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[RP] La forêt

Tartane
Or ça, voilà que d'un bois aux abois, nous avions douces créatures perdues dedans, riant et s'embourbant gaiement.
Un arbre à palabre, deux sapins perlimpimpin, trois conifères, tralonlère. Pouvions gager que ce lieu-là, ce village en folie, allait être paré de beau !

Si bien que les deux belles, jouvencelles, donzelles de rire et de légerté, s'en vinrent au nez du Sire Ben. Diantre, elle n'avait guère eu heur de le croiser ailleurs qu'en couloirs municipaux. De voir l'homme couvert d'hiver, joues roses de la froidure, sang-bleu sur la vesture, l'esbaubit bigre. Bref, désarçonnée, la jeune femme resta bien bête, personne n'en fut surpris outre mesure.
Se tournant vers son amie


Dame Steph, j'avions à vous, la présente du Sire Ben, de même mon Sire, c'estions ma mienne amie Steph.
Oui-da, l'avions déjà la morte-vive Elanah, qu'a pris ce chemin-ci, chargée de l'arbre de nativité. Fors bien, portons cestuy ailleurs.


Puis, benaise, tortillant une mêche de cheveux, estima du regard le labeur à fournir. Un tronc massif, bien dense et lourd. 6 bras costauds, mais surtout bien froids. Et toujours, au bout du chemin, la taverne brillante et le vin chaud. Moui, bonne idée, donc, d'offrir en présent le sapin à Sire Karty.
Ainsi, tous 3 hâlèrent-ils l'icône pesante au grès de la sente, puis par les ruelles, enfin frappèrent à la porte.

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Hommes, ici n'a point de moquerie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
Benialdus
Benialdus vit approcher dame Tartane et une autre demoiselle tout aussi charmante, aux joues rosies par le froid ou par la joie latente qui régnait dans le village depuis quelque temps.

Haaa c'était bien vous, dame Tartane, très heureux de vous revoir! Il l'a salua en baissant respectueusement la tête, et il refit le même geste quand dame Steph lui fut présentée.

Enchanté de vous rencontrer, je vous souhaite la bienvenue dans notre village.

Je vous suis chère Tartane!


Il tira sur la corde et rougit de plus belle en forçant, projetant avec son souffle une trainée de vapeur d'eau dans l'atmosphère froide et humide.
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Steph_
Aidant Tartane a se relever pour aller boire ce vin chaud,elles entendirent un cri dans les bois et tout en avançant,tombèrent nez à nez avec un Sire aux joues rosies par le froid et tirant un sapin derrière lui.
Tartane fit les présentations,Ben salua par une courbette les demoiselle puis Stéph en fit de même.

Enchantée de vous rencontré Sire Ben.

Les joues rouge par le froid oui,mais aussi par la timidité et la gêne qu'elle éprouvait en se présentant vêtue de haillons à un Messire.

Tout trois se dirigèrent ensemble donc vers la taverne de Sire Karty.

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Isora
Allons penser à autre chose, se changer les idées, oublier les tracas, les histoires, les problèmes. Voilà notre Tonnerroise enfin qui s'échappe afin de respirer à grandes inspirations l'air extérieur, marcher, s'activer un peu, voir d'autres horizons que son petit coin qui n'est en plus pas très grand et confiné. Ce matin, ses pas l’avaient conduite précisément ici par le plus grand des hasards. Elle cherchait son ami voltigeur des yeux un peu partout. Une missive de son maître hier soir qui l'informait que : « J'ai envoyé Epargne à ta recherche, il ne t’a point trouvée ? Cela faisait si longtemps qu’elle ne l’avait pas vu, de sa présence aussi elle s’était trop habituée, attachée car il lui avait fortement manqué. Elle était donc partie à sa rencontre, à sa recherche, elle avait tant de choses à lui murmurer. C’était sans doute ici qu’il était venu, ils y venaient si souvent tous les deux. Un petit sourire moqueur d’elle-même vint au bord de ses lèvres, n’était-il pas en quelque sorte un peu son plus fidèle confident ?

Isora ! Depuis combien de temps es-tu ici à Chalon et tu n’avais jamais fais attention qu’une jolie forêt était là aux portes de la ville ?

Un petit murmure qui s'envole au travers des feuillus légèrement dénudés......
Une agréable surprise, les pensées de notre amie s’agitent, étonnée de se retrouver, là face à l’orée de ces bois. Pourtant s’ il est un lieu qu’elle aime tant : c’est la forêt……et tous les endroits où elle pouvait trouver une certaine liberté, de la quiétude, un lieu de recueillement, des odeurs rassurantes, des petits bruits reposants…….Sa destination de prédilection, mais tellement absorbée, happée par des événements, qui l’avaient soumise à de rudes épreuves, qui l’avaient complètement renversée et confrontée à des interrogations personnelles délicates : qu’elle en était restée confinée dans son petit coin sans pratiquement en sortir. Comment avait-elle pu ne pas la voir ?

