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[RP] Festivités (semaine 1) - Concours de poésie

Walan
Du côté opposé de l'estrade par rapport au stand du concours de portrait, une autre "loge" avait été préparée. Celle-ci comprenait plusieurs tables, où étaient disposés parchemins et écritoires au cas où, et où se tenait même à disposition un moine copiste servant habituellement au Castel et "réquisitionné" pour l'occasion, si jamais des personnes ne sachant écrire voulaient participer. Et là aussi, un rappel des modalités de participation était affiché.

Citation:
Modalités du Concours de poésie "hommage".
  • Principe : l’œuvre devra traiter des liens entre le Dauphiné et le Royaume de France que ce soit en évoquant un événement particulier où ils ont été concrétisés, noués ou exaltés ou de manière plus générale.
    Elle peut se baser sur un modèle classique (ballade, fabliau, ode, ...) ou être de forme libre.

  • Délai pour présenter les œuvres : une semaine à compter du lancement du concours (c'est à dire le 6 avril). Elles peuvent être présentées directement en gargote ou être envoyée par coursier à Sa Grâce Axel Baccard [Axel_baccard] pour les personnes ne pouvant se déplacer.

  • Jury : le Duc en place, deux dames ou demoiselles nobles, une dame ou demoiselle roturière.

  • Récompense : l'ensemble des œuvres sera exposé dans les collections ducales.
    Le vainqueur recevra un prix de 100 écus et sera invité à déclamer son œuvre en personne au théâtre antique de Lyon.

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(temporaire)
Walan
A chaque fois qu'il se rendait à Pierre-Scize, le brun passait devant l'estrade dédiée aux festivités. Il en profitait du même coup pour voir l'activité de celle-ci ... et force lui était de constater qu'elle n'était pas fameuse. S'il y avait visiblement eut un peu de visite du côté des portraits -il croyait même y avoir aperçu Jehan, son intendant, mais ça devait être une erreur-, la partie poésie restait vide.

Si Sans Repos n'avait pas franchement l'âme d'un poète, il pensait que d'autres l'avaient et était surpris du peu d'enthousiasme, ayant gardé souvenir de nombreuses contributions lors des précédents concours du même type. Était-ce sa mémoire qui lui jouait des tours, un effet de la baisse de population ou une désaffection pour le thème -pourtant large- proposé ? Il ne saurait pas le dire, se contentant d'une vague remarque pour lui-même tandis qu'il entrait dans le castel vers les salles du conseil.


Grmbl, ce serait dommage de l'annuler ...
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(temporaire)
Crieur public, incarné par Walan
L'homme ne se décourageait pas. On l'avait embauché pour faire des annonces alors il les faisait, même si personne n'avait l'air de s'y intéresser. Dans les moments de doute, lorsque sa gorge lui faisait mal, il pensait au pécule que ce travail lui rapporterait. Aujourd'hui, il adapta un peu son discours, tel qu'on lui en avait donné consigne.

Plus qu'une journée pour participer au concours de poésie ! Venez ... nombreux !
Titi04
Titi pas militaire dans l'âme s'était retrouvé Connétable et il proposa un texte évoquant les soldats. Même s'il n'aimait pas le recours aux armes il ne rejetait pas l'histoire du Duché dans lequel il vivait depuis sa naissance.

Il se présenta à l'estrade pas très sûr de lui, il aimait lire la poésie mais l'écrivait très difficilement. C'est donc plus timidement que sur l'autre concours de la semaine où il assumait sa bêtise qu'il donna sa participation


Bonsoir, je viens vous remettre un court poème pour le concours.

Citation:
Par Saint George et Dalphiné !
Voici ce qui a toujours été scandé,
Bien avant d'être dans le Royaume.
Fiers soldats portant leur heaume,
Pour se battre pour le Lyonnais-Dauphiné,
Qui un jour est devenu Français.
Rattaché ou indépendant,
L'Amour a toujours été et est présent,
Fort, puissant et jamais il ne se tait.

