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Croix de bois, croix de fer

Antonnagisa
Les murs de pierres étaient couverts de jolies tapisseries, sur le sol le parquet craquait par endroits, mais formait comme un lac tranquille, soigneusement entretenu par une armée de domestiques. De grandes portes à deux battants ouvraient sur différentes pièces, aux alentours de la salle de cérémonie ,où ils étaient à présent réunis. L'éclairage à la bougie cependant distribuait certes lumière bienvenue, mais aussi fumée qui faisait toussoter. heureusement les plafonds étaient hauts. Il fallait également une armée de valet pour "tenir la chandelle" et remplacer ainsi ces bougies divisant la cérémonie en actes comme au théâtre. Tout cela formait un ballet réglé sur du papeir à musique. A propos de musique il n'y en avait pas. mais alors ce dit il quand joueront les musiciens qu'il a entendus tout à l'heure? Il songeait à tout cela , et à diverses choses, son esprit vagabondait. Il avait rencontré une charmante personne ces derniers temps, mais c'était inhabituel pour lui, il n'aimait pas être prisonnier de ses sentiments. romantique mais pas sentimental. De toute façon à chaque fois, il avait renconcé quickly... A toute tentation de sédentarisation qui depuis la trahison qu'avait connue son frère le rebutait particulièrement. Il secoua un peu la tête et chassa ces pensées néfastes. retrouvant un peu de sérénité...

Nagisa, regardait bien droit devant lui et ses camarades récipiendaires tous droits comme des lampadaires formaient une haie bien taillée, un seul écart et nul doute qu'un sergent-major imaginaire jetterait des regards incendiares... Il vit donc Diane du coin de l'oeil, et cela le fit sourire intérieurement. Il ne savait pas pourquoi, mais il s'amusait bien en sa présence, bien qu'elle fut espiègle, il aimait plutôt cela. Mais, il devait bien sur garder le protocole et dans ses circonstances, pas le moment de faire moue de dromadaire. Il chassa de sa tête de troubadour les rimes en aire, et se ravisant pris un tout autre air, celui non d'un troubadour sur le retour, mais celui fier d'un soldat au pas. Les médailles sorties, suspendues à bout de bras hypnotisaient un peu le jeune homme qui craignait de s'endormir scéance tenante... Sous l'effet de pendule , il espérait donc une diatribe fameuse , un truc à ravigorer et réveiller les plus mous. Quelque chose de fort de puissant quoi. Une harangue pas saur, un discours joli, avisé et musclé. Lorsque Nagisa était ému ses pensées vagabondait ainsi il s'achappait mais là, il devait garder sa concentration. La foule barilée semblait heurse d'être là et cela le réocnfortait aussi, les gens souriaent, c'était plutôt bon signe, il sentait aussi une bonne énergie chez ses camarades, ce sentiment collectif fait chaud au coeur. Il se demandait s'il allait pouvoir parler avec de nombreuses personnes qu'il n'avait plus vues depuis si :longtemps, car pour l'instant il s'employait à faire ses gardes et s'occuper de son atelier, mais se rendait peu en taverne, cela ne lui laissait guère let temps de rencontrer ces pairs. Cette cérémonie était une aubaine pour retrouver ses vieux amis et réunir quelques personnages hauts en couleur de notre bonne vieille provence. Il se demandait néanmoins comment organiser ses rencontres avant de rentrer sur les remparts de la ville exercer sa fonction.
Il demanda à ses camarades:

Quelqu'un(e) sait ce qui va se passer ensuite?


Puis il songea à Diane , car il avait appris qu'elle était blessée, de reour d'Italie, et il espérait que ce ne fut pas trop grave pour sa petite chasseresse. Il en saurait sans doute davantage par la suite.

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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Leg_dicesarini
Le Commandeur de retour de mission d'exfiltration de la Comtesse Diane avait été invité par icelle a cette cérémonie de remises de médailles.

La dite cérémonie battait son plein...

Nouveau provençal, il se devait de connaitre un peu mieux son désormais Comté de vie, ou il entendait bien se poser . Le duc avait gardé son hostel particulier a Chambéry , mais avait déjà acheté terres en Provence , construit un moulin , et fait rapatrier des gens de ses duchés pour s'occuper de ses terres et son meilleur meunier de son Domaine de la Dombes.

A donc curieux mais discret , il arriva en lieu , suivant de peu la Comtesse Diane . Ne connaissant que peu de monde , Il salua d'un léger signe de teste les personnes qu'il avait eu l'honneur de rencontrer depuis son arrivée, la Marquise , l'Illustre, le Capitaine ....il se permit de rejoindre Diane , et s'autorisa a s'assoir a costé d'elle ...


