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[RP ouvert] Je suis qui ?

Niallan
Pas François le Français.*
Ni un sombre mercenaire increvable et intouchable.
Ni l'un ni l'autre, je suis, j'étais, et resterai moi**

La tête qui tourne, les paupières qui ont du mal à s'ouvrir. Souvenirs d'une de ces soirées qui deviennent quotidiennes. De l'alcool, des femmes et d'autres substances dont je n'arrive pas à retenir le nom.
La main tapote le matelas à la recherche d'une éventuelle partenaire, rencontre un corps chaud. Je me retourne plus ou moins facilement pour zieuter la donzelle. Pas trop mal. Elle aussi est éveillée, merde. Elle se met à causer, re-merde. Étouffant un grognement dans le baiser que je lui colle, je lui murmure un habituel "Ferme-la" avant de la faire à nouveau mienne. Le temps d'une étreinte, bien évidemment. Manquerait plus que je me coltine ce genre de casse-pompes (pour rester soft) ad vitam aeternam. Brièvement, le risque de l'engrosser m'effleure mais je le repousse d'un accès de jemenfoutisme. Si elle tombe enceinte, tant pi pour elle. Elle n'aura qu'à avorter, demain je serai déjà loin.

Abandonnant ma blonde d'une nuit sur la couche, je me relève afin de me rhabiller. Chemise blanche à lacets, braies beiges, bottes marrons. Simple et passe-partout. J'aime pas attirer l’œil en ville. Rester discret aide à la tranquillité.
Un dernier regard pour cette femme dont je ne connais pas le prénom...le lui ai-je demandé ?...elle est vraiment jolie. Des formes, de beaux cheveux blonds. Un nez peut-être un peu trop long mais ça ne gâche pas assez ses traits pour que je m'y attarde. J'aurais bien recommencé tiens...
Secouant la tête pour chasser quelques pensées salaces, je tourne les talons. J'ai plus une thune alors mieux vaut que je sois loin quand l'aubergiste demandera la note.

La lumière du jour me fait tiquer. Déjà si tard ? Boarf, je n'avais aucun impératif si ce n'est celui de foutre le camp avant que mon fournisseur vienne me demander de rembourser. Un jour je me ferai casser la gueule, moi. Mais pas aujourd'hui. La traditionnelle pipe en bois est sortie, bourrée de tabac et d'opium. Un type s'avance pour me taper la causette, quelques marchandises en main. Flemme.

Va emmerder quelqu'un d'autre.

Je poursuis ma route sans essayer de voir si l'autre a suivi mon conseil, me délectant du doux poison qui prend place dans ma gorge. Il paraît qu'on peut en mourir, il paraît que c'est dangereux. Et il est sûr qu'on crèvera tous un jour, tout comme il est certain que je me moque des risques que je prends.
Plissement de paupières sur l'homme en armure qui s'avance vers moi. Ne pas faire de vagues. Affichant un sourire de façade, je me fends d'une légère révérence.

Messire.

Et me voilà reparti. Des gamins sans doute pressés me bousculent et lorsqu'ils se tournent pour s'excuser je leur offre un doux sourire, les encourageant à poursuivre leurs jeux d'un bref mouvement de la main. J'exècre les chiards mais ça le fait pas alors je fais semblant. J'aime pas non plus les rouquines. Méfiant, donc, je salue la créature rousse qui s'avance vers moi d'un sourire poli.

Ma Dame...belle journée à vous.

Sans attendre, je la devance, pipe en bouche.
Je presse le pas, faut que je quitte la ville avant que l'autre ne me tombe dessus. Ou que la blonde ne m'envoie chercher pour payer la piaule. Ou que le marchand vexé ne m'envoie l'armuré. Ou que la roukmoute n'use de ses talents démoniaques. Ou que les gosses ne m'annoncent une paternité que je ne saurais assumer.
Ouais, j'ai le chic pour les situations merdiques.

Bâtard, tu es, tu l'étais, et tu le restes**


*Juste pour le fun, Omar & Fred
**Stromae - bâtard

_________________

Bannière réalisée par les grands soins de JD Calyce.
--Baronne_almeia


    [Hier au soir]

    Chiasse de soirée , d'abord son cheval c'était envolé , ensuite c'était la nuit qui était tomber , la neige pour la frigorifié , une envie de hurler lui était venue a l'esprit , quelque chose du genre .. :

    "Mais c'est quoi s'Payss !"

