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[RP Ouvert] Le petit atelier de Marwenn

Marwenn
Cette journée ne ressemblait en rien à ce qu'elle aurait du être. Le ciel n'avait rien de ce bleu qui sourit aux projet victorieux,
il faisait froid dans les rues de Saint-Pol et aucun rayon de soleil n'était là pour réchauffer la scène et le minois conquérant de l'Irlandaise.
Devant la petite maison qu'elle avait acheter à l'aide de ses maigres gains de la semaine passé,
Marwenn concrétisait quelque chose qui lui tenait à cœur depuis son départ d'Irlande.

Ouvrir sa maison de couture !
Ou plutôt - soyons honnête - un modeste atelier ou elle créerait quelque robes...

C'est peut être un détail pour vous, mais pour elle ça veut dire beaucoup. Ça veut dire qu'elle était libre, heureuse d'être là malgré tout !
(Vous en avez pour une heure à fredonner maintenant!) Ainsi elle prouvait à son père qu'elle pouvait vivre sans lui,
sans son argent et sans les règles injustes qu'il avait tenter de lui imposer et qui l'avait fait fuir si loin de chez elle...
Ce projet, elle l'avait pensé, murit et financer toute seule; c'est donc avec un peu de fierté qu'elle plantait le dernier clou de la pancarte sur laquelle on pouvait lire :


Chez Marwenn, Coutures et Retouches

L'emplacement avait été choisit avec soin.
Elle était à la fois à quelques mètres de la Marée Basse, non loin de la mairie et dans la rue du marché.
Je vous l'accorde Saint-Pol n'est pas très grand, mais j'insiste la place était quand même de choix !
La fluette recula de quelques pas dans la rue et admira la modeste façade de sa maison, sourire aux lèvres.
Les premières gouttes d'une pluie d'hiver avait beau commencé à tomber, la rousse était heureuse.
Il ne manquait plus que des clients pour parfaire son bonheur et pour cela un peu de publicité s'imposait.



_________________
Medrupaloscil
Il sortait de la taverne où il était allé manger en sortant de la mine. Il s'apprêtait à passer chez lui pour déposer les quelques écus qu'il avait récolté quand il remarqua quelqu'un qui se tenait au milieu de l'allée. Il s'agissait d'une femme qui se distinguait du décor pour deux raisons: la première était sa chevelure rousse qui ressortait admirablement bien sur le décor enneigé, la seconde était que de toutes façons il n'y avait personne d'autre dans la rue.

Il continua sa route et passa au niveau de la demoiselle qui ne semblait même pas l'avoir remarqué. Elle admirait une pancarte qui semblait neuve vu l'absence de neige dessus. La pancarte indiquait:

Chez Marwenn, Coutures et Retouches

Cette pancarte semblait vouloir dire beaucoup pour elle, elle semblait heureuse, son marteau à la main.
Il regarda ses habits. Il était presque bien habillé, cependant il lui manquait toujours une chemise. Il avait beau chercher, il ne trouvait pas de chemise pour homme dans le village. La pluie commençait à tomber et son chapeau ne suffisait pas à le protéger des intempéries. Ses bras étaient gelés ! C'était pour lui l'occasion rêvée !
Il s'approcha de la demoiselle et s'éclaircit la gorge pour signaler sa présence, puis s'exprima:

Demat deoc'h... Excusez-moi de vous déranger, vendriez-vous des chemises s'il vous plait ?
Marwenn


    Dans son dos, une voix l'interpella se qui la fit sursauter.
    Devant elle, un homme déjà croisé auparavant à l'arbre à vœux apparut. Melu... Meludro. Elle ne se souvenait plus de son nom exacte...
    Quoi qu'il en soit la clientèle n'avait même pas attendu qu'elle rentrer se mettre au chaud pour arrivée. Et ça c'était plutôt agréable.


    Le bonjour messire.
    Je n'ai jamais fait de vêtement pour homme jusqu'ici mais si vous avez besoin d'une chemise je dois pouvoir me débrouiller.


