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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Naurestel_de_grimaud
La mairesse passait sur le parvis de l'Église, comme toutes les semaines, elle venait voir les nouvelles que le diacre affichait sur le panneau tout près. Lorsqu'elle vit ce dernier, elle eut une idée. Elle repartie presque aussitôt, filant doucement vers la Mairie.
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Charles_antoine
Charles-Antoine mis à jour une affiche. L'autre était toujours d'actualité.

Citation:
Recherche de confesseurs

La paroisse de Nancy cherche des confesseurs afin de seconder le diacre dans sa tâche.
Vous êtes érudit de la voie de l'Eglise et avez à coeur de servir votre prochain ? Contactez Charles-Antoine Von Frayner !



Citation:
Prochaine confession : vendredi 6 octobre
Le confessional sera ouvert le jeudi 5 octobre vendredi 6 octobre prochain. Le diacre Charles-Antoine Von Frayner vous y recevra pour entendre et absoudre vos péchés.

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Charles_antoine
Charles-Antoine mis à jour une affiche. L'autre était toujours, hélas, d'actualité.

Citation:
Recherche de confesseurs

La paroisse de Nancy cherche des confesseurs afin de seconder le diacre dans sa tâche.
Vous êtes érudit de la voie de l'Eglise et avez à coeur de servir votre prochain ? Contactez Charles-Antoine Von Frayner !



Citation:
Prochaine confession : vendredi 13 octobre
Le confessional sera ouvert le vendredi 13 octobre prochain. Le diacre Charles-Antoine Von Frayner vous y recevra pour entendre et absoudre vos péchés.

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Coquelicot.
La petite fille assise sur les marches de l'église, ronchonnait, pas loin de pleurer d'ailleurs .
Mais ça, elle ne voulait plus le faire .... elle avait entendu des garçons dirent que les filles étaient des pignouses ! non mais, vous vous rendez compte ? décidément, les garçons ! Ce serait jamais ses copains ! Enfin les p'tits garçons parce qu'elle avait un ami garçon, son Pishmimi, mais c'était un grand lui !


pourquoi qu'y pas le confessionnal ouvert ?

Gros soupir et mine de plus en plus désolée

faut qu'j'y dise au curé que j'ai trop mangé de bonbons, moi !

Coquelicot se mit à fouiller dans sa petite besace, un large sourire éclaircit son petit visage lorsqu'elle en extirpa un pour bien vite se le coincer dans une joue


Timothee_octavin
La matinée avait été chargée pour le Bellerive. Après sa seconde nomination comme duc, il avait dû composer son nouveau conseil rapidement afin d’éviter de laisser les bureaux trop longtemps vacants. Une fois, ses premiers actes pour cette mandature terminée, il souffla sur la bougie allumée avant de refermer la porte du bureau à Nancy.

Il sortait à peine de la pièce que des gardes le suivirent afin de s’assurer de sa sécurité. Un soupire et il leur donna rapidement vacance. C’était dimanche et le risque en plein village était quasi inexistant. Aussi et malgré les gouttes qui tombaient, Timothée sortit du Castel pour rejoindre l’Eglise de Nancy dont les cloches annonçaient la messe imminente.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se trouva face à une petite et jeune personne habillée tout de rouge, attendant avec impatience devant les portes de l’Eglise. Il observa pour voir si l’enfant était accompagné mais personne.
Peut-être était-ce son instinct paternel qui se montrait mais sans rien dire, il s’installa sur les marches non loin de la demoiselle et regarda au loin.


Une demoiselle bien gourmande. Et c’était le cas de le dire puisque personne n’aurait pu louper la joue gonflée de la petite demoiselle. Qui attendez-vous ici toute seule ? Autant s’assurer de la sécurité de l’enfant en attendant et vu le peu de monde déjà présent, Charles-Antoine n’allait certainement pas commencer sa messe de suite.

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Duc de Dabo
Seigneur de Genolhac
Coquelicot.
Après avoir soupiré et ronchonné, Coquelicot avait pris son parti d'attendre que le curé veuille bien pointer le bout de sa soutane .
Le regard perdu au loin, sa petite langue caressant son bonbon, elle se laissa entrainer dans ses pensées .
La petite fille n'avait pas remarqué qu'un homme prenait place sur les marches, non loin d'elle .


Une demoiselle bien gourmande ... Qui attendez-vous ici toute seule ?

Nom d'un mangeur de cagouilles ! elle faillit en avaler son bonbon de surprise et se tourna, étonnée et sur la défensive vers celui qui la tirait de ses rêves si agréables .
Son œil marron se fit noir, le bleu prit la couleur d'un ciel d'orage, le bonbon prit place sous sa langue .
Elle dévisageait l’importun, mais ne lui trouvant pas l'air menaçant, consentit à lui répondre


Ben ! j'attends le curé ! - cela lui semblait si évident qu'elle accompagna sa réponse d'un haussement d'épaules - toi aussi, tu veux dire tes péchés ?

