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[rp] Et vive la liberté

Marjeline



Pas de titres en majuscules, merci
Vouivoui
Armoria
Campagne champenoise, aux lueurs de l'aube du 10 juillet :

Ils avaient fait route, chargeant Armoria de provoquer les hérétiques et les mercenaires, ne se laissant en rien infléchir par la propagande adverse. Tonnerre avait été laissée derrière eux, et ils s'étaient dirigés de nuit, pour ne pas perdre de temps, vers l'endroit où un homme avait été attaqué par une armée : celle des mercenaires ayant été localisée à Joinville, l'armée embusquée ne pouvait être que celle des hérétiques.

Dans la tente de commandement, où elle était allée rejoindre Erik pour aller aux nouvelles, sitôt celle-ci connue, une même flamme avait brillé dans les yeux des deux com-Pairs étoilés d'argent : les hérétiques allaient goûter de leur lame.

Elle s'était ensuite retirée pour prier, puis était montée en selle, l'esprit purifié, remettant son destin entre les mains de Dieu. Sa monture, qu'elle avait eu soin de dégoûter des pruneaux en lui en donnant un couvert d'une macération amère - les 45 à ses côtés songeaient à nourrir la pauvre bête de prunueaux, pour l'empêcher de courir au-devant des troupes - avait appris à refuser cet aliment qu'elle aurait dû voir comme une gourmandise.

Ils se mirent en selle. Près d'elle, porté par le fidèle Forrest, se déploya l'étendard des Mortain - oui, l'ancien, les batailles se succédaient au point qu'elle n'avait toujours pas pu faire faire le nouveau par ses cousettes.




L'aube fit reluire leur équipement quand ils aperçurent le camp des hérétiques, dans un repli de terrain. Un regard échangé avec ses compagnons. Le cri jaillit de sa gorge, sauvage, comme lors de chacune des charges auxquelles elle avait participé.

MONTJOIE SAINCT BYNARR ! QUI M'AIME ME SUIVE !

Le cheval, vivement talonné, partit comme s'il avait des ailes. Epée de Snell bien en main et fermement tenue, elle fila tout droit, sans se soucier de savoir si les autres avaient eu le temps de réagir aussi.

Choc terrible, fracas des armes, et la sensation curieuse et déplaisante d'une lame s'enfonçant dans un corps... Cette fois encore, Dieu avait décidé de sa survie au détriment de celle de l'ennemi qu'elle venait de frapper. Vague nausée d'avoir peut-être porté la mort. Elle regarda l'homme qui gisait, et que son arme venait de cueillir.


Dieu tout puissant, voici une âme qui va se présenter devant Vous : elle est noire et Vous a renié. Vous, père de toute chose, jugez-la, c'est à Vous que je la recommande.

Sous la furieuse charge de l'armée bourguignonne, celle des hérétiques s'était disloquée. Elle brandit vers le ciel sa lame rougie.

Où est ce faux dieu qui devait vous protéger ? Notre bras armé pour la défense du Très-Haut est la preuve de vos errements ! Repentez-vous, âmes damnées !

Un mouvement, un peu plus loin : un visage connu... Ardath.

Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Elanion. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé une armée et un groupe composé de Ardath et de Svaltard.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Asdrubaelvect
Campagne champenoise, aux lueurs de l'aube du 10 juillet :


Le Duc d'Amboise avait passé la dernière semaine à courir dans tous les bureaux de l'État-Major, à essayer d'obtenir des informations sur toutes les villes pour toutes les défendre en même temps... Aucune ne devait tomber, aucune n'était tombée.
Il avait initié la défense puis avait même été nommé coordinateur pour la Bourgogne, mais tout ceci avait dû être acquis en allant chercher, il semblait toujours falloir imposer ses visions pour que quelque chose soit fait...

Cette nuit, ils allaient sortir de Bourgogne, Asdru avait planifié la stratégie, et ils n'auraient dû rencontrer l'armée ennemie que le lendemain...
Soudain, le cri d'Armoria retentit, qu'avait-elle encore ? Il se demandait bien ce qu'elle avait bien pu découvrir, un petit village rasé par ces animaux ?

