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[Rp] Grand bal du festival d'automne

Alitea_de_manceau
Le moment tant redouté était enfin arrivé, le bal se terminait. Elle était dans ses bras, ses lèvres scellées aux siennes, profitant des derniers instants qu'il leur restait. Son coeur se serra davantage à ses mots.

Moi aussi mon amour je vous aime et mon coeur sera votre à jamais !

Elle ne le quittait pas du regard, imprimant son visage dans sa mémoire pour l'y graver à jamais. Elle serra sa main fermement sur le tissu du foulard qu'il venait de lui offrir, presqu'à s'en faire saigner les paumes, son coeur se déchirant de nouveau, les larmes coulant le long de ses joues. Elle aurait voulu pouvoir arrêter le temps et rester la avec lui pour l'éternité mais la vie en avait décidé autrement. Elle se jeta dans ses bras le serrant aussi fort qu'elle le pu, l'embrassant éperdument.
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Barakar
Il l'embrassa une dernière fois ne disant mot, ne voulant pas gâcher ce dernier instant! Relâchant le baiser, venant essuyer les larmes de sa douce avec sa main tendrement, il relâcha aussi son étreinte faisant glissé ses mains parcourant les courbes de son corps. Venant lui prendre la main et y déposer un baiser tendre avant de la relâcher lentement.
Des bruits de sabots se firent entendre devant l'entrée, il était temps de prendre la route! De partir de Mont-de-Marsan et d'emporter tous les souvenirs et les bon moments passés ici, seulement son cœur resterais ici à jamais!
Il fit quelques pas en arrière, les yeux commençant à devenir humides, n'arrivant à décrocher son regard d'elle! Il fit quand même un signe aux autres convives distinctement, mais rapidement.
Puis il se retourna d'un coup, courant vers sa monture, le regard fixe mais haut, il devait maintenant assurer ses fonctions et il devait restait digne malgrès sa peine!
Il enfourcha sa monture en sautant dessus, jetant son regard une dernière fois à douce à travers les portes, puis donna un grand coup sur son cheval faisant signe au chevaliers de le suivre.

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Alitea_de_manceau
Elle le sent quitter son corps peu à peu, les larmes coulant de plus en plus le long de ses joues. Un regard, l'azur ne le quittant pas le regardant s'éloigner, s'effondrant sur le sol, éclatant en sanglot, la douleur de son coeur devenant insoutenable. Elle aurait voulu le retenir, l'empêcher de partir mais, elle n'avait plus la force de bouger, totalement anéanti, la au milieu de la piste, pleurant toutes les larmes de son corps. Puis il disparu brusquement et dans un long cri de douleur, son amour venait de la quitter à jamais.

BARAKAR NOOOOOOOOOOOOOOOOON !
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Alvira
{ Quelques heures avant le drame qui se déroule juste au dessus } : «Le monde est un grand bal où chacun est masqué.» de Vauvenargues

Fallait qu'elle se bouge, qu'elle s'active, l'emménagement au Domaine lui prenait de son temps, mais même en retard fallait qu'elle y aille, pensant à Line, elle se dit qu'elle l'a verrait surement là-bas, c'est donc le sourire aux lèvres de retrouver tout les Montois qu'elle se lança pour faire honneur au bal. Alitéa s'était donné du mal, l'animation c'était son rayon, et Alvira voulait l'encourager un peu plus. Rien de mieux que de se sentir entouré, et épaulé pour continuer sa tâche et œuvrer toujours plus avec le moral.
Le bien-être, c'est tout ce que la jeune femme souhaitait, surement le réflexe de l'ancienne bourgmestre qu'elle était.

Alvira s'était vêtu simplement, ses affaires encore dans les malles ne lui permettait pas de chercher trop, et ses plus belles robes semblaient être inaccessible, c'est donc, de paprika qu'elle s'habilla, fraichement offerte par son Capitaine, la précaution de coordonner sa tenue à la sienne surement.



Quand elle le vit, bien qu'elle s'attendait à ce qu'il soit lui aussi, en mode paprika, elle ne put s'empêcher de craquer à nouveau, le trouvant définitivement, très beau. Son sourire se fit plus large, et c'est en l'embrassant, lèvres effleurant pour finir, les siennes qu'elle glissa toute espiègle.


