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[RP] L'art de se caser ...

Jenifael..luna
    [FR]

    Voilà peut de temps, elle avait été nommer comme dame de parage de la reine, un honneur, surtout qu'elle était aux côtés de deux personnes plus titré qu'elle pour ce poste. Bien sûr, son appartenance à la famille royale de Castelmaure avait aider. Elle était aller à Nesle, non pas pour annoncer la nouvelle au cousinet, quoique cela pouvait se faire, une lettre aurait suffit. Non, aujourd'hui, le but de sa visite était de lui présenter l'homme qu'elle songeait à épouser. Loin d'elle, l'idée d'amour, l'idée de l'aimer, mais cette année, elle aurait seize ans. Seize ans, un âge fatidique auquel elle c'était promis de ce ranger dans les ordres, si elle n'avait contracté aucun mariage. En y songeant, elle se dit également qu'une fois son anniversaire passer, cela ferait un an qu'elle était grand-maître de la garde-robe royale et qu'elle avait eu ses terres. Habillée de vert, une robe ayant appartenu à sa défunte mère une robe, que Jenifaël, enfant avait offerte à Angèle, pour son anniversaire, avec l'aide de l'aigrie Anne, aujourd'hui disparut une création de la redoutable Clarinha, apprentie de la Castelmémère. Elle avait donner rendez-vous aux Castillannais et proposer à sa sœur et Tempérance de venir. A l'entrée, elle se fit annoncer.

    "- Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral, Grand-maître de la garde-robe, dame de parage de sa Majesté consort, dame de Lazer et La Buisse. "

    Un peu long tout cela, alors elle ajouta.

    "- Mon nom et prénom suffira, Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral."

    Oui, elle avait un prénom et un nom déjà bien assez long comme cela.

    "- Je vient voir son Altesse royale mon cousin Charlemagne. "

    Ça aussi, ça peut être intelligent comme information. De nouveau, elle était accompagnée de sa domestique brune, parlant le Castillan.

    [ES]

    Que poco tiempo, había sido designado como dama de honor de la reina, un honor, especialmente como lo fue con dos personas a las que más éxito para esta posición. Por supuesto, que pertenece a la familia real tenía Castelmaure ayuda. Iba a Nesle, no para anunciar la noticia a Cousinet, a pesar de que se podía hacer, una carta sería suficiente. No, hoy en día, con el propósito de su visita era presentar al hombre que soñó con casarse. Lejos de ello, la idea del amor, la idea del amor, pero este año, se tendrían dieciséis. Dieciséis, una edad fatídica en la que se comprometió a almacenarlo en las órdenes, si no hubiera contratado cualquier boda. Al pensar allí, ella también dijo que una vez que pase su cumpleaños, que sería hacer un año que fue gran maestro del vestuario real y había tenido su tierra. Vestida de verde, un vestido que perteneció a su difunta madre un vestido que Jenifaël, niño había ofrecido a Angela, por su cumpleaños, con la ayuda de los amargados Anne, ahora desapareció una creación de la temida Clarinha, aprendiz el Castelmémère. Tenía que ir a Castillannais y proponer a su hermana para venir y templanza. En la entrada, se anunció.

    "-. Jenifaël Luna de Castelnau-de-Montmiral, Gran Maestre de la guardarropa, el recorte consorte dama de Su Majestad, Señora de Lazer y La Buisse"

    Un poco largo de todo esto, a continuación, añadió.

    "- Mi nombre y apellido será suficiente, Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral."

    Sí, ella tenía un nombre y una lo suficientemente malo como nombre largo.

    "- He venido a ver a mi primo SAR Charlemagne."

    Esto también puede ser inteligente como información. Una vez más, ella estaba acompañada por su doméstica marrón, hablando castellano.

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Asdrubal1
[FR]

Asdrubal suivait Ivanne à travers les rues de Paris, elle était mieux orientée par ces rues, totalement inconnues pour celui d'Olite. Il connaissait Nesle de ouï-dire, d'histoires qui l'avaient compté dans leur enfance en Navarre d'événements étranges dans leur intérieur, tout cela lui était éloigné, dans sa mémoire seulement retenait quelques fragments d'histoire.Avec tout le il n'allait pas à ce lieu pour faire tourisme, mais pour se présenter au cousin de Jenifael.

-*Suerte que no llueve -Il a dit gênant à Ivanne-El río cercano ya da por sí demasiada humedad.

Arrivés au lieu, celui de la Barca a été avancé et dans l'entrée il a annoncé déjà l'arrivée de tous les deux en disant dans un mal français ;

-**-Son Altesse Royale Ivanne de Josselinière, Infante de Castille, Duchesse de Nájera et Comtesse de Trujillo et Tafalla et Asdrubal de la Barca, Pair de Castille et Leon, Seigneur de Avila et Olite.

La présentation l'avait été rendue plus longue que ce qu'il prétendait, toutefois comme inconnus qu'ils étaient dans ces terres, il il avait voulu être assuré qu'on remarque sa présence.

