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[RP] Mariage d'Aimeryc et Ursula, 25 mai 1465

Pimperlotte
[Jeudi 25 mai 1465...]
Mariage d'Aimeryc Charles de Courcy, seigneur de la Chapelle-Vaupelteigne et d'Ursula de Ozta Vicomtesse d'Échauffour



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Pimperlotte
[i]L'été est proche, d'jà on sent l'parfum des fleurs, ca sent l'lilas et l'chevrefeuil près d'la p'tite chapelle nobiliaire de Beaumont l'Roger. Les p'tites abeilles butinent comme les amoureux, c'est la saison des amours! Pas la saison des mariages, on s'marie point en mai, mais l'Courcy veut pas faire comme les aut', pensez vous!
Et just'ment...
Pimperlotte est sur son 31

Car aujourd'hui, y a un mariage à Beaumont l'Roger.
L'mariage du seigneur d'la chapelle (port'ben son nom c'lui là), l'frangin vassalique d'sa p'tite caille Isaiis, vassal d'son aut' p'tite caille Elsa. Une affaire d'famille on pourrait presq'dire.

Les cloches tintent joyeusement, annoncant aux invités qu'il faut s'dépêcher.
La vieille est point du genre patiente!
L'église a été décoré à grand coup d'fleurs... Les jardins ont du êt'dévasté!



Pimperlotte sort d'la chapelle et comme l'veut la coutume, elle va accueillir les invités dehors
elle descend quelques marches et va saluer les personnes présentes en souriant

[/i]
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Mary_lisa.
Pour la première fois depuis bien des jours la mini Courcy avait déserté les vastes espaces bien trop froids de Tancarville pour retrouver la chaleur de la demeure familiale. Les deux promis, qui ne l’étaient encore qu’en cachette, arrivèrent la veille du mariage à la capitale. Si l’éphèbe regagna son hôtel particulier, c’est sagement auprès de son père que la solaire rentra. Elle avait décidé – presque exigée – que la soirée précèdent le grand jour serait une soirée père-fille comme ils aiment tant le faire et qu’ils ne faisaient que bien trop peu. Pour cela une excuse toute trouvée, elle servirait de chaperon. Interdiction que les futurs épousés se voient la vieille du mariage oblige. Se retrouver chaperonne de son propre père voilà qui l’amusait. Comme espéré elle passa une agréable soirée avec son père. Pour une fois nulle dispute ne brisa leur complicité, elle évita soigneusement tous les sujets qui fâche, notamment le sujet de sa future union. Elle espérait déjà arriver à conclure celle-ci et éviter que l’Ozta le plante devant l’autel. Elle avait même écrit quelques jours auparavant à sa future belle-mère pour s’en assurer. Comprendre par-là, une énième tentative de l’acheter juste « au cas où ».

C’est aux aurores qu’elle se leva pour le grand jour. Elle était aussi stressé qu’elle le serait pour son propre mariage assurément. Elle avait tant désespéré que son père trouve une femme qu’elle apprécierait qu’aujourd’hui pour elle se jouait gros. L’Ozta était la première qu’elle acceptait, et serait la dernière, alors il avait intérêt à l’épouser et elle s’en assurerait.
Alors que Jeanne s’activait pour l’aider à se préparer, elle accorda quelques heures de sommeil supplémentaire à son père. Après tout… il avait besoin d’un stock suffisant de sommeil pour tenir les prochains mois. Il n’aurait plus qu’une chieuse à gérer, mais deux. Et les deux n’étaient pas en restes.
Avant de quitter la maison elle passa en coup de vent dans les appartements de son père pour s’assurer que tout était prêt. Un coup d’œil suffit pour détailler sa tenue et une main avertie passa dans la chevelure du paternel pour la discipliner.

« - Vous n’êtes pas trop mal, ça fera l’affaire.»

Un clin d’œil complice, et une simple bise sur la joue suffit. Elle n’avait pas envie de s’attarder sur le côté émouvant. La vieille leur avait suffi, et elle avait suffisamment fait de marque d’affection pour les mois à venir. Ne lui en demandons pas trop d’un coup. Mais bien qu’elle n’en formulerait pas les mots, elle était fière de son père, du chemin parcourut et des divers changements effectués dans sa vie. Elle aimait d’autant plus l’homme qu’il devenait.