    La blonde était en pétard mouillé pour sur avec toute cette neige qui lui tombait dessus , du moins quand elle ne glissait pas la route mal pavé pour ensuite tomber dedans .

    Elle était folle , folle de rage même et la encore ce n'était rien , foutue patelin ou son homme venait de crevé tiens , les fièvres venait de l'emporter le bougre , remarque , ce n'était pas quelque chose qui allait la meurtrir , elle qui avait toujours eut un gout esqui pour les femmes du même acabit que le scient .

    Foutre "Diouf" , on disait bière qui roule n'amasse pas "Mousse", eh bien ici c'était pareil , seul trou a rat du coin ce trouvait être un bâtisse miteuse .

    Sans doute servait elle au relais pour les cheveux , cela ce faisait vous savez ? .. , bref , la Baronne n'était point si blonde que cela , elle partait voir si son cheval qui l'avait abandonné après qu'elle ne soit partit elle même pour un besoin fort pressant , ne soit arrivé là .

    Pas de chance pour ce soir , elle en était maintenant fort sur , les chevaux savent volé , ou du moins ce faire volé , gare a la canaille si elle devait en croisé , dioble !

    La Baronne était furieuse , en entrant dans l'auberge qui faisait le relais , elle ne trouva du regard aucune fille convenable , juste une truie énorme qui faisait mumuse avec le bouillon locale .

    Mais cela n'était point tout , le calva commander était dégueu et l'Armagnac qui la mettait en vrac d'habitude lui rappelait cette douce odeur de purin , une odeur qu'elle n'avait par ailleurs jamais connue .

    Buvant , buvant et buvant encore , pour sur que sa nuit allait finir drôlement , blonde et borgne avec un cache œil et désormais veuve de surcroit , qu'adviendrait il d'elle au lendemain matin . . , la question ne pouvait que l'effleuré mais la dans son état désormais bien alcoolisé , il n'était plus possible pour elle d'en finir autrement .

    [Aujourd'hui]


    Et pouf , voila qui allait lui faire drôle , en effet le dirlo du coin , lui déversait sur sa trogne un bon sceau d'eau et par le froid qui cour , cela n'allait pas l'aider a ce réveillé de bonne humeur pour sur .

    Elle commença tout d'abord par mettre a mal le tenancier puis a le ficelé dans un coin , dehors , au froid , dans une flac d'eau , le cul gelé en somme .

    Cela ne l'aidait nullement a retrouver le sourire , mais l'avouerait elle surement , cela défoule , seul ombre au tableau ce trouvait être le fait qu'elle soit nue et que ce trouvait là en son endroit , des restes de la Veil ?

    Le chenapan don elle ne ce souvenait aucunement ne semblait point la , aussi pensa t'elle qu'il s'agissait sur tenancier , autant dire qu'il passa a nouveau , bien mauvais quart d'heure avait qu'elle ne ce souvienne de la nuit passer .

    Finalement elle déposa quelque écus , la Baronne avait amplement de quoi après tout , non , c'est juste qu'elle oublia de payer pour le cheval qu'elle emprunterait plus tard , d'ailleurs la question ce posait , avait elle un rejeton dans le tiroir , sa il était encore trop tôt pour le dire .

    L'avenir lui confirmerait ou non cela pour sur , d'ailleurs pour sur que non mais sa , bref , la baronne qui commençait a sortir la monture du box ce demandait ou avait bien pu passer le bonhomme de la Veil , il c'était envolé lui aussi ?

    Bigre , s'en passait de drôles de choses dans ce pays !

    Elle l'avait un peut mauvaise tout de même , la nuit lui semblait flou et pourtant agréable , dommage que ce drôle ce soit envolé , elle aurait sans doute aimé lui faire faire ces corvées

--Heidy_la_blonde


Elle se retourne vers lui, un sourire des plus aguicheurs au bord des lèvres, les fesses en l'air. C'est qu'il sait y faire le blond, elle a passé une folle nuit où le sommeil n'a guère eu de place que sur les dernières heures. Dans sa volubilité habituelle, elle se met à parler lorsqu'elle le voit ouvrir les yeux. Elle parle, toujours, elle parle de tout et de rien Heidy, tout le temps. C'est comme ca, elle est incapable de se retenir, ni de s'arrêter.

Ferme la!