[ES]

Asdrubal seguía a Ivanne a través de las calles de París, ella se orientaba mejor por aquellas calles, totalmente desconocidas para el de Olite. Él conocía Nesle de oídas, historias que le habían contado en su niñez en Navarra a cerca de extraños sucesos en su interior, todo aquello le quedaba lejano, en su memoria solo retenía algunos retazos de historia. Con todo él no acudía a aquel lugar para hacer turismo, sino para presentarse al primo de Jenifael.

-Suerte que no llueve-Él dijo molesto a Ivanne-El río cercano ya da por sí demasiada humedad.

Llegados al lugar, el de la Barca se adelantó y ya en la entrada anunció la llegada de ambos diciendo;

-Su Alteza Real Ivanne de Josselinière, Infanta de Castilla, Duquesa de Nájera y Condesa de Trujillo y Tafalla y Asdrubal de la Barca, Par de Castilla y León, señor de Ávila y Olite.

La presentación se le había hecho más larga de lo que él pretendía, sin embargo como desconocidos que ellos eran en aquellas tierras, él había querido asegurarse que se notara su presencia.


*Heureusement qui ne pleut pas- Il a dit gênant à Ivanne-La rivière proche donne déjà par elle trop d'humidité.

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Ivanne
- « Mariage ! -Elle a dit, en regardant à son vassal avec le regarde illuminé.- Bientôt il serait votre mariage ! C'est merveilleux, vous savez ? Enfin vous avez une raison pour changer votre façon de vivre, toujours inquiet pour l'argent ! Et vous savez bien qu'avoir une femme à la maison c'est de relativiser ces choses. -Acquiesce, très sûre de cela qu'elle dit. - Vous serez très, très, TRÈS hereux dans votre nouvelle vie. Un coneil ? Achetez des robes et vous serez plus hereux: votre femme serait hereuse, et par definition vous, mon cher Asdrubal, vous serez aussi. »

Conseil de femme expérimentée.

Après cette courte conversation, le visage d'Asdrubal palit. Tout le monde savait que la seule chose qu' Asdrubal détestait plus était de payer quelque chose, même s'ils étaient les impôts de son seigneurie au comté de Tafalla.
Puis, ils sont annoncés, et en attendant l'arrivée du cousin de Jennifaël, la Josselinière lui dit, avec un chuchonement:


- « T'inquiéte pas, je paye la moitié du mariage. Je vous avez déjà dit qu'il serait mon cadeau. » - Car lorsqu'on donne notre mot, nous avons une dette.
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Temperance
L'occasion était de trop d'importance et Tempérance, en l'occasion, portait la robe BLEUE (eurk) que Charlemagne lui avait offerte. C'est un peu le principe des cadeaux de Noël qu'on n'aime pas : on ne les sort qu'en présence de ceux qui nous les ont offerts, pour faire mine de les apprécier.

Elle se remettait d'un hiver qui avait été rigoureux et fiévreux. Mais il y a des personnes pour lesquelles elle sortirait toujours de sa tanière d'ourse mal léchée : ses vassaux en faisaient partie.

Alors, pressant le pas dans les rues boueuses de Paris, elle s'efforça d'arriver à l'heure prévue. Il y avait là belle compagnie à l'huis. Elle s'inclina et dit, plus à eux qu'à l'huissier :


Bonjour, je suis Tempérance d'Amilly, Vicomtesse des Arzeliers et de Châtillon d'Azergues, Baronne de Montauban sur l'Ouvèze... et suzeraine de Jenifael Luna. Ce qui pouvait vouloir dire : "Vous ne la marierez pas sans mon consentement", ou bien "Je peux vous donner un consentement, si Charlemagne ne le fait pas". Choisissez l'option que vous préférez !

[EN - summary]
Tempérance came in a hurry so that she would not be late. Jenifael was her vassal and she wanted very much to be there for her. Potentially, she might provide the consent Charlemagne could refuse...
She introduces herself, at the door.

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Tempé parlotte lyonnais
Charlemagne_vf
La famille. Une plaie. Charlemagne ne faisait que les tolérer. Si un jour, il avait voulu croire que son sang était celui d'une élite, d'un groupuscule d'élus, privilégiés, élevés par Dieu, il en était salement revenu.
Des bâtards, des attardés, des hybrides : ils étaient certes la démesure, mais pas celle qu'il aurait souhaité. Il chérissait les extravagances que l'on trouvait dans les récits généalogiques des maisons Frayner et Castelmaure. Mais lorsqu'il pensait à ses contemporains, il ne faisait que déplorer une sorte d'amoindrissement de la superbe lignagère.
On lui annonça la venue de sa cousine de Castelnau-Montmiral. Il n'avait pour elle aucune affection ; il lui était reconnaissant toutefois de savoir quel était son devoir au patriarche : elle lui écrivait régulièrement et l'informait des destinées collatérales. Il n'en avait cure, mais il appréciait le geste. Il demanda qu'on la fasse patienter dans son antichambre. On la fit patienter. Il la fit patienter. Il la fit patienter encore.
On vint lui rappeler sa présence, on lui précisa qu'elle n'était pas seule. On glissa qu'était arrivée l'Infante de Castille et, sans doute, un membre de sa cour. Suivait de près l'intolérable Tempérance. Il soupira et demanda qu'on lui passe une tenue d'apparat.

