nuit sans dormir à réfléchir sur le sens même de la sincérité, de la confiance, de tout ce que son coeur lui disait exister chez les angevins mais que sa raison réfutait catégoriquement. Assise sous un arbre à l'extérieur de la ville avec son armée, Samsa astiquait son bouclier en silence, en réflexion, acceptant en bruit de fond ses hommes qui vivaient alentours. Un soldat léger vint soudainement la prévenir qu'un détachement de vingt hommes se dirigeaient en ville et la Prime Secrétaire Royale fronça les sourcils. Tout ceci, ça ne présageait rien de très pacifique. Elle se leva et la puissante voix tonna comme un orage.


-AUX ARMES PARDI !
Qu'on m'amène mon cheval té !


Aussitôt l'ordre se répandit comme une traînée de poudre, le bruit du métal cliquetant envahi l'espace et on ne tarda pas à amener à Samsa Guerroyant, son destrier Cleveland Bay. Avec de l'aide, celle qui portait cotte de maille en toutes circonstances sous son tabard en damier noir et bleu arborant fleur de lys d'or royal se mit en selle. Épée inséparable au flanc, bouclier à l'épaule gauche, gantelets de combat aux mains, rien ne différait de sa tenue habituelle. On lui tendit sa barbute et elle l'enfila alors que ses hommes étaient prêts eux aussi, pour la plupart à pied tandis ce que quelques-uns étaient à cheval. Les étendards verts des Crocs du Basilic II furent saisis et l'armée entra au pas de course et trot dans la ville.

Sur la place, c'est un spectacle qui oscille entre habitude et extraordinaire qui se présente. Yohanna et Falco dirigeant des contingents de dix hommes saccageant un rassemblement angevin qui, comme d'habitude, faisaient les fiers en étant moins. Samsa roula des yeux. La présence d'une armée presque entière aurait au moins mérite de poser les choses.


-Sécurisez-moi ça pardi. Personne n'engage les hostilités té.

Les bataillons et régiments se séparent pour vaquer à leurs tâches sur la place, prenant garde à ne pas avoir d'attitude hostile, restant impassibles dans leur discipline qui surpasse leur possible haine. Les sabots ferrés de Guerroyant claquent quand, au trot, la Cerbère s'impose au centre des événements sans saluer qui que ce soit, mais n'en remarquant pas moins les grands acteurs.

-Qu'est-ce qui se passe ici pardi ? C'est pas jour de foire que je sache té !
Videz-moi la place pardi, j'ai aucune envie de faire usage de force té.


Samsa est une combattante, cela se lit dans ses petits yeux sombres parsemés d'étincelles métalliques, enfoncés sous des arcades sourcilières marquées, dans sa carrure charpentée et trapue, dans son attitude fière, dans sa manière de se vêtir tous les jours de sa vie, dans son commandement, jusque dans sa chevelure semi-rousse. Dans tout. Pourtant, la violence en dehors des champs de bataille ne l'intéresse pas; un combat sans fureur commune s'étalant dans de grands espaces, ce n'est jamais rien qu'une baston de taverne. Des désaccords qui ne sont pas guerres. Quel gâchis ce serait de se battre en dehors d'un champ de bataille pour autre chose que de la conquête.
Mais Samsa, c'est aussi une diplomate, c'est pourquoi rien dans ces premiers ordres n'a vocation a viser qui que ce soit. Samsa, ordonnée, déteste le désordre. Et le miel partout, le vin gâché, ça la fou mal. C'est sale et c'est du gâchis aussi.

Le gâchis, c'est nul, alors autant l'arrêter là.


* = paroles traduites de Crossfade - So far away


Je prends le train, je reviens dans 4h genre. Postez pas trop vite sivouplé

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Nevada.
Tranquillement installée à discuter de.. Top secret défense... Non mais hooo ! Croyez que j'allais vous le dire ? Tsss... Donc interrompue dans les explications de leur prochaine activité par un bruit de casseroles se déplaçant, elle tourne la tête et là, n'yeux qui s'ouvrent grand, joues qui se gonflent réprimant un éclat de rire.
Parce que la situation est plus que risible. Imaginez une armure juchée sur des échasses, essayant d'avancer, suivie des moutons dans le genre : T'as pas le choix fais ce qu'on te dis et tais toi...

Mais le meilleur y a pas à dire, c'est le final...
Comme un feu d'artifice, hmm si si je vous jure..