Permettez que je prenne siège a vostre costé ?

et souriant , mais sans attendre réponse il prit place .....
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Antonnagisa

Lorsqu'il vit le nouvel arrivant il se rappela de la lettre envoyée par Diane, il n'en savait pas beaucoup plus, ignorait le cours des événements et ce qui avait conduit à cette exfiltration. Il aimerait bien en parler avec le commandeur, en connoitre les détails afin qui sait d'en écrire un récit épique, mais aussi pour se rassurer sur l'état de santé de Dame Diane.

Bien qu’il fust tout quiet il eu souvenance des paroles de la comtesse et eut l’heur de la voir point trop lasse ici lieu.. La malemort ne l’avait point occise elle était bien là asssise en jolis atours, nul ne pourrait songer qu’elle ne revenait d’un périple dangereux. Mais il n’en savait guère davantage. Quelles histoires aurait-elle à narrer? serait-ce drame ou comédie? Après la cérémonie il pourrait peut être discutailler autour de victuailles et de festoiement Il avait hâte à saisir la flaque le gosier sec et à tester le chapon a s’en faire ripailler les entrailles.. Il savoit son francois mal correct matiné d’occitant et impur pourtant il avois esté à l’esclole en francie.
Le voilà comme son frère, à présent. Il se transformait. Il savait que ces deux faces étaient présentent en lui, mais laquelle dominait aujourd’hui. Le guerrier ou le troubadour? Sans doute que le contexte cérémonial le déroutait car c’était là inhabituel, n’appartenant ni au monde des armes ni à celui des plumes, il devait se composer un tout autre costume encore. Mais par nécessité sans doute, car il le fallait bien au combat, il sentait qu’il devenait de plus en plus brute, transformation étrange. On lui avait pourtant enseigné clémence et grandeur d’âme, mais ce n’était pas suffisant en ce monde parfois cruel. C’était de cela dont il devrait parler avec Daisy, à n’en pas douter, de cette obligation d’être chevaleresque, mais de pouvoir être sans pitié lorsque l’ennemi ne respectait pas les règles de chevalerie. Un jour sa clémence lui avait failli donner la mort, ou coûter la vie, c'est selon. iI avait appris à ses dépends que cette règle n'était point la norme. C’était là un point de vue différé, qu’il avait forgé à force de cicatrices. Il s’endurcisait son frère, à la réputation de brute épaisse avait parcouru le chemin inverse. De coureur de montagne il était devenu homme de cours ,aux bras d’une comtesse italienne.Mais cela lui avait joué des tours car sa belle lassée par la brute le fit disparaitre dès que son jouet ne lui convint plus. Tandis que son frère affinait son caractère avant de disparaitre, il évoluait lui vers une certaine rudesse étrange. Quel était le bon chemin à prendre? Il savait heureusement qu’il n’était point seul à décider cela, entouré de personnes de valeurs qui sauraient le conseiller et le comprendre. Il aperçu le nouvel arrivant. Un grand personnage, duc lui avait on dit au creux de l'oreille, qui lui avait inspiré ses pensées et projeté en terre de France, tandis qu’il était céans célébré pour sa défense de la terre de Provence. Cette terre qui avait tant fait pour ses paysans et ses habitants. Le duc parlait françois de pays d'oil, langue qu'il avait entendue dans sa jeunesse mais dont il ne se rappeleait que bribes. Dans sa souvenance c'était de toute façon d'Artois en Champagne tournures différentes qui semblaient se stabiliser en Orléanais. Mais personne n'en était vraiment certain. Ses pensées revinrent vers la Provence où le duc, lui avait on dit, avait également quelques terres, il était donc au service également de ces terres là. Mais, il ignorait où elles se situaient. Peut être un jour ses pérégrinations de troubadours l'emmèneraient par là bas. En attendant, il était céans en qualité de soldat du pays. C’était là le plus important défendre cette terre, c’est ce qu’il savait faire de mieux.Il se doutait que l’illustre allait parler. Qu’il était temps de se plonger dans ces paroles d’en comprendre la teneur et il savait aussi que cette cérémonie allait lui permettre de revoir des gens, qui lui diraient des choses importantes décidant du cours de son existence. Il attendait la venue de son ancien capitaine , mais ne voyait pas celui-ci sans doute dissimulé dans la foule, il cherchait les couleurs connues qu’il avait portées naguère.Il songea ensuite de l'aubaine que son amie la comtesse d'Aubagne soit présente et se réjouissait à la pensée de pouvoir bavarder quelques peu après la cérémonie. Peut-être auront il loisir de se ballader en ces spendides jardins du château... Un nouveau labyrinthe de haies venait d'y être aménagé, l'âme de gosse de Nagisa cette fois reprenait le dessus.