C'est ainsi qu'il apparut à l'Infante, à sa cousine, à sa nièce et au seigneur d'Olite, dans son égale et unie splendeur. Sa tenue noire devait rappeler aux castillans l'austérité de la cour espagnole. Il était suivi de deux gentilshommes, et quelques jeunes dames de sa cour se pressaient auprès d'eux. Elles voulaient voir la princesse, exotique créature. Et c'est vers elle qu'il se dirigea d'abord.


Que votre Altesse Royale soit la bienvenue chez moi.

D'un geste, il invita à se redresser ceux ou celles qui, versés en usages, s'étaient inclinés à son arrivée.

Votre présence honore ma maison mais, Madame, peut-être pourra-t-on songer à me l'expliquer.

Il s'imaginait bien, voyant la compagnie, qu'il ne s'agissait guère d'une mission diplomatique internationale de haute importance. Néanmoins, il pouvait s'enorgueillir de recevoir pareille délégation : le roi de France, ersatz de monarque, ne pouvait sans doute pas s'en vanter.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle s'inclina devant Charlemagne, avant de prendre la parole, puisqu'il réclamer une explication.

    "- Votre Altesse royale, j'arrive à l'âge où je doit songer au mariage, j'aimerais donc vous présenter l'homme et sa suzeraine, ayant retenu mon attention et obtenir votre accord pour cette union. "

    Au moins, la cousine ne s'enquiquine pas de fioritures, mais à force de balancer à la figure de Sofja plein de vacheries, qui sont, elles, pleines de formes, la jeune fille se laisse aller à plus de simplicité, dans les autres moments.

    "- Messire Asdrubal de la Barca est seigneur, deux fois. D'Avila et d'Olite, la première seigneurie est vassale directe du roi, alors que la seconde est vassale de l'Infante Ivanne. Il est également prêt à défendre mes couleurs si nous venions à nous marier, comme il l'a prouvé durant les dernières joutes Mainoise où il fut mon champion. "

    Elle n'a pas précisé qu'il était également pair, un oubli, peut-être de sa part, ou de celle des Castillans, de toute façon les fonctions ne se partagent pas.


    [ES]

    Se inclina a Charlemagne, antes de hablar, ya exigir una explicación.

    "- Su Alteza Real, ya voy a la edad en la que debería pensar en el matrimonio, me gustaría presentarle al hombre y su soberano, que me llamó la atención y obtener su consentimiento a esta unión."

    Por lo menos el primo hizo enquiquine sin lujos, pero a fuerza de hacer pivotar a la figura de Sofja lleno de trucos sucios, que son ellos lleno de formas, la chica se entrega a la simplicidad, en otra veces.

    "- Sir Asdrúbal Barca es el Señor, el doble D'Ávila y Olite, el primer señorío del rey vasallo directo, mientras que el segundo es un vasallo del Ivanne Infante está también dispuesto a defender los colores de mi .. si se fuera a casar, como demostró en los últimos juegos Mainoise donde fue mi campeón ".

    Ella no dijo que él también era pares, un descuido, tal vez de su propia o la de los castellanos, de todos modos funciones no se comparten.

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Temperance
Bien sûr, Tempérance s'inclina.
Bien sûr, Tempérance ne songea pas même y couper.
Bien sûr, Tempérance fut presque invisible à l'Aiglon.
Bien sûr, d'autres attiraient plus son attention.

Et après tout, tant mieux. Rangée au côté de Jenifaël, en léger retrait par rapport à l'Infante, elle faisait de son mieux pour ne pas faire de faux pas. Se taire aidait beaucoup en la matière - et puis elle ne parlait pas espagnol.

Mais en fin de compte, tout soudain, alors que les titres étaient énoncés, une idée lui vint, qu'elle ne tarda pas à formuler tout haut :


Cette union est très désirable mais on peut craindre que la Hérauderie y valide point, pour cause que la noblesse de Castille, grande tristesse, n'est pas reconnue en France. Ces règles stupides... Comment croire que les puissants qui honoraient ce jour l'hôtel de Nesle n'étaient pas nobles aux yeux de la France ?
Pour parer à tout problème, j'a suggère la constitution d'une dot, d'un fief français octroyé au seigneur de la Barca au moment d'la rédaction du contrat de mariage et avant la bénédiction nuptiale.

Ce qui voulait dire, en peu de mots : moi, j'approuve le projet, et si vous pouviez lâcher un titre et gagner un vassal pair de Castille, ça roxerait sa mémé.

