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[RP] ouvert a Tous ! Les Bains de Bazas

Filsix_du_val
Filsix ne savait plus où se mettre, il avait réveillé sa belle qui profitait du moment présent.

Il fut toutefois très rassuré à la façon dont elle l'accueillit. mais étonné de sa réaction...

Tard ? bah non le travail au noir n'est pas autorisé ...

Il la regarda avec admiration s'étirer de tout son long.


Hein ? quoi ? ma belle ? une allure de vagabond ? Je ne vois pas pourquoi ...

Aurais-je raté un épisode ?


Il eut de mal à la suivre quand elle parla de flotte, de température, de massage...

Il resta figé tant il essayait de comprendre ce qu'elle lui avait dit. Durant ce temps, elle s'était enfuie dans les méandres des couloirs de l'établissement.

Le temps qu'il se ressaisisse, elle avait disparu... il l'entendit parler à quelqu'un. Il se préparait à la rejoindre quand il se rendit compte qu'il avait laissé le peignoir dans le vestiaire.

Il arracha un rideau et en fit une toge, mais quand il sortit dans le couloir... plus personne !

Il se demandait ce qui se passait et à qui elle avait parlé.

En cherchant, il découvrit une pièce où coulait en cascade une eau tiède. Il se glissa sous cette douche qui le décrassa et lui fit un bien fou.

Une fois sorti de cette salle, il retourna au vestiaire et enfila un peignoir

Il essaya de retrouver sa belle quand au détour d'un couloir il se retrouva face à un mur. Un regard à gauche et une porte.

Il s'y précipita et poussa un cri de terreur


Bas les pattes vous !

C'est ma femme que vous êtes en train de tripoter-là !

Nomeho est-ce que je demande à une dame autre que ma chérie de me tripoter ?




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Filsix du Val d'Authie n'est pas un numéro ! c'est un homme libre !
Arseline
Bas les pattes vous ! 

C'est ma femme que vous êtes en train de tripoter-là ! 

Nomeho est-ce que je demande à une dame autre que ma chérie de me tripoter ? 


Juste le temps pour elle de s'être installé que déjà son plaisir prenait fin, mais avait il seulement commencé ?
Non, en réalité le pauvre homme avait été stoppé dans sa lancé, sans avoir reçu de préavis.

Le lion blond, et ..habillé ?! Entrait en scène, et c'est d'un signe de la main qu'elle l’accueillit.


Mon amour.. Tu tombes à pic pour le clou du spectacle !

Elle avait oublié que son estomac qui criait famine à l'entrée venait de s'éveiller au rugissement viril de son cher et tendre. Elle fit la moue, et se leva.

Et bien si ce jeune homme ne peut me faire de massage… je suppose qu'il aura bien le temps de t'en faire un à toi, surtout maintenant que tu es propre !

Elle se tourna vers le jeune homme, inclina la tête en un salut simple.

La bonne journée à vous, et surtout prenez soin de lui.

Et de passer devant son blond, de lui déposer un tendre et fougueux baiser.


Mon cher la place est libre, il me faut ravitailler mon ventre dans les plus brefs délais, je le crains !
Amusez vous bien entre ces mains expertes !


Elle lui fit un clin d’œil et fila, il ne lui fallut que peu de temps pour retrouver son chemin, ben oui une fois qu'on sait ou mène chaque salle… Trouvant ses affaires, elle se changea et fila, direction la taverne la plus proche pour prendre un bon repas, et un remontant pour oublier le massage qu'elle n'aurait pas.
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Lily.esterne.ch
C’est au détour d’une ruelle que la nouvelle bazardaise… dieu qu’elle a du mal avec ce mot… pas très élogieux, guère flatteur à l’oreille, susceptible de faire apparaitre des sourires en coin….bref peu heureux et n’incitant pas à le prononcer outre mesure.

Donc la nouvelle habitante de Bazas, découvre un lieu qui l’attire sans conteste, « Les bains publics ».

Bien sur elle a un cuveau de bois poli d'une jolie couleur miel, dans leur maison et le couple s’en sert très souvent pour se laver, pour se détendre de mille manières, les unes plus douces que les autres. Mais les Bains publics ont toujours une autre fonction, celle de la détente, de l’immersion totale dans un espace confiné propice à la sérénité et à l’abandon de soi. La jeune femme en a connu dans diverses villes et certains lui ont laissé des souvenirs agréables à plus d’un titre.