En dehors de quelques passages en taverne car il s’y trouvait des personnes qu’elle appréciait et dont la compagnie lui était agréable, la belette de celle que l’on disait agitée, en était restée prostrée dans son terrier. Certaines conversations, l’avaient fait pourtant fait rêvé un court instant, son fabuleux voyage en Languedoc, le pays chantant. Amusant, étonnant de retrouver ici à Chalon un des voyageurs, sympathique, qui avait fait partie de ce long périple. Lui voyageait en compagnie de sa marraine, elle avec celui qui était son meilleur ami, son complice, celui dont l’amitié profonde lui était si chère, pour ne pas dire indispensable, oserait-elle dire vitale ? Pourtant le mot était exact.

Elle marchait, empruntant les sentiers boisés, la neige encore présente rendait l’endroit immaculé. Bientôt elle disparaitrait. Ah quelle tristesse, déjà il n’était plus possible d’envoyer la moindre boule de neige. Dommage, Isora, remplie de malice avait été arrêtée dans son élan, oui elle devenait une spécialiste, ses cibles ne lui échappaient plus du tout, leur tête surtout particulièrement. Bref cela aurait apporté encore un peu de rires et de plaisanteries dans ces moments de sérieux et de tristesse, qui hélas étaient on ne peux plus compréhensibles et inévitables. Elle avançait donc tout doucement, sans aucun doute Epargne devait être ici, il suffisait juste qu’elle l’appelle peut être.


Epargne….épargne….je suis là ! Et toi où es-tu ?

Pas trop fort non plus, on l’a prendrait peut être pour une originale. Et bien oui appeler un écureuil, est-ce vraiment normal ? Elle s’arrêta un instant, haussa les épaules, en espérant fortement qu’il viendrait à sa rencontre. Il savait pertinemment qu’elle avait toujours pour lui dans sa poche quelques noisettes et autres. Il en était très friand, ce n’était qu’une question de temps. C'est alors qu'elle entendit un bruit, la haut. Elle leva ses yeux bleutés vers le lieu qui semblait s’agiter un peu, quelques flocons de neige flottèrent vers le sol, une jolie petite tête rousse pointa le bout de son nez, oui il était là son voltigeur !



Amusée, elle lui fit une petite révérence. Allez toi mon bel ami viens vite ! Je t'attends descends !

Isabella.lablanche
La ville etait au plus calme, je n'avais jamais mis les pieds a Chalon et deja l'envie d'en repartir etait forte.Je me mis a marcher jusqu'a l'entrée de la fôret, m'échapper de la dure réalité pour contempler la nature me fera le plus grand bien.Alors que la journée ne faisait que commencer je pensais deja à ce soir...Il ne fallait pas j'etais venue là pour me detendre et penser a autre chose, chose qui me rendrai surement bien moins triste que ce depart que je redoute.
La foret etait d'une toute beauté mais pendant que je m'y enfoncée de plus en plus, je ne voulais qu'une seule chose, faire demi-tour, le retrouver ...Il ne fallait pas! Alors je continua a avancer lentement écoutant les oiseaux chanter dans les arbres, me demandant ou j'allais enfin pouvoir trouver un bouclier, car c'etait aussi la raison de ma venue dans cette ville.

Mes pas m'enmenerent vers un court d'eau, je decida de m'y arreter et me reposer, je deposa ma cape sur le peu d'herbe que l'hivers avait laisser et m'installa dessus.Mes yeux regarda le ciel que les nuage n'avait pas encore totalement recouvert de leurs draps blanc.
je ferma les yeux quelques instants et pensa...voulant chasser de mon esprit cette journée pour essayer de penser a mon futur...ou plutot ma future carriere dans l'armée.Me laissant bercée par le bruit de l'eau je finis par m'endormir doucement...pensant...m'imaginant demain sans lui.
Lewyne
[La bête s'échappe de sa cage...]


Elle prend soin d'éviter les chemins dallés bien trop fréquentés, parcourt les lieues la séparant de Chalon au pas de course et à travers la forêt broussailleuse, cape au vent s'accrochant aux branches des arbres l'entourant.