***

[EN - summary]
Tempérance curtsied then kept silent.
After Jenifael speech, however, something hit her mind and she said to the Prince:


This marriage is much desirable but one may fear that the French Heraldry Institution does not consider it a noble marriage, for the Castillan nobility is not known and admitted in France. Silly laws, considering the vast lands Ivanne and Asdrubal ruled.
To avoid any problem, I suggest we form a dowry as a french stronghold given to the Señor de la Barca on the day we sign the prenuptial agreement, previously to the religious ceremony.
Or, in other words: I do approve of this plan, and if Your Highness could be kind enough to grant a land, you would win a vassal Peer of Castilla... Great, isn't it?
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Tempé parlotte lyonnais
Ivanne
En soie, velours à la tête et fourroure de renard sur le cou, l'Infante attendait avec son vassal pendant qu'elle laissait la cravache et les gants de monter à cheval à un laquais de son cortège. Ils sont arrivés ainsi à la maison d'un des fils de la France, du plus ancien lignage français (celui de la Reyne Beatrice Ière), et l'Infante Ivanne lui savait assez bien. Même si la princesse castillaine savait ce même à cause des signatures aux traités d'amitié entre français et espagnols, Ivanne était une femme très courieuse et pour ça, lorsque Jenifaël avait parlé de son lignage la première fois, elle s'avait inquiètée pour rechercher d'information autur de la reyne.


Froid. Fourroures et le feu pour les combattre. Mais on fait quoi pour combattre le froid des mots ? Une voix brûlant celui du prince français, parfait pour combattre la gelée de la Josselinière.


- « C'est un plaisir, Altesse. L'honneur c'est mien. -Suffisant pour elle. Même si elle pourrait être plus sympathique, elle ne voulait pas parler beaucoup car il était le (possible) mariage d'Asdrubal, pas d'Ivanne. Elle était déjà mariée... Le cousin du roy était très chanceux, sûre. Mais cette conviction avait arrivé à son fin le prècis moment dans lequel la vicomtesse avait parlé. Heureuse des mots de Jenifaël, Ivanne acquiesce. C'était vrai: Jenifaël arrivait à l'âge d'avoir des petits Asdrubals et des petites Jenifaëls. En regardant à la vicomtesse Temperance, tante de la (possible) fiancée, Ivanne s'assied et répond.- C'est un plaisir de vous connaître aussi, vicomtesse. En effet, cette union est très désirable... Mais s'il y aura des problèmes avec la Hérauderie, je peux vous dire que la Castille et la France ont un traité signé depuis les temps des reynes Béatrice de France et Elena de Castille, où les Hérauderies sont reconnus et ainsi les titres de noblesse; de tout façon, je sais bien que la France a parlé toujours de ratifier le traité car il a passé beaucoup de temps. Dans cette situation, je trouve donc que, comme vous avez déjà dit, la Hérauderie française ne reconnait pas les titres castillains... Ainsi que la Hérauderie castillaine ne reconnait pas les titres français. Mais je sais que monsieur Asdrubal saurait vous dire mieux: c'est lui notre Roy d'Armes. - Après ce, le sourire prend lieu.- On parle d'une dot... Bien, bien. De combien on parle alors ? Ainsi qu'on parle d'un fief pour mon vassal. Je ne crois pas qu'il serait recommandable, car il est mon vassal et vassal aussi du roy castillain, alors il ne serait pas logique qu'il soit vassal de la France. Mais nous pouvons parler à ce sujet et négocier... Peut-être mademoiselle Jenifaël pourrait l'avoir. »

L'argent et la famille, la terre et le lignage, toujours embrassés pour l'idée du mariage.
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Asdrubal1
Asdrubal a observé avec curiosité l'arrivée de la suzeraine de Jenifael, à laquelle il ne connaissait pas, mais il a suivi avec un plus grand intérêt l'entrée dans la salle de Charlemagne, parce que par lui ils étaient arrivés à Nesle, pour formaliser ce qu'ils avaient déjà parlé à un moment précédent.Celui de la Barca a écouté les mots de Temperance en maintenant un geste imperturbable, avec le même geste hiératique il a écouté la réponse d'Ivanne. Il a cassé son silence pour se présenter à Charlemagne;

-Altesse, c'est un plaisir et un honneur connaître vous-Il maintenait un certain ton mécanique, comme si ses mots étaient déjà essayés à l'avance,son français sonnait en outre forcé, parce qu'il était loin de savoir parler dans cette langue-Comme votre cousine a bien dit, je suis Asdrubal de la Barca, pair du la Couronne de Castille, seigneur d'Ávila et d'Olite, et à vous je vais pour solliciter la main de votre prime,Jenifael de Montmiral, en mariage. Sur les problèmes de reconnaissance d' héraldiques,comme roi d'armes de la Chapelle Héraldique du Castille que je suis, m'il est composé l'existence d'un traité de temps de Beatrice de la France et d'Elena Ruth de Castille. De toutes manières, il y a des moyens pour que les deux titres,castillans et français, soient reconnus.