    D'un geste elle l'invita à rentrer, il faisait trop froid et trop humide pour tailler le bout de gras dans la rue.
    A l'intérieur, les stigmates de sa récentes installations étaient encore visibles. Les malles qu'elle avait ramener d'Irlande,
    deux rouleaux de tissus, de la laine qu'il lui faudrait filer pour en faire des pelotes, et tout son attirail de couture.
    La pièce était encore sombre, et peu meublé pour le moment, mais Marwenn désigna un siège à son invité.


    Il me faut simplement prendre vos mesures.
    Concernant la matière, je n'ai pas grand chose hormis du lin ou de la soie.
    Et les prix ne sont pas les même...


    Tout en disant cela, la fluette fouillait dans ses affaires à la recherche de son mères ruban...
    Introuvable évidemment !


_________________
Medrupaloscil
Elle l'invita à entrer dans l'échoppe, idée qui ne lui déplut pas compte tenu du froid qui régnait dans la rue et de la pluie. Il s'assit sur le siège qu'elle lui indiquait. Elle se mit à chercher activement dans ses affaires afin de trouver un outil pour prendre ses mesures, il en profita donc pour observer l'intérieur de la pièce.
La boutique était de toute évidence fraichement ouverte. La pièce était peu meublée mais tout était impeccablement rangé et pas la moindre trace de bouts de tissus ou de fils par terre qui auraient pu indiquer une activité démarrée depuis longtemps. La pièce était assez sombre mais il y faisait chaud, ce qui rendait l'ensemble très agréable.

Pour ce qui est de la matière, lequel me conseillez-vous pour que ça ne me coûte pas non plus trop cher ?

Il avait posé sa question à haute voix mais la vendeuse semblait à peine l'avoir entendu, toujours affairée à chercher dans ses affaires.
Marwenn


    Droite,
    Gauche,
    En haut,
    En bas,
    Re à Gauche,
    De nouveau en bas...
    La rousse fouine, fouille, trifouille.
    Le sport, c'est bon pour la santé !


    Hahaaaa!
    Le bras se tend vers les cieux.
    Sourire victorieux.
    Mètre ruban trouvé!


    Veuillez vous lever, et tendre le bras à l'horizontal, messire.
    La fluette n'a rien d'un maître de guerre mais elle sait être directive.
    Le ruban est passé autour du torse masculin, la mesure s'imprime entre les temps de la rouquine.


    Le lin sera moins cher que la soie, moins luxueux aussi...
    Et je vous parle même pas du repassage, mon bon sire ! Une horreur ! ajoute-elle mentalement.
    Mes étoffes sont brutes mais je peux la teindre avec la couleur de votre choix si vous le souhaité.
    Il vous en coûtera 70 écus en lin brute et 20 écus de plus pour la teinture en moyenne.


    Elle lui sourit.
    Qu'en dites vous?

_________________
Medrupaloscil
Il était resté passif alors qu'elle s'affairait autour de lui pour prendre ses mesures. Elle se montrait autoritaire et il ne voulait pas la contrarier, une chemise était tout de même en jeu !
Il hésita longuement sur le tissus à choisir. Paraître luxueux était une idée qui lui plaisait mais pouvait-il se le permettre ? Et le reste de sa tenue était déjà en lin... Il coupa sa réflexion, la vendeuse semblait s'impatienter. Il conclut:

Je pense que je vais me contenter de ça pour le moment, je reviendrai plus tard quand j'aurai plus de moyens (et pour acheter de quoi compléter ma tenue) ! Mais par simple curiosité, combien me coûterait celle en soie ?
Marwenn


    La rouquine lui sourit amicalement.
    La soie est trois fois plus chère que le lin...

    La discussion s'était finie avec un verre partagé, et la promesse que d'ici deux jours la chemise serait livrée.
    Et ce fut le cas, Marwenn durant ses longues heures d'attente en taverne municipale avait patiemment cousu point par point une chemise simple mais fonctionnelle.
    Une lettre fut envoyé a Messire Medrupaloscil pour qu'il vienne essayer sa commande afin qu'elle fasse les dernières retouches...




