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[RP] Jeg elsker deg ou Da garout a ran ?

Theodrik
Citation:
Dukke,

Vous me connaissez si bien. Vous devinez que mon absence n’est pas volontaire mais parce que mes poings ont encore failli finir sur la pommette d’un imbécile. Apprenez pourtant que c’est votre fils, notre précieux, qui a semé la zizanie. Voilà quelques minutes que je lui faisais côtoyer les étoiles (il adore quand je le fais voler, il a toujours sa petite gueule de trouillard alarmé quand il voit se rapprocher le sol mais que mes bras le rattrapent, au dernier moment). Bref on s’amusait bien, moi lui faisant regretter ses nuits à beugler, lui se pissant sûrement dessus, de joie. Sauf que pendant la brève pause que je lui accordais, Poisson Rouge n’a eu de meilleure idée que de régurgiter sur le passant le plus hormoné qui venait. Là, l’abruti hurle à en déclencher les pleurs de Brynjar, ce que je ne permets évidemment pas, qu’on n’a jamais vu père plus inconscient que moi. Et au mécontent d’ajouter que le petit pleure sûrement d’avoir à côtoyer de si près mon hure boursouflée. En bon professeur, je lui propose une étude rapprochée de sa propre carne, lui détaillant en haussant légèrement la voix mes savoirs en la matière et les options envisageables pour la morphologie de sa poire. Je n’allais évidemment pas me souiller les pognes, mouflet au bras. Les deux gens d’armes qui passaient ne firent cette conclusion et me retinrent d’injonctions tandis que vous partiez, m’abandonnant à la compagnie migraineuse de deux types mieux dotés en armature qu’en méninges.

Vous retrouverez fils et loque épousée dès demain, à Thouars, sans amende ni égratignures. La diplomatie est ma nouvelle procédure face à l’abrutissement. Ou est-ce le peu d’enthousiasme à l’idée de prendre une lame dans les tripes ? Veillez à ce que Beaumont ne déprime pas trop, en mon absence, et évitez la méprise de ce sot d’Charles : je ne vous quitterai plus d’un talon nu. Pas même à Limoges.

T.

_________________

By JD Dôn.
Don.
- Charles... Est-ce que j'vais offrir des fleurs à sa mère, moi ??
- Vous n'en offrez déjà pas à votre femme...



Citation:
Théodrik,

Non, ne criez pas. Il est vrai que j'ai pensé, moi aussi, que cette petite chose maigrelette et blanche était un rat. En réalité c'est un chaton. Hel me l'a assuré. Il n'a pas l'air sain, mais c'est parce qu'il est resté dans une boite toute la journée. Agonisant.

Charles m'a offert, tôt aujourd'hui, un petit colis (que j'ai donc ouvert ce soir) dans lequel siégait notre nouvelle boule de poil j'ai nommé "Caillou" si nous prenons le temps de l'articuler en françoys.

N'ayez crainte, il ne vivra pas à nos côtés. Isaure a eu la bonne idée de le promouvoir au poste de "chasseur de rats" en notre auberge à Limoges. Nous le déposerons, une fois sur place.
D'une, parce qu'il ressemble vraiment à un rongeur, de deux parce que je préfère de loin les chiots et de trois parce qu'il paraît qu'un chat n'a qu'un seul et unique but dans la vie : Tuer les bébés. Or, Brynjar est un bébé. Un bébé de deux mois, certes, mais un bébé quand même. Hors de question qu'un chaton nommé caillou puisse tuer notre enfant.

Je profite de la longueur excessive de mon vélin, pour vous demander ce que vous pensez du prénom Léobill ?
Et je termine.

Oui, je souhaitais ajouter quelque chose, mais le fait de terminer en précisant que je termine me paraît novateur, alors...

Je termine.
Dukke.

_________________
Don.
" Tuez pour moi.
- Que souhaitez-vous que je tue ? Puisqu'il vous faut une preuve.
- Qui, plutôt. Non ?
- Dîtes-moi qui. "




Citation:
Hollgaret,

L'heure est plus appropriée au casse-graine qu'au petit déjeuner, mais j'ai pris la liberté de réfléchir plus longuement.
Je n'ai guère son nom, j'ignore même si c'est un véritable sobriquet, mais lorsque nos chemins se sont croisés il se faisait appeler Ed.