Il n'a dit rien sur ce que la vicomtesse avait dit sur un seigneurie français, il préférait attendre que Charlemagne donne son avis à ce sujet avant de se prononcer.

[ES]

Asdrubal observó con curiosidad la llegada de la señora feudal de Jenifael, a quien él no conocía, pero él siguió con mayor interés la entrada en la sala de Charlemagne, pues por él ellos habían llegado a Nesle, para formalizar lo que ellos ya habían hablado en un momento anterior. El de la Barca escuchó las palabras de Temperance manteniendo un gesto impertérrito, con el mismo gesto hierático él escuchó la contestación de Ivanne. Él rompió su silencio para presentarse a Charlemagne;

-Alteza, un placer ser acogido en vuestra morada y un honor conocer a la sangre real de Francia -Él mantenía un cierto tono mecánico, como si sus palabras estuvieran ya ensayadas de antemano, su francés además sonaba forzado, pues él estaba lejos de saber hablar en este idioma- Como bien se ha dicho, yo soy Asdrubal de la Barca, par de la Corona de Castilla, Señor de Ávila y Olite, y a vos yo acudo para solicitar la mano de vuestra prima, Jenifael de Montmiral, en matrimonio. Sobre los problemas de reconocimiento de heráldicas, como rey de armas de la capilla de Castilla que yo soy, me consta la existencia de un tratado de tiempos de Beatrice de Francia y de Elena Ruth de Castilla. De todas formas, hay medios para que ambos títulos, castellanos y franceses, sean reconocidos.

No dijo nada sobre lo que la vizcondesa había dicho sobre un señorío francés, prefería esperar que a Charlemagne emite su dictamen a este respecto antes de pronunciarse.
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Charlemagne_vf
Charlemagne ne demeura pas longtemps dans le doute, puisqu'en effet, ses hôtes se mirent à déverser un flot de parole chamarré d'accents divers.
Il se laissa surprendre par l'incongruité de la demande : s'il avait à l'esprit quelques mariages pour ses parentes, et notamment sa soeur, les branches collatérales étaient le cadet de ses soucis. Aussi n'avait-il jamais songé que Jenifaël lui demanderait son consentement : Axel ne l'avait fait qu'à regret, pour épouser un fat et se murer dans l'indignité, et une autre dont il avait oublié le nom avait convolé sans s'occuper de savoir si le chef de famille bénissait ou non l'union.
Il n'en avait eu cure, et pourtant, que la Castelnau s'occupe un peu de sa place au sein de la généalogie le flattait : elle l'avait toujours fait, étant la seule et unique Castelmaure - à peu de choses près - qui lui écrivait régulièrement pour l'informer des destinées de sombres inconnus.

Il lui répondit ceci :

Madame, je suis heureux d'apprendre qu'il existe encore en cette Maison quelqu'un qui se soucie de ses devoirs, et vous honorez notre nom par l'alliance que vous choisissez de lui offrir ici.
Madame ma nièce a raison : pareille union est très désirable, je crois. Mais Madame ma nièce a tort... comme votre Altesse Royale l'indique.


Là-dessus, il se tourna vers les castillans qui s'étaient exprimés.

Et je suis ravi, Votre Altesse Royale, que les relations que ma mère avait pris soin d'asseoir par traité avec votre royaume puissent être pérennisée par un mariage de ma famille avec un illustre Pair de la couronne de Castille.

Monseigneur, je vous ferai avec joie mon cousin. Là.

Là-dessus, il commanda qu'on apporte des vins et de quoi se nourrir. Il proposa qu'on se rendît dans la grande galerie qui, pour sa gloire, était toute peuplée de statues à son effigie, image de celle qui trônait dans la cour. Sur les murs, les scènes de chasse de sa jeunesse, à Chastellux, faisaient une fresque : le printemps venant, on la changerait pour des scènes militaires imaginaires.

Je vous en prie, asseyez-vous.

Il prit place, lui, dans une fière cathèdre ciselée d'aigles bicéphales.

J'écrirai bientôt à Sa Majesté la reine, à ce sujet : elle ne saurait rester ignorante des perspectives de mariage de l'une de ses demoiselles.
Il nous faut constituer une dot pour Madame ma cousine, et votre présence, Tempérance, nous sera fort utile à cela.
Votre Altesse, Monseigneur : est-il des clauses que vous voulez voir absolument portée au contrat de mariage qui liera Asdrubal de la Barca et Jenifaël de Castelnau-Montmiral ?

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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle était restée totalement silencieuse, attentive et PAF ! Il osait ! Surement une simple erreur d’inattention, mais son prénom venait de prendre un coup dans le pif. Jenifaël Luna. Voilà ce qu'il était, voilà ce qu'elle aimer qu'il reste. Tant pis, elle avait d'autres soucis que de planter la remarque à Charlemagne, entre les deux yeux. Ils s'assirent, tous, sur invitation du prince avant que la jeune femme prenne la parole.