Le bâtiment qu’elle découvre est d’un aspect joyeux tout en rondeur et en pierre blonde, et donne une impression de solidité.

Entrant dans les bains la jeune femme est arrêtée par un comptoir derrière lequel personne ne veille, pas d’accueil humain, de sourire agréable et engageant, limite racoleur, ou à tout le moins incitant à entrer, mais orné d’une petite boite en bois qui semble en faire office. Bien sur c’est moins chaleureux… presque rebutant mais bon après tout sans doute que l’hôtesse ou l’hôte passe de temps en temps, ne serait-ce que pour vider la dite boite-sébile. A coté de cette boite rébarbative, un panneau guère plus réjouissant avec les tarifs.

En effet quoi de plus perturbant que d’entendre énoncer d’une voix mélodieuse que le bain est à 5 deniers, mais qu’avec la serviette et le peignoir cela ne monte guère à plus de 12 le summum du bien etre se trouvant avec le massage au prix calculé au plus juste de 20 deniers…
D’emblée on prend le tout, tandis que là…. on compte… chez ces gens-là Madame…on ne pense pas non non…tsss on compteeeeeeeee

Et au final on réduit la prestation choisie…

La jeune femme ne ressent pas le besoin d’un massage, ceux de son époux la comblent totalement. Donc elle calcule que son passage dans les bains publics lui coutera : 8 deniers pour la piscine et le bain, 1 denier pour un drap protégeant sa natureté si par malheur quelqu’un entre alors qu’elle se trouve encore icelieu.. Puisque le peignoir et les gateaux sont offerts, elle ajoute 1 denier pour le service effectué. Elle fait donc tomber 10 pieces qui résonnent dans le vide non pas abyssal mais vide tout de meme de la boite

Et entre.
La pièce qui s’ouvre à son regard est magnifiquement décorée de mosaïques aux couleurs chatoyantes. Dans le vestiaire, elle trouve des rayonnages où sont déposés des draps fins, propres ainsi que des peignoirs de douces textures.. De petites cabines permettent de se dévetir en toute tranquillité.

C’est recouverte du drap dont elle s’est enroulée ne laissant apparaitre que ses épaules rondes et ses bras fins qu’elle s’avance vers les bassins. Sa peau est dorée et souple, teinte due aux moments passés sur le pont à manœuvrer le Libertad et surtout à son amour immodéré pour le Dieu Soleil en dépit de la mode de la noblesse qui dicte qu’une belle peau doit être de porcelaine…. Maladive oui plutôt pense la jeune naïade en riant doucement.

Puisqu’elle est seule, elle decide de se laisser aller et retire le drap mais prudente le garde à portée de main. Son corps ainsi offert est ferme, sa grossesse n'a laissé la place à une légère rondeur adoucissant les formes musclées; elle est bien proportionnée, souple, leste et jeune.

Avec volupté, elle glisse dans le bain d’eau tiede, esquisse quelques mouvements et se laisse aller doucement à la quiétude du lieu.
Allongée, flottant à demi, son corps profite du bienfait de l’endroit, des effluves parfumées diffusées par des coupelles de terres vernissées viennent jusqu’à elle et l’enveloppe divinement.

Elle ferme les yeux, posant sa nuque sur le rebord arrondi du bassin et somnole un vague sourire affleure ses levres douces et rosées….

Plus tard, elle ira dans le bain de vapeur plus chaude

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Lily.esterne.ch
La naïade est restée un long moment à se prélasser dans l’eau tiède propice aux questionnements… Et cela ne manque pas. De nombreuses idées, pensées, projets tournent dans la tete de la belle « paressante ».
NE voulant pas s’endormir tout à fait, elle décide de changer d’endroit et sort de la piscine. L’eau ruissèle sur son corps et se sachant toujours seule, elle ne prend pas la peine de se couvrir pour parcourir les quelques metres qui la séparent de l'étuve’ mais elle prend le drap avec elle par précaution.

L’étuve est un endroit dont les murs, le sol et les banquettes sont, là aussi recouverts de mosaïques couleur chocolat, vernissées pour un meilleur confort et un entretien facilité. Telle une odalisque voluptueuse, la jeune femme s’allonge sur une banquette qu’elle a recouvert d’un drap plus épais pour un meilleur confort.