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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Antonnagisa
Nagisa attendait patiemment du coup que le comte s'approche. Il regardait ces compagnons qui semblaient très calmes, absorbés par la cérémonie... Le temps semblait complétement suspendu.
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Gardo_silver
Au font de la salle, le blason de la garde Marquisale sur le torse juste au dessus du coeur cousu sur son uniforme noir et blanc, Silver venait assister à la cérémonie où un de ses ferres d'armes recevait les honneurs


il resta gentiment observer, un petit clin d œil à Nagisa quand il regarda enfin dans sa direction
Antonnagisa
Nagisa sentait le regard posé sur ses épaules, il risqua discrètement un oeil comme on jette du sel pardessus l'épaule, furtivement mais il reconnu toute suite les couleurs, et perçu le clin d'oeil bienveillant. Il sourit à son tour. Cela faisait chaud au coeur et lui rappelait bien des souvenirs.


Il reprit sa position initiale et attendit donc le déroulement de la cérémonie avec calme, car il était heureux d'être entouré de personnes bienveillantes. Les personnes plus tumultueuses qui étaient dans l'assemblée, il les connaissait et les comprenait aussi, au moins ce n'était pas monotone se disait- il. Il rajusta un peu son col, et déporta sa cape sur le côté, afin de pouvoir mieux se mouvoir. Son épée paraissait au fourreau et il pouvait ainsi l'incliner à volonté afin de pouvoir prendre différentes postions le cas échéant.

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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Diane...
Le sourire sur le visage de la blonde, reflétait son plaisir d'être parmi les convives. En voyant arriver Leg, Diane fut contente de le voir de sortie et acquiesça à la question posée par ce dernier.
Elle murmura à l'un de ses sauveurs, pour ne guère déranger le déroulement de la cérémonie
"Rhoo, quelle question! Bien sûr que vous pouvez vous mettre icelieu. Je suis ravie que vous soyez venu Leg."

Puis elle se concentra sur l'estrade, offrant un sourire à Nagisa, alors que leurs regards se croisèrent.
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Joel51
Joe assis au côté de son épouse attendait patiemment le suite de la cérémonie.
Sa main avait pris celle de Mielle et leurs doigts enlacés se pressaient tendrement...

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Senhor d'Ollioules
Arystote
Vraiment toutes mes excuses pour le retard


Arystote avait un doute. Devait-il remettre la croix maintenant et l'accrocher avant de prendre la parole, ou devait-il prendre la parole et la remettre ensuite. Rien de ce qui lui revenait en mémoire ne lui permettait de répondre à cette interrogation.

Avant ou après ? S'il le faisait avant et que tout le monde applaudissait, discourir n'aurait plus aucun sens. S'il le faisait après, alors il fallait qu'il fasse un discours dynamique, pas trop long et qui dise tout ce qu'il voulait y inclure...

Non vraiment il fallait qu'il...

Arystote se demandait pourquoi tant de regards étaient posés sur lui avec une telle insistance. Depuis combien de temps s'interrogeait-il bêtement sur l'ordre des choses ? Rha le protocole non mais vraiment. Au diable le protocole !

Il s'avança et toussa, prenant l'air le plus exagérément naturel et donc ridicule qu'il lui fut possible d'adopter.


Antonnagisa, Une fois le nom prononcé, Arystote sentit le naturel, le vrai cette fois, prendre le dessus et les mots lui vinrent facilement.

J'avais plusieurs fois aperçu votre visage dans les couloirs de la prévôté sans pour autant connaître votre nom. La première fois, je crois, que je vous ai écris et que j'ai pu mettre un nom sur le visage, c'est lors de l'envoi des colis de Noël. Notre échange épistolaire de l'époque m'avait fait sourire. A cette lecture je me souviens m'être dit : "En voilà un qui, marseillais, de naissance ou d'adoption, ne fait pas semblant de l'être !".

Arystote sourit et conclue, parce que c'est pas tout ça mais il a une médaille à remettre aussi !

[b]Je remets donc ce jour à un marseillais qui en a toutes les qualités et les défauts. Attendez non, y'a des marseillais ici je crois, et vous ne me contredirez pas je crois si je dis que c'est impossible puisqu'un marseillais n'a pas de défaut...

Ben voilà donc la médaille de chevalier de l'ordre de la croix provençale, est donc remise aujourd'hui à un homme de qualité !


Et le Comte de lancer un regard insistant dans la direction d'Eavan.
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Antonnagisa
Nagisa, sourit à l'allocation du Comte... Peut être était il rêveur comme lui après tout. Il hocha la tête. Ce qui pouvait autant signifier qu'il était d'accord avec la proposition: "un marseillais n'a aucun défaut" mais pouvait peuchère tout autant reconnaitre qu'il puisse en avoir pourvu que les qualités du marseillais dépassent ces dits défauts. Mais, il savait qu'il ne pouvait pas 'l'ouvrir car la gouaille n'était pas de mise en matière de protocole.