C'est pas ce qui la fait taire, mais au moins lorsqu'il l'assaille de nouveau, ce ne sont plus des mots mais des cris et des râles de plaisir qui emplissent les oreilles du blond. Son nom, elle ne s'en souvient plus, NianNian qu'elle l'a appelé en taverne quand ils se sont croisés la veille. Et puis, avec Heidy, faut pas réfléchir longtemps, elle ne peut pas de toute façon. Ils se sont vite retrouvés dans une chambre d'auberge à caracoler dans tous les sens.

Il se lève finalement de la couche en vrac, où il doit maintenant manquer quelques lattes au sommier, et Heidy boude légèrement, son petit museau froissé lui donne l'air d'un petit chien sur le point de japper. Mais non, elle ne va pas crier, elle ne va pas faire de scène, Heidy elle prend la vie du bon coté. Des blonds y en aura d'autres ... Quoi que celui là quand même ...

Comment ca il n'a pas payé ? Vous êtes sur ? Vous savez le beau blond sexy, sa petite mèche qui retombe sur son front, ses braies trop petites .... Si si ! Je vous assure, j'ai eu un mal fou à les lui enlever !!

L'air impassible du tenancier l'oblige à ralentir son flot intarissable de paroles. De l'entrebâillement de son corsage, elle sort deux petites pièces pour payer la chambre. Ce sont celles qu'elle garde "en cas d'urgence". On va dire que c'est une urgence ! Et aussitot, elle sort dehors, elle espère qu'il n'est pas très loin. Non seulement il n'a pas payé la chambre, mais même pas un petit cadeau de remerciement. Il n'a pas craché sur les courbes opulentes de ses hanches ou de ses seins pourtant, il était bien enclin à réitérer ses exploits les uns après les autres.

C'est dans une ruelle bien plus bas dans la ville qu'elle le reconnait.

Youhouuuuuuuuuuuu !!! Youhou Niannian !!!

Tip tap tip tap tip tap .... Les souliers de mauvaise facture, mais qui font très classe sur ses petits pieds, résonnent sur les pavés. Elle le rattrape, essoufflée, sa poitrine, serrée dans son décolleté, se gonfle à intervalles réguliers, prête à exploser au visage du blond.

Dis mon chéri, t'aurais pas oublié quelque chose ? Son ongle vient se poser sur le bord de sa lèvre en signe de réflexion intense. C'est que j'ai pas grand chose pour vivre moi ! Et puis les factures ... T'imagines pas. C'est que pour être aussi belle, il faut en faire des frais.

A sa tête, Niannian n'a pas l'air heureux. Les questions d'argent ca la fout toujours mal entre bons amis.

Bon écoute ... Comme je suis une gentille fille, hein tu l'as vu ...

Elle se rapproche de lui et lui colle une main sur une fesse, sa bouche en cul de poule vient susurrer tout près de la sienne.

Disons que comme t'es pas plus riche que moi, je viendrais réclamer mon du en nature, un d'ces soirs en taverne.

Le sourire langoureux s'étire sur ses lèvres pourpres, le nez frémit, et la main se raffermit sur sa prise. Il n'a pas d'autre choix le blond que de donner de sa personne.
Niallan
Oui, donc reprenons. Je me baladais tranquillement, pipe au bec. Je ne faisais de mal à personne, souriant plus que de coutume pour éviter que certains sanguins ne se lancent dans un apprentissage du respect selon les bourrins. Faut pas croire, je sais me battre. J'ai jamais craché sur une bonne raclée à distribuer mais disons que là j'ai pas franchement le temps.
Une longue bouffée est aspirée, deux secondes durant lesquelles je ferme les yeux pour savourer le plaisir que me procure cette saloperie. C'est tellement bon, douce extase, doux mom...

Oh putain...

Dites-moi que je rêve. Rouvrant les yeux, je jette un discret coup d’œil en arrière pour tomber sur la blonde de cette nuit. Non, je ne rêve pas. Encore ce foutu surnom, bordel de Dieu ! Elle ne me trouvait pas "niannian" cette nuit, ni ce matin d'ailleurs. Mes pulsions de mâle me donnent envie de lui donner une nouvelle leçon mais mon instinct de préservation me pousse à accélérer. Marcher vite, pas courir, sinon c'est pas discret. Renâclant, j'emprunte une ruelle étroite dans le but de la semer sauf que, effet secondaire de tout ce que j'impose à mes neurones -ou vengeance du dieu des blondes, hinhin- je crois voir mon "fournisseur". Et donc, là, forcément, j'arrête d'avancer comme un forcené, paralysé.
Illusion, ce n'est pas lui. Par contre, l'ongle sur ma lèvre est bien réel, lui. Ça part mal avec le "mon", j'aime pas qu'on cherche à me mettre en cage, ça me fout les jetons. Et puis après c'est tout simplement l'horreur...Elle se plaint, comme toutes les femmes. Et c'est d'un chiant, mais d'un chiant ... !