    Alors qu'en pensez vous?
    Les bras croisés, face à lui, la rousse sourit.
    Elle espérait que ça allait lui plaire.

_________________
Maewenn
Voila bien longtemps qu'elle n'avait plus déambulé dans les rues de Saint Pol. Elle y était née. Elle y avait grandi, sourit. Elle y avait aussi beaucoup souffert. La perte de ceux qu'on aime crée toujours un vide que rien ne comble jamais. Et pendant longtemps, Saint Pol n'était plus qu'une ville morte. Pourtant, grace à ses habitants, aujourd'hui, la ville reprenait vie. De beaux projets l'entouraient. Et c'est avec plaisir et envie qu'elle y était revenue.

Ses pas foulaient doucement le sol politain, souriant aux passants, donnant quelques pièces aux mendiants du coin. Elle était bien, heureuse, sereine ! Le renouveau de Saint Pol sonnait comme un renouveau pour elle également. Elle reprenait gout à tout, petit à petit !

Son regard fut soudain attiré par une nouvelle enseigne. Le nez se plissa légèrement pour en décrypter les lettres. Oui, avec l'âge on voit moins bien oh ! Enfin, c'est qu'elle est loin vous voyez ? Un sourire se dessina alors qu'une idée germait dans sa tête. La porte fut franchie.

Une légère inclinaison du buste, un sourire.


Bonjour !

Et un regard à la rousse qu'elle n'a finalement pas vraiment croisé.

J'aimerais vous commander quelques robes si c'est possible.

Et la, la brune imagine tout à fait l'éclair de bonheur dans les yeux de la rousse. Jackpot ! Et oui, la Guérande à envie de renouveler sa garde robe. Après tout, l'argent ne sert à rien à dormir sous son matelas. C'est confortable, mais autant faire fonctionner les ateliers locaux !

Que me conseillez vous donc ?

Ouais, parce que pour le coup, la môme Guérande à toujours été très nulle pour choisir en fait. Mais ça on le dira pas. Et si elle sait à qui elle a a faire, la rousse, elle le sait elle ?
_________________
Marwenn


    Quelques jours avaient passés depuis l'ouverture et les lieux commençaient doucement a avoir de l'allure. Dans le fond de la pièce, une lourde étagère se dressait du sol au plafond contenant les différents tissus et fournitures, rangés par matières et par couleurs. Des chandeliers avaient prit place dans les coins de la pièce, posant sur la scène une lumière douce et chaleureuse. Non loin de l'âtre en pierre, un miroir en pied prenait appui sur le mur permettant ainsi aux futurs clients de s'admirer en entier dans leur nouvelles parures. L'ODonneill siégeait au milieu de ce décor, recroquevillée dans un immense fauteuil, le nez sur une couture récalcitrante, quand la Duchesse de Guérande fit son entrée...

    La rousse se leva, s'inclina prestement, un brin chamboulé de voir une tête couronnée chez elle.

    Votre Grâce, bonjour. Enchantée.

    La damoiselle se redressa souriante. Elle n'avait croisé la duchesse que de rare fois - rapidement - mais avait aussi échangé quelques courriers qui avait eu le don de faire naître un espoir dans le cœur irlandais... Elle n'en dit cependant rien, et écouta la requete de sa nouvelle cliente. Quelques robes... Rien que ça ! La belle aubaine ! Marwenn n'était pas du genre a rallongé les prix pour les têtes couronnées, mais il fallait avouer qu'une commande de cette taille allait forcément être plus intéressante qu'une simple paire de braies ou une houppelande en toile de jute.

    Et bien... Selon moi la robe dépend de l’occasion...
    Il faut savoir pour quelles événements vous allez les porter? Si vous souhaitez être remarquée?
    Si vous voulez rendre jalouse les femmes de l'assistance? Conquérir le cœur d'un homme?
    Gagner le respect et l'admiration de l'assistance?