La vapeur l’enveloppe et la dissimule à demi. Ce brouillard d’eau dépose sur sa peau de multitudes gouttelettes qui parcourent un chemin libre et sans entrave pour rejoindre le sol en petits ruisseaux vers les petits regards disposés entre le carrelage.

De nouveau les pensées viennent lui tenir compagnie… Cela fait peu de temps qu’ils sont installés mais déjà des choix doivent s’opérer, des décisions doivent être prises.
Elle a reçu il y a peu, une nouvelle qui ne l’a surprise qu’à demi… et qui a un effet contrasté dans son esprit : à la fois du contentement et également du regret. Mais la vie est ainsi faite, alternant les moments de plaisir, de joie, de bonheur et ceux plus gris ou même carrément noirs ce qui n’est pas le cas actuellement.

La chaleur du lieu, la vapeur d’eau l’entrainent doucement vers des rives lointaines et elle se prend à rever qu’ils sont enfin aux confins du pays par-delà la Mare Nostum, qu’elle se trouve dans ces thermes orientaux et qu’une jeune esclave à la peau brune va venir lui apporter une boisson fraiche, des gâteaux emplis de miel. Ensuite elle se ferait masser de la tete aux pieds

C’est sur, elle est endormie……

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Chocotte
Arrivée de bon matin à Bazas, ville qu'elle ne connaissait pas du tout. Chocotte parcourait la ville de long en large, avant d'être attirée par un écriteau, sur celui-ci on pouvait y lire "Bains publics". Tout en se tapotant les lèvres du bout de son index, Chocotte reste figée devant le bâtiment. Un bain public, mais elle n'avait jamais vu ça auparavant, elle qui se lavait à la fontaine ou dans une rivière lors de ces nombreux déplacements. Les tarifs étaient affichés, Chocotte procéda rapidement au calcul pour voir si elle pouvait se le permettre financièrement, la pauvre n'avait pas eu de chance au rampo la veille à Bordeaux, elle avait été délestée d'une cinquantaine d'écus. Après un rapide coup d’œil dans sa bourse, son sourire s'affiche sur ses lèvres, contente de pouvoir se le permettre.

D'un pas lent, tout en se posant de nombreuses questions, elle pousse la belle et grande porte, soulagée de ne pas l'entendre grincer!! Ce bruit strident que faisait certaines portes en général, l'agaçait.

Elle balaye de son regard l'accueil, un décor subliminal, les matériaux utilisés dans cet espace étaient de grande qualité, ça c'était sûr! La personne maître des lieux avait du goût!

Elle ouvre son petit bagage, pour vérifier qu'elle a bien du linge propre, une paire de braies et une chemise, parfait cela ferait grandement l'affaire avant de regagner sa charrette.

Chocotte bien décidée à prendre un peu de bon temps, se dirige vers les bains. Elle passe sa main dans l'eau pour vérifier la température de l'eau, encore un sans faute.

Elle se dévêtit et se laisse glisser dans le bain, s'installant bien confortablement, elle ferme les yeux et se laisse aller à rêvasser tant elle se sent étrangement bien.

Au bout d'une heure, elle ouvre les yeux à nouveau, elle regarde autour d'elle et aperçoit une belle jeune fille qui lui demande si elle veut une serviette. Chocotte d'un signe de tête lui fait comprendre que oui elle en veut bien une.

La belle jeune fille ouvre la serviette et la lui présente, Chocotte sort alors de l'eau et enroule son corps dans la serviette. La belle lui en tend une deuxième pour les cheveux, Chocotte la remercie d'un large sourire.

Direction la cabine pour se rhabiller, après s'être bien séchée le corps et les cheveux, elle enfile une chemise et une paire de braies, un rapide coup de peigne dans ses cheveux, là voila propre et apaisée.

Chocotte se dirige vers la sortie et dépose une quinzaine de deniers dans une boîte posée sur le magnifique comptoir.

Elle sort une plume, un vélin de sa besace et écrit:




A l'heureux propriétaire de ce lieu, un petit mot pour vous remercier de cet agréablement moment. Vous avez un bâtiment magnifique avec un service de qualité, alors un grand merci pour la mise à disposition de cet espace pour notre bien être.
Bien à Vous,
Chocotte


Elle dépose le message près de la boîte et file vite rejoindre sa troupe.

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Lily.esterne.ch
la banquette est dure c'est un fait, mais le linge moelleux adoucit agréablement le confort. A tel point que jeune femme s'est bel et bien endormie

Dans sa somnolence, elle perçoit du bruit pas très loin d'elle... Aussitot, elle se couvre tant bien que mal du drap qu'elle a gardé près d'elle de façon bien à propos.