« - Je crois vous avoir déjà suffisamment chaperonné depuis hier soir. Je vais vous laisser un peu respirer, mais n’en profitez pas pour faire marche arrière. Je vous retrouve à la Chapelle.»

Finissant ses propres préparatifs ce n’est que quelques heures plus tard qu’elle retrouva son père sur le parvis de la Chapelle prêt à accueillir les premiers invités. Elle avait décidé de se vêtir pour l’occasion d’une tenues qu’elle affectionnait particulièrement mais qu’elle n’avait pour l’heure jamais eu l’occasion de porter mais dont elle savait suffisamment fluide pour lui permettre de participer aux festivités suite à la cérémonie. L’Acier accepterait-il de la faire danser ? Il râlerait sans aucun doute. Mais elle était tenace, et aujourd’hui elle comptait bien s’amuser. Le rose avait retrouvé ses joues, les nausées et les vertiges c’étaient calmés, au moins pour quelques jours l’espérait-elle. Alors rien ne pourrait entraver sa joie ce jour.

Voyant la vieille, Charmante Pimperlotte, elle la salua d'un large sourire. Cette bonne femme l'amusait.

« - Le Bonjour à vous Pimperlotte.»

Alors que des yeux elle cherchait à reconnaître parmi les premiers invités le visage de son cavalier, elle glissa discrètement sa main dans celle de son paternel pour la serrer doucement.


« -Prêt ?»


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Aimeryc.
[Rouen – 25 mai 1465 – Jour de la pendaison]


Le grand jour était enfin arrivé. Après plusieurs longues semaines d’attente le normand allait à nouveau se passer la corde au cou et perdre, légèrement, de cette liberté qu’il chérissait plus que tout. La seule différence avec son premier mariage était que cette fois-ci la femme qu’il allait épouser l’aimait, par un étrange hasard, aussi. Une différence de taille qui promettait des jours heureux à la future union et ce même si l’Ozta avait autant de confiance en elle qu’un enfant de cinq ans. En fait, j’ai mentit, il y avait deux différences à cette union et la seconde consistait à respecter une vieille « tradition » soit celle que les deux futurs époux ne devaient pas se voir avant le mariage. Cette idée, qui n’enchantait guère le normand, lui avait été soufflée par sa fille qui voyait ainsi un prétexte pour le chaperonner pour une rare fois et passer une soirée père-fille. Aucune objection en vue, le Courcy accepta et ils passèrent une des plus belles soirées qu’ils avaient pu passer depuis des lustres alors qu’ils avaient évité les sujets brûlants et qui auraient pu faire voler tout en éclat. C’est tard dans la nuit qu’ils avaient rejoint chacun leur couche.

Rares étaient les fois où il dormait longtemps mais cette fois-ci faisait partie de ces moments et il dormit le double des heures qu’il faisait en temps normal alors qu’il avait demandé à être réveillé à une heure précise. La faute de sa fille assurément mais pourtant il n’était pas grognon alors qu’il se relevait. Un bain fumant d’où émanait la douce odeur de chèvrefeuille, dont il était parfumé à chaque jour, semblait l’attendre. C’est donc sans se faire prier qu’il glissa dans l’eau chaude pour détendre ses muscles et surtout pour mieux se réveiller puisqu’il ne serait pas couché avant plusieurs longues heures avec tous les invités qui devaient se pointer à Beaumont. Après une bonne heure à se prélasser dans cette eau fumante de chaleur il finit par s’extirper pour se sécher et lentement enfiler sa tenue du jour. D’Émeraude il avait décidé d’être paré et c’est donc avec qu’il enfila ce pantalon, qui n’était pas des collants, d’un vert très pâle alors qu’il passait une chemise de la même couleur. Par la suite fut le tour à cette pièce de vêtement qu’il détestait tant qu’il préférait ne pas la nommer d’une couleur vert/bleu pour finir par un petit gilet de ce vert émeraude alors qu’une ceinture de tissu venait ceindre sa taille et que des bandes de tissus venait ceindre ses poignets pour éviter les manches bouffantes. La coiffure domptée en quelques coups il lâcha un grognement en sentant la main de sa fille venir défaire ce qu’il venait d’accomplir. Esquissant un sourire en coin il ne tarda pas à répondre.