    Tout en disant cela, la couturière lui désigna son siège et sortit deux verres qu'elle rempli d'un fond de whiskey.
    De cela, dépend tout le reste.
    Irish Whiskey! C'est de chez moi.

    Les matières, les couleurs, les formes, les perles et les galons. Tout dépend de l'occasion.

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Maewenn
L'occasion, forcément que cela en dépendait. Une légère moue se dessine. Elle réfléchit la brune et répond avec un sourire.

Alors, il m'en faudrait une pour des enchères prochaines. Si je suis bien vêtue, les enchères monteront probablement plus haut !

Bah oui, c'est assez logique tout de même. Ou peut être est ce simplement la logique de la Brune.

Et puis, deux pour les grandes occasions ! genre les rencontres diplomatiques tout ça tout ca. Et deux autres pour tous les jours !

Un sourire se dessine aux coins des lèvres.

Et vous pensez que je peux gagner le respect et l'admiration de l'assistance sans me faire trop remarquer mais en attisant la jalousie des autres femmes ?

Exigente ? Si peu !

Non parce que tout en un, c'est plutôt pas mal je trouve.
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Marwenn


    Un léger sourire se dessina au coin des lippes de l'Irlandaise, devant la réponse de la Grande BAMie.
    Sous ces paroles se dessinait un caractère qui plaisait beaucoup à la jeune couturière. Elle voulait tout !
    C'était sans doute la réponses qui pouvait le plus charmer la rousse. Elle était un défi à relever !

    Sans se défaire de son sourire, l'ODonneill répondit.

    Si je compte bien, cela fait donc 5 robes.
    Il me faudra un peu de temps pour les réaliser...


    Le regard d'émeraude se posa sur l’étagère du fond, avec son arc-en-ciel d'étoffes, de ruban, de perles et de fourrure.
    Avez vous des préférences en ce qui concerne les couleurs de vos tenues?
    Vous avez la chance d'être brune à la peau claire, tout vous va !

    Alors que quand t'es rousse, bonjour la galère ! Un vrai casse tete pour s'habiller !

    La fluette vida cul sec son verre de whiskey et après une grimace aborda le sujet douloureux.

    Et sinon... vous avez un budget pour tout ca?

    Oui... Bon... Elle fait pas sa maline la Marwenn à ce moment là!
    Ca se fait de parler pognon avec la noblesse?

_________________
Maewenn
Un léger sourire aux coins des lèvres.

Du temps, vous en aurez ! Enfin, pour la robe prévue pour les enchères, il faudra peut être la réaliser en premier. C'est que j'aimerais éviter d'y aller dénudée voyez !

Même si ça ferait ptete augmenter les enchères remarquez !

Sinon j'aimerais en avoir une dans les tons verts, pour me rappeler Brocéliande, mon enfance ...

Une bleue pour s'accorder à mes yeux ! Et parce que je trouve cette couleur apaisante et douce.

Une rouge pour la passion !

Et une noire pour la sobriété.


Bon, la si vous savez compter, ça fait 4. Et la cinquième ? Et bien, c'vous qui voyez !

Pour la cinquième, je vous laisse carte blanche, tant sur les étoffes que sur les couleurs ! Surprenez moi.

Chacun son tour après tout ! Et c'est la que vint le sujet qui fâche. Ou tout du moins, le sujet qui semblait mettre la rousse bien mal à l'aise. Le sourire s'agrandit.

Ah, parce que vous ne faites pas ça pour le plaisir ?

Han ! La moue se fait faussement déçue. Mais guère longtemps pour ne pas que la jeune fille prenne peur. Oui oui, parfois la Guérande peut faire peur !

Bon, et bien considérez que je vous paierais la matière première avec une marge de 10% pour la main d'oeuvre. Cela vous conviendrait il ?

T'facon, elle est riche plus que comme Crésus ! Vous imaginez ? Trop la Classe. Et on poursuit, avec le plus grand naturel possible. Sans rire, sourire. Garder son sérieux, du mieux possible.