Des bruits légers de conversation la rassurent rapidement, il s'agit d'une femme, d'une adepte elle aussi des bains de vapeurs et du bien être... peut etre que la belle esclave noire de son reve va la masser...

rassérénée, elle se dresse à demi sur un coude ce qui a pour conséquence de faire glisser le drap qui la recouvrait. Mais cette fois non plus elle ne s'en préoccupe pas.

Les bruits de conversation prennent fin, la cliente a dû partir, apaisée, contente de ce moment peut-on l'espérer.

Sans bruit comme glissant sur le carrelage telle une danseuse égyptienne, une belle jeune fille vient la trouver en souriant, elle n'a pas la peau noire... ce qui fait sourire malgré elle la reveuse.

A sa proposition de massage, l'odalisque blanche se lève pour changer de salle et se retrouve devant une table de pierre recouverte de mosaïque aux mille carreaux de couleurs chatoyantes.
Une couverture douce et seche est posée sur le plateau.

Le corps de l'une est offert aux mains expertes de l'autre, la peau est ointe d'une huile tiede et parfumée qui vous transporte de nouveau vers les horizons lointains et chauds.

Chaque parcelle de peau est massée, de la pointe des pieds au sommet du front. La jeune femme frémit de cette sensation incroyable de bien être. Se sentant en confiance, elle se laisse aller totalement

Mais les meilleures choses ont une fin... le massage se termine, le corps soumis est recouvert d'un autre drap de lin léger. La peau est douce, elle sent encore le parfum de l'huile soyeuse.

Lentement, la jeune femme quitte la salle de massage pour rejoindre sa cabine. Encore un peu alanguie, elle s'habille pour retrouver la cité et ses diverses occupations

En partant, elle n'oublie pas d'ajouter les piécettes correspondant au massage

Tout sourire, elle sort et rejoint son époux

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Fee_dicioula

Fee était bien fatigué ce matin et elle avait l'intention d'aller a l'église. Mais d'abord un bon bain lui ferait le plus grand bien.

Elle poussa la porte de l’établissement qui n'avait plus besoin de sa supervision pour tourner tous les jours et accueillir ses clients. Fee leva la tète pour consulter le panneau qu'elle avait elle mème affiché il y avait de cela des mois et des mois. Évidement elle ne se souvenait plus des prix.


Citation:
Le prix du bain de vapeur est de deux deniers.

Celui du bain d'eau tiède de quatre deniers.

S'estuver et se baigner dans les cuves, la piscine et un bain de vapeur coûte huit deniers .

Si vous désirez un massage coûte douze deniers.

A cela, il faut ajouter un denier pour un drap.

Gâteaux, boissons, peignoirs sont offerts, servez vous!

AU CAS OU LA RÉCEPTION EST VIDE, SERVEZ VOUS ET LAISSEZ VOS DENIERS DANS LA BOITE PRÉVUE A CET EFFET.


Elle fouilla dans son porte monnaie 2 et 4 et 12 ..... oui un massage! et un pour un drap de bain. HOP HOP et hop.
Elle sourit a la jeune fille qui lui tendait le peignoir et la serviette en lui indiquant la salle pour se changer.

Elle rit intérieurement évidement si elle venait plus souvent ... on la reconnaîtrait...
Mais bon elle n'était pas d'humeur bavarde ce matin donc le silence de l'anonymat lui allait bien.

Elle se changea sans un mot et se dirigea vers les grands bassins. C'était calme se matin et elle ne rencontra personne dans le dédale de couloirs.

Elle s'assit sur le rebord en glissant tout d'abord un pied pour tâter la chaleur de l'eau. Avec grand plaisir elle fut accueillit avec la parfaite température et l'eau sentait bon la rose. Et hop elle laissa glisser son corps entier dans l'eau avec un frison de bien être.

Elle regarda autour d'elle et retira ses derniers habits en les posant sur le rebord, puis plongea pour se mouiller les cheveux.

Fee revint a la surface en poussant un petit cri amusé, et se mit a nager langoureusement dans le bassin.

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Roland_fr
Il poussa la porte des bains se disant qu'il devrait les fréquenter un peu plus s'il voulait se débarrasser de l'odeur de ses moutons. Nouvelle activité, nouveaux soins... ce n'est pas le médecin du village qui avait fait construire les Bains qui viendrait le contre-dire.