Il n'a rien d'un pissard, et j'ai quelques dettes à faire oublier.

Je vous baise,
Dukke.

_________________
Don.
Citation:
Théodrik,

L'heure n'est peut-être pas aux reproches, il faut pourtant croire que ma générosité dans ce domaine, triomphe de tout.
Il me vient régulièrement le besoin de vous marteler à l'aide de ces blâmes, de ces sermons et autres petits délices composant les réprimandes qui ne peinent guère à venir.
Vous m'aimez douce et compréhensive, bien que je ne sois souvent que morale et ennui. Sentez-vous venir la remontrance prochaine ?

Vous me manquez, saleté.
Vous me manquez.

Quand viendrez-vous donc soulager mes peines, à coups de mots ?
Quand serez-vous à mes côtés, pour panser mon cervelet par vos déclarations, exalté que vous êtes ?
Quand viendrez-vous prendre, ce qui doit être pris ? Nymphes blanches n'attendent que vous, et en ma poitrine je sens déjà battre mon coeur, gorgé d'un sang bouillant et impatient.

J'ai envie de vous.

Dôn, l'ébranlée épouse d'un émoi rescapé.


BAISEZ-MOI BORDEL

_________________
Don.



" Et je ne veux PAS en parler ! J'explique. C'est tout.
- Té, la Sans Nom ? C'est la mioche ?
- Ya.
- Ah. Dana ?
- Mmh.
- Jeg elsker deg.

...




...

- Vous... Vous êtes sûr ? "



Citation:
Mon amour,

Je vous épargne toute la fièvre de mon âme, la brûlure d'un trop de mots.
Est-il sot de fêter, une première année à vos côtés ? Je ne sais. Mais en fond de mes écrits vous pourrez lire, l'amour que je vous porte. Du premier mot, au dernier. Des prémices à ce jour, mon souffle ne perdure que pour vous. Finalement, c'est bien là, la seule chose qui me diffère des autres que je crains tant. Je suis tout aussi imparfaite, mais j'ai pour vous une affection si grande, qu'aucune ne saurait m'atteindre à ce sujet. Et ça m'est d'ailleurs égal, si vous n'en souffrez guère.

Da garout a ran, Théodrik.

Dôn.

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Theodrik
Citation:
Dukke,

Vous me connaissez si bien. Vous devinez que mon absence n’est pas volontaire mais parce que mes poings ont encore failli finir sur la pommette d’un imbécile. Apprenez pourtant que c’est votre fils, notre précieux, qui a semé la zizanie. Voilà quelques minutes que je lui faisais côtoyer les étoiles (il adore quand je le fais voler, il a toujours sa petite gueule de trouillard alarmé quand il voit se rapprocher le sol mais que mes bras le rattrapent, au dernier moment). Bref on s’amusait bien, moi lui faisant regretter ses nuits à beugler, lui se pissant sûrement dessus, de joie. Sauf que pendant la brève pause que je lui accordais, Poisson Rouge n’a eu de meilleure idée que de régurgiter sur le passant le plus hormoné qui venait. Là, l’abruti hurle à en déclencher les pleurs de Brynjar, ce que je ne permets évidemment pas, qu’on n’a jamais vu père plus inconscient que moi. Et au mécontent d’ajouter que le petit pleure sûrement d’avoir à côtoyer de si près mon hure boursouflée. En bon professeur, je lui propose une étude rapprochée de sa propre carne, lui détaillant en haussant légèrement la voix mes savoirs en la matière et les options envisageables pour la morphologie de sa poire. Je n’allais évidemment pas me souiller les pognes, mouflet au bras. Les deux gens d’armes qui passaient ne firent cette conclusion et me retinrent d’injonctions tandis que vous partiez, m’abandonnant à la compagnie migraineuse de deux types mieux dotés en armature qu’en méninges.

Vous retrouverez fils et loque épousée dès demain, à Thouars, sans amende ni égratignures. La diplomatie est ma nouvelle procédure face à l’abrutissement. Ou est-ce le peu d’enthousiasme à l’idée de prendre une lame dans les tripes ? Veillez à ce que Beaumont ne déprime pas trop, en mon absence, et évitez la méprise de ce sot d’Charles : je ne vous quitterai plus d’un talon nu. Pas même à Limoges.

T.

