Archibald_ravier
J'avais dessiné sur le sable - ou sur le parvis de la chapelle, chais pu
Son doux visage qui me souriait - qui m'engueulait, plutôt, non ?
Puis il a plu sur cette plage - sur le parvis, j'ai dis !
Dans cet orage, elle a disparu - Carmen et Eleanor ont fait bien des ravages, c'est fou !
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Je me suis assis auprès de son âne - enfin, c'est un grand poney en fait, mais vu la bourrique que c'est, la Petite Fleur, hein...
Mais la belle dame s'était enfuie - avec un cheval loué, franchement !
Je l'ai cherchée sans plus y croire - vu que manifestement elle s'était barrée sans m'attendre
Et sans un espoir, pour me guider - voilà. Enfin, heureusement, elle a daigné faire un courrier.
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Je n'ai gardé que ce doux visage - doux, doux... Vous l'avez déjà vue en colère ?
Comme une épave sur le sable mouillé - Bah allez y, dites que je suis une épave, allez !
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Dois-je vraiment préciser que Christophe m'a beaucoup inspiré ?
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Image d'origine
Son doux visage qui me souriait - qui m'engueulait, plutôt, non ?
Puis il a plu sur cette plage - sur le parvis, j'ai dis !
Dans cet orage, elle a disparu - Carmen et Eleanor ont fait bien des ravages, c'est fou !
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Je me suis assis auprès de son âne - enfin, c'est un grand poney en fait, mais vu la bourrique que c'est, la Petite Fleur, hein...
Mais la belle dame s'était enfuie - avec un cheval loué, franchement !
Je l'ai cherchée sans plus y croire - vu que manifestement elle s'était barrée sans m'attendre
Et sans un espoir, pour me guider - voilà. Enfin, heureusement, elle a daigné faire un courrier.
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Je n'ai gardé que ce doux visage - doux, doux... Vous l'avez déjà vue en colère ?
Comme une épave sur le sable mouillé - Bah allez y, dites que je suis une épave, allez !
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Et j'ai prié, prié : "Isaure !", pour qu'elle revienne
Et j'ai râlé, râlé, oh ! j'avais trop de peine
Dois-je vraiment préciser que Christophe m'a beaucoup inspiré ?
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