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Mishael
Ah le 06 Avril. L'Italien gratte ses boucles noires:

Faut faire quoi ?

Il s'avance maladroitement, lit:

L’œuvre traiter liens entre Dauphiné et Royaume de France évoquant un événement particulier concrétisés, noués ou exaltés ou plus générale.

Pfff. Mais qu'est-ce qu'il en sait lui. Pas d'ici:

En français, en plus.

Prend plume et parchemin à disposition, un peu de traviole, écrit:

Pique à vous, tabouret.

Le tire, assit dessus, affalé à moitié sur la table, mâchouille la plume:

Si, j'ai...Héhé...

Tout fier, la plume note. Cela donne:

Ah y est! Tenez...




Entre Toi & Moi, personne n'y Croit
Je me jetais contre Toi
Si souvent de Fois
Tel un renégat, un Malfrat
J'en fus Las
Pis un Jour, j'ai tiré la Couronne Du Roy
La fève, il en tomba
Pour preuve de ma bonne Foy
En LD, me conduire mes Pas
Sous mon Charme, tu tombas, en la Ville du Nougat
24h de folle Passion d'un Branle Le Bas de Combat
Notre Histoire s'Acheva
Par le son de la Voix
D'une Duchesse qui s'incliner le Fera
Bien à regret, et Maladroit
S'en mordra les Doigts

Gianni



Il leur rend tout, ne vole rien, leur donne son oeuvre:

C'est bon ?
Arwel
La Bienveillante était furieuse ! Une fois de plus, la fois de trop, on vint lui signaler que l'Italien usait de mots et situations à double sens qui pouvaient faire croire que lui et elle avaient eu une aventure... Et pour Arwel, plutôt mourir que d'avoir une aventure avec cet homme... Donc, elle avait décidé de régler la situation une bonne fois pour toutes... Elle arriva sur le lieu du délit entourée de sa garde personnelle ! Ses émeraudes viraient presque au noir tellement elle était en colère et sa démarche assurée ne laissait rien ignorer de ses intentions envers l'Italien... Elle vint se planter devant lui et lui piqua son poème, le lut et le lui mit sous le nez...

J'en ai plus qu'assez que quasiment tous les jours, on vienne me voir en me demandant si j'ai eu une liaison avec vous !

Alors nous allons mettre les choses au point une bonne fois pour toutes !

Nous sommes bien d'accord que ce poème parle des quarante cinq tentatives de prises de mairies que vous avez faites et de vos vingt-quatre heures de folle passion avec la ville de Montélimar, jusqu'au moment où je vous ai demandé de démissionner et non de vingt-quatre heures de folle passion avec moi, n'est-ce pas ?


La jeune femme, fulminant, se rapprocha dangereusement de lui :

Maintenant, face à moi, osez dire qu'il s'est passé quoi que ce soit entre nous ! Je ne vous ai même jamais accordé de me toucher la main !!!

Osez dire que la fois où nous avons passé des heures en taverne, nous avons couché ensemble ! Nous n'avons fait que parler de votre vie et de politique !

Allez, dites-le et clairement !


Toujours le regard noir de colère :

Vous n'êtes peut-être qu'un simple habitant qui n'a que faire de sa réputation, mais moi, je suis une Noble de ce Duché... j'appartiens même à la haute noblesse de ce Duché ! Et je ne tolèrerai plus que par votre conduite ambiguë, les gens puissent penser que vous et moi avons pu avoir des relations intimes alors qu'il n'y a eu ni attouchement, ni baiser, ni le moindre effleurement entre nous !

C'est mon dernier avertissement ! La prochaine fois, soit je vous fais mettre en procès pour diffamation, soit je vous envoie le Capitaine de ma garde pour laver par votre sang mon honneur bafoué...

Me suis-je fait clairement comprendre ?


Il avait plutôt intérêt à filer droit maintenant l'Italien...
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Jackouille
Jack , c ' est pas un poête , ni un diplomate d ' ailleurs mais quand il y a des écus à gagner et bien autant participer à tout .