Il avait été réveillé de ses songes par le vacarme et l'oppressant bruit des pas de tous les soldats, hommes et femmes qui s'en allaient courant vers ces créatures du Sans-Nom.
Juché sur son destrier, le Duc observait le combat d'une petite hauteur à quelques pas derrière. Son épée n'était pas tirée et il descendit de sa monture.
En effet, bien que Duc, il n'en demeurait pas moins qu'il était clerc et par là, il ne devait point faire couler le sang... Il savait pertinemment que son choix de suivre l'armée aurait pu le contraindre à frapper l'hérétique, et il était prêt à en assumer les conséquences. Mais au vu du rapport de force et du courage de la troupe bourguignonne, il n'avait aucun doute sur l'issue de l'affrontement, qui ressemblait bien plus à un massacre, un abattoir pour ces animaux.
Il n'avait pourtant nulle peur et son épée aurait été tirée pour défendre l'un de ses frères. Cela ne fut point nécessaire.

Même si sa lame et son bras n'étaient pas au devant de l'ennemi, il n'était pas absent de cette attaque, il se mit à prier tout haut, peut-être pour sauver l'âme de tous ces damnés. Il pria comme le fit Saint-Miguaël, l'Archange du Don de Soi.


Ô Dieu Très-Haut,
Père de l’humanité
Et Toute-Puissance divine,
Ferme mes oreilles
Aux tentations
Et ouvre mes yeux
A l’amour sans fin que tu me donnes,
Que je puisse donner à ceux qui doivent recevoir,
Aimer ceux qui doivent l’être,
En sachant toujours,
Que si je n’étais pas là,
Quelqu’un d’autre serait là pour le faire
Car c’est Toi qui parle par ma bouche
Et qui œuvre par mes mains.

Pardonne à mon frère et à tous les autres
Ils ne savent pas ce qu’Ils font.




Hérétiques, rendez grâce aux Très-Haut et à ses enfants ici rassemblés qui vous renvoie d'où vous venez. Abjurez vos croyances infidèles et embrassez le Saint Nom de nos prophètes, Aristote et Christos.
Que tous vos blasphèmes soient purifiés par le bras de Dieu qui s'abat sur vous.
Reconnaissez le Très Sainte Église comme la seule institution de Dieu sur Terre.

Voyez la force de ceux qui combattent au nom des Saintes Vertus et pour la Vérité. Voyez votre impuissance et celui de la Créature Sans Nom qui vous habite face au courage s'insuffle le Très-Haut, Saint Miguaël et Saint Bynarr aux bourguignons et à tous ceux qui combattent pour vous terrasser.

Voyez et Craignez le Très-Haut et ceux qui combattent avec son appui.


La victoire était totale, tous les hérétiques qui avaient suivi Gromukus jusqu'ici étaient morts. Ceux qui avaient fui devant l'arrivée de l'armée bourguignonne allaient bientôt être rattrapés, l'opération touchait à sa fin, à la fin de leur hérésie.


Citation:
10-07-2009 04:32 : Vous maintenez la foi de vos moutons, euh, des fidèles de votre diocèse. Grâce vous en soit rendue (+636 PVD).
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.

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Soizic
Campagne champenoise, aux lueurs de l'aube du 10 juillet :

C'était ses premiers pas dans une armée. Une armée organisée, digne et vaillante, suffisamment remontée pour défendre ardemment la Bourgogne et ses valeurs.
A ses côtés, les grands noms du duché. Tous sont là et parmi eux, son suzerain, Asdrubaelvect. Pas peu fière de combattre à ses côtés, Soizic se tenait droite sur son destrier.

Soudain, alors que la fin de la nuit s'annonçait tranquille, un cri. Le cri de la Bourgogne, version Armoria. Que se passait-il ?
Moment de flottement pour la Cosnoise qui n'a jamais combattu réellement. Quelques hommes devant une mairie, rien de plus.

Voyant tous les Bourguignons charger l'ennemi, arme dirigée droit devant, elle fait de même. Un homme face à elle. Premier coup, il se relève et attaque par derrière. Demi-tour rapide. La rage fait son effet, deuxième coup, fatal, ou du moins ce qui semble l'être. L'homme git à terre.

Pas le temps de comprendre ce qu'elle vient de faire. D'autres hérétiques taquinent le Bourguignon plus loin. Elle fonce les aider. Toujours cette rage qui l'anime pour le moment. Etrange sensation qui l'enveloppe soudain. Etrange plaisir même.
La lame toujours pointée vers l'ennemi, une lueur dans les yeux, un sourire discret, Soizic crie à son tour :


BOURGOOOOGNE !


Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Saratancredi. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Saratancredi. Vous l'avez sérieusement blessé.
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.

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Damisella
Campagne champenoise, aux lueurs de l'aube du 10 juillet :

Activité fébrile dans le campement, tous se préparent pour un éventuel combat.
Buce a été gorgé d'avoine, elle le harnache soigneusement vérifiant une ultime fois chaque sangle, puis elle revêt sa cotte de mailles, le départ va être donné sous peu.



