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[RP]Ouverture des festivités, le 22 octobre

Merveylle_mirandole
Elle avait été rassurée par les propos de la Comtesse. Puis les dames et demoiselles de la Maison Royale firent leur entrée plus ou moins toutes en même temps alors elle rejoignit le groupe, adressant un sourire à chacune. Lorsque la Reyne entra, elle sourit en coin. Sa robe, elle la connaissait bien puisque c'était elle qui l'avait faite. Mais c'était différent de la voir portée et un vrai plaisir de sentir que sa Majesté appréciait son travail.

Elle reçut la petite licorne comme chacun. C'était fou toutes les bonnes idées qui fusaient à l'office des Cérémonies ! C'était lors de jours comme celui-ci qu'elle se sentait fière d'appartenir à ce groupe, cette "presque famille" qu'était la Maison Royale.

La soirée débuta par une bénédiction pour les Licorneux qu'elle écouta avec attention, puis Vittoria enchaîna pour présenter les festivités organisées. Elle avait de la prestance et du charisme. La petite princesse avait bien du chemin à faire avant d'acquérir autant de confiance en soi. Elle était admirative en quelque sorte. Elle posa ses prunelles céruléennes sur le chevalier qu'elle invitait à venir prendre la parole. Elle avait surtout hâte d'entendre les quelques mots que prononcerait la Reyne.

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Guillaume_de_jeneffe
Ce fut au moment où le devoir l'appela que Guillaume aperçut la borgne chevalière. Il eut voulu la saluer, l'inviter, elle aussi, à les rejoindre au centre de ce qui était devenu une galaxie de va-et-vient multiples, de pourpoints et de robes, de crinières et d'yeux. Mais le devoir n'attendait pas. Faudrait-il une neuve guerre combattue côte-à-côte pour que les deux puissent à nouveau discuter ? Sans doute, pensa le Flamand, sans doute. N'est-ce pas surtout par et pour cela que nous existons ? L'espace de ce qui parut peut-être un long instant à l'assistance, ses souvenirs le ramenèrent bien des années en arrière, à des lieues et des lieues de Paris, en des campements bien moins agréables que les possessions parisiennes de son Ordre. Il revit des visages, des armures, des épées agitées en tous sens. Des sourires dans la peine, aussi, des rires nés du désespoir, enfin. Tout cela le maintint loin du siècle, fusionnant en son esprit des exploits et des échecs étalés sur des années.

C'est ainsi que presque automate, il répondit à l'ordre délicat émis par la comtesse Farnezze. Il y répondit, réflexe sans doute, d'un courtois sourire de reconnaissance. Certes Julios n'avait pu être présent, retenu au loin par ses obligations les moins publiques d'un Grand Maistre. Il se trouva donc en première ligne pour tenir son rôle. Comme rajeuni par une absence. Il gagna l'estrade, d'où il domina l'assemblée de la tête et des épaules, prit une profonde inspiration, et abattit alors les digues de son éloquence. Qui fusa comme un trait, fluide et ininterrompu.