Là elle ne peut se retenir, une explosion de rire en entendant beugler le rageant. Le pauvre petiot, qu'on lui a pas donné ce qu'il voulait en Anjou, qui s'est exilé loin où qu'on lui a pas prêté oreilles et qui revient, les braies baissées.

Malgré le fou rire elle se lève, car l'air de rien la situation est grave
. Non mais c'est pas parce qu'ils crèvent la faim qu'ils vont nous piquer notre jambon hein !
Elle les voit se diviser en deux groupes, tentant de leur chouraver la nourriture. Les affiches c'est pas grave y en a plein d'autres déposées partout... Mais la bouffe, surtout celle achetée par cher chez les corsaires. C'est pas pôtib ça.....
Manque de chance, l'angevin est très joueur et c'est donc un balai du " attrape le si tu peux qui s'engage"

Jusqu'au moment où elle entend la voix de Rose, suivie de celle de Kay, super déçue de son ancien mentor.
Là elle décide de monter au créneau, balançant le jambon à sa voisine pour qu'elle le mette en sécurité, et elle se joint aux filles.
Elle lève quand même son index et avec un sourire genre :


euh j' peux dire quelque chose ? mais sans toutefois attendre la permission.

Euh fais gaffe Rose hein, le rageant il a la facheuse tendance à se jeter à terre avant que tu le touches ! Si si la dernière fois c'est ce qu'il m'a fait en lice. Une pitchenette et il était déjà à terre. Hmm c'est vrai que pour la réput' c'est pas super génial quoi ...

Elle avise alors l'armure ambulante sur bécasse échasses et plus bas

Dis tu crois qu'elle a une féminité quelconque dessous celle là d'armure ?
Suivi d'un grand sourire en coin.
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Falco.
Il tournait le dos.
Affaire close.
Mais non.
Faut qu'ils mordent quand ils sont à terre..
Levage d'orbites au ciel.


Rose, votre cervelle étriquée à à force de faire des raccourcis, ressemble à petite boule de pus.
Ville est Royale et vos pauvres révoltes matées chaques jours...Allez hanter des recoins, aucun lieu publique ne vous est acquis.

Et ça va vite le gonfler qu'on ignore les évidences..Mais cela fait partie du boulot.
Il a longuement pensé aux fatigues avant de se plier aux éxigences royales.
Elle mérite plus?
Non.
Qu'elle s'agite , la ville est tenue. Fantasme de ceux qui n'admettent pas les revers.

Et la..Plaf, Une kay.
Il ignorait qu'elle serait la.
Il savait sa présence sur la liste militante angevine.
Mais la, sur cette place?
Devait y avoir buffet gratoche pour sûr!!



Kay..Ma Kay..Bonjour.

Laconique et à l'écoute.
Elle cause rarement en plusieurs phrases la Kayhan.
L'événement vaut de pas le négliger.
Alors il répond, bas, un peu las.


J'ai fait chier le Lys et l'Anjou, le Berry et des Roys, des groupes brigands et des conseils ducaux, kayhan.Et Rome, bien sûr..Tu le sais.
Tous on mérité nos farces et attrapes de jadis.
Ne me vois pas ici comme ennemi d'Anjou, mais d'un Anjou...Et je ne fais que travail éxigé contre ma grâce.
J'avais renoncé aux armes et à tout cela, mais c'est prix à payer pour que je puisse aller plus avant comme me le dictent ma Foi et valeurs...¨Prix éxigé par la seule personne qui gouverne toutes terres au delà du petit Anjou..Ma Kay.

Alors entend le, ce travail, je vais le faire comme j'ai accomplis bien d'autres.



Justification? Même pas. Il fait. Les trois quart des guerres qu'il a mené n'avaient pas la miette de la raison qui motive celle ci.
Et c'est justement ce cercle qu'il veut briser le concernant.

Sur la place le guet et la troupe royale affluent.
Ou barrent les rues au fur et mesure.
Enfin affluent..C'est le prbléme avec le Lys, des fois c'est plus un fliet qu'une crue.
La chose risque de dégénérer en combats de rues...Comme chaque soir en révolte.
Guère plus.
Il fait son taff.
Entamer la dispersion complétement dingue d'angevins ayant oubliés qu'Angers n'est plus leur.
Foutu taff.
C'est moche.
Il conclu vers Kay


Ma Kay, j'espère pouvoir me saouler avec toi demain ou plus tard..
La, je ne peux que te poser la question..Sans Paix, peut on préparer de plus belles guerres futures?
Ah..Et j'ai de la prune de l'Amirale..Si le coeur t'en dit.