Sur tous les visages se lit la même impatience, depuis des jours ils traquent les hérétiques du Lion de Judas, si le très-Haut est avec eux, peut-être les rencontreront-ils enfin.

Elle saute en selle, va se placer près de la princesse, lui jette un regard plein d'entrain.


Vostre cheval est en forme votre Altesse?

Mmmmph de ladite pour toute réponse, serait-elle au courant des projets faits en catimini pour l'empêcher de ne leur montrer que la croupe de son cheval?
Pierre de Roanne a-t-il eu le temps de verser dans la mangeoire un seau de pruneaux avant que les moines ne viennent le chercher?

Mais l'ordre de marche est donné, cliquetis des armes tandis que tous montent en selle, puis la troupe s'avance dans l'obscurité qui prend possession du ciel.


Heures de marche sans un mot tandis qu'elle pense à son doux, reclus au monastère, il était si impatient d'en découdre; si l'occasion se présente de combattre elle imagine sa déception de n'avoir pu y participer.

*Mon tendre promis, je combattrai pour nous deux priez pour nous, et pour qu'aucun ne soit grièvement touché. *

Ll'aube point lentement, au loin un campement commence à se dessiner dans la brume matinale..... les Lions sont là!!

MONTJOIE SAINCT BYNARR ! QUI M'AIME ME SUIVE !


Le cri de guerre résonne dans le matin blême.


Dami éperonne Buce, pas question cette fois de ne voir qu'un panache blond filer deux longueurs en avant.


TOCOS Y SE GAUSOS


Chocs furieux des armes , hennissements des chevaux, la mêlée devient indescriptible, Dami frappe à tour de bras, un puis deux, puis trois tombent sous ses coups.....

Citation:

10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Serrallonga. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Kamazonia. Vous l'avez sérieusement blessé.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Gromukus. Vous l'avez sérieusement blessé.
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.

Emmaline
Emmaline commençait a etre fatiguée par toutes les chevauchées .Cela faisait plus d’une semaine qu’ils étaient sur les chemins pour defendre leur chere Bourgogne.
Les ordres arrivaient toujours tres tard le soir, elle en profita pour aller se reposer un peu dans la tente.
Olivier1er son frere basilic qui était en contact avec le capitaine de l’armee était parti aux nouvelles .Les quatres basilics avaient monté leurs tentes tout pres de celle de des autre soldats de l’armée de Bourgogne ,au fond du champ,pres du ruisseau dans un coin bien ombragé .




Ninou était sous un arbre et faisait son courrier,certainement pour son amoureux Youl qui était resté pour défendre Nevers ,avec jo .
Taz était parti a la pêche ,il devait ramener du poisson pour le repas du soir .il avait allumé le feu .

La soiree s’achevait quand l’ordre de vite partir a l’attaque se fit entendre .
Olivier arriva au triple galop fier sur son destrier pour donner l’ordre de décoincer rapidement .
Pas commode Olivier quand il s’y met!
Des cris de toutes parts fusaient .Emma reconnut le cri de la princesse puis du capitaine et beaucoup d’autres ensuite .


MONTJOIE SAINCT BYNARR ! QUI M'AIME ME SUIVE !


Tout le monde se vêtit, les armures furent enfilées a la va vite,Le feu eteind ,les chevaux sellés et tout le monde partit .

La nuit fut sanglante,un vrai champ de bataille,
Les combats ont fait rage jusqu’au petit matin . Emmaline avait lutté longuement aux côtés de ses freres et sœurs ,ils prirent un petit groupe a l’arriére, la Princesse était aussi dans les parages .
Arkadi son amie de Nevers ,un peu plus loin se battait avec Gromukus ,elle lui porta un coup fatal. Elle est forte Arkadi . Normal,elle fait partie de la GCN!

Les entrainement qu’ils avaient suivis a l’ordre des basilics avaient porté leurs fruits . A eux quatres, ils réussirent a tuer quatre personnes

Son frere basilic Taz(pour qui elle avait si peur , il lui avait pris son coeur) s’est battu corps et âme il se defendit comme un chef , il en ressortit avec juste quelques plaies sans gravité mais il ne reussit pas a abattre un heretique, celui-ci ayant fuit ….Ah ah!,.

Pareil pour Ninou52 qui combattit pour la premiere fois et en ressortit indemne

Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé une armée et un groupe composé de Ardath et de Svaltard
.

Olivier1er :

Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Licinia. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Serrallonga. Ce coup l'a probablement tué.

10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.