Il salue les personnes présentes , prit un vélin et se mit ...... à rien , autant faire des annonces de campagne , cela sors tout seul que la rien .

Regard à gauche , puis à droite et le déclic en voyant un messire Italien , les italiens pour Jack c ' est une source d ' inspiration poétique , ils t ' en font toujours une tonne pour pas grand chose mais niveau phrasé ce sont les meilleurs pour exprimer les choses .

Jack avait de bonne base d ' italien ayant commercé avec des marchands Italiens à une lointaine époque à Vienne et il se souvenais de ces troubadours qui te faisaient des chantres sur tout et n ' importe quoi , mais il trouvait cela jolie et surtout ces gens démontraient dans ces instants , une force de parole digne des plus grands politiciens , certes pas de rimes ou je ne sais quoi mais juste un texte sortit alors de sa plume


Citation:
Avec toi , si loin et si différents
Avec toi , pays que je croyais perdu
Ensemble sous le même rêve

Toujours plus libre nous serons

Ce n ' est plus un rêve
tu n ' est plus seul
Prenons notre envol

Toujours plus haut nous irons

Dans le ciel mille violons
pour de mêmes idéaux
nous ne sommes plus seul

Toujours plus unis , nous serons

Ensemble , sous le même étendards
Sous un ciel semblable
pour un rêve commun

Toujours plus fort , nous serons



Il remit son vélin , se disant que finalement la poésie cela ressembles à de la politique , pleins de jolie choses sur le papier et si à l ' arrivé cela n ' arrives pas , on aura donner du rêve .
Jacot le crieur public, incarné par Walan
Ça s'animait ! Grâce à lui et sa ténacité, évidemment. C'est ça, d'être un crieur public compétent et renommé, môssieur. Pas comme Garnot, l'autre crieur de l'autre côté de l'estrade qui ressemblait plus à un rabatteur pour ses portraits. Et puisque ça avait bien marché comme ça il continuait.

Encore quelques heures pour déposer vos oeuvres !

Puis, prenant connaissance d'un parchemin qu'on lui amenait.

Ah ! Et il manque dame ou demoiselle de la roture pour faire partie du jury. N'hésitez pas à vous porter volontaires ici-même !
Mishael
L'Italien attend une réponse pour son poême. Il en a encore l'écho de sa voix en suspend. C'est bon ? Il se gratte ses boucles noires, un peu en déséquilibre sur lui. Il avait écumé toutes les tavernes de Lyon, pour vider, les fûts. Pas moins de plus cent écus. Et depuis trois jours et trois nuits, il comptait les hips en un temps record. Un mal de crâne, une migraine, une bouche pâteuse, l'oeil à la dérive. Il s'est connu plus frais, actif. Une main sur le visage, dans son petit univers fait de couleurs, de soleil, de mer, de belles choses. Un oeil plus grand ouvert que l'autre, voit au loin, une garde arrivée sur lui. En tête, Miss Arwel. Il secoue la tête pour se remettre les idées en place, en pleine hallucination, impossible:

Veramente l'alcol, come le voci, ciò ti fatto credere tutto e niente

En une minute, en chair et en os, incroyable. Face à lui. Au premier abord, il ne comprit pas tout. Que fait-elle là, ici, en public en compagnie de lui ? Il ne parvient pas à définir ce qui est différent en elle. Son poème se retrouve chiper de sa main, il s'étonne de la voir lire:

Vous donner accord avant accepter poème ? Vous être chargée ramasser eux ?

Il reste sur cette idée. Les mots lui soufflent dans les oreilles. Entre interdit et stupéfait d'entendre encore cette fichue histoire. Le poème s'agite sous son nez, encore et encore. Quand leur ficherait-on la paix tous les deux avec rumeur. Il laisse son regard vagabonder sur le visage, une fois planté dans les prunelles orageuses, une fois à décrire la forme des lèvres. En plein Ouragan, l'Italien, pose une main à plat pour se maintenir sur la table:

Ciò è. Avete finito.