Tu es... Charmant !
Je dirai même plus..
Hum... Craquant !


Reprenant un peu de sérieux alors que ses lippes capturaient à nouveau les siennes, pour finir par les délaisser, une fois l'appréciation faite.

Vraiment, je te trouve, très bien ainsi, cette couleur est parfaite, j'avoue qu'elle me donne bien envie de me lancer dans un bal, mais.. Pas celui d'automne.

Un clin d'oeil plus tard, elle filait sans lui laisser le temps de l'étreindre, sachant parfaitement que s'ils voulaient tout deux arriver au bal ils avaient intérêt de ne plus se toucher.
Un fois au lieu dit, elle salua la première qu'elle vit, la "De Manceau", toujours rayonnante, sa blondeur l'a rendant fraiche et pleine de prestance. La Commandante se dit qu'un jour, peut-être, elle aurait ses réflexes que la noblesse impose.


Bonjour Alitéa !
Comment vas-tu ?! Du monde est arrivé ?!


Elle ne zieuta pas son brun, cherchant encore à garder son sérieux. Il avait fait chemin ensemble, Anthy ne cessant de l'a taquiner sur ses dires, voulant l'a faire céder avant l'heure. Elle lui vola quelques baisers, puis se prêta au jeu des réceptions. Ne lâchant pas néanmoins la dextre de son, désormais, compagnon.
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Alitea_de_manceau
[Quelques minutes avant que son prince charmant ne la rejoigne]

Les Montois arrivaient de plus en plus nombreux et cela ravissait la De Manceau qui avait hâte que son chevalier servant ne la rejoigne. Elle scrutait la porte à l'affût de chaque nouvelle personne la franchissant quand arriva devant elle; Alvira et Anthy, tous deux élégamment vêtu pour la circonstance. elle leur sourit avant de les salluer.

Bonsoir à vous deux.
Oui il y a déjà quelques personnes qui se sont regroupés autour du buffet.


Elle les désigne de la main avent de reposer son regard sur eux de nouveaux.

J'espère que la décoration vous plait.
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Anthy
Un bal ? Maaaaarde !!! Voilà l’état d'esprit dans lequel pouvait être Anthy a l'instant ou il prit connaissance de l'endroit ou il allait se rendre. C'est vrai que la valse pour lui consister a envoyer pâtre les pseudos donneurs de leçons mais celle qui consistait a être en harmonie par des pas de danse avec sa partenaire n’était pas du tout dans son rayon.
Fort heureusement, il avait .... accepté !! D'accompagner sa belle a cet événement, fallait être givré pour accepté autant que pour refuser.



Il alla donc se vêtir de façon a être bien dans ses chausses; une fois prêt, il sourit a sa brune, savourant et prolongeant ce baiser tout en l'admirant.


"Mais tu es egalement très en beauté. Tu es sure de vouloir aller a ce bal ?"

A peine eut il le temps de finir sa phrase, cherchant la dernière tactique d'esquive qui demeura sans succès qu'elle l'entraina vers le lieu de la réception. C'est qu'elle semblait lancer pour aller danser et lui pensait plus a la collation qu'il y allait avoir.
Une fois arrivé, il admira sa belle une dernière fois avant de faire disparaitre un mauvais plis puis releva la tête quand Alitea ouvrit et la salua:


"Bonjour a vous Alitea, j’espère que vous n'avez pas fait venir tout Lou moun en ce lieu."

Vrai que pour se taper l'affiche, valait mieux être soit devant peu de monde soit devant 500personnes collés serrés. Un regard par dessus Alitea comme pour avoir un aperçu puis il entra dans la salle, tenant toujours sa belle par la main, la serrant légèrement et saluant les présents.