Emmaline n’vait vraiment combattu qu’une fois,lors de la guerre en Anjou il y a deux années de cela ce fut une bataille terrible ,elle avait alors ressenti la drole d’impression d’enfoncer son épee dans un coprs alors que généralement elle était habituée a panser des plaies .
Cette nuit ci encore,elle enfonca son épee dans l’abdomen d’un homme tout allait tellement vite ,deux assaillants se trouvaient en face d’elle ,elle les empala l’un apres l’autre ,criant elle-même pour ne pas entendre leurs cris terribles .C’était eux ou elle, elle avait pas le choix ….qu’Aristote lui pardonne!

Dans l’honneur , la bravoure et la loyauté!

Emmaline:
Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Mancathe. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Elanion. Ce coup l'a probablement tué.
10-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Mancathe. Vous l'avez légèrement blessé.
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.

Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé une armée et un groupe composé de Ardath et de Svaltard
.
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Ardath
[Jusqu'à ce que la Princesse nous sépare. Je le veux]

Ils sont trois à marcher de concert, l'homme au masque de fer, la femme au tricorne et l'enfant à l'âne blanc.
Concert des armes qui se croisent, des armées qui se heurtent et des cris de ralliement. Elle y entend le sien, qui n'est qu'un fragment du leur.
St Bynarr
Elle ne s'est jamais battue pour Montjoie, aurait pu le faire si Bourgogne était tombée pour respecter le serment du Theo. Faire et défaire. Mercenaires, soldats.

Ils pourraient se faire passer pour la famille qu'ils ne sont pas. Des amants qui ne sont pas mariés, des adultes qui n'ont pas engendré Tybalt.
Une fois n'est pas coutume l'Enseigne a mis pied à terre pour marcher au rythme de son compagnon sans monture. Infortune a été chargé des affaires de Chaos en plus des siennes et se laisse diriger du bout des rênes, arrachant sa pitance sur les jeunes branches qui empiètent sur le chemin.
Tout en fixant la route droit devant elle pour ne pas les perdre elle parle à son compagnon de route.


J'aime voir les mufles léonins mourir dans les champs de poussière.

La curiosité la tiraille, sur qui le fragment restant de la DTC peut s'écraser comme une vague sur son rocher ?
Elle tend les rênes au vagabond, sourit, enjouée.


Je vais voir par qui nous aurions pu nous faire poutrer. Garde Tybalt, je reviens.
Se tourne vers l'enfant en question, d'aussi bonne humeur.
Et toi, sois sage.

Elle s'approche jusqu'à être assez à découvert pour voir les armes de part et d'autre de la scène.
Sang qui se fige et qui ne réchauffe que pour faire demi-tour dans ses veines.
L'étendard qui saute sous les assauts de la brise est celui des Mortain.
Une absence de mouvement en face, un regard qui se croise. Armoria.

Il ne manquait plus que ça …
En fait, la cerise sur le gâteau serait que Tybalt se surajoute à la situation, comme une fleur.
Comme un cheveu sur la soupe.

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Juliuz said : Ardath qui sait être cinglante sans être méchante, la seule tata floodeuse.
Gromukus
[ La mort d'un poil à gratter ]


Ce qui devait arriver arriva. Ils faisaient beaucoup moins peur maintenant, la petite lance qui restait, que dis je le gros groupe armé, dont quelques mal nourris. Et là débarqua cette grosse troupe de nobliaux, raide comme des piquets sous leurs couronnes. Et ça allait clamer au monde entier avoir vaincu la DTC, cette bande de brigands... Les morts ont toujours tort.

Ca fleurait pas bon le nobliau donc. Ils virent de concert qu'ils étaient en sous nombre. Mais ils n'était pas là pour fuir, sinon il l'aurait fait depuis bien longtemps. Ils chargèrent eux aussi, le choc fût brutal. Aïe ! A trois contre un il se fit raser la carotide tellement au poil qu'il en perdit la tête. Bon c'était déjà fait depuis longtemps me direz vous, mais cette fois ce fût au sens sale, ça gicla un peu partout. Ca roula dans un talus, il ferait moins le malin maintenant.

Lui qui se croyait immortel, qui pensait pouvoir faire tomber des villes rien qu'en gueulant sur les murs, se voyait raccourci d'un pied. Moults fois il avait bravé la mort pourtant. On était tombé à huit soldats sur lui, on avait tenter de le pendre, il s'était déjà battu à tel point qu'il en était quasi mort de faim. Tout ça pour en arrivé où ? Nulle part pardi. Le monde était peut être trop jeune pour tuer les nobliaux, leur arracher le pouvoir des mains et distribuer les richesses. Abroger ces lois ridicules, qui briment le petit peuple pour le plaisir de certains. La populace était peut être trop abrutie, ou trop occupée à se bisouiller en taverne pour s'en rendre compte. La liberté, non la liberté n'était point encore à l'ordre du jour.. Loin s'en faut.