Non. Et les mots déferlent. La voix gronde, menace. Elle l'est d'autant plus, joignant la parole à l'acte de se rapprocher trop proche de l'Italien. Au point de mettre en danger autant l'un que l'autre. Il ne se démonte pas. Il la fixe droit dans les yeux, sans un recul.

Je n'ai pas moi à justifier poème. Je viens moi ici participer. C'est personnel. Il regarde moi et histoire vie de moi.

Déterminé, rester sur sa position:

Faire comme si pas entendu. Faire comme rien passer.

Il lui prend des mains le poème, mouvement vif:

Permettre. C'est à Moi. Grazie Mille.

Moi être habitant. Si. Vous Noblesse. Si. Vous vouloir procès diffamation. Faites.Vous vouloir verser sang à moi. Si. Faites.Faites tout semblera bon à Vous.

Il hausse les épaules. Il ne doit rien à personne:

Et maintenant, réjouissance, suite, qu'elle est. Moi Poème prit en compte ?

Il lâche la table, face à elle, en équilibre précaire. Droit dans les yeux. Sans baisser le regard. Il a déjà bien morflé. Pas grand chose peut lui être pire.

( Vraiment l'alcool, comme les rumeurs, ca te fait croire tout et rien - Ca y est. Vous avez finit. )
Axel_baccard
Axel qui avait peu passé de temps en l'estrade des poèmes et pour cause nul ne s'était présenté jusque là avait trouvé du renfort en la personne du crieur public qui semble-t-il avait permis de faire venir du monde.

Oh Bien le bonjour Titi, une petite contribution à notre concours ! C'est parfait je me ferai un plaisir de transmettre vos lignes à notre jury , pour lequel il nous manque une jeune femme par ailleurs...

Un sourire au connétable et voilà qu'arrive l'Italien qu'elle avait vu il y a quelques temps aux allégeances et qui avait été élu à Montélimar avant d'en avoir le droit. Elle se demanda si elle n'aurait pas dû lui demander d'être interprète au tribunal lui qui semblait aimer le duché assez pour venir déclamer quelques vers en françois qui plus était à la gloire de la région.
A peine avait-il lu son poème qu'Arwel arriva telle une tornade et déversa sa colère sur Gianni. La blonde ne savait pas de quoi il était question mais il semblait que la rumeur avait dernièrement pris de la vitesse !
Lorsque l'altercation sembla prendre fin, La Précieuse s'adressa au jeune homme


Monsieur vous comprenez que le thème est le duché et ses liens avec la couronne , n'est-ce pas? Il n'est pas question d'interaction entre deux personnes,
*mince il est italien peut-etre que je ne suis pas assez claire du coup...* Elle se reprit et parla en détachant ses mots :
Pas poème d'amour d'homme , seulement poème , ode au duché et au royaume .
Si cela est le cas , je prends si poème parler de vous et de femme ou de vos rêves je ne peux le valider.
Elle lui sourit espérant qu'il avait compris attendit sa réponse tout en réceptionnant la production de Jack :

Alors monsieur Cypher , toujours en lice pour remporter des prix à ce que je vois !

Axel n'avait pas oublié que la famille Cypher avait raflé la récompense du labyrinthe de l'effroi en octobre, et si elle ne lui en tenait nullement rigueur, elle s'amusait du caractère de compétiteur du commissaire aux mines qui était en outre capitaine de soule.

_________________

Béanours forever!
Mishael
L'Italien baisse son bras avec son poème:

Si. C'est bien ça. Ce que j'ai écris.

Il en fusillerait du regard la Duchesse Arwel. Elle va réussir à le faire virer du jeu:

Ca va, vous être fière de vous ? Moi risque pas pouvoir participer...Continuez-vous, et moi, porte plainte harcèlement vous sur moi...Commencez donc par garder une distance sans équivoque avec moi. Ignorez-moi, tant que vous y êtes à l'avenir.