- Majesté, chers amis. Il y a des années, une éternité de cela, une discussion avait secoué mon Ordre. Je n'étais encore que très jeune, et loin de la position que l'on m'a aujourd'hui accordée en son sein. De part et d'autre de notre salle du chapitre, je la revois presque comme si c'était hier, les arguments fusaient, en un sens et en l'autre. La question était celle de la reconnaissance royale. Certains y tenaient, d'autres exprimaient des réticences. Serait-on bien nous-même, ainsi liés à la Couronne ? À s'en tenir éloignés, ne deviendrions-nous pas une de ces bandes d'aventures qui ravagent l'Europe ? Telles étaient deux des questions dont il me souvient encore aujourd'hui. J'ai le privilège et la douleur d'être de ceux, peut-être le seul, des membres d'Ordres de chevalerie à me souvenir de l'époque où celles-ci se posèrent, où la reconnaissance royale n'existait pas. Tout au long de ces années, j'ai pu voir ce qu'elle a apporté, ce qu'elle a permis, ce qu'elle a entraîné. Je ne ferais pas devant vous la liste des points où tel ou tel de mes frères et sœurs eurent raison. Je suis heureux, au vrai, de constater que nous n'avons pas véritablement fait défaut ou honte au texte créa la Licorne premier Ordre de chevalerie du royaume. Je suis heureux de pouvoir compter parmi ceux qui me formèrent, ceux qui vécurent avec moi, ceux que nous avons formé certains des plus méritants défenseurs de la France, de son royaume. Je suis heureux de voir que, malgré les années et les épreuves, malgré les attaques frontales ou discrètes, celui-ci ne nous a pas oublié ou négligé, dit-il dans un sourire adressé à la reyne. Je suis heureux de voir et de jouir des efforts déployés par la Maison royale, à qui, et je me répète sciemment, nous sommes désormais redevables pour des siècles. Sourire cette fois pour la Grand Chambellan. Je suis heureux de savoir que demain encore nous serons présents, à Paris, au Mans, à Tours ou ailleurs encore. Je suis heureux de voir, encore, des jeunes gens, ou de plus âgés, se présentant devant les grilles de Ryes pour nous rejoindre. Je serai heureux tant que cela durera, tant que le Royaume vivra, tant que la France sera. JUSTICE ! HONNEUR ! BRAVOURE ! Pour la France ! Pour la Licorne !
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]
Koreldy
Les femmes.... Sans doute ce qui perdrait le de Bruck. Dans la vie du de Bruck, il y avait moult femmes qui gravitaient autour de lui, non pour le plaisir de la chair comme certains auraient pu penser mais bien dans son entourage. Tornadette était de celle où le duc avait du mal à dire non et quand celle-ci lui avait demandé d'aller au bal, cet idiot avait dit pourquoi pas, bref oui quoi!

Il avait enfilé la tenue confectionne que lui avait donné erwany et était très étonné que celle-ci lui allait comme un gant. Un instant le duc se demanda si elle était pas venue le mesurer dans la nuit, un soir où il dormait chez le roy, au domaine des éperviers.
Cette question resta en suspend alors que déjà Erwany le réclamait, lui demandant de se dépêcher.

Il sortir donc de la pièce et se dirigea vers elle, faisant un tour sur lui même avant de s'arrêter et de la regarder tout en souriant.


T'es sure?

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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux
Alvira
Etait-ce parce qu'ils étaient accordé au même couleurs, ou simplement parce qu'ils étaient l'un à côté de l'autre et qu'ils allaient bien ensemble qu'on les salua comme un couple ? Bonne question. Qui sur le moment ne lui monta pas à l'esprit, surprise qu'elle était par le "vos Grâces". Un sourire amusé vint balayer ses lèvres guettant la réaction du Horn. Mais il avait bien trop absorbé par le monde autour de lui.

Seigneur d'Empire, pieds dans un OR, festivités et Duchesse Infernale obligent. Comme quoi, Arioce avait comme le droit de faire un tour de manège. Licorne dans la main du brun, la Duranxie se rendit compte qu'ils étaient non loin de Gauvin et rejoignit le petit groupe pour saluer Vittoria, et ceux présents même si pour certains elle ne les connaissaient pas.

Sa Majesté était également présente, ce qui n'avait que renforcer ce petit tas de bonhommes sur pieds. Un discours, puis un autre, et encore un autre se firent entendre. La cérémonie revêtait un caractère bien particulier aux yeux des membres de cet ordre et de ceux qui se trouvait là pour fêter dignement l'anniversaire. Au discours du Jeneffe Alvira émit un hochement de tête, des Licornes à Tours, oui encore et toujours, il en fallait. La reconnaissance était là.


Faites attention, à trop laisser les rennes aveuglement, on se retrouve dans le fossé mon cher.

Avait-elle répondu à son cavalier tout bas, une fois que le Chevalier eut finit son intervention, un regard malicieux accrochant les iris masculines du Horn.
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Rhuyzar
Quiconque connaissait un tant soit peu le Loup savait que les festivités, les mondanités, n'entraient pas dans la catégorie de ses activités préférées. Il s'attachait à les réduire au strict minimum, à ce rang d'obligation qui justifiait, pour son esprit, sa présence au sein de ces réunions dont il n'avait jamais été friand. Jeu de sourires, de courbettes et d'amabilités. Il y avait longtemps vu une perte totale de temps, les fuyant comme la peste et leur préférant une activité qu'il jugeait plus efficace, dans la solitude de son bureau ou la pénombre des souterrains. Il avait pris le parti cependant, depuis son retour de certaines terres lointaines, d'assouplir sa conduite vis à vis de la société et du Monde. Juste assez pour y tenir sa place.