    "- Votre Altesse royale, je tenait à vous remercier pour la lettre de recommandation faite pour que je puisse intégrer la cours du Lys, sachez que dès que nous aurons fini de parler des formalités avec vous, je conduirait son altesse royale et Messire de la Barca au Louvre, pour les présenter à la cours du Lys, mais vous et Tempérance étaient à mes yeux, prioritaire. "

    Puis elle continua.

    "- Concernant la dot, depuis l'âge de douze ans, cela est un sujet qui me préoccupe, j'ai déjà proposé la somme de six mille écus, mais également mes propriétés au nombre de sept au travers notre royaume et une partie de l'Empire, sans parler des deux seigneuries que mon offerte Axel et Tempérance. De plus, il me semble qu'en temps que dame de hauts parages de sa Majesté consort, la couronne est prête à financer ma dot. Lorsque nous serons au Louvre, je pourrais me renseigner auprès de son altesse royale Mélissandre, pour en savoir plus. "

    Tout ça, c'était les possessions existantes déjà. Si à une époque, elle aurait rajouté également la possession de trois beaux destriers dressés, pour la course, l'apparat ou le loisir, elle ne le faisait pas aujourd'hui. Sa fonction e dame de parage de la reine, lui donnant le droit à diverses choses, comme par exemple des appartements dans l'aile royale, ou encore un revenu de 1 000 écus supplémentaire chaque mois, en plus de ses gages de grand-maître de la garde-robe. Autant dire, que la jeune fille, bien que gagnant peu avec ses seigneuries dauphinoises, trouvait néanmoins son compte ailleurs. On pouvait amplement dire que partie de peu, elle se retrouvait avec bien plus et la petite Castelnau-Montmiral n'en était pas peu fière. Et elle pouvait s'enorgueillir un peu plus en songeant qu'elle avait fait de son mieux, seule, sans parents directs pour arriver à ses fins, notamment Charlemagne, un Charlemagne qui depuis toujours l'avait détesté, et même frapper, lorsqu'elle lui avait dit mériter plus le nom de Castelmaure que lui, par moment, mais un Charlemagne pour qui elle avait fait de nombreux efforts, pour ne rien lui devoir ou lui rendre toujours ce qu'elle devait et ne pas être un poids pour le jeune homme. Bien sûr, Tempérance et Axel avait contribuer à ce que la jeune fille arrive à ses fins, et elle rester reconnaissante envers les deux. La première en essayant de l'aider comme l'amie qu'elle étaient, la seconde en évitant de trop se disputer avec son mari ... La chose était très complexe. Concernant les clauses de son mariage, elle laisserait en premier la parole aux deux Castillans, car elle voulait aussi savoir précisément s'ils avaient des attentes supplémentaires, avant d'en ajouter elle-même. Oui, car si la jeune fille à bien une idée en tête, c'est de pouvoir vivre en France et perpétuer son nom malgré tout ...

    [ES]

    ¡ Había quedado totalmente silenciosa, atenta y PAF! ¡ Se atrevía! Surement un error simple de descuido, pero su nombre acababa de tomar un golpe en el pif. Jenifaël Luna. He aquí lo que era, he aquí lo que ella gustar que se queda. Tanto peor, tenía otras preocupaciones que de plantarle la observación a Carlomagno, entre ambos ojos. Ellos todos se sentaron, en invitación del príncipe antes de que la joven mujer tome la palabra.

    " - su Alteza real, yo quería agradecerle por la carta de recomendación hecha para que pueda integrar curso de la Lis, sepa que tan pronto como habremos acabado de hablar de formalidades con usted, mí conduciría a su alteza real y Señor de la Barca al Louvre, para presentarlos a curso de la Lis, pero ustedes y Templanza estaban con mis ojos, prioritario. "

    Luego continuó.

    " - concerniendo a la dote, desde la edad de doce años, esto es un sujeto que me preocupa, ya propuse la suma de seis mil escudos, pero igual mis propiedades en total de sept al defecto nuestro reino y una parte(partida) del Imperio, sin hablar de ambos señoríos(señorías) que mi ofrecida Axel y Templanza. Además, me parece que en el tiempo que dama de alturas parages de su Majestad consort, la corona está dispuesta a financiar mi dote. Cuando estaremos en el Louvre, podría informarme cerca de su alteza real Mélissandre, para saber más sobre eso. "