Et sinon, vous faites dans les culottes aussi ? Parce qu'il semble que certains hommes en soient particulièrement friands ! Alors ça devrait rapporter pas mal aux enchères ces petites choses !

Demande tout ce qu'il y a de plus sérieux voyez vous !
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Marwenn


    Dans l'atelier, la fluette tremble intérieurement à mesure que Maewenn liste ses volontés.
    Entre les tempes de la rousse se notent et s'esquissent déjà les robes qu'elle va créer pour la duchesse.
    Une verte, une bleue, une rouge, une noir, une... Comme vous voulez?! Hein? What ?!
    L'irlandaise a un moment d'absence avant de se ressaisir. Elle acquiesça d'un signe de tête
    et se fendit d'un sourire à l'évocation des culottes. Tout est possible, tout est réalisable apres tout !


    Très bien, votre Grâce.
    Je devrais pouvoir vous livrer d'ici quelques jours je pense.


    La duchesse fut raccompagner à la porte, et la petite couturière se mit au boulot.
    En taverne, sur les remparts, dans son atelier... Les toilettes guérandaises ne quittèrent plus son esprit.
    Si bien qu'une dizaine de jour plus tard, une missive fut envoyée à Maewenn, pour lui dire que sa commande était prête.


    [10 jours plus tard...]

    Cinq mannequins de fortune avait été disposé dans l'atelier afin que les délicates tenues ne s’abîment, ni ne se froissent.
    Pourvu que la duchesse apprécient...




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Maewenn
10 jours. 10 petits jours et la Brune recevait déjà un courrier. Ses robes étaient prêtes. Rapidité, efficacité. N'est pas BAMTAM qui veut après tout. A peine le temps de dire ouf, que la Brune avait déjà pris le chemin de l'atelier. Une légère appréhension peut être. Elle ne connaissait finalement pas vraiment ses talents. Mais, c'est le sourire aux lèvres qu'elle pénétra dans l'atelier de la rousse.

Et la, c'est le drame. La respiration se coupe. L'atelier commence à tourner autour d'elle. Voila une Brune qui assiste à la danse des robes ! Vous ne connaissez pas ? Normal, ça vient de sortir. Elle se tapote légèrement les joues avant de tomber clairement dans les pommes. Manquerait plus que la rousse doive la réanimer !

On se redresse. On se reprend contenance. Et voila la bouche qui forme un O. Puis un A s'échappe. Pour finir par un plus sonore Whaou ! (pas les crêpes hein).


Elles sont magnifiques !

Bon, voila qu'elle parlait enfin intelligiblement. Ca change !

Vous êtes douée. Très douée !

Elle s'approche des robes. Caresse doucement les tissus. Observe les coutures. Le sourire ne la quitte plus.

Combien je vous dois ?

Parce que pareil travail mérite argent. Beaucoup argent ! Et pour le coup, elle ne peut défaire son regard de ses nouvelles robes.
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Marwenn


    Tout est allé trop vite pour Marwenn.
    En résumé la porte s'est ouverte, et la duchesse s'est effondrée.
    Comme ça, d'un coup ! Pouf !


    Votre Grasce !

    Alors que l'irlandaise se précipite, la brune reprends déjà des couleurs.
    Vous m'avez fait peur.
    Imaginez vous, expliquez aux autorités pourquoi il y a une duchesse morte dans votre salon !
    Quoiqu'il en soit, la couturière observe - tendue - sa toute première cliente découvrir sa commande.
    Les yeux rivés sur la moindre moue, ou le moindre froncement de sourcils, Marwenn angoisse.

    Mais tout se passe bien! Ô soulagement !

    A la question combien je vous dois, la rousse à l'humour foireux est tenté de répondre:
    "Boah, une petite seigneurie ça devrait faire l'affaire.
    Une licorne magique ou la clé des caves de pruneàvampi j'm'en contenterai !"
    Mais non, au lieu de ça elle répond platement.


    8563 écus!
    Aucune personnalité cette rousse franchement!
    Un sens aiguë des chiffres cependant !

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