Gromukus, enfin cette petite tête qui en restait, bien que désolidarisée de son corps fût encore pensive quelques instants. Il souriait intérieurement, nostalgique, sa vie fût bien remplie. Dommage il ne libérera pas la Lorraine, il espéra qu'une bonne âme le fasse. Il ne boulasserait plus son voisin armé de son entonnoir, plus de courses de brouettes tout bourré dans les rues du royaume, plus de duels à la con, seul ou en équipe, plus de procès parce que soit disant il faut une autorisation pour aller pisser, plus d'attaques de batisses même perdues d'avance et tant d'autres choses encore. Tout ça allait sûrement lui manquer, pour sûr.

Quoiqu'il en soit il aura bien rigolé. Adieu.
Olivier1er
[b]Campagne champenoise, aux lueurs de l'aube du 10 juillet :

Apres avoir reçus ses ordres sous la tente du Commandant de l'armée "Gillette, rase au pres du poil, des fois" tous les chefs de lance regagnaient leur section.

Le Seigneur de Sermages comme les autres.

C'est en arrivant au grand galop qu'il rejoignit le camps de la Lance Basilic.


RASSEMBLEMENT !!! Cria il !

sa galopade et ses cris avaient tot fait de rameuter tout le monde.

Du haut de son cheval, il prit la parole




Mes Soeurs, Mes Freres, Mes Amis !

Preparez vous, ce matin sera décisif pour notre avenir...

Notre avenir individuel, en tant qu'etre... nous ne seront peut etre plus là ce soir...

Notre avenir collectif : nous aurons peut etre debarrasser la Bourgogne de la menace de Gromukus.


Des Eclaireurs ont reperé l'armée de GRomukus qui semble quelque peu desorganisé et et demotivé. Nous avons une carte à jouer !

Notre General, le Duc de Corbigny compte sur nous tous pour sauver notre Bourgogne de ce peril. Toutes les Sections, et entre autre la Lance Basilic seront en premiere ligne.

Le Duc veut taper un grand coup définitif !

Tous ensemble Nous Vaincrons !

Sus aux Heretiques ! Mort à Gromukus et sa clique !


Il poussa le cri des Basilic :

DANS L'HONNEUR ! LA BRAVOURE ! ET LA LOYAUTE !

Puis regardant toute la troupe qui venait d'hurler sa volonté de vaincre e écho à ses paroles se dispersa rapidement pour aller s'équiper.

Quelques dizaines de minutes plus tard, tous étaient de retour en bon ordre et équipé de pied en cape.

Il reprit sa harangue

Soldat ! Nous allons rejoindre la position qui nous a été confié.

Mes consignes seront simple :

Premierement : Tout heretique vivant rencontré devra etre mort apres la rencontre.

Deuxiemement : Protegez vous et faites attention à vous.

Troisiemement : Prions pour la victoire et que nous en sortions tous vivant.


Il descend de cheval et pose un genou à terre et joignant les mains.

Ô Dieu tout puissant,
Père des hommes
Et omnipotence divine,
protege nous des tentations
Ouvre notre esprit
Et ouvre nos yeux
A l’amour sans fin que tu nous donnes,
Que nous puissions donner à ceux qui doivent recevoir,
la juste correction pour avoir renier ton nom
renier le salut que tu nous offre
renier la joie que tu nous insuffle
O, Dieu aide nous à ne pas flancher
Protege nous des assaults de ces renegats
et Applique ta justice divine à leurs ames
Que nous t'enverrons

Pardonne à ces heretique qui se sont egaré
Sur le Chemin de ta lumiere
attiré par l'ombre de la Bete sans nom.
Nous les ramenons dans ton troupeau
nous les livrons à ta misericorde divine.


puis apres la priere, Ils partirent se joindre aux autres.

RAssemblé avec le Reste de l'armée...ils attendirent l'ordre de la Charge.

et lorsque la Princesse hurlat


MONTJOIE SAINCT BYNARR ! QUI M'AIME ME SUIVE !

Olivier1er brandit son épée et parti au galop comme les autres donnant le signal à la LAnce Basilic d'en faire autant.

La Charge était lancé, le sort aussi !

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--Tityanis
Tityanis : petit gamin de 13 ans à peine, armé d'un bâton, vif, rapide comme l'éclair, et fils de Soizic. Voilà le portrait de celui qui se tenait sur ses deux pieds, aux côtés des soldats de l'armée d'Erik.