Une nouvelle bouffée pour résister à l'envie de lui en coller une pour la faire taire. J'aurais dû dormir avec l'autre blonde, la troussée au début. Nobliote dans mes souvenirs, et borgne mais ça, rien à carrer. Elle était surement moins collante, ouais, je voudrai être avec elle. Sauf si je savais ce qu'elle est en train de faire à ce pauvre tenancier qui, décidément, risque de se souvenir longtemps de moi -note à Bene: ne plus jamais refoutre les pieds dans son auberge.

Ecoute, Blondie...

Je me souviens pas de ton prénom, tu te souviens pas du mien, on va pas en faire toute une histoire, mmh ?
Sa main baladeuse me fait sérieusement tiquer. Une technique pour dissimuler l'assaut violent qu'elle s'apprête à me faire subir ? Ou pour laisser le temps à son mec de rappliquer ? Ou...
Gros, gros bug. Non, ça existe ce genre de gonzesses ? Elle peut bien débiter autant de conneries qu'elle veut, si elle paye la chambre et qu'en plus elle me propose une autre partie de jambes en l'air, je risque pas de me plaindre. Surtout que je connais certains moyens pour la faire taire...

Un d'ces soirs ? Non, j'aime pas avoir des dettes. Je préfère rembourser celle-ci maintenant.
Là, contre ce mur.


Volontairement insolent, petit con provoquant. Libérant une fumée dans laquelle opium et tabac se mêlent, je délaisse la fumette pour la donzelle. Je n'ai jamais craché sur ces femmes qui donnent leur corps avant de donner leur prénom, pas de contraintes avec celles-là.
La croupe de la pulpeuse blondinette vient épouser le mur alors que mon bassin se plaque contre le sien. "Bizarrement", j'ai oublié la rouquine, le soldat, le fournisseur et tous les autres emmerdeurs de cette ville.
Je l'embrasse à pleine bouche, j'embrasse mes futurs problèmes avec toute l'arrogance que me permet mon prénom. Niallan, Champion.
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Bannière réalisée par les grands soins de JD Calyce.
--Heidy_la_blonde


La petite mèche de cheveux qui se rebelle sur son front s'enroule autour de son doigt. Ses yeux papillonnent quand elle le regarde. Ses hanches se cambrent à tour de rôle, une main à la taille, droite, gauche, droite, gauche. La "blonditude" selon Heidy, c'est tout un art.

Écoute, Blondie...

Oh ! Encore un petit nom ! C'est qu'il lui en a donné des noms la nuit dernière, même des noms qu'elle ne portera jamais. Marie, Sophie, Gertrude ... Elle a cherché dans sa petite tête d'écervelée où il pouvait bien trouver autant d'imagination. Enfin ca, c'était dans les moments de repos, sinon lors des grandes batailles, les petits noms étaient plus crus, moins personnels, mais donnaient certes un petit plus à leurs ébats.

Il a l'air étonné de sa proposition. Mais Heidy n'est pas une fille de joie, elle n'a jamais demandé d'argent en échange d'un moment de douce violence à deux. D'ailleurs elle compte très mal, elle s'arrange pour n'avoir que des pièces d'un écu dans sa petite bourse, c'est plus simple pour elle.

Un d'ces soirs ? Non, j'aime pas avoir des dettes. Je préfère rembourser celle-ci maintenant.
Là, contre ce mur.


Huhu !!! Mais c'est qu'il pourrait paraitre honnête pour le coup ! Bon, pour la dette de l'auberge, sa cervelle réduite au stricte minimum ... c'est à dire vérifier la tenue de ses cheveux, la longueur de ses ongles, que sa robe soit impeccable, il y a déjà tellement de choses dont elle doit se souvenir ... la dette donc, est oubliée. Simplement, un petit remerciement n'aurait pas été de trop, on n'est pas des sauvages tout de même !

Koff Koff Koff !!!

Heidy ventile son visage quand la fumée arrive jusqu'à elle.

Tu devrais arrêter ca, mon chou ...

Mais elle n'a pas le temps de finir sa phrase qu'il met son remboursement à exécution, la plaquant contre le mur délabré d'une maison abandonnée, logis d'un ancien usurier. Une enseigne indique : Une bourse vide en entrant, une bourse pleine en sortant !