Plus haut, aux troupes...En pestant contre Samsa


Rasez, dispersez..Peu importe la justice.


Edit post trop rapides!

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Rackam__frost
"- Les hommes devraient savoir lorsqu’ils sont vaincus.
- Le sauras-tu Quintus ? Le saurais-je ?"

[Gladiator]

Et on ne peut pas dire que l'angevin de base avait l'air de se sentir vaicu. Qu'il était beau et fier cet angevin même pas de sang.Bref parcours du regard et lui et ses dix hommes regarde la scène l'air détaché mais pas trop toute fois. Il sourit en coin et écoute les échanges plutôt dans le genre. "C'est nous les plus fort et on vous merde. Toi t'es un sans couille et ta gueule la mienne est est la plus grosse. " Bordel que c'était lassant en fait. Mais bon, la Couronne voulait du salopard et on allait répondre et agir en salopard. Après tout ce n'est pas le nombre qui comptait mais réussir à délocaliser ses fiers à bras d'Angevins qui pestaient contre nous pauvre soldat à la solde de notre bonne reyne.

Et voilà que Rose éructait de plus belle et l'invitait en lice. ben voyons comme si je n'avais que ça à foutre tout compte fait.

A mois que vous vouliez voir si Rackam aura autant de chance avec moi qu'avec Nevada ?

Le roulage de yeux qui s'impose et d'un air amusé et détaché.

"Je n'ai plus que ma fille à parrainer si vous voulez... Mais ces prochains jours je ne serais pas très disponible vous m'en voyez navré."

Oui oui, il est sans couille comme dirais un gentillet dont on taira le nom et on s'attendra de cette cher Rose encore quelques insultes gratuites et on en passe sans compter les autres. Mais dans le genre salopard le Lion avait pensé à une chose. Un truc vraiment de salopard en somme et qui avait fait ses preuves il y a quelques mois. "La Tatapute."

Petite catapulte qu'il avait fabriqué pour son fils et qu'il avait emprunter sans rien dire à personne. Sauf que cette fois ci, nous ne lancerions pas des projectiles rempli d'eau mais plutôt une belle salve de goudron bouillon. Le goûter angevin serait pour le coup légèrement gâché. Et la petite réunion écourtée. Non pas qu'il ne se plaisait pas ici mais il avait des choses à faire ensuite histoire de gâcher un peu plus les festivités dissidentes. Ce n'était certes pas trop avec l'esprit Coubertin qu'il était venu cette fois mais au moins c'était net, précis et rapide.

Les dix hommes à son commandement s'écartèrent et l'ombre fit son apparition avec cette fameuse Tatapute légèrement fumante à cause de son contenu. La visé fut la belle tablée ou se trouvaient les victuailles angevines. le lion s'avança et pris la bride de la monture de Falco l'écartant légèrement de la trajectoire.


"Veuillez m'excuser cher ami mais je pense qu'il est inutile de parler trop longtemps avec nos amis ici présents."

Petit sourire en coin du style je n'ai certes pas la plus grosse mais j'ai les idées. Il regardait tout ce petit monde de rageux.

"Attention, ça va chauffer."

Et c'est à ce moment là, que son bourreau préféré actionna le mécanisme de la Tatapute la bombe de goudron se fracassant sur l'étal. Inutile de dire que la bouffetance devenait immangeable.

"J'adore qu'un plan se déroule sans accroc."
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Alatariel
L'ancêtre est là, en soutient. Elle aurait voulu dire oui, mais elle ne raisonnablement pas le faire. Sa santé trop instable l’empêchait de s'engager vraiment. Mais elle serait là pour assister Eireen sur le prestige et l'économie.

Quand Falco s'avance, elle se noie dans la foule. L'homme avait forcé les remparts qu'elle avait érigées pour mieux saccager ce qu'ils protégeait. La colère qu'elle éprouvait n'était pas prête de s'éteindre. Et l'affaire ne pourra se solder que par la mort. Ce n'était pas elle qui avait choisi cette issu, mais lui, qui pour un différent politique avait soldé leur relation dans une menace de mort.

Il est temps pour la Vouivre de rappeler pourquoi il la surnomma ainsi. Elle fait signe à Rose et va lui murmurer quelques mots à l'oreille.

- Se serait tellement dommage que dans la bousculade de l'incendie, un cheval se cabre et son cavalier vienne à être piétiné par un mouvement de foule. Quand je te ferais signe, faites ruer la monture de Cartel.