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By JD Dôn.
Don.
- Charles... Est-ce que j'vais offrir des fleurs à sa mère, moi ??
- Vous n'en offrez déjà pas à votre femme...



Citation:
Théodrik,

Non, ne criez pas. Il est vrai que j'ai pensé, moi aussi, que cette petite chose maigrelette et blanche était un rat. En réalité c'est un chaton. Hel me l'a assuré. Il n'a pas l'air sain, mais c'est parce qu'il est resté dans une boite toute la journée. Agonisant.

Charles m'a offert, tôt aujourd'hui, un petit colis (que j'ai donc ouvert ce soir) dans lequel siégait notre nouvelle boule de poil j'ai nommé "Caillou" si nous prenons le temps de l'articuler en françoys.

N'ayez crainte, il ne vivra pas à nos côtés. Isaure a eu la bonne idée de le promouvoir au poste de "chasseur de rats" en notre auberge à Limoges. Nous le déposerons, une fois sur place.
D'une, parce qu'il ressemble vraiment à un rongeur, de deux parce que je préfère de loin les chiots et de trois parce qu'il paraît qu'un chat n'a qu'un seul et unique but dans la vie : Tuer les bébés. Or, Brynjar est un bébé. Un bébé de deux mois, certes, mais un bébé quand même. Hors de question qu'un chaton nommé caillou puisse tuer notre enfant.

Je profite de la longueur excessive de mon vélin, pour vous demander ce que vous pensez du prénom Léobill ?
Et je termine.

Oui, je souhaitais ajouter quelque chose, mais le fait de terminer en précisant que je termine me paraît novateur, alors...

Je termine.
Dukke.

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Don.
" Tuez pour moi.
- Que souhaitez-vous que je tue ? Puisqu'il vous faut une preuve.
- Qui, plutôt. Non ?
- Dîtes-moi qui. "




Citation:
Hollgaret,

L'heure est plus appropriée au casse-graine qu'au petit déjeuner, mais j'ai pris la liberté de réfléchir plus longuement.
Je n'ai guère son nom, j'ignore même si c'est un véritable sobriquet, mais lorsque nos chemins se sont croisés il se faisait appeler Ed.

Il n'a rien d'un pissard, et j'ai quelques dettes à faire oublier.

Je vous baise,
Dukke.

_________________
Don.
Citation:
Théodrik,

L'heure n'est peut-être pas aux reproches, il faut pourtant croire que ma générosité dans ce domaine, triomphe de tout.
Il me vient régulièrement le besoin de vous marteler à l'aide de ces blâmes, de ces sermons et autres petits délices composant les réprimandes qui ne peinent guère à venir.
Vous m'aimez douce et compréhensive, bien que je ne sois souvent que morale et ennui. Sentez-vous venir la remontrance prochaine ?

Vous me manquez, saleté.
Vous me manquez.

Quand viendrez-vous donc soulager mes peines, à coups de mots ?
Quand serez-vous à mes côtés, pour panser mon cervelet par vos déclarations, exalté que vous êtes ?
Quand viendrez-vous prendre, ce qui doit être pris ? Nymphes blanches n'attendent que vous, et en ma poitrine je sens déjà battre mon coeur, gorgé d'un sang bouillant et impatient.

J'ai envie de vous.

Dôn, l'ébranlée épouse d'un émoi rescapé.


BAISEZ-MOI BORDEL

_________________
Don.



" Et je ne veux PAS en parler ! J'explique. C'est tout.
- Té, la Sans Nom ? C'est la mioche ?
- Ya.
- Ah. Dana ?
- Mmh.
- Jeg elsker deg.

...




...

- Vous... Vous êtes sûr ? "



Citation:
Mon amour,

Je vous épargne toute la fièvre de mon âme, la brûlure d'un trop de mots.
Est-il sot de fêter, une première année à vos côtés ? Je ne sais. Mais en fond de mes écrits vous pourrez lire, l'amour que je vous porte. Du premier mot, au dernier. Des prémices à ce jour, mon souffle ne perdure que pour vous. Finalement, c'est bien là, la seule chose qui me diffère des autres que je crains tant. Je suis tout aussi imparfaite, mais j'ai pour vous une affection si grande, qu'aucune ne saurait m'atteindre à ce sujet. Et ça m'est d'ailleurs égal, si vous n'en souffrez guère.

Da garout a ran, Théodrik.

Dôn.

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