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_heloise_
Faites tomber les heaumes vous êtes invités au bal

Arrivés depuis quelques heures seulement en la belle capitale Montoise, le jeune couple fut chaleureusement accueilli. Dame Alvira qu'ils croisèrent à leur arrivée, les convia pour le soir même à une fête, celle du bal de l'automne.
Les jeunes gens prirent alors chambre dans un petit hotel, et demandèrent à ce qu'on leur repassent soigneusement les quelques effets qu'ils avaient portés avec eux.
Et délaissant leurs tenues de chevalier pour un soir, ils gagnèrent en fin de journée le lieu indiqué.

D'un pas léger, ils arrivèrent juste à temps pour saluer les danseurs.



Comtesse, par ci ,
Dame Alvira, vous nous voyez ravis de votre invitation, encore merci à vous,

Puis
Oh Sire Anthy! Heureuse de vous voir également.
Permettez que je vous présente ma moitié.


Et de laisser Crevecoeur s'approcher.
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Alvira
A peine arrivé qu'elle eut le plaisir de voir qu'Alitéa avait décoré avec gout, encore un autre talent de femme qu'il lui faudrait attraper, surement le temps l'a gâterait de cette caractéristique. Anthy, où l'homme qui a la phrase qui tombe a pique ne put s'empêcher de commenter le nombre potentiel de participant, rêvant qu'ils ne soient pas de trop. L'était agoraphobe peut-être.

A sa phrase, elle se retint de rire et mit un revers de mains sur la haut de la cuisse de son homme. Rien de méchant, plus une boutade qu'autre chose, se doutant bien que la Comtesse le prendrait comme tel.

C'est à la voix d'Héloise que la Montoise se retourna, ne pouvant retenir un sourire franc et chaleureux.


Dame Heloïse,
ne me remerciez pas, c'est moi, je suis bienheureuse que vous vous joignez à nous.


Un regard à Crevecoeur, et de le saluer à son tour, ponctuant joyeusement.

Et bien, enchantée, nous nous sommes croisé rapidement en taverne, et je saisi le moment pour vous imiter, et vous présenter ma moitié.

Petit sourire un peu gênée, mais heureux, voilà donc la première présentation officielle comme compagnon. Ses yeux glissèrent vers Anthy, un brin amusée, comme lui refilant le bébé.
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Papianille
V'là que Papianille commençait à s'ennuyer sévère, elle restait enfermée dans sa demeure bien plus qu'il ne le fallait et la fatigue, chaque jour, se faisait plus pesante. Oh non, elle n'était pas souffrante mais elle trouvait la vie en ces lieux très ... Trop calme.

Le bal fut évoqué alors qu'elle se trouvait en taverne, on en parlait également dans les rues de la ville alors, tout en haussant les épaules, elle ne voyait pas pourquoi elle ne tenterait pas de s'y rendre. Qui sait, cela lui permettra sans doute de faire des rencontres et de s'amuser un peu ...

Après avoir fouillé sa vieille malle, elle en sortit une robe d'un vert très pâle ... Oh ! Elle était bien passée aux ateliers mais ses moyens ne lui permettaient pas de s'offrir de telles merveilles.

Donc, cette robe d'un vert très pâle ferait probablement l'affaire. C'était une robe qu'adorait sa défunte mère, Papianille n'avait pas su s'en défaire.

Une fois apprêtée ou du moins après avoir essayé de se redonner une allure correcte, Papianille erra un moment dans les rues de la ville avant de trouver cette salle où le bal avait lieu ... Discrète, souriant à ceux qu'elle pouvait croiser, elle commença par se diriger droit vers le buffet, espérant que ces quelques victuailles pourraient lui redonner de la force et surtout, bonne mine !

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La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.
Crevecoeur
On venait de faire connaissance de Dame Alvira,qui nous parlait de sa ville et dans la conversation nous invita au bal de l'automne,d'abord étonnés car nous venions d'arriver que de quelques heures.
On ne pouvait pas refuser l'invitation,mais avant il fallait se changer,avoir une autre tenue moins voyante que nos armures.




Et fois fait on se dirige vers la salle de bal,laissant Heloise entrée la première qui se présenta.
Puis a mon tour je fis de même


Bonjour,Florestan de Crevecoeur
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Anthy
Un sourire a sa belle qui était vraiment sublime comme a son habitude; il se surprenait a penser de temps a autres au fait d’être a ses cotés et de repenser au passé, ce passé qui lui avait laissé une odeur de regret bien trop longtemps mais cela avait changé. Ces pensées firent vite partit quand il vit dame Heloise faire son apparition. Il s'inclina respectueusement avant de la saluer.