Et il disposait désormais d'une nouvelle raison de ne pas systématiquement fuir ces rassemblements bariolés. Quand il s'y rendait, il n'y était pas seul. Elle était là, elle aussi, figurant un repère, cette lueur dans la nuit à laquelle il lui était possible de s'accrocher pour ne pas dériver. En chaque chose elle lui donnait une force supplémentaire, présence qui, au fil du temps, lui était devenue vitale, frappée du sceau de l'évidence. Alors ce devoir se métamorphosait en pouvoir. C'était un des nombreux effets du lien qu'ils avaient laissé se créer.

Donnée supplémentaire, il s'agissait, cette fois, de représenter cette Licorne qu'il portait depuis maintenant plus de dix années. Cet animal mythique qu'il aurait pu tracer sur le sol avec son propre sang s'affichait aujourd'hui sous ses plus beaux atours pour rappeler à ce Royaume ce qu'il avait été, ce que des Hommes, en son nom, avaient accompli de grandiose, et son existence, malgré les ans, les épreuves et les obstacles, qui demeurait, perdurait.

Il n'était pas question d'avoir raison ou tort, mais d'être là, au nom d'un serment prononcé librement, qui avait orienté le cours de son existence, à un point qu'il lui aurait été impossible d'imaginer. Il avait été beaucoup de choses, ses cheveux blanchis et son corps marqué en apportaient un poignant témoignage. Mais c'était bien la Chevalerie qui avait façonné son être, s'insinuant jusque dans ses veines, orientant ses pas, guidant sa main. Témoin d'un passé que certains feignaient d'ignorer, il était là, porteur d'une mémoire et d'un savoir. Capable de frapper encore. Preuve que les temps n'avaient changés que parce que certains l'avaient voulu et que cette excuse n'était qu'une manière d'écarter la culpabilité.

Il s'était préparé comme à son habitude. Vêtu de sombre de la tête aux pieds, une licorne argentée se cabrant sur le dos de son mantel. Une main gantée pour voiler la perte de deux doigts abandonnés au nom d'une juste cause. L'Errant avait recouvré son titre, même s'il n'en portait pas le symbole, en raison d'une administration qui ne s'accordait pas au cours des choses et imposait son propre rythme, ralentissant la vie, ce qui devait être, ce qui arriverait, malgré tout, parce que cette volonté partagée ne se résignait jamais.

Sobre jusque dans sa conduite, il arriva au lieu des festivités aux côtés de celle dont il ne voulait plus se passer. Il salua ceux qu'il connaissait de ce hochement de tête dont il avait fait sa marque de fabrique, un peu plus prononcé à l'égard de la Reyne, par respect pour ce qu'elle représentait. Un léger sourire étira les traits de son visage à la vue de son Frère Guillaume, l'autre vestige qui lui rappelait son âge et son vécu.
La Meute était restée chez eux. Les petits ne se seraient probablement pas beaucoup amusés s'ils les avaient amenés. Ils les retrouveraient dés que possible. D'ici là, l'avoir à ses côtés lui permettrait de résister à l'envie de s'en aller. Il se sentait mieux sous la Lune, mais ce genre de chose n'arrivait pas fréquemment. D'ici là, elle le savait, il veillerait.

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Erwany
T'es sure?

Elle le regarda

Par tous les saints grasouillette tu es sublime , pour peu , je tomberais amoureuse!!!

La brunette ria aux éclats , Guillaume lui passait tous ses caprices et , elle en profitait mais respectait l'homme qu'il était .
Entre eux s'était nouée une amitié sincère, un respect mutuel.

Elle le considérait comme un frère , un oncle . Il la protégeait comme le faisait Datan

Elle s'approcha de lui , passa le bras dans le sien et lui fit une bise

On croirait voir un père qui conduit sa fille au bal , merci Guillaume

Elle savait qu'il n'était pas dans les habitudes de l'homme de participer à ce genre de choses et lui était reconnaissante de faire cet effort pour elle

Voyant leurs reflets dans le miroir




On est beaux hein ? Large sourire aux lèvres , la brunette entraîna son duc préféré jusqu au lieu dit.

Ils reçurent une broche en forme de licorne à l'entrée. La jeune femme épingla la sienne puis celle de Guillaume a son revers .