Son visage est étonnement neutre, presque tranquile. Seul son regard, fixé dans le vide traduit l'implacable volonté. Mais l'aveugle ne la voit pas et ne peut pas sentir un parfum qu'elle ne porte plus depuis leur séparation. Quant à Rose, elle n'attends pas la réponse pour aller faire sa partie.

D'un pas discret, elle profite de l'agitation provoquée par le début d'incendie pour s'approcher du palefrois de Falco, une dague fine à la main. L'acquisition avait été faite pour se protéger de Finam quand celui-ci lui avait promis de lui faire éclater sa cervelle trop mure pour avoir voulu adopter elle aussi Katina. Elle n'avait finalement jamais servi... mais elle ne s'en était encore jamais séparée.
La reine des momies se penche sous le ventre de l'animal et tranche la sangle de la selle.

Elle se redresse à peine que Rose saisit le signal. D'un pas maladroit, elle boite désormais, elle se décale pour aller attraper la bride de l'animal le temps que les buses angevines viennent s'occuper de leur proie.

Car si l'angevin est téméraire à vouloir se rassembler pour parler politique dans une ville occupée, il faut être fou, lorsqu'on est aveugle et manchot, pour aller jouer le cador la bouche en cœur au milieu de ceux que l'on a trahi.


02/02/1465 18:13 : Vous avez défié Falco. aux dés et vous avez obtenu le résultat suivant : 5 & 3.

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P.tit_louis.
Je venais tranquillement rejoindre le stand après avoir vaqué à mes occupations, quand j’aperçus les détachements de soldats arriver sur la grand'place avec des torches. Ca sentait pas bon.

Je hâtais le pas, j'avais pris le baudrier d'Eireen, comme si j'avais senti quelque chose venir. Je me disais bien que le Lys ne laisserait pas faire. Arrivé sur place, je vis les soldats qui avaient pris place autour du stand. Rose était arrivée, d'autres arrivaient encore. Je me glissais parmi les Angevins pour passer son baudrier à Eireen.


- J'ai pensé qu'il serait utile.
- Bien vu Louis.
- Je peux aider ? Je sais ... mais ils mettent le feu les fous !


Et là, je pars, je cours, dans mon dos Eireen noue son baudrier, je serais plus efficace à prévenir les gens alors je cours, je passe, je bouscule et je vais frapper aux portes de toutes les échoppes.

AU FEUUUU ! VIIIIITE !

Je me fais arrêter par mon copain Albert le charpentier.

- Crie pas au feu pour rien gamin !
- Je ... le stand des élections ... le feu ... veulent mettre les futurs conseillers en prison !
- Ah non ! Des seaux ! de l'eau ! faites la chaîne !


Et déjà la rumeur se répand dans la ville. Les artisans quittent leurs échoppes et les paysans leurs champs. Il est primordiale d'arrêter l'incendie avant qu'il n'aille plus loin.
Rose
Cette vieille baronne est source d'inspiration. Si Rose trouve Falco plus amère qu'une vieille amende moisie, Alat avait pour lui une haine qui devait être à la mesure de l'amour qu'elle lui avait porté... Un regard pour la vieille femme qui ne lachait jamais rien, un seul et pendant que Rackam poussait doucement l'animal du vieil aigri d'un côté, elle coupa d'une main de couturière la lanière qui maintenait le prêcheur.... L'odeur du goudron attire toutes les attentions ... et c'est le moment qu'elle choisi pour envoyer sa plus fine dague se planter que dessus du sabot de l'animal qui sans doute n'y survivrait pas.

Autant certains bourreaux trouvaient la vie humaine sans importance, autant Rose pensait qu'on pouvait étirer l'argument sur les animaux pour lesquels elle n'avait pas plus d'empathie... Le tir est juste, la bête cabre et si déjà les gardes de l'armée les encercle dans un ordre peu coutumier chez les Français, des cris s'élèvent derrière elle au moment où s’effondre sur le stand une coulée bouillante et épaisse ....


Bordel ...
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Kayhan
C'est un art de rester zen au milieu du binz ambiant. Quand ça fout le feu, que ça jette des baquets de flotte, que ça crie. Que ça fait venir la garde. Que ça sort avec qui des épées, qui des fourches de chez soit.
Et c'est un des rares arts que Kay maîtrise, avec l'art d'échaper aux bains forcés, pour tout dire.