"Bonjour a vous et ravi de vous revoir egalement dame Heloise. Et ravi messire egalement de faire votre connaissance. Cela vous dirait il que l'on aille prendre un raffraichissement le temps que le monde arrive ?*

Cela faisait un bon moment qu'il n'avait pas revu cette dame qu'il appréciait et trouvait bien qu'elle soit venu participer a ce bal d'automne. Peu être que son séjour en Lou moun permettrait de lancer la création d'une équipe de Soule par la même occasion. Après tout, c'est une chose qui manquait pas mal a la Gascogne par ces temps calme malgré que la capitale revivait bien.
Tout en avançant, il poursuivait sa route au bras de sa belle l'entrainant vers la buvette peu être que le coup du 'j'ai soif' marchera pour éviter quelques instants de plus une danse.

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Malikah


J'avais entendu parlé d'un bal en taverne. Intéressant. J'adore les bals, j'adore danser, j'adore les rencontres, les fêtes, les rires, les blagues, je peux paraître une jeune femme en folie mais ce n'est pas pour autant qu'il faut me prendre à la légère. Oui, je suis soignée, dans les deux sens du terme, non mais. Je quitte la taverne pour retrouver ma maisonnette où j'y cache un petit trésor. J'ouvre mon coffre à vêtement et j'en sors une longue robe rouge grenat soigneusement pliée en deux. C'est une robe de soie que mon père m'eût apporté d'Asie, un tissu rare et soyeux. Je n'ai encore jamais porté cette robe, et pourquoi pas maintenant? Je décide de l'enfiler. Je me regarde sur le reflet de ma fenêtre sale.

OH! Je ne peux pas me présenter ainsi, j'avais oublié qu'un jour en voulant essayer ma robe, ma petite chipie de sœur me l'avait déchirée au niveau du décolleté. J'ai envie de dire : "tant mieux". Je recoudrai le décolleté plus haut pour mieux me préserver.
J'observe longuement ma robe et j'essaie de voir où je pourrais y faire des modifications. La robe est longue, trop longue, c'est parti, coup de ciseaux *tchak* *tchak* *tchak* *tchak* un peu partout, je fais une ouverture au devant de ma robe pour marcher plus à l'aise. Oui c'est ça, mon œil Malikah, dis surtout que c'est pour que les hommes voient mieux tes belles jambettes avancer l'une après l'autre?
Je personnalise ma robe, heureusement que papa ne voit pas ce que je fais à sa pauvre robe. Il m'aurait fait la leçon pendant plusieurs jours. Je passe bien 2 heures à la personnaliser, j'y ajoute quelques morceaux de tissus dorés pour jouer avec le contraste. Et voilà, j'ai fini. Je fais une petite toilette, je passe du khôl sur mes yeux, le trait noir du khôl sur mes yeux est si parfait que j'en rougis presque en me regardant sur ma fenêtre sale. Je me vêts, je tortille mes cheveux avec mes petits doigts pour leur donner du volume. Bah quoi, le fer à boucles n'existait pas à l'époque. Je porte quelques accessoires, serre-têtes doré, un bracelet orné d'un faux rubis, et j'enfile la jolie cape qui va avec la robe et je n'oublie surtout pas mon "miswak" mon bâtonnet de bois qui donne de l'éclat à mes dents. Je quitte la maison satisfaite.

J'entre dans la gigantesque salle du bal, je ne connais presque personne. Je reconnais de vue, quelques connaissances en taverne, mais je suis si timide que je me fais toute discrète. J'arrive près du buffet, car oui, quand on ne connaît personne et qu'on est trop timide pour aborder, on se tourne généralement vers la nourriture pour se sentir moins seule. N'est-ce pas? Je prends un verre en main que je porte à mes lèvres, je me tourne vers tout ce monde qui danse et tout en buvant de faibles gorgées, je les regarde valser, tournoyer. Qu'est-ce qu'ils savent bien danser.