Ah ça, il en voulait ! Un rêve de gamin enfin exaucé. Il avait prié fort le très-haut pour un jour combattre les brigands, pour aider son duché.
P'tit homme qui se voulait grand par le courage.

Avec son bâton, il ne tua pas. Le sang le répugnait encore. Mais il fit tomber quelques grosses brutes armées jusqu'aux dents et trop haut perchées pour remarquer le gamin. Ça l'amusait presque ! Et dire que ces grands se prenaient pour des grands... Étrange paradoxe. Paraît qu'on a toujours besoin d'un plus petit que soi. Proverbe de circonstance.

Soulagement de voir sa mère encore sur son cheval. Soulagement de voir qu'aucun bourguignon ne manque à l'appel. La bataille est terminée. Heureux qu'il est le p'tit homme. Sa mère le prend sur son cheval et l'embrasse sur la joue. Baiser réconfortant d'une mère. Il sait qu'elle a peur pour lui, qu'elle ne veut pas le voir partir, enlevé par Aristote comme sa sœur. Mais lui est trop content. Ses tout premiers pas dans une armée, ses premiers combats... Joie enfantine. Destin tracé.
_max
À peine avait-il eu le temps de poindre, que le petit jour révélait déjà aux soldats de la "Gilette" le terrier de la race d'être la plus répugnante qui soit... Celle des adeptes du Lion de Juda.
C'était la deuxième fois que les iris smaragdins du Comte lui permettaient de distinguer un tel attroupement de cette vermine... Tout comme c'était la deuxième fois qu'elle s'était ainsi rassemblée, sous le commandement de la même fripouille... De même que par le passé, l'Impérial allait pouvoir tirer sa lame et fondre sur cette vase nauséabonde et putride.

Encore tout à ses pensées, il se trouvait malencontreusement encore situé aux abords de l'arrière garde lorsque l'on découvrit l'endroit, et que la lance de commandement se livra presque aussitôt à l'assaut...
Submergés, les hérétiques, qui avaient déjà pris l'habitude de fuir depuis quelques jours, ne tardèrent pas à chercher un nouvel échappatoire... Peine perdue, et les premiers pelotons, partis à bride abattue, en vinrent rapidement à bout.
Depuis sa position en retrait, ne pouvant forcer son destrier lourdement harnaché à égaler la vive cadence des fuyards affolés, Mazière n'eut pour plaisir que de se délecter de la fresque sanglante qu'esquissaient devant lui ses compagnons d'armes françois...

Doucement, il marmonna ce qui, depuis toujours, constituait son cry, et gagnait, au jour d'hui particulièrement, tout son sens...


Par Pari Refertur...(*)

Il se remémorait en effet la bataille qu'il conduisit avec ses alliés, moins de quatre mois auparavant, contre le Lion de Juda, alors qu'il était seul et auguste régnant - après l'Empereur et le Très-Haut - de la Franche-Comté. Ce jour béni de la victoire, de l'épuration suprême, fut aussi un jour de deuil pour toute la contrée, et tout singulièrement pour le Comte... Son fidèle ami et chancelier avait péri sous les coups des crapules... Unique perte dans les rangs Comtois, contre plus d'une trentaine chez l'ennemi, Aristote voulait-il un martyr pour que jamais l'on n'oublie à quel point la souillure réformée est néfaste pour la pureté aristotélicienne... Qui sait?
Depuis lors, Mazière s'était assuré qu'une guerre, quelle qu'elle soit, serait sienne, pourvu que l'impie se trouve combattu par le camp qu'il aurait rejoint...
Ce jour, qui illustrait le propos, la plupart des assassins qui avaient précédemment survécu partirait bel et bien pour l'enfer lunaire, en tous les cas... Et Wils était vengé pour la deuxième fois...

Tandis qu'il admirait le carnage, un bruissement, un seul, par delà les fourrées, capta le temps d'un instant son attention... Une femme qui semblait étrangère au combat se frayait un chemin en sens inverse... Trop loin, déjà, pour en savoir davantage...


Citation:
10-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé une armée et un groupe composé de Ardath et de Svaltard.


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(*) : On rend la pareille (Semblable au dicton "Oeil pour oeil, dent pour dent." en français)

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Armoria
Campagne champenoise, toujours, le 11 juillet, à l'aube :

Le lieu aurait été bucolique, s'il n'avait été, la veille, souillé par le sang des barbares qu'ils étaient venus affronter. Mercenaires, hérétiques, brigands, aucune importance : ils avaient tenté de s'en prendre à sa Bourgogne, et au travers de Langres, à son Roy. Pour Armoria, ces deux raisons suffisaient amplement à faire sa lame s'abattre.