Elle écoute les explications de Falco, les pouces passés dans sa ceinture, son nez comme toujours sale pointé en direction de l'aveugle monté sur son énorme canasson.
Elle secoue la tête tristement à entendre certains passages.
Elle l'entend appeler à raser et vider les lieux.
Quelle erreur magistrale.


Falco. Je vais te donner du "tu" pour la première fois en quoi... 5 années à te servir ?
Tu as été Oserez, tu as été Cartel, tu as été Cravant. Pour moi t'as toujours été Falco.
Tu payes une grâce en faisant un travail qu'on t'impose ?
Alors c'est que tu as choisi de te passer au cou une laisse, et d'en donner la boût à une mauvaise main.
Tu me rappelles quand tu étais la Chose de Llyr qui t'appelait son "ça".
Et tu mérites mieux Falco. Crois en un reître de métier qui n'est utile que s'il choisit un bon patron.
Ta grâce te servira à rien. Tu ne seras jamais de leur sérail.
Tu dis vouloir un autre Anjou, mais ce que tu fais présentement, me donne plutôt l'impression que tu agis par rancœur et frustration.


Elle regarde ses compatriotes qui s'affairent, pour certains colistiers, et sourit.
Plutôt morts que conquis.


Tu fais fausse route, Falco. Je n'aurais de cesse de te le redire.
Ton nouvel Anjou ne serait donc pas capable de supporter la présence d'un groupe électoral sur la place publique, composée d'Angevins de tous bords ?
Il n'y à pas de nouvel Anjou Falco. Juste une volonté de détruire.


Elle parle rarement autant, quand il s'agit de choses sérieuses.
Elle n'a jamais aimé que boire, cogner et rire.
Pour tout le reste, elle est du genre économe.
Aussi elle soupire et clôture son trop long monologue.


Cette main à qui tu as fait l'erreur de donner une laisse, Falco, tu la mordras. Comme tu l'as déjà fait.
Alors à ce moment là oui, je boirai à ta santé comme à celle de l'Anjou, car pour ma part, je m'y sens bien tel qu'il est, et je m'y sens chez moi.
Ce que tu appelles paix est une ingestion de l'Anjou par les Français. Son vrai nom est la mort par l'acédie. Une chose qui t'est insupportable.
Je te le dis même si je sais que tu me croiras pas. Ou ne voudra pas me croire.
Et pourtant tu me connais bien depuis le temps : mentir n'est pas ma tisane.


Elle embrasse du regard le joyeux bordel qui se prépare, et pose sa pogne crasseuse sur le manche de son fauchon.
Il faudra bien qu'en face ils comprennent qu'un Angevin ne lâche jamais rien.
Pas même une affichette électorale.
Tout ceci est avant qu'il se passe chose étonnante.
Dans sa concentration à tenter de sortir des trucs intelligents, elle n'aura pas vu qu'Alatariel se glissait tel un chat sous la panse du canasson de son interlocuteur.
Falco pourra lui en vouloir le cas échéant, de l'avoir distrait par son verbiage.

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Engloutie
J'assistais, en compagnie d'Alatariel, et non sans une certaine lassitude, à la tenue d'un stand politique pour les futures élections comtales. Si tout commençait sans difficulté, et dans une humeur bon enfant, bien vite l'envahisseur vint imposer sa violence et faire taire cette voix qu'il refusait d'entendre, convaincu de sa supériorité : celle de l'indépendance angevine.

Il y eut cet instant de confusion, alors que les angevins soucieux d'éviter la propagation de l'incendie s'activaient et je perdis de vue la baronne. Je tournais sur moi-même, avant de constater l'arrivée d'un vieil homme sur son cheval, et les mots qu'eurent envers lui les angevins m'indiquèrent vite son nom. Je sus alors qui il était pour elle, et connaissant la reine des momies, il était probable qu'elle fomente quelque chose.

Il me fallait la trouver rapidement, craignant pour elle. C'était mon propre instinct de survie qui parlait, la baronne morte, j'ignorais mon sort dans l'avenir. Je tentai de m'approcher de Falco, alors qu'il me semblait que la foule s'intensifiait.

Le cheval se cabra, alors que j'avais manqué l'action de Rose, trop occupée à chercher dans la cohue la chevelure blanche de la baronne. Je dus reculer pour éviter l'animal, et décidai d'user d'un des rares moyens à ma disposition pour localiser la baronne.


POUR l'ANJOU ! JAMAIS NE MEURE !

Je donnai des coups de coude pour avancer et repérer la vieille couturière, espérant qu'elle réponde à mon appel et au Cri qui auréolait son blason.
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