Glissant sur la marche, elle se rapprocha de lui . Sans savoir pourquoi le jeune homme lui inspirait confiance, aussi elle murmura :


tu crois que c'est un gros péché de manger des bonbons ? .... enfin beaucoup de bonbons ? l'curé de chez moi y dit que oui ... l'est pas drôle, hein ?


Elle le fixa de ses petites mirettes suppliantes . Ah si seulement, il pouvait la rassurer !
Il lui vint une idée et affichant un grand sourire lui demanda :


t'en veux un ? de bonbon ? au miel qu'y sont ! c'est rudement bon, tu sais !

Sa pastille de miel avait fait trois fois le tour de sa petite bouche et elle avalait, ravie, le délice doux et sucré .


Timothee_octavin
Une lueur rieuse naquit dans son regard lorsqu’elle lui demanda si lui aussi souhaitait dire ses péchés. Comment cette petite damoiselle pouvait être aussi pécheresse qu’elle semblait vouloir lui faire croire ? Il l’observa ne sachant pas quoi lui répondre pour le coup et fut plus ou moins content de la voir se poser à côté de lui.

Au murmure, il éclata très franchement de rire ! Ainsi donc la demoiselle était sujette à une trop grande gourmandise.


Je ne crois pas que manger trop de bonbons soit un véritable péché impardonnable.
Et de s’intéresser davantage à cet enfant aux yeux vairons et aux couettes complètement désordonnées. Un rapide coup d’œil lui fit rapidement comprendre qu’elle n’était pas accompagnée puisqu’aucune femme ne vint choper la gamine pour la mener loin de lui. Je pense même que les curés mangent aussi beaucoup de bonbons et qu’ils disent que c’est péché pour en avoir plus pour eux, qu’en penses-tu ? Le curé dont tu parles, aimait les bonbons lui aussi ?

Et avec un sourire, il accepta la proposition de l’enfant. Je veux bien en goûter un ! Et de reprendre sur un ton enjoué. Entends-tu les cloches ? Cela annonce la prochaine messe, tu pourras demander directement au Diacre si manger trop de bonbons est un gros péché ou non.

Et de tendre sa grande main vers la fillette. Je suis Timothée et toi ? La pluie ne cessait pas de tomber et il s’inquiéta pour cette gamine seule dans les rues.

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Duc de Dabo
Seigneur de Genolhac
Coquelicot.
Je pense même que les curés mangent aussi beaucoup de bonbons et qu’ils disent que c’est péché pour en avoir plus pour eux, qu’en penses-tu ? Le curé dont tu parles, aimait les bonbons lui aussi ?

Oublié le rire qu'elle avait senti moqueur, ce qu'il disait lui plaisait beaucoup . Bien sûr l'avait raison le messire .... ohhhhhh ! quels coquins les curés !
Elle le regarda comme un sauveur, les yeux brillants de gratitude


mais vi ! t'as raison ! c'est pas beau de faire ça, hein ?
Le curé de Vesoul y voulait que j'en mange que 3 par jour .... c'est pas beaucoup, hein ? suis sûre qu'il en mange plus, lui !


Les petits sourcils froncés en pensant à son curé, se soulevèrent de plaisir en l'entendant accepter son offre


Je veux bien en goûter un !

Coquelicot se rapprocha plus du jeune homme et fouillant dans sa besace en tira un petit paquet . Légère hésitation avant de lui tendre, dame c'était précieux, mais comme il lui tendait sa main, elle y déposa le sachet .

Ca tombait plutôt bien, pas question de lui serrer la main ... la dernière fois qu'elle avait confié sa menotte, un grand sauvage lui avait à moitié broyé les os et en plus il l'avait coursée parce qu'elle lui avait donné un coup de pieds dans le tibia


T'en prends pas beaucoup, hein ?

Elle surveillait du coin de l'oeil, mais une goutte de pluie glissant le long de son nez la fit loucher et elle secoua sa tête comme un petit chien mouillé, ses couettes volaient en tous sens, éclaboussant son voisin .

Ben dis donc .... il pleure beaucoup le ciel !


Je suis Timothée et toi ?

Pressant ses couettes à deux mains pour en chasser le plus possible d'eau, elle lui sourit

moi, c'est Coquelicot et j'ai 6 ans - se souvenant des quelques règles de politesse qu'elle voulait bien suivre, elle ajouta très sérieusement - bonjour Timothée ... ravie de faire ta connai ... - mince ! c'était quoi le mot ? ah oui ! - ta connaissance ... t'es d'ici ? .