Au long de la journée, ils avaient tous récapitulé les descriptions des faquins : ces derniers avaient choisi la voie du déshonneur, en refusant le choc armé. La justice de Dieu ne s'en abattrait pas moins. En tout cas, c'était ainsi qu'Armoria voyait les choses.

Ils s'étaient relayés pendant la nuit, montant la garde, attentifs : ils avaient dressé leur campement sur un lieu de passage, que les ennemis ne pourraient éviter s'ils tenaient à partir vers l'ouest.

Soudain, la mêlée, de nouveau, et de nouveau, le bruit des lames défouraillées puis entrechoquées : le chaos de la lutte, où plus aucune grande idée ne subsistait que la plus basique. Tuer ou être tué.

Forrest, sans arme - un valet ne s'armait pas, c'était connu - improvisait, et abattait à tours de bras la bannière des Mortain. Heureusement que la hampe était de métal...

Quant à l'épée d'Armoria, dont les courbes avaient été amoureusement dessinées par Snell prenant pour modèle celles, de courbes, de la femme à laquelle il la destinait, elle fut aussi du bal, de pointe et d'estoc, une lame parmi les autres dans la mêlée, et toujours, toujours, ce cri de ralliement se réclamant de Saint Bynarr.

Le soleil se leva pour mettre en lumière le lugubre spectacle : cette fois encore, le hasard des combats leur avait été favorable.

Le souffle court et la lame rougie du sang de l'homme qu'elle avait frappé, elle s'assit dans l'herbe : ses braies et sa chemise étaient de toute façon déjà salies de rouge.


Les chiens... Aucun honneur. Juste bons à effrayer les civils.

La dépouille de Gromukus gisait encore, du combat de la veille. Sa tête, un peu plus loin, fixait le ciel, et semblait se questionner. Un autre corps, face à ce visage : mort, vif ? Reviendra, reviendra pas ? Quelle importance ? Dieu jugerait : eux n'étaient là que pour les envoyer à comparaître...

Il faudra ramener celui-ci en guise d'exemple, et l'exposer bien haut, sa tête près de sa charogne... fit-elle en désignant le corps, puis la tête, de Gromukus du bout de son épée. Que les impies sachent ce qu'il en coûte de s'en prendre à la Bourgogne. Et qu'on en fasse autant avec ceux qui ne reviendront pas de leur comparution devant le Très-Haut.

Citation:
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Galuche.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Gmat. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Gmat. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Gmat.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Ivori, de Laudanum et de Lingus.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Fablitos, de Lorenz, de Debrinska, de Kergeun, de Selene2rr et de Guilhain.


(HRP : demande sera faite à LJD Gromukus, pour savoir si le recyclage de carcasse ne lui posera pas de souci, 'tendez d'avoir la réponse, merci.)
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Damisella
Campagne champenoise, le 11 juillet, à l'aube :

L'avantage du rouge, c'est que le sang y marque peu... Suffit d'enlever les morceaux de cervelle, on a presque l'air propre.


Citation:
Il faudra ramener celui-ci en guise d'exemple, et l'exposer bien haut, sa tête près de sa charogne..


Suggestion d'un baril de sel pour conserver le corps, d'un grand pot rempli de gnôle pour la tête, elle durera plus longtemps, pis l'idée de voyager avec une charogne puante, *bouac* ça ne la tente pas trop la Dami.
Où alors qu'elle soit tout derrière et que l'on marche face au vent..

L'on mangea beaucoup, but peu ou du moins modérément.


Elle était ravie, pour une fois la princesse avait gardé son cheval à bonne hauteur. Voulant quand même en avoir le cœur net, elle se rend auprès du palefrenier qui gardait les chevaux de la princesse, une bonne bouteille de poire auvergnate à la main.

Ils parlent chevaux et élevage , partageant la même passion pour ces nobles bêtes.
Dites-moi , comment va la monture de son Altesse? j'ai eu l'impression qu'elle est moins véloce que d'habitude.

L'homme répond en grommelant:


J'ai eu ordre de mélanger une potion à son picotin, depuis il refuse les pommes que je lui donne, pis ses crottins sont durs, il a l'air d'aller mieux maintenant, mais j'crois ben qu'ça l'a dérangé. On m'a parlé d'une vague histoire de prunes, j'ai pas compris, jamais j'lui en donne.


Elle pouffe, lui tend le reste de la bouteille, désormais sure que Pierre n'a pas pu verser les pruneaux dans la mangeoire, mais après tout, ça revient presque au même.