Reprenant son souffle sous le baiser vorace, elle lui montre le panneau qui balance doucement sous le courant d'air de la ruelle, tendant la main au dessus d'eux.

Hannn ! Nianian, regarde ! Avec toi, c'est tout l'inverse, dis donc !

Son petit rire qui ajoute bien à sa "blonditude" résonne dans l'impasse. Bah oui ! Sa copine rousse, elle lui a bien dit, pour plaire aux hommes faut avoir des mots d'esprits et les faire rire. Et Heidy, elle aime bien plaire aux hommes, à tous les hommes, certainement grâce à son humour et à sa repartie.
Jean_le_Gueux, incarné par Reviel_di_dandailion


l'Jean jean était de vadrouille quand il tomba sur un tableau , un très beau tableau , en effet quel meilleur cadre que celui d'une blonde a forte espérance en train de .. s'épanouir" ?

Le Jean jean était tout sourire en voyant cela , parfait voyeur il s'éclipsa une fois le dernier acte venue , le bougre ne connaissait le messire "Nianian" ni d'Eve ni d'Adam , encore moins d'Adam .

Recherchant a boire dans le lieu paumé des diouzes , le Jean s'en alla voir chez le dirlo mais même pour un gueux l'alcool présenter ainsi que la maigre pitance semblait dégueu .

Que faire , lui le pauvre avait été obliger de payer , il lui fallait bien un petit cadeau pour les festivités hivernal non ?

C'est ainsi qu'il s'en alla voir au box des cheveux , tant qu'a faire , et puis les chevaux n'avaient pas leurs mots a dire tendis que les femmes elles , savaient visé bas ,.. parfois , même souvent , le bougre dans sa triste de vie en avait fait plus d'une fois les frais .

Ne voyant dans le box aucune âme de ce monde , l'Jean jean sortie une petite lance d'un endroit incongru afin de s'en prendre au premier canasson venue , le Gueux trouva sans mal sa victime et s'en approcha promptement seulement ..

Le canasson lui lâcha une grosse bouse sur ces bottes , troué en plus les bottes , et crotte .

Foutue ta d'viandouille , t'as chier sur mes bottes là ! !

En colère il fessa le destrier a trois reprise avec autant de force qu'il le put , sa lance elle prenait l'aire pendant ce temps , et il était frisquet le temps , aussi s'empressa t'il de la ranger .

Il ne cessait de pesté sur le pauvre animal qui n'en demandait pas tant , ni plus d'ailleurs .

--Baronne_almeia


    La Baronne ne pouvait plus dire le moindre mots , son visage semblait figé tel de la porcelaine de tchine tchine d'afl.. .

    Là , devant elle et son destrier sortit du box ce trouvait un .. , tout petit animal , affreusement laid l'animal de surcroit , surtout lorsqu'on regardait sa sale trogne .. Beuh .

    Bref , il n'y avait d'autre a dire , il y avait juste devant elle , un type en train de ce secouer le sauciflard devant ou plutôt derrière un canasson .

    La blonde en avait vue des choses dans sa vie , elle avait vécus des guerres , croisé le fer , torturé des tenancières mais ça !

    Une première pour elle , une première qui allait laisser des traces , fort heureusement , cette torture pour les yeux ce transforma en parodie digne des plus grand troubadour et autres mestres des échansons .

    En effet , l'animal lui avait lâcher sa merde sur ce qu'il avait de plus propre , autant dire que la Baronne avait le sens de l'humour et qu'elle s'en alla le voir discrètement pendant que celui ci jurait .

    Ce faufilant derrière lui sans qu'il ne s'en aperçoive , elle le touchait du doigt au niveau de l'épaule afin d'attiré son attention pleine et entière .

    La l'homme ce retourna machinalement en insultant la blonde qu'il ne connaissait pas , insulte ou non , le châtiment serait le même .

    La baronne lui envoya un véritable pénalty directement dans les partit les plus intimes , son regard ce porta immédiatement sur ces bottes de cuire noire a talon en espérant ne point les avoir salies .

    Le gueux lui semblait perdu sur une autre terre , là sur allongé sur le sol et dans la bouse .. tandis que la blonde elle , repartait tranquillement en direction de son destrier en compagnie d'un aire emplit de satisfaction au visage .

    Pour sur , la blonde ce souviendrait de ce jour ou elle avait marqué son premier but .

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