Il rougit, cependant légèrement ,et comme son teint halé d'homme de terrain masquait cette rougeur, il pouvait rougir modérément sans que l'on s'en aperçuse. C'était un avantage certain qu'il avait acquis à la maturité, car il se rappelait souvent, lorsqu'il était jeunot, d'avoir rougit en public alors que sa peau était toute palote..En général, dans ce cas fortuit, précis, et rare, il s'enfuyait et de rage et de honte il défonçait le mannequin de paille qui servait à l'entrainement des maitres d'armes. A coup de trique , de pelle, d'épée, tout ce qui lui tombait sous la main. C'est d'ailleurs ainsi qu'il avait appris le métier des armes, sa famille décidant de canaliser ses humeurs dans un sport réglementé...

Soit, tout à ces pensées saugrenues, il rougissait cependant lorsque le comte évoqua l'échange épistolaire où il avait mal pris la valeur des choses. Ce jour là, fallait il qu'il râlasse sur tout et tous ? Il l'ignore encore. Enfin, comme toujours, avec les personnes de bonne volonté cela s'arrange car parmi ses nombreuses qualités il savait écouter lorsqu'il le fallait et prendre mesure des choses, malgré une humeur parfois soupe au lait et un tempérament fonceur qui connu heurt et mal heur... Foncer tête baissée avait fait reculer bien des ennemis mais lui avait joué des tours, c'était son talon d'Achille au combat. ça et la curiosité car il eut suffit qu'on utilise un appeau à bonhomme pour qu'il aille voir plus loin et ne tombasse dans un cul de basse fosse aménagé pour l'occasion... Il avait donc appris à différer ses passions, pour éviter de tomber tout cru dans les crocs du grand crick. Il entendit le cliquetis de la médaille de chevalier de l'Ordre de la croix provençale autour de son cou et songea que son frangin serait fier de lui, sa mère aussi. Quant à son père il était tellement exigeant et intransigeant avec lui même et livrait tellement peu ses sentiments qu'il ignorait ce qu'il en penserait.. Il était heureux, et heureux aussi pour ses compagnons d'armes qui allaient être récompensés à leur tour


Le comte glissa de côté pour distribuer la seconde médaille et Nagisa regardait du coin de l'oeil la suite de la cérémonie.. prenant l'air dégagé malgré une cape un peu lourde qui trônait sur ses épaules et le ramenait quelques peu en arrière.

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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Hersende
Alors que le Comte passait la croix au cou du nouveau récipiendaire, Hersende, en tant que Maréchale de l'Ordre, donna le signal des applaudissement :

Félicitations au nouvel Officier! s'exclama-t-elle en rectifiant l'appellation donnée par le Comte, appellation ancienne qui était tombée en désuétude au profit de celle d'Officier.
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Hersende de Brotel, Marquise de Provence, Comtesse de Valréas, de Mazan et de Narni, Baronne d'Istres, Dame de Céreste

Mielle64c
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Elle s'était assoupit certainement quelque instant quand elle fut réveillée par les encrassement des ses doigts par son époux. lui sourit un peu confuse de s'être en endormie puis regarda la remise de médaille. Elle était heureuse de voir ses collègues de la maréchaussée enfin récompensés.

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Leg_dicesarini
il était bon que des hommes et des femmes soient récompensés pour ce qu'ils font ou ce qu'ils sont sans pour autant en faire étalage ...

Leg applaudit avec bon coeur . Vu son attitude l'homme lui plaisait ..il fallait que Leg fasse plus ample connaissance avec lui .

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Arystote
Arystote applaudit avec les autres et sourit chaleureusement au nouvel officier lorsqu'il accrocha la médaille côté coeur. Il était sincèrement ravi d'avoir récompensé ce marseillais qu'il avait apprécié dès leurs premiers échanges de courriers.

Il se tourna ensuite vers les personnes présentes, notant en passant l'arrivée du Chevalier Commandeur de l'OSG qu'il salua par un sourire. Il aperçut aussi sa cousine tout juste rentrée de son périple italien.


Nocomment, veuillez vous approchez je vous prie., dit-il à l'attention de son collègue brignolais.
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Nocomment
En entendant son nom, NoComment fut comme réveillé. Il était la, au milieu de ses pairs et des grands de Provences et non pas dans un rêve d'enfant qui venait d'assister aux joutes. Le poids des honneurs qui lui étaient rendu deviendrai vite concret... Ne voulant pas faire honte à sa bonne ville, à sa fonction et à ceux qui croient en lui, il avança vers le comte et se mis au garde à vous. Une goutte de sueur coulant le long de son cou seule trace de son malaise.
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