    « - À quoi tu t’attendais ? Ton père est magnifique tu sais. »


À travers la psyché il lui décocha un clin d’œil complice avant de tendre la joue en sentant les lèvres se poser sur celle-ci et contre sa barbe fraîchement taillée.
.
    « - Moi ? Me dégonfler ? Ce n’est pas mon genre voyons et tu le sais. Je serais là. Je me suis engagé et je respecte mes engagements. »


Finalement seul il termina les derniers préparatifs avant de grimper dans le carrosse qui le mènerait jusqu’à l’échafaud soit la chapelle de Beaumont, celle de sa sœur vassalique. Ce n’est que quelques heures après qu’il arriva sur le parvis de la petite chapelle où personne n’était encore arrivé à l’exception de sa fille bien entendu. S’extirpant de l’habitacle il posa sur une de ses épaules la cape qui complétait sa tenue et qui était de ce même vert émeraude tout en étant bordé d’une fourrure blanche pour bien se démarquer. Lentement il s’approcha de la vieille qui connaissait tous ses secrets et secoua la tête légèrement. Alors qu’il allait la saluer il sentit une main se glisser dans la sienne et il tourna la tête vers la détentrice de celle-ci.

    « - Autant qu’on peut l’être le jour de sa pendaison. »

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Ursula_
[24 mai 1465, Silence d’une nuit grise]

Mary_lisa.
Aux côtés de son père elle attendait patiemment l’arrivée des premiers invités, afin de l’épauler dans leur accueil. Son père était son pilier au quotidien, alors pour une fois les rôles étaient inversé, c’est elle qui le seconderait. Tout devait être parfait, elle devait s’en assurer et éviter un stress inutile au Courcy senior. Mais c’était sans compter l’Ozta. Alors qu’elle discutait à voix basse avec son paternel pour s’enquérir des derniers détails, un valet vint lui murmurer quelques mots à l’oreille. Instinctivement elle se figea. Oh non…. Cela n’annonçait rien de bon. Dans sa dernière missive elle avait avertie l’Ozta de la faire mander au moindre doute, à la moindre crainte, n’importe quoi qui aurait pu la faire reculer. Cela avait été formulé plus comme une formule de politesse, tout en espérant que cela n’ait pas besoin d’être appliquée. Mais il semblait bien que la Navarraise ait pris ses mots au pied de la lettre. Elle devait éviter une catastrophe, il était hors de question que tout soit gâché. Elle devait la rejoindre, la calmer, la rassurer, et ce au plus vite.

Essayant de paraitre la plus naturelle qu’il soit elle tenta d’afficher un sourire rassurant envers son paternel. Il ne devait pas comprendre ce qu’il se tramait. A coup sûr il pourrait s’énerver, et serait même capable d’aller chercher la future et la trainer devant l’autel par les cheveux. Presque.


« - Humm... Père ? Je vais vous laisser accueillir vos invités, je dois… Je dois régler une affaire urgente. Je serais rapidement de retour. »

Et avant même qu’il puisse protester ou tenter de lui faire cracher la vérité, elle disparut rapidement. Son père avait le don agaçant de deviner chaque fois qu’elle formulait un mensonge. Un art que développer chaque parent ? Cela était fatiguant ! Surtout qu’elle était incapable de résister dès lors qu’il l’obligeait à tout avouer. Elle préféra donc le laisser planter sur le perron de la Chapelle et partir à toute vitesse.
Grimpant à nouveau dans le carrosse qui l’avait amené jusqu’à Beaumont, elle ordonna de faire demi-tours, le valet l’ayant prévenu l’accompagnant.


« - Amenez-moi auprès de la Vicomtesse d’Echauffour. Vite. »

Tout le long du trajet elle pria intérieurement pour que l’Ozta ne fasse pas de connerie et qu’elle l’attende bien sagement. Clairement il était hors de questions que la future mariée prenne la fuite et qu’elle joue à cache-cache avec elle. Elle aimait jouer, mais là clairement l’humeur n’était pas au rendez-vous.

Alors qu’elle était conduite le plus rapidement qu’il soit auprès des appartements abritant celle qui deviendrait sa belle-mère, elle eut la stupeur de découvrir celle-ci a même le sol. Elle avait l’air d’un petit animal apeuré et blessé. Cette vision lui serra le cœur et l’inquiétude bien plus encore. C’était pire que ce qu’elle pensait. La belle blonde semblait terrorisée. Très doucement elle fit quelques pars léger vers elle, rien de brusque pour ne pas l’effrayer outre mesure.