Hildary
Le nouvelle vicaire de Toul avait signalé à Monseigneur Charles Antoines qu'elle organiserait les messes le Dimanche, elle se rend donc à l'Église de Nancy afin d'y faire retentir les cloches, puis elle patiente paisiblement l'arrivée de probable fidèle.
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Charles_antoine
Charles-Antoine vint poser une affiche sur la porte de l'Eglise indiquant la prochaine confession.

Citation:
Le confessionnal sera ouvert demain, mercredi 15 novembre à partir de 7h.

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Urbain_mastiggia
Il y avait presque vingt jours qu'Urbain avait été élu puis nommé diacre de Nancy. Nancy n'avait depuis longtemps plus connu la moindre messe et le nouveau diacre avait décidé d'y remédier. Il n'avait pas encore donné la moindre messe de sa vie et malgré sa présence lors de nombreuses messes, il ne savait pas la difficulté que représente la préparation de la messe.

Il profitait de sa venue au confessionnal pour annoncer la prochaine grande messe en laissant un mot sur un grand tableau en bois à l'entrée de l'église. Il était donc indiqué que la messe serait célébrée le mercredi 3 Janvier et que toute la ville, du simple voyageur au puissant maire, était conviée.

Ensuite, Urbain entra dans l'église et pria un moment avant de rejoindre une salle annexe afin de préparer la messe. Il tendait toujours l'oreille afin de savoir si il quelqu'un avait besoin de son aide. De toutes façons, l'église n'était jamais inoccupée et quelqu'un était toujours à même de trouver le diacre.
Urbain_mastiggia
L'air était frais, le ciel était couvert et un vent à décorner les bœufs soufflaient sur la villes et sa campagne. Urbain n'était pas très optimiste quant à la probabilité de remplir l'église aujourd'hui, mais il savait qu'une partie de la ville que l'on ne voit pas en taverne se présenterait. Autour de onze heures, il fit sonner les cloches pour ameuter la ville à la messe et il attendait sur le parvis, en tenue de cérémonie. Beaucoup de petites gens et de modestes habitants s'affairaient déjà devant l'édifice puis entraient en saluant le diacre.

Lorsqu'il ne resta plus personne sur le parvis, le diacre remonta l'église et arriva à l'autel, regardant une dernière fois les portes. Des braseros étaient allumés pour que tout un chacun puisse trouver la chaleur dans la maison du Très Haut. Des cierges brûlaient également autour de l'autel tandis que des bougies apportaient la lumière nécessaire à l'église. Urbain s'avança et en écartant les bras, accueillit ses paroissiens.


- Je suis ravi que vous soyez aussi nombreux à vous être déplacés pour cette première messe de l'an 1466, mais aussi ma première messe. Soyez les bienvenus dans la maison du Très-Haut! Je vous invite à demander pardon avec moi.

Et d'une voie plus distincte, articulant chaque mot et chaque syllabe, Urbain énonça avec conviction la demande de pardon.

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Urbain, une fois la prière terminée, reprit la parole pour les fidèles qui étaient venus.

- Pour ceux qui le souhaitent, pour ceux que cela soulage, ceux que cela aide, ceux qui en ont besoin, ceux qui doivent expier leurs fautes et leurs tourments, je vous rappelle que le confessionnal est ouvert aussi souvent que possible et que je serais là pour vous aider. Maintenant, je vous invite à dire avec la plus grande conviction, avec votre cœur, le crédo. Ensuite, je vous laisserai prier individuellement pendant quelques minutes pour ce qui vous tient à cœur.

Et aussitôt, écartant légèrement les bras et fermant les yeux, le diacre énonça le crédo.

- Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Rouvrant les yeux, Urbain porta un regard bienveillant sur les personnes qui étaient venues aujourd'hui l'écouter en l'église de Saint Epvre.
Timothee_octavin
Le jeune Duc s'était rendu à la Messe donnée par le Diacre Urbain. Après avoir saluer de nombreuses personnes déjà présentes dans l'édifice, il rejoignit les rangs réservés à la noblesse.

Il s'agenouilla que déjà la messe commença. Comme tout le monde, il demanda pardon.


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il récita à la suite le fameux Crédo qu'il avait déjà maintes fois dit.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Et oui, qui l'eut cru que le Bellerive était aussi pieux !
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Duc de Dabo
Seigneur de Genolhac
Urbain_mastiggia
Puis, conformément à sa volonté, Urbain laissa un temps à chacun d'adresser une prière au Très Haut. Sa prière était une demande de réussite de bonne santé pour tous ceux qui étaient présents. Il se déplaça jusqu'au pupitre sur lequel était posé un livre épais et simplement orné.