De retour à sa tente, elle nettoie soigneusement son épée, la polit pour lui rendre son tranchant. Dort un moment sous un arbre dispensant une fraicheur agréable.

Puis ils se mirent en embuscade, certains pariant sur leurs chances d'une autre rencontre.

*Pierre, mon tendre ami, priez pour nous, que nul innocent ne tombe sous nos épées, qu'aucun des nôtres ne périsse*

Au petit matin, ils sortirent de leur caches, fondant sur leurs proies.

Cris de ralliement, invectives, hurlements de douleur, puis le silence, troublé seulement par les gémissements des blessés. De ceux qu'ils traquaient, aucun n'en réchappa.

Citation:

11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Galuche.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Gmat. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Gmat.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Lingus. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Ivor ide Laudanum et deLingus.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Debrinska. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Fablitos de Lorenz de Debrinska de Kergeun de Selene2rr et deGuilhain.


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Damisella
Damisella a écrit:
Campagne champenoise, le 11 juillet, à l'aube :

L'avantage du rouge, c'est que le sang y marque peu... Suffit d'enlever les morceaux de cervelle, on a presque l'air propre.


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Citation:
Il faudra ramener celui-ci en guise d'exemple, et l'exposer bien haut, sa tête près de sa charogne..


Suggestion d'un baril de sel pour conserver le corps, d'un grand pot rempli de gnôle pour la tête, elle durera plus longtemps, pis l'idée de voyager avec une charogne puante, *bouac* ça ne la tente pas trop la Dami.
Où alors qu'elle soit tout derrière et que l'on marche face au vent..

L'on mangea beaucoup, but peu ou du moins modérément.


Elle était ravie, pour une fois la princesse avait gardé son cheval à bonne hauteur. Voulant quand même en avoir le cœur net, elle se rend auprès du palefrenier qui gardait les chevaux de la princesse, une bonne bouteille de poire auvergnate à la main.

Ils parlent chevaux et élevage , partageant la même passion pour ces nobles bêtes.
Dites-moi , comment va la monture de son Altesse? j'ai eu l'impression qu'elle est moins véloce que d'habitude.

L'homme répond en grommelant:


J'ai eu ordre de mélanger une potion à son picotin, depuis il refuse les pommes que je lui donne, pis ses crottins sont durs, il a l'air d'aller mieux maintenant, mais j'crois ben qu'ça l'a dérangé. On m'a parlé d'une vague histoire de prunes, j'ai pas compris, jamais j'lui en donne.


Elle pouffe, lui tend le reste de la bouteille, désormais sure que Pierre n'a pas pu verser les pruneaux dans la mangeoire, mais après tout, ça revient presque au même.

De retour à sa tente, elle nettoie soigneusement son épée, la polit pour lui rendre son tranchant. Dort un moment sous un arbre dispensant une fraicheur agréable.

Puis ils se mirent en embuscade, certains pariant sur leurs chances d'une autre rencontre.

*Pierre, mon tendre ami, priez pour nous, que nul innocent ne tombe sous nos épées, qu'aucun des nôtres ne périsse*

Une patrouille régulière, des passants, qu'ils ignorèrent, puis enfin au petit matin ils sortirent de leur caches, fondant sur leurs proies.

Cris de ralliement, invectives, hurlements de douleur, puis le silence, troublé seulement par les gémissements des blessés. De ceux qu'ils traquaient, aucun n'en réchappa.

Citation:

11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Galuche. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Galuche.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Gmat. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Gmat.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Lingus. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Ivor ide Laudanum et deLingus.
11-07-2009 04:11 : Vous avez frappé Debrinska. Ce coup l'a probablement tué.
11-07-2009 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Fablitos de Lorenz de Debrinska de Kergeun de Selene2rr et deGuilhain.




























Citation:













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Saxotenor
La lance rectorale , quoi que plus discrète n'en avait pas moins assuré l'exécution des ordres militaires de l'armée Gilete... Vigilante en arriere garde, elle avait garanti la protection de l'armée. 6 ou 7 heretiques avaient fait les frais de leur détermination.
Le MONTJOIE SAINCT BYNARR retentissant de la Princesse roulait en échos, deux vallons plus bas. L'armée était en marche pour terminer sa mission de nettoyage.
Chacun était déterminé, l'arme ferme,au poing. On ne s'attaque pas à la Bourgogne sans courir le risque de finir agonisant au coin d'un buisson...

Relevant son heaume pour verifier le bon ordre de marche de sa troupe, le Vicomte de Ligny leva son poing ganté en signe d'ordre de mise en route.
En silence, la formation se mit en position de chasse.... La nuit serait longue...



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