« - Ursula, c’est Mary. Je suis là… tout va bien. »

Un pas après l’autre elle se rapprocha d’elle, et une fois arrivée à ses côtés elle s’accroupit à son tour pour se retrouver à sa hauteur. Ses gestes se font calmes, doux et apaisant. Sa dextre vient se poser sur son front avec douceur avant d’enrouler un bras autour de ses épaules pour l’étreindre doucement contre elle. Si l’Ozta deviendrait bientôt sa belle-mère, elle n’en était pas beaucoup plus âgée qu’elle. Alors comme une sœur l’aurait fait elle tenta de la calmer durant de longues minutes, l’apaisant par de douce parole.

« - Tout va bien se passer, je vous le promets. J’y veillerais. Vous sentez-vous prête ? Je reste près de vous. »

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Savian
    Savian avait eu le plaisir de taper l’incruste auprès d’Ursula pour arriver jusqu’aux terres qu’il trouvait peu accueillante en Normandie. Quelle folie. La seule belle province qui existe est l’Alençon et ça, tout le monde le sait très bien. Il était alors arrivé à Beaumont le Roger et avait pu profiter d’une chambre gracieusement préparée pour lui. C’était ça ou taper l’incruste dans la chambre de la future mariée, pas question pour lui de dormir dehors. Alors, bien évidemment, on ne pouvait pas lui refuser une telle hospitalité. Il ne connaissait que trop peu le futur marié et espérait pouvoir corriger ça dans les jours à venir. Il faut dire que du haut de ses deux mètres dix, le Colosse est protecteur, d’autant plus avec quelques rares personnes comme l’Ursule par exemple. Et bien évidemment, sachant que la blonde savait parfaitement se défendre, il ne pouvait pas tolérer qu’on la blesse.

    Tout ça pour vous dire, que c’est le matin du mariage et que Savian a faim. Alors il s’est posé dans une des auberges agréables du duché de Beaumont afin de savourer un bon poulet avec de bonnes pommes de terre. Il n’allait pas être en retard… Oh que non. Il avait le temps après tout. Non… ?

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(Oui c'est un chaton sur mon blason. On choisit pas sa famille...)

Della
La porte de l'auberge, celle-là exactement où le Capitaine Royal mange (encore) du poulet, s'ouvrit sur la Volvent Perchée dite Pépé en Alençon.
Elle aussi avait faim parce qu'elle avait voyagé des heures durant pour venir assister à un énième mariage. Pourquoi donc se mariait-on ? Combien de fois s'était-elle posé cette question...Pourquoi elle-même s'était-elle remariée ? Il faut dire qu'elle avait le don d'épouser des ombres. D'un côté, il y avait du bon, cela la laissait plutôt libre de tout. Mais parfois, elle aurait bien aimé taper la discute avec quelqu'un chez elle, le soir plutôt de raconter sa journée à son lapin blanc Whitiiie.

Bref, revenons au moment où Della de Volvent Perche-Ried ouvre la porte de la fameuse auberge. Elle plisse un peu les yeux, histoire d'habituer son regard à la pénombre de l'endroit et scrute la salle. Han ! Pas de place apparemment ! Toutes les tables sont occupées ! Mange-t-on gratuitement dans cette auberge pour qu'elle attire autant de monde ? Quelques secondes encore et cette fois, la mise au point du regard est faite et là, sur la gauche, une table avec une seule personne attablée...Un homme visiblement, grand certainement, une belle baraque en somme...Elle ne peut savoir de qui il s'agit parce qu'elle n'en voit que le dos. Assurément, cet homme-là sera heureux d'offrir un bout de table à une dame. Pas n'importe laquelle non plus.
Alors, Della avance d'un pas assuré après avoir lancer un "Bonjour !" au tavernier, approche de l'homme, fait le tour de la table et...


Savian ?
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Savian
    Savian & son manque de savoir-vivre lorsqu’il tapait dans une bonne cuisse de poulet était donc attablés à une table de façon… Posay. Comme on dit dans le jargon. Si le Colosse ne trouvait pas de femme, aujourd’hui, on pouvait alors comprendre pourquoi. De la graisse coulait sur sa parfaite barbe. Lui, toujours soigné, semblait manger comme un véritable… Porc. Bien heureusement, il comptait bien repasser par la case « Casa » pour se changer, se peigner –les cheveux & la barbe » et revenir tout apprêter pour le mariage dans une tenue plutôt convenable malgré la difficulté à trouver bon couturier lorsqu’on mesure deux mètres dix et qu’on fait plus de cent kilos.