Alvira
Élancé, ou plutôt s'élancer dans le bal, voilà que le moment était venu. Donc, il fut fait le pas, puis l'autre pour arriver jusqu'au buffet après avoir salué Crevecoeur, Héloise. Son regard entre temps était tombé sur Papianille, qu'elle avait rencontré en taverne, elle ne savait plus véritablement si elle s'était présenté. Puis comme elle souhaitait s'en assurer, elle se lança.

Bonjour, comment allez-vous ?!
Votre visage ne m'est pas inconnu, si tel est le cas de vous à moi, je suis Alvira Messonnier, Dame de Peyrehorade.


La jeune femme invita le petit groupe à rejoindre le buffet, histoire de boire un peu et manger c'est toujours mieux. Et une nouvelle arrivante et une !! Malikah, rencontré la veille ou avant veille, elle en avait un souvenir des plus frais avec cet accent bien à elle, à nouveau des salutations, puis Alvira n'hésita pas à se servir, les bals et elle c'était comme je l'ai eu déjà dit, le pains et l'eau. Bouarf, mais elle y travaillait dur pour apprécier et se fondre dans la masse avec facilité.

Vous êtes tous servi ?!
Savez-vous que notre salle est aménagé par la Mairie, le précédent Maire a fait véritablement un travail titanesque. Et nous en profitons ce soir.


Sourire, bienheureuse de cela, Lou Moun avait eu de la chance après de loin mois sombre, le renouveau était présent, et Alvira ne s'en laissait pas. Un sourire communicatif à ses compères d'estomac, couvant du regard son Capitaine.
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Papianille
Une victuaille par ci, une victuaille par là, Papianille observait les convives. Elle avait bien reconnu Dame Alvira, celle là même qui lui avait, en premier lieu, parler de ce bal. Une jeune femme approcha à son tour du buffet, Papianille lui avait à peine sourit.

C'est dire que les bals n'étaient guère son fort, la foule, le bruit et la danse ... Ses pensées errant ici et là, elle fut un peu surprise de se retrouver 'nez à nez' avec Alvira qui avait approché. Un sourire à la Dame.


Dame Alvira, enchantée, une fois de plus.

Petit rire idiot, fière de sa boutade. Ce n'était que la troisième fois que Alvira se présentait à elle alors ... La première fois ce fut en taverne, où elles sont agréablement échangé. La deuxième fois, quelque part dans les rues, alors qu'elle jouait au pendu et maintenant ... Hum, trêve de plaisanterie.

Je vais bien, je vous en remercie et vous même ?

Temps de regarder chacune des personnes présentes, leur sourire et se présenter.

L'on me nomme Papianille ...

Verre à la main, elle n'attendit personne pour boire sa première gorgée ...
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La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.
Anthy
La salle semblait se remplir, il vit arriver là une demoiselle suivit de prés par une autre demoiselle. Puis laissant sa belle parler, il prit un verre et se servit avant de le lever machinalement tout en disant d'une voie posée.

"A ce bal donc !"

Une fraction de seconde plus tard, il appréciait son verre, laissant l'alcool descendre le long de sa gorge tout en observant puis di tout naturellement a la dame qui venait de le faire.

"Ravi Pianille, ce nom est peu commun. Vous êtes du coin ?"

Une gorgée plus tard, il observant toujours les gens proche de lui, souriant a sa brune avant de regarder la salle voyant là, une demoiselle qui lui semblait avoir déjà croisé en taverne quelques temps plus tôt. C’était une bonne chose que ce genre de moments attire les gens, après tout n’était ce pas la meilleure des choses que de pouvoir croiser ses voisins dans ces moments de convivialités ?
Ce genre de moment qui conduisit Anthy a se dire que pour le moment, le coup d'aller picoler marchait plutôt bien pour éviter une danse. Il s'amusait a chercher du regard s'il verrait Coco ou Anton, peu être allaient ils venir avec du retard comme souvent comparé a Dragon qui semblait déjà fort occupé avec Tabouchka non loin d'eux.

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