Gentil mais faut pas abuser. Il fait signe main d'attendre à la Blonde. Un gribouillage sur un parchemin tendu, roulé pour qu'elle en prenne connaissance, elle, seule.*

(*MP sous peu pour explication poéme )
Arwel
La Bienveillante mit une distance réglementaire entre elle et l'Italien, elle ne décolérait pas :

Vous n'êtes pas gonflé vous tout de même ! C'est vous qui passez votre temps à créer des situations qui peuvent prêter à confusion, et vous osez en prime venir me menacer ! On atteint le summum de l'hypocrisie là quand même !

Jusqu'à présent, je vous ai laissé le bénéfice du doute, repoussant les arguments des personnes qui me disaient de me méfier de vous et que même si je n'avais rien à me reprocher, vous, vous feriez en sorte de continuer à distiller le doute dans l'esprit des gens... Votre attitude prouve que ces gens avaient complètement raison... Vous me décevez ! Je pensais pouvoir avoir confiance en vous et que vous arrêteriez de faire croire des choses qui n'ont aucune existence...


Puis les émeraudes se posèrent sur la Précieuse :

Vous savez, elle a beau être blonde, elle n'en reste pas moins intelligente et elle sait lire, elle n'avait pas besoin de moi pour comprendre le double sens de votre poème !

Ce n'est tout de même pas trop demandé que vous cessiez votre petit jeu malsain, scrogneugneu !

_________________
Mishael
L'Italien hausse les épaules:

Arwel. Moi voir personne. Moi ne parler de rien. En ce qui concerne vous. Ni dans ce Poème. Ni ailleurs. Et quand je le fais, vous êtes présente. Je vous dis les choses en face.

Il lève une main en l'air:

Je fais comme vous. Vous me menacez. Moi protéger moi. Tendre l'autre joue, moi, finit ça.

Et d'applaudir, un oeil autour d'eux:

Vous avez réussit. Vous être tous et toutes heureux. Les hypocrites, c'est vous! Pas moi. Moi pas savoir qui dit quoi sur moi. Peu importe. Moi, pas perdre mon temps à faire pareil, en retour. Vous n'existez pas pour moi la plupart.

Il précise à la Duchesse:

Par contre, par respect pour vous, moi m'être tenu tranquille. Pour bien peu que ça, j'ai déjà basculé. Prenez en compte, Arwel. Mes actes valent bien plus que paroles entourage à vous. Et le malsain, pas de moi, venir. Moi accepter toutes conditions de vous alors que moi rien faire de mal, que ne le méritait pas.

Puis secoue la tête:

Pas avoir besoin d'un soutien. Pas choisit elle, parce que blonde. Moi pas dire que elle pas intelligente couleur cheveux en cause. Le message privé, pour ne pas que tout soit en public. C'est ma vie. Vous faire copie et envoyer si vous vouloir.

Il est blasé, se retient d'être en colère:

Vous avoir de la chance. Vous être colère pour une réputation. Mais vous, mettre tête de moi en danger. Vous rendre compte avec votre intervention et révélations sur moi ?
Walan
Venant de l'autre côté de l'estrade d'où il avait découvert brièvement les portraits, le brun s'approcha du stand des poèmes, qui comptait lui aussi quelques personnes encore sur place. Là aussi, il commença par les salutations et remerciements.

Bonjour à tous, et merci pour vos participations.
Le jury va se réunir sous peu et nous vous donneront le nom du vainqueur au plus ...


Remarquant alors l'italien et Arwel dans une attitude visiblement conflictuelle, Sans Repos s'interrompit.

Il y a un problème ?
_________________

(temporaire)
Mishael
L'Italien sourit, nature:

Nous n'avons aucun problème. En tout cas, cela ne vient pas de nous.

Et la Vérité. Y a un malin et des petits malins. Eux, prendre plaisir à entrer dans vie autrui:

Je vous assure, que tout se règle.

Il se gratte ses boucles noires:

En tout cas. Cela va l'être.

Plus que certain. L'Italien va mettre les choses au point.
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