    En discussion intime avec ces belles cuisses, poussant quelques fois des grognements de plaisir de manger enfin à sa faim aux frais de… D’Ursula oui. Il avait décidé que lui taxer quelques écus pour boustifailler faisait partie de ses attributions en tant que… Squatteur officiel d’Echauffour. Après tout, Ursula, c’est un peu comme sa famille non… ?

    Donc en pleine discussion regorgeante d’amour, il put s’attendre à tout sauf voir…


    — De... Della ?!

    D’étonnement il avala un petit morceau de poulet de travers. Bien heureusement, ce n’était pas un os. Mourir le jour d’un mariage, y’a plus gaie comme histoire. Il toussa alors fortement, passa du blanc au pourpre puis de nouveau à une couleur normale et se leva tout en attrapant sa serviette et essuyant sa bouche.

    — Bonjour votre Grâce.

    La plaie. Ils étaient lourds ces nobles à taper l’incruste n’importe quand. Maintenant fallait faire attention à comment manger, se redresser, ne pas parler la bouche pleine, user des prédicats, bref. Il était bien content des fois de voir sa cousine Exaltation et de pouvoir la serrer dans ses bras sans user du « Votre Grâce ». Il tendit alors son bras pour inviter Della à s’asseoir.

    — Je vous en prie.

    Non, il ne lui tirerait pas la chaise, sa main pleine de gras perdrait de sa saveur ! Puis il reprit place et reprit son repas. Bien évidemment, car Savian est le beau mâle dont tout le monde peut rêver, il retient un rôt puis parle de nouveau, mais la bouche pleine.

    — Chous chenez achichter au mariache d’Urchula ?

    Il ne se plaint pas en mode “Pourquoi tout le monde trouve l’amour et pas moi ?”. Non, il préféra éviter de geindre devant la Pépé et reprit du poulet.

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(Oui c'est un chaton sur mon blason. On choisit pas sa famille...)

Elsa.d.asceline
    Nous étions arrivés sur les terres de Beaumont le Roger tard la veille, presque en plein milieu de la nuit même et n'aurions pas le temps de nous y attarder comme j'aurais aimer pouvoir le faire quelques jours afin de pouvoir profiter un peu de la famille, puisque nos charges au parlement de Franche-Comté ne pouvaient pas se passer de nous, enfin de mon époux Franc-Comte surtout.

    Ce n'était pas un jour ordinaire puisque aujourd'hui, c'était mon vassal qui avait décider de passer par la case mariage, ce que de mon coté j'avais fait, il y avait déjà six semaines .

    Ça serait aussi l'occasion de présenter Louis, notre fils , né dix jours plus tôt aux membres de la petite famille normande et amis qui n'avaient pas encore eu l'occasion de le voir.

    La maternité m'allait plutôt bien et peu a peu je trouvais mes marques à ce grand bouleversement.Tout était arriver en même temps et m'avait un peu déboussolée ces derniers temps.

    Comme toujours, nous avions trouver notre chambre prête a notre arrivée et Isaiis qui bien entendu avait veillée afin d'être présente et ne pas nous ratés. Après quelques heures de sommeil bénéfique Childéric et moi, nous nous étions hâter de nous préparer pour ne pas arriver en retard a la cérémonie et aussi ne pas rater le petit déjeuné prit en famille , qui comme toujours s'était dérouler dans la bonne humeur bien connue de ma sœur et de mon beau frère.

    Le moment venu, j'avais confier mon fils à la nurse de Beaumont, une église n'étant pas vraiment le lieu le plus approprié pour un enfant en si bas âge .Mon fils était plutôt calme en général mais il valait mieux éviter les crises de pleurs qui auraient pu venir gâcher la cérémonie.

    Après avoir vérifier une dernière fois ma mise dans le miroir du halle, j'avais prit en souriant le bras de mon homme puis nous nous étions mit en marche afin de rejoindre la chapelle.

    L'édifice était d'ailleurs encore calme a notre arrivée, au moins nous n'étions pas en retard!

    J'avais largement souris a l'officiante du jour.


    Bonjour Pimperlotte! Comment vas-tu?

    Une fois les nouvelles prisent nous irions rejoindre un banc.