Il y avait du monde , peu connu par la brunette ... Alors qu un personne parlait sur l'estrade , la jeune femme glissa à l'oreille de son cavalier

tu vois , t as trop minauder , nous sommes en retard. On ne pourra aller saluer Lafa maintenant
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Poli_de_motteville
Polissonne arriva aux festivités très en retard, elle cherchait du regard un visage qu'elle connaissait très bien, quand elle vit sa soeur le chevalier Shaomye, son regard se posa sur un'autre visage qu'elle appréciait, Karyaan. Poli se mit dans un coin, resta là à observer les personnes présente, il y avait du beau monde.

Elle irait après voir ses sœurs de cœur.

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Vittoria
Vittoria avait souri de temps en temps au discours du Chevalier Guillaume, surtout lorsqu'il répéta que l'Ordre était redevable à la Maison Royale. La chose était amusante mais dans le fond, le Grand Chambellan sentit une petite fierté de voir que tout l'ensemble était apprécié. Après tout n'était-ce pas là le plus beau compliment qu'on puisse lui faire ? Reconnaitre le travail fait ? Pas seulement le sien, mais celui de tous ses officiers pour l'occasion.

La Comtesse laissa exprimer son visage à cet instant là et gratifia le chevalier d'un sourire à ses mots. On pouvait dire qu'il était bien inspiré pour parler de la Licorne au cours de ces années et à vrai dire, on pouvait largement reconnaitre qu'il venait d'assurer le "show".

Alors lorsqu'il eut terminé, le Grand Chambellan prit la parole :


Chevalier, voilà un très beau discours qui, sans aucun doute, a été très apprécié par tous ici.

Elle afficha un sourire, de nouveau, le remerciant de s'être prêté à l'exercice puis reprit la parole, en posant son regard sur sa souveraine :

Votre Majesté, souhaiteriez-vous prendre la suite du Chevalier Guillaume pour exprimer quelques mots sur la célébration de cette reconnaissance royale ?
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Lorelei.swan
Arrivant en retard, Loreleï prit le temps pour reprendre son souffle puis entra dans la salle. Elle avait peu l'habitude des réceptions de ce genre. Elle chercha des yeux des connaissances puis vit sa marraine dans un coin. Ne voulant pas abimer ou salir sa robe, elle avança avec precaution vers sa marraine. Elle lui dit:

Ca va marraine?



Puis elle attendit.
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Poli_de_motteville
Polissonne vit entrer sa fille et fillote, comme elle était belle toute de bleu vêtue.
Elle lui fit signe de la main.

Lorelei s'était approchée elle lui demanda.


Citation:
Ca va marraine?
Oui très bien! Tu es splendide, magnifique! Je ne trouve pas de mots pour te dire comme tu es très belle! J'imagine que tu vas bien?

Polissonne lui fit la bise.
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Koreldy
S'il ne connaissait pas aussi bien tornadette, sans doute le duc aurait rougi. Mais certaines semblaient naturelle entre les deux et du tac au tac, le duc lui répondit.

Pas autant que toi Tornadette!

Il accepta le bras volontiers et voila déjà qu'elle lui bavait dessus. Une honte, que le duc ne releva pas, allez savoir pour quoi.

Il faut bien que je m'entraine pour mon ainé voyons!


Et le duc se mit à rire de sa connerie. En attendant, son amie semblait un brin épanoui sur le moment et le duc était content de la faire changer d'air. Tout cela lui faisait du bien et le duc le sentait. Pour lui, elle était comme la famille et il était toujours important pour le de Bruck de prendre soin de sa famille. Cet instinct paternel et protecteur, il l'avait hérité de son père et ne contait pas le quitter de sitôt.

En attendant, il se laissa porter et suivit le mouvement et ni une, ni deux, ils se retrouvèrent au bal. C'est la que le moment pompeux commençait. Une partie de la noblesse ronflante était présente. Nombre d'entre eux était assez courageux pour jouter mais moins l'était pour aller bouter l'ennemi. C'est là où on voyait la différence entre le sport et la vraie vie, qui est souvent plus cruelle.


Ah, va pour le fait que c'est de ma faute. Mais je suis sur que du coup, on a loupé le moment le plus chiant.

Il avait glissé ces quelques mots à l'oreille de sa cavalière et lui fit un clin d'oeil fier de lui. Il ne savait pas que la reyne allait venir, mais se doutait qu'ils auraient le temps d'aller voir la reyne.

Je reste persuadé qu'on aura le temps d'aller taquiner un peu la reyne quand même. Pis faut aussi qu'on te trouve un beau prince!