    Todo esto, era las posesiones existentes ya. Si en una época, también habría añadido la posesión de tres bellos caballos destreros puestos(amaestrados), para la carrera, la pompa o el ocio, no lo hacía hoy. Su función e dama de parage de la reina, consagrándosele el derecho a cosas diversas, por ejemplo como apartamentos en la ala real, o todavía una renta de 1 000 escudos suplementaria cada mes, además de sus prendas de gran dueño del guardarropa. Eso es tanto como decir, que la joven chica, aunque ganando poco con sus señoríos(señorías) delfineses, encontraba sin embargo su cuenta en otro lugar. Podíamos ampliamente decir que ida de poco, se encontraba con mucho más y la pequeña(niña) Castelnau-Montmiral no estaba poco orgullosa de eso. Y podía enorgullecerse un poco más soñando que había hecho lo mejor posible, sólo, sin parientes(padres) directos para llegar a sus fines, particularmente Carlomagno, Carlomagno que desde hace tiempo lo(la) había detestado, y hasta golpear(llamar), cuando le había dicho merecer más el nombre de Castelmaure que él, a veces, pero Carlomagno para el que había hecho numerosos esfuerzos, para no deberle nada o devolverle siempre lo que debía y no ser un peso para el joven hombre. Por supuesto, Templanza y Axel tenía contribuir a para que la joven chica llegue a sus fines, y ella quedar agradecida hacia los dos. La primera tratando de ayudarle como la amiga que ella eran, el segundo evitando reñirse demasiado con su marido... La cosa era muy compleja. Concerniendo a las cláusulas De su matrimonio, dejaría primero la palabra(voz) a ambos castellanos, porque precisamente quería también saber si tenían esperas(previsiones) suplementarias, antes de añadirlo él misma. Sí, porque si la joven chica al bien una idea en cabeza, es poder vivir en Francia y perpetuar su nombre a pesar de todo...

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Temperance
Tempérance... se tut.
Elle venait de prouver derechef qu'à chaque occasion qu'elle a d'ouvrir la bouche, elle dit des bêtises. Donc, titres reconnus, pas d'autre terre à octroyer, une dot déjà prévue par la Maison Royale, et un Charlemagne conquis.
Tout se présentait sous les meilleurs auspices. Elle se demandait bien à quoi elle serait utile.

Assise et silencieuse, donc, elle se mit à regarder, discrètement, l'allure de l'homme qui serait, bientôt, l'époux de sa petite Jenifael...

Il lui sembla que le Prince lui demandait si elle avait quelque chose à suggérer, pour la noce ; mais la préséance voulait que la Josselinière répondît en premier.


***

Tempérance kept silent, aware that every time she speaks, she speaks nonesense. Furthermore, everything was going perfectly well and her help was by no mean needed, either to give a land, money or a hand in convincing the already convinced Prince.
Perfectly silly, useless little Viscountess.

So, she kept silent. She surely would speak her mind about some thing she wanted to put in the contract. But the manners required that she let Ivanne de Josselinière speak first.

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Tempé parlotte lyonnais
Asdrubal1
[FR]

Asdrubal écoutait, bien qu'avec difficulté, ce qu'ils parlaient dans la salle, sa position comme ambassadeur devant l'Angleterre lui aurait permis de perfectionner son habilité avec l'Anglais, le français était autre affaire, y compris en étant son souveraine française. Note mentale, il on a dit,d'apprendre urgemment français,il ne pouvait pas être perdu conversations tellement importantes. Toutefois, il a pu écouter l'important, et retenir les données les plus remarquables que ce qui a été dit tant par Charlemagne comme par Jenifael.

-En ce qui me concerne-Il a dit avec attention-j'apporte au mariage Avila et Olite, avec ses revenus, mes propriétés dans la capital du Royaume de Castille, Burgos, et dans la capital de la Couronne, Tolède. En outre, je prends part généralement dans la politique du royaume,normalement comme juge. Sans pallier les prébendes qu'accorde mon lieu mentionné dans Cour de Castille comme roi d'armes. Demandes… Quant aux fils, comme héritiers de les deux lignées, ils devront être instruits en accord avec cela, ce pourquoi je veux droit de vote en ce qui concerne son éducation. D'autre part, mon souverain, la princesse Ivanne, s'est engagé à payer les frais de la liaison.

Il a terminé de parler avec un geste de déférence vers Ivanne, se peut que, le long de ses mots, il mélangerait un certain mot en français avec le castillan, mais il attendait avoir obtenu parler de manière claire.

[ES]

Asdrubal escuchaba, aunque con dificultad, lo que ellos hablaban en la sala, su posición como embajador ante Inglaterra le había permitido perfeccionar su habilidad con el inglés, el francés era otro asunto, incluso siendo su soberana francesa. Nota mental, él se dijo, aprender urgentemente francés, él no podía permitirse perderse parte de tan importantes conversaciones. Sin embargo, él pudo escuchar lo importante, y retener los datos más valiosos de lo dicho tanto por Charlemagne como por Jenifael.

-Por mi parte-Él dijo con detenimiento-yo aporto al matrimonio Ávila y Olite, junto con sus rentas, mis propiedades en la capital del Reino de Castilla, Burgos, y en la capital de la Corona, Toledo. Además, yo suelo participar en la política del reino, normalmente como juez. Sin obviar las prebendas que otorga mi mencionado lugar en la corte de castilla como rey de armas. Demandas... En cuanto a los hijos, como herederos de sendos linajes, habrán de ser educados de acuerdo a ello, por lo que yo quiero derecho a voto en lo referente a su educación. Por otro lado, mi soberana, la princesa Ivanne, se ha comprometido a pagar los gastos del enlace.