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Pimperlotte
[Sur l'perron d'la p'tite chapelle d'Beaumont l'roger]

Les invités commencaient a pointer l'bout d'leur museaux. L'marié, sa p'tiote Mary qui l'était plus tant qu'ca, et enfin sa p'tite caille Elsa.

Du r'tard... La blondie qui s'sauve.. La mariée aurait elle changé d'avis?
Non sans doute pas... Une p'tite agnelle anxieuse sans doute de s'lier au loup mrgreen:

La vieille s'approcha donc d'elle et dépose un grosse bise sonore sur les joues roses d'la p'tite Asceline

Bonjour ma p'tite caille! Contente d'voir qu't'as fais bonne route!
Alors l'est où l' p'tiot héritier du cheddar?


Ouais... La vieille et son franc parlé, la vieille et ses habitudes... L'temps avance, mais la vieille n'change pas!

Et pour répondre à ta question ma p'tiote Elsa, j'va ben comme tu vois!
C'est un beau jour qu'voilà, l'Courcy va enfin s'fair dresser la couenne... Hummm j'veux dire, il va s'passer la corde au cou... Enfin tu m'comprends!
J'va d'ailleurs exiger une confession dans un an tiens, voir s'il s'tient à carreaux


Pimperlotte s'frotte les mains, les invités commencent à arriver autour d'la chapelle. C'est ben sur l'parvis qu'à la vieille va accueillir tout se p'tit monde.
Elle officie dans les règles la p'tite grand mère

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Erwann_

    Bref.

    J’ai fait une connerie. Enfin d’après eux, pas moi.
    Eux, c’est ma mère et son pecnot de vassal.
    Alors elle nous a convoqués. J’y suis allé. Pas lui.
    On s’est expliqué et pour me tenir à l’œil, elle m’a dit :
    « Tu viendras. »
    J’ai dit : « Non. »
    Elle m’a dit : « Si. »
    J’ai dit : « Non. »
    Elle m’a dit : « C’est ça ou c’est toi que je marie. »
    Alors j’ai dit : « Je viendrais. »

    Bref, j’ai dû accompagner ma mère au mariage de son frère.

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Della
Della sourit à Savian, elle réprima un petit rire aussi quand il manqua d'étouffer de surprise. Puis, elle s'assit. Elle n'avait pas besoin qu'on lui tire un siège ou quoi que ce soit d'autre, elle avait seulement envie de manger et ma foi, il semblerait que cela se fasse en bonne compagnie !

Della suffira pour aujourd'hui et aussi les autres jours. Pourvu qu'il n'y ait pas héraut dans la salle...

Oui. Fit-elle...Je viens assister au mariage d'Ursula.
Un gamin passa à qui elle commanda à manger et à boire.

Quelle idée de se marier, n'est-ce pas ?
Heureusement, ils auront une belle journée.
Vous connaissez le marié ?


Rapidement l'on porta une carafe de vin et Della fut servie.


Vous êtes venu seul ? A moins que quelqu'un se cache sous la table, cela semblait en effet.
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Avis.


The journey to Beaumont l’Roger had been long and difficult; she found she could not sit on horseback for a long time, and mounting and dismounting was more difficult still with her ever-growing belly. But, never, would she give up her silver Guinevere for a carriage. The freedom of riding was important to her.

They arrived with little time to rest before the ceremony. She changed quickly into her dress and wove her hair into a fresh plait. Finally, she looked to the Norman to see if he was ready to walk to the chapel.


Le voyage à Beaumont l'Roger avait été long et difficile; Elle a constaté qu'elle ne pouvait pas s'asseoir à cheval pendant une longue période, et le montage et le démontage étaient plus difficiles encore avec son ventre toujours croissant. Mais, jamais, elle abandonnerait son guinevere d'argent pour une voiture. La liberté de conduite était importante pour elle.

Ils sont arrivés avec peu de temps pour se reposer avant la cérémonie. Elle a changé rapidement dans sa robe et a enfoncé ses cheveux dans une bêche fraîche. Finalement, elle regarda le Norman pour voir s'il était prêt à marcher jusqu'à la chapelle.
Nicklass
Nick accompagnais ça douce , à cette cérémonie , Les voyages durais depuis nombreux mois .

Il supportait la belle qui avait de plus en plus de la difficulté à ce déplacé , il lui offrit ca main pour rejoindre l'assemblé puis sourit .

vous êtes Prêt ?
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*Signature translate :
Love is the supreme expression of the will to live
Normand Templar
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