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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux
Lafa_
Elle avait écouté attentivement les paroles de Guillaume et acquiesça quand Vittoria lui proposa de prendre la parole. Elle avait apprécié le remerciement pour la Maison Royale.
La Reyne fit un pas en avant et sourit.


Je suis ravie de me retrouver ici pour cette célébration. L'ordre de la Licorne a toujours été là pour la France et il me semblait tout à fait normal de mettre la Maison Royale à disposition pour cet événement.
Le chevalier Guillaume a déjà tout dit et j'adhère totalement à ses paroles je ne serai donc pas longue ... Je ne vais que vous dire Merci.
Merci ... Pour toutes ces années à défendre notre Royaume, notre Domaine, nos sujets.
Longue vie à l'ordre de la Licorne !

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Vittoria
Les deux discours attendus avaient été prononcés. La Reyne avait remercié l'Ordre pour toutes ces années de dévouement et Vittoria ne douta pas un instant que ses mots seraient applaudis par les membres de la Licorne.

La Comtesse attendit un petit temps avant de proposer à Rebecca de la rejoindre sur l'estrade pour parler du concours de la couture.

Hop !

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Rebecca_laurentia
Rebecca attendit son tour, écoutant avec attention, souriante et applaudissant chaque discours avant d'incliner la tête avec respect lorsque la Chambellan lui proposa de monter.

Elle releva les pans de sa robe, monta une à une les marches avec grâce et se positionna devant tous. Son accent Italien ne faisait encore nul doute, ni sa gestuelle ample lorsqu'elle s'exprimait mais vu de loin, çà donnait certainement un certain visuel animé pour l’événement. Elle s'éclaircit la gorge, attendit deux petites seconds un peu plus de calme puis pris la parole d'une voie clair, douce et audible.


Un ordre de chevalerie, c'est avant tout des valeurs. Quelques choses de cher au cœur de chacun de ses membres, portant haut l'oriflamme de l'ordre.
C'est l'admiration dans les yeux de chaque enfants qui croisent votre chemin, le respect de chaque passants, la gratitude de la Couronne comme l'a si bien dit notre Majesté, tant de choses dites et que nous tous ici présent, savons déjà.

Ma CE SOIR !


Un petit mouvement de poignet les doigts se recroquevillent mais un montre discrètement les licornes représentées ou inspirées dans la salle.

Ce n'est pas n'importe quels ordres dont nous fêtons la reconaissance, l'ordre Royalé de la Licorne ! Et un emblème n'est pas choisi au hasard. Elle guérit les maladies, elle est pure, symbole de protection, d'amour et de lumière. Et c'est dans ces esprits de symbole et chevaleresque, qu'à travers tous le royaume de France, des esprits ont été illuminés, des mains se sont sublimés, inspirées par l'ordre et son symbole pour vous proposer le fruit de leur travail. Ils sont indépendants ou d'ateliers de renommées...

Un ravissant sourire, elle fait un petit signe à Merveylle pour qu'elle la rejoigne sur l'estrade.

Votre Majesté, Nobles, Chevaliers, Gentilshommes et Gentes dames ! Sur le thème de la Licorne, Son Altesse Royale Merveylle de la Mirandole va vous faire l'honneur de vous présenter la liste des différents couturiers qui ont répondus présent au grand concours de cette soirée !

Elle applaudit chaleureusement l'entrée de Merveylle et l’événement avant de faire une petite révérence et se poser en retrait sur le côté de l'estrade même.
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Erwany
Elle souriait encore plus qu à son habitude. Si elle n'aimait pas l' étalage de titres et de fortune , elle n'en restait pas moins une jeune femme qui aimait s'amuser et rencontrer des gens.

Ah, va pour le fait que c'est de ma faute. Mais je suis sur que du coup, on a loupé le moment le plus chiant.

t es un vieux ronchon si tu veux , on se glisse doucement du côté des boissons hein ^^

Je reste persuadé qu'on aura le temps d'aller taquiner un peu la reyne quand même. Pis faut aussi qu'on te trouve un beau prince!

Que ferais je d'un prince? Avec ma chance il serait prétentieux , je crois pas que s'est dans ce genre de lieux que je trouverais MON prince tu sais

Un homme simple partageant ses valeurs , son envie de liberté , de voyage et surtout ne lui cassant pas les pieds pour se marier ou avoir une progéniture , voila ce qu elle désirait ....
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