Él terminó de hablar con un gesto de deferencia hacia Ivanne, puede ser que, a lo largo de sus palabras, él hubiera mezclado alguna palabra en francés con el castellano, pero él esperaba haber logrado hablar de manera clara.
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Ivanne
Chaque mot était un piège. Les négotiations étaient des pièges, en fait. La Josselinière, en regardant tous les présents, a parlé.

- « Ah, emmmm... oui, je payerai le mariage. -Sa voix a été douce, mais l'idée qu'Ivanne aurait au début avait changé vite. Payer le mariage de son vassal... Ça était une façon de remporter ses noces, pas une vraie intention de se faire 'la bonne maman'. Mais en regardant qu'il était possible le mariage, maintenant la castillaine ne pouvait pas aller en marche arrière. Comment faire alors pour accomplir sa mot mais sans nuire à les caisses de ses fiefs?- Mon cher vassal, je vous ferai pour cela vicomte d'Olite. De cet façon vous aurez un titre plus digne et capable de vous fournir de l'argent pour le mariage, car je vous réduirais le montant des impôts aussi. Je pense que ça irait bien aux fiancés. -Il y a des fois qu'on a besoin de ne serrer pas tellement le cou de notre proie... Seulement pour avoir une proie meilleure. Et en ce qui concerne à Asdrubal, il était mieux d'avoir un vassal vicomte pour une princesse, qu'un simple seigneur.- Pour la dot de madame Jenifaël, six mil... Bon, c'est un bon début. Mais je ne crois pas que six mil seront suffisants pour la femme d'un vicomte. Le double serait plus approprié, car madame Jenifaël doit être presentée à la Cour castillaine, et s'habiller plus appropriée... À l'usage castillain. Et cela suppose de l'argent. -En fait, Ivanne voulait faire de Jenifaël une dame cosmopolite: savoir s'habiller comme castillaine mais sans oublier l'essence française, pour ne pas être la proie des castillains, ainsi qu'Ivanne avait été lorsqu'elle était arrivée à la Castille pour première fois. Il était dur. Après une pause, juste pour respirer... Et regarder à Jenifaël mais en parlant à Charlemagne.- Votre Altesse Royale, je crois qu'il n'y aura pas aucune soucis pour tolèrer le rite réformé pour le mariage. Je suis sûre que la fiancée aimera la simplicité de notre religion, ainsi que mon vassal aimera se marier une réformée et avoir des enfants réformés aussi. Si c'est un problème, je peux consentir que le deuxième de ses fils serait aristotelicien à l'usage de Rome, et qu'il soit l'héritier aux fiefs français... s'il y a d'un deuxième enfant. Sinon, l'aîné aura les fiefs espagnols ainsi que les français. Qu'en pensez vous ? »
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Temperance
[FR]
Là, Tempérance manqua de s'étouffer. Elle ne put retenir un bruit très organique, et puis elle roula des yeux et dit :

Que... Quoi ? La réforme ? Euh... La réforme... Soudain consciente de probablement faire offense à la Princesse, elle réalisa ainsi que... Diable... Ces espagnols étaient donc des réformés ? Jamais elle ne s'était dit qu'on pouvait ainsi vivre ouvertement selon cette religion, et réussir dans la vie, ou se marier et espérer que la Hérauderie approuvera... Elle s'éclaircit la gorge et reprit :

Donc, euh, la réforme... La réforme est point reconnue partout en France. Il faudra faire le rite en Castille et compter que le fait que l'union soit reconnue en Castille rendra l'union reconnue en France, par... quelque subterfuge de législation... Elle qui fut juge plusieurs fois tâcha de se remémorer les dispositions sur la liberté de conscience de la Reine Angélyque. Si l'union est reconnue dans la province où on la pratique, alors elle est valide pour la Hérauderie ; mais l'étranger, est-ce considéré comme une province ? Et la reconnaissance va-t-elle jusqu'à toucher les fiefs d'une province qui, comme le Dauphiné, ne reconnaît pas la Réforme ?

Elle en aurait des noeufs au cerveau.


***
[EN]

Tempérance chocked. She could not help but make some weird noise, then rolled her eyes and said:

Wut... What? The Reformation? Eh... The Reformation... She suddenly realized how offensive it was to show some surprise in front of the... the Princess! Bloody hell, those Spaniards were reformists, then? She never thought about that religion as one one could openly display... She cleared her throat and said:

Well, hem, the Reformation... The Reformation isn't accepted everywhere is France. We should practice the rite in Castilla and hope that as the wedding will be acknowlegded in Castilla, thus it will be in France, by some... mean of law... She was judge many times in her life but could not see a perfect way to have this reformist union recognized in Dauphiné, where Jenifael had her lands but where the Reformations wasn't accepted. If they practiced the wedding in another place, where the Reformation was accepted, the union would be accepted by the french heraldry, but would that mean the titles from Dauphiné would be shared? Should they make the wedding and hope everything goes fine, or inquire beforehand?

What a headache...

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Tempé parlotte lyonnais
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