Une douce chaleur régnait à l'intérieur. Le vigneron s'acquitta d'une dizaine de deniers pour avoir accès aux bains et disposer d'une serviette. Un rapide passage au vestiaire où il abandonna ses frusques, il entra dans la salle de la piscine circulaire, ceint d'une serviette d'un blanc impeccable.


L'endroit est toujours aussi agréable murmura t il.
Louvea
La brune se baladait en sifflotant dans les rues de Bazas, jouant avec Ptibout, son chien et observant par çi par là, les devantures.

Elle sourit, ravie en voyant qu'il y avait des bains. C'était peu courant et elle décida d'en profiter.
Un signe au chien pour lui interdire l'entrée et Louvea pénétra dans la bâtisse.

Elle lut les diffèrentes propositions, s'acquitta de la somme demandée et tout en sifflotant se dirigea vers les vestiaires.
C'est avec un peu de mal qu'elle se débarrassa de son armure et elle s'enroula dans la serviette avec soulagement.

Un sourire aux lèvres, elle entra dans la salle et s'arrêta un instant, jetant un oeil sur les personnes présentes puis s'avança jusqu'au rebord de la piscine, s'installa en plongeant les pieds dans l'eau, ravie.

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Roland_fr
Perdu dans ses pensées, il entrouvrit les yeux en entendant un bruissement d'eau à l'autre bout du bassin. Il sourit en reconnaissant la silhouette. La voyageuse de passage à Bazas avait donc décidé de profiter elle aussi de l'endroit après une belle matinée à l'abris dans l'auberge municipale.

Cela me fait plaisir de vous recroiser Dame Louvea lança-t-il à son attention.

J'espère que vous trouverez le lieu à votre goût et le délassement adéquat après votre longue marche. Mais point de discussion commerciale, je vous le promets !
Louvea
Louvea sourit en reconnaissant la voix et la silhouette.
Elle abandonna sa serviette pour se glisser dans l'eau et entama une nage lente et assurée, savourant le contact de l'eau.
S'arrêtant un instant, elle observa le vigneron.


Vous venez souvent ici?
Je trouve l'endroit bien agréable.


Reprenant sa nage, elle s'approcha de lui et posa une main sur le rebord en souriant.

Vous ne vous baignez pas?
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Roland_fr
Je n'y viens pas suffisamment souvent je pense. D'où le délicat parfum de brebis qui exhaler en taverne...
Il éclata de rire.
Je pense qu'il me manque du savon avant de me plonger dans l'eau. Mais tant pis, j'y songerai la prochaine fois.
Il se glissa à son tour dans le bain circulaire, dans l'eau chaude et bienfaitrice.
Les bains sont en fait assez récents. Une belle initiative d'un de nos médecins qui souhaitent nous voir un peu plus "propres"... ou un peu plus tolérant puisqu'ici l'habit n'est plus là pour reconnaître nobles ou simples gents.

Y-t-il des bains de part chez vous dans le sud ?
Louvea
La brune éclata de rire en l'écoutant.

Je penses qu'il a aussi pensé à son propre bien être. Il est plus agréable d'ausculter quelqu'un de relativement bien lavé, j'imagines...

Il y en a peu par chez moi, aucun à Dax...Je le regrettes bien, c'est si agréable


Louvea lâcha le rebord de la piscine et reprit sa nage lente, l'invitant d'un regard à le suivre
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Roland_fr
Constatant que Louvea nageait comme une sirène, il la suivit d'une lente brasse pour savourer l'onde tiède glissant sur sa peau.
Je n'avais pas forcément pensé que notre médecin s'offusquait de nos odeurs, mais après tout, ausculter un corps propre doit être plus agréable en effet.

Ils atteignirent l'autre côté de bassin.

Si j'étais médecin, je crois que je consulterais directement ici aux bains !
Mais à défaut de médecin, il me semble que l'on mentionne des masseurs à l'entrée. Un premier pas pour effacer les courbatures d'une longue route.
Louvea
La brune s'arrêta près du bord et regarda Roland

Je n'ai jamais laissé quelqu'un me masser....Est ce si agréable qu'on le dit?

Elle fit une petite moue en imaginant des mains huileuses parcourir son dos puis rosit, laissant son imagination prendre le pas sur le réel

Mais si ça peut préparer aussi à une longue marche future....
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