-Je vais à présent vous lire un extrait du chapitre neuf de la Vita de Christos. Christos est en Galilée et prêche sur toutes les places où il lui y est possible de prêcher.

Il baissa légèrement la tête, regardant la ligne marquée par une réglette puis se redressa, contemplant les fidèles réunis en ce jour. Il commença, d'abord avec appréhension -avait-il bien choisi son texte?- puis avec assurance, à narrer le passage choisi. Il l'avait appris par cœur, mais la tension du moment risquait de lui faire perdre ses moyens.

- Christos disait souvent : "Aimez Dieu comme Il vous aime et vivez en toute amitié avec les autres, comme vous l'a enseigné Aristote." ou " Croyez en l’amour que Dieu vous porte, et aimez Dieu à votre tour. "

Et il répétait: "Que votre solidarité ne connaisse pas de frontières ! Souvenez vous, mes amis, qu'Aristote vivait dans un pays d'une culture peu tolérante pour les autres peuples. Aujourd'hui, vous devez savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la liberté et à notre amitié."

Enfin, il concluait: "De même, la solidarité et l'amitié ne sauraient être restreintes par une frontière des sexes. Car les hommes comme les femmes sont les enfants de Dieu et en cela, ils sont égaux."


Le passage était bref, Urbain en avait conscience, mais il ne fallait pas faire trop long, de peur de perdre l'assistance. Il délaissa le livre et s'approcha de l'autel pour expliquer son sermon.

- Christos nous invite tous à faire preuve d'amour envers Dieu mais aussi son prochain. Il nous invite à être solidaire, à accepter l'autre avec ses différences, ses forces et ses faiblesses. Ne faisons de mal à personne et le Très Haut comme les Hommes nous le rendront. Nous sommes à l'aube d'une nouvelle année, et je vous invite, chères soeurs et chers frères, à vous montrer bons les uns avec les autres, qu'importent nos points de vue et nos différences. Aimez vous les uns les autres, vous en serez grandit! Soyez solidaires et forts et alors, où que vous soyez, vous serez des amis de Dieu et des modèles pour tous! Puisse votre année être placée sous le signe de la paix, de la prospérité, de l'amitié et de la solidarité.

Son explication était simple, mais il s'agissait là encore de ne pas abrutir l'assistance avec des palabres sans fin qui ne feraient que vider son église. Cette messe était l'occasion de rappeler à tout le monde la solidarité nécessaire à la ville de Nancy, mais aussi la possibilité offerte à tous d'être en paix.
Urbain enchaîna ensuite avec la communion.


-Maintenant, chers fidèles, célébrons ensemble l'Amitié aristotélicienne en partageant pain et vin, au nom du Très Haut. Amen.

Le futur clerc rompit le pain et versa le vin qu'il allait manger et boire, puis assisté, il procéda à la communion avec tous les fidèles réunis à l'église. Des enfants de choeurs chantaient des cantiques sur une mélodie gaie jusqu'à la fin de la communion. Chacun ayant ensuite regagné sa place, le Nancéen ajouta un mot à ses paroissiens.

- Avant que vous ne partiez tous, je tiens à remercier tous ceux qui donnent un, deux ou cinq écus à l'église. Vous apportez à l'église les moyens dont elle a besoin pour aider les plus démunis à vivre, mais aussi vos dons nous permettent de payer les confesseurs qui vous écoutent.

Le diacre marqua une légère pause et conclu.

- Pendant ma mandature, et avec l'accord de l'évêché, nous donnerons à tous les nécessiteux et jeunes arrivants la possibilité de disposer de l'aide de l'église pour progresser. Allez en paix, mes frères et mes sœurs. Que le Très Haut vous protège et n'oubliez pas d'aider votre prochain!

Sur ces mots, il laissa ses ouailles quitter l'église mais resta avec eux le temps que tous soient partis. Comme il avait aperçu sa grâce Timothée, il se pressa à sa rencontre et le salua avec respect.

- Bonjour votre grâce, je suis bien aise de vous avoir croisé aujourd'hui. Je suis exténué de cette première messe, mais je suis ravi que vous soyez venu.

Il resta dans l'église encore un moment après la fin de l'église pour tout réarranger.
Nana71
Nana qui ne cessait de balayer le choeur de l' église se réjouit de voir de la compagnie arriver.
Elle remis une mèche de cheveux qui s'était échappée, les regarda en souriant:


[b]Et bien les filles il était temps dans quelques jours, c'est la fête de Noël, et nous pouvons espérer une messe ici même, enfin si notre diacre a un peu de temps pour la préparer vu qu'il court dans tous les sens......[/b]
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