La forêt... Endroit lui rappelant un mauvais souvenir, inscrit jusque dans la chair de son cou. Et si elle se perdait dans cette immensité verdoyante ? Et si elle ne revoyait plus les siens ? Et si elle la revoyait, cette femme qui avait hanté ses cauchemars pendant un long moment depuis cette rencontre dans la forêt de Joinville ? Tant de questionnements... Elle secoua la tête pour chasser ses pensées, il ne fallait pas qu'elle s'inquiète, qu'elle arrête de songer à tous les malheurs qui pourraient arriver. Par deux fois elle avait échappée à la mort sur le champ de bataille, elle ne devait plus avoir peur de rien.

Dague en main, elle continuait son avancée, contre le vent lui fouettant le visage et agressant sa peau. Malgré les inconvénients du voyage, plus elle s'éloignait de Dijon et plus elle se sentait de nouveau libre... Yselda ressentait-elle la même sensation de son côté ? Elles avaient pris le risque de quitter la capitale où elles étaient enfermées comme une bête dans sa cage. Mais séparément, par souci de discrétion... Indécise au sujet de cette fuite, elle s'était longuement torturée l'esprit, pesant le pour et le contre. L'armée de la Mirandole était toujours présente, prête à sortir les griffes et à l'acérer. Elle aurait pu aller au campement de la Vache Folle, faire une lettre publique pour être retirée de cette maudite liste... Mais la forgeronne refusait de plier. Elle préfèrait tomber...

Et le soir était arrivé. Le sang bouillonnant dans ses veines, l'adrénaline montant crescendo, Lewyne avait filée dans la nuit noire... Furtivement. Et la capitale s'était évanoui lentement de son champ de vision. Elle avait continuée sa route sans s'arrêter, à travers les bois, essoufflée.

Et puis... Le soleil se leva alors qu'apparaissait Chalon. Toute cette fatigue accumulée au cours de la nuit, elle avait la sensation qu'elle s'évaporait à la vue de cette ville, et un sourire s'afficha sur son visage où des cernes avaient fait leur apparition sous ses yeux.

Elle avait réussi.
Valerian
" bon allé un petit tour en foret, que vais je y croisé? biches, cerfs en pleine etreinte, je suis sur avec le bol que j'ai je vais surement en voirrho vraiment non merci! dans ce cas je leur lance un enorme morceaux de bois! ou je hurle for tpour qu'ils se casssent ailleurs! je croise partout des couples en tavernes pret a se donner devant tout le monde, alor snon marre des bisous, des je t'aime, et des recoulades y en a marre, si j ai choi d 'être celibataire c'es tpas pour que l'on me dise des conseils ou me faire changer d'avis sur les femmes!! ho non je veut bien des amies être tres galant et simpathique mais aimé alors ça non!! j'ai donné une fois je redonnerai plus une deuxieme! savoir pa rle biai d un autre que votre fiancée vous trompe avec un autre alors ça ma tué! moi qui lui avait tant donné, pa sprete a retombé dans le panneau"

pensa t'il seul s'avançant dans la forêt , reniflant l'air pu des bois, regardant autour d elui, entendant des oiseaux chanter, faire des nids, et là il pensa:
" ha non !! voilà un couple encore entrain d efonder une famille!! tssssssss vraiment c'est fait exprés ou quoi?"
il gromella en marchant donnant de scoups de pieds à un morceaux de bois au sol, et continua a observé l'endroit presque tranquille, il regarda le bois coupé pour les cheminées et s'assaya observant de soiseaux manger quelques vers.
Oderic
Il y a bien longtemps que je n'avais pas mis les pieds, dans cette vaste forêt. Elle ne m'a pas manqué, loin de là, j'ai trop de souvenirs ancrés qui ne demandent qu'a exploser et me détruire. Par quoi commencer? Le massacre de septembre? La Chasse? La vie avec mon oncle... La mort de la femme... les loups... Je ne sais trop quoi raconter d'abord, ni ce qui est véritablement utile ici.

Je me vois des années auparavant, arpentant les mêmes arbres. Certains ont disparus, coupés, arrachés, d'autres ont grandis au delà de l'imagination. Mais en grande partie, la forêt est restée la même que dans ma jeunesse.

Je raconterais donc uniquement le souvenir de mon oncle, triste constat d'un manque qui ne s'effacera jamais.
C'est auprès de cet homme que j'en suis devenu un moi-même. Jusqu’à sa disparition, il a taché de faire de moi, le digne descendant des De Bourgogne. Il connaissait bien ma mère, gardant les valeurs de sa famille, les Fontainille du Clos, curieux mélange alors que je devenais. Il vivait une grande maison, qui ressemblait plus a un fort qu'a une simple maison. Les grands murs en pierres recouverts de lierre, me revenaient dans un sourire. Celui de mon oncle, trop rare me rappelait les moments où il était fier de moi. Aujourd'hui, il vit en moi, comme bien d'autres personnes, mais il a une place particulière.

A présent, je suis dans la clairière, celle dans mes souvenirs de la mort de la jeune fille. Il y a plusieurs clairières, et chacune m’évoque un souvenir douloureux. Le soleil est haut aujourd'hui, brillant dans le ciel bleu, l'air est frais, la neige a fondu depuis longtemps. Le printemps ne saurait tarder. Je m'assois sur la pierre au centre, millénaire comme le chêne qui la colle. Ma pipe dans la main, je la remplis d'un peu de feuille de poirier séchée.
Habilement ensuite, et a l'instar de nos ancêtres, je gratte deux cailloux que je conserve, que je sais efficaces. Une étincelle, et ma pipe prend. J'en tire une bouffée.

Il n'y a personne, Chalon est calme, la foret plus encore, mais c'est peut-être mieux ainsi. Les yeux clos, je songe a ce passé défait qui ne trouvera jamais de repos. A tous ces morts perdus, en vain. Vengés pour certains, a jamais emprisonnés pour d'autres.
Jenifaela
Une promenade bien gardé pour oublier...

Une enfant vetu d'un robe au tissu moumouté pour se proteger du froid, un chapeau blanc bordé d'une fine fourrure fesant resortir ses boucles brune et ses yeux verrons. (un oeil vert et l'autre marrons)
Derriere elle, une femme qui essaye de la suivre ne la quittant jamais du regard sous peine d'etre punni par son maitre et sa maitresse, autour de celle ci se trouver des hommes en armes.

une voix au loin s'écriait:

Ou allez vous demoiselle? revenez n'allez pas si loin.

L'enfant n'en fesait qu'a sa tête, devenu ronchons depuis quelque jours, d'un coup une boulle de poils se mit a courire vers l'enfant, c'etait sa chienne Neige.
La main de l'ange au boucle brune vint se poser sur l'animal, c'est cela et seulement cela qui fit areter la marche de Jenifaela.

Son regard se tourna alors vers la nourrice qui avait les joues rouge par le froid et les yeux bien paniqué, au regard de l'enfant la nourrice s'areta. L'enfant fonça dans ses bras pour s'y blottir et la nourrice l'acceuillit tendrement.

la demoiselle, la calmez vous... Tout va s'arranger, tout ira bien vous verrez, vos parents vous aime autans que votre petit frère, ils viendrons vous chercher et même si cela est compliqué dans leur coeur, ils feront l'effort pour vous beau petit ange...

La femme lui releva la tête et déposa un baiser sur ses joues avant de reprendre.

Rentrons maintenant ou nous allons prendre froid

L'enfant ne parlait plus, et se contenta de suivre sa nourrice et les gardes de son père pour revenir a l'auberge
Emardeche
Ema avait rencontré en taverne un groups de personne sympathique, il allait partager tous ensemble, un repas qu'elle devait preparer.

Elle arriva a l orée du bois, rammassa des branchages les mits en tas, et alluma un feu, elle souffla un peu dessus pour attisés les flammes, puis , elle defit le gigot de sa selle, qui était bien enveloppé dans des chiffons propres, sortie sa dague et coupa les ficelles.

Il était tres beau, elle l avait chassé une biche le matin même.
Elle sourit devant le morceaux de viande , le traversa avec une branche, lui mit du beurre dessus et des herbes fit deux trepier avec d autres branches et le mit a cuire.

En attendant elle deposa des pommes de terres sur de la braise, elle badigeonna de temps en temps le morceau de gigot.

Elle regarda les flammes et pensa a son père. Jyra était fatigués ses derniers temps, il était entrain de se reposer, elle esperait qu il ne soit pas malade.
Joris104
Bonne nouvelle ! Extraordinaire nouvelle ! Ils allaient enfin pouvoir manger autre chose que ce que Ju' leur préparait ! Non pas que Ju' cuisinait mal, faut pas croire, mais... Fallait faire attention avec elle. Voilà, faire attention, c'est l'expression qui convenait.

Un repas où on pourrait tout manger sans se poser de question, donc... Un rêve ! C'est vrai quoi, c'est usant de vérifier la toxicité de tout les plats ! On devient paranoïaque de tout à la fin. Même de ce qu'on chasse soi-même, c'est dire !

Enfin bref, donc ce soir, un bon repas... Il s’avança dans la forêt, guidé par le fumet délicieux d'un viande qu'on met au feu, emmenant branches et brindilles sur le chemin, jusqu'à retrouver le feu. Il s’avança un peu, et vit qu'il était le premier arrivé.


Re-bonsoir,dame Ema ! Dites, ça sent bon... et de loin ! On risque d'avoir d'autres invités, avec l'odeur !


Petit sourire du blondinet, avant de continuer

D'ailleurs, en parlant d'invités... Je suis le premier ?
Julie
Ce village était des plus charmants et que dire des personnes que la luxovienne avait croisé depuis leur arrivée

Tout en chantonnant Julie s'empressa de faire un détour au campement afin d'y prendre de quoi préparer sa soupe, quelques miches de pains et pour terminer un bon repas ne serait rien si on ne l'arrosait pas comme il se doit

C'est donc la besace garnie de miches croustillantes, de deux bonnes bouteilles "d'or jaune" comtois d'un côté et un panier de champignons ramassés le matin même dans cette paisible forêt que la comtoise se dirigea vers le campement d'une charmante personne Ema, qui les avait invités à partager le repas ce soir là ....

Il lui suffît de se diriger à la bonne odeur qui se dégageait déjà au-dessus d'un bon feu de camp pour trouver l'endroit de rendez-vous

Et la première personne qu'elle aperçut comme par hasard son gourmand de frangin ....


"Bonsoir la compagnie ! j'apporte des provisions "

"Humm quelle bonne odeur je sens que nous allons nous régaler" dit-elle en offrant le vin jaune à Ema

Elle sourit amicalement à Ema et s'installa afin de nettoyer ses champignons pour préparer une soupe dont elle seule avait le secret


"Regarde Jo sont beaux hein mes champis !"

Prenant son air de connaisseuse la jeune femme se mit à les découper et les trier mais à ce moment elle se rendit compte que certains lui étaient totalement inconnus .....
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James_morgan
Jim n'etant pas habitué a ce genre de festivités s'était habillé maladroitement mais d'une façon que certain(e)s qualifieront de "classe"

Il se rendit vite compte d'où se déroulait le banquet improvisé tant l'odeur à l'orée du bois était alléchante!
Suivant l'odeur (et son ventre) il arriva au lieu du repas et vit un appétissant gigot près du feu

Il y vit déjà pas mal de monde, fit les bises à Julie, serra la main de Jo


Déjà là vous deux? et bien vous ne perdez pas une seconde dites moi!

Ne se séparant jamais de son sac depuis le début du voyage, il y sortit deux bouteilles d'une bière crue 1458 qu'il gardait précieusement puis il se tourna vers l'hôte d'un soir:


Bonsoir! Ema m'ont ils dit? Enchanté je suis Jim, tavernier vagabon!

Il lui sourit puis s'assit autour du feu en se frottant les mains et en admirant le gigot
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Dat virtus quod forma negat
Emardeche
Ema etait perdu dans ses pensées lorsqu elle entendit un bruit de branchage cassé.

Elle sursauta et se leva.

Bonsoir Joris, ravie de votre venu!!

Elle lui afficha un joli sourire.

Oui vous êtez le premier.

Elle n eut pas le temps de finir sa phrase que la belle Julie approcha.

Oh qu ils sont beaux ses champignons, comment allons nous les faire cuire?

Un homme les rejoints, il se presenta.

Ravie de vous connaitre Jim, approchez vous donc!!

Ema leur servit un broc de bière a chacun.

Santée, a notre rencontre!!
Julie
Relevant la tête à l'arrivée de Jimini la voyageuse sourit en l'entendant se présenter et le bizouilla en retour, remarquant que ce dernier s'était changé pour l'occasion, il n'en finissait pas de la surprendre et elle lui murmura

"Mazette tu t'es fait tout beau dis donc ... aurais-tu repéré une belle biche ?"

Julie taquine à son habitude sourit moqueuse avant d'accepter avec empressement le broc de bière que leur tendait Ema

Levant son verre elle trinqua de bon cœur avec ses amis avant de répondre à la sympathique bourguignonne

"Oh qu ils sont beaux ses champignons, comment allons nous les faire cuire ?"

Warf les champipis .... elle les avait oublié un moment .... mais sans montrer l'once d'une hésitation même si elle ne savait trop pour certains les effets qu'ils pouvaient causer, Julie envisagea d'un coup une autre possibilité que la soupe

"Peut-être pourrions-nous les ajouter au gigot en fin de cuisson ? ils parfumeraient ainsi la belle pièce de viande de tous leurs arômes"

Sourire malicieux au bord des lèvres la jeune femme se disait qu'en mélangeant le tout une chance sur deux qu'on l'implique dans un souci digestif !
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